mercredi 26 février 2014

L'Islam est illégal en Angola

Angola: « l’islam est illégal et nous détruirons toutes les mosquées du pays »

Un fait qui semble insolite mais qui est loin de l’être. Un pays africain qui interdit l’Islam sur son territoire ! C’est un pays qui est à l’inverse du Sénégal sur les composantes religieuses. Au Sénégal, nous avons 95% de musulmans et 5% de chrétiens. Et dans ce pays africain, environ 95 % de la population est chrétienne, un quart appartient à l’Église évangélique congrégationnelle. Et ce sont ces données qui poussent les autorités de ce pays à interdire la religion musulmane qu’ils considèrent comme une secte.

Les faits se déroulent en Angola, au pays de José Eduardo Dos Santos à l’ONU.

Au début du mois d’octobre 2013, les musulmans particulièrement en majorité des guinéens vivant à Luanda dans la commune de Viana Zango ont eu la mauvaise surprise de voir le minaret de leur mosquée démontée en pièces au motif que celui-ci était mal fait et monté sans autorisation. Le jeudi 03 octobre, au petit matin, les autorités angolaises ont décidé de détruire la mosquée de Zango situé dans la commune urbaine de Viana km 17. Le gouverneur de la ville de Luanda Bento a annoncé dans une radio de la place que « les musulmans radicaux ne sont pas les bienvenus en Angola et le gouvernement angolais n’est pas prêt pour la légalisation des mosquées en Angola ».

Et avant-hier, mardi 19 novembre, c’est la ministre de la culture de ce pays qui montre la radicalisation du pays face à l’Islam. La ministre de la Culture, Rosa Cruz e Silva a déclaré : « En ce qui concerne l’Islam, dont le processus de légalisation n’a pas été approuvé par le ministère de la Justice et Droits de l’Homme, leurs mosquées seraient fermées jusqu’à nouvel ordre ».

Il faut noter aussi le gouvernement angolais a promis de faire la chute de toutes les mosquées une priorité. Les deux seules mosquées qui se trouvent à Luanda ont déjà reçu un document d’avertissement de l’administration de Viana signé par le maire de la commune de Viana José Moreno.

Rappelons que la religion principale en Angola est le christianisme.
L’Angola n’a pas besoin de lècher les babouches des musulmans, il est le deuxième producteur de pétrole en Afrique subsaharienne. L’or noir contribue à hauteur de 47% sur le PIB national et représente environ 80% des recettes.


mercredi 8 janvier 2014

Pédophilie


La congrégation des "Légionnaires du Christ" se réunit à Rome

AFP

Les "Légionnaires du Christ", puissante congrégation éclaboussée par les crimes pédophiles de son fondateur, se réunit à partir de ce mercredi à Rome pour entamer une refonte qui permette de rompre avec les terribles dérives du passé.


 Pendant plusieurs semaines, 61 responsables de la Légion et de son mouvement laïc, Regnum Christi, venus principalement des Amériques, vont plancher pour relancer cette congrégation conservatrice, présentée par Jean Paul II comme parangon de vertu pour sa capacité à recruter des prêtres et son obéissance.

Un tiers des délégués proviennent du Mexique, pays du père "Marcial Maciel", sulfureux fondateur de ce mouvement présent dans 22 pays, regroupé en 109 maisons, fort de 953 prêtres, 932 religieux et novices, 945 séminaristes et quelque 70.000 laïcs.

Le Vatican est accusé par d'anciennes victimes de ne pas avoir réagi aux accusations récurrentes contre Maciel, mort en 2008 à l'âge de 88 ans, semblant longtemps vouloir le protéger.

 Les actes pédophiles, la corruption et les enfants naturels du père "Maciel" avait profondément ébranlé la Légion, mettant en lumière d'autres aspects sombres: affairisme, culte de la personnalité, secret, méthodes peu évangéliques de recrutement dans les milieux pauvres.

Le vicaire général par intérim nommé en 2012, l'Allemand Sylvester Heereman, a chiffré à 35 les prêtres de la Légion ayant été accusés d'avoir abusé de mineurs. Selon lui, 14 ont été acquittés en raison d'"accusations infondées" ou parce que leur comportement a été reconnu "imprudent" mais non criminel. Neuf ont été reconnus coupables et dix sont encore sous enquête.

Mais pour les associations anti-pédophilie, une partie de la réalité est encore cachée, et la mentalité n'a pas changé.


Selon elles, en trois ans de mise sous tutelle, le changement en profondeur n'a pas eu lieu, parce qu'une partie des dirigeants de l'ère Maciel --complices des abus ou non-- sont restés.

Les séismes secondaires se poursuivent. Encore en 2013, William Izquierdo, un ancien "frère" américain a été accusé d'avoir abusé d'un novice.

Le "père" brésilien Deomar De Guedes, conseiller général, possible candidat à la direction de la Congrégation, s'est retiré spectaculairement, constatant qu'"il n'y a pas d'espoir de changement",alors que 70% des responsables en poste avant le scandale sont encore là.

AFP

Commentaire de Pierre Danis : 

Jésus Christ n'a jamais obligé quelqu'un a rester célibataire. 
La religion catholique n'est pas une église chrétienne, mais une contre-façon diabolique de la véritable église de Jésus Christ.



jeudi 5 décembre 2013

Kahina

Sur les traces de la reine berbère juive


De sa forteresse dans les Aurès, la souveraine combattit farouchement les envahisseurs arabes.
Plus de 1 300 ans après sa mort, elle demeure le symbole de la résistance amazigh.
Pour accéder au refuge de Kahina (également appelée Dihya), reine berbère qui vécut au VIIe siècle, il faut montrer patte blanche. D’abord passer plusieurs contrôles de gendarmerie et de police, franchir ensuite deux barrages militaires, y déposer ses papiers d’identité et s’engager à quitter les lieux avant 17 heures précises.

« La zone est dangereuse en raison de la présence de groupuscules terroristes qui rodent dans la région dès le crépuscule », confie un militaire.
Passé le dernier check-point et après une succession de virages tortueux, se dresse le site touristique de Tajmint, dans le massif des Aurès (550 km au sud-ouest d’Alger), un des derniers refuges de cette reine qui tint tête aux armées arabes venues propager l’islam en Afrique du Nord à partir de l’an 670.

Près de quatorze siècles après sa mort, le sabre à la main, la reine Kahina demeure un symbole de la résistance des populations berbères aux conquêtes étrangères  : romaine, vandale, byzantine, arabe, turque ou française. Dans le pays chaoui partagé entre montagnes et plaines de rocailles, Kahina est adulée. On la surnomme « Yemma », « maman » en langue amazigh.

À l’entrée du canyon de Tajmint, un immense bloc de roche, aussi haut qu’un gratte-ciel, veille comme une sentinelle sur la forteresse de « Yemma Kahina ». Sur la crête des falaises où poussent abondamment genévriers et figues de Barbarie, des maisons de pierre avec poutres forment le village millénaire, déserté depuis le début de la guerre d’Algérie, en 1954. Pour stocker blé, orge, dattes, huile, des greniers de type troglodytique, dont il ne reste que des ruines, ont été érigés à même les parois de la muraille.

Un symbole de courage, de beauté et de liberté

Nous sommes en l’an 686. Koceila, qui règne sur plusieurs tribus berbères, meurt lors d’une bataille contre l’ennemi arabe en compagnie de Thabet, père de Kahina, tandis que le reste de leurs troupes trouve refuge dans le maquis des Aurès.

La fille unique, qui appartient à la tribu Djerawa, est belle, fougueuse, bonne cavalière, habile à l’arc et de confession juive. Elle prend la tête de la résistance, fédère les tribus qui refusent de se soumettre aux musulmans, comme jadis la communauté s’était dressée contre les Romains et les Byzantins.

Son adresse, son courage, l’aura mystique qu’elle dégage en temps de guerre comme en temps de paix ainsi que ses supposés dons surnaturels – les Arabes la surnomment Kahina (prêtresse, prophétesse ou sorcière) – font d’elle une reine aussi redoutée qu’incontestée.

Le chef musulman Hassan Ibn Nouâmane, qui lance ses guerriers des années durant contre les Aurès, reçoit un jour ce conseil  : « Les habitants redoutent Kahina et lui obéissent. Tue-la, et les Berbères se rendront. » Après avoir régné sur ces vastes territoires qui s’étendaient jusqu’à la frontière tunisienne, Kahina succombera vers 703 lors d’une bataille contre les hommes d’Ibn Nouâmane.
Sa tête, tranchée, est expédiée comme un trophée de guerre au calife Abd al-Malik, installé dans le Cham, l’actuelle Syrie.

Mais dans les Aurès, en Kabylie ou chez les Berbères de Libye, cette reine insoumise reste un symbole de courage, de beauté et de liberté. Sa légende est encore célébrée par des poèmes et des chants. Et son nom est porté avec fierté par les filles berbères.






mardi 15 octobre 2013

L'islam : Une religion de paix !

Violence

Lorsque ce professeur m`a demandé pourquoi j`avais quitté l`islam, je lui ai dit: «J`ai étudié l`histoire de l`islam en profondeur, et c`est tout simplement un bain de sang. Lorsque les musulmans ont cessé de tuer les non-musulmans, ils ont commencé à s`entre-tuer.» Puis, je lui ai donné des exemples: la guerre de conversion, au cours de laquelle près de 90 000 personnes ont été tuées parce qu`elles refusaient de payer la zakat ou l`impôt pour les pauvres, après la mort de Mahomet; la guerre de Sufyan, au cours de laquelle 10 000 musulmans sont tombés en combattant pour le pouvoir, après la mort de Mahomet; la guerre Iran/Irak, au cours de laquelle un million de personnes ont été tuées et deux millions blessées en neuf ans; la guerre civile d`Algérie qui a fait environ 150 000 morts depuis 1991.


Cet homme m`a répondu:«Les chrétiens aussi mènent leur guerre sainte. Ils mettent en pratiques ce verset de Jésus sur l`épée: Je ne suis pas venu apporter la paix mais l`épée (Matthieu 10:34).» Puis il m`a dit: «Pensez aux croisades. Regardez l`Irlande, la Yougoslavie et ce que les chrétiens serbes ont fait aux musulmans.»

A ce moment-là, je n`ai pas parlé de la véritable significations de Matthieu 10:34, mais je lui ai dit:«Bien. Cela est arrivé et continuera d`arriver, aussi bien dans l`islam que dans le christianisme. Mais le fait est qu`en se battant, les musulmans ont mis en pratique les enseignements du Coran sur la guerre sainte, guerre prônée par de nombreux chapitres, et qu`ils ont suivi l`exemple du fondateur même de l`islam. Par contre, je vous défie de trouver un seul verset de l`Écriture par lequel Jésus ordonne à ses disciples de tuer les gens en son nom.

Et concernant le mal commis par des chrétiens: ces gens étaient uniquement des chrétiens de nom. Ils ont désobéi à la parole de Christ et se sont laissé égarer par les désirs de leur coeur. La Bible dit: Le coeur est tortueux par dessus tout, et il est méchant. Voila pourquoi vous ne verrez aucune différence entre les actes des musulmans qui tuent et détruisent et les actes des chrétiens qui tuent et détruisent. il faut se demander s`ils suivent l`exemple de leur maître ou pas. C`est là que réside la différence.»


En vérité, tous ceux qui ont participé aux croisades sont allés à l`encontre des enseignements de Jésus. Les croisés avait beau porter des croix, ce n`est pas pour cela qu`ils suivaient Christ. En revanche, lorsque les musulmans renversent un gouvernement par la force, ils suivent d`une part l`enseignement de Mahomet et d`autre part son exemple.

Anonyme