Affichage des articles dont le libellé est délivrance. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est délivrance. Afficher tous les articles

mercredi 21 décembre 2011


Vivement la fin de l’année, enfin non le 2 janvier plutôt !

Je suis remonté aux sources du Noël moderne : c’était aux Etats-Unis entre autres et là-bas ce jour-là, les gens travaillaient, vivaient normalement et n’en faisaient pas tout un pataquès ! Les seuls à se rendre à l’Eglise étaient les papistes bons teints. Sinon personne d’autre ne voulait marquer cette journée de manière spéciale.

Noël est sans aucun doute la fête la plus dévoyée qui existe au monde. On est si loin de la naissance d’un enfant dans une crèche ! C’est aussi la fête la plus profane de l’année ! J’en deviendrais presque un ermite,  – humour – pour ne plus avoir à subir les pubs de Noël, le marketing de Noël, les sapins de Noël, les illuminations de Noël et encore moins le fameux Père Noël dont les origines sont plus que troubles ! En effet, ce dernier serait l’enfant  caché que la superstition religieuse – avec le fameux Saint-Nicolas – aurait réussi à avoir dans un accouplement contre-nature avec la publicité et la marque Coca-Cola en particulier !

Noël et tous ceux qui parce qu’ils n’ont pas les moyens d’acheter un cadeau à leur gamin, finissent par croire qu’ils sont de mauvais parents ! Mais c’est faux !

Noël et ces employés de la Banque de France qui après le 25 décembre constatent chaque année une overdose de dossiers de surendettement !

Noël et son côté glin-glin totalement ringard et proprement insupportable. Tout le monde doit être gentil ce jour-là, on doit jouer le rôle des bons parents même si tout le reste de l’année ce sont disputes sur disputes à la maison ! Il faut s’habiller beau, il faut raconter des histoires incroyables aux gamins ! J’ai commencé à me douter que le père Noël ne passait pas par la cheminée, lorsque nous avons quitté le pavillon où nous habitions avec mes frères pour arriver dans un superbe appartement. Là, pas de cheminée ! Je me suis donc inquiété de savoir…..enfin comment cela allait-il se passer pour les cadeaux quoi ? Pas de réponse ! Mais les cadeaux étaient quand même là ! Bon allez, je n’ai rien dit, mais j’ai reniflé l’arnaque ! Et puis qu’est-ce qu’il fait le père Noël tout le reste de l’année ? Franchement !

Non, je n’aime pas ce Noël que nos supermarchés, hauts lieux de la consommation, temples du dieu Mammon, ont idolâtré au point qu’à lui tout seul Noël est presque devenu une religion !

Voilà pourquoi officiellement je déclare la guerre à Noël et à tous ses alliés connus et souterrains ! Arrêtez d’acheter des cadeaux qui ne servent à rien. Nos enfants ne savent plus quoi faire de cette surabondance de jouets inutiles, leurs chambres à coucher sont devenues des annexes de Toys’R’Us. Nos placards sont remplis de vêtements que nous ne porterons jamais et nous avons même des tas de livres qui nous encombrent parce qu’offerts par des gens qui les ont aimés mais dont nous, nous n’avons absolument rien à faire !

Je ne suis pas nostalgique d’un Noël d’antan, je ne l’ai jamais connu. Je trouve que ce jour-là devrait être un jour comme les autres et puis c’est tout ! Résistons, refusons d’entrer dans un moule et revenons à des valeurs familiales simples.

Samuel Foucart

vendredi 12 août 2011

Lourdes

A LOURDES IL N'Y A JAMAIS EU D'APPARITION

Tous les travaux effectués le prouvent. Chercheurs, Médecins, Journalistes et Ecrivains ont tous aboutis à la même conclusion. Lourdes se présente comme un vaste racket magique entre les mains de la secte romaine avide de richesse et de pouvoirs. Eau de Lourdes, croix de Lourdes.
Tout y est présenté avec le label magique du miracle. Lourdes est le grand bazar de la secte romaine.
L'entreprise se double d'une usine a entretenir la superstition.



Voici l'exemple rapporté par le journal La croix du Vatican le 6/04/ 1967: "2300 aveugles en pèlerinage à Lourdes"; Il n'y eu aucun miracle.
Bernadette Soubirou affirme t-on est sotte, est peu dire: Elle ne comprend rien à ce qu'on essaie de lui expliquer.

A Lourdes tout le monde jugeait Bernadette vulgaire et retardée. Si son Père alcoolique n'eut soufflé les apparitions à Bernadette, apparitions dont elle a toujours été la seule a voir, elle n'aurait joué à cette grotesque comédie.


Elle t-elle responsable ? Oh non, car c'est la secte romaine connue dans le monde entier pour ses tromperies qui entretient la superstition, sans cela Lourdes n'aurait plus aucune influence sur ses pauvres gens qui viennent ici pratiquer l'idolâtrie que le deuxième commandement de Dieu réprouve; Mais il est vrai que ce commandement comme d'autres, la religion catholique n'en tient pas compte.
S'il existe une secte qui contredit de façon flagrante la vérité Biblique, c'est bien la secte catholique.

C'est une religion qui emmène tous ses adeptes en enfer, en les trompant sur le message Biblique.
Autres exemples de miracles a Lourdes le sept juillet 1963 Monseigneur (c'est comme cela que se font appeler ses soit disant serviteurs de Dieu) Donald Campbell en pèlerinage, meurt à Lourdes !

Un ingénieur Belge atteint de paralysie agitante, décida en accord avec son curé de se rendre à Lourdes. Il fût plongé dans la piscine et, ayant été pris d'un violent frisson, il dût revenir précipitamment chez lui ou l'on reconnut qu'il était atteint d'une pneumonie aiguë, dont il mourut trois jours après sa rentrée à son domicile. Cette pneumonie ne fût naturellement pas constatée par le bureau médical de Lourdes.


Docteur Spehl

mercredi 6 juillet 2011

Un nouvel àge ?

Jésus-Christ, Confucius, Bouddha, et les autres... Quelle différence ?
      

      Bouddhisme, Confucianisme, Hindouisme et autres philosophies religieuses
      orientales se sont adaptées au goût du jour pour être acceptées en
      Occident. Elles connaissent un succès indiscutable sous les emballages du
      New Age, allant de plusieurs des médecines alternatives jusqu'aux
      approches ou actions en apparence inoffensives déguisées en arts
      décoratoires ou en relaxation. Cependant, les gens qui s'engagent dans des
      voies ou rites semblables ne savent pas, bien souvent qu'elles
      s'embarquent dans une voie ou un rite initiatique de plusieurs degrés
      (niveaux).

      Elles ignorent en effet que les pratiques telles que le yoga, le zen, la
      méditation, les arts martiaux incluant le Tai-Chi (TAI-CHI-CHUAN ou Taïji
      Quan), l'art Feng Shui ou Fong Chouei associé à l'aménagement de notre
      environnement, et d'autres pratiques, sont en réalités des
      voies à caractère religieux ou philosophico-religieux, lesquelles exigent
      une foi quelconque. Il s'agit souvent de la foi dans le pouvoir d'énergies
      impersonnelles, alors qu'au même moment, est pourtant ridiculisée la foi
      chrétienne et la relation avec un Dieu personnel (une personne)
      communiquant son Esprit puissant.

      D'un côté on dira que les approches orientales ou New Age plus près de
      nous, sont non-religieuses (le religieux se vend de moins en moins depuis
      la fin des années '60). Mais d'un autre côté on emploiera des termes
      consacrés, à peine déguisés trahissant les intentions; des termes
      comme:"Énergie Cosmique", "arts énergétiques". Nous disons à peine
      déguisés, car en grattant un peu, toute personne honnête découvre que ces
      solutions prennent la place de dieux pour les gens, même s'il s'agit plus
      souvent de divinités impersonnelles. Ainsi en est-il par exemple:

        - de la confiance dans les astres concernant ma destinée et mes décisions
        importantes,
        - ou dans les pierres ou cristaux pour emmagasiner et récupérer de
        l'énergie;
        - ou dans des pratiques méditatives d'éveil ou de vide intérieur en vue de
        la libération de ce monde prétendument illusoire.

      L'Épître aux Romains, tirée de la Bible, les décrit comme étant ceux
      "...qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et
      servi la créature au lieu du Créateur..."(Romains 1:27). En effet, astres,
      cristaux et dynamique spirituelle sont une partie de la création et celui
      qui place sa confiance (foi) en ceux-ci se met à les servir et commet un
      affront envers le Dieu de la création.

      Pourtant, étrangement, la raison d'être de ces initiations qu'on reçoit à
      bras ouverts en Occident est souvent considérée là-bas comme quelque chose
      dont il faut se délivrer. Par exemple, la loi du karma exige une longue
      suite de réincarnations dans le monde de la souffrance. Ainsi, naître
      femme, pauvre ou malade, c'est vivre les conséquences de vies antérieures
      (genre de jeu d'échelles et de serpents).

      Évidemment, dans l'emballage moderne, on ne dira pas ce message aux
      novices ; cela ne se vendrait pas ici. Par exemple, on ne dira pas dans un
      magazine à tendance New Age ou ésotérique que le yoga débutant par une
      forme de détente ou relaxation, procède par échelons initiatiques jusqu'à
      l'ascétisme rigoureux. Ou que le Bouddhisme prétend libérer de l'illusion
      perçue par les sens.

      Comme esquive, lorsque confrontés à des constats semblables, les
      initiateurs disent que c'est du passé, que ce n'est plus cela aujourd'hui
      (c'était parce que...). Pourtant, pour convaincre les gens de faire le
      saut vers l'Orient, on en appelle à des traditions très anciennes qui
      auraient soit-disant fait leurs preuves sans faillir. Ou encore, on nous
      répondra qu'on a mal été compris. On parlera davantage de développement du
      Soi, d'épanouissement (Ça me fait du bien) plutôt que de délivrance de
      l'illusion en vue de retourner se fondre à une espèce d'énergie primaire
      inconsciente ou consciente.
   
À côté des réincarnations multiples dans des centaines, milliers ou
      millions de vie selon les voies suivies, l'affirmation selon laquelle "Il
      est donné aux hommes de mourir une seule fois...", tirée de la Bible en
      Hébreux 9:27 et la délivrance gratuitement offerte en Jésus-Christ
      semblent bien faciles à porter. Comment alors expliquer que la notion de
      péché si contestée chez nous, est ensuite achetée par ces mêmes
      contestataires, sous la forme du mauvais karma selon lequel ce que je vis
      dans cette vie dépend de mes existences antérieures?
  

Commentaire du webmestre :
Le Seigneur Jésus Christ m'a libéré de la tromperie du "nouvel àge", je lui en suis éternellement reconnaissant.

mardi 16 novembre 2010

J’étais franc-maçon

Le témoignage de Maurice Caillet, ancien Vénérable au « Grand-Orient »

Interne des Hôpitaux de Paris puis chirurgien-gynécologue à Rennes en Bretagne, je suis né dans une famille d’origine chrétienne ayant complètement apostasié, qui n’a pas jugé bon de me faire baptiser dans l’enfance. J’ai été instruit dans les écoles et lycée laïques. Rationaliste et scientiste, j’ai adhéré aux théories de Jacques Monod sur « Le hasard et la nécessité », concernant les origines chimiques aléatoires et spontanées de la vie. Attiré par la franc-maçonnerie à l’âge de 35 ans, j’ai été un pionnier de la contraception artificielle, des stérilisations et de l’interruption volontaire de grossesse.

Divorcé puis remarié civilement, je me suis intéressé à de nombreuses formes d’ésotérisme et d’occultisme : Franc-Maçonnerie, Rose-Croix AMORC, chamanisme, magie blanche, techniques des guérisseurs, radiesthésie, géobiologie, yoga, taï-chi et Qi-Gong, spiritisme.
J’ai été Franc-Maçon actif pendant quinze années (Vénérable de Loge, 18° grade, Délégué au Convent, Membre de la Fraternelle des Hauts Fonctionnaires ), Rosicrucien AMORC pendant dix ans, occultiste, spirite et j’ai connu des Templiers, des Martinistes, des Alchimistes.


Tous sont des héritiers de la Gnose qui a voulu corrompre le christianisme, dès ses origines, en y introduisant des éléments des philosophies païennes, des mythes et des symboles, pourtant obsolètes après les révélations de Jésus Christ et sa Résurrection. Ces mythes et ces symboles, repris par la Maçonnerie opérative, foisonnent dans nos églises et cathédrales.

Tous se réfèrent volontiers à la Bible, mais c’est pour en faire un texte ni plus ni moins sacré que les Upanishads, la Bhagavad-Gita ou le Livre des morts des Égyptiens.
Tous parlent de Dieu (les esprits mauvais le connaissent aussi) mais ramènent Jésus au rang d’initié ou de prophète et le mettent au niveau de Bouddha, Confucius ou Lao-Tseu.

La franc-maçonnerie est particulièrement nocive pour le christianisme car elle n’a pas les apparences d’une secte, mais d’une benoîte association philosophique (cotisations modérées, organisation démocratique des trois premiers grades, pas de contrainte apparente, pas de lavage de cerveaux perceptible), mais depuis 250 ans elle imprègne progressivement et profondément les idées et les législations de tous les pays : laïcité, clubisme, divorce, contraception, avortement , p.a.c.s , dépénalisation des drogues, euthanasie...
Elle prétend rechercher la vérité, mais prône le relativisme : pour elle il n’y a pas une mais des vérités, tant sur le plan religieux que sur le plan moral. Elle prétend donner la « lumière » à ses initiés, alors qu’elle oeuvre dans le secret des loges et qu’elle refuse de reconnaître que Jésus est la Lumière, la Vérité et la Vie.



Le plus grand génocide de l'histoire !

jeudi 29 juillet 2010

Le cheminement de Patrick


Je suis issu d'une famille dont plusieurs membres sont portés sur la religion. On ne peut pas dire qu'il y ait chez ces membres une conviction née d'un éveil ou d'un choix mais plutôt d'un état de fait, "mes parents sont catholiques, la France est un pays catholique donc je suis catholique".

Ma mère est (était ?) une fervente adoratrice de la Vierge Marie ayant fait plusieurs pélerinages dans les lieux où elle est sensée apparaître. Elle est également très impliquée dans des oeuvres catholiques caritatives.

L'un de mes oncles faisait partie de "l'Armée de Marie", organisation qui entre autres faisait des processions dans la ville de Lyon, tous habillés d'une grande robe blanche et deux personnes portant la statue de la Vierge Marie devant la procession.
Une de mes cousines passe 11 mois de l'année dans des monastères et n'en sort que pour travailler pendant un mois afin de conserver ses droits sociaux. Elle se rend également à tous les grands rassemblements de jeunes tels que les Journées Mondiales de la Jeunesse (JMJ) où le pape donne rendez vous à la jeunesse catholique.

Quand je n'étais encore qu'un enfant je me posais des questions sur Dieu et sur la foi. J'étais très attiré par l'idée que Dieu existe mais je ne Le connaissais pas et l'image que la religion autour de moi me renvoyait de Lui me rendait perplexe. L'atmosphère des églises, les statues ou peintures représentant des scènes bibliques mais aussi les pratiques religieuses ne me satisfaisaient pas. Je ne m'en rendais pas encore compte mais je doutais à ce moment là, me demandant si les choses devaient réellement en être ainsi.

Je me souviens qu'à l'âge de 14 ans que mes parents m'avaient envoyé chez mon oncle pour passer les vacances. Or le samedi soir mon oncle se rendait chez des connaissances à lui pour prier le rosaire (le rosaire consiste à prier 3 chapelets, qui lui, consiste à prier 10 "Je vous salue Marie" et 1 "Notre Père" et ce 3 fois de suite). Prier le rosaire prend deux heures et il s'agit en fait de récitations de prières. Faire cela à 14 ans quand on est plus attiré par les matchs de foot que la religion est quelque chose de difficile: Je me souviens m'être posé la questions "Dieu veut il vraiment qu'on le prie ainsi ?" et je me disais que si Dieu demande vraiment à l'homme de réciter des prières pendant deux heures c'est que 1) peut être qu'Il est sourd et qu'il faut répéter et répéter encore les prières jusqu'à ce qu'Il les entende; ou alors 2) Dieu est peut être quelqu'un de cruel et Il prend plaisir à nous voir faire quelque chose que l'on n'aime pas et qui soit rébarbatif ou 3) peut être que Dieu s'intéresse peu à nous et se contente que nous le servions en observant les traditions.

Je me souviens aussi, avec ma cousine, avoir visité une de ses amie. Pendant que les deux parlaient, j'observais l'endroit et je remarquais sur la cheminée une bible qui semblait être là parce que quelqu'un l'avait prise pour la lire et l'avait replacé à cette endroit. J'ai demandé à la copine de ma cousine si elle lisait la bible et avant qu'elle ait pu répondre ma cousine a dit "il ne faut pas lire la bible, il faut avoir fait des études pour la lire correctement". Là j'étais vraiment estomaqué car si l'on doit pouvoir connaître Dieu, d'une manière qui soit fiable, ce doit être par une trace écrite et pas uniquement de tradition orale qui peut altérer la vérité très rapidement. Et si Dieu nous parle, nous devons avoir un outil de référence nous permettant de connaître et de vérifier qu'Il nous a réellement parlé. Cette trace écrite doit aussi être compréhensible par tous et non pas seulement à une élite enseignée.

Je me posais aussi des questions sur la personne de Jésus, je connaissais certaines histoires de la bible par ce que le catéchisme nous enseignait mais je ne comprenais pas le message de la bible. Ces histoires semblaient avoir un lien entre elles du fait qu'elle tournait autour de la personne de Jésus mais je ne comprenais par qui était Jésus, quel était le lien entre Jésus et Dieu et je pressentais que cette figure qui est bien une figure historique a une importance considérable si l'on tient simplement compte du fait que l'histoire du monde tourne autour de Lui (ne sommes nous pas en 2010 après Jésus-Christ ?). L'histoire de l'humanité est composé d'un avant et d'un après la venue de Jésus-Christ, qu'on croit en lui ou non et qu'on soit athée ou croyant. D'autre part si Dieu nous a parlé et laissé un message, ce message doit certainement être connu, il convient donc à chacun de rechercher et de s'intéresser à ce que Dieu a à dire à chacun d'entre nous.

Mais ne sachant pas vraiment quoi penser, j'ai tout simplement laisser la question ouverte pour plus tard.

Pourtant je me souviens que les soirs lorsque j'étais chez mes parents en pleine campagne, j'aimais sortir me promener quand tout le monde dormait et je regardais le ciel et je parlais à Dieu comme un ami parle à un ami, et je lui racontais mes journées et mes rêves.

Lorsque je suis devenu étudiant en tourisme à Grenoble, je me posais encore plus de questions et un jour je suis tombé sur une radio où quelqu'un donnait son témoignage, comment il avait rencontré Dieu et comment il marchait avec Lui jour après jour. Cela a comme été un choc pour moi car tout ce que j'avais vu dans mon enfance était une liste de traditions et de règles à observer. Il y avait une certaine croyance en Dieu dans ce que j'avais vu mais pas vraiment d'amour ou d'intelligence des choses qui le concernent. En fait dans ma famille, on allait à l'église mais la foi n'avait pas d'impact sur notre manière de vivre ni sur les choix à prendre; d'ailleurs quand un choix devait être fait, Dieu n'était pas consulté. Pourtant, je me disais que dans les grandes décisions de la vie autant que dans les petites décisions; Dieu devrait être consulté si tant est que nous croyons vraiment en Lui et que Lui sait ce dont nous avons vraiment besoin et les bons choix à prendre.

J'ai entendu par cette radio d'autres témoignages de personnes qui racontait ce que Dieu avait fait dans leur vie, témoignant comment Dieu dirigeait leur vie et comment Il écoute et répond aux prières (bien que pas toujours de la manière attendue) et comment Dieu leur parlait au travers de la bible.

Je désirais cette relation avec Dieu mais je ne comprenais pas encore comment il était possible d'entrer en contact avec Lui. Mes études se terminant, je devais quitter Grenoble mais je voulais garder la possibilité d'en savoir plus, aussi je téléphonais à cette radio pour leur demander où il était possible de se procurer des livres chrétiens. Avec l'adresse d'une librairie chrétienne en poche, je quittais Grenoble et me dirigeait vers Fréjus pour faire mon service militaire. Après le mois de classe, et le mois où j'ai été affecté dans l'unité auto-école où l'on faisait passer les permis aux nouvelles recrues qui s'engageait dans un service de 18 mois dans les DOM TOMS, je demandais à entrer à l'armurerie afin de pouvoir lire les livres que j'achetais à la librairie chrétienne. En fait, dans cette fonction dont personne ne voulait, j'échappais au réveil bien matinal et au lever de drapeau ainsi qu'à toutes les manoeuvres sur le terrain et je passais mes nuits à lire.

Lors de ma dernière permission avant la fin de mon service militaire, j'ai vu une affiche dans une libraire chrétienne qui présentait un événement dans la région mais ce qui avait retenu mon attention était qu'on pouvait parler avec un pasteur ou conseiller.

Aussi, je me suis rendu à ce rassemblement pour poser mes questions à savoir 1) Quel est le message de la bible ? 2) Dieu demande t'il vraiment à ce qu'on observe les traditions religieuses
La personne que j'ai rencontré était un homme de la région grenobloise, pasteur d'une assemblée chrétienne. Lorsque je lui ai posé mes questions, il ouvrait sa bible et me faisait lire des passages à l'intérieur qui répondaient à mes questions. Il m'a expliqué que le monde n'est pas le fruit du hasard ou d'un "accident" mais d'une intention délibérée de Dieu qui a créée le monde comme le dit la bible. Dieu nous a créée pour vivre en communion avec Lui mais Il nous laisse libre de lui obéir ou de refuser de lui obéir.

Quand Dieu a créée Adam et Eve et les a placé dans un lieu favorable; il leur a donné toute liberté et une seule interdiction. En choisissant de braver l'interdiction que Dieu leur avait donné, ils ont péché, le péché crée une séparation entre l'homme et Dieu. En effet, le péché est tout acte fait indépendamment de la volonté de Dieu.

Le péché n'est pas seulement voler, tuer ou mentir mais il peut prendre la forme de l'orgueil, d'un faux témoignage ou même de voir savoir faire le bien et de ne pas le faire. Dieu est un être saint (Il ne connaît pas le péché et ne peut le supporter); juste (la justice de Dieu exige que l'homme qui a péché soit condamné et la lettre de Paul aux Romains nous apprend que la conséquence du péché est une éternité séparé de Dieu, c'est la mort spirituelle et l'enfer), Amour (parce que Dieu aime l'homme mais hait le péché, il a pourvu un moyen de sauver l'homme de la condamnation que son péché méritait) et enfin Dieu est bon (Il est venu dans la personne de Jésus pour prendre sur Lui notre condamnation, parce que Jésus est Dieu venu sous la forme d'un homme, il ne connaissait pas le péché et en mourant sur la croix, Il a pris pour ceux qui désirent être sauver de leurs péchés, les péchés de ceux qui se confient en Lui et lui en font la demande). De cette manière la justice de Dieu est satisfaite, l'Amour de Dieu aussi bien qu'Il en ait coûté à Dieu. La bible dit "car Dieu a tant aimé le monde qu'IL a donné son fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse point mais ait la vie éternelle.(Jean 3:16)

C'est là le message de la bible. C'est un message unique dans le sens qu'il est profondément différent de toutes les religions qui existent qui connaissent pas la raison de l'état de notre monde, qui ne propose que de faire ceci ou aller là dans l'espoir que Dieu comptabilisera ces oeuvres et permettre le salut à celui qui en aura assez fait sans bien sûr permettre à l'homme de savoir combien il faut faire pour en faire assez pour être sauvé. La bible, elle, dit clairement que l'homme ne peut rien faire pour être sauvé, c'est pourquoi Dieu a pris l'initiative de venir en Jésus qui possédait les caractéristiques d'être parfaitement divin pour pouvoir nous sauver mais aussi parfaitement humain (de par sa naissance miraculeuse du St Esprit et de Marie) pour pouvoir vivre comme un homme, prendre sur Lui nos péchés et mourir pour nous. Sa résurrection est un fait attesté, qui nous assure que la justice de Dieu a été satisfaite et que ceux qui se confient en Jésus pour le salut de leurs péchés mourront non pour une éternité en enfer et la séparation d'avec Dieu mais pour une éternité avec Dieu et dans Sa présence.

La bible nous assure aussi qu'aucun homme n'a trop péché pour ne pas être pardonné par Dieu mais que tout homme est pécheur et doit demander le pardon de ses péchés. De par ce fait, le salut de Dieu est parfait et accessible à tout homme qui Lui en fait la demande. Le salut que Dieu offre est un don, il ne se mérité pas, c'est pour cela que l'on dit que c'est une grâce (don immérité) de Dieu
Maintenant, considère ceci, imagine qu'Hitler après avoir fait ce qu'il a fait revienne en son bon sens avant de mourir et se rendant compte avec horreur de tout le mal qu'il a fait demande le pardon de ses péchés à Jésus. Imagine aussi un autre homme qui s'évertue à faire tout le bien qu'il peut (donnant son argent et son temps aux pauvres et nécessiteux et allant tous les dimanches à l'église; lisant sa bible chaque jour mais que jamais il n'ait demandé à Jésus le pardon pour le seul péché qu'il ait pu commettre dans sa vie (même s'il est un homme remarquable ayant seulement menti une fois dans toute sa vie).

Quand ces deux personnes viendraient à mourir le même soir, Hitler serait pardonné et le deuxième homme ne le serait pas et passerait l'éternité sans Dieu.
Car le seul péché que Dieu ne peut pas pardonner est que l'homme refuse le salut qu'il offre à l'homme. Ne pas répondre est synonyme de refus. Si tu donnes un cadeau à ton fils et qu'il te regarde, sourit et s'en va sans le prendre, tu pourrais ressentir dans une moindre mesure ce que Dieu ressent quand l'homme méprise le don du salut qu'il lui fait.

Le salut de Dieu est gratuit mais il en coûtera autrement à celui qui désire vraiment connaître Dieu et être sauvé de ces péchés. Dieu a un adversaire qui ne sera pas content qu'une personne ait été sauvée par Dieu. Accepter le salut de Dieu, signifie aussi qu'ensuite l'homme dont les péchés auront été pardonné ne vive plus pour lui même mais développe sa relation avec Dieu et vive pour Dieu et non plus pour lui-même. Pour ma part cela a été le célibat et la séparation d'avec la famille (bien que cela ne veut pas dire que les choses resteront ainsi, Dieu a des plans pour chacun de nous et pour moi aussi), cela peut être pour d'autre la perte d'un emploi, la perte d'amis, conflit dans le couple voire divorce et bien d'autres choses. Mais il faut savoir aussi que Dieu est souverain et qu'il est au contrôle de toutes ces choses et que si l'on passe par elles, il veut notre bien et si nous lui faisons confiance Il nous guidera vers ce qu'il y a de mieux pour nous.

C'était le 31 mai 1993, le jour où j'ai compris par cet homme le message de la bible et que je l'ai accepté pour moi même. Chose remarquable la bible dit que l'éternité ne commence pas pour le croyant quand il meure mais quand il reçoit le pardon de ses péchés. En d'autres termes l'éternité ne commence pas une fois que nous mourrons, l'éternité commence dés maintenant.

Nous vivons dans un monde où beaucoup d'informations circulent, y compris au sujet de la bible et de Jésus. Avant d'accepter ces informations, je conseille de les étudier pour attester de leur véracité. Certaines sont habilement bien conçues et peuvent tromper beaucoup de gens qui ne vérifieront pas si ce qu'ils entendent est exact ou non.

mardi 8 juin 2010

Délivré de l'islam

Mon nom est Moussa Komé, je suis le fils d'Ibrahim Komé qui est Imam à Abidjan. J'ai toujours été zélé pour les choses de Dieu et à 14 ans j' avais converti tout mon entourage à l'Islam, et je faisais les lectures à la mosquée.

Mais une question me travaillait :

Serai- je sauvé ? Irai- je au paradis ou en enfer ? Quelles sont les conditions pour aller au paradis ? Je posais les questions à mon père. Mon père était un croyant sincère et honnête, il me répondit qu'il ne savait pas. Désireux d'avoir une réponse, j'ai cherché dans le Coran :

- La sourate 100 aux versets 6, 7,8 me dit que l'homme est pécheur,
- La sourate 101, aux versets 6,7,8,9 parle d'une balance sur laquelle seront pesées toutes nos oeuvres,
- La sourate Il au verset 119 , dit que les hommes et les sages vont en enfer, tous ensemble,
- Dans la sourate 19 , au verset 71, il est dit que tous les hommes passeront par l'enfer.

Toutes ces réponses me laissaient perplexes, il n 'y avait aucune assurance pour le salut. Quelques temps après, je suis parti comme marin sur un bateau de commerce. Un jour, le capitaine, apprenant que j'étais musulman, m'invite pour me parler de la Bible et de Jésus. J'étais fou furieux, je prend sa Bible et je la jette par dessus bord, en priant le capitaine de ne plus jamais prononcer le nom de Jésus devant moi.

Le capitaine ne s'est pas fâché, il ne m'a plus parlé de Jésus, mais il est venu me voir tous les jours , pour parler avec moi, chose qu'il ne faisait pas avec les autres marins. Cet amour m'a touché. Malgré cela, il y avait toujours cette interrogation et ce vide en moi au sujet de mon salut. J'essayais de le combler en sortant avec les filles, mais en vain.

Je décide alors de découvrir ce que dit le Coran sur la Bible et je découvre :

- La sourate 2, au verset 136, dit que Dieu à donné sa parole à Moise, (La Torah = la " première partie de la Bible) et qu'il n 'y a aucune différence entre le Coran et la Torah  (répété 4 fois),

- La sourate 5 au verset 44 dit que la Torah , vient de Dieu -le verset 46 dit : Jésus a eu l'évangile par Dieu,

- au verset 47: ceux qui ont l'évangile doivent juger selon son contenu,

- La sourate 10, 94: dans le doute, va demander à ceux qui ont reçu la parole de Dieu avant (les juifs et les chrétiens). Je découvre que le Coran ne dit pas que le Livre (La Bible) est faux, mais que beaucoup de ceux qui le lisent ne mettent ses commandements en pratique.


Qui est Jésus ?

La sourate Maryam nous dit aux versets 16 à 21 que Dieu a envoyé son Esprit dans Marie pour qu'elle donne naissance à Jésus.

Dans le Coran, Jésus est appelé Esprit de Dieu, Parole de Dieu, Messie. Le Coran nous dit que Jésus est supérieur à tous les prophètes, tous ont péché, même le prophète Mohammed, alors que Jésus n'a pas péché.

Le problème de la crucifixion de Jésus :

La sourate 4 au verset 157 nous dit qu'ils n'ont pas tué Jésus. Mais à la sourate 3 au verset 55, Dieu annonce à Jésus sa mort et son ascension. Ce même verset nous dit aussi que ceux qui suivent Jésus sont mis au dessus des autres.

Ainsi je réalisais qu'en tant que Musulman, je pouvais lire la Bible, et que dans cette Bible se trouvait l'assurance de la vie éternelle. Je réalisais que personne ne pouvait se sauver par lui même en faisant des bonnes oeuvres, personne ne peut faire assez de bien pour mériter le paradis, personne ne pouvait par lui même expier ses péchés, mais que c'est Jésus, le seul sans péché, qui expie nos péchés en mourant sur la croix. Il était donc capital que Jésus meure sur la croix, car en le faisant, il était puni à notre place et grace a son sacrifice, Dieu pouvait nous pardonner.

Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. (Esaie 55) J'ai donc découvert dans le Coran , qu'il n'y avait pas d'assurance pour le salut, mais qu'il nous était conseillé, à nous musulmans, de lire La Bible, de ne pas regarder aux juifs ou aux chrétiens qui ne mettent pas la Parole de Dieu en pratique, mais de regarder directement à cette Parole.

J'ai fait une prière et Jésus s'est révélé à moi. Je ne suis plus une religion avec des rites, mais j' ai une relation personnelle avec Dieu au travers de Jésus, qui m'apporte la joie, l'amour et la paix, qui m'aide à mener une vie sainte au service de Dieu et qui me donne l' assurance du salut.

mardi 27 avril 2010

Les OVNI


la religion des OVNI

par Gilles Bernier

Aujourd'hui, on tend à dire d'une façon plus aiguisée: "Existe-t-il une forme de vie intelligente sur d'autres planètes?"

D'un point de vue théologique fondé sur la Bible, on est donc à même d'esquisser l'observation suivante: le phénomène OVNI présente des caractéristiques qui sonnent étrangement comme une expérience relevant davantage de la sphère religieuse.

Un ex-croyant du dossier secret des OVNI

Ex-croyant du phénomène OVNI et extra-terrestres, je suis de ceux qui, vers la fin de leur adolescence, ont parcouru la littérature iniatique sur le sujet. J'ai même marché dans un champ le soir en observant le ciel étoilé dans l'espoir d'y voir un quelconque vaisseau spatial. Un Certain film de Steven Spielberg n'y était pas pour rien non plus. Je suis même devenu, en tant que jeune adulte, réceptif aux cosmogonies extra-terrestres. Toutefois, je concluais plus tard, que le tout présente, tout compte fait, beaucoup de points communs avec une approche religieuse. Les jours suivants, j'ai été surpris de tomber sur un article qui allait dans le même sens en cherchant autre chose sur les rayons d'une bibliothèque publique.

Fait intéressant, des journalistes ou recherchistes séculiers sont arrivés à des conclusions semblables. C'est surtout le point de vue séculier journalistique que j'ai choisi d'effleurer et de commenter dans ce qui suit.

Quelques observations d'un journaliste séculier

En effet, dans un ouvrage collectif séculier, Jean Robin faisait observer à partir des récits répertoriés de l'intérieur même du phénomène OVNI (UFO): "une évolution technique des prétendus vaisseaux de l'espace"(1). En d'autres mots, la complexité de la technologie de ces vaisseaux spatiaux progresse au même rythme que l'évolution de notre science... et de notre science-fiction.

En poursuivant son raisonnement plus loin, il ne faudrait pas se surprendre, qu'avec l'arrivée d'une récente hypothèse (scientifique?), les voyages supposés de ces êtres se fassent maintenant sans vaisseaux spatiaux 'high techs'. Attendons-nous à des récits concernant des visiteurs arrivés plutôt par des tunnels de rayon très petit qui traverseraient l'univers d'un bout à l'autre. Plus besoin maintenant de prouver l'existence de super-machines. C'est toujours ça de moins.

L'auteur soulève aussi, je crois avec raison, que si l'on a mis dehors Dieu et les anges, plusieurs les ont néanmoins remplacés, consciemment ou non, par des "extra-terrestres civilisateurs" qui ont une "dimension proprement eschatologique"(2),(3); dimension exaltée en bonne partie par le cinéma des dernières décennies.

Des points communs avec une approche religieuse

Il faut reconnaître en effet qu'il y a énormément de ressemblances entre les expériences reliées au phénomène OVNI et d'autres expériences religieuses ou quasi-religieuses. Nous avons observé les similitudes suivantes:

Croire ou ne pas croire

On parle de croire et ne pas croire aux OVNI et aux extra-terrestres.
L'aspiration à une expérience rapprochée

Certaines personnes aspirent carrément à vivre une expérience rapprochée, avec contact; du type de celle du film "Rencontres du troisième type" (ou du troisième niveau ou degré) ou encore de "E.T. L'Extraterrestre". Dans ce dernier, plusieurs constataient dès la première version du film, un parallèle évident avec la personne de Jésus. Il guérit ses amis, meurt et revient à la vie, est enlevé au ciel et autres allusions du genre de ce qui relève de la sphère de la foi.

Selon Jean Robin, certains groupes de croyants des OVNI "se constituent en véritables petites Eglises, attendant avec une rare ferveur un messie extra-terrestre avec lequel (...) on s'efforce d'entrer en communication psychique"(4). Inutile de rappeler les tristes expériences du Québec et de la Suisse avec un Ordre d'adeptes, qui une décennie après l'article de Monsieur Robin, a fait la une des médias (fin des années '90). Nous croyons que s'il s'agissait là (espérons-le) d'un groupe extrémiste, cela n'en démontre pas moins l'existence d'une croyance moins radicale mais bien réelle. Il y a d'autres adhérents qui sans aller jusqu'à se réunir ou à s'immoler pour se rendre sur Sirius (ou ailleurs), nourissent quand même une aspiration cosmologique qui touche la sphère religieuse. La bannière du Nouvel-Âge renferme beaucoup de partisans en ce sens. Si cela vous paraît exagéré, sachez que le même auteur fait état d'un enseignement universitaire américain conduisant à un diplôme et traitant sur la manière de se comporter devant les extra-terrestres lorsque l'on en rencontrera.

Une hiérarchie parfois tirée de la Bible

On associe souvent à ce phénomène d'êtres extra-terrestres une hiérachie d'êtres célestes, plus ou moins directement tirée ou inspirée de la Bible. Cependant, corrigeons tout de suite. La Bible décrit les anges et anges déchus comme étant des esprits caractérisés entre autre par le fait qu'ils n'ont pas de corps permanent, et donc pas besoin de vaisseaux spatiaux pour se déplacer dans l'universde par leur nature même(esprits). De plus, la Bible associe clairement certaines visions des prophètes à des anges ou à la gloire de Dieu elle-même. Mais avec la relecture plus ou moins honnête, les anges et la gloire de Dieu deviennent des OVNI, la voix du Seigneur "Comme le bruit de grandes eaux" qui annonce un message verbal devient des moteurs, de sorte que bientôt, il n'y a plus de respect du texte biblique.

Le point de vue d'un investigateur des prétendues expériences rapprochées avec les E.T.

D'un second point de vue externe au Christianisme, Budd Hopkins est, dit-on dans le milieu, "le pionnier des études faites sur le phénomène d'enlèvement par des OVNIS"(5). Il a participé sur une base régulière à des émissions de télévision sur toutes les chaînes américaines. Celui-ci croit aux phénomène OVNI, et prétend avoir recueilli les récits de personnes qui disent avoir été enlevées. Or, voici ce qu'il déclarait en entrevue, en 1990: «Les événements relatés sont pour le moins très déplaisants, voire horrifiants» (6). Et plus loin, toujours au sujet de ces récits d'enlèvements : «Le nombre (...) qui vivent ces expériences et qui connaissent l'anxiété et la terreur est un côté horrifiant du phénomène»(7). Et encore en parlant de cette intelligence: «La froideur de l'intelligence OVNI (...) une technologie insensible, dépourvue d'émotions»(8).

Une leçon pour nous

Nous ne voulons appuyer ni ces dernières affirmations, ni la totalité des convictions personnelles d'un journaliste. Toutefois, il n'en demeure pas moins que nous avons présenté deux points de vue sans référence au Christianisme, mais deux points de vue qui vont sur ce point dans le même sens: Nous n'avons pas à rechercher ces choses-là.

Ajoutons: à quoi bon tirer la chasse sur le Christianisme pour le remplacer par quelque chose de mal défini, et en rien supérieur? Pourquoi ne pas chercher à s'approcher de Dieu par une simple prière: "Seigneur Jésus, si tu existes, je te veux dans ma vie. Je veux te connaître"?

Et si vous croyez aux E.T. ...

Alors vous croyez en quelque chose qui relève du domaine de la foi-croyance. Et malheureusement, pourtant plusieurs personnes refusent obstinément de croire en notre Dieu Créateur et Sauveur. Voyez-vous, la solution extra-terrestre ne règle rien. Et eux, d'où viennent-ils? Qu'y a-t-il avant eux? Vous accompagnent-t-ils dans votre expérience quotidienne?

Et ceux qui en ont vu?

Nous ne croyons pas en l'explication extraterrestre au sens d'êtres plus évolués que nous. MAIS nous ne disons pas que certaines personnes n'ont pas vu quelque chose. D'un autre côté, en plus de phénomènes physiques, beaucoup d'autres phénomènes spirituels pourraient expliquer ces choses. Vous vous en rendriez compte en lisant la Bible et en vous joignant à une Eglise (assemblée) de croyants chrétiens. La séduction spirituelle peut même se cacher derrière certains phénomènes. (Seconde épître aux Thessaloniciens, chap. 2, versets 10 à 12).

Voici un des passages qui pourrait bien faire penser à une description d'OVNI, mais observons ce qu'il implique comme décision de notre part aujourd'hui:

«et il vous donnera l'apaisement à vous qui souffrez, ainsi qu'à nous. Cela se passera quand le Seigneur Jésus apparaîtra du ciel avec ses anges puissants; il viendra dans un feu flamboyant, pour punir ceux qui ne connaissent pas Dieu et qui n'obéissent pas à la Bonne Nouvelle de notre Seigneur Jésus. Ils subiront comme punition une ruine éternelle, loin de la présence du Seigneur et loin de sa puissance glorieuse, lorsqu'il viendra en ce jour-là pour être honoré par tous ceux qui lui appartiennent et admiré par tous ceux qui croient...»
(extrait de la Bible; 2 Thessaloniciens 1:7-10).

mardi 9 février 2010

L'évangile de la prospérité


L'Évangile de la Prospérité, une menace pour l'Église africaine.

La course vers la prospérité matérielle et la guérison divine est l'une des marques de notre temps. L'évangile de la prospérité envahit presque toutes les églises.
Cette Théologie qui draine tant de foules est-elle biblique ? Quelle est la pensée des Écritures sur la situation matérielle du croyant ? Un chrétien doit-il être nécessairement riche ?

L'évangile de la prospérité, qu'est-ce que c'est ?

"Vous êtes certainement familiers avec ce nouveau phénomène. Des chefs religieux promettent la guérison à tout le monde. Ils organisent des séminaires sur la guérison divine, passent sur les antennes de vos télévisions pour vous inviter à des prières pour obtenir la prospérité matérielle, promettent du travail aux chômeurs, des partenaires aux célibataires, des promotions aux travailleurs, le succès dans le ministère aux pasteurs, la stabilité aux couples, etc. Ce nouveau phénomène qui attire des foules en Afrique, c'est l'Évangile de la prospérité. Il gravite autour de trois éléments clés : la prospérité matérielle, la guérison divine et la confession positive".

IL n'y a pas une seule promesse de prospérité matérielle dans tout le Nouveau testament.

L'évangélisation du continent noir qui s'est accrue durant ces cinq dernières années charrie une erreur de taille. Il s'agit de la recherche inexorable de l'aisance matérielle. Un acharnement édicté par des évangélistes et pasteurs fervents défenseurs de l'évangile de la prospérité, selon lesquels un chrétien ne doit pas connaître la pauvreté encore moins la maladie. Car, "la théorie de la prospérité considère la maladie comme un manquement (péché) à l'égard de Dieu et de soi-même. En tant que croyant, il ne faut donc pas parler de maladie ni admettre son existence. Il faut par la foi déclarer la guérison au milieu de la douleur et de l'infirmité".

Cette conviction avec des dehors de leitmotiv est baptisée confession positive. Elle constitue l'une des
techniques de ces pasteurs endimanchés (à l'européenne), partisans de l'Evangile de la prospérité. Ces "hommes de Dieu" qui par leurs agissements, leur relecture erronée de la Bible distillent aux coeurs ouverts des fidèles africains des fausses doctrines. Ils aiment beaucoup les titres honorifiques et se font appeler "apôtre", "prophète", "pasteur", "révérend"...

Aujourd'hui, le pôle du christianisme s'est déplacé en Afrique. Le christianisme est aujourd'hui enregistré dans la liste des religions traditionnelles africaines. La formulation théologique doit prendre en compte tout le contexte, y compris notre situation de pauvreté".
"j'ai appris à me contenter de l'état oû je me trouve" Ephésiens 4 v 11 à 14.

Conclusion :
L'évangile de la prospérité est un faux-évangile. 2 corinthiens 11 v 2 à 4 + Galates 1 v 6 à 10.

mercredi 12 août 2009

L'origine des fêtes catholiques

Introduction

Le livre de la Genèse est notre livre d'histoire à tous puisqu'il relate les évènements qui sont la cause même de la situation dans laquelle se trouve notre monde actuel. La Bible, au chapitre 10 verset 8 de la Genèse, parle d'un homme, Nimrod (ce qui signifie : rebelle) qui fut le premier homme puissant sur la terre. C'est lui qui construisit et régna sur des villes, entre autre, Babel (ou : Babylone). L'histoire de l'Antiquité et diverses mythologies révèlent que cet homme, sa femme Sémiramis et son fils Ninus furent divinisés et devinrent des initiateurs d'une trinité (père, mère et enfant).

Les hommes furent ensuite dispersés sur toute la terre et formèrent les différentes nations, langues et races desquelles nous sommes issus aujourd'hui (Genèse 11, versets 1 à 9). Depuis, le culte babylonien s'est répandu sur toute la terre au cours des siècles ; bien que la forme ait quelque peu changé, le fondement est resté le même. Ses rites sont parvenus jusqu'à nous, en Europe, surtout par les civilisations égyptienne et grecque. Les "divinités" changèrent de nom et d'apparence selon la langue et la culture locale. Ces rites idolâtres et superstitieux sont la base même des traditions actuelles qui imprègnent les religions et en constituent leur véritable caractère.

La plupart de nos contemporains célèbrent les fêtes religieuses sans en comprendre le sens profond ; tout en croyant plaire à Dieu dans le respect de ces traditions, ils ne font qu'observer des pratiques idolâtres provenant d'un paganisme que Dieu réprouve : les uns honorant ces fêtes d'un cœur sincère n'en sont pas moins dupés, tandis que les autres profitent de ces occasions pour donner libre cours à leurs instincts les plus bas.

Les fêtes romaines issues de ce paganisme primitif sont nombreuses, mais il en est cinq parmi les plus importantes que nous voulons examiner ici : Noël, l'Annonciation, Pâques, la Saint Jean et l'Assomption. Chacune de ces fêtes a incontestablement une origine babylonienne.

• 1 / Noël

Pourquoi cette fête a-t-elle été fixée le 25 décembre ?
L'Ecriture Sainte ne mentionne aucun jour précis de la naissance du Christ. Elle n'indique même pas l'époque de l'année où il naquit. Par contre, il est certain que cette naissance n'a en tous cas pas pu avoir lieu le 25 décembre. En effet, la naissance du Christ s'est produite à l'époque du recensement : chaque personne devait se rendre dans sa ville natale. Beaucoup avaient une longue distance à parcourir à pied ou à dos d'âne, y compris femmes et enfants. Il est donc impossible que cela ait eu lieu en plein hiver.

Si l'on suppose que l'hiver n'est pas rigoureux en Israël, on doit se souvenir des paroles du Christ : "Priez pour que votre fuite n'arrive pas en hiver" (Matthieu 24 verset 20). Or, si l'hiver est une saison qui ne permet pas de fuir, elle est encore moins propice pour que des femmes et des enfants entreprennent de longs voyages ou, comme le dit encore l'évangile de Matthieu, pour que les bergers de Bethléem paissent leurs troupeaux dans les champs en pleine nuit par un froid rigoureux. Au contraire, c'est en plein été que les bergers gardent les brebis la nuit. La nuit où Jésus fut arrêté (au printemps), il faisait tellement froid, que les gardes et Pierre se chauffaient autour d'un brasero (Luc 22, versets 55 et 56).

Pourquoi et comment l'église romaine a-t-elle fixé cette date du 25 décembre pour fêter Noël ?
On a généralement cru que cette fête avait seulement une concordance astronomique puisqu'elle correspondait à la fin de la course annuelle du soleil et au commencement du nouveau cycle. Hormis l'époque de sa célébration, ce sont également toutes les cérémonies qui accompagnent cette fête qui prouvent son origine païenne. Noël a une signification beaucoup plus profonde que le simple symbolisme se rapportant au solstice d'hiver, mais c'était surtout l'anniversaire de la naissance du faux messie babylonien, le grand libérateur.

En Egypte, le jour du solstice d'hiver était célébré en l'honneur du fils d'Isis, titre égyptien de la reine des cieux.
Bien avant l'ère chrétienne, les païens célébraient une fête à cette époque de l'année en l'honneur de la naissance du fils de la reine de Babylone. Or, pour augmenter le nombre des païens adhérant de nom au christianisme, la même fête fut adopté par l'Eglise romaine.

Nombre de rites babyloniens ont leur similitude dans la fête de Noël :

• Les bougies qu'on allume la veille de Noël et qui doivent rester allumées pendant les fêtes correspondent au culte du dieu babylonien dont la naissance était célébrée dès la veille en illuminant ses autels.

• L'arbre de Noël qui est si commun dans nos traditions occidentales était également connu dans la Rome païenne. En Egypte, c'était un palmier symbolisant le messie païen. C'était un principe essentiel du système babylonien que le soleil ou Baal était objet favori du culte, incarnation du soleil.
On retrouve donc la signification de la bûche que l'on mettait au feu la veille de Noël et qui, le lendemain, était devenue l'arbre de Noël. Or, la bûche symbolise le tronc mort de Nimrod déifié en tant que dieu soleil, mais renversé par ses ennemis. L'arbre de Noël n'est donc rien d'autre que l'honneur rendu à Nimrod, le dieu mis à mort et rendu à la vie.

La branche de gui de la superstition druidique venait aussi de Babylone et représentait ce faux messie "homme branche", gage de la réconciliation entre Dieu et les hommes : cette branche divine venait du ciel, portée par un arbre qui, lui, sortait de la terre. En greffant la branche céleste sur un arbre terrestre, le ciel et la terre séparés par le péché se trouvaient alors réunis, réconciliés. De même l'oie de Noël (aujourd'hui la dinde) et les gâteux (bûches de Noël) étaient des éléments essentiels au culte babylonien tel qu'il était pratiqué en Egypte et à Rome. Il est donc clair que le christianisme s'est simplement approprié tous ces rites païens.

• 2 / L'Annonciation

La grande fête du calendrier romain qui suit Noël est l'Annonciation, et la date fixée pour cette fête confirme ce qui vient d'être dit. Cette fête se célèbre le 25 mars, en souvenir, dit-on, de la conception miraculeuse du Messie dans le sein de la vierge, le jour où l'ange vint lui annoncer l'honneur qui lui serait accordé d'être la mère du Sauveur du monde (Luc 1 verset 31). Mais qui peut certifier l'époque à laquelle cette annonce lui fût faite ? L'Ecriture ne nous donne aucune indication car cela a, en fait, peu d'importance. Ce jour, indiqué dans le calendrier papal comme étant l'annonciation de la vierge, existait bien avant la conception et la naissance du Christ. C'était, en effet, un jour de fête dans la Rome païenne en l'honneur de Cybèle, déesse romaine qui n'est autre que la mère du messie babylonien.

Il est d'ailleurs évident qu'il existe une relation étroite entre le jour de Noël et celui de l'annonciation. Entre le 25 mars et le 25 décembre suivant, il y a exactement 9 mois. Par conséquent, si le faux messie fût conçu en mars et naquit en décembre, peut-on croire un seul instant que la conception et la naissance du véritable Messie ait pu s'accorder aussi exactement avec ces deux dates, non seulement en ce qui concerne le mois, mais qui plus est pour le jour ? Qui pourrait croire à une telle probabilité ? C'est absolument impossible, ce qui prouve là encore que l'Annonciation et Noël sont donc bien des fêtes babyloniennes.

• 3 / Pâques

Les quarante jours de jeûne du carême ont été directement empruntés aux adorateurs de la déesse babylonienne. Le jeûne égyptien de quarante jours était expressément pratiqué en souvenir d'Adonis (ou Osiris), le grand dieu médiateur. Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection du dieu Tammouz, par des larmes et des réjouissances (voir Ezéchiel 8 verset 14). A l'origine, même à Rome, on ne connaissait pas le carême avec les orgies du carnaval qui le précédaient.

Lorsque le culte d'Astarté (nom cananéen de la déesse babylonienne Ishtar) devint prépondérant, on prit des mesures pour faire observer le jeûne chaldéen de 6 semaines (soit 40 jours) dans tout l'empire romain d'Occident. La voie fut préparée par le Concile tenu à Aurélia vers l'année 519, qui décréta que le carême serait solennellement observé avant Pâques. Les galettes chaudes marquées d'une croix le vendredi saint et les œufs coloriés figuraient dans les rites chaldéens, exactement comme ils le sont encore aujourd'hui en Occident. Le prophète Jérémie mentionne ce genre d'offrande quand il dit : "Les enfants apportaient du bois, les pères allumaient le feu, et les femmes pétrissaient la pâte pour offrir des gâteaux à la reine du ciel" (Jérémie 7 verset 18).

L'origine des œufs de Pâques est tout aussi claire. Les anciens druides portaient un œuf comme emblème sacré de leur ordre. Dans les mystères de Bacchus, tels qu'on les célébrait à Athènes, la consécration d'un œuf formait une partie de la cérémonie nocturne. La vraie Pâques est une fête juive célébrée le 14ème jour du premier mois du calendrier juif, au cours de laquelle un agneau était immolé, rôti et mangé.
Jésus est mort ce jour-là, en accomplissement des prophéties, et Il est ressuscité 3 jours et 3 nuits plus tard ; c'est à dire le 1er jour de la semaine (dimanche matin). Il n'y a pas de fête de Pâques dans le Nouveau Testament.

• 4 / La Saint Jean

Jean-Baptiste était né 6 mois avant le Sauveur. La fête païenne du solstice d'hiver ayant déjà été consacrée au jour de la naissance de Jésus, il fallait forcément fixer la date de son précurseur par rapport à cette date. Entre le 24 juin (solstice d'été) et le 24 décembre (solstice d'hiver), il y a exactement 6 mois. Les feux de la Saint-Jean où les jeunes et les vieux doivent marcher sur les cendres chaudes remontent jusqu'au premier des mortels qui a régné : Nimrod.

Si du temps des druides, on attendait des bénédictions du feu qu'on allumait en y faisant passer des jeunes gens et des vieillards ou du bétail, c'était simplement parce que l'on croyait purifier ainsi les souillures du péché inhérent à tous les êtres humains. Si Tammuz était le même dieu que Zoroastre, le dieu des anciens adorateurs du feu, et si la fête de ce dieu à Babylone correspondait si exactement à la nativité de Saint-Jean, quoi d'étonnant que cette fête soit encore célébrée par les feux de Baal et qu'elle présente encore une image si fidèle de ce que l'Eternel condamnait autrefois chez son peuple qui sacrifiait ses enfants en les immolant par le feu du dieu Moloc ? (Deutéronome 18 verset 10).

Quel homme, s'il connaît un peu l'Evangile, pourrait qualifier de "chrétienne" une telle fête ? Les prêtres de Rome, même s'ils ne l'enseignent pas ouvertement, trompent du moins leurs adeptes en leur laissant croire, aussi assidûment que le croyaient les païens adorateur du feu, que le feu peut purifier des souillures du péché. Beaucoup pratiquent cette tradition sans même connaître son origine, ni son sens véritable. Comment peut-on accepter la pratique de tels rites qui allaient alors jusqu'au sacrifice d'enfants innocents ?
Seul le sang de Jésus Christ nous purifie du péché (1ère lettre de Jean, chapitre 1, verset 7).

• 5 / L'Assomption

Il faut souligner que cette fête, instituée par la papauté, a été établie au XIXème siècle, qui a la réputation d'avoir été le siècle de lumière. Voici cette doctrine : la Vierge Marie, dit-on, n'a point connu la corruption et fut élevée au ciel où elle est maintenant, et en tant que co-rédemptrice.

Il n'y a pourtant aucun fondement d'une telle doctrine dans l'Ecriture Sainte. Quelle en est donc l'origine ?
Dans le système babylonien, c'était une fable déjà toute préparée. On y enseigne que le dieu Bacchus descendit en enfer, arracha sa mère aux puissances infernales et l'emporta avec lui en triomphe dans les airs. Cette légende s'est répandue partout où le système babylonien s'est implanté. La fête de l'Assomption est célébrée dans l'église romaine le 15 août. Or, lorsque la mère du messie païen fut célébrée à cause de cette "assomption", elle fut adorée comme l'incarnation de l'Esprit de Dieu. Elle fut considérée comme la source de toute sainteté, la grande purificatrice et naturellement, elle fut reconnue elle-même comme la mère pure et sans tâche. Ce n'est qu'en suivant dans ses conséquences logiques la doctrine païenne déjà adoptée et mélangée avec tout le système de Rome que ce décret a été lancé et que la madone romaine a été formellement appelée, dans le sens le plus complet du mot, "vierge immaculée".

Extraits du livre de Alexander Hislop « Les 2 Babylones ».

Peut-on encore douter que la madone de Rome avec l'enfant dans ses bras et la madone de Babylone ne soient qu'une seule et même déesse ?
Celle-ci n'a rien à voir avec l'humble jeune fille (Myriam ou Marie en français) qu'était la mère de Jésus. On sait fort bien que la madone romaine est un grand sujet de culte. La Parole de Dieu n'a-t-elle pas condamné dans les termes les plus énergiques la Babylone du Nouveau Testament ? N'a-t-elle pas déclaré que ceux qui participent aux péchés de Babylone participeront aussi à ses châtiments ? (Apocalypse 18 verset 4). Le péché d'idolâtrie est en général considéré comme une faute légère, mais ce n'est pas ainsi que Dieu lui-même le considère.
De tous les commandements, le second est accompagné des menaces les plus terribles par son effraction :

"Tu ne te feras pas d'image taillée ni aucune représentation des choses qui sont là-haut dans le ciel, ici-bas sur la terre et dans les eaux plus bas que la terre, tu ne te prosterneras pas devant elles et tu ne les serviras pas, car moi, l'Eternel ton Dieu, je suis un Dieu jaloux qui punis la méchanceté des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent et qui fait miséricorde jusqu'à mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements" (Exode 20 verset 4).

Ces paroles viennent de la bouche même de Dieu, elles ont été écrites par la main même de Dieu sur la pierre, non pas seulement pour la race d'Abraham, mais pour toutes les tribus et toutes les générations de la terre.
Dieu, dans le Nouveau Testament, ne demande nullement d'observer les fêtes, car toute la loi a été abolie en Jésus-Christ (Epitre aux Galates, chapitre 4, verset 10 et épitre aux Colossiens, chapitre 2, verset 16).

"Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et une vraie tromperie ; s'appuyant sur la tradition des hommes, sur les principes élémentaires du monde et non sur Christ. Car en Lui habite corporellement toute la plénitude de la Divinité. Vous avez tout pleinement en Lui qui est le chef de toute domination et de toute autorité". (Epitre aux Colossiens, chapitre 2, versets 8 à 10)

Par contre, Dieu attend de nous une confiance et une obéissance totale. Voici ce que l'apôtre Paul disait aux philosophes d'Athènes :

"Le Dieu qui a fait ce monde et tout ce qui s'y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n'habite pas dans des temples faits de main d'homme. Il n'est point servi par des mains humaines comme s'Il avait besoin de quoi que ce soit, Lui qui donne à tous la vie, la respiration et toutes choses. Il a fait que tous les hommes, sortis d'un seul sang, habitent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure… Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils ont à se repentir, parce qu'Il a fixé un jour où Il jugera le monde selon la justice par l'homme qu'Il a désigné (Jésus-Christ), ce dont Il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts" (Actes, chapitre 17, versets 24 à 31).

Cher lecteur,

Dieu vous invite aujourd'hui même à renoncer à toutes pratique inutile et trompeuse, à toute superstition, à toute idolâtrie, pour vous faire pénétrer dans la Réalité qui se trouve dans la personne de Jésus-Christ, le seul Seigneur.
Même si vous ne vous sentez pas concerné par ces choses, sachez que l'homme est religieux par nature, y compris les athées qui placent leur foi dans la science, la technologie, la politique, l'argent, … Il y a dans le cœur de l'homme un vide que Dieu seul peut combler.

Les religions sont terrestres, fondées par l'homme et donc impuissantes pour nous conduire au ciel. Le Salut, par contre, vient de Dieu, c'est Jésus le Vrai Messie. Il est l'unique remède à tous les maux de l'humanité. Il est mort pour nos péchés et Il est ressuscité. En Lui, nous avons le pardon de nos fautes et la Vie Eternelle qu'Il offre gratuitement à tous ceux qui l'acceptent. Alors, à vous de choisir !



mardi 30 juin 2009

Les jésuites

SERMENTS ET INSTRUCTION SECRETES DES JESUITES


I LES INSTRUCTIONS SECRETES DES JESUITES

Les «MONITA secreta» publiées en 1879 par Adolphe MICHEL, Paris. Avouées par le Jésuite Gretzer.
Ces instructions font toujours autorité quant à leur enseignement, mais sont évidemment adaptées au siècle présent dans leur rédaction.

Les 17 chapitres se composent de :

5 chapitres de règles de conduite envers le peuple, les gouvernements, les personnes influentes ou riches et envers les religieux d’autres ordres, pour préparer leur soumission à la Compagnie de Jésus (Jésuites).
5 chapitres d’enseignements pour soutirer des biens terrestres aux veuves, aux religieuses héritières et aux personnes riches, puis pour la dissimulation de cet amour pour l’argent.
3 chapitres pour la discipline et la progression de la société des Jésuites.
2 chapitres de mesures d’inquisition envers les Jésuites congédiés et les ennemis.
1 chapitre d’instructions pour attirer les jeunes et les inciter à devenir membres, et également,
1 chapitre de recommandations aux confesseurs et prédicateurs des grands pour le service d’espionnage foncier, religieux et politique.

En voici seulement quelques extraits révélateurs :

Leurs ruses :
Chap.III/3 : Il faut se servir de ceux qui sont de grande autorité dans l’Etat pour adoucir les personnes viles et la populace contraire à notre Société.
Chap. III/3 : Là, où ceux des académies nous sont hostiles; là, où les catholiques ou les hérétiques empêchent les fondations, il faut agir par les prélats et occuper les premières chaires : car ainsi il arrivera que la Société fera connaître, au moins à l’occasion, ses nécessités et ses besoins.

Leur appétit de l’argent :
Chap. IX/1 : ... que les confesseurs des princes, des grands, des veuves et des autres de qui notre Compagnie peut beaucoup espérer... ne laissent échapper aucune occasion de recevoir, quand on leur offre. Que si on a promis et l’on diffère, il faut prudemment en faire ressouvenir, en dissimulant, autant qu’il est possible, l’envie que l’on a d’être riche.

Leur politique :
Chap. XVII/3 : Il faut faire goûter aux rois et aux princes cette doctrine, que la foi catholique ne peut subsister dans l’état présent sans politique.
Chap. XVII/8 : ... il faudra changer de politique selon le temps et exciter tous les princes amis des nôtres à se faire mutuellement de terribles guerres, afin que l’on implore partout le secours de la Société (Jésuites)...

Leur domination :
Chap. II/1 : Il faut faire tous nos efforts pour gagner partout l’oreille et l’esprit des princes et des personnes les plus considérables, afin que personne n’ose s’élever contre nous, mais au contraire, que tous soient obligés de dépendre de nous.

Leur inquisition :
Chap. XI/7 : ... que l’on exténue par des propositions subtiles et des paroles ambiguës les vertus et les actions que l’on loue, jusqu’à ce que l’estime que l’on en faisait et la foi que l’on y ajoutait soient diminuées; car il importe tout à fait à la Société que ceux qu’elle a mis dehors, et principalement ceux qui l’ont abandonnée de leur bon gré, soient entièrement supprimés.

En conclusion : où trouve-t-on dans tous ces procédés l’esprit de Jésus, dont les Jésuites accaparent le nom en voulant être ses imitateurs ?

II LE SERMENT SECRET DES JESUITES

Cérémonie d’installation et de prestation de l’extrême-serment des Jésuites* : dont les détails ont été révélé par l'ex Jésuite Alberto Riviera (voir "La double croix" chez Chick Publicaton).
(*Cérémonie par laquelle on élève un jésuite de rang inférieur à une position d’autorité.)

Paroles du supérieur :

Mon fils, jusqu’ici vous avez appris à agir avec dissimulation, afin de ne servir que les intérêts de l’Eglise catholique romaine, comme tout bon soldat du pape se doit de le faire. Ainsi, vous avez appris à être catholique avec ceux qui sont catholiques et à agir en espion parmi ceux-là même qui sont vos frères.

Vous avez appris à être réformateur avec les réformateurs, huguenot avec les huguenots, calviniste avec les calvinistes et protestant avec les protestants (ceux qui s’opposent au catholicisme romain).

Vous avez appris à gagner leur confiance, en dénonçant du haut même de leurs tribunes notre très sainte religion et notre Saint-Père, le pape.

Vous avez appris à vous abaisser au point de devenir juif avec les juifs, afin d’être en mesure de maintenir l’Eglise bien au courant de toutes leurs activités.

Vous avez appris à semer secrètement la discorde et la haine entres des peuples amis, afin de provoquer des guerres sanglantes qui soient profitables à l’Eglise.

Vous avez appris à créer le désordre à l’intérieur de différents Etats, afin de mettre fin à leur prospérité et à leur indépendance politique, religieuse, culturelle et financière.

Vous avez appris à prendre une part active à leurs conflits et à agir de concert avec ceux d’entre vos frères jésuites qui œuvrent au sein des camps opposés, afin de favoriser la réussite de la mission que l’Eglise leur a confiée comme à vous de manière à ce que l’Eglise soit gagnante dans tout ce qui se décide entre les peuples de la terre; car, comme vous le savez, la fin justifie les moyens.

Vous avez appris à vous infiltrer dans tous les milieux, et à recueillir le plus de renseignements possibles sur les activités de tous.

Vous avez appris à faire l’impossible pour pénétrer au sein même de la vie familiale des protestants et des hérétiques de toutes sortes et de toutes classes.

Vous avez appris à vous infiltrer chez les commerçants, les financiers, les hommes de loi... dans les universités, les législatures, les gouvernements, les magistratures et les conseils d’Etat...

Vous avez appris à vous faire tout à tous, pour l’amour du pape, dont nous sommes les serviteurs jusqu’à la mort.

Jusqu’ici, vous avez reçu vos instructions en tant que novice (ne possédant aucune formation), en tant que néophyte (qui vient d’être nommé prêtre), et vous avez travaillé en tant qu’assistant, de confesseur et de prêtre.

Mais vous n’avez pas encore été investi des pouvoirs qui vous permettront de servir le pape en dirigeant au sein de l’armée de Loyola (fondateur des Jésuites).

Vous devez d’abord agir à titre d’instrument, à titre d’exécuteur, selon les ordres de vos supérieurs et durant un terme déterminé... car celui qui dirige doit avoir consacré ses labeurs par le sang des hérétiques, puisque sans effusion de sang aucun homme ne peut être sauvé.

Dans le but de vous préparer pour votre travail et d’assurer votre propre salut, vous allez ajouter à votre serment premier de fidélité à votre ordre et au pape... en répétant après moi ce qui suit... :

"Je fais le serment devant le Dieu tout-puissant, la très sainte Vierge Marie, le saint archange Michel, saint Jean-Baptiste, les saints apôtres, l’apôtre saint Pierre, l’apôtre saint Paul, les saints du ciel, je fais le serment de livrer une guerre impitoyable à tous les hérétiques et à tous les protestants, ouvertement où secrètement, et en toute occasion favorable, selon ce que l’on exigera de moi.

Je fais le serment d’utiliser tous les moyens qui se présenteront à moi pour les exterminer, et ce sans tenir compte de l’âge des victimes, de leur sexe et de leur condition.

Je fais le serment de les brutaliser, de briser leurs membres, de les faire pendre, de les faire passer par le feu, des les faire mourir pas strangulation, de les enterrer vivants, d’ouvrir le ventre de leurs femmes enceintes et d’écraser le crâne de leurs enfants, afin que leur race exécrable soit détruite à tout jamais.

Je fais le serment d’utiliser contre eux des moyens moins évidents si cela devient nécessaire, tels que l’empoisonnement, le poignard, l’arme à feu, ou toute autre arme jugée pertinente... et ce sans tenir compte du rang social ** des victimes ou de l’autorité qu’ils détiennent dans la société, et en toute obéissance à tout agent du pape ou à tout autre personne faisant partie de la direction de la Société de Jésus."

Pour un complément d'information sur les Jésuites nous renvoyons le lecteur à l'excellent livre "l'histoire secrète des Jésuites" de Edmond Paris aux éditions Fishbacher

jeudi 5 février 2009

L'astrologie

ASTROLOGUES ET FOI CHRETIENNE

par Paul BALLIERE

Cela peut paraître surprenant, mais les astrologues, dans leur immense majorité, se disent "chrétiens", au sens large du terme. Est-il permis de qualifier l'astrologie de "chrétienne" ? On appelle "chrétien" quelqu'un qui croit à l'enseignement de Jésus-Christ et de ses apôtres. Cet enseignement est, dans son essence même, historique et biblique. Si quelqu'un s'écarte de la doctrine ou de la théologie du christianisme historique et biblique, il ne devrait plus utiliser le terme "chrétien" pour lui-même ou son enseignement. Il ferait mieux de créer une nouvelle terminologie, plus conforme à sa nouvelle religion.

La pierre de touche du christianisme a toujours été la Bible. Le chrétien authentique croit que toute la Bible, appelée encore l'Ecriture, est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la voie de Dieu. Le chrétien croit qu'aucune prophétie de l'Ecriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. La pierre de touche du christianisme étant la Bible et toute la Bible, pour savoir si l'astrologie est effectivement compatible avec la foi chrétienne, il nous faut l'éprouver à la lumière de l'enseignement de l'Ancien et du Nouveau Testaments, les deux parties de la Bible.

Que penser de l'astrologie à la lumière de l'Ancien Testament ? Cette partie des Ecritures Saintes qu'on appelle l'Ancien Testament contient de nombreuses allusions au culte des astres qui est à l'origine de l'astrologie. Le veau d'or, fabriqué et érigé par Aaron représentait le dieu égyptien, Apis, parfois assimilé à Rê, le dieu du soleil, ayant sur certaines représentations anciennes l'aspect d'un taureau portant le disque solaire entre ses cornes. La condamnation du culte qu'Israël lui a offert fut des plus sévères. La Bible dit en effet : "... Ils se firent un veau en fonte et dirent : Voici ton Dieu qui t'a fait sortir d'Egypte, et ils se livrèrent envers toi (l'Eternel) à de grands outrages."

A l'époque des rois d'Israël, la pratique de l'astrologie mondiale et du culte des astres connut un véritable renouveau. Le culte des astres concurrença le culte de Dieu dans le coeur des Israélites. Il y eut d'ailleurs une relation de cause à effet entre la participation d'Israël au culte des astres et son sort final. La Bible dit en effet : "Ils abandonnèrent tous les commandements de l'Eternel, leur Dieu... Ils se prosternèrent devant toute l'armée des cieux (une expression biblique pour désigner les astres)... Ils se livrèrent à la divination et aux enchantements, et ils se vendirent pour faire ce qui est mal aux yeux de l'Eternel, afin de l'irriter... L'Eternel a rejeté toute la race d'Israël; Il les a humiliés et Il a fini par les chasser loin de sa face."

L'Ancien Testament fait une centaine de fois allusion au fait qu'Israël adoptait fréquemment le culte de Baal. Or, Baal était le dieu du soleil des Phéniciens. Israël, en pleine période de déclin spirituel et religieux allait jusqu'à construire des édifices dédiés au culte du soleil (Baal), et à lui consacrer des chevaux et des chars.

Astarté était la déesse de la Lune (ou de Vénus) des Phéniciens. Elle représentait l'amour, la fécondité, la chance. Or, Israël, éloigné des commandements de Dieu, lui rendait un culte. "Dans le culte des astres syrophéniciens, le Soleil et la Lune étaient vénérés sous les noms de Baal et d'Astarté, qui représentaient les forces de la nature dans leur aspect mâle et femelle. C'était un culte purement astral. Les astres étaient vénérés en tant que responsables et régulateurs de tout ce qui se passait sous le ciel. On brûlait de l'encens non seulement au Soleil et à la Lune, mais aussi aux signes du zodiaque et à toute l'armée des cieux, c'est-à-dire à tous les astres. Ceci nous permet de penser que le Soleil, la Lune, les planètes et les étoiles étaient vénérés en corrélation avec le zodiaque, et qu'à ce culte venaient se mêler l'astrologie, la divination et le tirage de l'horoscope."

Il y a dans l'Ancien Testament, une expression hébraïque qui est traduite par "au zodiaque" (à propos de ceux qui offraient des parfums au zodiaque et à toute l'armée des cieux). Cette expression veut dire littéralement "aux douze signes", et elle se réfère aux douze divisions du zodiaque, marquées par les douze figures et noms d'animaux : les douze constellations du zodiaque.

La Bible condamne-t-elle vraiment ces pratiques ? L'astrologie est-elle compatible avec la foi chrétienne ? Un prophète de la Bible, Ezéchiel, a repris les hommes d'Israël parce qu'ils vénéraient le Soleil, et les femmes d'Israël parce qu'elles pleuraient Thammuz. Or, Thammuz, la divinité des Phéniciens, avait introduit le culte des sept planètes et des douze signes du zodiaque.
Le péché, implicite dans ces pratiques, n'est pas seulement l'idolâtrie mais aussi la divination. Jérémie, un autre prophète biblique, donne l'avertissement suivant : "En ce temps-là dit l'Eternel, on tirera de leurs sépulcres les os des rois de Juda, les os de ses chefs, les os des sacrificateurs, les os des prophètes et les os des habitants de Jérusalem. On les étendra devant le soleil, devant la lune, et devant toute l'armée des cieux qu'ils ont aimés, qu'ils ont servis, qu'ils ont suivis, qu'ils ont recherché et devant lesquels ils se sont prosternés." (Jérémie 8:1-2)

Dieu a condamné la participation d'Israël à l'astrologie mondiale, parce que celle-ci faisait partie des pratiques occultes du monde religieux qui l'entourait. Il a interdit de chercher à connaître l'avenir par quelque moyen occulte que ce soit. Dieu dit : "Tu n'apprendras point à imiter les abominations de ces nations-là. Qu'on ne trouve chez toi personne qui exerce le métier de devin, d'astrologue, d'augure, de magicien, d'enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. Car quiconque fait ces choses est en abomination à l'Eternel."

La Bible, Parole de Dieu, prend les astrologues pour cible particulière de ses quolibets : "Le malheur viendra sur toi, sans que tu en voies l'aurore; la calamité tombera sur toi, sans que tu puisses la conjurer; et la ruine fondra sur toi tout à coup, à l'improviste. Reste donc au milieu de tes enchantements et de la multitude de tes sortilèges, auxquels tu as consacré ton travail dès ta jeunesse; peut-être pourras-tu en tirer profit, peut-être deviendras-tu redoutable. Tu t'es fatigué à force de consulter : qu'ils se lèvent donc et qu'ils te sauvent ceux qui connaissent le ciel, qui observent les astres, qui annoncent d'après les nouvelles lunes, ce qui doit t'arriver ! Voici, ils sont comme de la paille, le feu les consume, ils ne sauveront pas leur vie des flammes : ce ne sera pas du charbon dont on se chauffe, ni un feu auprès duquel on s'assied."

En résumé, l'Ancien Testament, par l'intermédiaire des prophètes de Dieu, fonde son hostilité à l'égard de l'astrologie sur deux raisons. La première est que l'astrologie était (et est) une forme de polythéisme, c'est-à-dire la croyance en une multitude de dieux, qui aboutit au culte des astres. La seconde est que l'astrologie est une forme d'occultisme, voie absolument interdite par Dieu. Que faire alors ? Abandonnez de telles pratiques. Consultez Dieu et non les astres.

Les auteurs du Nouveau Testament avaient à cœur de garder l'Evangile de toute corruption ou de toute compromission. Aussi, demandaient-ils aux églises de rejeter toute fausse doctrine. Les nouveaux convertis qui avaient cru en Jésus-Christ rompaient ouvertement avec les pratiques occultes d'autrefois. La Bible dit à ce propos : "Une foule de croyants venait faire à haute voix l'aveu de leurs pratiques. Un bon nombre de ceux qui s'étaient adonnés à ces futilités firent un tas de leurs livres et les brûlèrent en public" (Actes 19:18-19).

Quelqu'un objectera peut-être que les pratiques de l'astrologie moderne ne sont plus liées comme à l'époque de l'Ancien Testament, au culte de divinités astrales. Il est cependant indéniable que l'astrologie est une religion de substitution. Les astrologues proclament un "autre Evangile" et tombent ainsi sous la condamnation exprimée en ces termes par l'apôtre Paul dans l'une des ses lettres : "Si nous-mêmes, si un ange du ciel annonçait un Evangile s'écartant de celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème (c'est-à-dire maudit) ! Nous l'avons dit précédemment, et je le répète à cette heure : si quelqu'un vous annonce un Evangile s'écartant de celui que vous avez reçu, qu'il soit anathème !" Les déclarations des astrologues eux-mêmes confirment le fait qu'il y a un fossé infranchissable entre leur conception des choses et celle de la Bible. Bien que la plupart des astrologues se disent "chrétiens", ils sont généralement hostiles aux enseignements du christianisme biblique.

Daniel Logan, qui a été surnommé "le prophète malgré lui", affirme clairement que Jésus n'est pas le Christ. Il nie aussi le déluge et rejette le récit biblique d'Adam et Eve. Il parle favorablement de l'Antéchrist qui doit venir. Et au sujet de la Science chrétienne, il affirme qu'elle a raison. La Bible nous avertit sur de telles prises de position. L'apôtre Jean déclare en effet : "Qui est menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l'Antéchrist, qui nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils n'a pas non plus le Père; quiconque confesse le Fils a aussi le Père." (1 Jean 2:22-23)

Les affirmations de Daniel Logan montrent que les astrologues, tout en prétendant être "chrétiens", cherchent à détruire en réalité la vraie foi biblique. Les livres de Linda Goodman sont devenus des best-sellers. Elle ne prétend pas être chrétienne, elle, et elle fait tout son possible pour réfuter le christianisme. Niant également que Jésus est le Christ, elle affirme qu'il n'était qu'un homme. Elle préconise un retour au polythéisme mâle et femelle (dont nous parlions dans une précédente émission), et elle va jusqu'à prétendre que le péché d'Adam et Eve était bon, et non mauvais. S'il est vrai que Mme Goodman est libre de croire ce qu'elle veut, ses propos sont inacceptables du point de vue chrétien.

L'apôtre Jean déclare dans sa seconde lettre : "Plusieurs séducteurs sont entrés dans le monde, qui ne confessent point que Jésus-Christ est venu en chair. Celui qui est tel, c'est le séducteur et l'Antéchrist." Et il ajoute : "Quiconque... ne demeure pas dans la doctrine de Christ n'a point Dieu; celui qui demeure dans cette doctrine a le Père et le Fils. Si quelqu'un vient à vous et n'apporte pas cette doctrine, ne le recevez pas dans votre maison."

Nous avons examiné toute une série de passages bibliques qui condamnent l'astrologie et la présentent clairement comme une abomination aux yeux de Dieu. Dieu vous appelle à croire que la Bible est sa Parole, qu'elle contient son message. C'est un message qui peut vous faire sortir de vos erreurs, de vos pratiques, de vos vaines espérances, de vos impasses. Un message qui peut vous amener à saisir le pardon de toutes vos fautes par la foi en Jésus-Christ, et à mener une existence toute nouvelle, heureuse, remplie de paix et d'assurance, parce qu'elle sera construite sur Dieu. Sachez qu'un vrai chrétien ne peut approuver ce que la Bible considère comme une pratique condamnable.

Certaines personnes prétendent que l'Eglise aurait supprimé et exclu de la Bible certains livres "perdus", qui prouveraient que Jésus croyait à l'astrologie et à la réincarnation. Les plus connus seraient La vie cachée du Christ et l'Evangile du Verseau. Edgar J. Goodspeed, dans l'un de ses ouvrages qui a paru en 1956, examine de près La vie cachée du Christ et l'Evangile du Verseau ainsi que tous les autres livres "perdus" de la Bible, et il démontre que ce sont tous des faux.

Dans certains de ces livres datant de la fin du Moyen Age, les vêtements de Jésus et des apôtres sont exactement ceux qu'on portait à l'époque médiévale. De plus, ces livres contiennent des erreurs historiques et des allégations frauduleuses. La déclaration de Notovitch, selon laquelle il aurait reçu La vie cachée du Christ du lama qui dirigeait le monastère de Himis, a été vérifiée par une équipe qui s'est rendue sur place. Devant elle, le lama en question déclara sous la foi du serment qu'il n'avait jamais eu la visite de Notovitch. Et pendant qu'on lui lisait son livre, il s'écriait à tout bout de champ : "Ce sont des mensonges, des mensonges, des mensonges - rien que des mensonges !"

Au sein de toutes vos difficultés, vous avez essayé de vous en sortir par la voie de l'astrologie. Vous consultez régulièrement votre horoscope, espérant y trouver quelque promesse de bonheur et de réussite. Vous êtes allé consulter un astrologue célèbre. Et vous vous dites : "Mais si cette voie n'est pas bonne, que me reste-t-il ? Comment m'en sortir ? Y a-t-il une solution ?" Oui, heureusement, dans son grand amour, Dieu nous a donné son Fils Jésus, pour détruire les oeuvres du diable. La Bible dit : "Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les oeuvres du diable." Face à l'orgueil du diable, c'est l'humilité du Fils de Dieu mourant pour nous sous le mépris des hommes.

Face à l'esclavage du diable, Dieu vous offre l'affranchissement, grâce au nom par lequel vous puissiez être sauvé : un nom au-dessus de toute autorité maléfique, c'est Jésus. La Bible affirme : "Il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés." Que faire, chers amis ? Repentez-vous de vos pratiques vaines, en particulier l'astrologie. Demandez humblement à Dieu de vous pardonner en invoquant le sang de Jésus, qui s'est donné pour vous sur la croix. Détruisez résolument sans rien excepter et sans attendre, tout ce qui a trait à ces pratiques : livres, objets et autres qui peuvent rester des supports pour le diable dans votre vie. Joignez-vous à des chrétiens qui vivent leur foi. Il vous suffit de nous écrire, et nous vous donnerons les adresses de nos réunions les plus proches de votre domicile.

L'influence des étoiles, nous dit-on, expliquerait comment le destin de chacun est fixé dès sa naissance. La plupart des astrologues font appel à la théorie de la réincarnation pour expliquer pourquoi le destin de l'un est différent de celui de l'autre. Le destin astrologique de chacun serait déterminé par son karma. Selon tel astrologue, au moment de sa réincarnation, l'âme choisit de naître à une date qui coïncide avec une position particulière des astres. Or, selon la Bible, nous n'avons que cette vie pour nous préparer à l'éternité. Elle affirme : "Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement." Un homme de la Bible disait à Dieu : "Je le sais, tu me mènes à la mort, au rendez-vous de tous les vivants."

L'âme de l'homme n'existe pas avant sa conception dans l'utérus de sa mère. L'être humain n'est pas pris dans un cycle interminable de vies, destiné à renaître continuellement. Le karma est un mythe. En mourant sur la croix du Calvaire, Jésus-Christ a payé le dû que la loi de Dieu nous réclamait à cause de nos péchés. La Bible déclare : "Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies. A peine mourait-on pour un juste; quelqu'un peut-être mourrait pour un homme de bien. Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous." La mort de Christ à la place de l'homme rend la réincarnation karmique aussi inutile qu'elle est fausse. La Bible dit en effet : "Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ."

L'incompatibilité de l'astrologie avec la vraie foi chrétienne est évidente pour une seconde raison. L'astrologie est liée au polythéisme, c'est-à-dire la croyance en plusieurs dieux. Le culte des astres, qui est à la base de l'astrologie, reste encore aujourd'hui la seule explication de l'influence exercée par les astres sur les humains. Les astres sont considérés comme des divinités qui ont la volonté et le pouvoir de déterminer le destin des hommes. Le christianisme, par contre, est résolument monothéiste, c'est-à-dire qu'il nous appelle à la foi en un Dieu unique, vivant et vrai. C'est pourquoi les chrétiens refusent de se laisser tromper par les tenants d'une religion polythéiste séculaire qui essaie de faire peau neuve en adoptant une terminologie scientifique plus conforme à notre siècle. Entendons Dieu proclamer avec force : "Je suis l'Eternel, et il n'y en a point d'autre. Hors moi il n'y a point de Dieu... que l'on sache, du soleil levant au soleil couchant, que hors moi il n'y a point de Dieu :

je suis l'Eternel, et il n'y en a point d'autre"; et encore : "Car ainsi parle l'Eternel, le créateur des cieux, le seul Dieu, qui a formé la terre, qui l'a faite et qui l'a affermie, qui l'a créée pour qu'elle ne soit pas déserte, qui l'a formée pour qu'elle soit habitée : je suis l'Eternel, et il n'y en a point d'autre". Et encore : "Qui a prédit ces choses dès le commencement, et depuis longtemps les a annoncées ? N'est-ce pas moi, l'Eternel ? Il n'y a point d'autre Dieu que moi, je suis le seul Dieu juste et qui sauve". Nous n'en finirions pas de citer tous les passages bibliques similaires. En voici encore un qui est comme une colonne pour la foi chrétienne : "Il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur en Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous."

L'astrologie est une science occulte. Il faut entendre ici le mot "occulte" comme désignant les croyances et les pratiques qui font intervenir des forces d'origine satanique, proscrites par la Bible. Après que l'Eglise chrétienne ait interdit toutes les pratiques occultes, parce que Dieu les condamne dans la Bible, ceux qui voulaient s'y livrer ont dû le faire en secret pour ne pas s'exposer à des poursuites. De ce fait, on se mit à utiliser le mot latin occultus qui signifie "caché, inconnu", pour les désigner.

Il y a différentes raisons qui poussent les gens à se livrer à des pratiques occultes comme celle de l'astrologie :

1. Le désir de connaître l'avenir par des moyens surnaturels.
2. Le désir d'acquérir un pouvoir surnaturel pour infléchir l'avenir ou améliorer sa propre condition.
3. Le désir d'entrer en contact avec le monde des esprits pour communiquer avec les défunts.
4. Le désir d'entrer en contact avec Satan et ses démons, aussi étrange que puisse paraître ce désir !

L'astrologie a toujours été, et est encore, une branche des sciences occultes. Il n'est donc pas étonnant que les religions occultes de notre temps soient à l'avant-garde du mouvement astrologique. Si l'astrologie n'était pas une science occulte, aurait-elle tant de talismans : bagues, pendentifs, bracelets, médailles, insignes etc. munis d'un signe du zodiaque ? Pourquoi certains astrologues affirment-ils que "l'intuition psychique" est nécessaire, si l'on veut tirer un horoscope ? La seule réponse logique à ces questions est que l'astrologie fait effectivement partie des sciences occultes.

L'astrologie est une espèce de produit de remplacement trompeur, un succédané fallacieux de la révélation biblique. Après des années de recherches scientifiques et de découvertes archéologiques, on n'a pas pu prouver que la Bible ait fait erreur sur un seul point. A chaque fois que la Bible a prédit un événement, celui-ci n'a pas manqué de se produire. L'astrologie, avec ses échecs, ses contradictions internes et externes, ne soutient pas la comparaison avec la Bible et sa fiabilité. La Bible, en effet, établit une règle au sujet des prédictions, règle qui n'a pas perdu sa validité. Elle déclare : "Peut-être diras-tu dans ton cœur : Comment connaîtrons-nous la Parole que l'Eternel n'aura point dite ?

Quand ce que dira le prophète n’aura pas lieu et n’arrivera pas, ce sera une parole que l’Eternel n’aura point dite. C’est par audace que le prophète l’aura dite : n’aie pas peur de lui » (Deutéronome 18 : 21-22). Il ressort de ces paroles que le prophète envoyé par Dieu ne se trompe jamais lorsqu’il annonce l’avenir. Il est donc relativement facile de dévoiler le faux prophète. Une seule prédiction qui ne se réalise pas fait de lui un faux prophète. Les astrologues se sont souvent trompés dans leurs pronostics. Selon la règle établie par la Bible, ils sont de faux prophètes et induisent les gens en erreur.

Reconnaissons avec honnêteté qu’en tant qu’idéologie religieuse, l’astrologie est incompatible avec la foi chrétienne. Pesée dans la balance du christianisme, elle ne fait pas le poids. Elle est donc dénuée de toute crédibilité. Ce n’est que par son attrait pour la superstition et son engouement pour les sciences occultes que l’homme moderne se laisse captiver par l’astrologie. Mais elle ne devrait avoir aucun impact sur l’homme sensé ou le vrai chrétien.
Au sein de vos difficultés multiples, répondez à l’appel de Jésus qui a dit : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. » C’est là une promesse sûre, une parole certaine et digne de foi. Je vous souhaite d’en expérimenter la véracité et l’actualité aujourd’hui même.