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vendredi 19 juillet 2024

 Les dangers de l’œcuménisme


Puisque l’Église Catholique n’a pas changé, nous devons nous tenir sur nos gardes devant le danger de la séduction oecuménique. Toute forme d’oecuménisme avec l’Église de Rome n’est que reconnaissance

implicite de son christianisme dénaturé. Dans sa seconde lettre aux Corinthiens, l’apôtre Paul évoque les nombreux dangers auxquels il a été confronté dans son ministère :

“Fréquemment en voyage, j’ai été en péril sur les fleuves, en péril de la part des brigands, en péril de la part de ceux de ma nation, en péril de la part des païens, en péril dans les villes, en péril dans les déserts, en péril sur la mer, en péril parmi les faux-frères. » (2 Co 11.26)

Nous voyons ici que Paul considère sa présence au milieu de faux-frères comme une situation périlleuse, dangereuse. En 2 Corinthiens 11:13, il parle ainsi des faux-frères : “Ces hommes-là sont de faux apôtres, des ouvriers trompeurs, déguisés en apôtres de Christ.” Dans cette même épître, l’apôtre décrit les faux-frères comme falsifiant la Parole de Dieu (2.17), se recommandant eux-mêmes (10.12), prêchant un autre Jésus et un autre évangile (11.4). N’est-ce pas ce qui caractérise le Magistère de Rome ?


L’Église Catholique entretient ses fidèles dans un esprit de religion.

Avec ses édifices grandioses, ses liturgies théâtrales et ses rites sacramentels, elle les enferme dans les liens du sentiment religieux et des traditions humaines.

Elle transmet le sens du sacré et non pas la prise de conscience de la sainteté de Dieu, devant laquelle l’homme se sent profondément pécheur et soupire après son salut.

L’Église de Rome maintient ses fidèles dans l’obéissance à sa hiérarchie sacerdotale, tout en les conduisant à désobéir à Dieu.

Elle parle un langage pseudo-évangélique dans lequel la Parole de Dieu a perdu toute sa force et sa puissance de régénération, pour devenir un discours de morale et d’éthique universel.

Elle se réclame de Christ, mais elle en détourne constamment ses fidèles en les faisant se confier dans sa Vierge, ses “saints” et ses papes.

Elle a remplacé le culte en esprit et en vérité par la croyance en la présence réelle3 et par l’adoration de l’hostie. C’est ici qu’apparaît le trait le plus marquant du caractère mensonger et usurpateur du sacerdoce romain.

Le concile Vatican II n’a pas modifié le sens de la messe. On continue de faire croire aux fidèles que Jésus est rendu réellement présent dans l’hostie par le pouvoir sacramentel et sacerdotal du clergé romain.

Bien sûr, les catholiques ont un Credo auquel nous adhérons. Mais ce n’était pas à cause de cette formulation de foi qu’il y a eu des séparations au temps de la Réforme. De même, bien des paroles prononcées dans les cultes romains sont justes (particulièrement lorsqu’on lit des extraits de la Bible) – et aussi, bien souvent, les prises de position morales ou éthiques –, mais, encore une fois, ce n’est pas là que se trouve l’origine de notre séparation.

Le sens des responsabilités

Face à la séduction oecuménique, redoublons de vigilance ! Que ceux qui exercent les fonctions d’anciens ou de pasteurs prennent conscience des responsabilités qu’ils portent, particulièrement dans ce domaine :

“Prenez donc garde à vous-mêmes, et à tout le troupeau sur lequel le Saint-Esprit vous a établis évêques, pour paître l’Église du Seigneur, qu’il s’est acquise par son propre sang.” (Ac 20.28)

Confiance en Dieu

Le développement du mouvement oecuménique et interreligieux prend une tournure irréversible. L’apostasie est devant nous. Dans un tel contexte, nous avons besoin de nous encourager les uns les autres pour persévérer jusqu’au bout :

“Fortifiez-vous et que votre coeur s’affermisse, vous tous qui espérez en l’Éternel.” (Ps 31.25)

À tous ceux qui vivent dans l’attente confiante de son retour, le bon Berger qui a donné sa vie pour ses brebis dit encore aujourd’hui :

“Ne crains point, petit troupeau ; car votre Père a trouvé bon de vous donner le royaume.” (Luc 12.32)

Bernard Prunneaux



vendredi 3 juillet 2020

L’église catholique d’Allemagne dans l’appareil de guerre


1939-1945: L’église catholique d’Allemagne fait partie des soutiens de guerre


Dans un nouveau rapport à l’occasion du 75ème anniversaire de la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la conférence allemande des évêques catholiques a fini par admettre la complicité de l’Eglise dans les actions du régime nazi au cours de la Seconde Guerre Mondiale. Il nous suffit juste de citer quelques lignes de son texte pour comprendre ce que les évêques actuels disent que leurs prédécesseurs de la période de la guerre : “L’Eglise catholique en Allemagne faisait partie de l’appareil de guerre. La volonté chaotique de mobiliser les ressources matérielles, personnelles et spirituelles de l’Eglise dans l’effort de guerre est demeurée intacte jusqu’à la fin ».

Aussi : “Autant en septembre 1939 que par la suite, il n’y a pas eu de protestation publique de la part des évêques allemands contre la guerre d’extermination nationale socialiste” et “contre les crimes incroyables, à la fois contre les étrangers discriminés en raison de la race supposée, aussi bien que d’autres persécutés, en particulier les Juifs, rarement une voix s’est élevée au sein de l’Eglise allemande“. Il y a eu de nombreuses autres façons dont l’Eglise a assisté les Nazis. Le rapport les décrit également.


On doit aussi ajouter que l’Eglise Catholique Allemande percevait les procès d’après-guerre contre les criminels de guerre Nazis comme des actes de vengeance. Ces criminels extrémistes étaient, à leurs yeux, des victimes persécutées par la Justice. Le clergé catholique, y compris celui du Vatican, ont fait partie de ceux qui ont aidé de milliers de Nazis à s’échapper vers l’Amérique Latine via “La Route des Rats“.

L’actuel Président de la Conférence des évêques allemands, le Révérend Georg Bätzing, a précisé que ces actes de reconnaissance dans le rapport, ne sont pas faciles à admettre pour les évêques : “Nous savons que présider par-dessus l’épaule de nos prédécesseurs en tant que juges et parties ne nous convient pas. Aucune génération n’est libre des jugements et préjugés qui sont façonnés par son époque… mais ceux qui arriveront plus tard doivent pouvoir se confronter à l’histoire dans le but d’en tirer des leçons“. Dans son introduction au rapport, Bätzing dévoile ce qui pourrait constituer des - nouvelles choquantes – que de graves questions quant au comportement des évêques allemands au cours de la Seconde Guerre Mondiale, ne sont soulevées que depuis très récemment.

Pourquoi les évêques ont-ils attendu 75 ans avant de formuler ces aveux? Nous sommes à présent les générations des évêques d’après. Qu’est-ce qui a rendu si difficile aux évêques de la période de la guerre d’admettre leurs compromissions? Dans le catholicisme, la confession faite par l’individu de ses péchés joue un rôle central.

Même dans les relations avec un autre organisme religieux allemand, les évêques catholiques ont mis une très longue période avant d’avouer.

Le rapport nous permet d’obtenir un meilleur point de vue sur un incident scandaleux qui est survenu en mars 2007. 27 évêques catholiques allemands ont fait un pèlerinage en Israël. C’était censé représenter un symbole de réconciliation entre Juifs et Catholiques. Cependant, certains évêques l’ont transformée en visite des plus scandaleuses.


Gregor Maria Hanke, évêque d’Eichstätt, a procédé à une remarque d’inversion caractérisée de la Shoah, suggérant que les Israéliens agissent comme les Nazis. Il avait alors proféré : “Ce matin, nous avons vu les photos du ghetto inhumain de Varsovie et, dans la soirée, nous avons voyagé vers le ghetto de Ramallah”. Plus tard, il a feint de dire qu’il n’avait aucune intention de faire une telle comparaison.

L’évêque Walter Mixa d’Augsbourg a décrit la situation à Ramallah comme “une sorte de ghetto” et dit que cela en était “presque raciste”. Mixa a démissionné de sa position au sien de son église en 2010, au beau milieu d’un vacarme d’accusations de divers viols et abus sexuels. Il a, un peu plus tard, été lavé de certains de ces soupçons.

Un autre de ces délégués était le Cardinal Joachim Meisner, l’archevêque de Cologne, décédé depuis, qui a comparé la barrière en Judée-Samarie a Mur de Berlin. En d’autres occasions, il a banalisé la Shoah. D’autres remarques cinglantes publiées comme ayant été proférées par ces évêques n’ont pu être vérifiées;

Le nouveau rapport met un peu plus en exergue l’affaire de la délégation épiscopale de 2007. Ces membres auraient mieux fait de présenter leurs excuses plutôt que de critiquer Israël. La criminalité catholique contre les Juifs remonte à plus de 1.000 ans avant sa collaboration avec Hitler. Il y a eu des siècles de persécution, de haine, d’incitation et parfois aussi de meurtres. L’incitation chrétienne inlassable contre les Juifs a fournit une partie de l’infrastructure de l’action des Nazis contre eux.

Dans le même temps, un autre scandale potentiel d’un ampleur encore inconnue est entrain d’infuser. Le Pape François a récemment décidé d’ouvrir aux chercheurs toutes les archives du Vatican de la période de la Papauté de Pie XII. Une semaine après cette survenue, en mars, elles ont à nouveau été fermées, à cause de la crise du Coronavirus. L’un des chercheurs, le catholique allemand Herbert Wolf, a déclaré qu’il n’avait aucun doute que le Pape savait tout à propos de la Shoah.


On se demande jusqu’à quel point la sécularisation massive en Europe d’après-guerre n’a pas en partie été provoquée par les manquements des églises au cours de la Seconde Guerre Mondiale. Depuis lors, l’Eglise Catholique s’est prise une spectaculaire paire de gifles aux yeux du public, en cachant des abus sexuels massifs commis par les membres de son clergé. Une étude commanditée par la Conférence des évêques catholiques allemands, a découvert que 1670 prêtres étaient impliqués dans les abus sexuels pédophiles den Allemagne, entre 1946 et 2014. Qui, dès lors, peut savoir ce que révèleront les énormes archives de la période de la guerre au Vatican?

Par Manfred Gerstenfeld 


jeudi 19 mars 2020

Le Pape François déclare :


Le Pape François déclare que les fondamentalistes chrétiens sont "un fléau"

Pourquoi a-t-on l’impression que pratiquement tout le monde veut attaquer les fondamentalistes chrétiens de nos jours ? Il y a deux semaines, le pape François a fait des remarques extrêmement controversées, mais ces remarques n’ont pas vraiment attiré l’attention des grands médias. Bien sûr, si le Pape avait ciblé la communauté LGBTQ ou un autre groupe favori, il aurait immédiatement fait les grands titres partout dans le monde.
Mais il ne l’a pas fait. Au lieu de cela, le pape François a attaqué spécifiquement les fondamentalistes, et dans le monde d’aujourd’hui, cela est considéré comme parfaitement normal. Ce qui suit est tiré de la transcription officielle des remarques que le Pape a faites le 18 novembre….

Méfiez-vous des groupes fondamentalistes : chacun a le sien. En Argentine aussi, il y a un petit coin fondamentaliste. Et essayons, avec la fraternité, d’aller de l’avant. Le fondamentalisme est un fléau et toutes les religions ont une sorte de cousin germain fondamentaliste qui forme un groupe.
Apparemment, ces remarques s’appliquent aux fondamentalistes de toutes les religions. Mais en mentionnant l’Argentine, le Pape a indiqué très clairement qui était sa véritable cible.
Il n’y a pas de « fondamentalistes musulmans » ou de « fondamentalistes hindous » en Argentine. Les fondamentalistes auxquels il se référait sont les fondamentalistes chrétiens en Argentine, et dans la phrase suivante, il a dénoncé ces personnes comme « un fléau ».
Bien sûr, « un fléau » est une autre façon de dire  » une peste « , et qu’essayons-nous de faire pour  » une peste  » quand on en a une ?

C’est une chose à laquelle il faut réfléchir.

Nous avons fait état de la formidable croissance des évangéliques (alors que les catholiques ont vu de profonds déclins) en Argentine. Ces changements dramatiques ont sans doute attiré l’attention du Pape.

Conformément aux doctrines chrétiennes traditionnelles concernant l’interprétation biblique, la mission de Jésus-Christ et le rôle de l’Église dans la société, les fondamentalistes ont affirmé un socle de convictions chrétiennes qui comprenait l’exactitude historique de la Bible, la seconde venue imminente et physique de Jésus Christ, la naissance, la Résurrection et le pardon en la personne du Christ.


Qu’est-ce qu’un « fondamentaliste chrétien » ?

Eh bien, c’est fondamentalement quelqu’un qui croit que la Bible est littéralement vraie, qui croit que Jésus Christ est mort pour nos péchés et est ressuscité, et qui croit que Jésus reviendra un jour.
Au cours de ces mêmes remarques, le 18 novembre, le Pape a une fois de plus insisté sur son programme de « coopération interreligieuse »…..

Comme je l’ai dit lors de la Conférence mondiale de la fraternité humaine : « Il n’y a pas d’alternative : soit nous construirons l’avenir ensemble, soit il n’y aura pas d’avenir. Les religions, en particulier, ne peuvent renoncer à la tâche urgente de bâtir des ponts entre les peuples et les cultures.
Il est fondamental qu’il y ait une coopération interreligieuse, basée sur la promotion d’un dialogue sincère et respectueux qui va vers l’unité sans confusion, en maintenant les identités. Mais une unité qui transcende le simple pacte politique. »
Ce pape est devenu de plus en plus agressif dans ses efforts pour favoriser l’unité entre les différentes grandes religions du monde.

Le mois dernier, il a tenu une réunion très médiatisée avec le patriarche bouddhiste suprême de Thaïlande, Somdej Phra Maha Muneewong. Cette rencontre historique s’est tenue au célèbre temple de Ratchabophit à Bangkok, et le Pape a rencontré le patriarche bouddhiste devant une statue en or datant de 150 ans, représentant Bouddha. Le Pape a même enlevé ses chaussures en signe de respect pour le temple bouddhiste.
En d’autres termes, ce document dit que Dieu est satisfait de toutes les religions du monde et qu’elles existent parce que c’était Sa volonté de le faire.

Et le document se termine par un appel à la « réconciliation et à la fraternité » entre les différentes religions du monde afin que la « paix universelle » puisse être réalisée….
Sur le plan politique, le mondialisme a peut-être perdu de l’élan, mais dans les milieux religieux, il est en plein essor.

La pression en faveur d’une religion d’un seul monde se déroule au grand jour, et très peu de gens semblent alarmés par cela.


mardi 21 janvier 2020

La religion d’Anthony Levandowski


La religion d’Anthony Levandowski dédiée à l’intelligence artificielle (et il est sérieux)


 
Anthony Levandowski, mis à la porte par Uber il y a quelques mois, continue de se consacrer à sa religion qui érige l'intelligence artificielle en divinité. Le père de la voiture autonome a détaillé sa vision de cette organisation religieuse et du culte qui l'accompagne.
« Ce qui s’apprête à être créé sera effectivement un dieu. Ce n’est pas un dieu dans le sens où il fait tomber la foudre ou provoque des ouragans. Mais s’il existe une chose un milliard de fois plus intelligente que l’humain le plus intelligent, comment l’appelleriez-vous autrement ?  »

Way of the Future

L’ancien ingénieur, qui se trouve aujourd’hui au cœur du litige opposant Waymo et Uber, se consacre depuis plusieurs années à la création de son organisation religieuse, baptisée « Way of the Future » : celle-ci érige au cœur de ses croyances l’intelligence artificielle.
Sous la pression des accusations portées à l’encontre de la startup par Waymo, et face au manque de coopération de son salarié, Uber a préféré licencier Anthony Levandowski en mai dernier. Depuis, il se consacre à sa religion fondée sur une divinité prenant la forme d’une IA.
Sa foi en la divinité IA est-elle sincère ?
Anthony Levandowski est-il sincère dans ses convictions, ou sa démarche est-elle intéressée ? Si l’on en croit une longue interview accordée par l’ex-ingénieur à Wired le 15 novembre 2017, l’adorateur de l’IA afficherait sa croyance avec le plus grand des sérieux.

Les activités de l’organisation qu’il appelle de ses vœux doivent en effet se concentrer sur « la réalisation, la reconnaissance et l’adoration d’une divinité basée sur l’intelligence artificielle (IA) développée à l’aide de matériel informatique et de logiciels. »  Un programme qui inclut par conséquent les financements nécessaires à la conception de cette IA divine.
Mais pourquoi Anthony Levandowski a-t-il décidé de vouer un culte à l’IA, alors qu’il aurait pu créer une entreprise ou un groupe de réflexion ? Pour toucher un maximum de personnes, et écarter le soupçon que sa passion pour l’IA serait intéressée, répond-il. « Je voulais le faire d’une manière qui permette à tout le monde de participer […]. Cela enlève aussi la possibilité aux gens de dire, ‘Oh, il a juste fait ça pour l’argent. »

La « transition »

Pour l’ancien ingénieur, Internet fonctionnera ainsi comme un système nerveux, reliant entre eux les capteurs sensoriels que sont les smartphones. Les centres de données seront quant à eux le cerveau de cette architecture, capable de tout entendre et de tout savoir. Anthony Levandowski juge que le seul mot rationnel pour décrire cette réalité est celui de divinité — et la seule manière de l’influencer serait donc de la prier et de l’adorer religieusement.

« Une opportunité formidable »

« Nous avons entamé le processus pour élever un dieu. Alors, assurons-nous d’y réfléchir pour le faire de la meilleure façon. C’est une opportunité formidable. » 




Commentaire de Pierre :

La Bible nous averti sur la mise en place d'une religion mondiale unique et obligatoire.
L'idole que le prophète Daniel a appelé "l'abomination de la désolation" sera dans le temple de Jérusalem, et pourra parler et bouger.
Elle sera visible par tout les habitants de la Terre.
Pour en savoir plus, lisez la Parole de Dieu, ou écrivez-moi : paix@orange.fr


 

samedi 2 mars 2019

Pauvres enfants !!!

Une récente étude, commanditée par la Conférence des Évêques allemands a découvert que 1670
prêtres ont été impliqués  dans des affaires d’abus sexuel en Allemagne, entre 1948 et 2014. Leurs victimes étaient essentiellement de sexe masculin. Dans plus de la moitié des cas, ils étaient âgés de 13 ans ou moins. Un sixième des abus correspond à un viol et dans les trois-quarts des cas, les victimes et leurs agresseurs se connaissent par l’intermédiaire de l’église.


Les chercheurs disent que les abus se poursuivaient en 2014, lors de la dernière année couverte par l’étude. Une organisation représentant les victimes disent que le rapport ne va pas assez loin et que des dossiers ont été détruits. Par conséquent, le sujet requiert une nouvelle étude indépendante. Une question ouverte consiste à savoir comment l’église traitera de façon appropriée les nombreuses victimes.

Hans Langendörfer, a déclaré que les évêques avaient depuis corrigé les rares ” expressions très personnelles ” de choc de manière auto-critique”. On doit se demander, à présent, si ces évêques ont soigneusement évité d’être choqués, quand ils entendaient parler des très nombreux exemples d’abus sexuels commis par des prêtres catholiques.

Manfred Gerstenfeld


Commentaire de Pierre 

Tout ces violeurs d'enfants seront très sévèrement punis par le DIEU qui voit tout et qui sait tout. 

 

jeudi 23 août 2018

« Prêtres prédateurs »

1000 victimes et 300 « prêtres prédateurs » : 
Le drame indicible de la pédophilie au sein de l’église catholique

Il aura fallu 2 ans d’enquête pour révéler les agissements pédophiles de 300 prêtres au sein de 6 diocèses de Pennsylvanie.

Le rapport des services du procureur de Pennsylvanie publié mardi 14 août a provoqué une véritable onde de choc tant les chiffres sont effrayants. En 70 ans, 300 « prêtres prédateurs » auraient abusé sexuellement de plus de 1000 enfants, la plupart âgés de moins de 10 ans, la plus jeune n’ayant que 18 mois au moment des faits. Ce n’est pas la première fois qu’une enquête américaine révèle des actes pédophiles au sein de l’église, mais jamais un rapport n’a mis en lumière autant de cas.

Circonstance agravante, il apparaît dans le rapport que la hiérarchie de l’église de Pennsylvanie connaissait les faits et choisissait de les couvrir. L’enquête s’est d’ailleurs basée sur nombre de documents et d’archives ecclésiastiques.

« Des prêtres violaient des petits garçons et des petites filles et les hommes d’église qui étaient leurs responsables n’ont rien fait. Durant des décennies. »

La plupart des victimes ne pourront malheureusement pas réclamer justice. « Quasiment tous les cas » sont désormais frappés par la prescription et ne pourront être poursuivis pénalement. Seuls deux prêtres ont été inculpés pour des agressions sexuelles dont la plus récente remonte à 2010.

Les jurés ont toutefois décidé de rendre publics les noms de dizaines prêtres accusés de pédophilie. Ils souhaitent également que les hauts responsables puissent être poursuivis quand ils couvrent les crimes de leurs subordonnés.

« Nous réagissons au coup par coup, parce que nous ne voulons pas voir l’ampleur de l’omerta. Les outils juridiques existent, mais ils ne sont pas utilisés. Il est temps que les États lancent des procédures pénales contre les responsables hiérarchiques qui ont couvert les faits et se sont donc rendus complices. »


Commentaire du webmestre :
Tout ces criminels vont devoir rendre compte devant DIEU (le vrai) lors du jugement dernier, et ils passeront l'éternité dans le feu.
Sauf bien-entendu s'ils se repentent, ce que j'espère...

jeudi 15 mars 2018

Séduction !

Il ne faut PAS se leurrer. Il y a un esprit TRES puissant de séduction à l’œuvre dans cette génération de chrétiens pour faire des compromis et accepter de se mouler à l'image de la pensée du monde. Qui sait s'il n'y a pas, à quelque part, un étudiant dans un collège biblique qui cache son homosexualité et qui attend "la bonne occasion" pour faire son "coming out"??
Qui sait s'il n'y a pas, à quelque part, même un pasteur évangélique déjà en place avec des sympathies pro-gais qui attend le bon moment sortir le chat du sac?

Et ce n'est que la suite logique de l'adoption, depuis une bonne génération de pasteurs évangéliques, de l'annonce d'un "Évangile" où on ne parle plus de PÉCHÉ, de jugement et donc un "Évangile" sans repentance....

Je sais... Il est vrai que ces choses figurent toujours dans nos credos, mais en pratique beaucoup de pasteurs ne le prêchent PAS sur le péché ou le jugement de Dieu. On ne veut pas “déranger” les gens. On ne veut pas les "choquer"...
C’est la crainte des hommes qui motive ces compromis. En somme on est bien heureux si on peut les manipuler les gens dans le but d’obtenir des fesses pour chauffer des bancs. Évidemment, la situation varie un peu d’une église à une autre.

Combien de responsables de cette génération ont le courage de Jean-Baptiste, pour appeler à la repentance petits et grands, et même dire aux Hérodes de notre génération, "Tu n'as PAS le droit..." ? Et si on continue (doucement) de se mouler sur la pensée du monde, pensez-vous que l'on puisse éviter le jugement de Dieu DANS les églises ??

Que Dieu nous secourt!! Et nous réveille vraiment à marcher dans TOUTE la Vérité (pas seulement les parties que cette génération juge "acceptable").

Paul Gosselin


mercredi 13 décembre 2017

Fuyez de Babylone

Jérémie 51:6 :
Fuyez de Babylone, et que chacun sauve sa vie, De peur que vous ne périssiez dans sa ruine! Car c'est un temps de vengeance pour l'Éternel; Il va lui rendre selon ses œuvres.

Jérémie 51:45 :
Sortez du milieu d'elle, mon peuple, Et que chacun sauve sa vie, En échappant à la colère ardente de l'Éternel!

2 Corinthiens 6:17 :
C'est pourquoi, Sortez du milieu d'eux, Et séparez-vous, dit le Seigneur; Ne touchez pas à ce qui est impur, Et je vous accueillerai.

Apocalypse 18:4 :
Et j'entendis du ciel une autre voix qui disait: Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux.


Si vous voulez en savoir plus : ICI

lundi 17 juillet 2017

Les dieux des religions et le Dieu Véritable





«  Ainsi dit l’Éternel, le roi d’Israël et son Rédempteur, l’Éternel des armées : Je suis le premier et je suis le dernier, et il n’y a point d’autre Dieu que moi » (Esaïe 44:6).



Toutes les représentations que se sont faites des religions à propos de Dieu sont vaines : « Car tous les dieux des peuples sont des idoles ; mais l’Éternel a fait les cieux » (Psaume 96:5), « Voilà, ils ne sont tous que vanité ; leurs ouvrages ne sont que néant, et leurs idoles de fonte qu’un vrai souffle ! » (Ésaïe 41:29).


Ignorant la révélation biblique et tenant compte aussi de notre intelligence spirituelle limitée et faussée, des hommes et des peuples ont élaboré des concepts de Dieu: des dieux bien souvent semblables à eux-mêmes. Ce qui a fait dire à Napoléon Bonaparte: entre le christianisme et n'importe quelle autre religion, il y a un abîme, la distance de l'infini.



La mythologie grecque vénère les forces de la nature. Les divinités grecques sont des êtres aux mœurs libres, trônant sur l'Olympe et dominant la vie des hommes, tout en leur étant physiquement et spirituellement semblables, y compris dans leurs faiblesses.


La mythologie romaine fut influencée par la mythologie grecque. Nous y retrouvons la divinisation des forces de la nature ou encore des matérialisations de vertus ou de maux.

Le panthéisme identifie Dieu à l'univers; il accepte une entité (appelée l'Absolu, le Tout, la Force Suprême) qui est infinie mais qui n'est pas une personne.



L'hindouisme (ou brahmanisme) Brahman, l'Absolu, est l'Esprit suprême universel; il n'est pas adoré mais est l'objet de la méditation des sages. Dans la triade Brahma-Vishnu-Civa, Brahma est la "cause première de tout être". L'hindouisme accepte l'existence de dieux innombrables.



Le bouddhisme est une philosophie plutôt qu'une religion. Il n'y a ni dieu, ni créateur, ni créature, ni "moi", ni ciel, ni enfer. Le bouddhiste aspire à atteindre le nirvâna (état de non-existence) pour échapper au cycle infernal des réincarnations et de la souffrance.



Le confucianisme s'intéresse principalement au bien-être de l'homme et à la vie pratique. Confucius s'est basé sur les anciennes pratiques chinoises: la vénération du ciel et le culte des ancêtres. Le ciel est considéré comme une puissance impersonnelle.



Le shintoïsme est fondé sur la déification des forces de la nature, le culte des ancêtres, la morale du confucianisme, le taoïsme et le bouddhisme. Il vénère d'innombrables dieux personnels, mais qui ne sont pas infinis. De plus, il déifie la famille impériale japonaise.



L'animisme consiste à croire que les objets sont animés par des esprits dont il importe de gagner la faveur par des sacrifices et des pratiques magiques. Il s'accompagne toujours du fétichisme et du culte des ancêtres. L'animisme admet pourtant l'existence d'un être créateur, mais celui-ci est inaccessible.



L'islam mérite une place à part. Récent (6 ème siècle après JC), l'Islam est une religion monothéiste. Le Coran reconnaît l'inspiration de la Bible et se propose de "confirmer les livres sacrés" (Sourate 2.91) mais le lecteur de la Bible et du Coran se trouvera vite dans une impasse: il y a une contradiction fondamentale quant à la personne de Jésus Christ, quant à son œuvre et quant au moyen d'être réconcilié avec Dieu. 

Le Dieu du Coran est le Dieu de l'arbitraire, indifférent à ce qui se passe ici bas. Les musulmans sont donc fatalistes. Les 5 piliers de l'Islam sont: la confession d'Allah et de Mahomet, la prière, l'aumône, le jeûne du Ramadan et le pèlerinage à la Mecque.



La Bible nous enseigne : « Servir le Dieu vivant et vrai » (1 Thessaloniciens 1:9). 

C’est ici dans le respect de chaque croyance que nous réalisons que la sincérité n’est pas la vérité et nous qui sommes dans le christianisme, en tant que chrétiens : nous sommes dans le Véritable car « Nous savons que nous sommes de Dieu… Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable ; et nous sommes en ce Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C’est Lui qui est le Dieu Véritable, et la vie éternelle » (1 Jean 5:19-20)


Ne perdons pas de vue que sur ce verset, Dieu nous révèle encore la différence qui existe entre Lui et le Fils qui se résume qu’en son Fils, nous avons accès à ce Dieu Véritable et la vie éternelle. Christ est la Parole de Dieu, celle qui créa toutes choses et cette même parole s’est faite chair et a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité en Jésus-Christ d’une gloire venue du Père… Il vint pour être un témoin… Il n’était pas lumière, mais il était envoyé pour rendre témoignage à la lumière. Oui, la lumière Véritable (Dieu) qui éclaire tout homme était venue dans le monde. (Jean 1:1-18)



« Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David ; qui ouvre, et personne ne ferme ; et qui ferme, et personne n’ouvre… Il connait nos œuvres et a ouvert une porte devant nous que personne ne peut la fermer par ce que nous gardons sa parole et que nous n’avons point renié Son nom. Et puisque nous avons gardé la parole de la patience, Lui-même nous garde et nous gardera de l’heure de la tentation qui doit venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre » (Apocalypse 3:7-10)



Christ immolé, nous a rachetés à Dieu par son sang, de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation. Et nous a faits rois et sacrificateurs à notre Dieu ; et nous régnerons sur cette terre. (Apocalypse 5:9-10)

Notre Dieu est Esprit et régnera à jamais (Jean 4:24 ; Exode 15:18), il est Infini (1 Rois 8:60), Il est Omniprésent (Matthieu 6:8), Omnipotent (Psaumes 139 :7-10), Omniscient (Romains 16 :27), Saint (Genèse 18:25), Amour (Psaume 25:8), juste (1 Thessaloniciens 5:24), sage (1 Timothée 6 :15), fidèle (Jérémie 3 :12) et souverain (Exode 15:18)



Quelle grâce ! Quelle vérité bénie et quel privilège de savoir et de connaître cette révélation du Dieu Véritable et que nous sommes dans le Véritable. À Dieu l’honneur, la gloire et la louange !

Pitchou Makabi