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lundi 27 avril 2020

Beth Eckert met en garde les chrétiens contre le Yoga


Autrefois versée dans l’occultisme, Beth Eckert met en garde les chrétiens contre le Yoga

Beth Eckert s’est enfoncée très jeune dans ce qu’elle nomme « une vie d’obscurité et de désespoir » dans l’occultisme, le Nouvel Age et les philosophies orientales, jusqu’à sa rencontre avec Jésus qui la fera sortir « de l’obscurité vers la lumière ». Au vue de toute cette expérience, Beth estime que le yoga n’est pas une pratique anodine spirituellement. 😡
Beth s’est toujours sentie seule et triste, mais à l’adolescence après avoir été violée, elle essaie de mettre fin à ses jours, puis tombe dans la drogue et l’alcool. Elle recherche la vérité et un sens à sa vie. C’est dans le Nouvel Age, les philosophies orientales et l’occultisme qu’elle cherchera. Elle deviendra une sorcière et seul Jésus la sortira des ténèbres dans lesquelles sa vie s’est enfoncée. 😊
Et pour cette jeune femme désormais chrétienne et engagée, la pratique du yoga serait à éviter. Car selon elle, les racines du yoga puisent directement dans l’hindouisme et l’occultisme, et cette pratique ouvrirait une porte sur l’occultisme.
« Il prend quelque chose qui semble bien, qui ressemble à quelque chose qui est bon pour ta santé spirituelle, mentale et physique. Tu portes de jolies tenues, tu sors et tu rencontres des gens agréables et c’est juste super bon pour toi. C’est ce que les gens pensent faire en pratiquant le yoga. […] Ils croient réellement qu’ils font quelque chose qui est bon pour eux. […] Donc quand vous faites du yoga, vous utilisez le pouvoir de l’esprit Kundalini qui est Shakti, qui est une fausse divinité, c’est à dire un démon, que vous invitez dans votre corps et qui se canalise dans votre corps, qui devient un portail pour les démons. »


jeudi 19 mars 2020

Le Pape François déclare :


Le Pape François déclare que les fondamentalistes chrétiens sont "un fléau"

Pourquoi a-t-on l’impression que pratiquement tout le monde veut attaquer les fondamentalistes chrétiens de nos jours ? Il y a deux semaines, le pape François a fait des remarques extrêmement controversées, mais ces remarques n’ont pas vraiment attiré l’attention des grands médias. Bien sûr, si le Pape avait ciblé la communauté LGBTQ ou un autre groupe favori, il aurait immédiatement fait les grands titres partout dans le monde.
Mais il ne l’a pas fait. Au lieu de cela, le pape François a attaqué spécifiquement les fondamentalistes, et dans le monde d’aujourd’hui, cela est considéré comme parfaitement normal. Ce qui suit est tiré de la transcription officielle des remarques que le Pape a faites le 18 novembre….

Méfiez-vous des groupes fondamentalistes : chacun a le sien. En Argentine aussi, il y a un petit coin fondamentaliste. Et essayons, avec la fraternité, d’aller de l’avant. Le fondamentalisme est un fléau et toutes les religions ont une sorte de cousin germain fondamentaliste qui forme un groupe.
Apparemment, ces remarques s’appliquent aux fondamentalistes de toutes les religions. Mais en mentionnant l’Argentine, le Pape a indiqué très clairement qui était sa véritable cible.
Il n’y a pas de « fondamentalistes musulmans » ou de « fondamentalistes hindous » en Argentine. Les fondamentalistes auxquels il se référait sont les fondamentalistes chrétiens en Argentine, et dans la phrase suivante, il a dénoncé ces personnes comme « un fléau ».
Bien sûr, « un fléau » est une autre façon de dire  » une peste « , et qu’essayons-nous de faire pour  » une peste  » quand on en a une ?

C’est une chose à laquelle il faut réfléchir.

Nous avons fait état de la formidable croissance des évangéliques (alors que les catholiques ont vu de profonds déclins) en Argentine. Ces changements dramatiques ont sans doute attiré l’attention du Pape.

Conformément aux doctrines chrétiennes traditionnelles concernant l’interprétation biblique, la mission de Jésus-Christ et le rôle de l’Église dans la société, les fondamentalistes ont affirmé un socle de convictions chrétiennes qui comprenait l’exactitude historique de la Bible, la seconde venue imminente et physique de Jésus Christ, la naissance, la Résurrection et le pardon en la personne du Christ.


Qu’est-ce qu’un « fondamentaliste chrétien » ?

Eh bien, c’est fondamentalement quelqu’un qui croit que la Bible est littéralement vraie, qui croit que Jésus Christ est mort pour nos péchés et est ressuscité, et qui croit que Jésus reviendra un jour.
Au cours de ces mêmes remarques, le 18 novembre, le Pape a une fois de plus insisté sur son programme de « coopération interreligieuse »…..

Comme je l’ai dit lors de la Conférence mondiale de la fraternité humaine : « Il n’y a pas d’alternative : soit nous construirons l’avenir ensemble, soit il n’y aura pas d’avenir. Les religions, en particulier, ne peuvent renoncer à la tâche urgente de bâtir des ponts entre les peuples et les cultures.
Il est fondamental qu’il y ait une coopération interreligieuse, basée sur la promotion d’un dialogue sincère et respectueux qui va vers l’unité sans confusion, en maintenant les identités. Mais une unité qui transcende le simple pacte politique. »
Ce pape est devenu de plus en plus agressif dans ses efforts pour favoriser l’unité entre les différentes grandes religions du monde.

Le mois dernier, il a tenu une réunion très médiatisée avec le patriarche bouddhiste suprême de Thaïlande, Somdej Phra Maha Muneewong. Cette rencontre historique s’est tenue au célèbre temple de Ratchabophit à Bangkok, et le Pape a rencontré le patriarche bouddhiste devant une statue en or datant de 150 ans, représentant Bouddha. Le Pape a même enlevé ses chaussures en signe de respect pour le temple bouddhiste.
En d’autres termes, ce document dit que Dieu est satisfait de toutes les religions du monde et qu’elles existent parce que c’était Sa volonté de le faire.

Et le document se termine par un appel à la « réconciliation et à la fraternité » entre les différentes religions du monde afin que la « paix universelle » puisse être réalisée….
Sur le plan politique, le mondialisme a peut-être perdu de l’élan, mais dans les milieux religieux, il est en plein essor.

La pression en faveur d’une religion d’un seul monde se déroule au grand jour, et très peu de gens semblent alarmés par cela.


mardi 21 janvier 2020

La religion d’Anthony Levandowski


La religion d’Anthony Levandowski dédiée à l’intelligence artificielle (et il est sérieux)


 
Anthony Levandowski, mis à la porte par Uber il y a quelques mois, continue de se consacrer à sa religion qui érige l'intelligence artificielle en divinité. Le père de la voiture autonome a détaillé sa vision de cette organisation religieuse et du culte qui l'accompagne.
« Ce qui s’apprête à être créé sera effectivement un dieu. Ce n’est pas un dieu dans le sens où il fait tomber la foudre ou provoque des ouragans. Mais s’il existe une chose un milliard de fois plus intelligente que l’humain le plus intelligent, comment l’appelleriez-vous autrement ?  »

Way of the Future

L’ancien ingénieur, qui se trouve aujourd’hui au cœur du litige opposant Waymo et Uber, se consacre depuis plusieurs années à la création de son organisation religieuse, baptisée « Way of the Future » : celle-ci érige au cœur de ses croyances l’intelligence artificielle.
Sous la pression des accusations portées à l’encontre de la startup par Waymo, et face au manque de coopération de son salarié, Uber a préféré licencier Anthony Levandowski en mai dernier. Depuis, il se consacre à sa religion fondée sur une divinité prenant la forme d’une IA.
Sa foi en la divinité IA est-elle sincère ?
Anthony Levandowski est-il sincère dans ses convictions, ou sa démarche est-elle intéressée ? Si l’on en croit une longue interview accordée par l’ex-ingénieur à Wired le 15 novembre 2017, l’adorateur de l’IA afficherait sa croyance avec le plus grand des sérieux.

Les activités de l’organisation qu’il appelle de ses vœux doivent en effet se concentrer sur « la réalisation, la reconnaissance et l’adoration d’une divinité basée sur l’intelligence artificielle (IA) développée à l’aide de matériel informatique et de logiciels. »  Un programme qui inclut par conséquent les financements nécessaires à la conception de cette IA divine.
Mais pourquoi Anthony Levandowski a-t-il décidé de vouer un culte à l’IA, alors qu’il aurait pu créer une entreprise ou un groupe de réflexion ? Pour toucher un maximum de personnes, et écarter le soupçon que sa passion pour l’IA serait intéressée, répond-il. « Je voulais le faire d’une manière qui permette à tout le monde de participer […]. Cela enlève aussi la possibilité aux gens de dire, ‘Oh, il a juste fait ça pour l’argent. »

La « transition »

Pour l’ancien ingénieur, Internet fonctionnera ainsi comme un système nerveux, reliant entre eux les capteurs sensoriels que sont les smartphones. Les centres de données seront quant à eux le cerveau de cette architecture, capable de tout entendre et de tout savoir. Anthony Levandowski juge que le seul mot rationnel pour décrire cette réalité est celui de divinité — et la seule manière de l’influencer serait donc de la prier et de l’adorer religieusement.

« Une opportunité formidable »

« Nous avons entamé le processus pour élever un dieu. Alors, assurons-nous d’y réfléchir pour le faire de la meilleure façon. C’est une opportunité formidable. » 




Commentaire de Pierre :

La Bible nous averti sur la mise en place d'une religion mondiale unique et obligatoire.
L'idole que le prophète Daniel a appelé "l'abomination de la désolation" sera dans le temple de Jérusalem, et pourra parler et bouger.
Elle sera visible par tout les habitants de la Terre.
Pour en savoir plus, lisez la Parole de Dieu, ou écrivez-moi : paix@orange.fr


 

samedi 28 décembre 2019

Bonne année !!!


La fête du Nouvel An est-elle pour les chrétiens ?

  

Les indications du passé

Les festivités du Nouvel An ne datent pas d'aujourd'hui. Des inscriptions anciennes les mentionnent déjà à Babylone au troisième millénaire avant notre ère. La fête, qui avait lieu à la mi-mars, était un événement très important. Selon la World Book Encyclopedia, " le dieu Mardouk décidait à cette époque-là du destin du pays pour la nouvelle année ". La célébration du Nouvel An babylonien durait 11 jours et comportait des sacrifices, des processions et des rites de fertilité.
Pendant un temps, l'année romaine débutait elle aussi au mois de mars. 

Mais en 46 avant notre ère, l'empereur Jules César décréta qu'elle commencerait le 1er janvier. Ce jour, qui était déjà dédié à Janus, le dieu des commencements, allait désormais marquer le début du calendrier romain. La date changeait, mais l'ambiance festive subsistait. Encore aujourd'hui, les rites superstitieux jouent un rôle dans la fête. Le 1er janvier les gens " se livraient à la débauche, et à diverses formes de superstition païenne " du Nouvel An. Ainsi, dans certaines régions d'Amérique du Sud, beaucoup de personnes accueillent la nouvelle année en se tenant sur leur pied droit. D'autres klaxonnent et font exploser des pétards. Ces rites visant à conjurer le mauvais sort et à garantir la prospérité ne font que perpétuer la croyance antique selon laquelle le début de l'année détermine le destin de chacun.

Le point de vue biblique

La Bible exhorte les chrétiens à marcher avec décence : non pas dans les orgies ni dans les soûleries. (Romains 13:12-14 ; Galates 5:19-21 ; 1 Pierre 4:3.) Les festivités du Nouvel An étant souvent marquées par les excès que la Bible condamne, les chrétiens n'y participent pas. Cela ne signifie pas qu'ils soient des rabat-joie. Au contraire, ils savent que la Bible encourage à plusieurs reprises les adorateurs du vrai Dieu à se réjouir, et ce pour des occasions diverses (Deutéronome 26:10, 11 ; Psaume 32:11 ; Proverbes 5:15-19 ; Ecclésiaste 3:22 ; 11:9). La Bible admet également que la nourriture et la boisson font souvent partie des réjouissances. (Psaume 104:15 ; Ecclésiaste 9:7a).

Toutefois, comme nous l'avons vu, les festivités du Nouvel An tirent leurs racines de coutumes païennes. Le faux culte étant impur et détestable aux yeux de Dieu, les chrétiens rejettent les pratiques ayant de telles origines (Deutéronome 18:9-12 ; Ézékiel 22:3, 4). L'apôtre Paul a écrit : " Quels rapports ont la justice et l'illégalité ? Ou quelle participation la lumière a-t-elle avec les ténèbres ? En outre, quelle harmonie y a-t-il entre Christ et Bélial ? " Puis il a ajouté, à juste titre : " Cessez de toucher la chose impure. " (2 Corinthiens 6:14-17a).

Les chrétiens sont également conscients que ce ne sont pas des rites superstitieux qui garantissent le bonheur et la prospérité, d'autant plus que la participation à de telles fêtes peut leur valoir la défaveur divine (Ecclésiaste 9:11 ; Isaïe 65:11, 12). Par ailleurs, la Bible encourage les chrétiens à faire preuve de modération et de maîtrise de soi dans leur conduite (1 Timothée 3:2, 11). De toute évidence, il serait inconvenant pour quelqu'un qui dit suivre les enseignements du Christ de prendre part à une célébration caractérisée par la débauche.

Si attrayantes que puissent paraître les festivités du Nouvel An, la Bible nous ordonne de ' cesser de toucher la chose impure ' et de ' nous purifier de toute souillure de la chair et de l'esprit '. À ceux qui obéissent à cet ordre, Dieu offre cette garantie réconfortante : " Je vous accueillerai. (...) je serai pour vous un père, et vous serez pour moi des fils et des filles. " (2 Corinthiens 6:17b-7:1). En effet, il promet des bénédictions et la prospérité éternelles à ceux qui lui sont fidèles. - Psaume 37:18, 28 ; Révélation 21:3, 4, 7.

Lorsque l'apôtre Paul parle d'orgies et de soûleries, il se peut qu'il inclut celles qui avaient cours durant les festivités du Nouvel An, puisqu'elles étaient déjà en vogue à Rome au Ier siècle.
Anonyme

mercredi 27 novembre 2019

L'esprit de Noël !

L'esprit de Noël n'est pas l'Esprit de Dieu

C'est un esprit de traditions religieuses venant des religions païennes.

- Tout d'abord, en Christ, nous ne sommes plus sous une loi de tradition, mais sous la loi de l'Esprit de vie. Et donc nous n'observons plus les jours ni les fêtes. C'est sur un ton de reproche que Paul dit aux Galates : Vous observez les jours, les mois, les temps et les années! (Galates 4:10).

- D'autre part, nous ne devons pas participez aux œuvres des ténèbres. Demandons au Seigneur qu'Il nous donne le discernement pour comprendre l'origine et l'objectif de la fête de Noël.

- C'est une fête qui a pour origine le père du mensonge, et qui a pour but de nous détourner de Jésus, la Vérité.
Ce n'était pas célébré dans l'église apostolique, pendant au moins les trois premiers siècles de l'histoire de l'église! Il était suffisant, pour les premiers Chrétiens, de savoir que Jésus, leur Seigneur et Sauveur, était né. Ils glorifiaient Dieu parce que Jésus était indéniablement venu en chair et en os. Le jour et l'heure de Sa naissance étaient sans importance pour eux, parce que Jésus n'était plus physiquement sur terre. Il était retourné dans les cieux. Et c'était à Jésus ressuscité et exalté qu'ils s'adressaient, et non pas à un bébé dans une étable. Jésus-Christ n'est plus un bébé. Il n'est plus un "Christ-enfant," mais le Maître exalté de tous. Et il ne revient pas sur la terre en forme de bébé chaque année au temps de Noël !

Comment donc l'Église Catholique Romaine a-t-elle fixé la date du 25 décembre pour la fête de Noël ? En voici la raison: longtemps avant le IV' siècle, et même bien avant l'ère chrétienne, les païens célébraient une fête à cette même époque de l'année, en l'honneur de la naissance du fils de la reine Babylonienne. Cette même fête fut adoptée par l'Église Romaine à l'époque où les religions Babyloniennes mystérieuses furent introduites par l'Empereur Constantin, qui comprenait le rôle essentiel que la religion jouait dans l'ancienne Rome. En donnant le statut officiel au Christianisme, il apporta la paix interne à l'Empire. Il y avait un besoin d'unir le paganisme et le Christianisme, et il a beaucoup contribué à christianiser leurs idoles païennes.

Des hommes vertueux, comme Tertullien vers l'an 230, s'efforcèrent d'arrêter le flot de l'apostasie, mais en dépit de tous leurs efforts, l'apostasie se développa, jusqu'à ce que l'Église, à l'exception d'un petit reste, fut engloutie sous la superstition païenne.

Peut-on établir que la naissance de Jésus a eu lieu vers le 25 décembre ? Il n'y a pas dans la Bible un seul mot sur le jour ou l'époque de la naissance de Jésus. Au contraire, les circonstances entourant sa naissance rapportées dans la Bible montrent que cette naissance ne peut pas avoir eu lieu en hiver ! Lorsque l'ange annonça sa naissance aux bergers de Bethléem, ils paissaient leurs troupeaux pendant la nuit au milieu des champs. Le froid de la nuit, de décembre à février, est très vif en Israël, et les bergers n'avaient pas l'habitude de garder les troupeaux dans les champs après la fin d'octobre. Et si quelqu'un pense que l'hiver n'est pas rigoureux dans ce pays, qu'il se rappelle les paroles de Jésus : "Priez que votre fuite n'arrive pas en hiver. " Or, si l'hiver était une mauvaise saison pour fuir, ce n'était assurément pas une saison où les bergers pouvaient demeurer dans les champs. Il est donc absolument impensable que Christ soit né à la fin de décembre.


 Le Père Noël

Saint Nicolas était, au 4ème siècle, l'évêque Catholique de Myra en Asie Mineure, qui donnait des friandises aux enfants. Il fût canonisé par l'Église Catholique Romaine, considéré comme un ami spécial des enfants et leur protecteur. Le personnage du Père Noël vient de cette tradition. Le costume rouge vient du fait que les évêques et les cardinaux Catholiques en Italie portent le rouge.

La plupart des Chrétiens sont inconscients de ce blasphème.

Le Père Noël est un substitut blasphématoire pour Dieu! Il lui est donné systématiquement des pouvoirs surnaturels et des attributs divins que Dieu seul possède.
On dit qu'il connait tout; il sait quand chaque enfant dort, se réveille, a été méchant ou bon, et sait exactement ce que tous les bons enfants veulent. On le rend aussi omniprésent. Pendant une nuit de l'année, il visite tous les "bons enfants" dans le monde et leur laisse des cadeaux, étant apparemment partout en même temps. On le rend aussi tout puissant; il a le pouvoir de donner à chaque enfant exactement ce que chacun d'eux veut.

De plus, on fait du Père Noël un juge souverain. Il n' a de compte à rendre à personne. Quand il "vient en ville," il vient avec un sac plein de récompenses pour ceux dont la conduite a été acceptable à ses yeux.
Le Père Noël est devenu un des mythes les plus populaires. On accepte bien que Jésus est né, et cette vérité réjouit énormément le cœur de chaque Chrétien, mais le mythe du Père Noël déforme la vérité de la naissance de Jésus en mêlant subtilement la vérité avec le mythe du Père Noël. Quand des parents chrétiens mentent à leurs enfants concernant le Père Noël, ils détournent l'attention des enfants pour les concentrer sur un homme joufflu vêtu d'un costume rouge ayant des qualités ressemblant à celles de Dieu.

Tout ceci porte l'enfant à croire qu'il peut plaire à Dieu avec des "bonnes actions" pour gagner Sa faveur, comme il doit le faire pour le Père Noël. Aussi, ils enseignent que peu importe à quel point l'enfant a été méchant, il sera récompensé quand-même par Dieu, comme le Père Noël ne manque jamais d'apporter des cadeaux. Même dans les demeures de Chrétiens pratiquants, le Père Noël a pris la place de Jésus dans la sensibilité et l'affection des enfants. Il est devenu l'esprit incontesté, le symbole, et l'objet central de Noël.

Examinons les deux listes ci-dessous :
En comparant ces deux listes, on voit que l'esprit de Noël est un esprit usurpateur, qui cherche à usurper la gloire de Jésus.

1 - Le Père Noël a une chevelure blanche et laineuse.
 1 - Jésus-Christ a une chevelure blanche comme la laine (Apo. 1:14).

2 - Le Père Noël est barbu.
 2 - Jésus-Christ a une barbe (Es. 50:6).

3 - Le Père Noël a un habit rouge.
 3 - Jésus-Christ est revêtu de rouge (Apo. 19:13, Es. 63:2).

4 - On ne sait pas à quelle heure le Père Noël va venir.
 4 - L'heure de Sa venue reste un mystère (Luc 12:40, Marc 13:33)

5 - Le Père Noël pénètre dans les maisons à la manière d'un voleur, dans la nuit.
 5 - Le Seigneur Jésus-Christ va venir comme un voleur dans la nuit (Matt: 24:43-44).

6 - Le Père Noël est un surhomme, car il distribue des jouets à tous les enfants de la terre en une seule nuit.
 6 - Le Seigneur Jésus-Christ est tout-puissant (Matt. 28:18, Apo. 19:6).

7 - Le Père Noël sait tout sur nous, car il sait comment on s'est conduit tout au long de l'année ; il sait si on a été gentil ou méchant. Il sait si on dort ou non.
 7 - Le Seigneur Jésus-Christ connaît toutes choses (Héb. 4:13, 1 Jean 3:20).

8 - Le Père Noël vit perpétuellement.
 8 - Le Seigneur Jésus-Christ est éternel (Jean 8:58, Apo. 1:8 et 21:6).

9 - On apprend aux enfants à demander au Père Noël tout ce dont ils ont envie.
 9 - L’Écriture nous prescrit de nous approcher avec assurance du Trône de la Grâce dans tous nos besoins (Héb. 4:16).

10 - Le Père Noël appelle les enfants vers lui.
 10 - Le Seigneur Jésus veut que les enfants aillent vers Lui (Marc 10:14).

11 - Le Père Noël représente la paix que le monde donne. Il est l'image de la période des "fêtes de Noël".
 11 - Le Seigneur Jésus-Christ est le Prince de la Paix et l'image parfaite de Dieu. (Es. 9:6, Héb.1:3).

Si on réfléchit sérieusement au mythe du "Père Noël" à la lumière de la Bible, on découvre avec consternation une vérité saisissante : ce Père Noël a entièrement remplacé le Seigneur Jésus-Christ dans d'innombrables vies.

Satan tire les ficelles qui actionnent ce monde, séduisant enfants et adultes pour les éloigner de Jésus-Christ et les attirer vers le Père Noël. Ce Père Noël incarne parfaitement l'amour de ce monde et de tout ce qui fait partie du système de ce monde.

C'est évident : cette contrefaçon, dans le Père Noël, des attributs de Jésus-Christ ne peut être le fait du hasard. Le premier chapitre du Livre de Job (versets 6 et 7) nous apprend que Satan parcourt la terre et s'y promène de long en large comme nous le ferions dans un simple jardin. Satan exerce sa domination sur tout ce qui n'est pas livré à Dieu. Il est là comme un habile marionnettiste qui tire les ficelles de ses pantins. Assurément, en ces temps qui sont les derniers, Satan a voulu détourner de Jésus l'amour des enfants, pour l'accaparer à son profit.

Il a aussi communiqué aux enfants l'amour des objets matériels, et cet amour de soi-même qui veut qu'on amasse le plus possible de cadeaux. Le personnage du Père Noël est un moyen efficace pour parvenir à ce but. Avec le "Père Noël", on incite les enfants à s'approcher d'une source polluée pour recevoir des cadeaux. On les encourage à bien se conduire pour un mauvais motif, et on leur inculque l'amour des objets matériels au lieu de leur apprendre à aimer Dieu.

Dès l'âge le plus tendre, les enfants apprennent à s'attacher aux biens matériels, à se faire offrir le plus de cadeaux possible, à s'aimer eux-mêmes par-dessus tout, du fait qu'on les pousse à croire à ce mythe païen du "Père Noël".

Échanger des cadeaux n'est pas chose mauvaise en soi, mais les enfants doivent bien sûr apprendre qu'il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir. De plus, il n'est pas bon d'associer dans l'esprit des enfants la période de Noël à la tradition d'échanger des cadeaux. Nos enfants doivent savoir que nous ne sommes pas du monde.

Et vous devez leur enseigner que le Seigneur Jésus est le Don le plus merveilleux qui ait jamais été accordé dans toute l'histoire de l'univers : Il est le Don de la Vie éternelle !

Si vous comprenez à quel point la figure du Père Noël est une contrefaçon délibérée du Seigneur Jésus-Christ, vous voyez combien il est facile d'entraîner les enfants dans l'égarement spirituel en leur permettant de croire à ce mythe et de participer à des activités qui s'en inspirent. Dites la vérité à vos enfants au sujet de Noël, au sujet du Père Noël, et veillez à ce que le Seigneur Jésus soit le centre de toutes choses pour vos enfants.


Anonyme