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mercredi 20 janvier 2021

La pédophilie au sein de l’église catholique

 1000 victimes et 300 « prêtres prédateurs » : Le drame indicible de la pédophilie au sein de l’église catholique


Il aura fallu 2 ans d’enquête pour révéler les agissements pédophiles de 300 prêtres au sein de 6 diocèses de Pennsylvanie.

Le rapport des services du procureur de Pennsylvanie publié mardi 14 août a provoqué une véritable onde de choc tant les chiffres sont effrayants. En 70 ans, 300 « prêtres prédateurs » auraient abusé sexuellement de plus de 1000 enfants, la plupart âgés de moins de 10 ans, la plus jeune n’ayant que 18 mois au moment des faits. Ce n’est pas la première fois qu’une enquête américaine révèle des actes pédophiles au sein de l’église, mais jamais un rapport n’a mis en lumière autant de cas.

Circonstance aggravante, il apparaît dans le rapport que la hiérarchie de l’église de Pennsylvanie connaissait les faits et choisissait de les couvrir. L’enquête s’est d’ailleurs basée sur nombre de documents et d’archives ecclésiastiques.

« Des prêtres violaient des petits garçons et des petites filles, et les hommes d’église qui étaient leurs responsables n’ont rien fait. Durant des décennies. »

La plupart des victimes ne pourront malheureusement pas réclamer justice. « Quasiment tous les cas » sont désormais frappés par la prescription et ne pourront être poursuivis pénalement. Seuls deux prêtres ont été inculpés pour des agressions sexuelles dont la plus récente remonte à 2010.

Les jurés ont toutefois décidé de rendre publics les noms de dizaines prêtres accusés de pédophilie. Ils souhaitent également que les hauts responsables puissent être poursuivis quand ils couvrent les crimes de leurs subordonnés.

« Nous réagissons au coup par coup, parce que nous ne voulons pas voir l’ampleur de l’omerta. Les outils juridiques existent, mais ils ne sont pas utilisés. Il est temps que les États lancent des procédures pénales contre les responsables hiérarchiques qui ont couvert les faits et se sont donc rendus complices. »



vendredi 3 juillet 2020

L’église catholique d’Allemagne dans l’appareil de guerre


1939-1945: L’église catholique d’Allemagne fait partie des soutiens de guerre


Dans un nouveau rapport à l’occasion du 75ème anniversaire de la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la conférence allemande des évêques catholiques a fini par admettre la complicité de l’Eglise dans les actions du régime nazi au cours de la Seconde Guerre Mondiale. Il nous suffit juste de citer quelques lignes de son texte pour comprendre ce que les évêques actuels disent que leurs prédécesseurs de la période de la guerre : “L’Eglise catholique en Allemagne faisait partie de l’appareil de guerre. La volonté chaotique de mobiliser les ressources matérielles, personnelles et spirituelles de l’Eglise dans l’effort de guerre est demeurée intacte jusqu’à la fin ».

Aussi : “Autant en septembre 1939 que par la suite, il n’y a pas eu de protestation publique de la part des évêques allemands contre la guerre d’extermination nationale socialiste” et “contre les crimes incroyables, à la fois contre les étrangers discriminés en raison de la race supposée, aussi bien que d’autres persécutés, en particulier les Juifs, rarement une voix s’est élevée au sein de l’Eglise allemande“. Il y a eu de nombreuses autres façons dont l’Eglise a assisté les Nazis. Le rapport les décrit également.


On doit aussi ajouter que l’Eglise Catholique Allemande percevait les procès d’après-guerre contre les criminels de guerre Nazis comme des actes de vengeance. Ces criminels extrémistes étaient, à leurs yeux, des victimes persécutées par la Justice. Le clergé catholique, y compris celui du Vatican, ont fait partie de ceux qui ont aidé de milliers de Nazis à s’échapper vers l’Amérique Latine via “La Route des Rats“.

L’actuel Président de la Conférence des évêques allemands, le Révérend Georg Bätzing, a précisé que ces actes de reconnaissance dans le rapport, ne sont pas faciles à admettre pour les évêques : “Nous savons que présider par-dessus l’épaule de nos prédécesseurs en tant que juges et parties ne nous convient pas. Aucune génération n’est libre des jugements et préjugés qui sont façonnés par son époque… mais ceux qui arriveront plus tard doivent pouvoir se confronter à l’histoire dans le but d’en tirer des leçons“. Dans son introduction au rapport, Bätzing dévoile ce qui pourrait constituer des - nouvelles choquantes – que de graves questions quant au comportement des évêques allemands au cours de la Seconde Guerre Mondiale, ne sont soulevées que depuis très récemment.

Pourquoi les évêques ont-ils attendu 75 ans avant de formuler ces aveux? Nous sommes à présent les générations des évêques d’après. Qu’est-ce qui a rendu si difficile aux évêques de la période de la guerre d’admettre leurs compromissions? Dans le catholicisme, la confession faite par l’individu de ses péchés joue un rôle central.

Même dans les relations avec un autre organisme religieux allemand, les évêques catholiques ont mis une très longue période avant d’avouer.

Le rapport nous permet d’obtenir un meilleur point de vue sur un incident scandaleux qui est survenu en mars 2007. 27 évêques catholiques allemands ont fait un pèlerinage en Israël. C’était censé représenter un symbole de réconciliation entre Juifs et Catholiques. Cependant, certains évêques l’ont transformée en visite des plus scandaleuses.


Gregor Maria Hanke, évêque d’Eichstätt, a procédé à une remarque d’inversion caractérisée de la Shoah, suggérant que les Israéliens agissent comme les Nazis. Il avait alors proféré : “Ce matin, nous avons vu les photos du ghetto inhumain de Varsovie et, dans la soirée, nous avons voyagé vers le ghetto de Ramallah”. Plus tard, il a feint de dire qu’il n’avait aucune intention de faire une telle comparaison.

L’évêque Walter Mixa d’Augsbourg a décrit la situation à Ramallah comme “une sorte de ghetto” et dit que cela en était “presque raciste”. Mixa a démissionné de sa position au sien de son église en 2010, au beau milieu d’un vacarme d’accusations de divers viols et abus sexuels. Il a, un peu plus tard, été lavé de certains de ces soupçons.

Un autre de ces délégués était le Cardinal Joachim Meisner, l’archevêque de Cologne, décédé depuis, qui a comparé la barrière en Judée-Samarie a Mur de Berlin. En d’autres occasions, il a banalisé la Shoah. D’autres remarques cinglantes publiées comme ayant été proférées par ces évêques n’ont pu être vérifiées;

Le nouveau rapport met un peu plus en exergue l’affaire de la délégation épiscopale de 2007. Ces membres auraient mieux fait de présenter leurs excuses plutôt que de critiquer Israël. La criminalité catholique contre les Juifs remonte à plus de 1.000 ans avant sa collaboration avec Hitler. Il y a eu des siècles de persécution, de haine, d’incitation et parfois aussi de meurtres. L’incitation chrétienne inlassable contre les Juifs a fournit une partie de l’infrastructure de l’action des Nazis contre eux.

Dans le même temps, un autre scandale potentiel d’un ampleur encore inconnue est entrain d’infuser. Le Pape François a récemment décidé d’ouvrir aux chercheurs toutes les archives du Vatican de la période de la Papauté de Pie XII. Une semaine après cette survenue, en mars, elles ont à nouveau été fermées, à cause de la crise du Coronavirus. L’un des chercheurs, le catholique allemand Herbert Wolf, a déclaré qu’il n’avait aucun doute que le Pape savait tout à propos de la Shoah.


On se demande jusqu’à quel point la sécularisation massive en Europe d’après-guerre n’a pas en partie été provoquée par les manquements des églises au cours de la Seconde Guerre Mondiale. Depuis lors, l’Eglise Catholique s’est prise une spectaculaire paire de gifles aux yeux du public, en cachant des abus sexuels massifs commis par les membres de son clergé. Une étude commanditée par la Conférence des évêques catholiques allemands, a découvert que 1670 prêtres étaient impliqués dans les abus sexuels pédophiles den Allemagne, entre 1946 et 2014. Qui, dès lors, peut savoir ce que révèleront les énormes archives de la période de la guerre au Vatican?

Par Manfred Gerstenfeld 


mercredi 8 janvier 2014

Pédophilie


La congrégation des "Légionnaires du Christ" se réunit à Rome

AFP

Les "Légionnaires du Christ", puissante congrégation éclaboussée par les crimes pédophiles de son fondateur, se réunit à partir de ce mercredi à Rome pour entamer une refonte qui permette de rompre avec les terribles dérives du passé.


 Pendant plusieurs semaines, 61 responsables de la Légion et de son mouvement laïc, Regnum Christi, venus principalement des Amériques, vont plancher pour relancer cette congrégation conservatrice, présentée par Jean Paul II comme parangon de vertu pour sa capacité à recruter des prêtres et son obéissance.

Un tiers des délégués proviennent du Mexique, pays du père "Marcial Maciel", sulfureux fondateur de ce mouvement présent dans 22 pays, regroupé en 109 maisons, fort de 953 prêtres, 932 religieux et novices, 945 séminaristes et quelque 70.000 laïcs.

Le Vatican est accusé par d'anciennes victimes de ne pas avoir réagi aux accusations récurrentes contre Maciel, mort en 2008 à l'âge de 88 ans, semblant longtemps vouloir le protéger.

 Les actes pédophiles, la corruption et les enfants naturels du père "Maciel" avait profondément ébranlé la Légion, mettant en lumière d'autres aspects sombres: affairisme, culte de la personnalité, secret, méthodes peu évangéliques de recrutement dans les milieux pauvres.

Le vicaire général par intérim nommé en 2012, l'Allemand Sylvester Heereman, a chiffré à 35 les prêtres de la Légion ayant été accusés d'avoir abusé de mineurs. Selon lui, 14 ont été acquittés en raison d'"accusations infondées" ou parce que leur comportement a été reconnu "imprudent" mais non criminel. Neuf ont été reconnus coupables et dix sont encore sous enquête.

Mais pour les associations anti-pédophilie, une partie de la réalité est encore cachée, et la mentalité n'a pas changé.


Selon elles, en trois ans de mise sous tutelle, le changement en profondeur n'a pas eu lieu, parce qu'une partie des dirigeants de l'ère Maciel --complices des abus ou non-- sont restés.

Les séismes secondaires se poursuivent. Encore en 2013, William Izquierdo, un ancien "frère" américain a été accusé d'avoir abusé d'un novice.

Le "père" brésilien Deomar De Guedes, conseiller général, possible candidat à la direction de la Congrégation, s'est retiré spectaculairement, constatant qu'"il n'y a pas d'espoir de changement",alors que 70% des responsables en poste avant le scandale sont encore là.

AFP

Commentaire de Pierre Danis : 

Jésus Christ n'a jamais obligé quelqu'un a rester célibataire. 
La religion catholique n'est pas une église chrétienne, mais une contre-façon diabolique de la véritable église de Jésus Christ.



mardi 26 février 2013

Le rocher ou la pierre ?


Fondé sur le caillou ou sur le Rocher des Ages?

Pierre ou Pierre ? 


[…] je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église...

  INTRODUCTION

Ce verset que nous vous proposons de considérer est le verset qui fut le plus controversé peut-être de toute la Bible.
Le fait qu'il soit controversé, certes, n'est pas dommageable. Il nous faut bien parler et faire couler encre et salive entre hommes civilisés afin de pouvoir se comprendre et se respecter dans notre foi… n'est-ce pas? Le problème est que ce verset a fait couler plus de sang que d'encre ! Du sang oui ! Nous aimerions bien faire comme ce joyeux animal qu'est l'autruche et enterrer ce verset, puis nous flatter d'être civilisé, d'être humble devant une révélation de Dieu qui nous dépasse… Nous pourrions penser finalement que ce jour-là le Christ était un peu fatigué et qu'il laissa échapper des mots qu'il aurait dû taire… car le Christ n'est-il pas un prophète de la paix ? Mais nous ne pouvons pas faire cela.
D'abord nous sommes des hommes et non des autruches ; ensuite, pourquoi enterrer une parole que Dieu a décidé de révéler ?

Et finalement, Christ n'est pas capable, même du moindre début d'un commencement d'erreur. Il savait que ses paroles seraient utilisées pour forger des armes, pour tuer et pour mentir. Oui Il savait tout cela !

Évangile de Matthieu, chapitre 16, versets 15 à 18
15 Et vous, leur dit-il, qui dites-vous que je suis?
16 Simon Pierre répondit: Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.
17 Jésus, reprenant la parole, lui dit : Tu es heureux, Simon, fils de Jonas ; car ce ne sont pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais c'est mon Père qui est dans les cieux.
18 Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église, et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle.
  
C'est toujours la même histoire depuis le commencement : Seulement voici, j'ai trouvé que Dieu a fait l'homme droit ; 
mais eux, ils ont cherché beaucoup de raisonnements. (Darby)mais ils ont cherché beaucoup de discours. (Ostervald)mais eux, ils cherchent bien des calculs. (Jérusalem)mais ils ont cherché beaucoup de détours. (Segond)mais ils ont cherché bien des subtilités. (Colombe)mais eux ils ont cherché une foule de complications. (Tob)mais ceux-ci ont tout compliqué. (Français cour.)
Ecclésiaste 7:29
 
DISCOURS 
[…] je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église.

La question est : "Qu'est ce que cette pierre ?" 

Trois idées sont répandues : 

1- la pierre, c'est l'apôtre Pierre
2- la pierre, c'est Jésus lui-même
3- la pierre, c'est la confession que Pierre venait de faire (lire le texte en début) 
 
 Si c'est le point 1- qui constitue la bonne réponse : 

Christ n'est pas le fondement de l'église ! Tous les versets suggérant que Christ est le fondement de l'église perdent le sens du bon sens ! Il faudra interpréter ces versets en les amalgamant avec le fait que Pierre est aussi le fondement bonjour la gymnastique intellectuelle, vous avez de la pommade pour les neurones car les choses se compliquent là ! Souvenez-vous de : mais eux, ils ont cherché beaucoup de raisonnements. 

Avec cette interprétation, on tombe dans une sorte d'ésotérisme parfumé à la bible. On suggère un Jésus qui ne rime pas avec le reste de ses propos, un Jésus qui fait de l'élitisme, un Jésus qui soudainement se met à croire aux hommes, à prêcher l'homme, à se confier en l'homme 

Soyez honnête cette idée est bancale ! Pourquoi d'ailleurs Jésus dit-il à Pierre : 

«Tu es Pétros» c'est-à-dire en Grec, "caillou" et puis il dit : «sur cette Pétra, je bâtirai» c'est-à-dire en Grec, "rocher, roc". 

Pourquoi ce jeu de mot de la part de Jésus, pourquoi ? 

Ce jeu de mot défavorise Pierre d'ailleurs. Ce même Pierre qui au verset 22, pas moins de 4 versets
Batiment sans fondation !
plus loin dans ce texte, donc au verset 22, notre confrère Pierre "prend Jésus à part et se met à le reprendre" Oui, oui, vous lisez bien, Pierre va donner un petit cours à Jésus, en passant, maintenant que Dieu lui révèle des choses il va presque oser prophétiser au Fils de Dieu et lui dire : «A Dieu ne plaise, cela ne t'arrivera pas», Jésus venait de parler de son sacrifice à venir, mais notre petit caillou qui s'est gonflé semble-t-il comme un rocher, annonce à Jésus que cela n'est pas la volonté de Dieu; Pierre est dans la confidence du Père ! Maintenant, vous savez !

Pierre semble aussi avoir imaginé qu'il serait le "rocher" sur lequel Jésus bâtirai son Eglise, il n'a pas entendu qu'il était le simple "caillou" lui, pas le "rocher" et le voilà à délirer vous trouvez le mot trop fort, "délirer"Alors, vous êtes en désaccord avec Jésus-Christ, car Lui aussi a trouvé que Pierre délirait puisqu'il lui répond :«Arrière de moi, Satan! tu m'es en scandale ; car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu, mais celles des hommes.» Jésus n'est-il pas d'une cohérence exceptionnelle? 

Il dit que Pierre va être le chef de Son église puis Il le traite de Sataniste ! 

Tout cela ne fait-il pas un peu trop de coïncidences dans le texte? 

Impossible d'appuyer la version de Pierre, chef de l'église, cela demande trop de déformations, de calculs et de détours (Ecclésiaste 7.29). 
 
Les versions 2 et 3, quant à elles, sont logiques, cohérentes avec tous les textes bibliques et simples, sans êtres simplistes. 

La confession de Pierre est le socle utilisé par le Christ pour faire de nous, les hommes, des pierres vivantes. Ces pierres vivantes constituent son église invisible dont Lui-seul en connaît chaque recoin ! Lui seul en est le fondement ! 

Le fait que Christ dit : «JE bâtirai MON église» nous décharge de le faire puisque c'est Son église et que c'est Lui qui l'a bâtit. Cela nous protège aussi de ce mot juste :"une secte est une religion qui a réussi". En effet, une religion est une association visible bâtie par des hommes qui prétendent que hors d'elle, les autres sont dans le faux la porte s'ouvre là à tous les dangers dont l'histoire nous a gavé d'ailleurs ! L'Église de Christ est une association invisible que Lui seul voit ! Lui seul voit l'Église, car c'est une forme d'ordre spirituelle et non physique. Et Lui seul la bâtit car Il en a conçu Seul les plans. 

Cette notion biblique de l'Église est d'une protection suprême, pas de place pour les gourous, les directeurs de conscience et les politiciens à la sauce mystique. Hélas cette notion biblique est laissée de coté : l'homme orgueilleux demande un chef visible et il rend des comptes à un prêtre, pasteur, missionnaire, théologien, évangéliste, prédicateurs ou que sais-je encore...

(Le rôle véritable du ministère ? Un simple "garde-fou" à prévenir les dangers. Un homme ultra zélé pour prier, un paillasson, une balayure, mis à l'écart du monde du travail pour pratiquer en secret le lavage des pieds et non de la tête de ses brebis. Un homme comme Jésus. Nicolas <><)

"Ah ! Jésus! Je vais t'aider à bâtir ton Église". 

A quelque niveau que ce soit, cette pensée est dévastatrice.On se croit spirituel parce qu'on a reçu un peu de lumière de la part du Très-Haut et l'on s'imagine que, enfin Dieu a trouvé un serviteur digne et capable Mais si l'on a reçu un peu de la lumière, cela ne tient à rien que Dieu lui-même coupe le courant demain si vous croyez que Dieu est avec l'homme spirituel, alors soyez en donc vraiment sûr car en vérité, Dieu est avec l'homme humilié :

Voici ce que déclare le Seigneur :
"Le ciel est mon trône et la terre mon marchepied.
Quel genre de maison pouvez-vous donc me bâtir ?
Et en quel genre de lieu voulez-vous que je me fixe ?
Tout ce que vous voyez, je l'ai fait de mes mains,
et tout cela existe, vous dis-je.
Mais ce qui m'intéresse,
c'est le pauvre, le malheureux,
celui qui écoute ma parole avec crainte et tremblement."
Esaïe 66 

L'homme spirituel n'est pas un diplomate aimable, au sourire béat, plein de politesse et toujours maître de lui. Ce genre d'homme, Pierre a voulu le devenir mais le chant du coq l'a réveillé. Il renia son Maître et comprit que la lumière d'en haut vient d'En-Haut justement, pas d'en-bas, pas de nous ! 

Quelque 35 ans plus tard environ, Pierre écrivit et s'adressa à "ceux qui prennent soin du troupeau" :
Ne cherchez pas à dominer ceux qui ont été confiés à votre garde.
(1 Pierre 5.3) 

Exercer une domination ! 

De qui alors êtes-vous la brebis ? dites-moi. 

Du caillou ou du Rocher des Siècles ?

Anonyme




mercredi 21 décembre 2011


Vivement la fin de l’année, enfin non le 2 janvier plutôt !

Je suis remonté aux sources du Noël moderne : c’était aux Etats-Unis entre autres et là-bas ce jour-là, les gens travaillaient, vivaient normalement et n’en faisaient pas tout un pataquès ! Les seuls à se rendre à l’Eglise étaient les papistes bons teints. Sinon personne d’autre ne voulait marquer cette journée de manière spéciale.

Noël est sans aucun doute la fête la plus dévoyée qui existe au monde. On est si loin de la naissance d’un enfant dans une crèche ! C’est aussi la fête la plus profane de l’année ! J’en deviendrais presque un ermite,  – humour – pour ne plus avoir à subir les pubs de Noël, le marketing de Noël, les sapins de Noël, les illuminations de Noël et encore moins le fameux Père Noël dont les origines sont plus que troubles ! En effet, ce dernier serait l’enfant  caché que la superstition religieuse – avec le fameux Saint-Nicolas – aurait réussi à avoir dans un accouplement contre-nature avec la publicité et la marque Coca-Cola en particulier !

Noël et tous ceux qui parce qu’ils n’ont pas les moyens d’acheter un cadeau à leur gamin, finissent par croire qu’ils sont de mauvais parents ! Mais c’est faux !

Noël et ces employés de la Banque de France qui après le 25 décembre constatent chaque année une overdose de dossiers de surendettement !

Noël et son côté glin-glin totalement ringard et proprement insupportable. Tout le monde doit être gentil ce jour-là, on doit jouer le rôle des bons parents même si tout le reste de l’année ce sont disputes sur disputes à la maison ! Il faut s’habiller beau, il faut raconter des histoires incroyables aux gamins ! J’ai commencé à me douter que le père Noël ne passait pas par la cheminée, lorsque nous avons quitté le pavillon où nous habitions avec mes frères pour arriver dans un superbe appartement. Là, pas de cheminée ! Je me suis donc inquiété de savoir…..enfin comment cela allait-il se passer pour les cadeaux quoi ? Pas de réponse ! Mais les cadeaux étaient quand même là ! Bon allez, je n’ai rien dit, mais j’ai reniflé l’arnaque ! Et puis qu’est-ce qu’il fait le père Noël tout le reste de l’année ? Franchement !

Non, je n’aime pas ce Noël que nos supermarchés, hauts lieux de la consommation, temples du dieu Mammon, ont idolâtré au point qu’à lui tout seul Noël est presque devenu une religion !

Voilà pourquoi officiellement je déclare la guerre à Noël et à tous ses alliés connus et souterrains ! Arrêtez d’acheter des cadeaux qui ne servent à rien. Nos enfants ne savent plus quoi faire de cette surabondance de jouets inutiles, leurs chambres à coucher sont devenues des annexes de Toys’R’Us. Nos placards sont remplis de vêtements que nous ne porterons jamais et nous avons même des tas de livres qui nous encombrent parce qu’offerts par des gens qui les ont aimés mais dont nous, nous n’avons absolument rien à faire !

Je ne suis pas nostalgique d’un Noël d’antan, je ne l’ai jamais connu. Je trouve que ce jour-là devrait être un jour comme les autres et puis c’est tout ! Résistons, refusons d’entrer dans un moule et revenons à des valeurs familiales simples.

Samuel Foucart

vendredi 12 août 2011

Lourdes

A LOURDES IL N'Y A JAMAIS EU D'APPARITION

Tous les travaux effectués le prouvent. Chercheurs, Médecins, Journalistes et Ecrivains ont tous aboutis à la même conclusion. Lourdes se présente comme un vaste racket magique entre les mains de la secte romaine avide de richesse et de pouvoirs. Eau de Lourdes, croix de Lourdes.
Tout y est présenté avec le label magique du miracle. Lourdes est le grand bazar de la secte romaine.
L'entreprise se double d'une usine a entretenir la superstition.



Voici l'exemple rapporté par le journal La croix du Vatican le 6/04/ 1967: "2300 aveugles en pèlerinage à Lourdes"; Il n'y eu aucun miracle.
Bernadette Soubirou affirme t-on est sotte, est peu dire: Elle ne comprend rien à ce qu'on essaie de lui expliquer.

A Lourdes tout le monde jugeait Bernadette vulgaire et retardée. Si son Père alcoolique n'eut soufflé les apparitions à Bernadette, apparitions dont elle a toujours été la seule a voir, elle n'aurait joué à cette grotesque comédie.


Elle t-elle responsable ? Oh non, car c'est la secte romaine connue dans le monde entier pour ses tromperies qui entretient la superstition, sans cela Lourdes n'aurait plus aucune influence sur ses pauvres gens qui viennent ici pratiquer l'idolâtrie que le deuxième commandement de Dieu réprouve; Mais il est vrai que ce commandement comme d'autres, la religion catholique n'en tient pas compte.
S'il existe une secte qui contredit de façon flagrante la vérité Biblique, c'est bien la secte catholique.

C'est une religion qui emmène tous ses adeptes en enfer, en les trompant sur le message Biblique.
Autres exemples de miracles a Lourdes le sept juillet 1963 Monseigneur (c'est comme cela que se font appeler ses soit disant serviteurs de Dieu) Donald Campbell en pèlerinage, meurt à Lourdes !

Un ingénieur Belge atteint de paralysie agitante, décida en accord avec son curé de se rendre à Lourdes. Il fût plongé dans la piscine et, ayant été pris d'un violent frisson, il dût revenir précipitamment chez lui ou l'on reconnut qu'il était atteint d'une pneumonie aiguë, dont il mourut trois jours après sa rentrée à son domicile. Cette pneumonie ne fût naturellement pas constatée par le bureau médical de Lourdes.


Docteur Spehl

jeudi 29 juillet 2010

Le cheminement de Patrick


Je suis issu d'une famille dont plusieurs membres sont portés sur la religion. On ne peut pas dire qu'il y ait chez ces membres une conviction née d'un éveil ou d'un choix mais plutôt d'un état de fait, "mes parents sont catholiques, la France est un pays catholique donc je suis catholique".

Ma mère est (était ?) une fervente adoratrice de la Vierge Marie ayant fait plusieurs pélerinages dans les lieux où elle est sensée apparaître. Elle est également très impliquée dans des oeuvres catholiques caritatives.

L'un de mes oncles faisait partie de "l'Armée de Marie", organisation qui entre autres faisait des processions dans la ville de Lyon, tous habillés d'une grande robe blanche et deux personnes portant la statue de la Vierge Marie devant la procession.
Une de mes cousines passe 11 mois de l'année dans des monastères et n'en sort que pour travailler pendant un mois afin de conserver ses droits sociaux. Elle se rend également à tous les grands rassemblements de jeunes tels que les Journées Mondiales de la Jeunesse (JMJ) où le pape donne rendez vous à la jeunesse catholique.

Quand je n'étais encore qu'un enfant je me posais des questions sur Dieu et sur la foi. J'étais très attiré par l'idée que Dieu existe mais je ne Le connaissais pas et l'image que la religion autour de moi me renvoyait de Lui me rendait perplexe. L'atmosphère des églises, les statues ou peintures représentant des scènes bibliques mais aussi les pratiques religieuses ne me satisfaisaient pas. Je ne m'en rendais pas encore compte mais je doutais à ce moment là, me demandant si les choses devaient réellement en être ainsi.

Je me souviens qu'à l'âge de 14 ans que mes parents m'avaient envoyé chez mon oncle pour passer les vacances. Or le samedi soir mon oncle se rendait chez des connaissances à lui pour prier le rosaire (le rosaire consiste à prier 3 chapelets, qui lui, consiste à prier 10 "Je vous salue Marie" et 1 "Notre Père" et ce 3 fois de suite). Prier le rosaire prend deux heures et il s'agit en fait de récitations de prières. Faire cela à 14 ans quand on est plus attiré par les matchs de foot que la religion est quelque chose de difficile: Je me souviens m'être posé la questions "Dieu veut il vraiment qu'on le prie ainsi ?" et je me disais que si Dieu demande vraiment à l'homme de réciter des prières pendant deux heures c'est que 1) peut être qu'Il est sourd et qu'il faut répéter et répéter encore les prières jusqu'à ce qu'Il les entende; ou alors 2) Dieu est peut être quelqu'un de cruel et Il prend plaisir à nous voir faire quelque chose que l'on n'aime pas et qui soit rébarbatif ou 3) peut être que Dieu s'intéresse peu à nous et se contente que nous le servions en observant les traditions.

Je me souviens aussi, avec ma cousine, avoir visité une de ses amie. Pendant que les deux parlaient, j'observais l'endroit et je remarquais sur la cheminée une bible qui semblait être là parce que quelqu'un l'avait prise pour la lire et l'avait replacé à cette endroit. J'ai demandé à la copine de ma cousine si elle lisait la bible et avant qu'elle ait pu répondre ma cousine a dit "il ne faut pas lire la bible, il faut avoir fait des études pour la lire correctement". Là j'étais vraiment estomaqué car si l'on doit pouvoir connaître Dieu, d'une manière qui soit fiable, ce doit être par une trace écrite et pas uniquement de tradition orale qui peut altérer la vérité très rapidement. Et si Dieu nous parle, nous devons avoir un outil de référence nous permettant de connaître et de vérifier qu'Il nous a réellement parlé. Cette trace écrite doit aussi être compréhensible par tous et non pas seulement à une élite enseignée.

Je me posais aussi des questions sur la personne de Jésus, je connaissais certaines histoires de la bible par ce que le catéchisme nous enseignait mais je ne comprenais pas le message de la bible. Ces histoires semblaient avoir un lien entre elles du fait qu'elle tournait autour de la personne de Jésus mais je ne comprenais par qui était Jésus, quel était le lien entre Jésus et Dieu et je pressentais que cette figure qui est bien une figure historique a une importance considérable si l'on tient simplement compte du fait que l'histoire du monde tourne autour de Lui (ne sommes nous pas en 2010 après Jésus-Christ ?). L'histoire de l'humanité est composé d'un avant et d'un après la venue de Jésus-Christ, qu'on croit en lui ou non et qu'on soit athée ou croyant. D'autre part si Dieu nous a parlé et laissé un message, ce message doit certainement être connu, il convient donc à chacun de rechercher et de s'intéresser à ce que Dieu a à dire à chacun d'entre nous.

Mais ne sachant pas vraiment quoi penser, j'ai tout simplement laisser la question ouverte pour plus tard.

Pourtant je me souviens que les soirs lorsque j'étais chez mes parents en pleine campagne, j'aimais sortir me promener quand tout le monde dormait et je regardais le ciel et je parlais à Dieu comme un ami parle à un ami, et je lui racontais mes journées et mes rêves.

Lorsque je suis devenu étudiant en tourisme à Grenoble, je me posais encore plus de questions et un jour je suis tombé sur une radio où quelqu'un donnait son témoignage, comment il avait rencontré Dieu et comment il marchait avec Lui jour après jour. Cela a comme été un choc pour moi car tout ce que j'avais vu dans mon enfance était une liste de traditions et de règles à observer. Il y avait une certaine croyance en Dieu dans ce que j'avais vu mais pas vraiment d'amour ou d'intelligence des choses qui le concernent. En fait dans ma famille, on allait à l'église mais la foi n'avait pas d'impact sur notre manière de vivre ni sur les choix à prendre; d'ailleurs quand un choix devait être fait, Dieu n'était pas consulté. Pourtant, je me disais que dans les grandes décisions de la vie autant que dans les petites décisions; Dieu devrait être consulté si tant est que nous croyons vraiment en Lui et que Lui sait ce dont nous avons vraiment besoin et les bons choix à prendre.

J'ai entendu par cette radio d'autres témoignages de personnes qui racontait ce que Dieu avait fait dans leur vie, témoignant comment Dieu dirigeait leur vie et comment Il écoute et répond aux prières (bien que pas toujours de la manière attendue) et comment Dieu leur parlait au travers de la bible.

Je désirais cette relation avec Dieu mais je ne comprenais pas encore comment il était possible d'entrer en contact avec Lui. Mes études se terminant, je devais quitter Grenoble mais je voulais garder la possibilité d'en savoir plus, aussi je téléphonais à cette radio pour leur demander où il était possible de se procurer des livres chrétiens. Avec l'adresse d'une librairie chrétienne en poche, je quittais Grenoble et me dirigeait vers Fréjus pour faire mon service militaire. Après le mois de classe, et le mois où j'ai été affecté dans l'unité auto-école où l'on faisait passer les permis aux nouvelles recrues qui s'engageait dans un service de 18 mois dans les DOM TOMS, je demandais à entrer à l'armurerie afin de pouvoir lire les livres que j'achetais à la librairie chrétienne. En fait, dans cette fonction dont personne ne voulait, j'échappais au réveil bien matinal et au lever de drapeau ainsi qu'à toutes les manoeuvres sur le terrain et je passais mes nuits à lire.

Lors de ma dernière permission avant la fin de mon service militaire, j'ai vu une affiche dans une libraire chrétienne qui présentait un événement dans la région mais ce qui avait retenu mon attention était qu'on pouvait parler avec un pasteur ou conseiller.

Aussi, je me suis rendu à ce rassemblement pour poser mes questions à savoir 1) Quel est le message de la bible ? 2) Dieu demande t'il vraiment à ce qu'on observe les traditions religieuses
La personne que j'ai rencontré était un homme de la région grenobloise, pasteur d'une assemblée chrétienne. Lorsque je lui ai posé mes questions, il ouvrait sa bible et me faisait lire des passages à l'intérieur qui répondaient à mes questions. Il m'a expliqué que le monde n'est pas le fruit du hasard ou d'un "accident" mais d'une intention délibérée de Dieu qui a créée le monde comme le dit la bible. Dieu nous a créée pour vivre en communion avec Lui mais Il nous laisse libre de lui obéir ou de refuser de lui obéir.

Quand Dieu a créée Adam et Eve et les a placé dans un lieu favorable; il leur a donné toute liberté et une seule interdiction. En choisissant de braver l'interdiction que Dieu leur avait donné, ils ont péché, le péché crée une séparation entre l'homme et Dieu. En effet, le péché est tout acte fait indépendamment de la volonté de Dieu.

Le péché n'est pas seulement voler, tuer ou mentir mais il peut prendre la forme de l'orgueil, d'un faux témoignage ou même de voir savoir faire le bien et de ne pas le faire. Dieu est un être saint (Il ne connaît pas le péché et ne peut le supporter); juste (la justice de Dieu exige que l'homme qui a péché soit condamné et la lettre de Paul aux Romains nous apprend que la conséquence du péché est une éternité séparé de Dieu, c'est la mort spirituelle et l'enfer), Amour (parce que Dieu aime l'homme mais hait le péché, il a pourvu un moyen de sauver l'homme de la condamnation que son péché méritait) et enfin Dieu est bon (Il est venu dans la personne de Jésus pour prendre sur Lui notre condamnation, parce que Jésus est Dieu venu sous la forme d'un homme, il ne connaissait pas le péché et en mourant sur la croix, Il a pris pour ceux qui désirent être sauver de leurs péchés, les péchés de ceux qui se confient en Lui et lui en font la demande). De cette manière la justice de Dieu est satisfaite, l'Amour de Dieu aussi bien qu'Il en ait coûté à Dieu. La bible dit "car Dieu a tant aimé le monde qu'IL a donné son fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse point mais ait la vie éternelle.(Jean 3:16)

C'est là le message de la bible. C'est un message unique dans le sens qu'il est profondément différent de toutes les religions qui existent qui connaissent pas la raison de l'état de notre monde, qui ne propose que de faire ceci ou aller là dans l'espoir que Dieu comptabilisera ces oeuvres et permettre le salut à celui qui en aura assez fait sans bien sûr permettre à l'homme de savoir combien il faut faire pour en faire assez pour être sauvé. La bible, elle, dit clairement que l'homme ne peut rien faire pour être sauvé, c'est pourquoi Dieu a pris l'initiative de venir en Jésus qui possédait les caractéristiques d'être parfaitement divin pour pouvoir nous sauver mais aussi parfaitement humain (de par sa naissance miraculeuse du St Esprit et de Marie) pour pouvoir vivre comme un homme, prendre sur Lui nos péchés et mourir pour nous. Sa résurrection est un fait attesté, qui nous assure que la justice de Dieu a été satisfaite et que ceux qui se confient en Jésus pour le salut de leurs péchés mourront non pour une éternité en enfer et la séparation d'avec Dieu mais pour une éternité avec Dieu et dans Sa présence.

La bible nous assure aussi qu'aucun homme n'a trop péché pour ne pas être pardonné par Dieu mais que tout homme est pécheur et doit demander le pardon de ses péchés. De par ce fait, le salut de Dieu est parfait et accessible à tout homme qui Lui en fait la demande. Le salut que Dieu offre est un don, il ne se mérité pas, c'est pour cela que l'on dit que c'est une grâce (don immérité) de Dieu
Maintenant, considère ceci, imagine qu'Hitler après avoir fait ce qu'il a fait revienne en son bon sens avant de mourir et se rendant compte avec horreur de tout le mal qu'il a fait demande le pardon de ses péchés à Jésus. Imagine aussi un autre homme qui s'évertue à faire tout le bien qu'il peut (donnant son argent et son temps aux pauvres et nécessiteux et allant tous les dimanches à l'église; lisant sa bible chaque jour mais que jamais il n'ait demandé à Jésus le pardon pour le seul péché qu'il ait pu commettre dans sa vie (même s'il est un homme remarquable ayant seulement menti une fois dans toute sa vie).

Quand ces deux personnes viendraient à mourir le même soir, Hitler serait pardonné et le deuxième homme ne le serait pas et passerait l'éternité sans Dieu.
Car le seul péché que Dieu ne peut pas pardonner est que l'homme refuse le salut qu'il offre à l'homme. Ne pas répondre est synonyme de refus. Si tu donnes un cadeau à ton fils et qu'il te regarde, sourit et s'en va sans le prendre, tu pourrais ressentir dans une moindre mesure ce que Dieu ressent quand l'homme méprise le don du salut qu'il lui fait.

Le salut de Dieu est gratuit mais il en coûtera autrement à celui qui désire vraiment connaître Dieu et être sauvé de ces péchés. Dieu a un adversaire qui ne sera pas content qu'une personne ait été sauvée par Dieu. Accepter le salut de Dieu, signifie aussi qu'ensuite l'homme dont les péchés auront été pardonné ne vive plus pour lui même mais développe sa relation avec Dieu et vive pour Dieu et non plus pour lui-même. Pour ma part cela a été le célibat et la séparation d'avec la famille (bien que cela ne veut pas dire que les choses resteront ainsi, Dieu a des plans pour chacun de nous et pour moi aussi), cela peut être pour d'autre la perte d'un emploi, la perte d'amis, conflit dans le couple voire divorce et bien d'autres choses. Mais il faut savoir aussi que Dieu est souverain et qu'il est au contrôle de toutes ces choses et que si l'on passe par elles, il veut notre bien et si nous lui faisons confiance Il nous guidera vers ce qu'il y a de mieux pour nous.

C'était le 31 mai 1993, le jour où j'ai compris par cet homme le message de la bible et que je l'ai accepté pour moi même. Chose remarquable la bible dit que l'éternité ne commence pas pour le croyant quand il meure mais quand il reçoit le pardon de ses péchés. En d'autres termes l'éternité ne commence pas une fois que nous mourrons, l'éternité commence dés maintenant.

Nous vivons dans un monde où beaucoup d'informations circulent, y compris au sujet de la bible et de Jésus. Avant d'accepter ces informations, je conseille de les étudier pour attester de leur véracité. Certaines sont habilement bien conçues et peuvent tromper beaucoup de gens qui ne vérifieront pas si ce qu'ils entendent est exact ou non.

jeudi 8 juillet 2010

Le catholicisme

Origine :

Genèse 10-8 à 11 : La Bible parle d'un homme, Nimrod (ce qui signifie : rebelle) qui fut le premier homme puissant sur la terre. C'est lui qui construisit et régna sur des villes, entre autre, Babel (ou : Babylone). L'histoire de l'Antiquité et diverses mythologies révèlent que cet homme, sa femme Sémiramis et son fils Ninus (Tammuz) furent divinisés et devinrent des initiateurs d'une trinité (père, mère et enfant).


Origines des religions structurées (Babel) Genèse 11-1 à 9 :

Les hommes furent ensuite dispersés sur toute la terre et formèrent les différentes nations, langues et races desquelles nous sommes issus aujourd'hui. Depuis, le culte babylonien s'est répandu sur toute la terre au cours des siècles ; bien que la forme ait quelque peu changé, le fondement est resté le même. Ses rites sont parvenus jusqu'en Europe, surtout par les civilisations égyptienne et grecque. Les "divinités" changèrent de nom et d'apparence selon la langue et la culture locale. Ces rites idolâtres et superstitieux sont la base même des traditions actuelles qui imprègnent les religions et en constituent leur véritable caractère.

Fondateur de l’église catholique romaine :
 
L’empereur Constantin (337) lorsqu’il l’institua comme église d’Etat. Matthieu 16. V13 à 18 : Simon que Jésus a surnommé « Pierre » (en grec : Petros, c’est-à-dire une pierre de construction) est le 1er à déclarer que Jésus est le Christ. La traduction de Darby est correcte lorsqu’elle dit: « Tu es pierre (petros), et sur ce roc (petra), je bâtirai mon assemblée ». C’est-à-dire, JESUS CHRIST EST LE ROCHER SUR LEQUEL IL BATIT SON EGLISE. Voir aussi 1 Corinthiens 3. V11 : Il n’y a pas d’autre fondement que Jésus Christ.

Généralités :

Séparation entre le clergé et les laïques. Uniforme pour la hiérarchie. messe (Date à laquelle c’est devenu un dogme : 1100) = sacrifice expiatoire (1215). médiation : La vierge, les saints et la hiérarchie - 1 Timothée 2. V5-6. N’appelez personne « père » - Matthieu 23. V9. Abbé vient de « abba » (papa en araméen). Il y a un autre jésus, un autre esprit et un autre évangile - 2 Corinthiens 11. V4.

La papauté :

Titres : Vicaire (remplaçant) du Christ, chef de l’église, saint père, souverain pontife... Jésus Christ est le vrai Grand prêtre ou Souverain pontife – Hébreux 3 v1. Luc 22. V24 : Elévation et abaissement. Infaillibilité (1870). Seule la Parole de Dieu est infaillible. le vrai sacerdoce est intransmissible - Hébreux 7. V23-28 (une fois pour toutes).

La vierge (madone, notre-dame…) :

Sémiramis, Astarté, Isis, Vénus, Artémis (ou Diane) : Dans Actes 19. V27, les fabricants d’idoles disent qu’elle est vénérée dans le monde entier (sous différents noms). Mère de dieu, co-rédemptrice... sont des titres blasphématoires. Reine du ciel (Isis) - Jérémie 7. V18 + 44. V15. Elle existait longtemps avant Marie. Immaculé conception, c’est-à-dire conçue sans péchés (1854) Luc 1. V46-48, la vraie Marie a besoin d’un sauveur, + Romains 5. V12. Virginité - Matthieu 1. V25 : « Il ne la connut (littéralement : pénétra) pas jusqu’à ce qu’elle eut enfanté… » + Luc 2. V7 : Jésus est son 1er né + Marc 6 v3 : Elle a eu 4 autres garçons et plusieurs filles. Ave Maria - Luc 1. V28 : L’ange dit : « Je te salue toi à qui une grâce a été faite ». Assomption (1950). Pour plus de détails : http://religionoudieu.blogspot.com/2007/05/lassomption-de-marie.html
Apparitions - Galates 1. V8 & 9.


L’idolâtrie :

Statues, croix, images, saint sacrement (ostensoir représentant le soleil)... Hostie (Latin = victime) – 1 Corinthiens 10 v19 à 22. Obélisque au soleil (elle vient d’Egypte et se trouve devant la basilique St Pierre au Vatican) - Esaie 17. V8 - Stèle - Deutéronome 16. V22. Vénération et prière aux saints, et à leur reliques - Matthieu 4. V10. Signe de croix (an 300) - Eau bénite (an 1000) - Processions - Pèlerinages.

Et encore :

Les livres apocryphes, rajoutés à la Bible – Deutéronome 4 v2. Le missel. La tradition égale à la Bible (1545) - Matthieu 15. V6-9. Le purgatoire (lieu oû vont les morts pour purger leurs peines), et les limbes (oû vont les bébés morts sans être baptisés) - Romains 8. V1. Messe pour les âmes du purgatoire (300). Prière aux morts (450) - Deutéronome 18. V11. Vente des indulgences pour diminuer le temps a passer au purgatoire(1190) Actes 8 V20. Célibat obligatoire des religieux (325). Vie monastique (450) 1 Timothée 4. V1-3. Cathédrales, “ églises”… Actes 17. V24. Chapelet pour prier (1090) Matthieu 6. V7-8 (d’origine arabe). Carême, et vendredi sans viande (998). Inquisition (1184) - croisades - conquistadors – persécution des protestants, etc...environ 68 millions de victimes. Hébreux 10. V30. Le pape Grégoire IX (1227-1241) interdit la Bible. Le Vatican (1929).

Les fêtes :

Colossiens 2-16 & 17 : La plupart de nos contemporains célèbrent les fêtes religieuses sans en comprendre le sens profond, tout en croyant plaire à Dieu dans le respect de ces traditions, ils ne font qu'observer des pratiques idolâtres provenant d'un paganisme que Dieu réprouve : les uns honorant ces fêtes d'un cœur sincère n'en sont pas moins dupés, tandis que les autres profitent de ces occasions pour donner libre cours à leurs instincts les plus bas.
Les fêtes romaines issues de ce paganisme primitif sont nombreuses, mais il en est cinq parmi les plus importantes : Noël, l'Annonciation, Pâques, la Saint Jean et l'Assomption. Chacune de ces fêtes a incontestablement une origine babylonienne. Apocalypse 17-1 à 6 : Babylone, la mère, c’est-à-dire celle qui a donné naissance à l’idolâtrie religieuse.


Pour plus de détails : http://biblique.blogspot.com/

Apo 18-4 à 8 : « Sortez du milieu d’elle ! » Cher(e) ami(e), si tu es encore dans une église idolâtre, la Parole de Dieu t’ordonne d’en sortir, pour te joindre à une église fidèle...

Pierre Danis :paix@orange.fr

mardi 23 mars 2010

Paque ?


Raisons pour lesquelles je ne participe pas à la Pâque moderne


La pâque est une fête juive, qui concerne le peuple de l’ancienne alliance, alors que nous sommes sous la nouvelle alliance. « Toute la communauté d’Israël l’immolera (l’agneau)…c’est la Pâque de l’Eternel ». Exode 12 : 1 à 17 + 43 à 51

Je ne dois pas apprendre les façons de faire des nations.
"Ainsi a dit l'Éternel: N'apprenez pas les façons de faire des nations; et ne craignez pas les signes des cieux, parce que les nations les craignent." Jérémie 10 : 2

Le Seigneur nous a laissé la sainte cène, afin de se souvenir de sa mort, pas un jour en particulier.
"Car toutes les fois que vous mangez de ce pain, et que vous buvez de cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne." 1 Corinthiens 11 : 26

La fête de pâques célébrée aujourd'hui n'a rien en commun avec ce que la Parole enseigne.
La pâque d'aujourd'hui est une fête catholique, donc du monde.
"N'aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est point en lui." 1 Jean 2 : 15

La pâques est une machine à argent.
"Car l'amour de l'argent est la racine de tous les maux; et quelques-uns en étant possédés, se sont détournés de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans les plus grandes douleurs." 1 Timothée 6 : 10

Ce qui entoure pâques provient du monde de l'occulte; œufs et cloches en chocolat, eau bénite, carême (la mort de Tamuz)…
"Et ne prenez aucune part aux oeuvres infructueuses des ténèbres, mais bien plutôt condamnez-les". Éphésiens 5 : 11

Je dois sortir du milieu d'eux.
"C'est pourquoi, sortez du milieu d'eux, et ne touchez point à ce qui est impur, et je vous recevrai." 2 Corinthiens 6 : 17

Je n'adore pas Dieu lors d'un jour particulier ou lors d'un rituel, mais plutôt en esprit et en vérité.
"Dieu est esprit, et il faut que ceux qui l'adorent, l'adorent en esprit et en vérité." Jean 4 : 2

La pâque célébrée aujourd'hui vient de l'homme.
"Maudit l'homme qui se confie en l'homme." Jérémie 17 : 5

Je dois être conforme à la vérité, pas au siècle présent.
"Je n'ai point de plus grande joie que d'apprendre que mes enfants marchent dans la vérité." 3 Jean 4. "Et ne vous conformez point au présent siècle..." Romains 12 : 2

La pâque moderne est remplie de mensonges.
"C'est pourquoi j'estime droits tous tes commandements, et je hais toute voie de mensonge." Psaume 119 : 128
Toute la loi a «été accomplie en Christ, Alléluia ! « …Christ notre Pâque a été immolé… » 1 Corinthiens 5 : 6 à 8

J'ai oublié le nom de l'auteur, mais je suis entièrement d'accord avec ces déclarations.

samedi 17 octobre 2009

Noël ?


Certains affirment que Noël est une bonne chose en soi, mais qu’elle a été pervertie par le matérialisme et le manque de maîtrise de soi. Ils exhortent les gens à “rétablir la signification religieuse de Noël”, c’est-à-dire la célébration de la naissance du Christ. Mais Noël est-elle vraiment liée à la naissance de Jésus ?

“Avant toute autre chose, il faut noter que malgré les efforts d’innombrables historiens, on n’a encore jamais démontré quel jour (...) Christ est né.”

La Bible ne dit rien sur la date de naissance de Jésus. Les écrits des “pères de l’Église” ne sont pas d’accord sur cette question. Clément d’Alexandrie (des deuxième et troisième siècles de notre ère) fait allusion à certains qui croyaient que Jésus était né un 19 ou 20 avril. D’autres préfèrent le 20 mai. D’autres encore ont choisi le 1er ou le 6 janvier, le 21 ou le 28 mars, pour ne citer que quelques dates avancées. Selon l’Encyclopédie catholique, “il n’y a pas un seul mois de l’année qui n’ait été choisi par des autorités respectables pour fixer la date de la naissance du Christ”.

Cela n’a-t-il aucune importance pour vous ?

N’est-il pas évident que si Dieu avait voulu que son peuple célèbre la naissance de Jésus Christ il en aurait fait consigner la date dans la Bible ? Rappelez-vous que la Bible renferme la date de la Pâque, qui est celle du mémorial de la mort du Christ (Exode 12:6, 14 ; 1 Corinthiens 11:23-25 ; Luc 22:7-20). Il est manifeste que Dieu ne désirait pas que l’on célèbre la naissance de son Fils Jésus. Il n’est donc pas surprenant de lire dans une encyclopédie (The New Schaff-Herzog Encyclopedia of Religious Knowledge) : “Il n’y a aucune preuve historique que le jour de la naissance de notre Seigneur ait été célébré durant la période apostolique ou les années qui l’ont suivie.”

Pourtant, les Églises de la chrétienté ont décidé de la célébrer. En 354 de notre ère, la plupart des Églises ont choisi le 25 décembre comme date de la naissance de Jésus. Pourquoi ?

Les savants fournissent deux explications du choix du 25 décembre. La première voudrait qu’il résulte du calcul effectué par un certain Hippolyte, au troisième siècle de notre ère, selon lequel Jésus serait mort le 25 mars et aurait été conçu trente-trois ans plus tôt. Si l’on ajoute neuf mois à cette dernière date, on arrive au 25 décembre pour la naissance de Jésus.

Selon la deuxième opinion, la date du 25 décembre aurait été choisie parce que ce jour-là les païens célébraient “la naissance du Soleil invincible”, le Brumalia romain. Ce jour faisait suite aux Saturnales (du 17 au 24 décembre), à l’époque du solstice d’hiver. C’est à ce moment-là de l’année que les jours commencent à allonger. Les Romains païens croyaient que Mithra, le dieu-soleil, remportait la victoire sur les ténèbres de l’hiver. Selon la Nouvelle encyclopédie catholique, ce point de vue “reste l’explication la plus plausible du choix de la date de Noël”.

À propos du 25 décembre, on peut lire dans le livre L’histoire de Noël :

“C’était en particulier le jour de fête le plus important de a religion mithriaciste qui parut, pendant un temps, rivaliser avec la foi chrétienne en tant que religion d’État de l’Empire romain. (...) L’observance du 25 décembre par les mithriacistes a sans doute influencé les autorités de l’Église quand elles ont décidé de fixer la date officielle de la naissance de notre Sauveur au 25 décembre.

“Choisir le 25 décembre comme date officielle de la Nativité consistait donc à adapter, pour servir le christianisme, une fête immémoriale et observée dans le monde entier.”

Le professeur A. H. Newman explique que les chefs religieux catholiques jugèrent approprié de faire “coïncider la naissance du Fils de Dieu avec celle du soleil”. La date de Noël résulte donc d’un compromis avec le culte païen du soleil.

Que faut-il penser des “joyeuses coutumes” rattachées à Noël, telles que l’arbre illuminé et décoré de guirlandes multicolores, du houx, du gui, de la bûche de Noël et de l’échange de cadeaux ? Sont-elles chrétiennes ?

Le professeur E.Lehmann écrivit dans l’Encyclopédie de la religion et de l’éthique : “La plupart des coutumes de Noël qui ont court actuellement en Europe, ou qui viennent du passé, ne sont pas d’authentiques coutumes chrétiennes, mais des coutumes païennes qui ont été absorbées ou tolérées par l’Église. (...) La fête de Noël a hérité ces coutumes essentiellement de deux sources : du paganisme romain et teuton.” Certaines coutumes viennent même de la Babylone antique.

Malgré cela, les Églises de la chrétienté continuent de célébrer Noël chaque année. L’origine de cette fête ne semble avoir aucune importance à leurs yeux. Apparemment, tout ce qui compte, c’est qu’il s’agit d’un moment de gaieté qui passe maintenant pour être chrétien. Répondant à une lettre qui avait été adressée aux Chevaliers de Colomb à propos de cette question, un prêtre catholique écrivit :

“L’évolution d’objets ou de fêtes utilisés ou célébrées sous une certaine forme du culte païen n’a aucune importance. Quand l’Église entreprend une œuvre missionnaire parmi un peuple, elle emprunte ordinairement ce qu’il y a de bon dans ses coutumes et dans ses habitudes, et elle lui donne une nouvelle interprétation à la lumière des enseignements du Christ. Si dans le passé quelque chose a été associé à l’erreur, l’Église donne une nouvelle instruction à ce peuple selon la révélation chrétienne et confère à l’objet ou à la coutume une nouvelle signification pour l’avenir.”

Acceptez-vous un tel raisonnement ?

L’origine de Noël n’a-t-elle vraiment “aucune importance” ? Une Église peut-elle ‘donner une nouvelle interprétation’ à quelque chose qui est païen et ainsi le rendre acceptable à Dieu et à Christ ? Que dit la Bible à ce sujet ?

Considérez le cas des Israélites que Dieu libéra de l’esclavage en Égypte et conduisit dans le “pays promis” de Canaan. Durant leur séjour en Égypte, les Israélites s’étaient familiarisés avec de nombreuses coutumes religieuses de ce pays. Les Cananéens, les habitants de leur nouveau pays, avaient, eux aussi, de nombreuses traditions religieuses. Que se serait-il passé si les Juifs avaient adapté certaines pratiques religieuses des Égyptiens et des Cananéens au culte de YaHWeH, le vrai Dieu ? YaHWeH aurait-il considéré que cela n’avait aucune importance aussi longtemps que le culte pratiqué l’honorait ?

Voyez l’opinion de Dieu à ce sujet en lisant Deutéronome 12:30, 31, où il est dit : “Prends garde à toi, (...) de peur que tu ne te renseignes au sujet de leurs dieux, en disant : ‘Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? Et moi, oui, je ferai de même.’ Tu ne devras pas faire ainsi à l’égard de Yahweh, ton Dieu.” Rappelez-vous comment Dieu a manifesté sa désapprobation envers la nation d’Israël quand ses membres adoptèrent le culte idolâtrique du veau pratiqué par les Égyptiens. Ils eurent beau affirmer que le veau représentait YaHWeH et que c’était en réalité “une fête pour Yahweh”, Yahweh dit à Moïse : “Ton peuple (...) a agi d’une manière désastreuse.” Exode 32:4, 5, 7.

Il serait bien que tous réfléchissent sérieusement à cette question. À propos des pratiques religieuses païennes, les chrétiens ont reçu ce commandement : “Ne touchez plus à la chose impure.” (2 Corinthiens 6:17). La Bible donne cette autre exhortation : “Vous étant défaits du mensonge, parlez avec vérité, chacun de vous avec son prochain.” Éphésiens 4:25.

Désirez-vous obéir à ces commandements bibliques ?

Pourriez-vous y obéir tout en participant à une célébration dont l’origine païenne est reconnue et qui suggère une date erronée pour la naissance de Jésus Christ ? Si vous agissiez ainsi, cela ne signifierait-il pas que vous aimez le plaisir plus que Dieu et sa vérité ? 2 Timothée 3:4 ; Romains 1:25.

Noël peut être une épreuve pour beaucoup. Ils savent que cette fête est teintée de paganisme et qu’elle déplaît à Dieu, mais leur famille, leurs amis ou leurs voisins y attachent beaucoup d’importance. Ils peuvent être l’objet de pressions très fortes pour les inciter à ‘faire comme tout le monde’.

Cette année, qu’indiquera cette épreuve ?

Démontrera-t-elle à tous ceux qui vous observent que votre amour pour Dieu l’emporte sur votre désir de plaire aux hommes ? N’oubliez pas que selon la Bible, c’est Yahweh Dieu que vous devez aimer et craindre par-dessus tout. Matthieu 22:37 ; Ésaïe 8:13.

Et les enfants ?

N’est-ce pas cruel de les priver de la joie que procurent les cadeaux et les divertissements de Noël ? Penser ainsi ne serait pas raisonnable.

Ce n’est pas parce que vous ne célébrez pas Noël que vous ne devez jamais faire de cadeaux à vos enfants ou à quelqu’un d’autre. On peut offrir des présents et se réjouir en famille à n’importe quel moment de l’année.

Pensez aussi aux bienfaits qu’en retirent les enfants. L’année leur offre non pas une, mais de nombreuses occasions de se réjouir. Imaginez leurs cris de joie quand leur père ou leur mère leur fait un cadeau inattendu. Comme ils leur sont reconnaissants ! C’est une nouvelle preuve de l’amour de leurs parents. Et n’est-il pas préférable que leur gratitude aille à la personne qui fait réellement le cadeau plutôt qu’à un Père Noël imaginaire ?

En revanche, les cadeaux annuels faits à l’occasion de Noël n’incitent pas à la reconnaissance. Au contraire, les gens s’attendent à en recevoir. Beaucoup sont même très offensés si on ne leur donne rien, et certains sont souvent très déçus quand on ne leur offre pas ce qu’ils souhaitaient.

Cette année, qu’est-ce que Noël signifiera pour vous ?

Sera-ce l’occasion de démontrer que votre amour pour Dieu et sa vérité est la force la plus puissante dans votre vie ? Ou bien ferez-vous un compromis avec ce que vous savez être condamné par Dieu ? Qu’est-ce que Noël signifiera pour vous ? En réalité, la réponse dépend de vous seul.

Roger Benzaken

mercredi 12 août 2009

L'origine des fêtes catholiques

Introduction

Le livre de la Genèse est notre livre d'histoire à tous puisqu'il relate les évènements qui sont la cause même de la situation dans laquelle se trouve notre monde actuel. La Bible, au chapitre 10 verset 8 de la Genèse, parle d'un homme, Nimrod (ce qui signifie : rebelle) qui fut le premier homme puissant sur la terre. C'est lui qui construisit et régna sur des villes, entre autre, Babel (ou : Babylone). L'histoire de l'Antiquité et diverses mythologies révèlent que cet homme, sa femme Sémiramis et son fils Ninus furent divinisés et devinrent des initiateurs d'une trinité (père, mère et enfant).

Les hommes furent ensuite dispersés sur toute la terre et formèrent les différentes nations, langues et races desquelles nous sommes issus aujourd'hui (Genèse 11, versets 1 à 9). Depuis, le culte babylonien s'est répandu sur toute la terre au cours des siècles ; bien que la forme ait quelque peu changé, le fondement est resté le même. Ses rites sont parvenus jusqu'à nous, en Europe, surtout par les civilisations égyptienne et grecque. Les "divinités" changèrent de nom et d'apparence selon la langue et la culture locale. Ces rites idolâtres et superstitieux sont la base même des traditions actuelles qui imprègnent les religions et en constituent leur véritable caractère.

La plupart de nos contemporains célèbrent les fêtes religieuses sans en comprendre le sens profond ; tout en croyant plaire à Dieu dans le respect de ces traditions, ils ne font qu'observer des pratiques idolâtres provenant d'un paganisme que Dieu réprouve : les uns honorant ces fêtes d'un cœur sincère n'en sont pas moins dupés, tandis que les autres profitent de ces occasions pour donner libre cours à leurs instincts les plus bas.

Les fêtes romaines issues de ce paganisme primitif sont nombreuses, mais il en est cinq parmi les plus importantes que nous voulons examiner ici : Noël, l'Annonciation, Pâques, la Saint Jean et l'Assomption. Chacune de ces fêtes a incontestablement une origine babylonienne.

• 1 / Noël

Pourquoi cette fête a-t-elle été fixée le 25 décembre ?
L'Ecriture Sainte ne mentionne aucun jour précis de la naissance du Christ. Elle n'indique même pas l'époque de l'année où il naquit. Par contre, il est certain que cette naissance n'a en tous cas pas pu avoir lieu le 25 décembre. En effet, la naissance du Christ s'est produite à l'époque du recensement : chaque personne devait se rendre dans sa ville natale. Beaucoup avaient une longue distance à parcourir à pied ou à dos d'âne, y compris femmes et enfants. Il est donc impossible que cela ait eu lieu en plein hiver.

Si l'on suppose que l'hiver n'est pas rigoureux en Israël, on doit se souvenir des paroles du Christ : "Priez pour que votre fuite n'arrive pas en hiver" (Matthieu 24 verset 20). Or, si l'hiver est une saison qui ne permet pas de fuir, elle est encore moins propice pour que des femmes et des enfants entreprennent de longs voyages ou, comme le dit encore l'évangile de Matthieu, pour que les bergers de Bethléem paissent leurs troupeaux dans les champs en pleine nuit par un froid rigoureux. Au contraire, c'est en plein été que les bergers gardent les brebis la nuit. La nuit où Jésus fut arrêté (au printemps), il faisait tellement froid, que les gardes et Pierre se chauffaient autour d'un brasero (Luc 22, versets 55 et 56).

Pourquoi et comment l'église romaine a-t-elle fixé cette date du 25 décembre pour fêter Noël ?
On a généralement cru que cette fête avait seulement une concordance astronomique puisqu'elle correspondait à la fin de la course annuelle du soleil et au commencement du nouveau cycle. Hormis l'époque de sa célébration, ce sont également toutes les cérémonies qui accompagnent cette fête qui prouvent son origine païenne. Noël a une signification beaucoup plus profonde que le simple symbolisme se rapportant au solstice d'hiver, mais c'était surtout l'anniversaire de la naissance du faux messie babylonien, le grand libérateur.

En Egypte, le jour du solstice d'hiver était célébré en l'honneur du fils d'Isis, titre égyptien de la reine des cieux.
Bien avant l'ère chrétienne, les païens célébraient une fête à cette époque de l'année en l'honneur de la naissance du fils de la reine de Babylone. Or, pour augmenter le nombre des païens adhérant de nom au christianisme, la même fête fut adopté par l'Eglise romaine.

Nombre de rites babyloniens ont leur similitude dans la fête de Noël :

• Les bougies qu'on allume la veille de Noël et qui doivent rester allumées pendant les fêtes correspondent au culte du dieu babylonien dont la naissance était célébrée dès la veille en illuminant ses autels.

• L'arbre de Noël qui est si commun dans nos traditions occidentales était également connu dans la Rome païenne. En Egypte, c'était un palmier symbolisant le messie païen. C'était un principe essentiel du système babylonien que le soleil ou Baal était objet favori du culte, incarnation du soleil.
On retrouve donc la signification de la bûche que l'on mettait au feu la veille de Noël et qui, le lendemain, était devenue l'arbre de Noël. Or, la bûche symbolise le tronc mort de Nimrod déifié en tant que dieu soleil, mais renversé par ses ennemis. L'arbre de Noël n'est donc rien d'autre que l'honneur rendu à Nimrod, le dieu mis à mort et rendu à la vie.

La branche de gui de la superstition druidique venait aussi de Babylone et représentait ce faux messie "homme branche", gage de la réconciliation entre Dieu et les hommes : cette branche divine venait du ciel, portée par un arbre qui, lui, sortait de la terre. En greffant la branche céleste sur un arbre terrestre, le ciel et la terre séparés par le péché se trouvaient alors réunis, réconciliés. De même l'oie de Noël (aujourd'hui la dinde) et les gâteux (bûches de Noël) étaient des éléments essentiels au culte babylonien tel qu'il était pratiqué en Egypte et à Rome. Il est donc clair que le christianisme s'est simplement approprié tous ces rites païens.

• 2 / L'Annonciation

La grande fête du calendrier romain qui suit Noël est l'Annonciation, et la date fixée pour cette fête confirme ce qui vient d'être dit. Cette fête se célèbre le 25 mars, en souvenir, dit-on, de la conception miraculeuse du Messie dans le sein de la vierge, le jour où l'ange vint lui annoncer l'honneur qui lui serait accordé d'être la mère du Sauveur du monde (Luc 1 verset 31). Mais qui peut certifier l'époque à laquelle cette annonce lui fût faite ? L'Ecriture ne nous donne aucune indication car cela a, en fait, peu d'importance. Ce jour, indiqué dans le calendrier papal comme étant l'annonciation de la vierge, existait bien avant la conception et la naissance du Christ. C'était, en effet, un jour de fête dans la Rome païenne en l'honneur de Cybèle, déesse romaine qui n'est autre que la mère du messie babylonien.

Il est d'ailleurs évident qu'il existe une relation étroite entre le jour de Noël et celui de l'annonciation. Entre le 25 mars et le 25 décembre suivant, il y a exactement 9 mois. Par conséquent, si le faux messie fût conçu en mars et naquit en décembre, peut-on croire un seul instant que la conception et la naissance du véritable Messie ait pu s'accorder aussi exactement avec ces deux dates, non seulement en ce qui concerne le mois, mais qui plus est pour le jour ? Qui pourrait croire à une telle probabilité ? C'est absolument impossible, ce qui prouve là encore que l'Annonciation et Noël sont donc bien des fêtes babyloniennes.

• 3 / Pâques

Les quarante jours de jeûne du carême ont été directement empruntés aux adorateurs de la déesse babylonienne. Le jeûne égyptien de quarante jours était expressément pratiqué en souvenir d'Adonis (ou Osiris), le grand dieu médiateur. Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection du dieu Tammouz, par des larmes et des réjouissances (voir Ezéchiel 8 verset 14). A l'origine, même à Rome, on ne connaissait pas le carême avec les orgies du carnaval qui le précédaient.

Lorsque le culte d'Astarté (nom cananéen de la déesse babylonienne Ishtar) devint prépondérant, on prit des mesures pour faire observer le jeûne chaldéen de 6 semaines (soit 40 jours) dans tout l'empire romain d'Occident. La voie fut préparée par le Concile tenu à Aurélia vers l'année 519, qui décréta que le carême serait solennellement observé avant Pâques. Les galettes chaudes marquées d'une croix le vendredi saint et les œufs coloriés figuraient dans les rites chaldéens, exactement comme ils le sont encore aujourd'hui en Occident. Le prophète Jérémie mentionne ce genre d'offrande quand il dit : "Les enfants apportaient du bois, les pères allumaient le feu, et les femmes pétrissaient la pâte pour offrir des gâteaux à la reine du ciel" (Jérémie 7 verset 18).

L'origine des œufs de Pâques est tout aussi claire. Les anciens druides portaient un œuf comme emblème sacré de leur ordre. Dans les mystères de Bacchus, tels qu'on les célébrait à Athènes, la consécration d'un œuf formait une partie de la cérémonie nocturne. La vraie Pâques est une fête juive célébrée le 14ème jour du premier mois du calendrier juif, au cours de laquelle un agneau était immolé, rôti et mangé.
Jésus est mort ce jour-là, en accomplissement des prophéties, et Il est ressuscité 3 jours et 3 nuits plus tard ; c'est à dire le 1er jour de la semaine (dimanche matin). Il n'y a pas de fête de Pâques dans le Nouveau Testament.

• 4 / La Saint Jean

Jean-Baptiste était né 6 mois avant le Sauveur. La fête païenne du solstice d'hiver ayant déjà été consacrée au jour de la naissance de Jésus, il fallait forcément fixer la date de son précurseur par rapport à cette date. Entre le 24 juin (solstice d'été) et le 24 décembre (solstice d'hiver), il y a exactement 6 mois. Les feux de la Saint-Jean où les jeunes et les vieux doivent marcher sur les cendres chaudes remontent jusqu'au premier des mortels qui a régné : Nimrod.

Si du temps des druides, on attendait des bénédictions du feu qu'on allumait en y faisant passer des jeunes gens et des vieillards ou du bétail, c'était simplement parce que l'on croyait purifier ainsi les souillures du péché inhérent à tous les êtres humains. Si Tammuz était le même dieu que Zoroastre, le dieu des anciens adorateurs du feu, et si la fête de ce dieu à Babylone correspondait si exactement à la nativité de Saint-Jean, quoi d'étonnant que cette fête soit encore célébrée par les feux de Baal et qu'elle présente encore une image si fidèle de ce que l'Eternel condamnait autrefois chez son peuple qui sacrifiait ses enfants en les immolant par le feu du dieu Moloc ? (Deutéronome 18 verset 10).

Quel homme, s'il connaît un peu l'Evangile, pourrait qualifier de "chrétienne" une telle fête ? Les prêtres de Rome, même s'ils ne l'enseignent pas ouvertement, trompent du moins leurs adeptes en leur laissant croire, aussi assidûment que le croyaient les païens adorateur du feu, que le feu peut purifier des souillures du péché. Beaucoup pratiquent cette tradition sans même connaître son origine, ni son sens véritable. Comment peut-on accepter la pratique de tels rites qui allaient alors jusqu'au sacrifice d'enfants innocents ?
Seul le sang de Jésus Christ nous purifie du péché (1ère lettre de Jean, chapitre 1, verset 7).

• 5 / L'Assomption

Il faut souligner que cette fête, instituée par la papauté, a été établie au XIXème siècle, qui a la réputation d'avoir été le siècle de lumière. Voici cette doctrine : la Vierge Marie, dit-on, n'a point connu la corruption et fut élevée au ciel où elle est maintenant, et en tant que co-rédemptrice.

Il n'y a pourtant aucun fondement d'une telle doctrine dans l'Ecriture Sainte. Quelle en est donc l'origine ?
Dans le système babylonien, c'était une fable déjà toute préparée. On y enseigne que le dieu Bacchus descendit en enfer, arracha sa mère aux puissances infernales et l'emporta avec lui en triomphe dans les airs. Cette légende s'est répandue partout où le système babylonien s'est implanté. La fête de l'Assomption est célébrée dans l'église romaine le 15 août. Or, lorsque la mère du messie païen fut célébrée à cause de cette "assomption", elle fut adorée comme l'incarnation de l'Esprit de Dieu. Elle fut considérée comme la source de toute sainteté, la grande purificatrice et naturellement, elle fut reconnue elle-même comme la mère pure et sans tâche. Ce n'est qu'en suivant dans ses conséquences logiques la doctrine païenne déjà adoptée et mélangée avec tout le système de Rome que ce décret a été lancé et que la madone romaine a été formellement appelée, dans le sens le plus complet du mot, "vierge immaculée".

Extraits du livre de Alexander Hislop « Les 2 Babylones ».

Peut-on encore douter que la madone de Rome avec l'enfant dans ses bras et la madone de Babylone ne soient qu'une seule et même déesse ?
Celle-ci n'a rien à voir avec l'humble jeune fille (Myriam ou Marie en français) qu'était la mère de Jésus. On sait fort bien que la madone romaine est un grand sujet de culte. La Parole de Dieu n'a-t-elle pas condamné dans les termes les plus énergiques la Babylone du Nouveau Testament ? N'a-t-elle pas déclaré que ceux qui participent aux péchés de Babylone participeront aussi à ses châtiments ? (Apocalypse 18 verset 4). Le péché d'idolâtrie est en général considéré comme une faute légère, mais ce n'est pas ainsi que Dieu lui-même le considère.
De tous les commandements, le second est accompagné des menaces les plus terribles par son effraction :

"Tu ne te feras pas d'image taillée ni aucune représentation des choses qui sont là-haut dans le ciel, ici-bas sur la terre et dans les eaux plus bas que la terre, tu ne te prosterneras pas devant elles et tu ne les serviras pas, car moi, l'Eternel ton Dieu, je suis un Dieu jaloux qui punis la méchanceté des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent et qui fait miséricorde jusqu'à mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements" (Exode 20 verset 4).

Ces paroles viennent de la bouche même de Dieu, elles ont été écrites par la main même de Dieu sur la pierre, non pas seulement pour la race d'Abraham, mais pour toutes les tribus et toutes les générations de la terre.
Dieu, dans le Nouveau Testament, ne demande nullement d'observer les fêtes, car toute la loi a été abolie en Jésus-Christ (Epitre aux Galates, chapitre 4, verset 10 et épitre aux Colossiens, chapitre 2, verset 16).

"Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et une vraie tromperie ; s'appuyant sur la tradition des hommes, sur les principes élémentaires du monde et non sur Christ. Car en Lui habite corporellement toute la plénitude de la Divinité. Vous avez tout pleinement en Lui qui est le chef de toute domination et de toute autorité". (Epitre aux Colossiens, chapitre 2, versets 8 à 10)

Par contre, Dieu attend de nous une confiance et une obéissance totale. Voici ce que l'apôtre Paul disait aux philosophes d'Athènes :

"Le Dieu qui a fait ce monde et tout ce qui s'y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n'habite pas dans des temples faits de main d'homme. Il n'est point servi par des mains humaines comme s'Il avait besoin de quoi que ce soit, Lui qui donne à tous la vie, la respiration et toutes choses. Il a fait que tous les hommes, sortis d'un seul sang, habitent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure… Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils ont à se repentir, parce qu'Il a fixé un jour où Il jugera le monde selon la justice par l'homme qu'Il a désigné (Jésus-Christ), ce dont Il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts" (Actes, chapitre 17, versets 24 à 31).

Cher lecteur,

Dieu vous invite aujourd'hui même à renoncer à toutes pratique inutile et trompeuse, à toute superstition, à toute idolâtrie, pour vous faire pénétrer dans la Réalité qui se trouve dans la personne de Jésus-Christ, le seul Seigneur.
Même si vous ne vous sentez pas concerné par ces choses, sachez que l'homme est religieux par nature, y compris les athées qui placent leur foi dans la science, la technologie, la politique, l'argent, … Il y a dans le cœur de l'homme un vide que Dieu seul peut combler.

Les religions sont terrestres, fondées par l'homme et donc impuissantes pour nous conduire au ciel. Le Salut, par contre, vient de Dieu, c'est Jésus le Vrai Messie. Il est l'unique remède à tous les maux de l'humanité. Il est mort pour nos péchés et Il est ressuscité. En Lui, nous avons le pardon de nos fautes et la Vie Eternelle qu'Il offre gratuitement à tous ceux qui l'acceptent. Alors, à vous de choisir !