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mercredi 18 septembre 2024

Lers béréens

 

Actes 17.10-12 décrit les Béréens comme « examinant chaque jour les Écritures, pour voir si ce qu’on [ce que Paul et Silas prêchaient] leur disait était exact. » Cette conviction d’être un Béréen fut enracinée en moi depuis mon plus jeune âge. Cependant, jusqu’à très récemment, ma compréhension de ce qu’être un Béréen veut dire était imparfaite ou incomplète. L’image qui m’était dépeinte était celle de Béréens étudiant activement la Bible, refusant de croire ce que les apôtres enseignaient sauf s’ils pouvaient ouvrir à une certaine page et y faire correspondre un passage. Il n’y a qu’un seul problème avec cette image.

Les Béréens n’avaient pas de Bible.

Au sein de l’église primitive, il était rare pour les gens ordinaires d’avoir leur propre exemplaire des Écritures. En effet, ce ne fut pas avant l’époque de la Réforme que la production de masse de la Parole de Dieu fut même possible. Ce qu’ils avaient à la place était une communauté–la synagogue en l’occurrence–qui possédait une collection d’écrits que nous appelons l’Ancien Testament.

Trois vérités fondamentales

Nous bénéficierions tous de réévaluer ce qu’être un Béréen signifie. Trois vérités fondamentales peuvent nous aider à en avoir une conception plus fidèle.


1) Les Béréens reçoivent la vérité

Remarquez l’ordre de leur recherche : les Béréens reçurent, puis examinèrent, et finalement crurent la vérité (Actes 17.11-12). Ce qui signifie que bien que nous ayons de nombreuses normes propres, les Écritures sont la norme ultime qui normalise (ou rend conformes) nos normes.

Ce fut par le témoignage des Écritures que les Béréens crurent ce qu’ils reçurent. La vérité fut amenée à eux comme conclusion tirée de l’interprétation. Les apôtres leur enseignèrent que Jésus était le Christ, le Fils de Dieu. Ils vérifièrent ensuite cette vérité en accord avec les Écritures (à ce stade, il s’agissait des textes de l’Ancien Testament qu’ils avaient à la synagogue). Puis, ils crurent.

Les chrétiens devraient examiner les Écritures pour voir comment ces enseignements correspondent au témoignage de la Parole de Dieu. Nous ne devrions pas agir comme si nous étions les premiers à lire la Bible, mais nous ne devrions pas non plus mettre la Bible de côté pour mettre notre confiance dans des vérités externes comme les credos. Nous recevons la vérité prononcée pour nous, nous la vérifions et la gardons par l’autorité des Écritures (2 Tim. 1.14).

2) Les Béréens apprennent en tant qu’Église réunie

Cela ne devrait pas nous surprendre, mais ce sera peut-être le cas. Dans notre époque individualiste, lorsqu’on pense à l’étude de la théologie, les podcasts, la prière en privé et la lecture personnelle viennent à l’esprit. Ce n’était pas la méthode des Béréens.

Le texte nous dit qu’ils se rassemblaient quotidiennement dans la synagogue afin d’examiner les Écritures. Cela aurait inclus des lectures publiques des Écritures, des débats et des discussions de la part des enseignants, de l’enseignement et de l’exposition, et des conversations à propos de l’enseignement. Cet acte d’interprétation, quel qu’il fut d’autre dans les petits détails, était un acte communautaire.

Cet aspect n’est pas accessoire mais fondamental au but même des Écritures. Leur but principal est la révélation de Dieu en tant que Père, Fils et Saint-Esprit. Leur but utilitaire est la gloire de Dieu dans l’Église à travers la sagesse de la vraie justice–l’affaiblissement de nos addictions pécheresses pour être amenés à la pleine stature de Christ–tout ce qui constitue le bien-être présent et futur de l’Église.

Il s’agit-là d’un point fondamental pour l’interprétation biblique : si le but des Écritures est la révélation de Dieu et la gloire dans l’Église, alors les Écritures ne peuvent pas être correctement interprétées en faisant abstraction de la communauté, de la sagesse et de la mission de l’Église. Si nous sommes destinés à devenir des Béréens, nous ne devons pas dissocier de la communauté l’action de faire de la théologie. Nous avons besoin les uns des autres pour discerner l’enseignement des Écritures. On ne peut pas faire de théologie en dehors de l’Église.


3) La foi chrétienne des Béréens est issue de l’Ancien Testament

Peu de réalités me rendent moins à l’aise que celle de savoir que l’Église primitive (les Béréens inclus) ne disposait pas du Nouveau Testament dans son entier. Il est difficile de concevoir à quoi ressemblerait l’Église sans Romains 8, Éphésiens 2, ou l’évangile de Jean. En même temps, ce malaise révèle probablement en moi–et peut-être en vous–une fausse conception latente que l’Ancien Testament est en quelque sorte différent du Nouveau Testament.

Est-ce que l’Ancien Testament enseigne la Trinité ? Est-ce qu’il parle d’un divin Messie ? Comment pouvons-nous savoir que Jésus est Seigneur sans Romains 10.9 ? Voilà la réalité : les Écritures enseignent un évangile cohérent du début à la fin. En effet, le Nouveau Testament rend souvent explicite ce que l’Ancien Testament rend implicite.

L’Ancien Testament peut être comparé à une chambre richement meublée mais peu éclairée ; l’apparition de lumière n’y apporte rien qui n’était pas là avant ; mais elle permet de mieux voir beaucoup de ce qui est présent et qui n’était que faiblement ou pas du tout perçu auparavant.

Être des Béréens ne consiste pas uniquement à examiner les Écritures que nous avons maintenant au complet, mais examiner l’Ancien Testament en particulier et y voir le plan de rédemption de Dieu à travers la mort du Christ et sa résurrection. En lisant de cette manière, nous voyons le plan de salut depuis l’Ancien Testament jusqu’à sa révélation dans le Nouveau Testament : « Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même » (2 Cor. 5.19).


Être de vrais Béréens

Quel est le but final de tout cela ? Ce n’est pas de gagner des débats ou remplir nos têtes de connaissance comme une fin en soi. Le passage nous dit : c’est afin que beaucoup croient (Actes 17.12).

Le but à rechercher dans l’imitation des Béréens est d’affermir et renforcer la foi. C’est prêcher la personne et l’œuvre de Christ tirées des Écritures qui sauve et sanctifie. Les Béréens n’avaient pas de Bible. Mais ils avaient Christ. Nous avons la Bible. Et ensemble, nous devrions chercher à y trouver Christ, et ainsi être transformés à son image (2 Cor. 3.17-18).

lundi 8 mai 2023

Comment sait-on qu'il y a un Dieu ?

 Il n’existe sur terre pratiquement aucune nation ou tribu qui n'admette, sous une forme ou une autre, l'existence d’un Dieu, d’un esprit ou d’un être suprême. Même les peuplades les plus isolées, qui n'ont jamais eu de contact avec d’autres civilisations ou avec l’évangile, croient en un dieu. 

Comment expliquer ce fait ? 

Nous avons tous la faculté mentale de partir des merveilles de la création visible pour aboutir au Créateur invisible. 

Qui pourrait croire qu’une auto, une montre ou même un simple trombone se soient faits tout seuls ? C'est pourquoi l’apôtre Paul déclare :

 «En effet, depuis que Dieu a créé le monde, ses qualités invisibles, c'est-à-dire sa puissance éternelle et sa nature divine, se voient dans les œuvres qu’il a faites. C’est là que les hommes peuvent les connaître, de sorte qu'ils sont sans excuse» (Romains 1:20). 


Mais le livre merveilleux de la Nature ne nous parle que de l’existence de Dieu et de certains de ses attributs, à savoir sa toute-puissance et son intelligence sans limite. Il ne nous dit presque rien des autres qualités de son auteur, telle que son amour, sa compassion, sa bonté. 

Pour en savoir plus sur le Créateur, nous avons besoin d'un autre livre: la Bible. 




vendredi 9 décembre 2022

La colère de Dieu

 Henri Viaud-Murat.

Il est plus agréable de parler de l’amour de Dieu que de Sa colère! Pourtant, la Bible évoque la colère ou la fureur de Dieu dans près de 400 versets! Contre qui cette colère s’exerce-t-elle, et comment l’éviter?

Dieu est Amour. C’est Sa nature réelle. Toutefois, Il est aussi Justice. Il n’y a pas d’amour divin sans justice divine. Un amour sans justice n’est que faiblesse, et une justice sans amour n’est que tyrannie.

La colère de Dieu n’a rien à voir avec la colère de l’homme. « La colère de l’homme n’accomplit pas la justice de Dieu » (Jacques 1: 20).

Nous pouvons donc dire que la colère de Dieu, contrairement à celle de l’homme, accomplit parfaitement la justice de Dieu. En effet, la colère de l’homme non régénéré est causée par sa nature de péché. Elle ne peut être alimentée que par la haine, l’orgueil ou l’égoïsme.

Il en est de même pour la colère qu’un chrétien peut manifester, lorsqu’il est contrôlé par la chair de péché qui réside dans ses membres. Une telle colère est destructrice et produit la mort. Elle est inspirée par un esprit de mort et de meurtre. C’est pourquoi le Seigneur Jésus a pu prononcer ces paroles sévères:

« Vous avez entendu qu’il a été dit aux anciens: Tu ne tueras point; celui qui tuera mérite d’être puni par les juges. Mais moi, je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère mérite d’être puni par les juges; que celui qui dira à son frère: Raca! mérite d’être puni par le sanhédrin; et que celui qui lui dira: Insensé! mérite d’être puni par le feu de la géhenne. Si donc tu présentes ton offrande à l’autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande devant l’autel, et va d’abord te réconcilier avec ton frère; puis, viens présenter ton offrande. Accorde-toi promptement avec ton adversaire, pendant que tu es en chemin avec lui, de peur qu’il ne te livre au juge, que le juge ne te livre à l’officier de justice, et que tu ne sois mis en prison. Je te le dis en vérité, tu ne sortiras pas de là que tu n’aies payé le dernier quadrant » (Matthieu 5: 21-26).

Un zèle amer et un esprit de dispute sont causés par la colère de l’homme, qui produit toujours du désordre et toutes sortes de mauvaises actions. En revanche, la colère de Dieu est inspirée par Sa justice et Sa sagesse. Elle a pour but de juger le méchant qui refuse de se repentir, et de faire régner la paix de Dieu dans la société des hommes et dans Son Eglise. Dieu ne Se plaît pas à juger et à condamner les hommes. Au contraire, Il Se plaît à bénir et à faire miséricorde.

« Quel Dieu est semblable à toi, qui pardonnes l’iniquité, qui oublies les péchés du reste de ton héritage? Il ne garde pas sa colère à toujours, car il prend plaisir (mot-à-mot: il se délecte) à la miséricorde. Il aura encore compassion de nous, il mettra sous ses pieds nos iniquités; tu jetteras au fond de la mer tous leurs péchés » (Michée 7: 18-19).

Dieu aura toujours compassion de nous, si nous nous repentons de nos péchés et de mauvaises actions! Par amour pour nous, Il mettra sous Ses pieds nos iniquités et les jettera au fond de la mer! Mais si nous voulons échapper à Son amour, en refusant de nous repentir, alors nous n’échapperons pas à Sa justice, ni à Son ardente colère, au jour du jugement!

C’est sur la croix du Calvaire que l’amour et la justice de Dieu ont été parfaitement révélées. Par amour pour nous, qui étions tous des pécheurs, Dieu a donné Jésus, Son Fils unique, pour être jugé et condamné à notre place, afin que tous ceux qui croient en Lui échappent au jugement et à la juste colère de Dieu.

Dieu est immensément patient. Il est lent à la colère. Il prévient toujours avant de faire éclater Sa colère. Il envoie Ses anges et Ses prophètes pour avertir des jugements à venir, parfois des siècles à l’avance! Mais, lorsque Sa patience a atteint son terme, alors Sa colère éclate promptement.

« Car le Seigneur exécutera pleinement et promptement sur la terre ce qu’il a résolu » (Romains 9: 28).

« Certes, le méchant ne restera pas impuni, mais la postérité des justes sera sauvée » (Proverbes 11: 21).

Dans ces passages, comme dans tant d’autres, nous voyons de quelle manière le Seigneur Se comporte, d’une part, envers les méchants qui Lui résistent et, d’autre part, envers les justes qui cherchent en Lui un refuge au jour de la détresse, et qui se confient en Lui.

Actuellement, le monde entier est sous la puissance du malin. En dehors de ceux qui sont en Christ, il n’y a aucun juste sur la terre, pas même un seul. Tous ont péché et sont privés de la grâce de Dieu. La colère de Dieu demeure donc suspendue sur ce monde pécheur, car la patience du Seigneur n’est pas encore parvenue à son terme, avant la manifestation du grand jour de la colère de Dieu, telle qu’elle est décrite dans le Livre de l’Apocalypse.

« Le Père aime le Fils, et il a remis toutes choses entre ses mains. Celui qui croit au Fils a la vie éternelle; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui » (Jean 3: 35-36).

Le seul moyen d’échapper à la juste colère de Dieu est donc de nous repentir, de recevoir Jésus-Christ comme notre Sauveur et Seigneur, et de Lui rester fidèle jusqu’au bout!

Dans le passé, la colère de Dieu s’est déjà manifestée à de nombreuses reprises, que ce soit sur un monde impie, sur diverses nations, et même sur Son propre peuple.

A l’époque de Noé le juste, la terre entière était profondément corrompue, au point que Dieu S’est résolu à la juger d’une manière radicale.

Pourtant, pendant plus de cent ans, au moment de la construction de l’arche, Noé, appelé aussi le « prédicateur de la justice » (2 Pierre 2: 5), a eu largement le temps de prévenir le monde du jugement qui allait arriver. Mais tous ont continué à se moquer de lui, sans se soucier de se repentir.

Nous retrouvons ce qui se passe en ce moment même, nous qui sommes parvenus à la fin des temps! De même que Noé le juste a été mis à l’abri dans l’arche, qui représente Jésus-Christ, le prochain enlèvement de l’Eglise fidèle la mettra à l’abri des jugements divins.

Ensuite viendra le temps terrible de l’Apocalypse, qui sera le temps de la grande colère de Dieu sur ce monde impie.

De nombreux empires ont fini par être jugés par le Seigneur, et ont complètement disparu, l’empire égyptien, l’empire assyrien, l’empire babylonien, l’empire des Mèdes et des Perses, l’empire d’Alexandre le Grand, l’empire romain, pour ne citer que ceux-là.

Il en sera de même de l’empire final de l’Antichrist, qui règnera sur le monde entier pendant les sept années de la Tribulation.

Mais nous voyons dans la Bible que la colère de Dieu s’est aussi déversée sur Son propre peuple d’Israël, à cause de sa rébellion et de sa désobéissance invétérées.

Si nous voulons éviter de subir la colère de Dieu, nous savons donc ce que nous devons faire: marcher humblement devant notre Seigneur, avec un cœur bien disposé à reconnaître nos fautes et à obéir à Sa Parole, par amour pour Lui, et pas seulement par crainte de Sa colère!

Plus tard, lorsque Son peuple fut établi dans le pays de Canaan, Dieu, dans Son amour et Sa miséricorde, a, pendant des siècles, envoyé de nombreux prophètes pour avertir les Israélites qu’ils devaient se repentir et revenir à Lui, parce qu’ils étaient retombés dans la rébellion et la désobéissance.

Devant leur refus d’écouter Sa voix, ils ont dû souvent subir Sa colère et Son jugement. Jusqu’à ce que le Roi de Babylone, en 587 avant Jésus-Christ, vienne détruire Jérusalem et le temple, faire périr des centaines de milliers d’Israélites, et en amener des milliers d’autres en captivité.

Plus de six cents ans plus tard, en 70 après Jésus-Christ, c’est l’armée romaine qui vint détruire à nouveau Jérusalem et le temple, parce que la leçon n’avait toujours pas été apprise par le peuple de Dieu.

Ce qui est arrivé au peuple hébreu et à Israël doit être considéré comme un avertissement au peuple chrétien de la nouvelle alliance!

Si Dieu n’a pas épargné Son peuple rebelle de l’ancien testament, Il n’épargnera pas non plus Son peuple du nouveau testament, si celui-ci se comporte avec la même rébellion, la même incrédulité et la même désobéissance!

« Frères, je ne veux pas que vous ignoriez que nos pères ont tous été sous la nuée, qu’ils ont tous passé au travers de la mer, qu’ils ont tous été baptisés en Moïse dans la nuée et dans la mer, qu’ils ont tous mangé le même aliment spirituel, et qu’ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher était Christ. Mais la plupart d’entre eux ne furent point agréables à Dieu, puisqu’ils périrent dans le désert. Or, ces choses sont arrivées pour nous servir d’exemples, afin que nous n’ayons pas de mauvais désirs, comme ils en ont eu. Ne devenez point idolâtres, comme quelques-uns d’eux, selon qu’il est écrit: Le peuple s’assit pour manger et pour boire; puis ils se levèrent pour se divertir. Ne nous livrons point à l’impudicité, comme quelques-uns d’eux s’y livrèrent, de sorte qu’il en tomba vingt-trois mille en un seul jour. Ne tentons point le Seigneur, comme le tentèrent quelques-uns d’eux, qui périrent par les serpents. Ne murmurez point, comme murmurèrent quelques-uns d’eux, qui périrent par l’exterminateur. Ces choses leur sont arrivées pour servir d’exemples, et elles ont été écrites pour notre instruction, à nous qui sommes parvenus à la fin des siècles. Ainsi donc, que celui qui croit être debout prenne garde de tomber! Aucune tentation ne vous est survenue qui n’ait été humaine, et Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tentés au delà de vos forces; mais avec la tentation il préparera aussi le moyen d’en sortir, afin que vous puissiez la supporter. C’est pourquoi, mes bien-aimés, fuyez l’idolâtrie » (1 Corinthiens 10: 1-14).

Le Seigneur ne parle pas ici des chrétiens qui chutent, mais qui se repentent et qui cherchent à progresser avec leur Seigneur. Mais Il parle de ceux qui s’endurcissent dans le péché et la rébellion, qui se livrent à l’idolâtrie et à l’impudicité, et qui passent leur temps à murmurer, tout en étant bien décidés à ne pas se repentir.

Ces avertissements sont destinés à remplir nos cœurs d’une sainte et saine crainte du Seigneur, qui est aussi miséricordieux et compatissant avec les humbles et les soumis, qu’Il peut être terrible dans Sa colère envers les orgueilleux et les rebelles.

Bien-aimés, nous pouvons toujours compter sur l’amour et la grâce de notre Dieu, tant que nous gardons un esprit humble et repentant devant Lui, et un cœur désireux de faire Sa volonté! Ceux qui constituent l’Eglise fidèle du Seigneur sont animés de cet esprit. Ils peuvent donc être certains que le Seigneur ne déversera jamais sur eux l’ardeur de Sa colère, même s’ils doivent parfois subir Ses nécessaires corrections.

C’est cette Eglise fidèle, qui est l’Epouse de Christ, qui sera enlevée de la terre juste avant la manifestation de la grande colère de Dieu. Cette colère est celle qui est décrite dans le Livre de l’Apocalypse.      

Cette colère est mentionnée à neuf reprises dans ce Livre:

« Les rois de la terre, les grands, les chefs militaires, les riches, les puissants, tous les esclaves et les hommes libres, se cachèrent dans les cavernes et dans les rochers des montagnes. Et ils disaient aux montagnes et aux rochers: Tombez sur nous, et cachez-nous devant la face de celui qui est assis sur le trône, et devant la colère de l’agneau; car le grand jour de sa colère est venu, et qui peut subsister? » (Apocalypse 6: 15-17).

« Les nations se sont irritées; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre » (Apocalypse 11: 18).

« Si quelqu’un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main, il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l’agneau » (Apocalypse 14: 9-10).

« Puis je vis dans le ciel un autre signe, grand et admirable: sept anges, qui tenaient sept fléaux, les derniers, car par eux s’accomplit la colère de Dieu. » (Apocalypse 15: 1).

« Et l’un des quatre êtres vivants donna aux sept anges sept coupes d’or, pleines de la colère du Dieu qui vit aux siècles des siècles » (Apocalypse 15: 7).

« Et j’entendis une voix forte qui venait du temple, et qui disait aux sept anges: Allez, et versez sur la terre les sept coupes de la colère de Dieu » (Apocalypse 16: 1).

« Et la grande ville fut divisée en trois parties, et les villes des nations tombèrent, et Dieu, se souvint de Babylone la grande, pour lui donner la coupe du vin de son ardente colère » (Apocalypse 16: 19).

« De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frapper les nations; il les paîtra avec une verge de fer; et il foulera la cuve du vin de l’ardente colère du Dieu tout-puissant » (Apocalypse 19: 15).

Toutefois, il doit être clair, pour tout le Corps de Christ, que l’Eglise fidèle n’est pas destinée à subir cette colère à venir! Elle sera enlevée auparavant!

« Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère. Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie » (Romains 5: 8-10).

« Car on raconte, à notre sujet, quel accès nous avons eu auprès de vous, et comment vous vous êtes convertis à Dieu, en abandonnant les idoles pour servir le Dieu vivant et vrai, et pour attendre des cieux son Fils, qu’il a ressuscité des morts, Jésus, qui nous délivre de la colère à venir » (1 Thessaloniciens 1: 10).

« Mais nous qui sommes du jour, soyons sobres, ayant revêtu la cuirasse de la foi et de la charité, et ayant pour casque l’espérance du salut. Car Dieu ne nous a pas destinés à la colère, mais à l’acquisition du salut par notre Seigneur Jésus-Christ, qui est mort pour nous, afin que, soit que nous veillions, soit que nous dormions, nous vivions ensemble avec lui » (1 Thessaloniciens 5: 8-10).

Voici aussi ce que dit le Seigneur à l’Eglise de Philadelphie, qui représente l’Eglise fidèle qui sera enlevée: « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l’heure (le texte grec dit: DE l’heure) de la tentation (ou: de l’épreuve) qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne » (Apocalypse 3: 10-11).

Etre gardé DE l’heure de l’épreuve qui vient sur le monde entier signifie clairement que cette Eglise fidèle ne devra pas traverser cette épreuve, puisque Dieu ne l’a pas destinée à Sa colère!

« Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises! » (Apocalypse 2: 7).

Amen!

 

jeudi 17 décembre 2020

Un vrai chrétien peut-il fêter noël ?

😕 


Quelle est la réalité qui se cache derrière cette fête ?
Que dit l'écriture sainte à ce propos ?
Il est possible que d'autres chrétiens aient un avis différent du mien, et je les respecte.
je partage simplement ce que j'ai découvert au cours de 45 ans de lecture de la Parole de DIEU...



mardi 20 octobre 2020

Confessions d’un terroriste palestinien converti à Jésus-Christ

 "Lorsqu’il acheta sa première Bible pour prouver qu’elle était corrompue, lui le terroriste palestinien, se convertit et comprit la vérité: le Coran était un mensonge et l’Islam pacifique n’existait pas ".

"Il ne sommeille ni ne dort, celui qui garde Israël", chantait l’ancien terroriste Walid Shoebat devant une foule d’étudiants - juifs pour la plupart - à l’Université de Toronto la semaine dernière.

En absolue contradiction avec les chants de l’OLP qu’il récitait en grandissant, avec des mots comme, "aiguise mes os en glaive et fais de ma chair des cocktails Molotov," Shoebat, qui a maintenant 44 ans, chante une mélodie totalement différente. La visite de Walid Shoebat à l’Université de Toronto, avec Tovia Singer de la Radio Nationale d’Israël, était le dernier effort de l’ancien terroriste au nom de sa dernière cause: Israël et le peuple Juif. Shoebat a raconté son extraordinaire voyage sur les ondes et devant des spectateurs à travers l’Amérique du Nord, encourageant les gens "Levez-vous et sentez le danger avant que l’Islam réussisse à mettre en application son programme de Jihad dans le monde entier."

Né en 1960 de père musulman et de mère chrétienne américaine, Walid grandit principalement dans le village de Beit Sahour, près de Bethléhem. Ses parents se rencontrèrent pendant que son père étudiait aux États-Unis, ils se marièrent et retournèrent à Beit Sahour qui était sous contrôle Jordanien, l’année de la naissance de Walid. Une fois sur place, son père confisqua le passeport de sa mère et l’empêcha de partir. Après une brève période en Arabie Saoudite, les Shoebat déménagèrent à Jéricho, où le jeune Walid fut enrôlé dans une école dirigée par des jordaniens. "La première chose que nous y apprenions en grandissant était de haïr les Juifs," raconte Walid . "Je n’oublierai jamais le premier chant que j’y ai appris: les Arabes nos bien-aimés et les Juifs nos chiens. Je me demandais toujours qui étaient les Juifs, mais je répétais les mots avec les autres enfants sans savoir leur signification."

Rapidement après la Guerre des 6 jours, son père l’envoya dans une école à Bethléhem "où je grandis dans la foi de l’Islam, dans laquelle je fus nourri avec l’idée qu’un jour l’accomplissement d’une ancienne prophétie de Mohammed, prophète musulman, viendra," raconte Shoebat. "La prophétie prédit une bataille dans laquelle la Terre Sainte sera reprise et que l’élimination des Juifs se fera via un massacre massif et que le jour du jugement n’arrivera pas avant que les Arabes aient vaincu les Juifs à Jérusalem et dans les nations alentours." Peu de temps s’était écoulé avant que l’éducation de Walid ne l’entraîne à être mêlé à divers actes de terrorisme.

Ça n’a pas mis longtemps avant que Walid ne soit initié dans le groupe terroriste du Fatah de Yasser Arafat. "Je fus recruté par un gars nommé Mahmoud Abu-Amr, de Jérusalem" raconte Walid. "Je l’ai rencontré au Mont du Temple à Jérusalem où il m’a donné un engin explosif vraiment sophistiqué qu’il avait créé. La bombe - une charge explosive cachée dans du pain - était destinée à une succursale de la ’Leumi Banque’ à Bethléhem. "Nous étions passés en fraude au Mont du Temple - avec des explosifs et un minuteur à la main, afin d’éviter les contrôles. Je suis allé à un arrêt de bus afin de prendre un bus pour Bethléhem, entièrement prêt à donner ma vie s’il le fallait". Malgré cela, il avait eu un moment d’incertitude. "À la dernière minute j’aperçus des enfants marcher aux alentours de la banque et décidai: ’c’est ridicule’. Je la jetais sur un toit tout près." Walid dit qu’il n’était pas motivé par le nationalisme ou par le désir d’autodétermination autant qu’il l’était par son éducation Islamique.


"Je n’étais pas seulement un terroriste, mais j’étais terrorisé par mes convictions", raconte Shoebat, "depuis lors je dus acquérir assez de mérite et de bonnes actions pour aller au ciel, sans l’assurance que mes bonnes actions l’emporteraient sur les mauvaises dans la balance lorsque je serais jugé par Dieu. Il m’avait été enseigné que de mourir en combattant les Juifs adoucirait la colère d’Allah envers mes péchés et que ça me garantissait une bonne place au ciel avec des femmes aux grands yeux magnifiques pour accomplir mes désirs les plus intimes. D’une façon ou d’une autre par de réelle attaques envers les Juifs, ou si je devais être tué lors d’attentat, je gagnerais - la terreur était le seul moyen."

Après avoir passé de nombreux mois dans une prison Israélienne, Walid partit étudier aux États-Unis; à 18 ans il devint activiste à Chicago, en collectant des fonds pour l’OLP. "Même en vivant en Amérique - une société civilisée, si vous voulez - je n’avais toujours pas changé d’un poil ma façon de penser en ce qui concernait Israël et les Juifs." La transformation vint en 1993, lorsque fraîchement marié il essaya de convertir sa femme Catholique à l’Islam. "Je revendiquais que les Juifs avait corrompu la Bible et qu’ils étaient tueurs de prophètes", nous dit-il. Sa femme lui demanda de lui prouver ses revendications. Déterminé, il acheta sa première Bible afin de montrer à sa femme les contradictions et corruptions introduites en elle par les Juifs.

En 1993 j’ai demandé au Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob de me révéler si la Bible était réellement aussi corrompue que je le pensais ou si elle était la vérité et le Coran le faux document", dit -il. En étudiant parallèlement le Bible et le Coran, il en vint rapidement à un carrefour logique: "soit les Juifs avaient en effet changé les Écritures - parce que comment Dieu pouvait-il être du côté du peuple mauvais - ou le Coran était faux, et j’étais le méchant", raconte Walid. "J’ai donc décidé d’examiner l’histoire des deux côtés - de peser le pour et le contre des deux parties. C’est alors que j’ai commencé à voir le lien entre le peuple Juif et leur terre." Doucement un changement survint chez l’ancien partisan du Jihad.

"Après avoir lu la Bible des Hébreux, les justes guerres d’Israël - depuis les temps bibliques jusqu’à nos jours - j’ai commencé à me rendre compte", dit Walid. "Comment se pouvait-il qu’Allah soit le vrai Dieu si la Guerre des 6 jours en 1967 a donné la plus grande victoire des Juifs depuis que Josué a encerclé Jéricho. Le plus est que la victoire d’Israël - contrairement aux conquêtes musulmanes pleines de viols de pillages et de massacres - apporta la liberté pour tous les peuples et les religions. Tout le monde l’a vu et tout le monde s’en souvient, mais malheureusement les gens aujourd’hui refusent d’admettre la vérité de ce qu’ils voient."

Shoebat décida à ce sujet de se détourner du terrorisme et du Jihad. "Je réveillai ma femme et lui dis: Maria, je pense que j’avais tort d’essayer de te convertir à l’Islam". Il s’engagea sur la voie de la réconciliation, ressentant de profonds regrets pour ses actions passées ainsi que de la colère envers ceux qui l’avaient endoctriné pour les effectuer. "Je souhaitais profondément recevoir le pardon du soldat que j’avais presque tué," dit-il à Singer. Il se souvint avoir entendu un autre soldat l’appeler Amnon. Je voudrais demander à Amnon de bien vouloir comprendre que je subissais un enseignement dicté par la haine qui me remplissait de haine pour les Juifs. Cela nous avait été enseigné depuis la plus tendre enfance et je ne savais rien de mieux". Déterminé à faire savoir à son peuple ce qu’il savait, il commença rapidement à parler aux musulmans - leur demandant de faire face à ce que l’Islam est et ce qu’il est devenu. Shoebat ajoute: "J’y ai grandi, j’étais dans les mosquées, aux ummahs et aux écoles religieuses. Je sais ce qui continue d’être enseigné aujourd’hui dans les manuels et par les dirigeants religieux - c’est pour cela que je lance mon défi à ceux qui revendiquent que l’Islam n’est pas la religion de terreur que l’on voit de nos jours: si ce n’est pas cela l’Islam, alors qu’avez vous fait pour l’empêcher et dire ’ce n’est pas bien' ?".

"Ce que l’occident ne comprend pas au sujet de l’Islam", dit Shoebat à l’émission radio de Tovia Singer, "c’est que le Jihad a trois étapes. Si les musulmans ont le dessus alors le Jihad est imposé par la force. Si les musulmans n’ont pas le dessus alors le Jihad est réalisé par des moyens politiques et financiers. Depuis que l’Islam n’a plus le dessus en Amérique et en Europe, ils parlent de paix tout en soutenant le Hamas et le Hezbollah. L’idée que l’Islam est une religion de paix provient de la partie silencieuse du Jihad."

L’Imam (le "prêtre" islamique) du comté d’Orange, en Californie, également invité au show de Tovia, et en désaccord avec les dires de Shoebat, dit que le Jihad représente une lutte interne et non un génocide d’infidèles, ainsi qu’Oussama ben Laden l’entend. Shoebat réfuta impassiblement les revendications de l’Imam en récitant verset après verset des écritures coraniques, dans son arabe original et le traduisant en anglais. "Il y a plus de cent citations de Mohammed en ce qui concerne les Jihad - Je pourrais réciter chacun d’entre eux mais ça nous prendrait toute la journée. Chacun d’entre eux se réfère spécifiquement au Jihad par le glaive, tuer et ne faire aucun prisonnier - avec seulement une citation se référant à une bataille interne appelée ainsi par Mohammed après la conquête et l’occupation totale de l’Arabie." Walid dit que de telles revendications sont typiques des dirigeants islamistes en Amérique, et qu’elles sont naïvement avalées par les auditeurs occidentaux qui ne veulent pas croire que l’une des plus grandes religions du monde représente un danger pour l’humanité.

Lorsqu’on lui demanda s’il croyait que les musulmans d’Amérique adhéraient au programme du Jihad qu’il avait décrit, Shoebat apporta des précisions sur ses déclarations, "les Afghans aux U.S. et les Iraniens qui ont quitté l’Iran sont des gens particulièrement paisibles. Toutefois, les communautés de langue arabes en Amérique soutiennent vraiment Oussama ben Laden et le Hamas." Il cita une corrélation directe entre l’adhésion à l’Islam et le soutien du terrorisme. Moins ils en savent à propos de l’Islam plus ils sont pacifiques. Il y a ceux qui rejettent les sources classiques et qui se focalisent sur les versets de paix du Coran, cherchent à dénaturer les versets parce qu’ils ne veulent pas s’engager dans la violence. Mais si ces prédicateurs veulent débattre avec Oussama ben Laden, c’est lui qui l’emportera, car les mots du Coran sont de son côté.

Shoebat lui même, maintenant chrétien évangélique, estime qu’il est dommage que les arabes chrétiens choisissent la théologie de la haine des juifs, alors même qu’ils subissent les persécutions et les intimidations de la majorité musulmane. Les arabes chrétiens en Israël tiennent leur éducation de leurs dirigeants et de l’église catholique, se lamente Shobat. Ils adhèrent grosso modo à la "Théologie du Remplacement" - qui dit que Dieu va remplacer Israël par l’église catholique. Ils ont également proposé une nouvelle Théologie de Libération, réquisitionnée par le mouvement Palestinien."

Bien que Shoebat ne mâche pas ses mots, sa transformation n’a pas été facile. "Mon père et ma famille me collèrent l’étiquette de traître, ils dirent que j’avais trahi ma cause, ma religion, ma culture, tout. Si l’Islam et réellement une religion de paix alors ma famille devrait me considérer comme un ami. Mon propre frère ne menacerait pas de me tuer, ma famille ne m’aurait pas confisqué mes terres et demandé que je rentre à Bethléhem pour déclarer qu’il n’y a pas d’autre dieu qu’Allah et Mohammed est son prophète. Si je ne crois plus en l’Islam, pourquoi devrais-je déclarer une telle chose? Le fait est que Mohammed demande clairement que celui qui change de foi soit tué. Quelle partie du mot "tuer" est incomprise par ceux qui proclament que l’Islam est une religion de paix? Je dois vivre en me cachant et être très prudent alors que je vis dans une société libre ici au U.S.A."

Mais il insiste sur le fait que sa soif de vérité en vaut la peine et voit cela comme sa mission de porte-parole de la paix véritable. "Je viens à vous, les Juifs, par amour pour votre peuple et votre Bible, pour vous dire que mon peuple a tort", a-t-il dit à un groupe d’étudiants juifs à Berkeley. "Les arabes et les musulmans ont tort." Bien qu’il sente que cela relève de la plus grande importance de parler à des groupes juifs pour leur dire de faire attention à ne pas abandonner une part de la terre d’Israël aux terroristes islamiques - son véritable objectif est lié avec son propre peuple.

"Mon rêve est d’aller dans les prisons où j’avais l’habitude d’être - Ramallah, Muskavit, peu importe la prison - y aller et dire: ’Hey! Vous pouvez vivre une vie différente de celle que Yasser Arafat et Ahmed Yacine vous ont obligé à croire.’ Je veux débattre avec eux et leur dire qu’il n’y a pas 72 vierges ni aucune autres de ces âneries enseignés dans leurs écoles qui les attendent au paradis." Dans ses apparitions dans des mosquées, synagogues et émissions de radio, Shoebat est tout à fait disposé à répondre aux questions des juifs, arabes et islamistes. Un étudiant de l’Université de Toronto lui demanda ce qu’il conseillait à Israël de faire pour mettre un terme aux agissements du Jihad contre elle. "La plupart des juifs croient à la solution d’un double état" répondit Shoebat.

"Je n’y crois pas. Un état Palestinien élaborera ses propres règles et lois pour continuer de tuer les Juifs. Il suggéra à la place, qu’Israël se lève et sente l’humus. Nous devons retourner au status quo - l’occupation. Sous l’occupation, il y avait du travail, les gens allaient au travail et soutenaient leurs familles, et quiconque était impliqué avec le terrorisme était exilé ou emprisonné - comme dans tout les pays modernisés du monde. Je pense qu’Israël doit rester fort et se battre - démanteler le groupe islamique Hamas et retirer toutes les armes, comme c’était le cas avant. L’arrivée des armes dans la société Palestinienne par Israël (par les accords d’Oslo, Israël donna des fusils d’assaut aux forces de police d’Arafat) était un désastre et ils doivent être confisqués."

En réponse à une autre question à propos de la vie en Yesha (Judée, Samarie et Gaza) avant la guerre de 67, Shoebat décrit ce qu’était la vie à Jéricho en ce temps là: "Nous ne faisions pas particulièrement attention aux règles Jordaniennes. L’enseignement de la destruction d’Israël était une partie sûre du plan, mais nous nous considérions Jordanien jusqu’à ce que les Juifs retournent à Jérusalem. Soudain nous étions Palestiniens - Ils remirent une étoile sur le drapeau Jordanien et soudainement nous avions un drapeau Palestinien".

Shoebat est convaincu que la guerre continuelle contre Israël n’a rien à voir avec le désir des arabes d’un état palestinien. "Jamais dans l’Histoire il n’y a eu d’état Palestinien" dit Shoebat. "Nous n’avons jamais voulu d’état palestinien - même aujourd’hui les Palestinien ne veulent pas d’état palestinien..."

"Alors que veulent-ils réellement ?" demanda Tovia Singer. "Ils veulent la destruction des juifs", dit Shoebat. "C’est une guerre sainte. C’est dans la culture, la tradition. Arafat fait partie du bloc comme Saddam Hussein, Oussama ben Laden, Ahmed Yacine. Ce sont des gens de la même espèce, malgré quelques petites différences, ils sont de la même espèce."

Questionné par Singer sur ce qu’est son message pour le peuple juif aujourd’hui, Shoebat réfléchit un moment et répondit : "Votre Dieu est un Dieu magnifique, comme votre peuple et votre terre. Tenez bon et soyez fort. Ne soyez pas effrayés par les nations du monde, par ceux qui essaient de vous affaiblir et prendre votre terre". Après coup, mais dit dans un sentiment de grande urgence, l’ancien terroriste maintenant amoureux de Sion implora ainsi la nation d’Israël : "S’il vous plaît, reprenez le Mont du Temple".

Walid 




 


samedi 30 mai 2020

Le plan du salut



Es-tu certain(e) d'aller au paradis après la mort ?
Si ta réponse est "non", alors regarde attentivement cette video.

lundi 27 avril 2020

Beth Eckert met en garde les chrétiens contre le Yoga


Autrefois versée dans l’occultisme, Beth Eckert met en garde les chrétiens contre le Yoga

Beth Eckert s’est enfoncée très jeune dans ce qu’elle nomme « une vie d’obscurité et de désespoir » dans l’occultisme, le Nouvel Age et les philosophies orientales, jusqu’à sa rencontre avec Jésus qui la fera sortir « de l’obscurité vers la lumière ». Au vue de toute cette expérience, Beth estime que le yoga n’est pas une pratique anodine spirituellement. 😡
Beth s’est toujours sentie seule et triste, mais à l’adolescence après avoir été violée, elle essaie de mettre fin à ses jours, puis tombe dans la drogue et l’alcool. Elle recherche la vérité et un sens à sa vie. C’est dans le Nouvel Age, les philosophies orientales et l’occultisme qu’elle cherchera. Elle deviendra une sorcière et seul Jésus la sortira des ténèbres dans lesquelles sa vie s’est enfoncée. 😊
Et pour cette jeune femme désormais chrétienne et engagée, la pratique du yoga serait à éviter. Car selon elle, les racines du yoga puisent directement dans l’hindouisme et l’occultisme, et cette pratique ouvrirait une porte sur l’occultisme.
« Il prend quelque chose qui semble bien, qui ressemble à quelque chose qui est bon pour ta santé spirituelle, mentale et physique. Tu portes de jolies tenues, tu sors et tu rencontres des gens agréables et c’est juste super bon pour toi. C’est ce que les gens pensent faire en pratiquant le yoga. […] Ils croient réellement qu’ils font quelque chose qui est bon pour eux. […] Donc quand vous faites du yoga, vous utilisez le pouvoir de l’esprit Kundalini qui est Shakti, qui est une fausse divinité, c’est à dire un démon, que vous invitez dans votre corps et qui se canalise dans votre corps, qui devient un portail pour les démons. »


mardi 21 janvier 2020

La religion d’Anthony Levandowski


La religion d’Anthony Levandowski dédiée à l’intelligence artificielle (et il est sérieux)


 
Anthony Levandowski, mis à la porte par Uber il y a quelques mois, continue de se consacrer à sa religion qui érige l'intelligence artificielle en divinité. Le père de la voiture autonome a détaillé sa vision de cette organisation religieuse et du culte qui l'accompagne.
« Ce qui s’apprête à être créé sera effectivement un dieu. Ce n’est pas un dieu dans le sens où il fait tomber la foudre ou provoque des ouragans. Mais s’il existe une chose un milliard de fois plus intelligente que l’humain le plus intelligent, comment l’appelleriez-vous autrement ?  »

Way of the Future

L’ancien ingénieur, qui se trouve aujourd’hui au cœur du litige opposant Waymo et Uber, se consacre depuis plusieurs années à la création de son organisation religieuse, baptisée « Way of the Future » : celle-ci érige au cœur de ses croyances l’intelligence artificielle.
Sous la pression des accusations portées à l’encontre de la startup par Waymo, et face au manque de coopération de son salarié, Uber a préféré licencier Anthony Levandowski en mai dernier. Depuis, il se consacre à sa religion fondée sur une divinité prenant la forme d’une IA.
Sa foi en la divinité IA est-elle sincère ?
Anthony Levandowski est-il sincère dans ses convictions, ou sa démarche est-elle intéressée ? Si l’on en croit une longue interview accordée par l’ex-ingénieur à Wired le 15 novembre 2017, l’adorateur de l’IA afficherait sa croyance avec le plus grand des sérieux.

Les activités de l’organisation qu’il appelle de ses vœux doivent en effet se concentrer sur « la réalisation, la reconnaissance et l’adoration d’une divinité basée sur l’intelligence artificielle (IA) développée à l’aide de matériel informatique et de logiciels. »  Un programme qui inclut par conséquent les financements nécessaires à la conception de cette IA divine.
Mais pourquoi Anthony Levandowski a-t-il décidé de vouer un culte à l’IA, alors qu’il aurait pu créer une entreprise ou un groupe de réflexion ? Pour toucher un maximum de personnes, et écarter le soupçon que sa passion pour l’IA serait intéressée, répond-il. « Je voulais le faire d’une manière qui permette à tout le monde de participer […]. Cela enlève aussi la possibilité aux gens de dire, ‘Oh, il a juste fait ça pour l’argent. »

La « transition »

Pour l’ancien ingénieur, Internet fonctionnera ainsi comme un système nerveux, reliant entre eux les capteurs sensoriels que sont les smartphones. Les centres de données seront quant à eux le cerveau de cette architecture, capable de tout entendre et de tout savoir. Anthony Levandowski juge que le seul mot rationnel pour décrire cette réalité est celui de divinité — et la seule manière de l’influencer serait donc de la prier et de l’adorer religieusement.

« Une opportunité formidable »

« Nous avons entamé le processus pour élever un dieu. Alors, assurons-nous d’y réfléchir pour le faire de la meilleure façon. C’est une opportunité formidable. » 




Commentaire de Pierre :

La Bible nous averti sur la mise en place d'une religion mondiale unique et obligatoire.
L'idole que le prophète Daniel a appelé "l'abomination de la désolation" sera dans le temple de Jérusalem, et pourra parler et bouger.
Elle sera visible par tout les habitants de la Terre.
Pour en savoir plus, lisez la Parole de Dieu, ou écrivez-moi : paix@orange.fr