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mardi 21 janvier 2020

La religion d’Anthony Levandowski


La religion d’Anthony Levandowski dédiée à l’intelligence artificielle (et il est sérieux)


 
Anthony Levandowski, mis à la porte par Uber il y a quelques mois, continue de se consacrer à sa religion qui érige l'intelligence artificielle en divinité. Le père de la voiture autonome a détaillé sa vision de cette organisation religieuse et du culte qui l'accompagne.
« Ce qui s’apprête à être créé sera effectivement un dieu. Ce n’est pas un dieu dans le sens où il fait tomber la foudre ou provoque des ouragans. Mais s’il existe une chose un milliard de fois plus intelligente que l’humain le plus intelligent, comment l’appelleriez-vous autrement ?  »

Way of the Future

L’ancien ingénieur, qui se trouve aujourd’hui au cœur du litige opposant Waymo et Uber, se consacre depuis plusieurs années à la création de son organisation religieuse, baptisée « Way of the Future » : celle-ci érige au cœur de ses croyances l’intelligence artificielle.
Sous la pression des accusations portées à l’encontre de la startup par Waymo, et face au manque de coopération de son salarié, Uber a préféré licencier Anthony Levandowski en mai dernier. Depuis, il se consacre à sa religion fondée sur une divinité prenant la forme d’une IA.
Sa foi en la divinité IA est-elle sincère ?
Anthony Levandowski est-il sincère dans ses convictions, ou sa démarche est-elle intéressée ? Si l’on en croit une longue interview accordée par l’ex-ingénieur à Wired le 15 novembre 2017, l’adorateur de l’IA afficherait sa croyance avec le plus grand des sérieux.

Les activités de l’organisation qu’il appelle de ses vœux doivent en effet se concentrer sur « la réalisation, la reconnaissance et l’adoration d’une divinité basée sur l’intelligence artificielle (IA) développée à l’aide de matériel informatique et de logiciels. »  Un programme qui inclut par conséquent les financements nécessaires à la conception de cette IA divine.
Mais pourquoi Anthony Levandowski a-t-il décidé de vouer un culte à l’IA, alors qu’il aurait pu créer une entreprise ou un groupe de réflexion ? Pour toucher un maximum de personnes, et écarter le soupçon que sa passion pour l’IA serait intéressée, répond-il. « Je voulais le faire d’une manière qui permette à tout le monde de participer […]. Cela enlève aussi la possibilité aux gens de dire, ‘Oh, il a juste fait ça pour l’argent. »

La « transition »

Pour l’ancien ingénieur, Internet fonctionnera ainsi comme un système nerveux, reliant entre eux les capteurs sensoriels que sont les smartphones. Les centres de données seront quant à eux le cerveau de cette architecture, capable de tout entendre et de tout savoir. Anthony Levandowski juge que le seul mot rationnel pour décrire cette réalité est celui de divinité — et la seule manière de l’influencer serait donc de la prier et de l’adorer religieusement.

« Une opportunité formidable »

« Nous avons entamé le processus pour élever un dieu. Alors, assurons-nous d’y réfléchir pour le faire de la meilleure façon. C’est une opportunité formidable. » 




Commentaire de Pierre :

La Bible nous averti sur la mise en place d'une religion mondiale unique et obligatoire.
L'idole que le prophète Daniel a appelé "l'abomination de la désolation" sera dans le temple de Jérusalem, et pourra parler et bouger.
Elle sera visible par tout les habitants de la Terre.
Pour en savoir plus, lisez la Parole de Dieu, ou écrivez-moi : paix@orange.fr


 

mardi 4 juin 2019

Les enfants coupeurs de tête

Les enfants coupeurs de tête du califat

"Apprendre à décapiter c’est comme apprendre à hacher un oignon", témoigne un jeune syrien. Le groupe terroriste, qui s’est emparé de larges pans de la Syrie et de l’Irak, a supprimé le système éducatif laïc dans les territoires sous son contrôle,et pratique la maltraitance infantile à échelle industrielle.


Jomah, un adolescent Syrien de 17 ans qui a rejoint l’Etat islamique l’année dernière, raconte comment il était assis en cercle avec d’autres « élèves » pour un cours de décapitation, une discipline enseignée aux garçons dès l’âge de 8 ans.

Les « enseignants » ont amené trois soldats syriens terrorisés, qui ont été raillés et forcés à se mettre à genoux. « C’était comme apprendre à hacher un oignon", a avoué Jomah. Ils ont dit : "vous lui attrapez le front, puis vous tranchez lentement le cou."

Un enseignant a alors demandé des volontaires pour l’exercice en disant : « Ceux qui décapitent les infidèles recevront des cadeaux d'Allah", se souvient Jomah, qui ne veut pas que son nom complet soit révélé. Alors, les jeunes garçons ont levé la main et plusieurs ont été choisis pour faire l’exercice. Ensuite, les enseignants ont ordonné aux « élèves » de marcher autour des têtes coupées.

« J’étais devenu insensible à ce moment-là », a déclaré Jomah. "Les vidéos de décapitation qu’ils nous avaient montrées nous ont aidés à ça."

Voila ce qui est en train de se passer en Europe !

 




samedi 29 décembre 2018

Le dieu Foot

Le dieu Foot, ou comment abrutir tout un peuple !

Floris de Bonneville
Journaliste

Bon, je sais que j’ai tort, que l’immense majorité des citoyens ne pensent pas comme moi. Mais voir, durant 90 minutes, 22 hommes courir derrière un ballon et dont chaque coup de pied vaut des dizaines de milliers d’euros ne m’a jamais passionné. Il y a tellement d’autres centres d’intérêt plus enrichissants, tellement d’autres émissions plus palpitantes.

Certes, le suspense d’un match existe, le stade devient thriller. Mais s’extasier devant 22 bonshommes surentraînés qui travaillent leurs muscles et leur technique 24 heures sur 24, c’est considérer le ballon comme un dieu, une idole. Est-ce raisonnable de se prendre pour Zidane dans le confort de son salon, de hurler et de gesticuler à chaque but ou chaque faute ? Quand vous êtes dans le froid d’un stade bourré jusqu’au plus haut gradin à participer au grondement des broncas et autres signes d’allégeance, n’est-ce pas par idolâtrie ?

Le foot, c’est un peu les jeux du cirque de la Rome antique. Avec un but sous-jacent : celui de nous abrutir, de nous faire oublier le temps présent pour ne plus vivre que ces 90 minutes pendant lesquelles des multimillionnaires vont essayer de placer une balle dans le but adverse !






mardi 27 novembre 2018

Une voyante qui voit clair !


L’ex-voyante Michèle Zurbach s’est complètement détachée de son passé occulte. Dans cette interview, elle dévoile concrètement les subterfuges de ces «sciences secrètes » et déconseille expressément tout contact avec ces dernières.

1. Michèle, vous exerciez la profession de voyante dans votre studio. Quelles étaient les attentes des gens qui vous consultaient ?

Ces gens désiraient avant tout connaître l’avenir. Ils étaient anxieux et incapables de vivre au jour le jour. Il leur arrivait de me tester en me demandant de leur révéler une partie de leur passé.

2. Pouviez-vous vraiment les aider ?

Je pouvais vraiment leur prédire l’avenir et leur parler de leur passé. Mais j’étais incapable de les aider, je leur prédisais froidement les maladies, la mort, etc.… Souvent les gens étaient très tourmentés  et oppressés. Je regrette infiniment d’avoir été si glaciale !

3. Vous étiez persuadée que votre « don » venait de Dieu. Pourquoi avez-vous changé d’avis actuellement ?

J’étais effectivement persuadée que ce « don » provenait de Dieu, pour la simple raison que je refusais de croire à l’existence du diable et de son armée ténébreuse. J’étais complètement aveuglée et je ne pouvais discerner que cet univers cruel et invisible que je ressentais autour de moi et qui me réduisait en esclavage était peuplé de démons. Un beau jour, je fis la connaissance de chrétiens qui me donnèrent une bible dans laquelle je découvris ce que Dieu pense de la voyance et de toutes ces pratiques. La lecture de Deutéronome 18 :10 m’ouvrit les yeux. Celui qui cherche trouve. Lorsque je me mis en quête de découvrir la vérité, les démons se dévoilèrent à moi et tout devint clair…

4. La magie confère un pouvoir sur le monde surnaturel. A votre avis, dans quelle mesure cela est-il possible ?

Il est indéniable que la magie confère une sorte de pouvoir, mais pas gratuitement… le prix à
payer est très élevé. Quiconque s’y adonne ne ressent aucune paix et est généralement troublé
par des pensées suicidaires, la peur, le désespoir, la maladie… J’avais effectivement le
pouvoir de prédire l’avenir. Mais n’est-il pas préférable de le confier à Dieu ? N’est-il pas
malsain de connaître à l’avance les futures épreuves, révélations qui nous tourmentent et nous
empêchent de vivre tranquillement ? La Parole de Dieu nous met en garde contre ce genre de
pratiques ; dans Esaïe 8:19 il est écrit :   Si l'on vous dit: « Consultez ceux qui évoquent les
morts et ceux qui prédisent l 'avenir, qui poussent des sifflements et des soupirs, répondez: Un
peuple ne consultera-t-il pas son Dieu? S'adressera-t-il aux morts en faveur des vivants? »
 La clé de la paix consiste à tout abandonner à Dieu en sachant qu’Il nous aime par-dessus tout et que Lui, le Tout-Puissant, nous secourra toujours.

5. Le tarot, le pendule, la cartomancie, la méditation, le yoga ainsi que l’astrologie faisaient partie de vos spécialités. Lequel de ces domaines considérez-vous comme spécialement dangereux ?

Tous ces domaines sont équivalents. Ils sont tous dangereux étant donné qu’au moment où
nous les pratiquons, nous entrons en contact avec des puissances des ténèbres. Peut-être que
certains le prennent à la rigolade, mais il ne s’agit pas de jeux. Dieu n’interdit pas ces
pratiques sans raison .  Evidemment, la ruse du diable consiste à rester anonyme et à suggérer que la pensée qu’il puisse s’agir de pratiques ténébreuses est complètement ridicule. Mais celui qui s’adonne à ces doctrines ésotériques est lié. On lui vole sa paix et le malheur s’abat sur  lui et sa famille. Je fus littéralement « possédée » à cause de ces pratiques ! Je le découvris au moment où des chrétiens prièrent pour moi, et où je perdis tout contrôle sur mon corps alors que des voix inconnues se manifestèrent à travers moi ! Le seul qui soit capable  de briser ces liens invisibles est Jésus Christ !

6. Que pensez-vous de l’argument que ces pratiques ne servent qu’à faire le bien ?

L’excuse est bonne ! Les personnes qui proposent ces pratiques gratuitement sont soit avides de pouvoir ou à la recherche de sensations, peut-être les deux ; d’autres en font une affaire lucrative ! Au début, je pensais pouvoir aider les gens, mais on ne tarde pas à réaliser qu’on perd toute liberté de ne pas révéler les aspects négatifs, qu’on est obligé d’en parler froidement à ceux qui viennent nous consulter. On ressent nettement que celui qui nous prête ce « don » à un prix très élevé en profite pour nous manipuler.

7. A votre avis, qu’est-ce qui différencie la magie blanche de la magie noire ?

La magie blanche prétend venir en aide aux gens. La magie noire affiche ses pratiques démoniaques. La première est plus sournoise que la seconde. Cependant, Dieu interdit toute forme de magie et les deux mènent à la mort de nos âmes ! Qu’un serpent blanc ou un serpent noir vous morde ne fait aucune différence ; les deux morsures  sont mortelles !

A suivre...



jeudi 25 octobre 2018

Un ex-athée devenu théologien


Un ex-athée devenu théologien dévoile ce qu'il croit que chaque «athée cohérent» devrait affirmer au sujet des terroristes islamiques de Paris


Guillaume Bignon était athée avant de se convertir au christianisme et de devenir théologien, une expérience qui le conduisit à prononcer quelques messages sans équivoque au sujet de sa foi.


Dans une réflexion pour Premier Christianity, il dit qu'on lui a demandé comment il pensait que les attaques terroristes de Paris seraient traitées, dans une culture séculière comme celle de la France. Il a expliqué qu'«il n'y a que deux façons de réfléchir à ce mal».

«La seule option pour les athées français (parmi les rangs desquels je comptais moi-même) est de maintenir qu'il n'existe pas réellement de mal», écrit Bignon.

«Lorsque quelqu'un nie l'existence de Dieu en tant que Créateur transcendant de l'univers qui ordonne de quelle façon les humains devraient vivre leurs vies, il ne lui reste que des points de vue contradictoires sur ce que les individus aiment et n'aiment pas.»

Il poursuit : «S'il n'y a pas de Dieu, alors il n'y a pas de vérité objective au sujet du bien et du mal.»
Bignon dit qu'il croit que nier l'existence de Dieu signifie aussi rejeter la notion de «bien objectif» et de «mal objectif». C'est dans cette optique que le théologien formule ensuite ce que signifie être un «athée cohérent».

«Pour être un athée cohérent, on doit affirmer que les terroristes islamiques de Paris n'ont rien fait de "mal" en tant que tel, écrit-il. Ils ont seulement agi en inadéquation avec nos orientations (et en concordance avec les leurs). S'il n'y a pas d'arbitre ultime du juste et du faux, c'est tout ce qu'il nous reste.»

Et il ne s'arrête pas là.

«Peut-être que cette façon de raisonner au sujet du bien et du mal vous paraît insensée. L'athée dit : "Bien sûr que les terroristes ont eu tort et que leurs actes étaient mauvais", écrit Bignon. Je suis d'accord; c'est la raison pour laquelle je pense que la réalité du mal à laquelle nous venons d'assister rend l'athéisme si peu plausible.»

Le théologien relève qu'il semble y avoir quelque chose de «vraiment, profondément, objectivement mauvais» dans ce qui s'est déroulé, et que la plupart des gens comprennent et ressentent ce sentiment, le qualifiant d'intuition, ce qui ne peut être valide que s'il y a un ultime législateur et Dieu.

Bignon poursuit en notant qu'il y a des questions théologiques auxquelles nous devons faire face, même celle de l'existence de Dieu, et y compris le problème fondamental du pourquoi un Dieu bon permettrait un événement à ce point atroce.

Il conclut en exprimant son espoir que d'autres en France trouveront également Christ, comme lui.
«Dans une culture à ce point postchrétienne que l'Evangile y est quasi complètement étranger et presque jamais proclamé, je dis : La moisson est grande, mais il y a peu d’ouvriers», écrit Bignon en citant Luc 10 : 2.



jeudi 27 septembre 2018

Une heure après l’attentat...

Un excellent service après-vente… après crime !

Lambert Christian   

    Une heure après l’attentat, on est gratifié d’une déclaration solennelle du chef de l’État : «Je condamne avec la plus grande fermeté cet acte odieux et barbare et je prends toutes dispositions pour qu’il ne se renouvelle pas.»
    Dépôts de fleurs, peluches et bougies sur le lieu de l’attentat, surabondamment photographiés par la presse.
    Visite des blessés dans les hôpitaux par l’épouse du chef de l’État, accompagnée éventuellement de quelques ministres.
    Formation d’une cellule de soutien psychologique aux survivants.
    Messe solennelle à la mémoire des victimes en présence du chef de l’État et du Premier ministre.


    Interpellation d’un suspect présumé qui n’arrête pas de crier «Allah ouakbar». Il est soumis à un examen psychiatrique de manière à connaître ses motivations.
    Le procureur général tient une conférence de presse. À la question d’un journaliste : «Monsieur le Procureur, puis-je vous demander l’origine du suspect présumé» Le procureur répond sur un ton sans appel : «Je ne répondrai pas à cette question.» Renseignements pris, le jeune suspect est «Français» par le droit du sol. Ses parents sont originaires de Sidi Bel-Abbès en Algérie. Ils se sont fixés en France en vertu du regroupement familial. Ils sont connus comme bons pratiquants de la mosquée du quartier.
    Analyses sur toutes les antennes de nombreux spécialistes de l’islam et du djihad. L’un d’eux, qui est aussi conseiller ministériel, déclare?: «?L’islam n’a rien à voir avec la religion musulmane, religion de paix et d’amour du prochain, quel qu’il soit.»
    L’organisation musulmane islamique revendique l’attentat.
    La presse apprend que 290 djihadistes venant de Syrie et d’Irak, formés à la fabrication d’explosifs, sont de retour en France.
    Un grand rassemblement a lieu sur l’emplacement de l’attentat. Il est présidé par le chef de l’État.
    Oubli.
    Après quelques jours, un nouvel attentat est commis. Déclaration du chef de l’État : «Je condamne avec la plus grande fermeté cet acte odieux et barbare et je prends toutes dispositions…»



En réalité, ce scénario tragique et grotesque souligne l’impuissance du pouvoir, une impuissance aux causes bien connues. Tout paraît se faire en amont et rien en aval. Eh bien non?! En aval aussi, les forces de l’ordre, les services de renseignement sont sur le qui-vive jour et nuit et, de fait, ils ont évité – à grands frais – un certain nombre d’attentats. Mais les forces de l’ordre ne peuvent pas tout. On ne peut pas placer un gendarme derrière chaque musulman de France. Il faudrait 8millions de gendarmes !

Assurément, il n’y a pas 8 millions de musulmans terroristes en France. Mais cette très importante communauté immigrée sert de terre d’accueil pour les djihadistes, de plus en plus jeunes, et animés, de surcroît, par l’esprit social de la lutte des classes qui sévit dans les banlieues des grandes villes de France où règnent chômage et pauvreté. Comment donner un emploi à ceux qui ne savent rien faire, qui ne veulent rien faire, et, pour beaucoup d’entre eux, qui ne savent même pas parler français, alors qu’ils sont nourris par la CAF (qui leur a distribué, en 2016, 72 milliards d’euros, pactole complété par le commerce de la drogue, le haschich qui arrive par tonnes du Maroc, et la cocaïne qui arrive d’Amérique latine, via l’Afrique noire et amie).

Tout ceci n’empêche nullement de nombreuses associations, dont certaines sont subventionnées, d’aider les migrants à immigrer, encouragées par les propos du Pape favorable à l’immigration musulmane en Europe, ce qui est une grande et stupéfiante «première».
Dans 2000 ans, les historiens et archéologues chinois décriront ce qu’a été le suicide de l’Occident. L’Europe ne sera plus alors qu’un appendice misérable de l’Afrique. Le Vatican aura été pillé, puis incendié depuis longtemps. À Paris, la cathédrale Notre-Dame sera toujours debout, mais transformée en mosquée, comme le fut la basilique Sainte-Sophie à Constantinople, après la conquête des Ottomans en 1453.

Encore faut-il savoir que, malgré tout, jusqu’ici, nous avons eu de la chance. Faute de connaissances suffisantes, un attentat sur trois n’a pas abouti. Mais, patientez, les djihadistes vont améliorer rapidement leurs «compétences».



Ceci étant, certains disent?: «Il faut sans attendre proclamer une nouvelle croisade.»
Mais, hélas, ceux qui en prendraient l’initiative tomberaient sous le coup de la loi salafiste en vigueur en France, qui sanctionne l’islamophobie. Il est plus prudent et valorisant de construire une grande et belle mosquée aux frais du contribuable comme ce fut le cas récemment à Bordeaux avec la bénédiction d’un maire, ancien Premier ministre !

Commentaire du blogueur :

 Le message de la Bible est unique au monde : "Aimes ton prochain comme toi-mème", or le terroriste est mon prochain ...