dimanche 20 septembre 2015

Il n'y a qu'un seul vrai DIEU

 Les dieux des religions et le Dieu Véritable

 

« Ainsi dit l’Éternel, le roi d’Israël et son Rédempteur, l’Éternel des armées : Je suis le premier et je suis le dernier, et il n’y a point d’autre Dieu que moi » (Esaïe 44:6).

Toutes les représentations que se sont faites des religions à propos de Dieu sont vaines : « Car tous les dieux des peuples sont des idoles ; mais l’Éternel a fait les cieux » (Psaume 96:5), 

« Voilà, ils ne sont tous que vanité ; leurs ouvrages ne sont que néant, et leurs idoles de fonte qu’un vrai souffle ! » (Ésaïe 41:29).

Ignorant la révélation biblique et tenant compte aussi de notre intelligence spirituelle limitée et faussée, des hommes et des peuples ont élaboré des concepts de Dieu: des dieux bien souvent semblables à eux-mêmes.

La mythologie grecque vénère les forces de la nature. Les divinités grecques sont des êtres aux mœurs libres, trônant sur l'Olympe et dominant la vie des hommes, tout en leur étant physiquement et spirituellement semblables, y compris dans leurs faiblesses.

La mythologie romaine fut influencée par la mythologie grecque. Nous y retrouvons la divinisation des forces de la nature ou encore des matérialisations de vertus ou de maux.

Le panthéisme identifie Dieu à l'univers; il accepte une entité (appelée l'Absolu, le Tout, la Force Suprême) qui est infinie mais qui n'est pas une personne.

L'hindouisme (ou brahmanisme) Brahman, l'Absolu, est l'Esprit suprême universel; il n'est pas adoré mais est l'objet de la méditation des sages. Dans la triade Brahma-Vishnu-Civa, Brahma est la "cause première de tout être". L'hindouisme accepte l'existence de dieux innombrables.

Le bouddhisme est une philosophie plutôt qu'une religion. Il n'y a ni dieu, ni créateur, ni créature, ni "moi", ni ciel, ni enfer. Le bouddhiste aspire à atteindre le nirvâna (état de non-existence) pour échapper au cycle infernal des réincarnations et de la souffrance.

Le confucianisme s'intéresse principalement au bien-être de l'homme et à la vie pratique. Confucius s'est basé sur les anciennes pratiques chinoises: la vénération du ciel et le culte des ancêtres. Le ciel est considéré comme une puissance impersonnelle.

Le shintoïsme est fondé sur la déification des forces de la nature, le culte des ancêtres, la morale du confucianisme, le taoïsme et le bouddhisme. Il vénère d'innombrables dieux personnels, mais qui ne sont pas infinis. De plus, il déifie la famille impériale japonaise.

L'animisme consiste à croire que les objets sont animés par des esprits dont il importe de gagner la faveur par des sacrifices et des pratiques magiques. Il s'accompagne toujours du fétichisme et du culte des ancêtres. L'animisme admet pourtant l'existence d'un être créateur, mais celui-ci est inaccessible.

L'islam mérite une place à part. Récent (6 ème siècle après JC), l'Islam est une religion monothéiste. Le Coran reconnaît l'inspiration de la Bible et se propose de "confirmer les livres sacrés" (Sourate 2.91) mais le lecteur de la Bible et du Coran se trouvera vite dans une impasse: il y a une contradiction fondamentale quant à la personne de Jésus Christ, quant à son œuvre et quant au moyen d'être réconcilié avec Dieu. Le Dieu du Coran est le Dieu de l'arbitraire, indifférent à ce qui se passe ici bas. Les musulmans sont donc fatalistes. Les 5 piliers de l'Islam sont: la confession d'Allah et de Mahomet, la prière, l'aumône, le jeûne du Ramadan et le pèlerinage à la Mecque.



La Bible nous enseigne : « Servir le Dieu vivant et vrai » (1 Thessaloniciens 1:9). C’est ici dans le respect de chaque croyance que nous réalisons que la sincérité n’est pas la vérité et nous qui sommes dans le christianisme, en tant que chrétiens : nous sommes dans le Véritable car « Nous savons que nous sommes de Dieu… Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable ; et nous sommes en ce Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C’est Lui qui est le Dieu Véritable, et la vie éternelle » (1 Jean 5:19-20)

Perdons pas de vue que sur ce verset, Dieu nous révèle encore la différence qui existe entre Lui et le Fils qui se résume qu’en son Fils, nous avons accès à ce Dieu Véritable et la vie éternelle. 

Christ est la Parole de Dieu, celle qui créa toutes choses et cette même parole s’est faite chair et a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité en Jésus-Christ d’une gloire venue du Père… Il vint pour être un témoin… Il n’était pas lumière, mais il était envoyé pour rendre témoignage à la lumière. Oui, la lumière Véritable (Dieu) qui éclaire tout homme était venue dans le monde. (Jean 1:1-18)

« Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David ; qui ouvre, et personne ne ferme ; et qui ferme, et personne n’ouvre… Il connaît nos œuvres et a ouvert une porte devant nous que personne ne peut la fermer par ce que nous gardons sa parole et que nous n’avons point renié Son nom. Et puisque nous avons gardé la parole de la patience, Lui-même nous garde et nous gardera de l’heure de la tentation qui doit venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre » (Apocalypse 3:7-10)

Christ immolé, nous a rachetés à Dieu par son sang, de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation. Et nous a faits rois et sacrificateurs à notre Dieu ; et nous régnerons sur cette terre. (Apocalypse 5:9-10)

Notre Dieu est Esprit et régnera à jamais (Jean 4:24 ; Exode 15:18), il est Infini (1 Rois 8:60), Il est Omniprésent (Matthieu 6:8), Omnipotent (Psaumes 139 :7-10), Omniscient (Romains 16 :27), Saint (Genèse 18:25), Amour (Psaume 25:8), juste (1 Thessaloniciens 5:24), sage (1 Timothée 6 :15), fidèle (Jérémie 3 :12) et souverain (Exode 15:18)

Quelle grâce ! Quelle vérité bénie et quel privilège de savoir et de connaître cette révélation du Dieu Véritable et que nous sommes dans le Véritable. À Dieu l’honneur, la gloire et la louange !

Pitchou Makabi




mercredi 5 août 2015

Evolution et religion

La nature religieuse de l’évolution

Le célèbre philosophe des sciences canadien, Dr Michael Ruse, a fait de surprenantes confessions au sujet de la nature religieuse de l’évolution lors d’un symposium intitulé «Le nouvel antiévolutionnisme», de l’American Association for the Advancement of Science (Association américaine pour l’avancement de la science).

Ces affirmations ont choqué ses collègues, sachant qu’il a écrit un livre – But is it Science? («Mais est-ce de la science?») – dénonçant le créationnisme comme étant religieux, et parce qu’il était la dernière personne qu’ils suspectaient de les trahir.

Il semblait admettre que l’évolution est basée sur l’exclusion dogmatique d’une création et d’un créateur miraculeux : en réalité, un engagement de foi en faveur du naturalisme, l’improuvable croyance religieuse qu’aucun élément surnaturel n’existe ou n’est pertinent.

Ruse a dit ceci : «A un niveau vraiment fondamental, l’évolution en tant que théorie scientifique s’engage dans une sorte de naturalisme, à savoir qu’à un certain niveau, les miracles et ce genre de choses, quelles qu’elles soient, seront exclus.» Il a continué à défendre cette hypothèse improuvable par le fait que, à son avis, elle fonctionne.


Toutefois, a dit Ruse : «L’évolution, tout comme la religion, implique certains a priori ou suppositions métaphysiques, qui, à un certain niveau, ne peuvent pas être prouvés de façon empirique.»

Plus tard, il a déclaré qu’on ne peut pas juste dire que l’évolution est de la science et la création de la religion. On doit avoir d’autres «théories de cohérence de la vérité, ou quelque chose comme ça. Je continue à penser qu’on peut certainement exclure la science de la création pour ces motifs».

Le professeur en droit Phillip Johnson a sévèrement critiqué la déclaration anti-création de Ruse :

«Je me rends compte que quand on a affaire à des gens, disons, du niveau de l’école, ou quelque chose comme ça, certains de ces arguments sont appropriés. 
Mais ceux d’entre nous qui sont des universitaires... devraient reconnaître... que le camp de la science échafaude certaines suppositions métaphysiques pour faire de la science – ce n’est peut-être pas bien de l’admettre dans une cours de justice – mais je pense honnêtement que nous devrions le reconnaître et penser à ce genre de choses.»

Beaucoup de gens ne réalisent pas que l’enseignement de l’évolution propage une religion antibiblique.

Carl Wieland

vendredi 8 mai 2015

Une religion mondiale !

 Religion mondiale : Zapatero propose la création d’une autorité religieuse sous l’égide de l’ONU

Vers la création d’une autorité religieuse mondiale sous la coupe de l’ONU ? Ce n’est pas un cauchemar de complotiste mais la proposition très sérieuse faite par José Luis Zapatero au symposium international sur la Paix mondiale à l’Université de Nebrija, à Madrid. Ce serait un grand pas vers le syncrétisme religieux.

L’ancien président espagnol, José Luis Rodigruez Zapatero, intervenant devant un parterre de personnalités internationales, a promu l’idée de la création d’une « alliance permanente entre les confessions religieuses », qui serait reliée à la fois à l’initiative « Alliance des civilisations » et directement à l’ONU.

C’est lui, justement, qui fut à l’origine de l’« Alliance des civilisations », avec le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan en 2005. Et on peut dire que son idée a été prise au sérieux, puisqu’elle est aujourd’hui sous le contrôle de l’ONU et que son Haut représentant – actuellement l’ancien président du Portugal, Jorge Sampaio – a été directement nommé par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon en 2007.

« Aujourd’hui l’alliance ne suffit plus. Il faut l’union. L’union des religions, des cultures, en faveur de la paix », a déclaré Zapatero lors de la réunion organisée par l’Institute for Cultural Diplomacy à Madrid cette semaine.

Une autorité religieuse pour la paix

Cette nouvelle alliance donnerait lieu à la mise en place d’une « autorité religieuse globale » dont les deux « principes » – on pourrait presque dire les « dogmes » – seraient le respect du pluralisme religieux et de la liberté religieuse, et la condamnation de toute violence. L’objectif affiché ? En finir avec les guerres. Le prétexte ? Les troubles au Proche Orient.

C’est ainsi que Zapatero présente la violence : « Elle vient toujours du fanatisme ; quand on croit que son opinion est la seule valable, on ne supporte pas celles des autres. »

L’ONU contre tous les « fanatismes »

Et qu’est-ce que le fanatisme ? Zapatero le décrit au cours de sa causerie : c’est ce qui a eu cours en Espagne « pendant quarante ans », et qui a cédé devant la démocratie. Le bien, c’est « le fanatisme qui cède devant la raison » comme il le dit à un autre moment.

Les liens obligatoires déjà bien en place au moment de la Révolution (et donc de la Terreur) sont parfaitement alignés : la foi est une certitude religieuse que le croyant, au nom de cette certitude, veut imposer à autrui parce que l’autre est nécessairement dans l’erreur s’il pense autrement. Ce refus d’écouter l’autre est fanatique et ce fanatisme implique la violence. Avoir la foi, au sens de croire et de croire qu’on est dans le vrai, aboutit à la violence, l’équation est aussi simple que cela.

La religion mondiale du relativisme


Le bien est dès lors le « pluralisme », le subjectivisme religieux servi par une fausse extrapolation à partir du droit de ne pas être contraint de croire. C’est ce relativisme qui aboutit à son tour – véritablement cette fois – à la « dictature du relativisme ».

La proposition de Zapatero est une illustration parfaite de cette dérive et de ce refus « dogmatique » de tout dogme.

En réalité, elle se fonde sur un autre catalogue de croyances obligatoires : la démocratie comme valeur irrécusable, la liberté religieuse comme principe philosophique supérieur à celui de la vérité, et les droits de l’homme comme horizon universel. Tel est le dogme de la nouvelle religion mondiale en construction.

Zapatero – qui a tant fait pour promouvoir l’avortement, le « mariage » gay, la mise en application de l’idéologie du genre et le divorce facile dans son pays – entend donc que l’Autorité religieuse qui naîtrait de son alliance des religions ne se borne pas à relativiser les croyances des plus grands systèmes de foi : ce serait aussi une instance de dialogue avec la société et tout particulièrement avec les organisations féministes. Les religions, assure-t-il, « ont un problème » avec les droits des femmes.

Où l’on voit que la culture, ou plus exactement la mainmise sur la culture est centrale dans le dispositif.

L’ex-président espagnol a beaucoup parlé du conflit israélo-palestinien, invitant les chefs du judaïsme, de l’islam et du christianisme à s’engager de manière renouvelée pour la paix dans la région.

L’UE, le « modèle » de Zapatero


Rappelant que l’Europe a tardé pendant des « siècles et des guerres à parvenir à la démocratie », Zapatero a encore déclaré ceci, qui est pour le moins éclairant : « L’Union européenne est le projet de civilisation le plus important que l’histoire ait jamais connu, mais c’est un projet nouveau. Et comme tout projet historique il ne s’agit pas d’un projet de laboratoire : il se construit à mesure qu’il se fait, animé par deux grands principes, l’union pour la paix et la démocratie. »

Charlotte C





Commentaire de Pierre Danis :
Cet homme prépare sans le savoir la mise en place de la future religion mondiale qui sera unique et obligatoire, selon le livre de l'Apocalypse qui est la Parole de DIEU. Vérifiez vous-même !