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mercredi 10 avril 2019

De l’Église de Rome à l’Église de Jésus-Christ



Né en 1949 dans une famille catholique pratiquante, études secondaires au petit séminaire diocésain de Verdun et musicales au Conservatoire de Nancy, marié et père de cinq enfants, professeur de musique dans un collège catholique, organiste de ma paroisse et chargé d’enseignement religieux auprès d’adolescents, grand pécheur et cependant perçu par mon entourage comme un chrétien.

En 1986, en vacances à Houlgate, lors de la visite d’une Expo-Bible tenue par des Évangéliques, je découvre la Bible comme Parole de Dieu. Les années précédentes, j’avais étudié la Bible avec des prêtres, suivant une méthode proche des introductions et notes de la Bible de Jérusalem. Par crainte d’être entraîné dans une secte, j’ai évité de garder des contacts avec les deux pasteurs que j’avais rencontrés à l’exposition. J’ai donc cheminé seul avec cette merveilleuse conviction que la Bible nous avait été donnée par Dieu pour nous éclairer.

Je me réjouis de ta Parole comme celui qui trouve un grand butin.
(Psaume 119:162)
Auparavant, je recherchais la vérité principalement par des méthodes d’érudition humaines : connaissance des religions et philosophies, vies de saints et histoire de l’Église (Catholique), ouvrages de grands penseurs chrétiens, sans jamais rencontrer une complète satisfaction, ni trouver de réponses certaines à mes interrogations.
Avec la Bible, j’ai redécouvert la crainte de Dieu. La lecture de l’évangile de Jean me bouleversait toujours, en particulier le chapitre 3 et les derniers entretiens avec le Seigneur.

Un soir d’octobre 1993, Dieu a mis dans mon cœur la certitude que j’étais racheté, pardonné et adopté en Jésus-Christ. Ce fut à la fois, tout simple et extraordinaire !

L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
(Romains 8:16)

À partir de ce moment-là, mes yeux se sont véritablement ouverts. Depuis quelques années, je contestais le baptême des nourrissons et les cultes à la Vierge ; après ma nouvelle naissance, l’imposture du sacerdoce romain m’est apparue clairement à travers le commerce des messes pour les défunts et le rite sacramentel de la transsubstantiation. Je prenais conscience que les prêtres catholiques n’étaient finalement que des aveugles conduisant d’autres aveugles.

Toute ma vie était marquée par le catholicisme : religion, profession, famille et relations, et je n’y avais que des amis. Cependant, trois mois après ma nouvelle naissance, avec la force que seul Dieu pouvait me donner pour le faire, j’ai quitté l’Église Catholique avec ma femme et mes enfants, en rendant un témoignage, sans esprit de jugement, devant les membres de notre assemblée paroissiale et en présence du prêtre.

Nous ne savions où nous allions, mais nous faisions confiance au Seigneur…

Dans la semaine qui a suivi notre départ de la paroisse, j’ai été destitué de ma fonction d’enseignement religieux par mon évêque. Étant salarié par l’Éducation Nationale, j’ai pu garder mon poste de professeur de musique que j’ai occupé, non sans difficultés, jusqu’en 2006. Désormais, nous étions perçus comme des sectaires par la plupart de nos amis catholiques.

Au fur et à mesure que mes yeux s’ouvraient sur la nature véritable de l’Église de Rome, le Seigneur m’a mis à cœur d’écrire des brochures destinées, au départ, à avertir ma famille et mon entourage. Le cercle de diffusion s’est ensuite élargi progressivement.

Nul ne peut venir à moi si le Père qui m’a envoyé ne l’attire.
(Jean 6:44)
Cette parole du Seigneur nous rappelle que, parmi ses rachetés, personne ne peut avoir la prétention d’affirmer : « J’ai été plus intelligent que les autres hommes ; j’ai cherché Dieu et je l’ai trouvé ». Dieu m’a conduit à trouver dans la Bible la Bonne Nouvelle de sa grâce en Jésus-Christ, et Il m’a donné d’y croire. Désormais, je n’ai plus d’autre désir et d’autre but que de faire connaître la Parole de Dieu autour de moi, et particulièrement aux catholiques.



mardi 16 novembre 2010

J’étais franc-maçon

Le témoignage de Maurice Caillet, ancien Vénérable au « Grand-Orient »

Interne des Hôpitaux de Paris puis chirurgien-gynécologue à Rennes en Bretagne, je suis né dans une famille d’origine chrétienne ayant complètement apostasié, qui n’a pas jugé bon de me faire baptiser dans l’enfance. J’ai été instruit dans les écoles et lycée laïques. Rationaliste et scientiste, j’ai adhéré aux théories de Jacques Monod sur « Le hasard et la nécessité », concernant les origines chimiques aléatoires et spontanées de la vie. Attiré par la franc-maçonnerie à l’âge de 35 ans, j’ai été un pionnier de la contraception artificielle, des stérilisations et de l’interruption volontaire de grossesse.

Divorcé puis remarié civilement, je me suis intéressé à de nombreuses formes d’ésotérisme et d’occultisme : Franc-Maçonnerie, Rose-Croix AMORC, chamanisme, magie blanche, techniques des guérisseurs, radiesthésie, géobiologie, yoga, taï-chi et Qi-Gong, spiritisme.
J’ai été Franc-Maçon actif pendant quinze années (Vénérable de Loge, 18° grade, Délégué au Convent, Membre de la Fraternelle des Hauts Fonctionnaires ), Rosicrucien AMORC pendant dix ans, occultiste, spirite et j’ai connu des Templiers, des Martinistes, des Alchimistes.


Tous sont des héritiers de la Gnose qui a voulu corrompre le christianisme, dès ses origines, en y introduisant des éléments des philosophies païennes, des mythes et des symboles, pourtant obsolètes après les révélations de Jésus Christ et sa Résurrection. Ces mythes et ces symboles, repris par la Maçonnerie opérative, foisonnent dans nos églises et cathédrales.

Tous se réfèrent volontiers à la Bible, mais c’est pour en faire un texte ni plus ni moins sacré que les Upanishads, la Bhagavad-Gita ou le Livre des morts des Égyptiens.
Tous parlent de Dieu (les esprits mauvais le connaissent aussi) mais ramènent Jésus au rang d’initié ou de prophète et le mettent au niveau de Bouddha, Confucius ou Lao-Tseu.

La franc-maçonnerie est particulièrement nocive pour le christianisme car elle n’a pas les apparences d’une secte, mais d’une benoîte association philosophique (cotisations modérées, organisation démocratique des trois premiers grades, pas de contrainte apparente, pas de lavage de cerveaux perceptible), mais depuis 250 ans elle imprègne progressivement et profondément les idées et les législations de tous les pays : laïcité, clubisme, divorce, contraception, avortement , p.a.c.s , dépénalisation des drogues, euthanasie...
Elle prétend rechercher la vérité, mais prône le relativisme : pour elle il n’y a pas une mais des vérités, tant sur le plan religieux que sur le plan moral. Elle prétend donner la « lumière » à ses initiés, alors qu’elle oeuvre dans le secret des loges et qu’elle refuse de reconnaître que Jésus est la Lumière, la Vérité et la Vie.



Le plus grand génocide de l'histoire !