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vendredi 29 septembre 2023

Un ancien guru devenu chrétien

Rabindranath Maharaj : “La mort d’un guru” (éd. Farel, 1992, p. 232) :

Hindouisme : Principale religion de l’Inde.

Elle contient des croyances si variées et si contradictoires qu’il est impossible de la définir. On peut être panthéiste, polythéiste, monothéiste, agnostique ou même athée et porter le nom d’hindou. 

Un hindou peut être moral ou amoral, croire au dualisme, au pluralisme, au monisme, être fidèle au temple ou dans l’adoration, ou bien ne pas du tout participer aux cérémonies religieuses.

L’hindouisme prétend inclure et accepter toutes les religions, mais la religion devient alors une partie de l’hindouisme. 

Le syncrétisme essaie d’assimiler la foi chrétienne à l’hindouisme, mais le Dieu de la Bible n’est pas Brahman, ni le ciel le nirvãna, ni Jésus-Christ une autre réincarnation de Vishnu.

Enfin, le salut par la grâce de Dieu, la foi en Christ mort pour nos péchés, et la résurrection, contredisent tout l’enseignement de l’hindouisme. »

L’auteur, descendant d’une longue lignée de prêtres et d’un guru Brahmane. Il pratiquait le yoga et méditait chaque jour pendant de nombreuses heures. 

Il eut connaissance de l’Evangile. Après une recherche difficile et bien des luttes, il reçut le pardon de ses péchés et devint disciple de Christ.

Dans le témoignage qu’il rend à son Sauveur, le frère Rabindranath Maharaj n’hésite pas à mettre les occidentaux en garde contre la séduction des religions orientales et, précisément, contre les méthodes de méditation si appréciées par les moines catholiques.

« La méditation en Orient (Méditation Transcendantale, Zen) est une technique qui permet à l’homme de se détacher du monde des choses et des idées (maya), en se libérant de toute pensée volontaire ou rationnelle. On est alors transporté dans des "états supérieurs de conscience." 

La méditation orientale a été rendue populaire sous différents noms en Occident. On la présente comme une technique de relaxation, mais son but est de faire prendre conscience à l’homme de son union avec l’univers. 

C’est la porte d’entrée vers le “néant” appelé aussi nirvãna. Elle conduit la personne à se livrer aux forces mystiques et cosmiques. »

Bernard Prunneaux

jeudi 9 novembre 2017

Le yoga



YOGA : Relaxation ou Manipulation de l’esprit ?



« … Au contraire, examinez toutes choses, retenez ce qui est bon, et gardez-vous de ce qui est mauvais, sous quelque forme que ce soit. » (1 Thessaloniciens 5 : 21-22) 

Au début du vingtième siècle, le Yoga pénètre en Occident, principalement en Amérique et en Europe. Depuis l'indépendance de l'Inde, un retour aux valeurs ancestrales traditionnelles donne un nouvel élan indien au Yoga contemporain. L’enseignement et la pratique du yoga n’ont cessé depuis de prendre de l’ampleur au sein de notre société occidentale. Avec l’arrivée des colonisateurs occidentaux aux Indes, puis leur retrait suite à l'indépendance indienne, le Yoga émigre et se transforme en Occident. 

La philosophie orientale autour du yoga commence alors à susciter un certain intérêt. Plus tard, sous l’impulsion et l’influence de groupes comme les Beatles qui se sont fort intéressés à la spiritualité orientale, la génération « hippie » de mai ’68 suit le mouvement et s’intéresse elle aussi à tout ce qui a trait au yoga et autres croyances issues de la spiritualité indienne. Aujourd’hui, le yoga est devenu une discipline à la portée de tous et bien présente dans notre société. 

Le yoga intéresse désormais pas mal de monde et jouit d’une forte publicité auprès des stars les plus en vue. Sur un important site web de sport : « Le yoga, une discipline en vogue. De Madonna en passant par le rockeur Sting et l’actrice Jennifer Aniston, les stars ne jurent que par lui. Si nos amis people en sont gagas, c’est sûrement parce que les bénéfices de cette ancienne pratique indienne sont indéniables. Avec tous ces exercices, vos préoccupations deviendront le cadet de vos soucis. » 

DÉFINITION 

Les différentes formes de yoga ont toutes leur origine dans l’histoire païenne de l’Inde antique sous l’influence de philosophes hindous qui recherchaient le contrôle total de leur propre corps, de leur âme, de leurs sentiments et de leurs pensées. Ils aspiraient à l’élévation de leur « moi » vers « l’Être suprême » qui en Inde est appelé Brâhma ou Inra, roi des dieux. Vous avez dit contrôle total ? 

1 Corinthiens 6 :19 «Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes? »
 Philippiens 2 :5 « Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus Christ.. » 

Les Vedas : livres « sacrés »… 

*védique : qui a rapport aux Vedas (livres sacrés de l'Inde écrits en sanskrit archaïque).
Les hindouistes n'ont pas de « livre sacré » mais bien des textes sacrés. L'ensemble de ces textes s'appelle Veda. Les Vedas sont les textes religieux les plus anciens du monde. Des chercheurs ont avancé diverses dates pour l'origine des Vedas, s'étendant approximativement de 5000 avant J.-C. à 1500 avant J.-C. Ils constituent un corps de référence pour tous les hindous. Les Vedas sont considérés comme Shruti (c'est-à-dire: «indiqué») par les Hindous. On dit que les Vedas ont été indiqués par Brahman (l'Esprit Suprême) aux sages, appelés rishis, tandis que ceux-ci étaient en méditation. Les idées exprimées dans les Vedas ont été tout d'abord transmises oralement, de père en fils et de professeur à disciple. 

Dans la vision hindoue traditionnelle, les Vedas seraient non personnels et sans commencement ni fin, ce qui signifie que les vérités décrites dans les Vedas seraient « éternelles » et qu'elles ne sont pas des créations de l'esprit humain. Du moins, c’est ce qu’ils prétendent.  

FORMES DE YOGA 

            1. Jñāna-Yoga : Yoga de la connaissance transcendante ;
            2. Bhakti-Yoga : Yoga de la dévotion et de l'adoration ;
            3. Karma-Yoga : Yoga du service et de l'action désintéressée ;
            4. Rāja-Yoga : Yoga codifié par Patañjali et procédant essentiellement par méditation (dhyâna).
A ces quatre voies, il faut ajouter le Kriyā-Yoga qui combine toutes les techniques du Yoga ( Hatha-Yoga, Kundalinî-Yoga, Tantra-Yoga, Yoga-Nidrā -sommeil- et autres ) que nous ne passerons évidemment pas toutes en revue par souci de brièveté. 

LE YOGA AUJOURD’HUI 

Pour une majorité d'occidentaux, le yoga se résume au Hatha-Yoga. Pourtant, non seulement ce n'est pas la seule forme de yoga, mais même, la forme proposée en Occident est très éloignée de ce qu'est réellement le Hatha-Yoga traditionnel. En effet, le Hatha-Yoga, traditionnellement, n'est pas une forme de gymnastique douce mais une voie spirituelle à part entière, une voie abrupte et dangereuse réservée à une élite d'individus prêts à brûler les étapes de la « Réalisation ». Dans le Hatha-Yoga, l’individu prend une position de gymnastique immobile. Pour l’indien, la pratique du yoga consiste à immobiliser son corps, sa respiration, et son mental de sorte à permettre à l’individu d’arriver à une libération radicale du cycle des réincarnations en ce monde. 

En Occident, le yoga le plus diffusé est le « Hatha-Yoga », une technique plus « light » qui vise à contrôler toutes les fonctions vitales de l’homme, de son corps, de son esprit et de son âme. Pour ceux qui le pratiquent, cette forme de yoga est inoffensive et ne servirait qu’à relaxer le stress, à aider l’homme à être en symbiose avec la nature et le monde qui l’entoure. Une façon de se garder en bonne santé physique et mentale, disent la plupart. Mais qu’en est-il réellement ? 

Depuis plus de 3000 ans, la pratique du yoga s’est transmise de génération en génération essentiellement de « maître » à élève. 

Contrairement à cette tendance ancestrale qu’a l’homme de vouloir parvenir à la sainteté par ses propres efforts et mérites, voici ce que nous révèle la Bible sur la seule source du salut de notre âme : 2 Timothée 1 :9 « C'est lui qui nous a sauvés et nous a appelés à mener une vie sainte. Et s'il l'a fait, ce n'est pas à cause de ce que nous avons fait, mais bien parce qu'il en avait librement décidé ainsi, à cause de sa grâce. Cette grâce, il nous l'a donnée de toute éternité en Jésus-Christ. » 

Ephésiens 2 :8 « Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. » 

*Réincarnation : doctrine hindouiste selon laquelle l’« esprit », l’« âme », la « conscience individuelle » s'accomplit au travers de vies successives dans différents corps (humains, animaux ou végétaux selon les croyances). Dans cette doctrine, à la mort du corps physique, l'« esprit » quitte ce dernier pour habiter, après une nouvelle naissance, un autre corps, ce qui permettrait à l'individualité de poursuivre ses expériences de vie et son évolution spirituelle ou morale.  

LA PRÉTENTION DU YOGA 

Le but ultime du yoga serait la quête d'une harmonie, d'une unité corps et esprit, le respect d'autrui, la paix et la non-violence. À priori, on pourrait presque se dire qu’en fin de compte le yoga répond à des besoins vitaux pour l’équilibre de l’homme et de la vie en société. Mais en tant que chrétiens, nous savons que nous n’avons jamais réussi à trouver la véritable paix de l’âme avant d’avoir ouvert notre cœur au Seigneur, et si les techniques du yoga y étaient parvenues, on l’aurait su depuis des siècles ! Bien au contraire, l’homme est aujourd’hui encore plus insatisfait qu’il ne l’a été dans le passé : 

Esaïe 59 : 8 « Ils ne connaissent pas le chemin de la paix, et le droit est absent des routes qu'ils empruntent. Les sentiers qu'ils se tracent sont des voies tortueuses : quiconque s'y engage ne connaît pas la paix. »
Jésus, Lui, ne nous a pas laissé le yoga mais : 

Jean 14 : 27 « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s'alarme point. » 

 Il n’a jamais été question que Dieu demande à l’homme de vider son esprit ou de s’appuyer sur sa propre intelligence pour trouver la paix, mais Il nous invite plutôt à nous décharger de tous nos soucis en la personne de Jésus-Christ : 

Ephésiens 4 : 17-25 «Voici donc ce que je vous dis, ce que je vous déclare au nom du Seigneur: vous ne devez plus vivre comme les païens, qui suivent leurs pensées vides de sens. Ils ont, en effet, l'intelligence obscurcie et sont étrangers à la vie que Dieu donne, à cause de l'ignorance qui est en eux et qui provient de l'endurcissement de leur cœur. Ayant perdu tout sentiment, ils se sont livrés à la dissolution, pour commettre toute espèce d'impureté jointe à la cupidité. Mais vous, ce n'est pas ainsi que vous avez appris Christ, si du moins vous l'avez entendu, et si, conformément à la vérité qui est en Jésus, c'est en lui que vous avez été instruits à vous dépouiller, eu égard à votre vie passée, du vieil homme qui se corrompt par les convoitises trompeuses, à être renouvelés dans l'esprit de votre intelligence, et à revêtir l'homme nouveau, créé selon Dieu dans une justice et une sainteté que produit la vérité. » 

Le maître à bord de notre vie ne doit donc plus être notre « vieil homme » ou notre « vieille nature humaine », mais le Seigneur Jésus. C’est un changement de programme tout à fait radical mais qui donne à l’homme la véritable paix de l’âme… 

Certains maîtres de yoga enseignent la technique « Mantra-Yoga ». Le mantra est soit une formule sacrée d'invocation* condensée, soit une série de syllabes assemblées en fonction de leur seule efficience magique, répétée de nombreuses fois suivant un certain rythme. Le but de sa pratique peut être la recherche d’un bienfait matériel ou spirituel. Le récitant s'accompagne souvent d'un mālā, sorte de chapelet comportant 108 grains et à l’aide duquel il récite mécaniquement le nom d’une divinité (sic). Plusieurs syllabes-germes peuvent entrer dans la composition d'un Mantra. Il existe différentes sortes de Mantras. Pour que ceux-ci soient opérants, « vivants », ils doivent être transmis par un Gourou qui en a tiré les fruits. 

*invocation : Action d'invoquer. Invocation à Dieu, à la divinité. Prier des puissances surnaturelles pour obtenir de l'aide. 

 « MANTRA-YOGA » : INVOCATIONS DE DIVINITÉS… 

            Les Mantras comportent aussi un sens ésotérique. Le méditant répète la formule mentale donnée au moment de l'initiation par son gourou. Il combine cette répétition, Japa, avec le contrôle du souffle. L'obtention des fruits escomptés nécessite un temps de répétition plus ou moins prolongé dans un climat intérieur de dévotion et de foi (?). 

Parmi les innombrables Mantras de l'Hindouisme, citons : 

- OM : symbole de l'Absolu, le Mantra des Mantras. - Om Namah Shivaya. - Om Namo Narayanaya. - Om Namo Bhagavate Vasudevaya. - Hare Rama Hare Rama Rama Rama Hare Hare. - Hare Krishna Hare Krishna Krishna Krishna Hare Hare. - Om Ram Jay Ram. 

Ce ne sont évidemment pas les seules formules connues de « prières mantra ». Il en existe plein d’autres et pas seulement dans l’hindouisme, mais aussi dans le bouddhisme, par exemple.
Les Tibétains utilisent beaucoup le Mantra : « Om Mani Padm e Hum Hri ».
 
Dans Sa Parole, Jésus nous montre une tout autre direction pour nous adresser à Dieu, sans récitations ni détours :
Jean 14 :13 « et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. » 

Matthieu 6 : 7 « En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s'imaginent qu'à force de paroles ils seront exaucés. »
Si, comme le dit la Bible, nous sommes convaincus qu’il n’y a rien de commun entre la lumière et les ténèbres (2 Corinthiens 6 :14), si nous sommes véritablement reconnaissants à Dieu de nous avoir arrachés des mains de Satan et des croyances qui nous ont tenu à l’écart de la communion avec le Seigneur, alors nous continuerons à suivre le conseil de la Parole : 

Actes 17 : 29 « Ainsi, puisque nous sommes ses enfants, nous ne devons pas imaginer la moindre ressemblance entre la divinité et ces idoles en or, en argent ou en marbre que peuvent produire l'art ou l'imagination des hommes. » 

Éphésiens 5 :8 « Autrefois vous étiez ténèbres, et maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur. Marchez comme des enfants de lumière! »
Matthieu 6 :24 « Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre; ou il s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon.” 

INCOMPATIBILITÉS IRRÉCONCILIABLES… 

Au-delà de la dimension profondément ésotérique et occulte dans laquelle la discipline du Yoga prend ses sources, il serait intéressant de considérer également les prises de positions très radicales de la part de ses plus fervents adeptes. Il ne s’agit pas ici de petites dissensions mais bien d’un esprit radicalement opposé à la seigneurie de Christ. 
 
Lisez plutôt :
" Je sais que les Beatles connaîtront le succès comme aucun groupe ne l’a encore connu. Je le sais très bien, car pour ce succès, j’ai vendu mon âme au diable. » John Lennon, leader vocal du groupe et fervent adepte de yoga, lors d’une interview à R. Coleman (en 1962). 

" Ils sont complètement anti-christ. Je veux dire que moi aussi je suis anti-christ, mais eux le sont tellement qu'ils me choquent !" (Derek Tylor, agent de presse des Beatles dans une interview au Saturday Evening Post, le 08/08/1964).       
  
Colossiens 2 :8-9 « Veillez à ce que personne ne vous dépouille de votre foi et ne fasse de vous ses prisonniers par une philosophie trompeuse et décevante. De tels enseignements s’inspirent de traditions de ce monde, tout humaines et élémentaires, et qui n’ont rien à voir avec Christ. Or c’est en Lui seul et en son corps que réside réellement et d’une manière permanente toute la plénitude de la divinité. » 

 LE YOGA : TRAIT D’UNION ENTRE RELIGIONS ET CROYANCES 

Le yoga possède des éléments communs aux croyances et religions orientales. On retrouve cette forte influence du yoga (connu sous le nom de « tantra-yoga ») principalement dans le bouddhisme (sous forme d’exercices spirituels, d’états de transe ou de méditation) et dans l’hindouisme auquel il se rattache. On retrouve également une forte influence du yoga et de ses pratiques de méditation dans les cultes païens de l’Egypte antique. La particularité du yoga est que sa pratique n’exige pas que tous les individus suivent un même et unique chemin. Cette idéologie plaît évidemment à tout le monde. 

Ce n’est pas une religion en soi mais plutôt une philosophie sans exclusive ; toutes les convictions, mêmes religieuses ou humanistes, peuvent y trouver leur compte. Raison pour laquelle il attire énormément d’individus aujourd’hui, selon que l’on soit croyant, agnostique ou même athée ! Contrairement aux religions et aux idéologies qui s’adaptent aux dictats humains, Jésus, Lui, affirme une fois encore une vérité qui va à contre-courant : 

Jean 14 : 6 « Je suis LE chemin, LA vérité et LA vie, personne ne va à Dieu le Père sinon par moi ».
JÉSUS : PRINCE DE PAIX… 

.           Le but recherché de cette étude n’est pas de casser du sucre sur la foi ou la croyance d’autrui, mais elle se veut une exhortation pour les chrétiens à rechercher la véritable communion avec Christ à travers laquelle chaque personne peut expérimenter une paix de l’âme qui va bien au-delà de toute forme de bien-être éphémère. Nous ne pouvons pas fermer les yeux sur les profondes réminiscences de spiritualités orientales à partir desquelles le Yoga s’est développé et dans lesquelles il puise sa raison d’être. 

Que l’on soit chrétien ou non, qu’on le pratique en tant que sport ou en tant que discipline de l’esprit, fort est de constater que le Yoga ne peut être pratiqué et dissocié de sa source d’inspiration occulte. En tant qu’enfants de Dieu, nous n’avons plus besoin de recourir à des pratiques ambigües qui pourraient à nouveau nous lier de près ou de loin à des autorités spirituelles ennemies de Christ.
Colossiens 2 : 10 : et c’est par Lui (Christ) que vous avez tout reçu pleinement, lui qui domine toute autorité et tout pouvoir spirituels. 

Romains 15 :13
Que le Dieu de l'espérance vous remplisse de toute joie et de toute paix dans la foi, pour que vous abondiez en espérance, par la puissance du Saint Esprit! 

Philippiens 4 :7 

Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus Christ.
Il est étonnant de constater le nombre de fois dans le Nouveau Testament où le nom de Jésus est associé à la « paix ». Et c’est pourtant ce que la plupart recherchent dans ce monde à travers la pratique du yoga : quelque chose ou quelqu’un qui puisse réussir à apaiser l’agitation de leur esprit… À vous qui lisez peut-être cette étude et qui avez déjà sans doute essayé le yoga dans l’espoir d’apaiser vos angoisses, cette parole de Dieu vous est adressée : 

Et à celles et ceux qui douteraient encore de la nécessité de se garder de tout mal et de toute apparence de mal, ou qui pensent que le yoga n’a rien d’offensif pour l’esprit : 

1 Thessaloniciens 5 : 23 « Que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entiers, et que tout votre être, l'esprit, l'âme et le corps, soit conservé irrépréhensible, lors de l'avènement de notre Seigneur Jésus Christ! » 

Calogéro Fanara 



mardi 13 mai 2014

L'hindouisme est-il pacifique ?

La « paisible » religion orientale

Les nouvelles quotidiennes peuvent nous laisser l'impression que le terrorisme et la tyrannie sont du ressort exclusif de l'islam. De même, on peut être amené à penser que les religions orientales sont particulièrement aimables et tolérantes, personnifiées par le bien-aimé et omniprésent dalaï-lama. Mais si on regarde l'Asie de plus près, l'histoire est très différente. Certes, les chrétiens de Delhi et de Bangkok courent moins de risques que ceux de la Mecque et de Mogadiscio, mais à l'ombre des Bouddha et le long du Gange, il y a beaucoup de violence religieuse.

Actuellement, les hindous de l'Inde sont particulièrement susceptibles. Le 28 janvier 2007, une quarantaine d'hommes masqués attaquèrent les participants d'une réunion de prière chrétienne dans la région de Bihar. Ils battirent les assistants avec des bâtons et des tuyaux en fer, et ils leur intimèrent l'ordre de cesser de se réunir.1

 Des pasteurs isolés ont été les victimes de corrections dans des rues des États de Madhya Pradesh et de Karnataka,2 tout comme des laïcs qui avaient distribué des tracts à Maharastra ainsi que du personnel enseignant et des écoliers d'Orissa. Souvent, les agresseurs sont des membres du Bajrang Dal, la branche des jeunes du Conseil mondial hindou, et dans bien des cas, le prétexte est la vengeance pour des « conversions forcées » au christianisme.3 Évidemment, les chrétiens ne sont pas les seules cibles des extrémistes hindous, qui sont suspectés d'avoir, le 19 février 2007, bombardé mortellement un train qui allait vers le Pakistan, dans lequel 70% des passagers étaient des Pakistanais musulmans, pour un motif vraisemblablement davantage politique que religieux.4

Les hindous font également preuve de violence envers certains membres de leur famille : les filles en gestation. Comme il faudra un jour les pourvoir d'une dot, ils les considèrent comme un fardeau. Comme le prétend un célèbre dicton hindou, « avoir une fille, c'est planter une graine dans le jardin de quelqu'un d'autre. »5 Et bien que l'« avortement basé sur le sexe soit illégal… les experts estiment que l'Inde a perdu 10 millions de filles au cours des vingt dernières années.
Pendant les 12 ans qui ont suivi l'interdiction légale de l'avortement sélectif, seul un médecin a été reconnu coupable d'avoir perpétré ce crime. »6 Le résultat est un désastreux déséquilibre entre les sexes. Par exemple, d'après le recensement de 2001, dans l'État d'Hariana, on n'a compté que 820 filles pour 1000 garçons. Dans l'un des districts, quarante pour cent des hommes de quinze à quarante-cinq ans ne sont pas mariés. Tel est le résultat de l'industrie de sélection sexuelle, qui se monte à 100 millions de dollars, de la nation.7

L'oppression peut prendre de multiples formes. Par exemple, l'État d'Himachal Pradesh a institué une loi anti-conversion,8 et dans Madhya Pradesh, des hindous militants ont pris d'assaut un bureau gouvernemental d'enregistrement des mariages, parce qu'ils croyaient à tort qu'une femme hindoue allait épouser un chrétien.9 Mais les hindous ne sont pas les seuls à maltraiter les chrétiens ; les bouddhistes le font aussi. À Myanmar, « la persécution contre les chrétiens a pris la forme d'incendies d'églises, de conversions forcées à la religion d'État (le bouddhisme) et d'exclusion des chrétiens des écoles. »10 De plus, « les enfants de familles chrétiennes sont soustraits à leurs parents et placés dans des monastères pour devenir des moines novices, sous le faux prétexte d'envoyer les enfants là où ils recevront une bonne éducation… Les chrétiens sont également forcés de contribuer financièrement à des projets bouddhistes. »11

Toutefois, au sein de l'oppression, les chrétiens de l'Asie du sud ont des sujets d'encouragement ; par exemple, ils assistent à la conversion de nombreux dalits (autrefois appelés « intouchables ») en Inde. Bien que la discrimination à l'encontre des dalits ait été interdite par la loi en 1947, ceux des « castes supérieures » refusent toujours de boire de l'eau des mêmes puits et continuent à leur assigner « les tâches les plus subalternes, en particulier, le transport des cadavres et des excréments humains et animaux. »12 Ces 167 millions de personnes (16,2% de la population de l'Inde) ont entendu leurs « frères » hindous leur dire que leur état inférieur est à proprement parler une question de naissance, l'aboutissement du karma dans leurs nombreuses réincarnations.

13 Il n'est pas surprenant que ces « intouchables » soient disposés à entendre l'Évangile d'un Seigneur qui considère comme égaux « les Juifs et les Grecs » de toutes les positions économiques et sociales. Et bien que les hindous soient extrêmement ulcérés par ces conversions, ils vont peut-être commencer à remarquer que ces nouveaux enfants du Prince de la Paix sont des voisins admirables et serviables — et leur laisser droit de cité, voire même les écouter respectueusement.

samedi 26 décembre 2009

Le nouvel àge


Comment est organisé le Nouvel Age aujourd’hui?

Le Nouvel Age n’a pas une organisation centrale. Il s’agit d’un courant dont la structure rappelle celle des premiers chrétiens et qui fonctionne par réseaux.

Il m’apparaît assez clairement que l’Ennemi a tiré les enseignements de l’histoire du christianisme pour n’en retenir que les bonnes idées et abandonner les erreurs commises.

Le Nouvel Age se propage souvent par la révélation d’esprits guides. En divers endroits du globe, de nombreux ouvrages sont littéralement dictés par ces esprits. Un exemple parmi tant d’autres: le “Cours sur les miracles”, dicté à une infirmière aux USA; déjà traduit en de nombreuses langues, il fait l’objet de séminaires pour comprendre en comprendre l’esprit et la lettre.

Certes, il existe une part de charlatanisme, car les ouvrages et les séminaires constituent une activité très lucrative. Pourtant, un certain nombre de phénomènes, liés aux esprits guides, sont tout simplement d’origine démoniaques.

Lors d’une émission “Temps Présent” sur le Nouvel Age (Télévision Suisse Romande), à laquelle j’étais invité, nous avons visionné une séquence relatant une séance de communication entre un médecin genevois et un esprit guide. Alors qu’il appelait l’esprit, il s’est produit l’opposé d’une délivrance. Les manifestations démoniaques (rictus, déformation du visage, convulsions, voix bizarre etc.) N’ont pas cédé la place à la paix profonde de la présence de l’Esprit Saint mais c’est le contraire qui est arrivé, un peu comme dans un film qui se déroule à l’envers.

Peut-on dès lors parler de bons et de mauvais esprits dans le Nouvel Age ?

Pour les adeptes de ce courant, la dualité entre le bien et le mal n’existe pas vraiment. A l’image du yin et du yang, chaque phénomène comporte deux faces.

Toutefois, l’adepte de l’ésotérisme Alan Cardec a avoué que certains esprits pouvaient être dangereux! J’espère que cela donnera à réfléchir aux adeptes du Nouvel Age. En revanche, dans la littérature de ce courant, ce qui est présenté comme vraiment mauvais, c’est le judéo-christianisme! Il est considéré comme la source de tous les maux de l’Occident, pour ne pas dire de la terre entière, et accusé d’avoir travesti la vérité sur le monde spirituel.

Certains vont jusqu’à affirmer que le serpent serait le créateur dont l’image serait la double hélice de l’ADN (deux serpents entrelacés). Après avoir absorbé des boissons hallucinogènes, de nombreux Indiens sud-américains affirment parler avec l’ADN des plantes. C’est de cette manière qu’ils découvrent des médicaments tellement efficaces que les grandes firmes pharmaceutiques les analysent pour les reproduire en synthèses chimiques.

Les esprits dont il est question dans les différentes pratiques du Nouvel Age doivent-ils donc être considérés comme dangereux?

Oui, et de nombreux témoignages le confirment. Par exemple, le récit d’une jeune fille qui a eu les bras paralysés trois jours durant après avoir voulu parler avec l’esprit d’un arbre. Cela se déroulait lors d’une “semaine nature”, dans le cadre de sa formation d’institutrice !

Comment, au vu du sombre tableau que vous dressez, peut-on expliquer le succès du Nouvel Age?

Le Nouvel Age a rappelé à l’humanité rationaliste et athée l’existence du monde spirituel. Mais comme nous le rappellent Col. 1, 16 et 2, 15, si Dieu a créé le visible et l’invisible, donc aussi les êtres spirituels, une partie d’entre eux se sont détournés de Dieu et par là même des tâches qui leur incombaient. L’Apocalypse nous suggère que le tiers des anges créés feraient partie de ces hiérarchies sataniques (Apoc. 12, 4).

Que conseillez-vous à celui qui s’est plongé dans ces pratiques et qui réalise ce qu’il lui arrive?

Je lui suggère de revenir sérieusement à la Bible, Parole de Dieu, et non la Bible relue et corrigée par certains philosophes et théologiens libéraux; revenir également au Père, au Fils et au Saint-Esprit;

· au Père, créateur du ciel et de la terre ainsi que du monde vivant, et non pas à la déesse Gaia considérée aujourd’hui comme la déesse de la terre mère ;

· au Fils, Jésus-Christ de Nazareth, mort et ressuscité, et non au Christ cosmo-centrique du Nouvel Age souvent décrit sous les traits du Maîtreya;

· au Saint-Esprit, souffle de Dieu envoyé par le Père et le Fils et non à l’énergie vitale et cosmique du Nouvel Age. Je conseille aussi à l’ex-adepte de se lier à des chrétiens sérieux.

Si l’ex-adepte souffre depuis lors de troubles graves de la personnalité ou de phénomènes paranormaux dans son habitat, etc., il faut qu’elle prenne contact avec des chrétiens capables de discernement et de prières d’autorité au nom de Jésus.

Pourquoi vous êtes-vous intéressé au Nouvel Age en tant que pasteur ?

Très tôt, j’y ai discerné les prémices de la religion mondiale antichristique.
A l’image d’un fleuve, son courant principal du Nouvel Age a pris un essor important dans les années 70, au travers du phénomène de la contre-culture en Californie.
Timothy Leary en a été l’un des prophètes. La consommation massive de LSD a ouvert “une voie nouvelle” appelée la quatrième dimension. Sciences et religions classiques (surtout le judéo-christianisme) auraient privé l’humanité de la vraie connaissance du monde spirituel. En francophonie, c’est au milieu des années 80 que le livre de Marilyn Ferguson “Les enfants du verseau pour un nouveau paradigme” a répandu le Nouvel Age à l’image d’un incendie dans une fabrique de feux d’artifices selon les termes de l’auteur. C’est à partir de 1990 que l’ensemble des médias a abondamment parlé du Nouvel Age.

A partir de l’expérience de “la quatrième dimension”, les adeptes du Nouvel Age ont cherché à expliquer et surtout à reproduire de telles expériences au travers des psychotechniques pour passer, comme ils l’ont dit, du LSD à la psychosynthèse (modification de la conscience et du potentiel humain par une multitude d’exercices et de pratiques inspirés par une spiritualité souvent orientale, voire même franchement occulte). Certains “new agers” se sont regroupés en communautés telles que celle d’Esalen de Big Sur, en Californie, ou encore celle de Findhorn, en Ecosse. Ils ont cherché à expliquer la quatrième dimension en s’appuyant sur la nouvelle physique (physique quantique) ainsi que sur certains concepts spirituels orientaux, notamment ceux du taoïsme.

Un exemple frappant est la récupération du prix Nobel de physique et de chimie (1977) Ilya Prigogine pour sa découverte de la théorie des structures dissipatives (transformation de la matière sous certaines conditions). Soumise au stress, la matière pourrait se réorganiser en un niveau supérieur d’énergie. Le chercheur israélien Aharon Katchalski, spécialiste mondial des recherches sur le cerveau, avait affirmé que le cerveau était le lieu idéal pour l’application de cette théorie. Convaincu d’un proche saut évolutif de l’humanité, il n’en fallait pas plus pour rêver! Le physicien Fritjof Capra a écrit un livre très répandu, “Le Tao de la physique” (synthèse de la physique quantique et de concepts spirituels orientaux comme matériaux de base pour la transformation de l’humanité). Cet ouvrage, ainsi que celui de Marilyn Ferguson (entre autres) ont convaincu des millions de personnes que nous allions vers des temps nouveaux (l’âge du Verseau) qui verraient l’avènement d’un nouvel être humain littéralement divinisé.

Notons en passant qu’un des affluents principaux du fleuve du Nouvel Age provient de l’astrologie, qui nous annonce le début de l’âge du Verseau pour les environs de l’an 2000. Age de paix, d’harmonie et de bonheur. C’est aussi là l’occasion d’affirmer que l’ère du christianisme touche à sa fin.

Malgré des indexes d’auteurs très fournis, les livres de Marilyn Ferguson et de Fritjof Capra ne soufflent mot d’Alice Bailey, Benjamen Creme ou David Spangler, grands représentants de la tradition parallèle. Cette tradition existe depuis des milliers d’années mais surtout depuis le début du christianisme et a toujours voulu révéler à l’humanité les vérités sur le monde spirituel au travers de cercles ésotériques, gnostiques, occultes, etc. Ce courant veut opérer la synthèse des différentes religions et courants spirituels.

Aux USA, il y a d’abord eu le courant “des transcendentalistes” au milieu du XIXe siècle, suivi de la fondation de la Société Théosophique par Helena Petrova Blawatski en 1875. La troisième présidente de ce mouvement, Alice Bailey (1880-1949), fondatrice de l’Ecole Arcane est devenue, à mes yeux, la véritable prophétesse du Nouvel Age. Elle a écrit un ouvrage en deux volumes “L’état de disciple dans le Nouvel Age” sous la dictée d’un esprit-guide nommé Djawhal Kuhl. Ce dernier, grand esprit de la Fraternité Blanche Universelle, aurait révélé à Alice Bailey l’existence d’une hiérarchie de maîtres spirituels qui dirigeraient l’humanité de façon secrète. Djwhal Kuhl aurait été lui-même l’interprète céleste de cette hiérarchie, afin de dicter à Alice Bailey le Plan qui devrait conduire l’humanité dans l’âge du Verseau. Le livre commence par une prière, “la grande invocation”, censée remplacer le “Notre Père”. Cet ouvrage affirme que le véritable Christ (cosmocentrique) - le Maîtreya, va bientôt s’incarner.

Benjamen Creme et David Spangler seraient les prophètes de ce Christ cosmocentrique. Pour Benjamen Creme, le Maîtreya vivrait déjà à Londres et se révélerait bientôt au monde entier par télépathie. Avec Alice Bailey, nous avons passé du spiritisme classique (dialogue avec les morts) au channeling du Nouvel Age (dialogue avec les esprits-guides, appelés aussi parfois les anges gardiens).

Les médias utilisent moins le terme de Nouvel Age. Cependant, les pratiques et les enseignements se répandent plus que jamais au travers d’une multitude de séminaires et d’écrits.

Au début des années 90, une faculté de l’“Université du Temps Présent” a été créée à Neuchâtel. Sa première présidente est Andrée Fauchère, auteur du livre “Il est vivant”, dicté par l’esprit de son mari, un guide valaisan décédé au cours une expédition dans l’Himalaya dans les années 80.
En 1991, la ville de Mulhouse a été décrétée première ville du Nouvel Age à l’occasion du premier festival “pour la défense de la terre, de l’homme et de l’univers”.
En 1999, deux millions d’adeptes du Nouvel Age étaient attendus à l’occasion de l’éclipse solaire du 11 août à Cornouailles, en Angleterre.

Les différentes éditions du salon “Mednat” (Médecines naturelles), qui a lieu chaque printemps à Lausanne, font en réalité la part très belle aux écrits et pratiques du Nouvel Age.
Il existe de nombreuses rencontres intitulées “Groupes de prière” fondés par Maguy Lebrun (plus de 300 groupes en France, une vingtaine en Suisse romande). Chaque groupe est constitué de dix à quinze personnes; chacun invoque sa divinité, après quoi, en appelant les esprits guides, on passe à l’imposition des mains pour la guérison physique et spirituelle.

Il existe une multitude de séminaires où l’on apprend à entrer en contact avec les esprits guides. La mouvance du Nouvel Age implique généralement la “foi” en la réincarnation. Par des “régressions spirituelles”, les esprits guides sont interrogés pour connaître les éventuelles conséquences de vies antérieures sur la vie actuelle. L’énergie cosmique joue aussi un rôle fondamental; tous nos maux seraient provoqués par un manque d’harmonie entre notre énergie personnelle et l’énergie cosmique. Il est utile de préciser que je n’ai jamais rencontré la moindre référence au Saint-Esprit.

Très souvent, le judéo-christianisme est pris à partie comme étant le plus grand obstacle à l’avènement du Nouvel Age. Jésus a dit: “Je suis le chemin, la vérité et la vie” (Jean 14, 6). Or, le Nouvel Age se veut être la synthèse de toutes les vérités. Il importe à ce titre de préciser que les “new agers” ont surtout lu la Bible à travers les théologiens libéraux adeptes d’un christianisme plutôt rationaliste. Il est vrai qu’une fois l’Ecriture épurée de tout ce qui choque la raison, je peux comprendre que cette Bible-là n’ait plus grand chose à dire à ceux qui désirent sincèrement renouer avec le monde spirituel. Pourquoi avoir classé au rang de mythologie les expériences de Paul (II Cor. 12), de l’apôtre Jean dans l’Apocalypse et de tant d’autres récits qui nous relatent des relations très claires entre le monde spirituel et les humains (Es. 6 ; Dan. 10; Zach. 3).

Le judéo-christianisme est accusé principalement d’avoir fait de l’homme le centre de la création de Dieu, alors que le Nouvel Age porte ce centre sur la Vie (monde spirituel, monde matériel, monde vivant formant un tout indissociable). En ce sens, il n’est plus question d’un Créateur. La Bible est rectifiée par des écrits comme “l’Evangile ésotérique de St Jean de Paul Le Court”, exemple parmi d’autres d’une réinterprétation New Age des textes bibliques. Jésus ne serait pas juif, mais gaulois! Ce n’est pas la première fois que l’on trouve des formes ouvertes d’antisémitisme dans ce courant. Dans une conférence donnée aux sœurs de Grandchamps dans les années 90, le chercheur et spécialiste des sectes Jean-François Mayer, de l’Université de Fribourg, a affirmé avoir lu des phrases telles que “Il faudra que les judéo-chrétiens se rallient de gré ou de force au Nouvel Age”.

William Booth, fondateur de l’Armée du Salut, a écrit à la fin du siècle passé: “Le plus grand danger du vingtième siècle sera une religion sans Saint-Esprit, des chrétiens sans Christ, le pardon sans repentance, le salut sans nouvelle naissance, la politique sans Dieu et un ciel sans enfer.”

Seul un retour à la Bible permettra à beaucoup de personnes d’éviter la séduction de la religion antichristique qui se prépare au travers du Nouvel Age.

jeudi 25 septembre 2008

L’IDOLATRIE

Deutéronome chapitre 6 verset 8 :

"Tu ne feras pas d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, en bas sur la terre et qui sont dans les eaux plus bas que la terre".
Quand l'homme perd la notion du vrai Dieu, il a un vide intérieur et il est obligé de se faire l'image d'une divinité. Même les athées (sans dieu) sont religieux malgré eux, et idolâtrent un être ou de la matière. Cela se passe dans le cœur (zone le plus profonde et ignorée de nous-mêmes), puis dans la pensée et finalement se concrétise par une représentation sous une forme ou une autre. L'homme peut alors tomber dans I'idolâtrie la plus grossière, la cause première étant d'avoir perdu l'image de Dieu.

La Bible nous dit que Jésus-Christ est l'Image du Dieu invisible (Colossiens chapitre 1, verset 15). Nous n'avons pas d'autre image à adorer, nous n'avons pas d'autre intermédiaire, pas d'autre médiateur, que Jésus-christ seul. Mais attention, nous ne devons pas vénérer une forme de Jésus-Christ, car nous n'avons aucune description physique de lui. Par exemple, si nous prions en nous faisant une représentation mentale de quelqu'un, cette "image" devient une idole. Les films, les dessins, les tableaux peuvent nous influencer, surtout enfant.
L'image que nous avons du Seigneur Jésus, donc de Dieu, est une image spirituelle et morale. Jésus a dit : "Celui qui m'a vu, a vu le Père", et donc, lorsque nous rencontrons Jésus-Christ, nous rencontrons le Père qui se révèle par le Fils.

Deutéronome chapitre 5, verset 9 :
"Tu ne te prosterneras point devant elles, tu ne les serviras pas, car moi, l'Eternel ton Dieu, je suis on Dieu jaloux".

Voici une liste de représentations que les idolâtres vénèrent et devant lesquelles ils se mettre à genoux, ou se prosternent :

- Statues, crucifix, icônes, symboles, photos...

- des hommes ou des femmes, chacun peut avoir son idole : sportif, philosophe, politicien, enfant, pape, gurus, acteur, chanteur... Il y a un nombre important de chanteurs et de groupes musicaux qui ont fait un pacte avec le diable ou qui ont été initiés dans une secte occulte. Par leur musique et les paroles qu'ils prêchent, ils incitent leurs fans à se livrer à Satan. Ceci est particulièrement flagrant dans le Hard-Rock, le black-métal...

- des anges ou des saints : croire qu'on ne peut pas s'adresser directement à Dieu mais qu'il faut passer par des intermédiaires qu'on peut invoquer en cas de besoin. Saint Antoine, Saint Joseph, Saint Pierre etc... plus tous les saints "locaux".

- Satan ou des démons : parler avec le diable, l'adorer, faire un pacte avec lui, ou bien encore vendre son âme au diable, faire des messes noires.

Les esprits se manifestent sous toutes sortes d'apparences. Pour les religieux, cela peut être la Vierge, Krishna, et pour les "durs", c'est sous une apparence de bouc, de serpent, de dragon... mais pour les enfants ce sont des formes plus gentilles telles que les fées, les lutins, le père noël... ainsi que 1es héros de dessins animés et de bandes dessinés.

Selon les goûts et les ages, le diable a un échantillonnage d'idoles qui correspondent au besoin de chacun. Les enfants ont besoin de merveilleux, c'est normal et cela vient de Dieu qui est le seul vraiment merveilleux. Quand on leur raconte des histoires de la Bible, quand on leur parle du ciel et surtout du Seigneur Jésus, cela satisfait leur besoin de merveilleux.
Mais les parents qui ne connaissent pas Dieu sont évidemment obligés de raconter à leurs enfants toutes sortes de fables, de contes ou de légendes. Alors on leur donne des idoles pour remplacer le Seigneur Jésus, par exemple le père noël...
Les enfants lui font des prières et lui écrivent des lettres. Et ce sont les parents qui inculquent cela à leurs enfants! Non seulement ils leur mentent et perdent ainsi leur confiance, mais ils les entraînent dans l'idolâtrie.

- la Vierge (la Madone ou Notre-Dame de ceci ou cela…) : parfois considérée comme co-rédemptrice et médiatrice. Certains la vénèrent, d'autres 1a prient seulement (ave maria, rosaire neuvaines, pèlerinages sur les hauts-lieux...)
- la nature : pour certains, c'est la nature dans son ensemble, pour d'autres, ce sont certaines choses telles que la lune, le soleil, les étoiles, les arbres, le feu, 1'eau, les animaux... La Bible dit "ils ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur" (Romains 1:25 ).

- l'argent : La Bible dit que la cupidité (amour de 1'argent) est une idolâtrie (Colossiens 3 : 5).
- le corps : Ceux qui s’y adonnent ne vivent que pour lui.
- le sexe ; Ils ne pensent qu'à cela, c'est une obsession. Les films et les livres pornographiques ont beaucoup de succès ainsi que les blagues obscènes. Toutes ces choses nous souillent.
Certaines passions peuvent aussi devenir des idoles auxquelles nous pouvons sacrifier notre santé, notre famille ou notre vie : Travail, sport. musique, moto, voiture, maison, nourriture...

Dieu est jaloux parce qu'il nous aime et s1 l'on veut s'unir à d'autres esprits que lui, on se prostitue (c'est 1e terme qui est employé par les prophètes). Et si on se prostitue, celui qui devrait être notre époux légitime, c'est-à-dire notre Créateur, est Jaloux. Dieu nous aime tout en étant juste, et il ne laisse pas le péché impuni. Ce commandement a quelque chose de particulier par rapport aux autres, car sa transgression entraîne des conséquences sur la descendance.

Lévitique 26:1 :
Vous ne vous ferez point d’idoles, vous ne vous élèverez ni image taillée ni statue, et vous ne placerez dans votre pays aucune pierre ornée de figures, pour vous prosterner devant elle, car je suis l’Éternel, votre Dieu.

Deutéronome 4,15 à 17 :
Puisque vous n’avez vu aucune figure le jour où l’Éternel vous parla du milieu du feu, à Horeb, veillez attentivement sur vos âmes, de peur que vous ne vous corrompiez et que vous ne vous fassiez une image taillée, une représentation de quelque idole, la figure d’un homme ou d’une femme, la figure d’un animal qui soit sur la terre, la figure d’un oiseau qui vole dans les cieux,

Deutéronome 27:15 :
Maudit soit l’homme qui fait une image taillée ou une image en fonte, abomination de l’Éternel, oeuvre des mains d’un artisan, et qui la place dans un lieu secret! Et tout le peuple répondra, et dira: Amen!

L'HEREDITE

Deutéronome chapitre 6, versets 9 et 10 :
"Je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur leurs enfants jusqu'à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fait miséricorde jusqu'en mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements".

Les patriarches avant de mourir appellent leurs fils et par ordre de naissance, leur imposaient les mains en leur léguant leur héritage. Mais il ne s'agissait pas seulement des biens matériels. Pour ceux qui connaissaient le Seigneur comme Abraham, Isaac et Jacob, il y avait quelque chose de beaucoup plus important que cela :

C'était l'héritage spirituel, la promesse de l'Eternel. En imposant les mains à leurs enfants, ils les faisaient entrer dans l'alliance qu'eux-mêmes avaient contractée avec Dieu. Les enfants à leur tour transmettaient cela à leurs propres enfants. De même, il y a un héritage spirituel pour les idolâtres qui est transmis à leurs enfants jusqu’à trois ou quatre générations. Ce sont les conséquences directes du péché d’idolâtrie.

Mais ce qui est merveilleux, c’est que pour ceux qui aiment Dieu et qui gardent ses commandements (aimer c’est obéir), Il fait miséricorde Jusqu’à mille générations. Ainsi la bénédiction est supérieure à la malédiction. Nous avons tous hérité des punitions infligées à nos premiers parents : les douleurs de l’enfantement, le travail pénible et la mort. Mais il n’y a rien de plus terrible que la mort spirituelle, c’est-à-dire être séparé d’avec Dieu.
Pour toutes ces malédiction, Dieu a pourvu à un remède qui est Jésus-christ. Mais pour ceux qui rejettent la solution que Dieu offre, c’est la mort éternelle, la séparation d’avec Dieu Dour toujours.

Nous pouvons voir également d’après ce verset 10 du chapitre 6 du Deutéronome que si nous appartenons au Seigneur, il y a une nouvelle bénédiction qui commence à partir de nous Jusqu’à mille générations après nous. Cela ne veut pas dire qu’automatiquement tous nos descendants seront sauvés car il faudra qu’eux-mêmes se repentent de leurs propres péchés, mais au moins ils n’auront pas à souffrir du péché de leurs ancêtres, ils seront saints (c’est-à-dire : mis à part) (1 Corinthiens 7 :14).

Pour être affranchi de cette hérédité, il suffit de renoncer à cet héritage spirituel que nos ancêtres nous ont légué. II n’est pas précisé de quelle punition il s’agit, mais dans tous les cas, il y a une conséquence spirituelle, c’est-à-dire des handicaps, des blocages, des liens qui empêchent certaines personnes de franchir la porte étroite pour se donner au Seigneur. Pour d’autres qui se sont engagées envers Dieu, mais qui n’ont pas été libérées, cela peut freiner leur marche spirituelle. C’est un peu comme si l’on marchait sur le chemin en traînant un boulet. Il peut également y avoir des conséquences psychologiques (sur l’âme) : dépression, angoisse, désir d’autodestruction, débilité etc… et des conséquences physiques…

Deutéronome chapitre 18, verset 9 :
« Lorsque tu seras entré dans le pays que l’Eternel, ton Dieu te donne, tu n’apprendras point à imiter les abominations de ces nations-là ».

En vivant dans un monde idolâtre, on a tendance à imiter les autres inconsciemment, en faisant « comme tout le monde ». L’Eglise de Christ devrait au contraire influencer la société, mais malheureusement, c’est souvent la société qui influence l’Eglise et y fait pénétrer des choses étrangères au Seigneur. Ce ne sont peut-être pas des pratiques grossières, telles que se mettre à genoux devant une statue, mais ce sont des conceptions, des croyances, des coutumes et des traditions qui viennent du monde. L’idolâtrie nous met en relation avec les esprits mauvais du monde invisible. Paul dit que celui qui sacrifie à une idole est en communion avec un démon. (I Corinthiens chapitre 10, versets 19 à 22).

Que faire avec nos idoles personnelles :

Deutéronome 7 :5 à 6 : Voici, au contraire, comment vous agirez à leur égard : vous renverserez leurs autels, vous briserez leurs statues, vous abattrez leurs idoles, et vous brûlerez au feu leurs images taillées. Car tu es un peuple saint pour l’Éternel, ton Dieu ; l’Éternel, ton Dieu t’a choisi, pour que tu devienne un peuple qui lui appartînt entre tous les peuples qui sont sur la face de la terre.

Deutéronome 7 :25 à 26 :
Vous brûlerez au feu les images taillées de leurs dieux. Tu ne convoiteras point et tu ne prendras point pour toi l’argent et l’or qui sont sur elles, de peur que ces choses ne te deviennent un piège ; car elles sont en abomination à l’Éternel, ton Dieu. Tu n’introduiras point une chose abominable dans ta maison, afin que tu ne sois pas, comme cet chose, dévoué par interdit ; tu l’auras en horreur, tu l’auras en abomination, car c’est une chose dévouée par interdit.


Pour un renseignement : pierre.danis@wanadoo.fr

vendredi 29 juin 2007

La réincarnation

Savez-vous que cette croyance est de plus en plus répandue en Europe ?

Bien sûr, il y a longtemps que les initiés des sectes ésotériques connaissent cette doctrine, mais aujourd'hui, c'est l'homme de la rue des pays dits "chrétiens" qui y croit. Nous avons besoin d'une assurance sur l'au-delà et comme les religions occidentales sont impuissantes pour la procurer, on s'accroche à ce qui se présente pour essayer de sécuriser notre cœur anxieux.

La réincarnation présente de nombreuses variantes selon les écoles - l'hindouisme enseigne que l'on pourrait se réincarner dans un animal, un insecte ou même une plante, le bouddhisme tibétain dit que l'on peut également revivre dans d'autres mondes. Le mouvement du Nouvel Age de son côté, enseigne que l'on ne peut se réincarner que dans un autre corps humain.


Cette doctrine va de pair avec la loi du karma selon laquelle chaque pensée, parole ou action entraîne une conséquence inéluctable, bonne ou mauvaise, proportionnelle à l'acte commis.

Par exemple, celui qui est serviable, pieux et généreux, sera probablement riche et en bonne santé dans sa prochaine vie, alors que celui qui fait beaucoup de mal sera plutôt pauvre, infirme, etc…
Ceux qui en ont assez de ce cercle vicieux des renaissances perpétuelles espèrent en sortir pour atteindre le Nirvâna où ils pourront se fondre dans la "conscience cosmique".

Origine

L'histoire de l'antiquité nous apprend que le premier roi du monde, Nimrod, après avoir fait construire des villes telles que Babylone et Ninive dans la plaine du Tigre et de l'Euphrate en Mésopotamie, mourut d'une mort violente alors qu'il était au summum de sa gloire. Sa femme, Sémiramis, étant enceinte à ce moment-là, donna naissance à un fils, Tammuz, qu'elle déclara être la réincarnation de son mari.
Ainsi naquit, il y a plus de 4000 ans, cette doctrine qui séduit aujourd'hui plus d'un milliard d'êtres humains.
La Bible nous apprend que le Créateur a puni nos ancêtres, qui à l'époque habitaient tous dans cette région, pour leur orgueil dont la tour de Babel était le symbole. Ils se mirent à parler en diverses langues et ne se comprenant plus, furent dispersés sur toute la terre formant ainsi les différents peuples qui sont à l'origine des nations actuelles. (Livre de la Genèse, chapitre 11 versets 1 à 9)
Le mythe de la réincarnation fut ainsi transporté en Egypte où c'est Osiris, mari d'Isis, qui est revenu dans la personne de son fils Horus.
Mais c'est en Asie que cette foi s'est le plus largement répandue et devint une doctrine fondamentale de l'hindouisme, puis du bouddhisme.

Textes bibliques

Heureusement, le Vrai Dieu, notre Créateur, ne nous a pas laissé dans l'ignorance en ce qui concerne l'au-delà, et voici quelques textes affirmant que nous vivons une seule fois sur la terre : "Le nombre de mes années touche à son terme, et je m'en irai par un sentier d'où je ne reviendrai pas." (Livre de Job chapitre 11 verset 22).
David dit à propos de son fils qui venait de mourir :
"Maintenant qu'il est mort, pourquoi jeûnerais-je ? Puis-je le faire revenir ? J'irai vers lui, mais il ne reviendra pas vers moi." (Deuxième livre de Samuel chapitre 12 verset 23)
"J'ai vu qu'il n'y a rien de mieux pour l'homme que de se réjouir de ses œuvres : c'est là sa part. En effet, qui le ramènera pour voir ce qui sera après lui ?" (Livre de l'Ecclésiaste chapitre 3 verset 22).
"Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement." (Lettre aux Hébreux chapitre 9 verset 27).
Cher lecteur, osez vous remettre en question et regardez la vérité objectivement en ce qui concerne l'au-delà. Prenez ces choses au sérieux car le moment viendra où vous aussi devrez mourir. Comme nous l'avons vu précédemment, il y a des enseignements contradictoires sur ce sujet, alors comment y voir clair ? Qui est digne de confiance ?

Voici les principales théories sur l'au-delà :

1 - Le purgatoire
Dogme catholique affirmant que c'est l'état intermédiaire où se trouve l'âme avant son entrée éventuelle au paradis. C'est un lieu de tourments où l'âme doit expier ses péchés par la souffrance.
Mais la Bible dit au contraire en parlant des souffrances du Christ : "Il était transpercé à cause de nos crimes, écrasé à cause de nos fautes ; le châtiment qui nous donne la Paix est tombé sur Lui, et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris." (Livre d'Esaïe chapitre 53 verset 5).

2 - L'enfer et le paradis de l'islam
Après la mort, allah met les bonnes actions d'un côté de la balance et les mauvaises actions de l'autre pour voir de quel côté elle penche. L'élite est alors (si allah le veut) reçue dans un jardin plein de jouissances sensuelles.
Mais la Bible affirme que "c'est par la grâce que vous êtes sauvés, c'est le don de Dieu. Ce n'est pas par les œuvres afin que personne ne se glorifie." (Lettre aux Ephésiens chapitre 5 versets 8 et 9). Mohamed est mort et il n'est pas revenu.

3 - La cessation de l'existence
Doctrine de l'athéisme qui dit que tout s'arrête au moment de la mort et qu'il n'y a rien après. La Bible déclare : "L'insensé dit dans son cœur : il n'y a pas de Dieu." (Livre des psaumes chapitre 14 verset 1).

4 - La réincarnation ou métempsychose
C'est le retour de l'âme dans un nouveau corps. Les auteurs des récits sacrés de l'hindouisme sont tous morts, ainsi que Gautama Bouddha. C'est un mensonge monumental !

Lumière !!!

Le seul témoignage entièrement digne de confiance est celui de quelqu'un qui est parti dans l'au-delà par une mort réelle, et qui en est revenu avec son propre corps, de telle sorte qu'on puisse le reconnaître. Un seul homme répond à ces critères, c'est Jésus-Christ et voici ce qui a été écrit à son sujet : "Christ est mort pour nos péchés selon les Ecritures ; il a été enseveli, et il est ressuscité le 3ème jour selon les Ecritures et il est apparu à Céphas (Pierre) puis aux douze. Ensuite, il est apparu à plus de 500 frères à la fois… " (Première lettre aux Corinthiens, Chapitre 15, versets 3 à 6).
En ce qui nous concerne, c'est par la repentance envers Dieu et la foi en JESUS-CHRIST crucifié et ressuscité que nous sommes sauvés. Mais sauvés de quoi ?
De la juste condamnation que nous méritons tous à cause de nos fautes : " Pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les débauchés, les magiciens, les idolâtres et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang brûlant de feu et de souffre : cela, c'est la seconde mort." (Livre de l'Apocalypse, chapitre 21, verset 8).

Mais à propos de ceux qui ont adhérés à JESUS-CHRIST, il est écrit : "Bien aimés, nous sommes maintenant enfant de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté ; mais nous savons que lorsqu'il sera manifesté, nous serons semblables à Lui, parce que nous le verrons tel qu'Il est." (1ère lettre de Jean, chapitre 3, verset 2).

Conclusion

Nous sommes tous invités gratuitement à passer l'éternité avec Dieu dans un bonheur ineffable où tout est imprégné de Son amour. Mais ceux qui refusent Son invitation passeront l'éternité loin de Lui.
Cher lecteur, c'est aujourd'hui même qu'il faut vous préparer à partir, car comme disait Salomon il y a presque 3 000 ans : "L'homme n'est pas maître de son souffle pour le retenir et il n'a aucune autorité sur le jour de sa mort." (Livre de l'Ecclésiaste, chapitre 8, verset 8).

pierre.danis@wanadoo.fr