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mercredi 10 avril 2019

De l’Église de Rome à l’Église de Jésus-Christ



Né en 1949 dans une famille catholique pratiquante, études secondaires au petit séminaire diocésain de Verdun et musicales au Conservatoire de Nancy, marié et père de cinq enfants, professeur de musique dans un collège catholique, organiste de ma paroisse et chargé d’enseignement religieux auprès d’adolescents, grand pécheur et cependant perçu par mon entourage comme un chrétien.

En 1986, en vacances à Houlgate, lors de la visite d’une Expo-Bible tenue par des Évangéliques, je découvre la Bible comme Parole de Dieu. Les années précédentes, j’avais étudié la Bible avec des prêtres, suivant une méthode proche des introductions et notes de la Bible de Jérusalem. Par crainte d’être entraîné dans une secte, j’ai évité de garder des contacts avec les deux pasteurs que j’avais rencontrés à l’exposition. J’ai donc cheminé seul avec cette merveilleuse conviction que la Bible nous avait été donnée par Dieu pour nous éclairer.

Je me réjouis de ta Parole comme celui qui trouve un grand butin.
(Psaume 119:162)
Auparavant, je recherchais la vérité principalement par des méthodes d’érudition humaines : connaissance des religions et philosophies, vies de saints et histoire de l’Église (Catholique), ouvrages de grands penseurs chrétiens, sans jamais rencontrer une complète satisfaction, ni trouver de réponses certaines à mes interrogations.
Avec la Bible, j’ai redécouvert la crainte de Dieu. La lecture de l’évangile de Jean me bouleversait toujours, en particulier le chapitre 3 et les derniers entretiens avec le Seigneur.

Un soir d’octobre 1993, Dieu a mis dans mon cœur la certitude que j’étais racheté, pardonné et adopté en Jésus-Christ. Ce fut à la fois, tout simple et extraordinaire !

L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
(Romains 8:16)

À partir de ce moment-là, mes yeux se sont véritablement ouverts. Depuis quelques années, je contestais le baptême des nourrissons et les cultes à la Vierge ; après ma nouvelle naissance, l’imposture du sacerdoce romain m’est apparue clairement à travers le commerce des messes pour les défunts et le rite sacramentel de la transsubstantiation. Je prenais conscience que les prêtres catholiques n’étaient finalement que des aveugles conduisant d’autres aveugles.

Toute ma vie était marquée par le catholicisme : religion, profession, famille et relations, et je n’y avais que des amis. Cependant, trois mois après ma nouvelle naissance, avec la force que seul Dieu pouvait me donner pour le faire, j’ai quitté l’Église Catholique avec ma femme et mes enfants, en rendant un témoignage, sans esprit de jugement, devant les membres de notre assemblée paroissiale et en présence du prêtre.

Nous ne savions où nous allions, mais nous faisions confiance au Seigneur…

Dans la semaine qui a suivi notre départ de la paroisse, j’ai été destitué de ma fonction d’enseignement religieux par mon évêque. Étant salarié par l’Éducation Nationale, j’ai pu garder mon poste de professeur de musique que j’ai occupé, non sans difficultés, jusqu’en 2006. Désormais, nous étions perçus comme des sectaires par la plupart de nos amis catholiques.

Au fur et à mesure que mes yeux s’ouvraient sur la nature véritable de l’Église de Rome, le Seigneur m’a mis à cœur d’écrire des brochures destinées, au départ, à avertir ma famille et mon entourage. Le cercle de diffusion s’est ensuite élargi progressivement.

Nul ne peut venir à moi si le Père qui m’a envoyé ne l’attire.
(Jean 6:44)
Cette parole du Seigneur nous rappelle que, parmi ses rachetés, personne ne peut avoir la prétention d’affirmer : « J’ai été plus intelligent que les autres hommes ; j’ai cherché Dieu et je l’ai trouvé ». Dieu m’a conduit à trouver dans la Bible la Bonne Nouvelle de sa grâce en Jésus-Christ, et Il m’a donné d’y croire. Désormais, je n’ai plus d’autre désir et d’autre but que de faire connaître la Parole de Dieu autour de moi, et particulièrement aux catholiques.



vendredi 23 septembre 2011

LA CHUTE

Le plus grand drame de l’histoire

Ce chapitre 3 de la Genèse est unique au monde, car il nous donne des réponses cohérentes aux questions fondamentales que nous nous posons :
Quelle est l'origine du mal ? D'où vient la souffrance ? Pourquoi mourons- nous ?
Veuillez ouvrir votre Bible dans le livre de la Genèse, au chapitre 3
6 = chiffre de l'homme et du péché (voir l’étude sur les chiffres).

La chute de nos parents en 6 étapes :
Genèse 3 v 1 : Le serpent sème le doute de la Parole de Dieu dans le cœur de la femme*.
V 2 et 3 : La femme essaye de s'en sortir seule en parlant avec le serpent, son mari ne la protège pas.
V 4 et 5 : Le Diable qui parle à travers le serpent inverse le plan de Dieu.
V 6a : Elle regarde l'arbre et se laisse séduire, au lieu de demander l’aide de Dieu et d’Adam.
V 6b : Elle prend du fruit défendu, c’est le passage à l’acte.
V 6c : Elle fait chuter son mari, qui n’oppose aucune résistance.
(Adam est mort spirituellement (séparé de Dieu) le jour ou il a mangé le fruit défendu.
Le processus de mort physique a commencé dans le corps d'Adam, et cela est inclut dans "LE JOUR où tu en mangeras, tu mourras ".)
*  Les 4 mensonges de Satan : 1 – « Dieu a-t-il réellement dit… » Il nie l’autorité de Dieu. (3 v 1)
2 – « Vous ne mourrez pas… » Il nie la mort éternelle. (3 v 4)
3 – « Vous serez comme Dieu… » Il affirme que l’homme est de nature divine. (3 v 5)
4 – «…connaissant le bien et le mal. » Il affirme que l’homme a la connaissance divine. (3 v 5)

6 conséquences immédiates :
V 7a : Leurs yeux s'ouvrent, et ils prennent conscience de leur nudité, perdant leur innocence.
V 7b : Ils se couvrent. C’est la première tentative d’auto-justification (salut par les œuvres).
V 8 : Ils se cachent, car ils ont mauvaise conscience.
V 10 : Ils ont peur de Dieu. (Toutes nos peurs sont des conséquences du péché de nos ancêtres).  
V 12 : Adam accuse sa femme au lieu de se repentir, il fuit sa responsabilité.
V 13 : Elle accuse le serpent au lieu de se repentir.

Dieu dit 6 choses à Satan
:
V 14 : 1ère Malédiction. 2ème Marcher sur son ventre (mutation génétique). 3ème Manger de la poussière.
V 15 : 4ème Inimitié avec la femme. 5ème Avec sa postérité (Christ). 6ème Défaite finale.

Dieu dit 6 choses à la femme :
V 16 : 1ère Souffrance augmentée. 2ème Multiplication des grossesses. 3ème  Accouchement douloureux. 4ème Dépendance du mari. 5ème L'homme la dominera. 6ème Mort physique (19).

Dieu dit 6 choses à l'homme :

V 17 : 1ère Le sol est maudit. 2ème Les conditions de vie vont être dures.
V 18 : 3ème Le sol produira des épines et des ronces (mutations génétiques). 4ème Il faudra cultiver la terre.
V 19 : 5ème Sueur et fatigue. 6ème Mort physique.

Promesse de Dieu : Chapitre 3 v 15, c’est la première prophétie biblique :
La semence (postérité) de la femme, c’est-à-dire Jésus Christ vaincra le diable, mais y laissera sa vie. Cette prophétie a été développée par presque tous les prophètes de l’ancienne alliance pour annoncer la venue du sauveur.

Et pour finir :
V 20 : Adam appelle sa femme : Vie, alors qu’il vient juste d’être condamné à mort.
V 21 : Dieu les revêt de peau d’animaux en attendant le Messie, c’est le premier sacrifice. 
V 22 : Le chemin de l'arbre de Vie est bloqué, par amour pour nous.
V 23 : Expulsion du jardin d’Eden.


Voici quelques questions :

1.    Pourquoi Dieu a-il placé l’arbre de la connaissance du bien et du mal dans le jardin ?


2.    Qu’aurait dû faire Eve pour ne pas chuter ?


3.    Qu’aurait dû faire Adam pour ne pas se laisser séduire ?


4.    Les méthodes de Satan sont-elles toujours d’actualité ?


5.    Citez une dizaine de conséquences actuelles de la chute ?


6.    Selon vous, est-ce que la mort existait avant le péché d’Adam et Eve ?


7.    Combien de temps s’est-il écoulé depuis cet évènement ?


8.    Que représentent les feuilles avec lesquelles ils se sont couverts ?


9.    Que représente la peau avec laquelle Dieu les a couvert ?


10.    Pourquoi Dieu a-t-il bloqué l’accès à l’arbre de vie ?




Si tu veux des réponses, copie et colle ces questions sur ton courrier.
Puis tu tapes tes réponses en couleur, et tu me l’envoie ici : pierredanis@orange.fr
 







mercredi 2 mars 2011

Vrais et faux chrétiens !


Ce qui est vrai existe aussi en faux. C’est le cas des billets de banque par exemple.


Dans le domaine spirituel, Satan est passé maitre dans l’art de la contrefaçon, n’ayant pas le pouvoir créateur, il est réduit à imiter ce que Dieu fait.


Le seigneur nous a prévenu : 2 Corinthiens 11 v 26 : « Fréquemment en voyage, j’ai été en péril sur les fleuves, en péril de la part des brigands, en péril de la part de ceux de ma nation, en péril de la part des païens, en péril dans les villes, en péril dans les déserts, en péril sur la mer, en péril parmi les faux frères ».


A quoi reconnaît-on un vrai chrétien ?

Il est passé par une vraie repentance, et il sait qu’il est pardonné grâce au sacrifice de Jésus Christ. Il est né de nouveau par la puissance du Saint Esprit qui est venu faire sa demeure en lui pour l’éternité.

Il aime Dieu de tout son cœur, ainsi que sa Parole écrite (la Bible), et donc il est obéissant, car l’amour consiste à garder ses commandements. Il aime tout les autres chrétiens, ses frères et sœurs. Il aime son prochain, c’est-à-dire tout le monde (même ses ennemis). Il est certain d’avoir la Vie éternelle et d’aller au paradis (1 jean 5 v 13).


Pour savoir si une chose est vraie ou fausse, il faut avoir une référence, un étalon. La Bible est le seul livre au monde qui dit la Vérité, car elle est inspirée par Dieu du premier au dernier verset. AMEN  ! ! !

jeudi 29 juillet 2010

Le cheminement de Patrick


Je suis issu d'une famille dont plusieurs membres sont portés sur la religion. On ne peut pas dire qu'il y ait chez ces membres une conviction née d'un éveil ou d'un choix mais plutôt d'un état de fait, "mes parents sont catholiques, la France est un pays catholique donc je suis catholique".

Ma mère est (était ?) une fervente adoratrice de la Vierge Marie ayant fait plusieurs pélerinages dans les lieux où elle est sensée apparaître. Elle est également très impliquée dans des oeuvres catholiques caritatives.

L'un de mes oncles faisait partie de "l'Armée de Marie", organisation qui entre autres faisait des processions dans la ville de Lyon, tous habillés d'une grande robe blanche et deux personnes portant la statue de la Vierge Marie devant la procession.
Une de mes cousines passe 11 mois de l'année dans des monastères et n'en sort que pour travailler pendant un mois afin de conserver ses droits sociaux. Elle se rend également à tous les grands rassemblements de jeunes tels que les Journées Mondiales de la Jeunesse (JMJ) où le pape donne rendez vous à la jeunesse catholique.

Quand je n'étais encore qu'un enfant je me posais des questions sur Dieu et sur la foi. J'étais très attiré par l'idée que Dieu existe mais je ne Le connaissais pas et l'image que la religion autour de moi me renvoyait de Lui me rendait perplexe. L'atmosphère des églises, les statues ou peintures représentant des scènes bibliques mais aussi les pratiques religieuses ne me satisfaisaient pas. Je ne m'en rendais pas encore compte mais je doutais à ce moment là, me demandant si les choses devaient réellement en être ainsi.

Je me souviens qu'à l'âge de 14 ans que mes parents m'avaient envoyé chez mon oncle pour passer les vacances. Or le samedi soir mon oncle se rendait chez des connaissances à lui pour prier le rosaire (le rosaire consiste à prier 3 chapelets, qui lui, consiste à prier 10 "Je vous salue Marie" et 1 "Notre Père" et ce 3 fois de suite). Prier le rosaire prend deux heures et il s'agit en fait de récitations de prières. Faire cela à 14 ans quand on est plus attiré par les matchs de foot que la religion est quelque chose de difficile: Je me souviens m'être posé la questions "Dieu veut il vraiment qu'on le prie ainsi ?" et je me disais que si Dieu demande vraiment à l'homme de réciter des prières pendant deux heures c'est que 1) peut être qu'Il est sourd et qu'il faut répéter et répéter encore les prières jusqu'à ce qu'Il les entende; ou alors 2) Dieu est peut être quelqu'un de cruel et Il prend plaisir à nous voir faire quelque chose que l'on n'aime pas et qui soit rébarbatif ou 3) peut être que Dieu s'intéresse peu à nous et se contente que nous le servions en observant les traditions.

Je me souviens aussi, avec ma cousine, avoir visité une de ses amie. Pendant que les deux parlaient, j'observais l'endroit et je remarquais sur la cheminée une bible qui semblait être là parce que quelqu'un l'avait prise pour la lire et l'avait replacé à cette endroit. J'ai demandé à la copine de ma cousine si elle lisait la bible et avant qu'elle ait pu répondre ma cousine a dit "il ne faut pas lire la bible, il faut avoir fait des études pour la lire correctement". Là j'étais vraiment estomaqué car si l'on doit pouvoir connaître Dieu, d'une manière qui soit fiable, ce doit être par une trace écrite et pas uniquement de tradition orale qui peut altérer la vérité très rapidement. Et si Dieu nous parle, nous devons avoir un outil de référence nous permettant de connaître et de vérifier qu'Il nous a réellement parlé. Cette trace écrite doit aussi être compréhensible par tous et non pas seulement à une élite enseignée.

Je me posais aussi des questions sur la personne de Jésus, je connaissais certaines histoires de la bible par ce que le catéchisme nous enseignait mais je ne comprenais pas le message de la bible. Ces histoires semblaient avoir un lien entre elles du fait qu'elle tournait autour de la personne de Jésus mais je ne comprenais par qui était Jésus, quel était le lien entre Jésus et Dieu et je pressentais que cette figure qui est bien une figure historique a une importance considérable si l'on tient simplement compte du fait que l'histoire du monde tourne autour de Lui (ne sommes nous pas en 2010 après Jésus-Christ ?). L'histoire de l'humanité est composé d'un avant et d'un après la venue de Jésus-Christ, qu'on croit en lui ou non et qu'on soit athée ou croyant. D'autre part si Dieu nous a parlé et laissé un message, ce message doit certainement être connu, il convient donc à chacun de rechercher et de s'intéresser à ce que Dieu a à dire à chacun d'entre nous.

Mais ne sachant pas vraiment quoi penser, j'ai tout simplement laisser la question ouverte pour plus tard.

Pourtant je me souviens que les soirs lorsque j'étais chez mes parents en pleine campagne, j'aimais sortir me promener quand tout le monde dormait et je regardais le ciel et je parlais à Dieu comme un ami parle à un ami, et je lui racontais mes journées et mes rêves.

Lorsque je suis devenu étudiant en tourisme à Grenoble, je me posais encore plus de questions et un jour je suis tombé sur une radio où quelqu'un donnait son témoignage, comment il avait rencontré Dieu et comment il marchait avec Lui jour après jour. Cela a comme été un choc pour moi car tout ce que j'avais vu dans mon enfance était une liste de traditions et de règles à observer. Il y avait une certaine croyance en Dieu dans ce que j'avais vu mais pas vraiment d'amour ou d'intelligence des choses qui le concernent. En fait dans ma famille, on allait à l'église mais la foi n'avait pas d'impact sur notre manière de vivre ni sur les choix à prendre; d'ailleurs quand un choix devait être fait, Dieu n'était pas consulté. Pourtant, je me disais que dans les grandes décisions de la vie autant que dans les petites décisions; Dieu devrait être consulté si tant est que nous croyons vraiment en Lui et que Lui sait ce dont nous avons vraiment besoin et les bons choix à prendre.

J'ai entendu par cette radio d'autres témoignages de personnes qui racontait ce que Dieu avait fait dans leur vie, témoignant comment Dieu dirigeait leur vie et comment Il écoute et répond aux prières (bien que pas toujours de la manière attendue) et comment Dieu leur parlait au travers de la bible.

Je désirais cette relation avec Dieu mais je ne comprenais pas encore comment il était possible d'entrer en contact avec Lui. Mes études se terminant, je devais quitter Grenoble mais je voulais garder la possibilité d'en savoir plus, aussi je téléphonais à cette radio pour leur demander où il était possible de se procurer des livres chrétiens. Avec l'adresse d'une librairie chrétienne en poche, je quittais Grenoble et me dirigeait vers Fréjus pour faire mon service militaire. Après le mois de classe, et le mois où j'ai été affecté dans l'unité auto-école où l'on faisait passer les permis aux nouvelles recrues qui s'engageait dans un service de 18 mois dans les DOM TOMS, je demandais à entrer à l'armurerie afin de pouvoir lire les livres que j'achetais à la librairie chrétienne. En fait, dans cette fonction dont personne ne voulait, j'échappais au réveil bien matinal et au lever de drapeau ainsi qu'à toutes les manoeuvres sur le terrain et je passais mes nuits à lire.

Lors de ma dernière permission avant la fin de mon service militaire, j'ai vu une affiche dans une libraire chrétienne qui présentait un événement dans la région mais ce qui avait retenu mon attention était qu'on pouvait parler avec un pasteur ou conseiller.

Aussi, je me suis rendu à ce rassemblement pour poser mes questions à savoir 1) Quel est le message de la bible ? 2) Dieu demande t'il vraiment à ce qu'on observe les traditions religieuses
La personne que j'ai rencontré était un homme de la région grenobloise, pasteur d'une assemblée chrétienne. Lorsque je lui ai posé mes questions, il ouvrait sa bible et me faisait lire des passages à l'intérieur qui répondaient à mes questions. Il m'a expliqué que le monde n'est pas le fruit du hasard ou d'un "accident" mais d'une intention délibérée de Dieu qui a créée le monde comme le dit la bible. Dieu nous a créée pour vivre en communion avec Lui mais Il nous laisse libre de lui obéir ou de refuser de lui obéir.

Quand Dieu a créée Adam et Eve et les a placé dans un lieu favorable; il leur a donné toute liberté et une seule interdiction. En choisissant de braver l'interdiction que Dieu leur avait donné, ils ont péché, le péché crée une séparation entre l'homme et Dieu. En effet, le péché est tout acte fait indépendamment de la volonté de Dieu.

Le péché n'est pas seulement voler, tuer ou mentir mais il peut prendre la forme de l'orgueil, d'un faux témoignage ou même de voir savoir faire le bien et de ne pas le faire. Dieu est un être saint (Il ne connaît pas le péché et ne peut le supporter); juste (la justice de Dieu exige que l'homme qui a péché soit condamné et la lettre de Paul aux Romains nous apprend que la conséquence du péché est une éternité séparé de Dieu, c'est la mort spirituelle et l'enfer), Amour (parce que Dieu aime l'homme mais hait le péché, il a pourvu un moyen de sauver l'homme de la condamnation que son péché méritait) et enfin Dieu est bon (Il est venu dans la personne de Jésus pour prendre sur Lui notre condamnation, parce que Jésus est Dieu venu sous la forme d'un homme, il ne connaissait pas le péché et en mourant sur la croix, Il a pris pour ceux qui désirent être sauver de leurs péchés, les péchés de ceux qui se confient en Lui et lui en font la demande). De cette manière la justice de Dieu est satisfaite, l'Amour de Dieu aussi bien qu'Il en ait coûté à Dieu. La bible dit "car Dieu a tant aimé le monde qu'IL a donné son fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse point mais ait la vie éternelle.(Jean 3:16)

C'est là le message de la bible. C'est un message unique dans le sens qu'il est profondément différent de toutes les religions qui existent qui connaissent pas la raison de l'état de notre monde, qui ne propose que de faire ceci ou aller là dans l'espoir que Dieu comptabilisera ces oeuvres et permettre le salut à celui qui en aura assez fait sans bien sûr permettre à l'homme de savoir combien il faut faire pour en faire assez pour être sauvé. La bible, elle, dit clairement que l'homme ne peut rien faire pour être sauvé, c'est pourquoi Dieu a pris l'initiative de venir en Jésus qui possédait les caractéristiques d'être parfaitement divin pour pouvoir nous sauver mais aussi parfaitement humain (de par sa naissance miraculeuse du St Esprit et de Marie) pour pouvoir vivre comme un homme, prendre sur Lui nos péchés et mourir pour nous. Sa résurrection est un fait attesté, qui nous assure que la justice de Dieu a été satisfaite et que ceux qui se confient en Jésus pour le salut de leurs péchés mourront non pour une éternité en enfer et la séparation d'avec Dieu mais pour une éternité avec Dieu et dans Sa présence.

La bible nous assure aussi qu'aucun homme n'a trop péché pour ne pas être pardonné par Dieu mais que tout homme est pécheur et doit demander le pardon de ses péchés. De par ce fait, le salut de Dieu est parfait et accessible à tout homme qui Lui en fait la demande. Le salut que Dieu offre est un don, il ne se mérité pas, c'est pour cela que l'on dit que c'est une grâce (don immérité) de Dieu
Maintenant, considère ceci, imagine qu'Hitler après avoir fait ce qu'il a fait revienne en son bon sens avant de mourir et se rendant compte avec horreur de tout le mal qu'il a fait demande le pardon de ses péchés à Jésus. Imagine aussi un autre homme qui s'évertue à faire tout le bien qu'il peut (donnant son argent et son temps aux pauvres et nécessiteux et allant tous les dimanches à l'église; lisant sa bible chaque jour mais que jamais il n'ait demandé à Jésus le pardon pour le seul péché qu'il ait pu commettre dans sa vie (même s'il est un homme remarquable ayant seulement menti une fois dans toute sa vie).

Quand ces deux personnes viendraient à mourir le même soir, Hitler serait pardonné et le deuxième homme ne le serait pas et passerait l'éternité sans Dieu.
Car le seul péché que Dieu ne peut pas pardonner est que l'homme refuse le salut qu'il offre à l'homme. Ne pas répondre est synonyme de refus. Si tu donnes un cadeau à ton fils et qu'il te regarde, sourit et s'en va sans le prendre, tu pourrais ressentir dans une moindre mesure ce que Dieu ressent quand l'homme méprise le don du salut qu'il lui fait.

Le salut de Dieu est gratuit mais il en coûtera autrement à celui qui désire vraiment connaître Dieu et être sauvé de ces péchés. Dieu a un adversaire qui ne sera pas content qu'une personne ait été sauvée par Dieu. Accepter le salut de Dieu, signifie aussi qu'ensuite l'homme dont les péchés auront été pardonné ne vive plus pour lui même mais développe sa relation avec Dieu et vive pour Dieu et non plus pour lui-même. Pour ma part cela a été le célibat et la séparation d'avec la famille (bien que cela ne veut pas dire que les choses resteront ainsi, Dieu a des plans pour chacun de nous et pour moi aussi), cela peut être pour d'autre la perte d'un emploi, la perte d'amis, conflit dans le couple voire divorce et bien d'autres choses. Mais il faut savoir aussi que Dieu est souverain et qu'il est au contrôle de toutes ces choses et que si l'on passe par elles, il veut notre bien et si nous lui faisons confiance Il nous guidera vers ce qu'il y a de mieux pour nous.

C'était le 31 mai 1993, le jour où j'ai compris par cet homme le message de la bible et que je l'ai accepté pour moi même. Chose remarquable la bible dit que l'éternité ne commence pas pour le croyant quand il meure mais quand il reçoit le pardon de ses péchés. En d'autres termes l'éternité ne commence pas une fois que nous mourrons, l'éternité commence dés maintenant.

Nous vivons dans un monde où beaucoup d'informations circulent, y compris au sujet de la bible et de Jésus. Avant d'accepter ces informations, je conseille de les étudier pour attester de leur véracité. Certaines sont habilement bien conçues et peuvent tromper beaucoup de gens qui ne vérifieront pas si ce qu'ils entendent est exact ou non.

jeudi 8 juillet 2010

Le catholicisme

Origine :

Genèse 10-8 à 11 : La Bible parle d'un homme, Nimrod (ce qui signifie : rebelle) qui fut le premier homme puissant sur la terre. C'est lui qui construisit et régna sur des villes, entre autre, Babel (ou : Babylone). L'histoire de l'Antiquité et diverses mythologies révèlent que cet homme, sa femme Sémiramis et son fils Ninus (Tammuz) furent divinisés et devinrent des initiateurs d'une trinité (père, mère et enfant).


Origines des religions structurées (Babel) Genèse 11-1 à 9 :

Les hommes furent ensuite dispersés sur toute la terre et formèrent les différentes nations, langues et races desquelles nous sommes issus aujourd'hui. Depuis, le culte babylonien s'est répandu sur toute la terre au cours des siècles ; bien que la forme ait quelque peu changé, le fondement est resté le même. Ses rites sont parvenus jusqu'en Europe, surtout par les civilisations égyptienne et grecque. Les "divinités" changèrent de nom et d'apparence selon la langue et la culture locale. Ces rites idolâtres et superstitieux sont la base même des traditions actuelles qui imprègnent les religions et en constituent leur véritable caractère.

Fondateur de l’église catholique romaine :
 
L’empereur Constantin (337) lorsqu’il l’institua comme église d’Etat. Matthieu 16. V13 à 18 : Simon que Jésus a surnommé « Pierre » (en grec : Petros, c’est-à-dire une pierre de construction) est le 1er à déclarer que Jésus est le Christ. La traduction de Darby est correcte lorsqu’elle dit: « Tu es pierre (petros), et sur ce roc (petra), je bâtirai mon assemblée ». C’est-à-dire, JESUS CHRIST EST LE ROCHER SUR LEQUEL IL BATIT SON EGLISE. Voir aussi 1 Corinthiens 3. V11 : Il n’y a pas d’autre fondement que Jésus Christ.

Généralités :

Séparation entre le clergé et les laïques. Uniforme pour la hiérarchie. messe (Date à laquelle c’est devenu un dogme : 1100) = sacrifice expiatoire (1215). médiation : La vierge, les saints et la hiérarchie - 1 Timothée 2. V5-6. N’appelez personne « père » - Matthieu 23. V9. Abbé vient de « abba » (papa en araméen). Il y a un autre jésus, un autre esprit et un autre évangile - 2 Corinthiens 11. V4.

La papauté :

Titres : Vicaire (remplaçant) du Christ, chef de l’église, saint père, souverain pontife... Jésus Christ est le vrai Grand prêtre ou Souverain pontife – Hébreux 3 v1. Luc 22. V24 : Elévation et abaissement. Infaillibilité (1870). Seule la Parole de Dieu est infaillible. le vrai sacerdoce est intransmissible - Hébreux 7. V23-28 (une fois pour toutes).

La vierge (madone, notre-dame…) :

Sémiramis, Astarté, Isis, Vénus, Artémis (ou Diane) : Dans Actes 19. V27, les fabricants d’idoles disent qu’elle est vénérée dans le monde entier (sous différents noms). Mère de dieu, co-rédemptrice... sont des titres blasphématoires. Reine du ciel (Isis) - Jérémie 7. V18 + 44. V15. Elle existait longtemps avant Marie. Immaculé conception, c’est-à-dire conçue sans péchés (1854) Luc 1. V46-48, la vraie Marie a besoin d’un sauveur, + Romains 5. V12. Virginité - Matthieu 1. V25 : « Il ne la connut (littéralement : pénétra) pas jusqu’à ce qu’elle eut enfanté… » + Luc 2. V7 : Jésus est son 1er né + Marc 6 v3 : Elle a eu 4 autres garçons et plusieurs filles. Ave Maria - Luc 1. V28 : L’ange dit : « Je te salue toi à qui une grâce a été faite ». Assomption (1950). Pour plus de détails : http://religionoudieu.blogspot.com/2007/05/lassomption-de-marie.html
Apparitions - Galates 1. V8 & 9.


L’idolâtrie :

Statues, croix, images, saint sacrement (ostensoir représentant le soleil)... Hostie (Latin = victime) – 1 Corinthiens 10 v19 à 22. Obélisque au soleil (elle vient d’Egypte et se trouve devant la basilique St Pierre au Vatican) - Esaie 17. V8 - Stèle - Deutéronome 16. V22. Vénération et prière aux saints, et à leur reliques - Matthieu 4. V10. Signe de croix (an 300) - Eau bénite (an 1000) - Processions - Pèlerinages.

Et encore :

Les livres apocryphes, rajoutés à la Bible – Deutéronome 4 v2. Le missel. La tradition égale à la Bible (1545) - Matthieu 15. V6-9. Le purgatoire (lieu oû vont les morts pour purger leurs peines), et les limbes (oû vont les bébés morts sans être baptisés) - Romains 8. V1. Messe pour les âmes du purgatoire (300). Prière aux morts (450) - Deutéronome 18. V11. Vente des indulgences pour diminuer le temps a passer au purgatoire(1190) Actes 8 V20. Célibat obligatoire des religieux (325). Vie monastique (450) 1 Timothée 4. V1-3. Cathédrales, “ églises”… Actes 17. V24. Chapelet pour prier (1090) Matthieu 6. V7-8 (d’origine arabe). Carême, et vendredi sans viande (998). Inquisition (1184) - croisades - conquistadors – persécution des protestants, etc...environ 68 millions de victimes. Hébreux 10. V30. Le pape Grégoire IX (1227-1241) interdit la Bible. Le Vatican (1929).

Les fêtes :

Colossiens 2-16 & 17 : La plupart de nos contemporains célèbrent les fêtes religieuses sans en comprendre le sens profond, tout en croyant plaire à Dieu dans le respect de ces traditions, ils ne font qu'observer des pratiques idolâtres provenant d'un paganisme que Dieu réprouve : les uns honorant ces fêtes d'un cœur sincère n'en sont pas moins dupés, tandis que les autres profitent de ces occasions pour donner libre cours à leurs instincts les plus bas.
Les fêtes romaines issues de ce paganisme primitif sont nombreuses, mais il en est cinq parmi les plus importantes : Noël, l'Annonciation, Pâques, la Saint Jean et l'Assomption. Chacune de ces fêtes a incontestablement une origine babylonienne. Apocalypse 17-1 à 6 : Babylone, la mère, c’est-à-dire celle qui a donné naissance à l’idolâtrie religieuse.


Pour plus de détails : http://biblique.blogspot.com/

Apo 18-4 à 8 : « Sortez du milieu d’elle ! » Cher(e) ami(e), si tu es encore dans une église idolâtre, la Parole de Dieu t’ordonne d’en sortir, pour te joindre à une église fidèle...

Pierre Danis :paix@orange.fr

mardi 27 avril 2010

Les OVNI


la religion des OVNI

par Gilles Bernier

Aujourd'hui, on tend à dire d'une façon plus aiguisée: "Existe-t-il une forme de vie intelligente sur d'autres planètes?"

D'un point de vue théologique fondé sur la Bible, on est donc à même d'esquisser l'observation suivante: le phénomène OVNI présente des caractéristiques qui sonnent étrangement comme une expérience relevant davantage de la sphère religieuse.

Un ex-croyant du dossier secret des OVNI

Ex-croyant du phénomène OVNI et extra-terrestres, je suis de ceux qui, vers la fin de leur adolescence, ont parcouru la littérature iniatique sur le sujet. J'ai même marché dans un champ le soir en observant le ciel étoilé dans l'espoir d'y voir un quelconque vaisseau spatial. Un Certain film de Steven Spielberg n'y était pas pour rien non plus. Je suis même devenu, en tant que jeune adulte, réceptif aux cosmogonies extra-terrestres. Toutefois, je concluais plus tard, que le tout présente, tout compte fait, beaucoup de points communs avec une approche religieuse. Les jours suivants, j'ai été surpris de tomber sur un article qui allait dans le même sens en cherchant autre chose sur les rayons d'une bibliothèque publique.

Fait intéressant, des journalistes ou recherchistes séculiers sont arrivés à des conclusions semblables. C'est surtout le point de vue séculier journalistique que j'ai choisi d'effleurer et de commenter dans ce qui suit.

Quelques observations d'un journaliste séculier

En effet, dans un ouvrage collectif séculier, Jean Robin faisait observer à partir des récits répertoriés de l'intérieur même du phénomène OVNI (UFO): "une évolution technique des prétendus vaisseaux de l'espace"(1). En d'autres mots, la complexité de la technologie de ces vaisseaux spatiaux progresse au même rythme que l'évolution de notre science... et de notre science-fiction.

En poursuivant son raisonnement plus loin, il ne faudrait pas se surprendre, qu'avec l'arrivée d'une récente hypothèse (scientifique?), les voyages supposés de ces êtres se fassent maintenant sans vaisseaux spatiaux 'high techs'. Attendons-nous à des récits concernant des visiteurs arrivés plutôt par des tunnels de rayon très petit qui traverseraient l'univers d'un bout à l'autre. Plus besoin maintenant de prouver l'existence de super-machines. C'est toujours ça de moins.

L'auteur soulève aussi, je crois avec raison, que si l'on a mis dehors Dieu et les anges, plusieurs les ont néanmoins remplacés, consciemment ou non, par des "extra-terrestres civilisateurs" qui ont une "dimension proprement eschatologique"(2),(3); dimension exaltée en bonne partie par le cinéma des dernières décennies.

Des points communs avec une approche religieuse

Il faut reconnaître en effet qu'il y a énormément de ressemblances entre les expériences reliées au phénomène OVNI et d'autres expériences religieuses ou quasi-religieuses. Nous avons observé les similitudes suivantes:

Croire ou ne pas croire

On parle de croire et ne pas croire aux OVNI et aux extra-terrestres.
L'aspiration à une expérience rapprochée

Certaines personnes aspirent carrément à vivre une expérience rapprochée, avec contact; du type de celle du film "Rencontres du troisième type" (ou du troisième niveau ou degré) ou encore de "E.T. L'Extraterrestre". Dans ce dernier, plusieurs constataient dès la première version du film, un parallèle évident avec la personne de Jésus. Il guérit ses amis, meurt et revient à la vie, est enlevé au ciel et autres allusions du genre de ce qui relève de la sphère de la foi.

Selon Jean Robin, certains groupes de croyants des OVNI "se constituent en véritables petites Eglises, attendant avec une rare ferveur un messie extra-terrestre avec lequel (...) on s'efforce d'entrer en communication psychique"(4). Inutile de rappeler les tristes expériences du Québec et de la Suisse avec un Ordre d'adeptes, qui une décennie après l'article de Monsieur Robin, a fait la une des médias (fin des années '90). Nous croyons que s'il s'agissait là (espérons-le) d'un groupe extrémiste, cela n'en démontre pas moins l'existence d'une croyance moins radicale mais bien réelle. Il y a d'autres adhérents qui sans aller jusqu'à se réunir ou à s'immoler pour se rendre sur Sirius (ou ailleurs), nourissent quand même une aspiration cosmologique qui touche la sphère religieuse. La bannière du Nouvel-Âge renferme beaucoup de partisans en ce sens. Si cela vous paraît exagéré, sachez que le même auteur fait état d'un enseignement universitaire américain conduisant à un diplôme et traitant sur la manière de se comporter devant les extra-terrestres lorsque l'on en rencontrera.

Une hiérarchie parfois tirée de la Bible

On associe souvent à ce phénomène d'êtres extra-terrestres une hiérachie d'êtres célestes, plus ou moins directement tirée ou inspirée de la Bible. Cependant, corrigeons tout de suite. La Bible décrit les anges et anges déchus comme étant des esprits caractérisés entre autre par le fait qu'ils n'ont pas de corps permanent, et donc pas besoin de vaisseaux spatiaux pour se déplacer dans l'universde par leur nature même(esprits). De plus, la Bible associe clairement certaines visions des prophètes à des anges ou à la gloire de Dieu elle-même. Mais avec la relecture plus ou moins honnête, les anges et la gloire de Dieu deviennent des OVNI, la voix du Seigneur "Comme le bruit de grandes eaux" qui annonce un message verbal devient des moteurs, de sorte que bientôt, il n'y a plus de respect du texte biblique.

Le point de vue d'un investigateur des prétendues expériences rapprochées avec les E.T.

D'un second point de vue externe au Christianisme, Budd Hopkins est, dit-on dans le milieu, "le pionnier des études faites sur le phénomène d'enlèvement par des OVNIS"(5). Il a participé sur une base régulière à des émissions de télévision sur toutes les chaînes américaines. Celui-ci croit aux phénomène OVNI, et prétend avoir recueilli les récits de personnes qui disent avoir été enlevées. Or, voici ce qu'il déclarait en entrevue, en 1990: «Les événements relatés sont pour le moins très déplaisants, voire horrifiants» (6). Et plus loin, toujours au sujet de ces récits d'enlèvements : «Le nombre (...) qui vivent ces expériences et qui connaissent l'anxiété et la terreur est un côté horrifiant du phénomène»(7). Et encore en parlant de cette intelligence: «La froideur de l'intelligence OVNI (...) une technologie insensible, dépourvue d'émotions»(8).

Une leçon pour nous

Nous ne voulons appuyer ni ces dernières affirmations, ni la totalité des convictions personnelles d'un journaliste. Toutefois, il n'en demeure pas moins que nous avons présenté deux points de vue sans référence au Christianisme, mais deux points de vue qui vont sur ce point dans le même sens: Nous n'avons pas à rechercher ces choses-là.

Ajoutons: à quoi bon tirer la chasse sur le Christianisme pour le remplacer par quelque chose de mal défini, et en rien supérieur? Pourquoi ne pas chercher à s'approcher de Dieu par une simple prière: "Seigneur Jésus, si tu existes, je te veux dans ma vie. Je veux te connaître"?

Et si vous croyez aux E.T. ...

Alors vous croyez en quelque chose qui relève du domaine de la foi-croyance. Et malheureusement, pourtant plusieurs personnes refusent obstinément de croire en notre Dieu Créateur et Sauveur. Voyez-vous, la solution extra-terrestre ne règle rien. Et eux, d'où viennent-ils? Qu'y a-t-il avant eux? Vous accompagnent-t-ils dans votre expérience quotidienne?

Et ceux qui en ont vu?

Nous ne croyons pas en l'explication extraterrestre au sens d'êtres plus évolués que nous. MAIS nous ne disons pas que certaines personnes n'ont pas vu quelque chose. D'un autre côté, en plus de phénomènes physiques, beaucoup d'autres phénomènes spirituels pourraient expliquer ces choses. Vous vous en rendriez compte en lisant la Bible et en vous joignant à une Eglise (assemblée) de croyants chrétiens. La séduction spirituelle peut même se cacher derrière certains phénomènes. (Seconde épître aux Thessaloniciens, chap. 2, versets 10 à 12).

Voici un des passages qui pourrait bien faire penser à une description d'OVNI, mais observons ce qu'il implique comme décision de notre part aujourd'hui:

«et il vous donnera l'apaisement à vous qui souffrez, ainsi qu'à nous. Cela se passera quand le Seigneur Jésus apparaîtra du ciel avec ses anges puissants; il viendra dans un feu flamboyant, pour punir ceux qui ne connaissent pas Dieu et qui n'obéissent pas à la Bonne Nouvelle de notre Seigneur Jésus. Ils subiront comme punition une ruine éternelle, loin de la présence du Seigneur et loin de sa puissance glorieuse, lorsqu'il viendra en ce jour-là pour être honoré par tous ceux qui lui appartiennent et admiré par tous ceux qui croient...»
(extrait de la Bible; 2 Thessaloniciens 1:7-10).

mardi 23 mars 2010

Paque ?


Raisons pour lesquelles je ne participe pas à la Pâque moderne


La pâque est une fête juive, qui concerne le peuple de l’ancienne alliance, alors que nous sommes sous la nouvelle alliance. « Toute la communauté d’Israël l’immolera (l’agneau)…c’est la Pâque de l’Eternel ». Exode 12 : 1 à 17 + 43 à 51

Je ne dois pas apprendre les façons de faire des nations.
"Ainsi a dit l'Éternel: N'apprenez pas les façons de faire des nations; et ne craignez pas les signes des cieux, parce que les nations les craignent." Jérémie 10 : 2

Le Seigneur nous a laissé la sainte cène, afin de se souvenir de sa mort, pas un jour en particulier.
"Car toutes les fois que vous mangez de ce pain, et que vous buvez de cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne." 1 Corinthiens 11 : 26

La fête de pâques célébrée aujourd'hui n'a rien en commun avec ce que la Parole enseigne.
La pâque d'aujourd'hui est une fête catholique, donc du monde.
"N'aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est point en lui." 1 Jean 2 : 15

La pâques est une machine à argent.
"Car l'amour de l'argent est la racine de tous les maux; et quelques-uns en étant possédés, se sont détournés de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans les plus grandes douleurs." 1 Timothée 6 : 10

Ce qui entoure pâques provient du monde de l'occulte; œufs et cloches en chocolat, eau bénite, carême (la mort de Tamuz)…
"Et ne prenez aucune part aux oeuvres infructueuses des ténèbres, mais bien plutôt condamnez-les". Éphésiens 5 : 11

Je dois sortir du milieu d'eux.
"C'est pourquoi, sortez du milieu d'eux, et ne touchez point à ce qui est impur, et je vous recevrai." 2 Corinthiens 6 : 17

Je n'adore pas Dieu lors d'un jour particulier ou lors d'un rituel, mais plutôt en esprit et en vérité.
"Dieu est esprit, et il faut que ceux qui l'adorent, l'adorent en esprit et en vérité." Jean 4 : 2

La pâque célébrée aujourd'hui vient de l'homme.
"Maudit l'homme qui se confie en l'homme." Jérémie 17 : 5

Je dois être conforme à la vérité, pas au siècle présent.
"Je n'ai point de plus grande joie que d'apprendre que mes enfants marchent dans la vérité." 3 Jean 4. "Et ne vous conformez point au présent siècle..." Romains 12 : 2

La pâque moderne est remplie de mensonges.
"C'est pourquoi j'estime droits tous tes commandements, et je hais toute voie de mensonge." Psaume 119 : 128
Toute la loi a «été accomplie en Christ, Alléluia ! « …Christ notre Pâque a été immolé… » 1 Corinthiens 5 : 6 à 8

J'ai oublié le nom de l'auteur, mais je suis entièrement d'accord avec ces déclarations.

mardi 9 février 2010

L'évangile de la prospérité


L'Évangile de la Prospérité, une menace pour l'Église africaine.

La course vers la prospérité matérielle et la guérison divine est l'une des marques de notre temps. L'évangile de la prospérité envahit presque toutes les églises.
Cette Théologie qui draine tant de foules est-elle biblique ? Quelle est la pensée des Écritures sur la situation matérielle du croyant ? Un chrétien doit-il être nécessairement riche ?

L'évangile de la prospérité, qu'est-ce que c'est ?

"Vous êtes certainement familiers avec ce nouveau phénomène. Des chefs religieux promettent la guérison à tout le monde. Ils organisent des séminaires sur la guérison divine, passent sur les antennes de vos télévisions pour vous inviter à des prières pour obtenir la prospérité matérielle, promettent du travail aux chômeurs, des partenaires aux célibataires, des promotions aux travailleurs, le succès dans le ministère aux pasteurs, la stabilité aux couples, etc. Ce nouveau phénomène qui attire des foules en Afrique, c'est l'Évangile de la prospérité. Il gravite autour de trois éléments clés : la prospérité matérielle, la guérison divine et la confession positive".

IL n'y a pas une seule promesse de prospérité matérielle dans tout le Nouveau testament.

L'évangélisation du continent noir qui s'est accrue durant ces cinq dernières années charrie une erreur de taille. Il s'agit de la recherche inexorable de l'aisance matérielle. Un acharnement édicté par des évangélistes et pasteurs fervents défenseurs de l'évangile de la prospérité, selon lesquels un chrétien ne doit pas connaître la pauvreté encore moins la maladie. Car, "la théorie de la prospérité considère la maladie comme un manquement (péché) à l'égard de Dieu et de soi-même. En tant que croyant, il ne faut donc pas parler de maladie ni admettre son existence. Il faut par la foi déclarer la guérison au milieu de la douleur et de l'infirmité".

Cette conviction avec des dehors de leitmotiv est baptisée confession positive. Elle constitue l'une des
techniques de ces pasteurs endimanchés (à l'européenne), partisans de l'Evangile de la prospérité. Ces "hommes de Dieu" qui par leurs agissements, leur relecture erronée de la Bible distillent aux coeurs ouverts des fidèles africains des fausses doctrines. Ils aiment beaucoup les titres honorifiques et se font appeler "apôtre", "prophète", "pasteur", "révérend"...

Aujourd'hui, le pôle du christianisme s'est déplacé en Afrique. Le christianisme est aujourd'hui enregistré dans la liste des religions traditionnelles africaines. La formulation théologique doit prendre en compte tout le contexte, y compris notre situation de pauvreté".
"j'ai appris à me contenter de l'état oû je me trouve" Ephésiens 4 v 11 à 14.

Conclusion :
L'évangile de la prospérité est un faux-évangile. 2 corinthiens 11 v 2 à 4 + Galates 1 v 6 à 10.

mercredi 12 août 2009

L'origine des fêtes catholiques

Introduction

Le livre de la Genèse est notre livre d'histoire à tous puisqu'il relate les évènements qui sont la cause même de la situation dans laquelle se trouve notre monde actuel. La Bible, au chapitre 10 verset 8 de la Genèse, parle d'un homme, Nimrod (ce qui signifie : rebelle) qui fut le premier homme puissant sur la terre. C'est lui qui construisit et régna sur des villes, entre autre, Babel (ou : Babylone). L'histoire de l'Antiquité et diverses mythologies révèlent que cet homme, sa femme Sémiramis et son fils Ninus furent divinisés et devinrent des initiateurs d'une trinité (père, mère et enfant).

Les hommes furent ensuite dispersés sur toute la terre et formèrent les différentes nations, langues et races desquelles nous sommes issus aujourd'hui (Genèse 11, versets 1 à 9). Depuis, le culte babylonien s'est répandu sur toute la terre au cours des siècles ; bien que la forme ait quelque peu changé, le fondement est resté le même. Ses rites sont parvenus jusqu'à nous, en Europe, surtout par les civilisations égyptienne et grecque. Les "divinités" changèrent de nom et d'apparence selon la langue et la culture locale. Ces rites idolâtres et superstitieux sont la base même des traditions actuelles qui imprègnent les religions et en constituent leur véritable caractère.

La plupart de nos contemporains célèbrent les fêtes religieuses sans en comprendre le sens profond ; tout en croyant plaire à Dieu dans le respect de ces traditions, ils ne font qu'observer des pratiques idolâtres provenant d'un paganisme que Dieu réprouve : les uns honorant ces fêtes d'un cœur sincère n'en sont pas moins dupés, tandis que les autres profitent de ces occasions pour donner libre cours à leurs instincts les plus bas.

Les fêtes romaines issues de ce paganisme primitif sont nombreuses, mais il en est cinq parmi les plus importantes que nous voulons examiner ici : Noël, l'Annonciation, Pâques, la Saint Jean et l'Assomption. Chacune de ces fêtes a incontestablement une origine babylonienne.

• 1 / Noël

Pourquoi cette fête a-t-elle été fixée le 25 décembre ?
L'Ecriture Sainte ne mentionne aucun jour précis de la naissance du Christ. Elle n'indique même pas l'époque de l'année où il naquit. Par contre, il est certain que cette naissance n'a en tous cas pas pu avoir lieu le 25 décembre. En effet, la naissance du Christ s'est produite à l'époque du recensement : chaque personne devait se rendre dans sa ville natale. Beaucoup avaient une longue distance à parcourir à pied ou à dos d'âne, y compris femmes et enfants. Il est donc impossible que cela ait eu lieu en plein hiver.

Si l'on suppose que l'hiver n'est pas rigoureux en Israël, on doit se souvenir des paroles du Christ : "Priez pour que votre fuite n'arrive pas en hiver" (Matthieu 24 verset 20). Or, si l'hiver est une saison qui ne permet pas de fuir, elle est encore moins propice pour que des femmes et des enfants entreprennent de longs voyages ou, comme le dit encore l'évangile de Matthieu, pour que les bergers de Bethléem paissent leurs troupeaux dans les champs en pleine nuit par un froid rigoureux. Au contraire, c'est en plein été que les bergers gardent les brebis la nuit. La nuit où Jésus fut arrêté (au printemps), il faisait tellement froid, que les gardes et Pierre se chauffaient autour d'un brasero (Luc 22, versets 55 et 56).

Pourquoi et comment l'église romaine a-t-elle fixé cette date du 25 décembre pour fêter Noël ?
On a généralement cru que cette fête avait seulement une concordance astronomique puisqu'elle correspondait à la fin de la course annuelle du soleil et au commencement du nouveau cycle. Hormis l'époque de sa célébration, ce sont également toutes les cérémonies qui accompagnent cette fête qui prouvent son origine païenne. Noël a une signification beaucoup plus profonde que le simple symbolisme se rapportant au solstice d'hiver, mais c'était surtout l'anniversaire de la naissance du faux messie babylonien, le grand libérateur.

En Egypte, le jour du solstice d'hiver était célébré en l'honneur du fils d'Isis, titre égyptien de la reine des cieux.
Bien avant l'ère chrétienne, les païens célébraient une fête à cette époque de l'année en l'honneur de la naissance du fils de la reine de Babylone. Or, pour augmenter le nombre des païens adhérant de nom au christianisme, la même fête fut adopté par l'Eglise romaine.

Nombre de rites babyloniens ont leur similitude dans la fête de Noël :

• Les bougies qu'on allume la veille de Noël et qui doivent rester allumées pendant les fêtes correspondent au culte du dieu babylonien dont la naissance était célébrée dès la veille en illuminant ses autels.

• L'arbre de Noël qui est si commun dans nos traditions occidentales était également connu dans la Rome païenne. En Egypte, c'était un palmier symbolisant le messie païen. C'était un principe essentiel du système babylonien que le soleil ou Baal était objet favori du culte, incarnation du soleil.
On retrouve donc la signification de la bûche que l'on mettait au feu la veille de Noël et qui, le lendemain, était devenue l'arbre de Noël. Or, la bûche symbolise le tronc mort de Nimrod déifié en tant que dieu soleil, mais renversé par ses ennemis. L'arbre de Noël n'est donc rien d'autre que l'honneur rendu à Nimrod, le dieu mis à mort et rendu à la vie.

La branche de gui de la superstition druidique venait aussi de Babylone et représentait ce faux messie "homme branche", gage de la réconciliation entre Dieu et les hommes : cette branche divine venait du ciel, portée par un arbre qui, lui, sortait de la terre. En greffant la branche céleste sur un arbre terrestre, le ciel et la terre séparés par le péché se trouvaient alors réunis, réconciliés. De même l'oie de Noël (aujourd'hui la dinde) et les gâteux (bûches de Noël) étaient des éléments essentiels au culte babylonien tel qu'il était pratiqué en Egypte et à Rome. Il est donc clair que le christianisme s'est simplement approprié tous ces rites païens.

• 2 / L'Annonciation

La grande fête du calendrier romain qui suit Noël est l'Annonciation, et la date fixée pour cette fête confirme ce qui vient d'être dit. Cette fête se célèbre le 25 mars, en souvenir, dit-on, de la conception miraculeuse du Messie dans le sein de la vierge, le jour où l'ange vint lui annoncer l'honneur qui lui serait accordé d'être la mère du Sauveur du monde (Luc 1 verset 31). Mais qui peut certifier l'époque à laquelle cette annonce lui fût faite ? L'Ecriture ne nous donne aucune indication car cela a, en fait, peu d'importance. Ce jour, indiqué dans le calendrier papal comme étant l'annonciation de la vierge, existait bien avant la conception et la naissance du Christ. C'était, en effet, un jour de fête dans la Rome païenne en l'honneur de Cybèle, déesse romaine qui n'est autre que la mère du messie babylonien.

Il est d'ailleurs évident qu'il existe une relation étroite entre le jour de Noël et celui de l'annonciation. Entre le 25 mars et le 25 décembre suivant, il y a exactement 9 mois. Par conséquent, si le faux messie fût conçu en mars et naquit en décembre, peut-on croire un seul instant que la conception et la naissance du véritable Messie ait pu s'accorder aussi exactement avec ces deux dates, non seulement en ce qui concerne le mois, mais qui plus est pour le jour ? Qui pourrait croire à une telle probabilité ? C'est absolument impossible, ce qui prouve là encore que l'Annonciation et Noël sont donc bien des fêtes babyloniennes.

• 3 / Pâques

Les quarante jours de jeûne du carême ont été directement empruntés aux adorateurs de la déesse babylonienne. Le jeûne égyptien de quarante jours était expressément pratiqué en souvenir d'Adonis (ou Osiris), le grand dieu médiateur. Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection du dieu Tammouz, par des larmes et des réjouissances (voir Ezéchiel 8 verset 14). A l'origine, même à Rome, on ne connaissait pas le carême avec les orgies du carnaval qui le précédaient.

Lorsque le culte d'Astarté (nom cananéen de la déesse babylonienne Ishtar) devint prépondérant, on prit des mesures pour faire observer le jeûne chaldéen de 6 semaines (soit 40 jours) dans tout l'empire romain d'Occident. La voie fut préparée par le Concile tenu à Aurélia vers l'année 519, qui décréta que le carême serait solennellement observé avant Pâques. Les galettes chaudes marquées d'une croix le vendredi saint et les œufs coloriés figuraient dans les rites chaldéens, exactement comme ils le sont encore aujourd'hui en Occident. Le prophète Jérémie mentionne ce genre d'offrande quand il dit : "Les enfants apportaient du bois, les pères allumaient le feu, et les femmes pétrissaient la pâte pour offrir des gâteaux à la reine du ciel" (Jérémie 7 verset 18).

L'origine des œufs de Pâques est tout aussi claire. Les anciens druides portaient un œuf comme emblème sacré de leur ordre. Dans les mystères de Bacchus, tels qu'on les célébrait à Athènes, la consécration d'un œuf formait une partie de la cérémonie nocturne. La vraie Pâques est une fête juive célébrée le 14ème jour du premier mois du calendrier juif, au cours de laquelle un agneau était immolé, rôti et mangé.
Jésus est mort ce jour-là, en accomplissement des prophéties, et Il est ressuscité 3 jours et 3 nuits plus tard ; c'est à dire le 1er jour de la semaine (dimanche matin). Il n'y a pas de fête de Pâques dans le Nouveau Testament.

• 4 / La Saint Jean

Jean-Baptiste était né 6 mois avant le Sauveur. La fête païenne du solstice d'hiver ayant déjà été consacrée au jour de la naissance de Jésus, il fallait forcément fixer la date de son précurseur par rapport à cette date. Entre le 24 juin (solstice d'été) et le 24 décembre (solstice d'hiver), il y a exactement 6 mois. Les feux de la Saint-Jean où les jeunes et les vieux doivent marcher sur les cendres chaudes remontent jusqu'au premier des mortels qui a régné : Nimrod.

Si du temps des druides, on attendait des bénédictions du feu qu'on allumait en y faisant passer des jeunes gens et des vieillards ou du bétail, c'était simplement parce que l'on croyait purifier ainsi les souillures du péché inhérent à tous les êtres humains. Si Tammuz était le même dieu que Zoroastre, le dieu des anciens adorateurs du feu, et si la fête de ce dieu à Babylone correspondait si exactement à la nativité de Saint-Jean, quoi d'étonnant que cette fête soit encore célébrée par les feux de Baal et qu'elle présente encore une image si fidèle de ce que l'Eternel condamnait autrefois chez son peuple qui sacrifiait ses enfants en les immolant par le feu du dieu Moloc ? (Deutéronome 18 verset 10).

Quel homme, s'il connaît un peu l'Evangile, pourrait qualifier de "chrétienne" une telle fête ? Les prêtres de Rome, même s'ils ne l'enseignent pas ouvertement, trompent du moins leurs adeptes en leur laissant croire, aussi assidûment que le croyaient les païens adorateur du feu, que le feu peut purifier des souillures du péché. Beaucoup pratiquent cette tradition sans même connaître son origine, ni son sens véritable. Comment peut-on accepter la pratique de tels rites qui allaient alors jusqu'au sacrifice d'enfants innocents ?
Seul le sang de Jésus Christ nous purifie du péché (1ère lettre de Jean, chapitre 1, verset 7).

• 5 / L'Assomption

Il faut souligner que cette fête, instituée par la papauté, a été établie au XIXème siècle, qui a la réputation d'avoir été le siècle de lumière. Voici cette doctrine : la Vierge Marie, dit-on, n'a point connu la corruption et fut élevée au ciel où elle est maintenant, et en tant que co-rédemptrice.

Il n'y a pourtant aucun fondement d'une telle doctrine dans l'Ecriture Sainte. Quelle en est donc l'origine ?
Dans le système babylonien, c'était une fable déjà toute préparée. On y enseigne que le dieu Bacchus descendit en enfer, arracha sa mère aux puissances infernales et l'emporta avec lui en triomphe dans les airs. Cette légende s'est répandue partout où le système babylonien s'est implanté. La fête de l'Assomption est célébrée dans l'église romaine le 15 août. Or, lorsque la mère du messie païen fut célébrée à cause de cette "assomption", elle fut adorée comme l'incarnation de l'Esprit de Dieu. Elle fut considérée comme la source de toute sainteté, la grande purificatrice et naturellement, elle fut reconnue elle-même comme la mère pure et sans tâche. Ce n'est qu'en suivant dans ses conséquences logiques la doctrine païenne déjà adoptée et mélangée avec tout le système de Rome que ce décret a été lancé et que la madone romaine a été formellement appelée, dans le sens le plus complet du mot, "vierge immaculée".

Extraits du livre de Alexander Hislop « Les 2 Babylones ».

Peut-on encore douter que la madone de Rome avec l'enfant dans ses bras et la madone de Babylone ne soient qu'une seule et même déesse ?
Celle-ci n'a rien à voir avec l'humble jeune fille (Myriam ou Marie en français) qu'était la mère de Jésus. On sait fort bien que la madone romaine est un grand sujet de culte. La Parole de Dieu n'a-t-elle pas condamné dans les termes les plus énergiques la Babylone du Nouveau Testament ? N'a-t-elle pas déclaré que ceux qui participent aux péchés de Babylone participeront aussi à ses châtiments ? (Apocalypse 18 verset 4). Le péché d'idolâtrie est en général considéré comme une faute légère, mais ce n'est pas ainsi que Dieu lui-même le considère.
De tous les commandements, le second est accompagné des menaces les plus terribles par son effraction :

"Tu ne te feras pas d'image taillée ni aucune représentation des choses qui sont là-haut dans le ciel, ici-bas sur la terre et dans les eaux plus bas que la terre, tu ne te prosterneras pas devant elles et tu ne les serviras pas, car moi, l'Eternel ton Dieu, je suis un Dieu jaloux qui punis la méchanceté des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent et qui fait miséricorde jusqu'à mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements" (Exode 20 verset 4).

Ces paroles viennent de la bouche même de Dieu, elles ont été écrites par la main même de Dieu sur la pierre, non pas seulement pour la race d'Abraham, mais pour toutes les tribus et toutes les générations de la terre.
Dieu, dans le Nouveau Testament, ne demande nullement d'observer les fêtes, car toute la loi a été abolie en Jésus-Christ (Epitre aux Galates, chapitre 4, verset 10 et épitre aux Colossiens, chapitre 2, verset 16).

"Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et une vraie tromperie ; s'appuyant sur la tradition des hommes, sur les principes élémentaires du monde et non sur Christ. Car en Lui habite corporellement toute la plénitude de la Divinité. Vous avez tout pleinement en Lui qui est le chef de toute domination et de toute autorité". (Epitre aux Colossiens, chapitre 2, versets 8 à 10)

Par contre, Dieu attend de nous une confiance et une obéissance totale. Voici ce que l'apôtre Paul disait aux philosophes d'Athènes :

"Le Dieu qui a fait ce monde et tout ce qui s'y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n'habite pas dans des temples faits de main d'homme. Il n'est point servi par des mains humaines comme s'Il avait besoin de quoi que ce soit, Lui qui donne à tous la vie, la respiration et toutes choses. Il a fait que tous les hommes, sortis d'un seul sang, habitent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure… Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils ont à se repentir, parce qu'Il a fixé un jour où Il jugera le monde selon la justice par l'homme qu'Il a désigné (Jésus-Christ), ce dont Il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts" (Actes, chapitre 17, versets 24 à 31).

Cher lecteur,

Dieu vous invite aujourd'hui même à renoncer à toutes pratique inutile et trompeuse, à toute superstition, à toute idolâtrie, pour vous faire pénétrer dans la Réalité qui se trouve dans la personne de Jésus-Christ, le seul Seigneur.
Même si vous ne vous sentez pas concerné par ces choses, sachez que l'homme est religieux par nature, y compris les athées qui placent leur foi dans la science, la technologie, la politique, l'argent, … Il y a dans le cœur de l'homme un vide que Dieu seul peut combler.

Les religions sont terrestres, fondées par l'homme et donc impuissantes pour nous conduire au ciel. Le Salut, par contre, vient de Dieu, c'est Jésus le Vrai Messie. Il est l'unique remède à tous les maux de l'humanité. Il est mort pour nos péchés et Il est ressuscité. En Lui, nous avons le pardon de nos fautes et la Vie Eternelle qu'Il offre gratuitement à tous ceux qui l'acceptent. Alors, à vous de choisir !