Le but de ce blog est de faire comprendre aux visiteurs que les religions et les sectes viennent des hommes, et sont donc impuissantes pour nous sauver. Ce dont nous avons besoin, c'est d'une relation personnelle avec Dieu, le Créateur, Celui qui s'est fait homme en Jésus Christ, et a inspiré la Bible. Ps : Pour lire les autres articles, descendez sous l'article, cliquez sur l'année, le mois, puis le titre.
jeudi 15 août 2024
Les doctrines catholiques et la Bible
mardi 19 mars 2024
lundi 13 novembre 2023
La doctrine catholique
mardi 20 juin 2023
Les fausses doctrines catholiques !
dimanche 31 juillet 2022
Pie 12 et les juifs
1943: Pie XII n’a pas levé le petit doigt pour protester
Consterné par les excuses continues apportées au pape Pie XII, l’historien
David Kertzer révèle ce qu’il a découvert de la position du Vatican sur le
génocide juif.
Le pape Pie XII, loin d’être « neutre » pendant la Shoah, dit un
lauréat du Pulitzer
Quand, en 1943, 1 260 Juifs italiens ont été
rassemblés par les nazis à portée de voix de la Cité du Vatican à Rome, le pape
Pie XII n’a pas levé le petit doigt pour protester.
Le pape était pourtant bien informé du sort probable
des Juifs italiens qui avaient été regroupés dans la cour d’un collège
militaire depuis deux jours. Selon l’historien et lauréat du prix Pulitzer,
David Kertzer, Pie XII avait, depuis l’automne 1942, reçu des informations
détaillées sur le génocide de la communauté juive européenne.
« Je m’étonne
que, de tout ce qui a été écrit sur l’action du Vatican et du pape pour sauver
les Juifs, si peu aient noté que cette action concernait surtout des
catholiques qui étaient soit des convertis issus du judaïsme, soit des enfants
de Juifs », a déclaré cette semaine au Times of
Israel Kertzer, auteur de Le pape en guerre : l’histoire secrète de Pie
XII, Mussolini et Hitler.
Pendant des décennies, Kertzer s’est plongé dans les
archives, notamment italiennes, pour reconstituer l’activité du Vatican pendant
la Seconde Guerre mondiale. Dans un livre récompensé paru en 2014, Le pape et
Mussolini, Kertzer décrivait de quelle manière le fascisme italien et le
Vatican s’étaient mutuellement renforcés dans l’entre-deux-guerres.
Hitler et les catholiques
« Les archives du Vatican récemment ouvertes
concernant toutes ces années montrent très clairement l’objectif que le Vatican
avait et qui était celui de venir en aide aux catholiques traités comme des
Juifs par les fascistes ou les nazis », a expliqué Kertzer au Times of
Israel.
Selon Kertzer, le Vatican peut faire plus qu’ouvrir
ses archives, même les plus sensibles – les « dossiers personnels » sont
toujours interdits aux historiens.
« Alors que l’Église catholique romaine a, dans
d’autres pays, dont la France et l’Allemagne, reconnu sa responsabilité dans la
diabolisation des Juifs, sur laquelle la Shoah a fait son lit – et, dans le cas
de l’Allemagne, dans le soutien à la guerre – ni le Vatican ni l’Église en
Italie n’ont reconnu leur part de responsabilité », a déclaré Kertzer, maintenant âgé de 74 ans.
« Le Vatican, en particulier, n’a jamais reconnu le
rôle que la hiérarchie de l’Église italienne avait joué pour convaincre les
Italiens qu’il était de leur devoir, en tant que bons catholiques, de prendre
part à la guerre de l’Axe », a déclaré Kertzer,
auteur de nombreux livres et essais sur l’histoire italienne.
Le pape en guerre ne contient pas une seule « preuve
irréfutable » concernant la position du pape sur la Shoah. Cependant, a déclaré
Kertzer, plusieurs documents découverts depuis 2020 brossent un tableau plus
clair pour les historiens des facteurs à l’origine de la position du pape sur
le massacre systématique des Juifs d’Europe.
Des éléments d’archives révélés dans le livre assurent
que le pape s’est secrètement entretenu avec Hitler, par l’intermédiaire d’un
prince allemand, intime du dictateur. Une autre découverte faite au beau milieu
de plusieurs milliers de documents publiés par le Vatican concerne le principal
conseiller du pape sur les affaires juives, qui aurait exhorté le souverain
pontife à ne pas protester contre l’ordre de Mussolini d’envoyer la plupart des
Juifs d’Italie dans des camps de concentration.
« J’aimerais croire que les apologistes de Pie XII
vont changer d’avis en lisant mon livre, en prenant connaissance des preuves
historiques, mais j’ai bien peu d’espoir », a
regretté Kertzer, ancien recteur de l’Université Brown. « En effet, je
crains qu’ils ne soient pas très nombreux à me lire avant de m’attaquer », a-t-il
précisé.
Pendant des décennies, les apologistes de Pie XII ont
affirmé que le souverain pontife aurait fait plus de mal que de bien en
dénonçant les nazis pour le massacre des Juifs. Après l’invasion de la Pologne
par l’Allemagne, Pie XII avait été informé des génocides de Varsovie et de
Lvov, mais il avait gardé le silence.
« J’ai du mal à comprendre en quoi le fait, pour le
pape, de réprouver les exactions commises par les nazis à l’encontre des Juifs
d’Europe aurait fait redoubler la colère d’Hitler contre les Juifs d’Europe –
principale justification des apologistes », a
déclaré Kertzer, fils de rabbin.
« Dans quel monde vivent de tels apologistes ? Dans un
pays où Hitler n’était pas déterminé à débarrasser l’Europe de tous ses Juifs ?
Ce qu’ils n’admettent pas, c’est à quel point les Allemands et les Italiens ont
régulièrement utilisé la diffamation des Juifs, prônée par l’Eglise, pour
justifier leurs propres campagnes anti-juives, et l’incapacité du pape à
condamner cela », a assuré Kertzer.
Dans Le pape en guerre, Kertzer établit que
l’antisémitisme n’était pas le trait de caractère dominant de Pie XII. Au
contraire, a déclaré Kertzer, le souverain pontife en temps de guerre avait
surtout à cœur de conserver le pouvoir de l’Église.
Pie XII craignait profondément le communisme, qu’il
considérait comme une déchristianisation, a ajouté Kertzer. Croyant qu’il avait
une mission personnelle pour vaincre le communisme, Pie XII avait préféré se
concilier les bonnes grâces de Mussolini et d’Hitler.
La personnalité de Pie XII s’était révélée «
déterminante » dans ce sens, écrivait Kertzer. Dans des milliers de rapports
d’ambassadeurs, de lettres envoyées par Pie XII et d’autres documents, le
souverain pontife aura constamment fait preuve de « prudence » en «
défendant les prérogatives de l’Église et en limitant au maximum le risque de
représailles », a déclaré Kertzer.
Quand il était devenu évident que l’Axe perdrait la
guerre, Pie XII avait fait du Vatican une entité de rétablissement de la paix.
Cependant, après la fin de la guerre, Pie XII avait refusé d’aider à localiser
les orphelins disparus de la Shoah, dont la plupart auront grandi dans la
religion catholique et ne seront jamais revenus au judaïsme.
Des hommes, des femmes et des soldats se rassemblent autour du pape Pie
XII, les bras tendus, le 15 octobre 1943, lors de sa tournée d’inspection de
Rome, en Italie, après un raid aérien américain du 13 août durant la Seconde Guerre
mondiale.
« Bien qu’au
cours des nombreuses années où j’ai pu aborder ces questions, j’ai été invité
par un grand nombre de synagogues et d’organisations culturelles juives à
parler de cette histoire, je ne me souviens pas d’avoir jamais été invité par
une église ou une organisation culturelle catholique », a conclu Kertzer.
MATT LEBOVIC fr.timesofisrael.com
Commentaire du webmestre
Tout cela n'a évidement rien à voir avec la véritable église de Jésus Christ où il n'y a ni pape, ni vatican.
Pour en savoir plus sur nous, écrivez-moi : paix@orange.fr
lundi 16 mai 2022
Persécution des chrétiens du Mexique par les catholiques
Mexique: «Nous voulons voir si votre dieu peut vous sauver!»
Leopoldo et Silvia sont un couple pastoral originaire de San Juan Ozotepec. Dans cette petite ville catholique du Mexique,
ils ont été violemment persécutés en tant que chrétiens.
Leopoldo, Silvia et leurs enfants.
En tant que responsables, le pasteur Leopoldo et sa famille sont devenus la cible principale de la communauté.
Les autorités locales leur ont coupé l'eau et l'électricité. Elles ont interdit aux enfants du couple d'accéder à l'école.
Et la clinique de la ville leur a aussi été interdite. Mais la famille est restée fermement attachée à Jésus. Leopoldo se souvient:
«La seule chose que nous pouvions faire était d'attendre que Dieu nous libère et nous protège.»
De l’humiliation à la reconstruction
Un matin, Léopoldo a été traîné de force hors de chez lui et a subi une violente attaque. Par la fenêtre, Silvia a été témoin de la destruction du bâtiment de l'église évangélique, tandis que les gens disaient que sa maison serait la prochaine cible.
Impuissants, le couple pouvait seulement prier.
Léopoldo et sa famille ont dû être exfiltrés, laissant tout derrière eux.
Cet épisode les a beaucoup affecté. L’un des partenaires de Portes Ouvertes a soutenu la famille, par une aide financière et un atelier sur les traumatismes.
Petite video sur la persécution dans le monde
mardi 12 avril 2022
La fin des temps sera-t-elle caractérisée par un grand réveil mondial, ou par une grande Apostasie mondiale ?
Que dit la Bible à ce sujet ?
"Je
me retournai pour connaître quelle était la voix qui me parlait. Et, après
m'être retourné, je vis sept chandeliers d'or, et, au milieu des sept
chandeliers, quelqu'un qui ressemblait à un fils d'homme, vêtu d'une longue
robe, et ayant une ceinture d'or sur la poitrine"'' (Apocalypse 1 :12-13).
L'apôtre
Jean voit ici lui apparaître Christ glorifié, revêtu de Ses vêtements de
Souverain Sacrificateur. Il voit le Seigneur marcher au milieu de sept
chandeliers d'or, semblables au chandelier qui se trouvait dans le Lieu Saint
du Temple.
Dans
l'Ancien Testament, le chandelier symbolise Jésus- Christ, en tant que
"Lumière du monde".
Il devait
constamment éclairer le Lieu Saint, où les sacrificateurs effectuaient leur
service. (Voir Jean 1 :7-9, 8 :12, 9 :5, 12 :46 ; Luc 1 :78-79, 2 :32 ; 2 Cor.
4 :6 ; Apocalypse 21 :23-24).
La
responsabilité des sacrificateurs était de veiller à ce que le chandelier soit
constamment allumé. Ils devaient l'alimenter constamment en huile, et tailler
les mèches des lampes, afin qu'elles ne fument pas, mais qu'elles continuent à
briller et à répandre une lumière pure.
Le
chandelier symbolise aussi le Chrétien, car il est aussi appelé "la
lumière du monde" (Matthieu 5 :14-17), notamment après l'ascension du
Seigneur Jésus (Jean 9 :5 ; Philip. 2 :15 ; Luc 12 :35 ; Ephésiens 5 :8-9).
C'est
aussi pour cela que les Chrétiens doivent marcher dans la lumière, c'est-à-dire
dans la Parole de Dieu (1 Jean 1 :7). Par conséquent, le chandelier peut aussi
symboliser l'Eglise tout entière, qui, en tant que représentante de Christ,
apporte la lumière à un monde de ténèbres.
Nous voyons
le même symbole dans Apocalypse 1 :19-20 :
"Ecris donc les choses que tu as vues, et celles qui sont, et celles qui doivent arriver après elles, le mystère des sept étoiles que tu as vues dans ma main droite, et des sept chandeliers d'or. Les sept étoiles sont les anges des sept Eglises, et les sept chandeliers sont les sept Eglises".
Les sept
étoiles sont les sept anges des sept églises. Chaque fois que le mot
"étoile" est employé d'une manière symbolique, il concerne des anges.
Les sept chandeliers sont sept églises, dont Christ est la Tête.
De même
que l'huile permettait aux lampes du chandelier de brûler, ainsi, le
Saint-Esprit illumine toutes les églises. Les sept chandeliers symbolisent sept
églises locales, qui représentent l'ensemble de l'Eglise à toutes les époques.
Car Apocalypse 1 :4 nous montre que ces sept églises existaient déjà
simultanément en Asie à cette époque, au moment où Jean écrivait sa vision.
Elles ne
représentaient pas seulement des églises futures, ni des étapes de l'Histoire
de l'Eglise. Nous pouvons dire que ces sept églises représentent les églises de
toutes les époques, et qu'elles peuvent toutes exister aujourd'hui, comme elles
ont toujours existé tout au long de l'Histoire.
La
dernière église mentionnée est Laodicée. Elle représente plus particulièrement
l'Eglise de la fin des temps. Cela signifie que les églises de ce type seront
très répandues dans la fin des temps, compte tenu de l'Apostasie annoncée.
"Ecris
à l'ange de l'Eglise d'Ephèse : Voici ce que dit celui qui tient les sept
étoiles dans sa main droite, celui qui marche au milieu des sept chandeliers
d'or" (Apocalypse 2 :1).
Le
Seigneur Jésus a toujours été présent au milieu de Ses églises, afin de les
connaître. Jésus les félicite ou les reprend. Il donne un avertissement
particulier à cette église d'Ephèse :
"Souviens-toi
donc d'où tu es tombé, repens-toi, et pratique tes premières œuvres ; sinon, je
viendrai à toi, et j'ôterai ton chandelier de sa place, à moins que tu ne te
repentes" (verset 5).
Le fait
"d'ôter le chandelier" signifie que l'Esprit de Christ se retirera,
et laissera cette église fonctionner toute seule. Elle deviendra une église
semblable à celle de Laodicée. En grec, "Laodicée" signifie :
"le règne des hommes".
Nous
croyons que toutes les églises mentionnées dans l'Apocalypse ont toujours
existé au même moment. Nous pouvons toujours voir, aujourd'hui, l'Eglise fidèle
aux côtés de l'Eglise infidèle.
C'est
cette Eglise infidèle qui prendra le pouvoir dans le monde, et qui deviendra le
centre de la grande Apostasie.
C'est
l'église de Laodicée qui a préparé la voie à cette grande Apostasie.
Elle a
mis Christ à la porte de l'Eglise, et L'a coupé de Son peuple.
Il y a
tellement longtemps qu'elle n'a pas pris position contre le péché, qu'elle n'a
plus guère d'effet sur la société !
Au contraire, elle a permis à toutes sortes d'enseignements contraires à la doctrine de Christ de s'introduire au milieu d'elle.
Aujourd'hui,
le monde considère avec respect cette Eglise et excuse son péché, parce qu'elle
ne contient plus aucun sel, et qu'elle n'est plus capable de convaincre le
monde de péché.
Le monde
se demande avec étonnement pourquoi cette Eglise devrait être jugée,
puisqu'elle n'est plus guère différente du monde qui l'entoure !
Mais le jugement de Dieu commence par Sa Maison ! Le Seigneur Se préoccupe infiniment plus de la situation de Son peuple que de la situation du monde. C'est pour cela que Jésus S'adresse à toutes Ses églises, pour les féliciter, les avertir ou les reprendre.
Le
Seigneur est en train d'ôter Son chandelier des églises apostates.
C'est
pour cela qu'elles ont recours à des méthodes et des techniques du monde et des
hommes, afin de continuer à attirer du monde. Après tout, il faut bien qu'elles
continuent à faire tourner la machine !
L'Eglise
de Laodicée pensait qu'elle était très spirituelle, et que tout allait bien
pour elle. Après tout, elle était riche ! C'était certainement un signe de la
bénédiction de Dieu ! Mais elle était devenue tiède.
Elle
avait recherché l'unité avec tout le monde.
Elle
avait montré de la "TOLÉRANCE" envers toutes sortes d'aberrations
doctrinales, en pensant que c'était une preuve d'amour !
Elle
avait épousé l'esprit de la fin des temps. Elle avait accepté l'influence de
l'esprit du monde, au lieu d'influencer elle-même le monde !
Beaucoup
pensent que l'apostasie concerne simplement les individus qui s'écartent de
l'Eglise. Il est certain que, dans tous les siècles, il y a eu des individus
qui ont commencé leur vie chrétienne dans l'Eglise, puis qui l'ont quittée pour
créer leur propre secte.
Toutefois,
ce n'est qu'un aspect de la vérité. Jésus marche personnellement au milieu des
églises auxquelles Il S'adresse.
Ce sont
des gens qui encouragent l'homosexualité, qui ordonnent comme pasteurs des
hommes qui nient la divinité de Christ, Sa naissance miraculeuse, et toutes les
doctrines fondamentales de la foi.
Puis le
Mouvement du Nouvel Age est apparu, et a commencé à infiltrer l'Eglise, avec sa
théologie du "Royaume maintenant", et son souci de placer
l'expérience subjective au-dessus de la Parole de Dieu.
Par la
suite, le mouvement homosexuel est entré dans l'Eglise, au travers de l'église
Episcopalienne, en même temps que le Mouvement féministe, qui rejette Dieu en
tant que Père.
A
présent, l'apostasie est devenue tellement généralisée qu'elle touche tout ce
qui était considéré comme sacré, et concerne toutes les dénominations, à des
degrés divers.
Les
doctrines chrétiennes sont tordues ou abandonnées.
Des
pasteurs autoritaires ont pris la direction du troupeau.
On tolère
de plus en plus la cupidité, le divorce, et même l'homosexualité.
Les
paraboles de Matthieu 13 décrivent la situation de notre temps présent, et
décrivent la progression de l'apostasie. L'apostasie traduit toujours le fait
de s'éloigner de la vraie foi, celle qui s'enracine dans la Parole de Dieu.
La
parabole du levain (Matthieu 13 :33) décrit une femme qui a mis du levain dans
trois mesures de pâte, jusqu'à ce que "toute la pâte soit levée".
Dans
l'Ecriture, le levain représente toujours le péché et les faux enseignements (1
Cor. 5 :6 ; Galates 5 :9). La femme représente l'Eglise.
Cette
parabole nous parle des erreurs qui ont tout d'abord été introduites par des
faux docteurs dès le temps des apôtres. Ces erreurs ont d'abord été peu
nombreuses. Mais, au cours des siècles, elles sont devenues de plus en plus
nombreuses.
Actuellement,
à la fin des temps, l'erreur a atteint son comble, au point que presque toute
l'Eglise en est infectée. On peut voir dans Apocalypse 17 l'accomplissement
final de cette apostasie.
vendredi 17 décembre 2021
Paganisme ou Parole de DIEU ?
Quelle est la réalité qui se cache derrière cette fête ?
Que dit l'écriture sainte à ce propos ?
Il est possible que d'autres chrétiens aient un avis différent du mien, et je les respecte.
je partage simplement ce que j'ai découvert au cours de 45 ans de lecture de la Parole de DIEU...
vendredi 3 juillet 2020
L’église catholique d’Allemagne dans l’appareil de guerre
1939-1945: L’église catholique
d’Allemagne fait partie des soutiens de guerre
Dans un nouveau rapport à l’occasion du 75ème anniversaire de la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la conférence allemande des évêques catholiques a fini par admettre la complicité de l’Eglise dans les actions du régime nazi au cours de la Seconde Guerre Mondiale. Il nous suffit juste de citer quelques lignes de son texte pour comprendre ce que les évêques actuels disent que leurs prédécesseurs de la période de la guerre : “L’Eglise catholique en Allemagne faisait partie de l’appareil de guerre. La volonté chaotique de mobiliser les ressources matérielles, personnelles et spirituelles de l’Eglise dans l’effort de guerre est demeurée intacte jusqu’à la fin ».
Aussi : “Autant en septembre 1939 que
par la suite, il n’y a pas eu de protestation publique de la part des évêques
allemands contre la guerre d’extermination nationale socialiste” et “contre les
crimes incroyables, à la fois contre les étrangers discriminés en raison de la
race supposée, aussi bien que d’autres persécutés, en particulier les Juifs,
rarement une voix s’est élevée au sein de l’Eglise allemande“. Il y a eu de nombreuses autres façons
dont l’Eglise a assisté les Nazis. Le rapport les décrit également.
On doit aussi ajouter que l’Eglise
Catholique Allemande percevait les procès d’après-guerre contre les criminels
de guerre Nazis comme des actes de vengeance. Ces criminels extrémistes
étaient, à leurs yeux, des victimes persécutées par la Justice. Le clergé
catholique, y compris celui du Vatican, ont fait partie de ceux qui ont aidé de
milliers de Nazis à s’échapper vers l’Amérique Latine via “La Route des Rats“.
L’actuel Président de la Conférence des
évêques allemands, le Révérend Georg Bätzing, a précisé que ces actes de
reconnaissance dans le rapport, ne sont pas faciles à admettre pour les évêques
: “Nous savons que présider par-dessus l’épaule de nos prédécesseurs en tant
que juges et parties ne nous convient pas. Aucune génération n’est libre des
jugements et préjugés qui sont façonnés par son époque… mais ceux qui
arriveront plus tard doivent pouvoir se confronter à l’histoire dans le but
d’en tirer des leçons“. Dans son introduction au rapport,
Bätzing dévoile ce qui pourrait constituer des - nouvelles choquantes – que de
graves questions quant au comportement des évêques allemands au cours de la
Seconde Guerre Mondiale, ne sont soulevées que depuis très récemment.
Pourquoi les évêques ont-ils attendu 75
ans avant de formuler ces aveux? Nous sommes à présent les générations des
évêques d’après. Qu’est-ce qui a rendu si difficile aux évêques de la période
de la guerre d’admettre leurs compromissions? Dans le catholicisme, la
confession faite par l’individu de ses péchés joue un rôle central.
Même dans les relations avec un autre
organisme religieux allemand, les évêques catholiques ont mis une très longue
période avant d’avouer.
Le rapport nous permet d’obtenir un
meilleur point de vue sur un incident scandaleux qui est survenu en mars 2007.
27 évêques catholiques allemands ont fait un pèlerinage en Israël. C’était censé
représenter un symbole de réconciliation entre Juifs et Catholiques. Cependant,
certains évêques l’ont transformée en visite des plus scandaleuses.
Gregor Maria Hanke, évêque d’Eichstätt,
a procédé à une remarque d’inversion caractérisée de la Shoah, suggérant que
les Israéliens agissent comme les Nazis. Il avait alors proféré : “Ce matin,
nous avons vu les photos du ghetto inhumain de Varsovie et, dans la soirée,
nous avons voyagé vers le ghetto de Ramallah”. Plus tard, il a feint de dire
qu’il n’avait aucune intention de faire une telle comparaison.
L’évêque Walter Mixa d’Augsbourg a
décrit la situation à Ramallah comme “une sorte de ghetto” et dit que cela en
était “presque raciste”. Mixa a démissionné de sa position au sien de son
église en 2010, au beau milieu d’un vacarme d’accusations de divers viols et
abus sexuels. Il a, un peu plus tard, été lavé de certains de ces soupçons.
Un autre de ces délégués était le
Cardinal Joachim Meisner, l’archevêque de Cologne, décédé depuis, qui a comparé
la barrière en Judée-Samarie a Mur de Berlin. En d’autres occasions, il a
banalisé la Shoah. D’autres remarques cinglantes publiées comme ayant été
proférées par ces évêques n’ont pu être vérifiées;
Le nouveau rapport met un peu plus en
exergue l’affaire de la délégation épiscopale de 2007. Ces membres auraient mieux
fait de présenter leurs excuses plutôt que de critiquer Israël. La criminalité
catholique contre les Juifs remonte à plus de 1.000 ans avant sa collaboration
avec Hitler. Il y a eu des siècles de persécution, de haine, d’incitation et
parfois aussi de meurtres. L’incitation chrétienne inlassable contre les Juifs
a fournit une partie de l’infrastructure de l’action des Nazis contre eux.
Dans
le même temps, un autre scandale potentiel d’un ampleur encore inconnue est
entrain d’infuser. Le Pape François a récemment décidé d’ouvrir aux chercheurs
toutes les archives du Vatican de la période de la Papauté de Pie XII. Une
semaine après cette survenue, en mars, elles ont à nouveau été fermées, à cause
de la crise du Coronavirus. L’un des chercheurs, le catholique allemand Herbert
Wolf, a déclaré qu’il n’avait aucun doute que le Pape savait tout à propos de
la Shoah.
On se demande jusqu’à quel point la
sécularisation massive en Europe d’après-guerre n’a pas en partie été provoquée
par les manquements des églises au cours de la Seconde Guerre Mondiale. Depuis
lors, l’Eglise Catholique s’est prise une spectaculaire paire de gifles aux
yeux du public, en cachant des abus sexuels massifs commis par les membres de
son clergé. Une étude commanditée par la Conférence des évêques catholiques allemands,
a découvert que 1670 prêtres étaient impliqués dans les abus sexuels pédophiles
den Allemagne, entre 1946 et 2014. Qui, dès lors, peut savoir ce que
révèleront les énormes archives de la période de la guerre au Vatican?
Par Manfred Gerstenfeld
mercredi 27 novembre 2019
L'esprit de Noël !
C'est un esprit de traditions religieuses venant des religions païennes.
- Tout d'abord, en Christ, nous ne sommes plus sous une loi de tradition, mais sous la loi de l'Esprit de vie. Et donc nous n'observons plus les jours ni les fêtes. C'est sur un ton de reproche que Paul dit aux Galates : Vous observez les jours, les mois, les temps et les années! (Galates 4:10).
- D'autre part, nous ne devons pas participez aux œuvres des ténèbres. Demandons au Seigneur qu'Il nous donne le discernement pour comprendre l'origine et l'objectif de la fête de Noël.
- C'est une fête qui a pour origine le père du mensonge, et qui a pour but de nous détourner de Jésus, la Vérité.
Ce n'était pas célébré dans l'église apostolique, pendant au moins les trois premiers siècles de l'histoire de l'église! Il était suffisant, pour les premiers Chrétiens, de savoir que Jésus, leur Seigneur et Sauveur, était né. Ils glorifiaient Dieu parce que Jésus était indéniablement venu en chair et en os. Le jour et l'heure de Sa naissance étaient sans importance pour eux, parce que Jésus n'était plus physiquement sur terre. Il était retourné dans les cieux. Et c'était à Jésus ressuscité et exalté qu'ils s'adressaient, et non pas à un bébé dans une étable. Jésus-Christ n'est plus un bébé. Il n'est plus un "Christ-enfant," mais le Maître exalté de tous. Et il ne revient pas sur la terre en forme de bébé chaque année au temps de Noël !
Comment donc l'Église Catholique Romaine a-t-elle fixé la date du 25 décembre pour la fête de Noël ? En voici la raison: longtemps avant le IV' siècle, et même bien avant l'ère chrétienne, les païens célébraient une fête à cette même époque de l'année, en l'honneur de la naissance du fils de la reine Babylonienne. Cette même fête fut adoptée par l'Église Romaine à l'époque où les religions Babyloniennes mystérieuses furent introduites par l'Empereur Constantin, qui comprenait le rôle essentiel que la religion jouait dans l'ancienne Rome. En donnant le statut officiel au Christianisme, il apporta la paix interne à l'Empire. Il y avait un besoin d'unir le paganisme et le Christianisme, et il a beaucoup contribué à christianiser leurs idoles païennes.
Des hommes vertueux, comme Tertullien vers l'an 230, s'efforcèrent d'arrêter le flot de l'apostasie, mais en dépit de tous leurs efforts, l'apostasie se développa, jusqu'à ce que l'Église, à l'exception d'un petit reste, fut engloutie sous la superstition païenne.
Peut-on établir que la naissance de Jésus a eu lieu vers le 25 décembre ? Il n'y a pas dans la Bible un seul mot sur le jour ou l'époque de la naissance de Jésus. Au contraire, les circonstances entourant sa naissance rapportées dans la Bible montrent que cette naissance ne peut pas avoir eu lieu en hiver ! Lorsque l'ange annonça sa naissance aux bergers de Bethléem, ils paissaient leurs troupeaux pendant la nuit au milieu des champs. Le froid de la nuit, de décembre à février, est très vif en Israël, et les bergers n'avaient pas l'habitude de garder les troupeaux dans les champs après la fin d'octobre. Et si quelqu'un pense que l'hiver n'est pas rigoureux dans ce pays, qu'il se rappelle les paroles de Jésus : "Priez que votre fuite n'arrive pas en hiver. " Or, si l'hiver était une mauvaise saison pour fuir, ce n'était assurément pas une saison où les bergers pouvaient demeurer dans les champs. Il est donc absolument impensable que Christ soit né à la fin de décembre.
Saint Nicolas était, au 4ème siècle, l'évêque Catholique de Myra en Asie Mineure, qui donnait des friandises aux enfants. Il fût canonisé par l'Église Catholique Romaine, considéré comme un ami spécial des enfants et leur protecteur. Le personnage du Père Noël vient de cette tradition. Le costume rouge vient du fait que les évêques et les cardinaux Catholiques en Italie portent le rouge.
La plupart des Chrétiens sont inconscients de ce blasphème.
Le Père Noël est un substitut blasphématoire pour Dieu! Il lui est donné systématiquement des pouvoirs surnaturels et des attributs divins que Dieu seul possède.
On dit qu'il connait tout; il sait quand chaque enfant dort, se réveille, a été méchant ou bon, et sait exactement ce que tous les bons enfants veulent. On le rend aussi omniprésent. Pendant une nuit de l'année, il visite tous les "bons enfants" dans le monde et leur laisse des cadeaux, étant apparemment partout en même temps. On le rend aussi tout puissant; il a le pouvoir de donner à chaque enfant exactement ce que chacun d'eux veut.
De plus, on fait du Père Noël un juge souverain. Il n' a de compte à rendre à personne. Quand il "vient en ville," il vient avec un sac plein de récompenses pour ceux dont la conduite a été acceptable à ses yeux.
Le Père Noël est devenu un des mythes les plus populaires. On accepte bien que Jésus est né, et cette vérité réjouit énormément le cœur de chaque Chrétien, mais le mythe du Père Noël déforme la vérité de la naissance de Jésus en mêlant subtilement la vérité avec le mythe du Père Noël. Quand des parents chrétiens mentent à leurs enfants concernant le Père Noël, ils détournent l'attention des enfants pour les concentrer sur un homme joufflu vêtu d'un costume rouge ayant des qualités ressemblant à celles de Dieu.
Tout ceci porte l'enfant à croire qu'il peut plaire à Dieu avec des "bonnes actions" pour gagner Sa faveur, comme il doit le faire pour le Père Noël. Aussi, ils enseignent que peu importe à quel point l'enfant a été méchant, il sera récompensé quand-même par Dieu, comme le Père Noël ne manque jamais d'apporter des cadeaux. Même dans les demeures de Chrétiens pratiquants, le Père Noël a pris la place de Jésus dans la sensibilité et l'affection des enfants. Il est devenu l'esprit incontesté, le symbole, et l'objet central de Noël.
Examinons les deux listes ci-dessous :
En comparant ces deux listes, on voit que l'esprit de Noël est un esprit usurpateur, qui cherche à usurper la gloire de Jésus.
1 - Le Père Noël a une chevelure blanche et laineuse.
1 - Jésus-Christ a une chevelure blanche comme la laine (Apo. 1:14).
2 - Le Père Noël est barbu.
2 - Jésus-Christ a une barbe (Es. 50:6).
3 - Le Père Noël a un habit rouge.
3 - Jésus-Christ est revêtu de rouge (Apo. 19:13, Es. 63:2).
4 - On ne sait pas à quelle heure le Père Noël va venir.
4 - L'heure de Sa venue reste un mystère (Luc 12:40, Marc 13:33)
5 - Le Père Noël pénètre dans les maisons à la manière d'un voleur, dans la nuit.
5 - Le Seigneur Jésus-Christ va venir comme un voleur dans la nuit (Matt: 24:43-44).
6 - Le Père Noël est un surhomme, car il distribue des jouets à tous les enfants de la terre en une seule nuit.
6 - Le Seigneur Jésus-Christ est tout-puissant (Matt. 28:18, Apo. 19:6).
7 - Le Père Noël sait tout sur nous, car il sait comment on s'est conduit tout au long de l'année ; il sait si on a été gentil ou méchant. Il sait si on dort ou non.
7 - Le Seigneur Jésus-Christ connaît toutes choses (Héb. 4:13, 1 Jean 3:20).
8 - Le Père Noël vit perpétuellement.
8 - Le Seigneur Jésus-Christ est éternel (Jean 8:58, Apo. 1:8 et 21:6).
9 - On apprend aux enfants à demander au Père Noël tout ce dont ils ont envie.
9 - L’Écriture nous prescrit de nous approcher avec assurance du Trône de la Grâce dans tous nos besoins (Héb. 4:16).
10 - Le Père Noël appelle les enfants vers lui.
10 - Le Seigneur Jésus veut que les enfants aillent vers Lui (Marc 10:14).
11 - Le Père Noël représente la paix que le monde donne. Il est l'image de la période des "fêtes de Noël".
11 - Le Seigneur Jésus-Christ est le Prince de la Paix et l'image parfaite de Dieu. (Es. 9:6, Héb.1:3).
Si on réfléchit sérieusement au mythe du "Père Noël" à la lumière de la Bible, on découvre avec consternation une vérité saisissante : ce Père Noël a entièrement remplacé le Seigneur Jésus-Christ dans d'innombrables vies.
Satan tire les ficelles qui actionnent ce monde, séduisant enfants et adultes pour les éloigner de Jésus-Christ et les attirer vers le Père Noël. Ce Père Noël incarne parfaitement l'amour de ce monde et de tout ce qui fait partie du système de ce monde.
C'est évident : cette contrefaçon, dans le Père Noël, des attributs de Jésus-Christ ne peut être le fait du hasard. Le premier chapitre du Livre de Job (versets 6 et 7) nous apprend que Satan parcourt la terre et s'y promène de long en large comme nous le ferions dans un simple jardin. Satan exerce sa domination sur tout ce qui n'est pas livré à Dieu. Il est là comme un habile marionnettiste qui tire les ficelles de ses pantins. Assurément, en ces temps qui sont les derniers, Satan a voulu détourner de Jésus l'amour des enfants, pour l'accaparer à son profit.
Il a aussi communiqué aux enfants l'amour des objets matériels, et cet amour de soi-même qui veut qu'on amasse le plus possible de cadeaux. Le personnage du Père Noël est un moyen efficace pour parvenir à ce but. Avec le "Père Noël", on incite les enfants à s'approcher d'une source polluée pour recevoir des cadeaux. On les encourage à bien se conduire pour un mauvais motif, et on leur inculque l'amour des objets matériels au lieu de leur apprendre à aimer Dieu.
Dès l'âge le plus tendre, les enfants apprennent à s'attacher aux biens matériels, à se faire offrir le plus de cadeaux possible, à s'aimer eux-mêmes par-dessus tout, du fait qu'on les pousse à croire à ce mythe païen du "Père Noël".
Échanger des cadeaux n'est pas chose mauvaise en soi, mais les enfants doivent bien sûr apprendre qu'il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir. De plus, il n'est pas bon d'associer dans l'esprit des enfants la période de Noël à la tradition d'échanger des cadeaux. Nos enfants doivent savoir que nous ne sommes pas du monde.
Et vous devez leur enseigner que le Seigneur Jésus est le Don le plus merveilleux qui ait jamais été accordé dans toute l'histoire de l'univers : Il est le Don de la Vie éternelle !
Si vous comprenez à quel point la figure du Père Noël est une contrefaçon délibérée du Seigneur Jésus-Christ, vous voyez combien il est facile d'entraîner les enfants dans l'égarement spirituel en leur permettant de croire à ce mythe et de participer à des activités qui s'en inspirent. Dites la vérité à vos enfants au sujet de Noël, au sujet du Père Noël, et veillez à ce que le Seigneur Jésus soit le centre de toutes choses pour vos enfants.
Anonyme
mardi 16 juillet 2019
Le catholicisme est en déclin !
Selon la dernière enquête internationale European Values Study, la France se déchristianise : le nombre de catholiques pratiquants ne cesse de diminuer. En 2018, 32 % des Français se déclarent catholiques, dont 17 % non pratiquants. Chez les 18-29 ans, moins de 3 % reconnaissent être pratiquants. Parmi les autres communautés religieuses, la plus forte minorité est l’islam.
Commentaire de Pierre :
Ce qui me réjouit c'est que des cathos ainsi que des musulmans se repentent et découvrent la Vérité biblique.
Jésus Christ est le seul SAUVEUR, il n'y en a pas d'autre !
samedi 4 mai 2019
Leur-dame brûle !
La France entière est sous le choc après la dégradation de ce bâtiment qu’on croyait éternel. Les croyants comme les incroyants déplorent la destruction de la cathédrale, symbole de la gloire de la France. C’était le monument le plus visité d’Europe. A travers cette catastrophe matérielle qui touche au cœur de la France, à la veille de la fête de pâques, nous pressentons que le ciel nous adresse un message.
Pour les catholiques c’est un temple à la gloire de la Sainte Vierge qui est touché. Pour les autres c’est une œuvre d’art incomparable qui est gravement endommagée. Quelle est la signification de cette catastrophe à quelques jours de Pâques ou certains se préparent à célébrer la mort et la résurrection du Christ ? Qu’est ce qui est détruit dans cet incendie, la gloire de Dieu ou celle des hommes ? Dans l’évangile quand Jésus chasse les marchands du temple, il répond aux chefs religieux : " Détruisez ce temple, et en 3 jours je le relèverai !" (Jean 2,19)
Dans cette Parole, Jésus annonce sa mort et sa résurrection, indiquant ainsi qu’il est le véritable temple de Dieu. Il nous montre que Dieu ne réside pas dans les cathédrales mais qu’il veut entrer dans le cœur de chacun d’entre nous. Nous mettons notre gloire dans notre patrimoine, dans les statues et les idoles, mais pour Dieu l’être humain a beaucoup plus de valeur que les bâtiments et les statues.
" Jésus je te demande pardon pour mon amour de l’argent et mon idolâtrie, viens toi seul remplir mon cœur, et diriger ma vie dans ta volonté."
christweb.free.fr
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jeudi 23 août 2018
« Prêtres prédateurs »
Il aura fallu 2 ans d’enquête pour révéler les agissements pédophiles de 300 prêtres au sein de 6 diocèses de Pennsylvanie.
Le rapport des services du procureur de Pennsylvanie publié mardi 14 août a provoqué une véritable onde de choc tant les chiffres sont effrayants. En 70 ans, 300 « prêtres prédateurs » auraient abusé sexuellement de plus de 1000 enfants, la plupart âgés de moins de 10 ans, la plus jeune n’ayant que 18 mois au moment des faits. Ce n’est pas la première fois qu’une enquête américaine révèle des actes pédophiles au sein de l’église, mais jamais un rapport n’a mis en lumière autant de cas.
Circonstance agravante, il apparaît dans le rapport que la hiérarchie de l’église de Pennsylvanie connaissait les faits et choisissait de les couvrir. L’enquête s’est d’ailleurs basée sur nombre de documents et d’archives ecclésiastiques.
« Des prêtres violaient des petits garçons et des petites filles et les hommes d’église qui étaient leurs responsables n’ont rien fait. Durant des décennies. »
La plupart des victimes ne pourront malheureusement pas réclamer justice. « Quasiment tous les cas » sont désormais frappés par la prescription et ne pourront être poursuivis pénalement. Seuls deux prêtres ont été inculpés pour des agressions sexuelles dont la plus récente remonte à 2010.
Les jurés ont toutefois décidé de rendre publics les noms de dizaines prêtres accusés de pédophilie. Ils souhaitent également que les hauts responsables puissent être poursuivis quand ils couvrent les crimes de leurs subordonnés.
« Nous réagissons au coup par coup, parce que nous ne voulons pas voir l’ampleur de l’omerta. Les outils juridiques existent, mais ils ne sont pas utilisés. Il est temps que les États lancent des procédures pénales contre les responsables hiérarchiques qui ont couvert les faits et se sont donc rendus complices. »