La nature religieuse de l’évolution
Le célèbre philosophe des sciences canadien, Dr Michael Ruse, a fait de surprenantes confessions au sujet de la nature religieuse de l’évolution lors d’un symposium intitulé «Le nouvel antiévolutionnisme», de l’American Association for the Advancement of Science (Association américaine pour l’avancement de la science).
Ces affirmations ont choqué ses collègues, sachant qu’il a écrit un livre – But is it Science? («Mais est-ce de la science?») – dénonçant le créationnisme comme étant religieux, et parce qu’il était la dernière personne qu’ils suspectaient de les trahir.
Il semblait admettre que l’évolution est basée sur l’exclusion dogmatique d’une création et d’un créateur miraculeux : en réalité, un engagement de foi en faveur du naturalisme, l’improuvable croyance religieuse qu’aucun élément surnaturel n’existe ou n’est pertinent.
Ruse a dit ceci : «A un niveau vraiment fondamental, l’évolution en tant que théorie scientifique s’engage dans une sorte de naturalisme, à savoir qu’à un certain niveau, les miracles et ce genre de choses, quelles qu’elles soient, seront exclus.» Il a continué à défendre cette hypothèse improuvable par le fait que, à son avis, elle fonctionne.
Toutefois, a dit Ruse : «L’évolution, tout comme la religion, implique certains a priori ou suppositions métaphysiques, qui, à un certain niveau, ne peuvent pas être prouvés de façon empirique.»
Plus tard, il a déclaré qu’on ne peut pas juste dire que l’évolution est de la science et la création de la religion. On doit avoir d’autres «théories de cohérence de la vérité, ou quelque chose comme ça. Je continue à penser qu’on peut certainement exclure la science de la création pour ces motifs».
Le professeur en droit Phillip Johnson a sévèrement critiqué la déclaration anti-création de Ruse :
«Je me rends compte que quand on a affaire à des gens, disons, du niveau de l’école, ou quelque chose comme ça, certains de ces arguments sont appropriés.
Mais ceux d’entre nous qui sont des universitaires... devraient reconnaître... que le camp de la science échafaude certaines suppositions métaphysiques pour faire de la science – ce n’est peut-être pas bien de l’admettre dans une cours de justice – mais je pense honnêtement que nous devrions le reconnaître et penser à ce genre de choses.»
Beaucoup de gens ne réalisent pas que l’enseignement de l’évolution propage une religion antibiblique.
Carl Wieland
Le célèbre philosophe des sciences canadien, Dr Michael Ruse, a fait de surprenantes confessions au sujet de la nature religieuse de l’évolution lors d’un symposium intitulé «Le nouvel antiévolutionnisme», de l’American Association for the Advancement of Science (Association américaine pour l’avancement de la science).
Ces affirmations ont choqué ses collègues, sachant qu’il a écrit un livre – But is it Science? («Mais est-ce de la science?») – dénonçant le créationnisme comme étant religieux, et parce qu’il était la dernière personne qu’ils suspectaient de les trahir.
Il semblait admettre que l’évolution est basée sur l’exclusion dogmatique d’une création et d’un créateur miraculeux : en réalité, un engagement de foi en faveur du naturalisme, l’improuvable croyance religieuse qu’aucun élément surnaturel n’existe ou n’est pertinent.
Ruse a dit ceci : «A un niveau vraiment fondamental, l’évolution en tant que théorie scientifique s’engage dans une sorte de naturalisme, à savoir qu’à un certain niveau, les miracles et ce genre de choses, quelles qu’elles soient, seront exclus.» Il a continué à défendre cette hypothèse improuvable par le fait que, à son avis, elle fonctionne.
Plus tard, il a déclaré qu’on ne peut pas juste dire que l’évolution est de la science et la création de la religion. On doit avoir d’autres «théories de cohérence de la vérité, ou quelque chose comme ça. Je continue à penser qu’on peut certainement exclure la science de la création pour ces motifs».
Le professeur en droit Phillip Johnson a sévèrement critiqué la déclaration anti-création de Ruse :
«Je me rends compte que quand on a affaire à des gens, disons, du niveau de l’école, ou quelque chose comme ça, certains de ces arguments sont appropriés.
Mais ceux d’entre nous qui sont des universitaires... devraient reconnaître... que le camp de la science échafaude certaines suppositions métaphysiques pour faire de la science – ce n’est peut-être pas bien de l’admettre dans une cours de justice – mais je pense honnêtement que nous devrions le reconnaître et penser à ce genre de choses.»
Beaucoup de gens ne réalisent pas que l’enseignement de l’évolution propage une religion antibiblique.
Carl Wieland