C’est une attitude que connaissent bien les chrétiens et les juifs des pays musulmans.
Les musulmans, en effet, après avoir massacré – souvent avec un raffinement de cruauté – les mécréants (juifs et chrétiens) vaincus, peuvent offrir aux survivants le choix entre la mort, l’exil ou la possibilité de continuer à vivre dans leur pays et d’y pratiquer leur religion, avec le statut de « dhimmi ».
Le dhimmi est, dans le pays, un sujet inférieur obligé de payer tribut au cours d’une humiliante cérémonie (ce tribut constituant l’essentiel du budget du pays), il lui est interdit de posséder la terre – qu’il peut seulement cultiver – ou de monter à cheval, il doit porter en public un vêtement ou une marque spéciale.
Devant tout musulman, il doit céder le pas et s’humilier, en reconnaissant humblement son infériorité. Son témoignage en justice ne vaut rien contre celui d’un musulman. Il ne doit jamais contester qu’il n’y a qu’un seul Dieu qui est Allah (ce qui fait de l’acceptation de l’état de dhimmi une quasi-apostasie).
L’acceptation de l’état de dhimmi n’est d’ailleurs pas une protection absolue : nombreux sont les émirs musulmans qui ont exigé de leurs sujets dhimmis une conversion à l’islam, sous peine de mort.
Commentaire du webmestre :
En réalité, il n'y a que 2 sortes de gens sur la Terre :
Ceux qui sont nés de nouveau par la foi au Seigneur Jésus Christ, et les autres...