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vendredi 29 septembre 2023

Un ancien guru devenu chrétien

Rabindranath Maharaj : “La mort d’un guru” (éd. Farel, 1992, p. 232) :

Hindouisme : Principale religion de l’Inde.

Elle contient des croyances si variées et si contradictoires qu’il est impossible de la définir. On peut être panthéiste, polythéiste, monothéiste, agnostique ou même athée et porter le nom d’hindou. 

Un hindou peut être moral ou amoral, croire au dualisme, au pluralisme, au monisme, être fidèle au temple ou dans l’adoration, ou bien ne pas du tout participer aux cérémonies religieuses.

L’hindouisme prétend inclure et accepter toutes les religions, mais la religion devient alors une partie de l’hindouisme. 

Le syncrétisme essaie d’assimiler la foi chrétienne à l’hindouisme, mais le Dieu de la Bible n’est pas Brahman, ni le ciel le nirvãna, ni Jésus-Christ une autre réincarnation de Vishnu.

Enfin, le salut par la grâce de Dieu, la foi en Christ mort pour nos péchés, et la résurrection, contredisent tout l’enseignement de l’hindouisme. »

L’auteur, descendant d’une longue lignée de prêtres et d’un guru Brahmane. Il pratiquait le yoga et méditait chaque jour pendant de nombreuses heures. 

Il eut connaissance de l’Evangile. Après une recherche difficile et bien des luttes, il reçut le pardon de ses péchés et devint disciple de Christ.

Dans le témoignage qu’il rend à son Sauveur, le frère Rabindranath Maharaj n’hésite pas à mettre les occidentaux en garde contre la séduction des religions orientales et, précisément, contre les méthodes de méditation si appréciées par les moines catholiques.

« La méditation en Orient (Méditation Transcendantale, Zen) est une technique qui permet à l’homme de se détacher du monde des choses et des idées (maya), en se libérant de toute pensée volontaire ou rationnelle. On est alors transporté dans des "états supérieurs de conscience." 

La méditation orientale a été rendue populaire sous différents noms en Occident. On la présente comme une technique de relaxation, mais son but est de faire prendre conscience à l’homme de son union avec l’univers. 

C’est la porte d’entrée vers le “néant” appelé aussi nirvãna. Elle conduit la personne à se livrer aux forces mystiques et cosmiques. »

Bernard Prunneaux

lundi 27 avril 2020

Beth Eckert met en garde les chrétiens contre le Yoga


Autrefois versée dans l’occultisme, Beth Eckert met en garde les chrétiens contre le Yoga

Beth Eckert s’est enfoncée très jeune dans ce qu’elle nomme « une vie d’obscurité et de désespoir » dans l’occultisme, le Nouvel Age et les philosophies orientales, jusqu’à sa rencontre avec Jésus qui la fera sortir « de l’obscurité vers la lumière ». Au vue de toute cette expérience, Beth estime que le yoga n’est pas une pratique anodine spirituellement. 😡
Beth s’est toujours sentie seule et triste, mais à l’adolescence après avoir été violée, elle essaie de mettre fin à ses jours, puis tombe dans la drogue et l’alcool. Elle recherche la vérité et un sens à sa vie. C’est dans le Nouvel Age, les philosophies orientales et l’occultisme qu’elle cherchera. Elle deviendra une sorcière et seul Jésus la sortira des ténèbres dans lesquelles sa vie s’est enfoncée. 😊
Et pour cette jeune femme désormais chrétienne et engagée, la pratique du yoga serait à éviter. Car selon elle, les racines du yoga puisent directement dans l’hindouisme et l’occultisme, et cette pratique ouvrirait une porte sur l’occultisme.
« Il prend quelque chose qui semble bien, qui ressemble à quelque chose qui est bon pour ta santé spirituelle, mentale et physique. Tu portes de jolies tenues, tu sors et tu rencontres des gens agréables et c’est juste super bon pour toi. C’est ce que les gens pensent faire en pratiquant le yoga. […] Ils croient réellement qu’ils font quelque chose qui est bon pour eux. […] Donc quand vous faites du yoga, vous utilisez le pouvoir de l’esprit Kundalini qui est Shakti, qui est une fausse divinité, c’est à dire un démon, que vous invitez dans votre corps et qui se canalise dans votre corps, qui devient un portail pour les démons. »


jeudi 9 novembre 2017

Le yoga



YOGA : Relaxation ou Manipulation de l’esprit ?



« … Au contraire, examinez toutes choses, retenez ce qui est bon, et gardez-vous de ce qui est mauvais, sous quelque forme que ce soit. » (1 Thessaloniciens 5 : 21-22) 

Au début du vingtième siècle, le Yoga pénètre en Occident, principalement en Amérique et en Europe. Depuis l'indépendance de l'Inde, un retour aux valeurs ancestrales traditionnelles donne un nouvel élan indien au Yoga contemporain. L’enseignement et la pratique du yoga n’ont cessé depuis de prendre de l’ampleur au sein de notre société occidentale. Avec l’arrivée des colonisateurs occidentaux aux Indes, puis leur retrait suite à l'indépendance indienne, le Yoga émigre et se transforme en Occident. 

La philosophie orientale autour du yoga commence alors à susciter un certain intérêt. Plus tard, sous l’impulsion et l’influence de groupes comme les Beatles qui se sont fort intéressés à la spiritualité orientale, la génération « hippie » de mai ’68 suit le mouvement et s’intéresse elle aussi à tout ce qui a trait au yoga et autres croyances issues de la spiritualité indienne. Aujourd’hui, le yoga est devenu une discipline à la portée de tous et bien présente dans notre société. 

Le yoga intéresse désormais pas mal de monde et jouit d’une forte publicité auprès des stars les plus en vue. Sur un important site web de sport : « Le yoga, une discipline en vogue. De Madonna en passant par le rockeur Sting et l’actrice Jennifer Aniston, les stars ne jurent que par lui. Si nos amis people en sont gagas, c’est sûrement parce que les bénéfices de cette ancienne pratique indienne sont indéniables. Avec tous ces exercices, vos préoccupations deviendront le cadet de vos soucis. » 

DÉFINITION 

Les différentes formes de yoga ont toutes leur origine dans l’histoire païenne de l’Inde antique sous l’influence de philosophes hindous qui recherchaient le contrôle total de leur propre corps, de leur âme, de leurs sentiments et de leurs pensées. Ils aspiraient à l’élévation de leur « moi » vers « l’Être suprême » qui en Inde est appelé Brâhma ou Inra, roi des dieux. Vous avez dit contrôle total ? 

1 Corinthiens 6 :19 «Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes? »
 Philippiens 2 :5 « Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus Christ.. » 

Les Vedas : livres « sacrés »… 

*védique : qui a rapport aux Vedas (livres sacrés de l'Inde écrits en sanskrit archaïque).
Les hindouistes n'ont pas de « livre sacré » mais bien des textes sacrés. L'ensemble de ces textes s'appelle Veda. Les Vedas sont les textes religieux les plus anciens du monde. Des chercheurs ont avancé diverses dates pour l'origine des Vedas, s'étendant approximativement de 5000 avant J.-C. à 1500 avant J.-C. Ils constituent un corps de référence pour tous les hindous. Les Vedas sont considérés comme Shruti (c'est-à-dire: «indiqué») par les Hindous. On dit que les Vedas ont été indiqués par Brahman (l'Esprit Suprême) aux sages, appelés rishis, tandis que ceux-ci étaient en méditation. Les idées exprimées dans les Vedas ont été tout d'abord transmises oralement, de père en fils et de professeur à disciple. 

Dans la vision hindoue traditionnelle, les Vedas seraient non personnels et sans commencement ni fin, ce qui signifie que les vérités décrites dans les Vedas seraient « éternelles » et qu'elles ne sont pas des créations de l'esprit humain. Du moins, c’est ce qu’ils prétendent.  

FORMES DE YOGA 

            1. Jñāna-Yoga : Yoga de la connaissance transcendante ;
            2. Bhakti-Yoga : Yoga de la dévotion et de l'adoration ;
            3. Karma-Yoga : Yoga du service et de l'action désintéressée ;
            4. Rāja-Yoga : Yoga codifié par Patañjali et procédant essentiellement par méditation (dhyâna).
A ces quatre voies, il faut ajouter le Kriyā-Yoga qui combine toutes les techniques du Yoga ( Hatha-Yoga, Kundalinî-Yoga, Tantra-Yoga, Yoga-Nidrā -sommeil- et autres ) que nous ne passerons évidemment pas toutes en revue par souci de brièveté. 

LE YOGA AUJOURD’HUI 

Pour une majorité d'occidentaux, le yoga se résume au Hatha-Yoga. Pourtant, non seulement ce n'est pas la seule forme de yoga, mais même, la forme proposée en Occident est très éloignée de ce qu'est réellement le Hatha-Yoga traditionnel. En effet, le Hatha-Yoga, traditionnellement, n'est pas une forme de gymnastique douce mais une voie spirituelle à part entière, une voie abrupte et dangereuse réservée à une élite d'individus prêts à brûler les étapes de la « Réalisation ». Dans le Hatha-Yoga, l’individu prend une position de gymnastique immobile. Pour l’indien, la pratique du yoga consiste à immobiliser son corps, sa respiration, et son mental de sorte à permettre à l’individu d’arriver à une libération radicale du cycle des réincarnations en ce monde. 

En Occident, le yoga le plus diffusé est le « Hatha-Yoga », une technique plus « light » qui vise à contrôler toutes les fonctions vitales de l’homme, de son corps, de son esprit et de son âme. Pour ceux qui le pratiquent, cette forme de yoga est inoffensive et ne servirait qu’à relaxer le stress, à aider l’homme à être en symbiose avec la nature et le monde qui l’entoure. Une façon de se garder en bonne santé physique et mentale, disent la plupart. Mais qu’en est-il réellement ? 

Depuis plus de 3000 ans, la pratique du yoga s’est transmise de génération en génération essentiellement de « maître » à élève. 

Contrairement à cette tendance ancestrale qu’a l’homme de vouloir parvenir à la sainteté par ses propres efforts et mérites, voici ce que nous révèle la Bible sur la seule source du salut de notre âme : 2 Timothée 1 :9 « C'est lui qui nous a sauvés et nous a appelés à mener une vie sainte. Et s'il l'a fait, ce n'est pas à cause de ce que nous avons fait, mais bien parce qu'il en avait librement décidé ainsi, à cause de sa grâce. Cette grâce, il nous l'a donnée de toute éternité en Jésus-Christ. » 

Ephésiens 2 :8 « Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. » 

*Réincarnation : doctrine hindouiste selon laquelle l’« esprit », l’« âme », la « conscience individuelle » s'accomplit au travers de vies successives dans différents corps (humains, animaux ou végétaux selon les croyances). Dans cette doctrine, à la mort du corps physique, l'« esprit » quitte ce dernier pour habiter, après une nouvelle naissance, un autre corps, ce qui permettrait à l'individualité de poursuivre ses expériences de vie et son évolution spirituelle ou morale.  

LA PRÉTENTION DU YOGA 

Le but ultime du yoga serait la quête d'une harmonie, d'une unité corps et esprit, le respect d'autrui, la paix et la non-violence. À priori, on pourrait presque se dire qu’en fin de compte le yoga répond à des besoins vitaux pour l’équilibre de l’homme et de la vie en société. Mais en tant que chrétiens, nous savons que nous n’avons jamais réussi à trouver la véritable paix de l’âme avant d’avoir ouvert notre cœur au Seigneur, et si les techniques du yoga y étaient parvenues, on l’aurait su depuis des siècles ! Bien au contraire, l’homme est aujourd’hui encore plus insatisfait qu’il ne l’a été dans le passé : 

Esaïe 59 : 8 « Ils ne connaissent pas le chemin de la paix, et le droit est absent des routes qu'ils empruntent. Les sentiers qu'ils se tracent sont des voies tortueuses : quiconque s'y engage ne connaît pas la paix. »
Jésus, Lui, ne nous a pas laissé le yoga mais : 

Jean 14 : 27 « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s'alarme point. » 

 Il n’a jamais été question que Dieu demande à l’homme de vider son esprit ou de s’appuyer sur sa propre intelligence pour trouver la paix, mais Il nous invite plutôt à nous décharger de tous nos soucis en la personne de Jésus-Christ : 

Ephésiens 4 : 17-25 «Voici donc ce que je vous dis, ce que je vous déclare au nom du Seigneur: vous ne devez plus vivre comme les païens, qui suivent leurs pensées vides de sens. Ils ont, en effet, l'intelligence obscurcie et sont étrangers à la vie que Dieu donne, à cause de l'ignorance qui est en eux et qui provient de l'endurcissement de leur cœur. Ayant perdu tout sentiment, ils se sont livrés à la dissolution, pour commettre toute espèce d'impureté jointe à la cupidité. Mais vous, ce n'est pas ainsi que vous avez appris Christ, si du moins vous l'avez entendu, et si, conformément à la vérité qui est en Jésus, c'est en lui que vous avez été instruits à vous dépouiller, eu égard à votre vie passée, du vieil homme qui se corrompt par les convoitises trompeuses, à être renouvelés dans l'esprit de votre intelligence, et à revêtir l'homme nouveau, créé selon Dieu dans une justice et une sainteté que produit la vérité. » 

Le maître à bord de notre vie ne doit donc plus être notre « vieil homme » ou notre « vieille nature humaine », mais le Seigneur Jésus. C’est un changement de programme tout à fait radical mais qui donne à l’homme la véritable paix de l’âme… 

Certains maîtres de yoga enseignent la technique « Mantra-Yoga ». Le mantra est soit une formule sacrée d'invocation* condensée, soit une série de syllabes assemblées en fonction de leur seule efficience magique, répétée de nombreuses fois suivant un certain rythme. Le but de sa pratique peut être la recherche d’un bienfait matériel ou spirituel. Le récitant s'accompagne souvent d'un mālā, sorte de chapelet comportant 108 grains et à l’aide duquel il récite mécaniquement le nom d’une divinité (sic). Plusieurs syllabes-germes peuvent entrer dans la composition d'un Mantra. Il existe différentes sortes de Mantras. Pour que ceux-ci soient opérants, « vivants », ils doivent être transmis par un Gourou qui en a tiré les fruits. 

*invocation : Action d'invoquer. Invocation à Dieu, à la divinité. Prier des puissances surnaturelles pour obtenir de l'aide. 

 « MANTRA-YOGA » : INVOCATIONS DE DIVINITÉS… 

            Les Mantras comportent aussi un sens ésotérique. Le méditant répète la formule mentale donnée au moment de l'initiation par son gourou. Il combine cette répétition, Japa, avec le contrôle du souffle. L'obtention des fruits escomptés nécessite un temps de répétition plus ou moins prolongé dans un climat intérieur de dévotion et de foi (?). 

Parmi les innombrables Mantras de l'Hindouisme, citons : 

- OM : symbole de l'Absolu, le Mantra des Mantras. - Om Namah Shivaya. - Om Namo Narayanaya. - Om Namo Bhagavate Vasudevaya. - Hare Rama Hare Rama Rama Rama Hare Hare. - Hare Krishna Hare Krishna Krishna Krishna Hare Hare. - Om Ram Jay Ram. 

Ce ne sont évidemment pas les seules formules connues de « prières mantra ». Il en existe plein d’autres et pas seulement dans l’hindouisme, mais aussi dans le bouddhisme, par exemple.
Les Tibétains utilisent beaucoup le Mantra : « Om Mani Padm e Hum Hri ».
 
Dans Sa Parole, Jésus nous montre une tout autre direction pour nous adresser à Dieu, sans récitations ni détours :
Jean 14 :13 « et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. » 

Matthieu 6 : 7 « En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s'imaginent qu'à force de paroles ils seront exaucés. »
Si, comme le dit la Bible, nous sommes convaincus qu’il n’y a rien de commun entre la lumière et les ténèbres (2 Corinthiens 6 :14), si nous sommes véritablement reconnaissants à Dieu de nous avoir arrachés des mains de Satan et des croyances qui nous ont tenu à l’écart de la communion avec le Seigneur, alors nous continuerons à suivre le conseil de la Parole : 

Actes 17 : 29 « Ainsi, puisque nous sommes ses enfants, nous ne devons pas imaginer la moindre ressemblance entre la divinité et ces idoles en or, en argent ou en marbre que peuvent produire l'art ou l'imagination des hommes. » 

Éphésiens 5 :8 « Autrefois vous étiez ténèbres, et maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur. Marchez comme des enfants de lumière! »
Matthieu 6 :24 « Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre; ou il s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon.” 

INCOMPATIBILITÉS IRRÉCONCILIABLES… 

Au-delà de la dimension profondément ésotérique et occulte dans laquelle la discipline du Yoga prend ses sources, il serait intéressant de considérer également les prises de positions très radicales de la part de ses plus fervents adeptes. Il ne s’agit pas ici de petites dissensions mais bien d’un esprit radicalement opposé à la seigneurie de Christ. 
 
Lisez plutôt :
" Je sais que les Beatles connaîtront le succès comme aucun groupe ne l’a encore connu. Je le sais très bien, car pour ce succès, j’ai vendu mon âme au diable. » John Lennon, leader vocal du groupe et fervent adepte de yoga, lors d’une interview à R. Coleman (en 1962). 

" Ils sont complètement anti-christ. Je veux dire que moi aussi je suis anti-christ, mais eux le sont tellement qu'ils me choquent !" (Derek Tylor, agent de presse des Beatles dans une interview au Saturday Evening Post, le 08/08/1964).       
  
Colossiens 2 :8-9 « Veillez à ce que personne ne vous dépouille de votre foi et ne fasse de vous ses prisonniers par une philosophie trompeuse et décevante. De tels enseignements s’inspirent de traditions de ce monde, tout humaines et élémentaires, et qui n’ont rien à voir avec Christ. Or c’est en Lui seul et en son corps que réside réellement et d’une manière permanente toute la plénitude de la divinité. » 

 LE YOGA : TRAIT D’UNION ENTRE RELIGIONS ET CROYANCES 

Le yoga possède des éléments communs aux croyances et religions orientales. On retrouve cette forte influence du yoga (connu sous le nom de « tantra-yoga ») principalement dans le bouddhisme (sous forme d’exercices spirituels, d’états de transe ou de méditation) et dans l’hindouisme auquel il se rattache. On retrouve également une forte influence du yoga et de ses pratiques de méditation dans les cultes païens de l’Egypte antique. La particularité du yoga est que sa pratique n’exige pas que tous les individus suivent un même et unique chemin. Cette idéologie plaît évidemment à tout le monde. 

Ce n’est pas une religion en soi mais plutôt une philosophie sans exclusive ; toutes les convictions, mêmes religieuses ou humanistes, peuvent y trouver leur compte. Raison pour laquelle il attire énormément d’individus aujourd’hui, selon que l’on soit croyant, agnostique ou même athée ! Contrairement aux religions et aux idéologies qui s’adaptent aux dictats humains, Jésus, Lui, affirme une fois encore une vérité qui va à contre-courant : 

Jean 14 : 6 « Je suis LE chemin, LA vérité et LA vie, personne ne va à Dieu le Père sinon par moi ».
JÉSUS : PRINCE DE PAIX… 

.           Le but recherché de cette étude n’est pas de casser du sucre sur la foi ou la croyance d’autrui, mais elle se veut une exhortation pour les chrétiens à rechercher la véritable communion avec Christ à travers laquelle chaque personne peut expérimenter une paix de l’âme qui va bien au-delà de toute forme de bien-être éphémère. Nous ne pouvons pas fermer les yeux sur les profondes réminiscences de spiritualités orientales à partir desquelles le Yoga s’est développé et dans lesquelles il puise sa raison d’être. 

Que l’on soit chrétien ou non, qu’on le pratique en tant que sport ou en tant que discipline de l’esprit, fort est de constater que le Yoga ne peut être pratiqué et dissocié de sa source d’inspiration occulte. En tant qu’enfants de Dieu, nous n’avons plus besoin de recourir à des pratiques ambigües qui pourraient à nouveau nous lier de près ou de loin à des autorités spirituelles ennemies de Christ.
Colossiens 2 : 10 : et c’est par Lui (Christ) que vous avez tout reçu pleinement, lui qui domine toute autorité et tout pouvoir spirituels. 

Romains 15 :13
Que le Dieu de l'espérance vous remplisse de toute joie et de toute paix dans la foi, pour que vous abondiez en espérance, par la puissance du Saint Esprit! 

Philippiens 4 :7 

Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus Christ.
Il est étonnant de constater le nombre de fois dans le Nouveau Testament où le nom de Jésus est associé à la « paix ». Et c’est pourtant ce que la plupart recherchent dans ce monde à travers la pratique du yoga : quelque chose ou quelqu’un qui puisse réussir à apaiser l’agitation de leur esprit… À vous qui lisez peut-être cette étude et qui avez déjà sans doute essayé le yoga dans l’espoir d’apaiser vos angoisses, cette parole de Dieu vous est adressée : 

Et à celles et ceux qui douteraient encore de la nécessité de se garder de tout mal et de toute apparence de mal, ou qui pensent que le yoga n’a rien d’offensif pour l’esprit : 

1 Thessaloniciens 5 : 23 « Que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entiers, et que tout votre être, l'esprit, l'âme et le corps, soit conservé irrépréhensible, lors de l'avènement de notre Seigneur Jésus Christ! » 

Calogéro Fanara 



mardi 13 mai 2014

L'hindouisme est-il pacifique ?

La « paisible » religion orientale

Les nouvelles quotidiennes peuvent nous laisser l'impression que le terrorisme et la tyrannie sont du ressort exclusif de l'islam. De même, on peut être amené à penser que les religions orientales sont particulièrement aimables et tolérantes, personnifiées par le bien-aimé et omniprésent dalaï-lama. Mais si on regarde l'Asie de plus près, l'histoire est très différente. Certes, les chrétiens de Delhi et de Bangkok courent moins de risques que ceux de la Mecque et de Mogadiscio, mais à l'ombre des Bouddha et le long du Gange, il y a beaucoup de violence religieuse.

Actuellement, les hindous de l'Inde sont particulièrement susceptibles. Le 28 janvier 2007, une quarantaine d'hommes masqués attaquèrent les participants d'une réunion de prière chrétienne dans la région de Bihar. Ils battirent les assistants avec des bâtons et des tuyaux en fer, et ils leur intimèrent l'ordre de cesser de se réunir.1

 Des pasteurs isolés ont été les victimes de corrections dans des rues des États de Madhya Pradesh et de Karnataka,2 tout comme des laïcs qui avaient distribué des tracts à Maharastra ainsi que du personnel enseignant et des écoliers d'Orissa. Souvent, les agresseurs sont des membres du Bajrang Dal, la branche des jeunes du Conseil mondial hindou, et dans bien des cas, le prétexte est la vengeance pour des « conversions forcées » au christianisme.3 Évidemment, les chrétiens ne sont pas les seules cibles des extrémistes hindous, qui sont suspectés d'avoir, le 19 février 2007, bombardé mortellement un train qui allait vers le Pakistan, dans lequel 70% des passagers étaient des Pakistanais musulmans, pour un motif vraisemblablement davantage politique que religieux.4

Les hindous font également preuve de violence envers certains membres de leur famille : les filles en gestation. Comme il faudra un jour les pourvoir d'une dot, ils les considèrent comme un fardeau. Comme le prétend un célèbre dicton hindou, « avoir une fille, c'est planter une graine dans le jardin de quelqu'un d'autre. »5 Et bien que l'« avortement basé sur le sexe soit illégal… les experts estiment que l'Inde a perdu 10 millions de filles au cours des vingt dernières années.
Pendant les 12 ans qui ont suivi l'interdiction légale de l'avortement sélectif, seul un médecin a été reconnu coupable d'avoir perpétré ce crime. »6 Le résultat est un désastreux déséquilibre entre les sexes. Par exemple, d'après le recensement de 2001, dans l'État d'Hariana, on n'a compté que 820 filles pour 1000 garçons. Dans l'un des districts, quarante pour cent des hommes de quinze à quarante-cinq ans ne sont pas mariés. Tel est le résultat de l'industrie de sélection sexuelle, qui se monte à 100 millions de dollars, de la nation.7

L'oppression peut prendre de multiples formes. Par exemple, l'État d'Himachal Pradesh a institué une loi anti-conversion,8 et dans Madhya Pradesh, des hindous militants ont pris d'assaut un bureau gouvernemental d'enregistrement des mariages, parce qu'ils croyaient à tort qu'une femme hindoue allait épouser un chrétien.9 Mais les hindous ne sont pas les seuls à maltraiter les chrétiens ; les bouddhistes le font aussi. À Myanmar, « la persécution contre les chrétiens a pris la forme d'incendies d'églises, de conversions forcées à la religion d'État (le bouddhisme) et d'exclusion des chrétiens des écoles. »10 De plus, « les enfants de familles chrétiennes sont soustraits à leurs parents et placés dans des monastères pour devenir des moines novices, sous le faux prétexte d'envoyer les enfants là où ils recevront une bonne éducation… Les chrétiens sont également forcés de contribuer financièrement à des projets bouddhistes. »11

Toutefois, au sein de l'oppression, les chrétiens de l'Asie du sud ont des sujets d'encouragement ; par exemple, ils assistent à la conversion de nombreux dalits (autrefois appelés « intouchables ») en Inde. Bien que la discrimination à l'encontre des dalits ait été interdite par la loi en 1947, ceux des « castes supérieures » refusent toujours de boire de l'eau des mêmes puits et continuent à leur assigner « les tâches les plus subalternes, en particulier, le transport des cadavres et des excréments humains et animaux. »12 Ces 167 millions de personnes (16,2% de la population de l'Inde) ont entendu leurs « frères » hindous leur dire que leur état inférieur est à proprement parler une question de naissance, l'aboutissement du karma dans leurs nombreuses réincarnations.

13 Il n'est pas surprenant que ces « intouchables » soient disposés à entendre l'Évangile d'un Seigneur qui considère comme égaux « les Juifs et les Grecs » de toutes les positions économiques et sociales. Et bien que les hindous soient extrêmement ulcérés par ces conversions, ils vont peut-être commencer à remarquer que ces nouveaux enfants du Prince de la Paix sont des voisins admirables et serviables — et leur laisser droit de cité, voire même les écouter respectueusement.

mercredi 6 juillet 2011

Un nouvel àge ?

Jésus-Christ, Confucius, Bouddha, et les autres... Quelle différence ?
      

      Bouddhisme, Confucianisme, Hindouisme et autres philosophies religieuses
      orientales se sont adaptées au goût du jour pour être acceptées en
      Occident. Elles connaissent un succès indiscutable sous les emballages du
      New Age, allant de plusieurs des médecines alternatives jusqu'aux
      approches ou actions en apparence inoffensives déguisées en arts
      décoratoires ou en relaxation. Cependant, les gens qui s'engagent dans des
      voies ou rites semblables ne savent pas, bien souvent qu'elles
      s'embarquent dans une voie ou un rite initiatique de plusieurs degrés
      (niveaux).

      Elles ignorent en effet que les pratiques telles que le yoga, le zen, la
      méditation, les arts martiaux incluant le Tai-Chi (TAI-CHI-CHUAN ou Taïji
      Quan), l'art Feng Shui ou Fong Chouei associé à l'aménagement de notre
      environnement, et d'autres pratiques, sont en réalités des
      voies à caractère religieux ou philosophico-religieux, lesquelles exigent
      une foi quelconque. Il s'agit souvent de la foi dans le pouvoir d'énergies
      impersonnelles, alors qu'au même moment, est pourtant ridiculisée la foi
      chrétienne et la relation avec un Dieu personnel (une personne)
      communiquant son Esprit puissant.

      D'un côté on dira que les approches orientales ou New Age plus près de
      nous, sont non-religieuses (le religieux se vend de moins en moins depuis
      la fin des années '60). Mais d'un autre côté on emploiera des termes
      consacrés, à peine déguisés trahissant les intentions; des termes
      comme:"Énergie Cosmique", "arts énergétiques". Nous disons à peine
      déguisés, car en grattant un peu, toute personne honnête découvre que ces
      solutions prennent la place de dieux pour les gens, même s'il s'agit plus
      souvent de divinités impersonnelles. Ainsi en est-il par exemple:

        - de la confiance dans les astres concernant ma destinée et mes décisions
        importantes,
        - ou dans les pierres ou cristaux pour emmagasiner et récupérer de
        l'énergie;
        - ou dans des pratiques méditatives d'éveil ou de vide intérieur en vue de
        la libération de ce monde prétendument illusoire.

      L'Épître aux Romains, tirée de la Bible, les décrit comme étant ceux
      "...qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et
      servi la créature au lieu du Créateur..."(Romains 1:27). En effet, astres,
      cristaux et dynamique spirituelle sont une partie de la création et celui
      qui place sa confiance (foi) en ceux-ci se met à les servir et commet un
      affront envers le Dieu de la création.

      Pourtant, étrangement, la raison d'être de ces initiations qu'on reçoit à
      bras ouverts en Occident est souvent considérée là-bas comme quelque chose
      dont il faut se délivrer. Par exemple, la loi du karma exige une longue
      suite de réincarnations dans le monde de la souffrance. Ainsi, naître
      femme, pauvre ou malade, c'est vivre les conséquences de vies antérieures
      (genre de jeu d'échelles et de serpents).

      Évidemment, dans l'emballage moderne, on ne dira pas ce message aux
      novices ; cela ne se vendrait pas ici. Par exemple, on ne dira pas dans un
      magazine à tendance New Age ou ésotérique que le yoga débutant par une
      forme de détente ou relaxation, procède par échelons initiatiques jusqu'à
      l'ascétisme rigoureux. Ou que le Bouddhisme prétend libérer de l'illusion
      perçue par les sens.

      Comme esquive, lorsque confrontés à des constats semblables, les
      initiateurs disent que c'est du passé, que ce n'est plus cela aujourd'hui
      (c'était parce que...). Pourtant, pour convaincre les gens de faire le
      saut vers l'Orient, on en appelle à des traditions très anciennes qui
      auraient soit-disant fait leurs preuves sans faillir. Ou encore, on nous
      répondra qu'on a mal été compris. On parlera davantage de développement du
      Soi, d'épanouissement (Ça me fait du bien) plutôt que de délivrance de
      l'illusion en vue de retourner se fondre à une espèce d'énergie primaire
      inconsciente ou consciente.
   
À côté des réincarnations multiples dans des centaines, milliers ou
      millions de vie selon les voies suivies, l'affirmation selon laquelle "Il
      est donné aux hommes de mourir une seule fois...", tirée de la Bible en
      Hébreux 9:27 et la délivrance gratuitement offerte en Jésus-Christ
      semblent bien faciles à porter. Comment alors expliquer que la notion de
      péché si contestée chez nous, est ensuite achetée par ces mêmes
      contestataires, sous la forme du mauvais karma selon lequel ce que je vis
      dans cette vie dépend de mes existences antérieures?
  

Commentaire du webmestre :
Le Seigneur Jésus Christ m'a libéré de la tromperie du "nouvel àge", je lui en suis éternellement reconnaissant.

jeudi 12 juin 2008

In Search of True Life

The Story of Pierre Danis


Although I am French I was born in Baden-Baden, Germany in 1947. I spent a good part of my childhood in Africa, especially in Cameroon. I was raised in a traditional Catholic family: mass every Sunday, catechism, sacraments, the works. When my family moved back to France I lost all interest in religion because one of my friends, an atheist, made fun of me. I stopped going to church. After all, I reasoned, I never had understood what the priest was saying.

After high school I apprenticed as a cabinetmaker and worked at that profession until it was time for military service. In 1968 while in the French army I made some friends who were into studying philosophy. They asked questions that I had never thought about: Why am I here? Where did I come from? Why are men wicked? Why is there suffering? Where do you go after you die? I began reading books by existentialists who encourage people to ask questions (a good thing) but never offer answers (which leads to deep anxiety). These questions led me to search for answers.

Growing up I was deeply influenced by African culture. Living in another culture will change you for life, especially when the host culture is very different from your own. As a result I was ill at ease when returning to France. I found it hard to adapt to the materialistic way of life. Instead I was eager to discover other cultures and religions. With my two army buddies we set out to discover the country of Morocco.
There I smoked marijuana for the first time. They called it « kif ». The small amount of money we had ran out quickly, and we wound up living on the beach with a friend who called himself Ali Baba. He loaned us a little cabin. We ate what we could find: mussels and sea urchins. For several months that was our daily diet. You can imagine what we thought of mussels and sea urchins. Fortunately we made some friends who invited us occasionally for dinner: good Moroccan meals of couscous and tajine. Our friends also spoke to us about Islam. We got interested in religion, but after three months we could not keep living that way. We needed to earn some money. It was time to return to France.

Arriving in Paris we found various odd jobs, at a printing press, a shoe factory, etc. After earning some money I set out once again for Morocco this time with a different friend. That trip did not last long. I decided my next adventure would be to visit Asia. I traveled across Italy, Greece, Turkey, Iran (at that time the Shah was in power), then into Afghanistan (there were still camel caravans). Smoking marijuana became a habit for me, I thought it was part of the good life.

While in Pakistan the people who housed me proposed that I convert to Islam. I was in search of love and freedom. Islam offered me neither so I set out to visit India and Nepal. I was chased from Nepal by the immigration police because my visa had expired. It was about then I began taking LSD and other hallucinogens. I stayed in several places in India then hitchhiked back to Europe.
Back in France I was totally out of touch with the European life style. I went to visit my parents, but it was almost impossible to communicate with them. I caused them a lot of suffering. Another trip seemed like the only solution, this time I set out for Amsterdam. There I met an old friend that I had known in India. We traveled together to Denmark where we spent the winter. I missed the warm weather of India so I traveled again across the Middle East, this time via Tunisia, Lebanon and Pakistan.

I began to learn Hindi. We spent the winter in the plains; the summer in the Himalayas. Noticing the beauty of nature I came to the conclusion that this did not happen by chance, somebody or something was behind it all. Several times during my travels I came very close to death which led me to reflect on what would happen next. Without any answers to the question I only became more anxious.
One day I entered a house where I saw a little book called “The New Testament”. It was torn and missing the entire Gospel of Matthew. I borrowed it and began reading. This was my first contact with the Bible.

I traveled to Pushkar (Rajasthan), a “sacred city” for Hindus where I was the only foreigner. I did the ritual cleansing every day in the “sacred” lake. My friends wanted to convert me to Hinduism so they took me into the temples of their deities. During one ceremony we had to fold our hands and bow down before one of the statues. When it was my turn I couldn’t do it, I told them, “This statue can’t be a god.” I had understood at least that much.

I then left this region and went to live by myself near the banks of the Ganges. That was the period when the Beatles were initiated in Transcendental Meditation. Their guru lived in a monastery (ashram) where I wanted to stay, but because it cost money I had to leave. Walking along the river I found a set of caves where ascetics (religious hermits) lived. Finding an empty one, I moved in. I had been a vegetarian for quite some time, but I now began a strict frugivore diet. I ate nothing but fruit and drank water from the river. The only piece of clothing I owned was a piece of cloth that I wrapped myself in. I did my yoga exercises like my neighbors. Life was simple; maybe this was the answer. Then I caught dysentery.

Very frail and exhausted I returned to the mountains. Not knowing a soul, with no idea of what to do next, I was at the end of my rope. It was then that I met a Buddhist nun from Canada who suggested that I come to the Tibetan monastery where she lived higher up in the mountains. I lived there with the monks, participated in their ceremonies (poudja) and sat under the teaching of the lama. The nun that I had met owned a New Testament which I borrowed and read the Book of the Revelation.

One of the gurus used a meditation technique that supposedly provided a short-cut to Nirvana, a way out of the perpetual cycle of reincarnation taught in Buddhism. He taught me this method called « Vipasana ». I decided to become a Buddhist monk in the village where Gautama received his illumination (that is where he became Buddha). I shaved my head and followed their strict diet and rules: no listening to music, respect certain days of total silence, sleep on a board. Several times a day we were required to meditate for an hour without moving a muscle.
One day two new guys arrived. They were French and since the evening meetings were in English I served as their interpreter. One of them owned a big black book, a Bible, which he had bought in Delhi, 600 miles away. I asked if I could borrow it and began reading. It was at this time that I read “the one who seeks finds” which encouraged me to continue my search.

I began to compare Jesus and Buddha. I was more and more impressed with the person of Jesus Christ: first by his miracles, then by his wisdom and his love, then by his freedom of expression in front of religious leaders, like when he called them a “generation of vipers”. To my new friends I translated the professor’s lectures then I repeated to them the words of Jesus. That lasted until the day the owner of the Bible asked to have it back so that he could read it himself. Here I was with all of the same questions and no answers. I sensed it was time for me to leave. From there I met a Jew and we decided to room together. He also had a Bible. As I evaluated my situation I decided there was no need for me to stay there any longer. I had found no solutions to my problems in this part of the world. I headed back to France where I began living on a commune located on an old farm in the middle of France. There were four of us. We raised goats, chickens, honey bees, vegetables and marijuana. On the mantle was a collection of books. A Jew from our group had added his contribution, a Bible. This time I decided to read it from cover to cover. It was a Catholic version with apocryphal books and commentaries. It took me a year.

One winter day I was all alone reading the Gospel of John. In John 14 I read Thomas’ request to Jesus: “Lord show us the way.” This time it was not Thomas but me asking the question of Jesus. The response of Jesus surprised me. I could have imagined anything but, “I am the Way, the Truth and the Life, no one comes to the Father but by me.”
At that moment I understood that Jesus was the Answer, there was no other way. I immediately abandoned all the others. One instant I believed that all paths led to the same god, the next I believed there was only one path, Jesus Christ. I had not arrived yet, but I now knew which way to go, as if I had been lost and discovered a road sign that showed the way to my destination. I took all the other books on the mantle and burned them. God showed me that He would not stop me from destroying myself but I now had a choice, “keep smoking pot or follow Him.” I decided to follow Him and get rid of the things that did not please Him.

I didn’t tell my friends about my decision. We left for a trip to Switzerland to visit a Buddhist community. On the return trip in Neuchatel I was at the end of my rope and began praying to God saying, ”I can’t handle this any longer. If you really exist I need you to do something for me. I read in the Book that you had disciples. If you still have some, allow me to meet at least one who can help me.” I didn’t tell a soul but a day or two later while we were hitchhiking to get back to the farm in France a man picked us up and told us, “I am a Christian, I believe in Jesus Christ. He is my Savior.” Then he explained the gospel to us. I was excited to see this answer to my prayer. I now knew that God exists, the proof is He answers prayer. I also understood that He hadn’t written me off. He was interested in me. That gave me hope to go forward. The man shared his picnic with us on the bank of a river.
Before we separated, the Christian gave us a book called “If You Want to Go Far”. It spoke about eternal life. It was just what we needed. After reading ten pages I told my friend that there was no point in reading further. Instead we ought to go find the author. We didn’t have a penny because on the commune we lived off of what the earth produced. The author, Ralph Shallis, lived only 45 miles away, but it took us five days to get there.

When we found his house in the countryside no one was home. We pulled out our sleeping bags to sleep in the garage. We were awakened by headlights coming down the driveway. It was Mrs. Shallis. We felt badly for her, a woman coming home alone at night in the winter to an isolated house in the countryside to find two men sleeping in her garage. What a surprise!
After asking us what we were doing she invited us in and served us tea and crackers. When her husband came home we explained again that we had read his book and that we were searching for eternal life. Mr. Shallis opened his Bible and spoke to us about the problem of sin. He said, “Between you and God there is a wall, it is made of all the things that you have done wrong. God wants you to repent.” So we began to confess our sins. That lasted for a week. Mr. Shallis spoke to us about God’s condemnation. It made me sick. I was convinced that with all the evil I had done I would be cast into Hell. Then he preached to us the Good News of salvation.

Jesus Christ crucified for our sins and raised from the dead, whoever believes on Him is forgiven and receives eternal life. It was too good to be true. Six more days went by until Mr. Shallis realized that I was still bound in my sin because of my involvement in the occult. I had been involved in divination, yoga, meditation, astral voyages and many other things. He told me that I needed to confess these things and ask God to deliver me from them.
The next day out in the countryside with my friend we read a short passage of Scripture and in prayer I committed myself to the Lord. I grasped hold of God’s promises by faith, especially this one, “whosoever believes in me has eternal life.” It was the little verb “has” that finally convinced me. It is in the present tense. In the past I believed that eternal life began at death. It was at that moment in 1974 that I was born again.

That was the beginning of a new life with the Lord in my heart. I know that God is my Father and that nothing can separate me from Him. I will spend eternity with Him in perfect peace along with all of those who have put their trust in Jesus as their only Savior.

To Him be glory and honor and power forever.

(Translated by Paul Mattson)

pierre.danis@wanadoo.fr

vendredi 25 janvier 2008

Témoignage de Pierre

A LA RECHERCHE DE LA VRAIE VIE

Je suis né en 1947 en Allemagne à Baden-baden, puis j'ai passé une partie de mon enfance en Afrique, mais surtout au Cameroun. J'ai été élevé dans le catholicisme traditionnel: messe tous les dimanches, catéchisme, sacrements...etc

Plus tard, lorsque ma famille est venu vivre en France, je me suis désintéressé de la religion parce qu'un de mes copains dont la famille était athée se moquait de moi. J'ai donc cessé de fréquenter l'église, et de toute façon, je ne comprenais pas grand chose aux sermons du curé.

J'ai appris le métier de menuisier que j'ai exercé ensuite. Puis je suis allé à l'armée, et en 1968 je côtoyais des amis qui lisaient de la littérature philosophique. Je n'avais jamais réfléchi de ma vie. C'est donc la première fois que je me posais des questions : Pourquoi existe-t-on ? D'où vient-on ? Pourquoi l'univers existe-t-il ? Pourquoi l'homme est-il méchant? Pourquoi souffre-t-on ? Où va-t-on après la mort...? Alors, je me suis mis à lire des livres "existentialistes", qui incitent à se poser des questions, (ce qui est bien), mais par contre ils n'offrent aucune réponse, ce qui conduit à une angoisse existentielle. Le coté positif de tout cela, c'est que cette quête m'a stimulé à chercher des solutions.

J'avais été marqué par la culture africaine. En effet, vivre dans un autre pays, nous marque pour la vie, surtout quand cette culture est vraiment différente, avec une autre mentalité et une autre manière de concevoir l'existence. De plus, j'étais plutôt mal à l'aise en France car j'avais du mal à accepter le matérialisme qui y régnait.
J'ai donc voulu connaître les autres cultures et les autres religions.

Avec deux autres copains que j'avais connus à l'armée, nous avons décidé de découvrir le Maroc.
C'est là que j'ai fumé du canabis (ils appèlent ça du kif) pour la première fois. Le peu d'argent que nous avions s'est vite épuisé, et nous vivions au bord de la mer et nous avions un ami qui s'appelait Ali Baba. Il nous a prêté un cabanon en bois sur la plage. Nous avons mangé des moules et des oursins, chaque jour pendant plusieurs mois. Inutile de vous dire que j'en avais plus qu'assez. Heureusement, nous avions des amis qui nous invitaient parfois à manger du couscous ou du tajine ! Ces derniers nous ont aussi parlé de l'Islam. La religion commençait à nous intéresser, mais après 3 mois, nous avons réalisé que nous ne pouvions pas continuer à vivre ainsi, mais qu'il fallait gagner de l'argent. Il était donc temps de revenir en France...
Nous sommes donc repartis à Paris, et nous avons trouvé du travail, dans l'imprimerie, dans la chaussure, et d'autres petits "boulots".

Ensuite, je suis retourné au Maroc avec un autre copain, puis de retour à Paris, j'ai eu envie de visiter l'Asie.

Il a fallu traverser l'Italie, la Grèce, la Turquie, l'Iran (c'était à l'époque du "Shah"), et ensuite l'Afghanistan, oû il y avait encore des caravanes de chameaux. Pour moi, fumer du canabis était plus qu'une habitude, c'était un art de vivre.

Ensuite, le Pakistan, où les gens chez qui je logeais m'ont proposé de me convertir à l'Islam. Mais comme j'avais besoin d'amour et de liberté, je les ai quittés car cette religion ne propose ni l'un ni l'autre.

Puis j'ai visité l'Inde, et le Népal d'où j'ai été chassé par la police de l'immigration, parce que mon visa avait expiré.
C'est là que j'ai commencé à prendre du LSD, ainsi que d'autres substances hallucinogènes. Je suis donc resté un an en Inde, en divers endroits, puis je suis retourné en Europe en stop.
Là, j'étais "déphasé", et j'avais beaucoup de mal à me réadapter à la vie européenne. Je suis allé voir mes parents, en Touraine, mais le contact était presque impossible avec eux, et je les ai fait souffrir.

L'idée d'un nouveau voyage s'est alors imposé à moi, et je suis parti à Amsterdam. J'y ai rencontré un copain que j'avais connu en Inde, et nous sommes allés au Danemark pour tout l'hiver. Mais préférant la chaleur, je suis retourné en Inde pour un an de plus, via la Tunisie, le Liban et le Pakistan. J'y ai appris une langue pour me débrouiller. Nous passions l'hiver en plaine, et l'été en montagne (l'Himalaya). Ayant remarqué la beauté de la nature, j'ai compris que ce n'était pas le fruit du hasard, et qu'il devait y avoir quelqu'un ou quelque chose là derrière. De plus, j'ai frôlé la mort plusieurs fois au cours de mes périples, ce qui m'a poussé à réfléchir à l'au-delà, mais n'ayant pas de réponse, j'étais encore plus angoissé.

Un jour, je suis rentré dans une maison où j'ai vu un petit livre: un "Nouveau Testament", il était déchiré, et il manquait tout l'évangile de Matthieu. Je l'ai emprunté à son propriétaire, et j'ai commencé à le lire. Ce fût mon premier contact avec la Bible.

Ensuite, je suis allé au Rajasthan, dans une "ville sainte", où j'étais le seul étranger. Je faisais des ablutions chaque jour dans un lac "sacré". Mes amis voulaient me convertir à l'hindouisme, alors ils m'ont amené dans les temples de leurs dieux.. Lors d'une cérémonie, il fallait se courber devant la statue en joignant les mains. Quand c'est arrivé à mon tour, je n'ai pas pu le faire, et je leur ai dit que cette statue ne pouvait pas être un dieu. J'avais au moins compris ça. Ils ne m'en ont pas voulu et m'ont respecté. La société indienne est divisée en "castes" et mon meilleur ami faisait partie de la caste supérieure, les Brahmanes, en principe, les plus instruits et les seuls qui peuvent être prêtres.

Ensuite j'ai quitté cet endroit, et je suis allé vivre tout seul au bord du Gange. C'était l'époque où les Beatles s'étaient fait initier à la "Méditation Transcendantale" et leur Guru habitait dans un monastère (ashram) où je voulais rester, mais comme il fallait payer, je suis parti. En longeant le fleuve, j'ai remarqué des grottes où vivaient des ermites. J'en ai trouvé une vide et m'y suis installé. J'étais végétarien depuis longtemps déjà, et je me suis mis au régime "frugivore", c'est-à-dire que je ne mangeais que des fruits et je buvais l'eau de la rivière. Mon seul vêtement était un petit morceau de tissu et la vie était très simple. Je faisais mes exercices de yoga, comme mes voisins. Puis j'ai eu la "dysenterie".

J'ai décidé de remonter en montagne, épuisé et squelettique. Je ne connaissais plus personne, et je ne savais plus quoi faire, j'étais "au bout du rouleau". A ce moment-là, une religieuse bouddhiste originaire du Canada est passée et m'a proposé d'aller au monastère tibétain où elle habitait, plus haut dans la montagne. J'ai vécu avec les moines un certain temps, participant aux cérémonies (poudja) et aux enseignements du lama. La nonne qui m'avait amené là possédait un Nouveau Testament que j'ai emprunté, et j'ai lu l'Apocalypse.


Puis j'ai rencontré un "guru" qui enseignait une technique de méditation qui était, soi-disant, un raccourci pour atteindre le "Nirvana", car dans le bouddhisme, on trouve le cycle perpétuel des réincarnations. Il m'a initié à une méthode appelée "Vipasana", et j'ai voulu devenir moine dans un monastère au village où Gautama a eu son illumination, c'est-à-dire qu'il est devenu "Bouddha". Je me suis fait raser le crâne et je suivais un régime strict. Des restrictions très sévères étaient appliquées : nous ne pouvions écouter de la de musique, nous devions respecter certains jours de silence, dormir sur une planche...Nous méditions plusieurs fois par jour, sans bouger pendant des séances d'une heure.

Un jour, deux garçons sont arrivés au monastère, et comme les cours du soir étaient en anglais pour les étrangers, je leur servais d'interprète. L'un d'eux possédait un gros livre noir: La Bible, achetée à Delhi (la capitale) à 1000 Km de là".
Après la lui avoir empruntée, je me suis mis à la lire tout en recevant les enseignements du guru et en les expliquant aux deux garçons. C'est là que j'ai lu ce verset: "Celui qui cherche, trouve", ce qui m'a encouragé à poursuivre ma recherche.


Dans ma tête, ça commençait à se bousculer, car j'essayais de comparer Jésus à Bouddha. Finalement, j'étais de plus en plus impressionné par la personne de Jésus-Christ. D'abord par les miracles, ensuite par la sagesse, par l'amour et par la liberté d'expression qu'il avait face aux religieux (par exemple, quand il dit : "Vous êtes une race de vipère")... Je continuais à leur expliquer les cours du prof, et je leur répétais les paroles de Jésus, jusqu'au jour où celui qui m'avait prêté la Bible m'a demandé de la lui rendre pour qu'il la lise. Quant à moi, j'étais au même point qu'avant avec mes questions sans réponses, et je sentais que je devais partir alors je suis retourné en montagne.

J'ai rencontré un juif avec lequel j'ai partagé le logement. Il avait une Bible. Après un certain temps, j'ai fait un bilan de ma situation : je n'avais aucune solution à mes problèmes, alors ce n'était pas la peine de rester là plus longtemps.

Je suis retourné au pays, vivre en communauté dans une vieille ferme, à "Bidon" dans la Nièvre. Nous étions quatre, et nous avions des chèvres, des poules, des ruches, et un jardin de légumes et de canabis... Il y avait un livre sur la cheminée : La Bible ! Je décide donc de la lire en entier, ce qui a pris un an. Le garçon qui avait emmené cette Bible était juif, et nous étions tous en recherche spirituelle, mais il y avait également d'autres livres.


Un jour d'hiver où j'étais seul, je lisais l'évangile de Jean au chapitre 14, lorsque Thomas dit à Jésus : "Seigneur montre-nous le chemin". En fait, ce n'était plus Thomas, mais moi qui posait la question à Jésus. La réponse de Jésus m'a surpris, car j'aurais tout imaginé sauf ça : "Je Suis Le Chemin, La Vérité et La Vie, nul ne vient au Père que par Moi."

Personne n'avait pu m'influencer, j'étais seul ! J'ai compris tout d'un coup que c'était Lui, qu'il n'y avait pas d'autre chemin. J'ai abandonné tous les autres. Avant cela, je croyais que tous les chemins menaient au même dieu, et l'instant d'après, je croyais qu'il n'y avait qu'un seul chemin : JESUS CHRIST. Je n'étais pas arrivé au but, mais j'avais une indication. Un peu comme si on est perdu sur une route, et que tout d'un coup, nous trouvons un poteau indicateur qui nous indique le lieu où nous allons... J'ai pris les bouquins sur la cheminée, et je les ai brûlés. Dieu m'a fait comprendre qu'Il ne m'interdisait pas de me "défoncer", mais qu'il fallait que je choisisse : Continuer de fumer du canabis ou le suivre. J'ai donc décidé de le suivre et de me débarrasser de tout ce qui le dérange.

Je n'ai pas partagé cette découverte avec mes amis, puis nous sommes allés en Suisse dans une communauté bouddhiste, et sur le retour, à Neuchâtel, étant au bout du rouleau, j'ai prié Dieu, lui disant à peu près ceci :
" Je n'en peux plus, si tu existes vraiment, il faut que Tu fasses quelque chose pour moi, et j'ai lu dans le Livre, que Tu avais des disciples, mais si Tu en as encore aujourd'hui permets moi d'en rencontrer au moins un qui puisse m'aider." Je n'en ai parlé à personne, mais un jour ou deux après, alors que nous faisions du stop pour revenir à "Bidon", un homme nous a pris dans sa voiture, et nous a dit: "Je suis chrétien, je crois en Jésus-Christ, Il est mon Sauveur", et il nous a annoncé l'Evangile. J'étais heureux de voir la réponse à ma prière. J'ai compris que Dieu existe, la preuve, c'est qu'Il répond à la prière. Et j'ai compris qu'Il ne m'en voulait pas, mais qu'Il s'intéressait à moi, ça m'a redonné espoir pour aller de l'avant. Nous avons partagé son pique nique au bord d'une rivière.

Avant notre retour dans notre communauté, le chrétien nous a donné un livre intitulé : "Si tu veux aller loin", qui parlait de la vie éternelle, c'est ce dont nous avions besoin.
Au bout d'une dizaine de pages, j'ai dit à mon copain que ce n'était pas la peine de continuer à lire, mais qu'il était préférable d'aller voir cet écrivain. Nous n'avions pas un centime, puisque dans la communauté nous mangions ce que la terre produisait. Ralph Shallis habitait dans le Gard à côté d'Alès, et nous avons mis 5 jours pour y aller.

Nous avons trouvé sa maison isolée à la campagne, et il n'y avait personne, alors nous avons sorti les sacs de couchage pour dormir dans le garage. Tout à coup, des phares nous ont réveillés, c'était sa femme ! Nous étions gênés, vis-à-vis de cette femme qui rentrait seule en hiver, la nuit dans cette maison isolée, et qui trouvait deux hommes hirsutes dans son garage. Quelle drôle de surprise !

Après nous avoir demandé ce que nous faisions, elle nous a proposé de rentrer, et nous a servi du thé avec des biscuits... Puis son mari est arrivé, et nous a demandé ce que nous voulions. Nous lui avons expliqué que nous avions lu son livre et que nous cherchons la vie éternelle. Il a ouvert sa Bible et nous a parlé du problème du péché. Il nous a dit : "Entre vous et Dieu, il y a un mur, c'est tout le mal que vous avez fait. Dieu vous demande de vous repentir!" Alors nous avons commencé à confesser nos péchés à Dieu, ça a duré une semaine. J'étais très mal parce qu'il nous avait parlé de la condamnation... J'étais persuadé qu'avec tout le mal que j'avais fait, je serais jeté dans le feu. Puis il nous a prêché la Bonne Nouvelle du Salut :

Jésus-Christ crucifié pour nos péchés, et ressuscité, celui qui croit en Lui est pardonné, et reçoit la vie éternelle gratuitement... Je n'arrivais pas à le croire. Six jours après, cet homme a compris que j'avais un blocage à cause de l'occultisme. En effet, j'avais fait de la radiesthésie, du yoga, de la méditation, des voyages astraux et d'autres choses (drogues et alcool). Il m'a dit de le confesser, et a prié pour que je sois délivré de ces liens.

Le lendemain dans la campagne, avec mon copain, nous avons lu un petit texte des Ecritures et après dans la prière je me suis confié au Seigneur. Je me suis emparé par la foi de Ses promesses. Notamment de celle-ci: "Celui qui croit en moi a la vie éternelle". C'est ce petit verbe "a" qui m'a vraiment convaincu parce qu'il est au présent, auparavant je croyais que la vie éternelle commençait après la mort. C'est à ce moment là que je suis né de nouveau.

A partir de là, j'ai démarré une nouvelle vie, avec le Seigneur dans mon cœur. Je sais que Dieu est mon Père et que rien ne peut me séparer de Lui. Je passerai l'éternité avec Lui, dans le bonheur parfait, en compagnie de tous ceux qui auront également mis leur confiance au Seigneur Jésus notre seul Sauveur.
A Lui seul soient la Gloire, l'Honneur et le Règne, à perpétuité !!!

Je sers également le Seigneur au sein de l'association créationniste " Au commencement ", par des conférences, des expositions, des camps, et un site : http://www.aucommencement.net/

Pierre Danis

Courriel : pierre.danis@wanadoo.fr
Site : http://biblique.blogspot.com/