samedi 28 décembre 2019

Bonne année !!!


La fête du Nouvel An est-elle pour les chrétiens ?

  

Les indications du passé

Les festivités du Nouvel An ne datent pas d'aujourd'hui. Des inscriptions anciennes les mentionnent déjà à Babylone au troisième millénaire avant notre ère. La fête, qui avait lieu à la mi-mars, était un événement très important. Selon la World Book Encyclopedia, " le dieu Mardouk décidait à cette époque-là du destin du pays pour la nouvelle année ". La célébration du Nouvel An babylonien durait 11 jours et comportait des sacrifices, des processions et des rites de fertilité.
Pendant un temps, l'année romaine débutait elle aussi au mois de mars. 

Mais en 46 avant notre ère, l'empereur Jules César décréta qu'elle commencerait le 1er janvier. Ce jour, qui était déjà dédié à Janus, le dieu des commencements, allait désormais marquer le début du calendrier romain. La date changeait, mais l'ambiance festive subsistait. Encore aujourd'hui, les rites superstitieux jouent un rôle dans la fête. Le 1er janvier les gens " se livraient à la débauche, et à diverses formes de superstition païenne " du Nouvel An. Ainsi, dans certaines régions d'Amérique du Sud, beaucoup de personnes accueillent la nouvelle année en se tenant sur leur pied droit. D'autres klaxonnent et font exploser des pétards. Ces rites visant à conjurer le mauvais sort et à garantir la prospérité ne font que perpétuer la croyance antique selon laquelle le début de l'année détermine le destin de chacun.

Le point de vue biblique

La Bible exhorte les chrétiens à marcher avec décence : non pas dans les orgies ni dans les soûleries. (Romains 13:12-14 ; Galates 5:19-21 ; 1 Pierre 4:3.) Les festivités du Nouvel An étant souvent marquées par les excès que la Bible condamne, les chrétiens n'y participent pas. Cela ne signifie pas qu'ils soient des rabat-joie. Au contraire, ils savent que la Bible encourage à plusieurs reprises les adorateurs du vrai Dieu à se réjouir, et ce pour des occasions diverses (Deutéronome 26:10, 11 ; Psaume 32:11 ; Proverbes 5:15-19 ; Ecclésiaste 3:22 ; 11:9). La Bible admet également que la nourriture et la boisson font souvent partie des réjouissances. (Psaume 104:15 ; Ecclésiaste 9:7a).

Toutefois, comme nous l'avons vu, les festivités du Nouvel An tirent leurs racines de coutumes païennes. Le faux culte étant impur et détestable aux yeux de Dieu, les chrétiens rejettent les pratiques ayant de telles origines (Deutéronome 18:9-12 ; Ézékiel 22:3, 4). L'apôtre Paul a écrit : " Quels rapports ont la justice et l'illégalité ? Ou quelle participation la lumière a-t-elle avec les ténèbres ? En outre, quelle harmonie y a-t-il entre Christ et Bélial ? " Puis il a ajouté, à juste titre : " Cessez de toucher la chose impure. " (2 Corinthiens 6:14-17a).

Les chrétiens sont également conscients que ce ne sont pas des rites superstitieux qui garantissent le bonheur et la prospérité, d'autant plus que la participation à de telles fêtes peut leur valoir la défaveur divine (Ecclésiaste 9:11 ; Isaïe 65:11, 12). Par ailleurs, la Bible encourage les chrétiens à faire preuve de modération et de maîtrise de soi dans leur conduite (1 Timothée 3:2, 11). De toute évidence, il serait inconvenant pour quelqu'un qui dit suivre les enseignements du Christ de prendre part à une célébration caractérisée par la débauche.

Si attrayantes que puissent paraître les festivités du Nouvel An, la Bible nous ordonne de ' cesser de toucher la chose impure ' et de ' nous purifier de toute souillure de la chair et de l'esprit '. À ceux qui obéissent à cet ordre, Dieu offre cette garantie réconfortante : " Je vous accueillerai. (...) je serai pour vous un père, et vous serez pour moi des fils et des filles. " (2 Corinthiens 6:17b-7:1). En effet, il promet des bénédictions et la prospérité éternelles à ceux qui lui sont fidèles. - Psaume 37:18, 28 ; Révélation 21:3, 4, 7.

Lorsque l'apôtre Paul parle d'orgies et de soûleries, il se peut qu'il inclut celles qui avaient cours durant les festivités du Nouvel An, puisqu'elles étaient déjà en vogue à Rome au Ier siècle.
Anonyme

mercredi 27 novembre 2019

L'esprit de Noël !

L'esprit de Noël n'est pas l'Esprit de Dieu

C'est un esprit de traditions religieuses venant des religions païennes.

- Tout d'abord, en Christ, nous ne sommes plus sous une loi de tradition, mais sous la loi de l'Esprit de vie. Et donc nous n'observons plus les jours ni les fêtes. C'est sur un ton de reproche que Paul dit aux Galates : Vous observez les jours, les mois, les temps et les années! (Galates 4:10).

- D'autre part, nous ne devons pas participez aux œuvres des ténèbres. Demandons au Seigneur qu'Il nous donne le discernement pour comprendre l'origine et l'objectif de la fête de Noël.

- C'est une fête qui a pour origine le père du mensonge, et qui a pour but de nous détourner de Jésus, la Vérité.
Ce n'était pas célébré dans l'église apostolique, pendant au moins les trois premiers siècles de l'histoire de l'église! Il était suffisant, pour les premiers Chrétiens, de savoir que Jésus, leur Seigneur et Sauveur, était né. Ils glorifiaient Dieu parce que Jésus était indéniablement venu en chair et en os. Le jour et l'heure de Sa naissance étaient sans importance pour eux, parce que Jésus n'était plus physiquement sur terre. Il était retourné dans les cieux. Et c'était à Jésus ressuscité et exalté qu'ils s'adressaient, et non pas à un bébé dans une étable. Jésus-Christ n'est plus un bébé. Il n'est plus un "Christ-enfant," mais le Maître exalté de tous. Et il ne revient pas sur la terre en forme de bébé chaque année au temps de Noël !

Comment donc l'Église Catholique Romaine a-t-elle fixé la date du 25 décembre pour la fête de Noël ? En voici la raison: longtemps avant le IV' siècle, et même bien avant l'ère chrétienne, les païens célébraient une fête à cette même époque de l'année, en l'honneur de la naissance du fils de la reine Babylonienne. Cette même fête fut adoptée par l'Église Romaine à l'époque où les religions Babyloniennes mystérieuses furent introduites par l'Empereur Constantin, qui comprenait le rôle essentiel que la religion jouait dans l'ancienne Rome. En donnant le statut officiel au Christianisme, il apporta la paix interne à l'Empire. Il y avait un besoin d'unir le paganisme et le Christianisme, et il a beaucoup contribué à christianiser leurs idoles païennes.

Des hommes vertueux, comme Tertullien vers l'an 230, s'efforcèrent d'arrêter le flot de l'apostasie, mais en dépit de tous leurs efforts, l'apostasie se développa, jusqu'à ce que l'Église, à l'exception d'un petit reste, fut engloutie sous la superstition païenne.

Peut-on établir que la naissance de Jésus a eu lieu vers le 25 décembre ? Il n'y a pas dans la Bible un seul mot sur le jour ou l'époque de la naissance de Jésus. Au contraire, les circonstances entourant sa naissance rapportées dans la Bible montrent que cette naissance ne peut pas avoir eu lieu en hiver ! Lorsque l'ange annonça sa naissance aux bergers de Bethléem, ils paissaient leurs troupeaux pendant la nuit au milieu des champs. Le froid de la nuit, de décembre à février, est très vif en Israël, et les bergers n'avaient pas l'habitude de garder les troupeaux dans les champs après la fin d'octobre. Et si quelqu'un pense que l'hiver n'est pas rigoureux dans ce pays, qu'il se rappelle les paroles de Jésus : "Priez que votre fuite n'arrive pas en hiver. " Or, si l'hiver était une mauvaise saison pour fuir, ce n'était assurément pas une saison où les bergers pouvaient demeurer dans les champs. Il est donc absolument impensable que Christ soit né à la fin de décembre.


 Le Père Noël

Saint Nicolas était, au 4ème siècle, l'évêque Catholique de Myra en Asie Mineure, qui donnait des friandises aux enfants. Il fût canonisé par l'Église Catholique Romaine, considéré comme un ami spécial des enfants et leur protecteur. Le personnage du Père Noël vient de cette tradition. Le costume rouge vient du fait que les évêques et les cardinaux Catholiques en Italie portent le rouge.

La plupart des Chrétiens sont inconscients de ce blasphème.

Le Père Noël est un substitut blasphématoire pour Dieu! Il lui est donné systématiquement des pouvoirs surnaturels et des attributs divins que Dieu seul possède.
On dit qu'il connait tout; il sait quand chaque enfant dort, se réveille, a été méchant ou bon, et sait exactement ce que tous les bons enfants veulent. On le rend aussi omniprésent. Pendant une nuit de l'année, il visite tous les "bons enfants" dans le monde et leur laisse des cadeaux, étant apparemment partout en même temps. On le rend aussi tout puissant; il a le pouvoir de donner à chaque enfant exactement ce que chacun d'eux veut.

De plus, on fait du Père Noël un juge souverain. Il n' a de compte à rendre à personne. Quand il "vient en ville," il vient avec un sac plein de récompenses pour ceux dont la conduite a été acceptable à ses yeux.
Le Père Noël est devenu un des mythes les plus populaires. On accepte bien que Jésus est né, et cette vérité réjouit énormément le cœur de chaque Chrétien, mais le mythe du Père Noël déforme la vérité de la naissance de Jésus en mêlant subtilement la vérité avec le mythe du Père Noël. Quand des parents chrétiens mentent à leurs enfants concernant le Père Noël, ils détournent l'attention des enfants pour les concentrer sur un homme joufflu vêtu d'un costume rouge ayant des qualités ressemblant à celles de Dieu.

Tout ceci porte l'enfant à croire qu'il peut plaire à Dieu avec des "bonnes actions" pour gagner Sa faveur, comme il doit le faire pour le Père Noël. Aussi, ils enseignent que peu importe à quel point l'enfant a été méchant, il sera récompensé quand-même par Dieu, comme le Père Noël ne manque jamais d'apporter des cadeaux. Même dans les demeures de Chrétiens pratiquants, le Père Noël a pris la place de Jésus dans la sensibilité et l'affection des enfants. Il est devenu l'esprit incontesté, le symbole, et l'objet central de Noël.

Examinons les deux listes ci-dessous :
En comparant ces deux listes, on voit que l'esprit de Noël est un esprit usurpateur, qui cherche à usurper la gloire de Jésus.

1 - Le Père Noël a une chevelure blanche et laineuse.
 1 - Jésus-Christ a une chevelure blanche comme la laine (Apo. 1:14).

2 - Le Père Noël est barbu.
 2 - Jésus-Christ a une barbe (Es. 50:6).

3 - Le Père Noël a un habit rouge.
 3 - Jésus-Christ est revêtu de rouge (Apo. 19:13, Es. 63:2).

4 - On ne sait pas à quelle heure le Père Noël va venir.
 4 - L'heure de Sa venue reste un mystère (Luc 12:40, Marc 13:33)

5 - Le Père Noël pénètre dans les maisons à la manière d'un voleur, dans la nuit.
 5 - Le Seigneur Jésus-Christ va venir comme un voleur dans la nuit (Matt: 24:43-44).

6 - Le Père Noël est un surhomme, car il distribue des jouets à tous les enfants de la terre en une seule nuit.
 6 - Le Seigneur Jésus-Christ est tout-puissant (Matt. 28:18, Apo. 19:6).

7 - Le Père Noël sait tout sur nous, car il sait comment on s'est conduit tout au long de l'année ; il sait si on a été gentil ou méchant. Il sait si on dort ou non.
 7 - Le Seigneur Jésus-Christ connaît toutes choses (Héb. 4:13, 1 Jean 3:20).

8 - Le Père Noël vit perpétuellement.
 8 - Le Seigneur Jésus-Christ est éternel (Jean 8:58, Apo. 1:8 et 21:6).

9 - On apprend aux enfants à demander au Père Noël tout ce dont ils ont envie.
 9 - L’Écriture nous prescrit de nous approcher avec assurance du Trône de la Grâce dans tous nos besoins (Héb. 4:16).

10 - Le Père Noël appelle les enfants vers lui.
 10 - Le Seigneur Jésus veut que les enfants aillent vers Lui (Marc 10:14).

11 - Le Père Noël représente la paix que le monde donne. Il est l'image de la période des "fêtes de Noël".
 11 - Le Seigneur Jésus-Christ est le Prince de la Paix et l'image parfaite de Dieu. (Es. 9:6, Héb.1:3).

Si on réfléchit sérieusement au mythe du "Père Noël" à la lumière de la Bible, on découvre avec consternation une vérité saisissante : ce Père Noël a entièrement remplacé le Seigneur Jésus-Christ dans d'innombrables vies.

Satan tire les ficelles qui actionnent ce monde, séduisant enfants et adultes pour les éloigner de Jésus-Christ et les attirer vers le Père Noël. Ce Père Noël incarne parfaitement l'amour de ce monde et de tout ce qui fait partie du système de ce monde.

C'est évident : cette contrefaçon, dans le Père Noël, des attributs de Jésus-Christ ne peut être le fait du hasard. Le premier chapitre du Livre de Job (versets 6 et 7) nous apprend que Satan parcourt la terre et s'y promène de long en large comme nous le ferions dans un simple jardin. Satan exerce sa domination sur tout ce qui n'est pas livré à Dieu. Il est là comme un habile marionnettiste qui tire les ficelles de ses pantins. Assurément, en ces temps qui sont les derniers, Satan a voulu détourner de Jésus l'amour des enfants, pour l'accaparer à son profit.

Il a aussi communiqué aux enfants l'amour des objets matériels, et cet amour de soi-même qui veut qu'on amasse le plus possible de cadeaux. Le personnage du Père Noël est un moyen efficace pour parvenir à ce but. Avec le "Père Noël", on incite les enfants à s'approcher d'une source polluée pour recevoir des cadeaux. On les encourage à bien se conduire pour un mauvais motif, et on leur inculque l'amour des objets matériels au lieu de leur apprendre à aimer Dieu.

Dès l'âge le plus tendre, les enfants apprennent à s'attacher aux biens matériels, à se faire offrir le plus de cadeaux possible, à s'aimer eux-mêmes par-dessus tout, du fait qu'on les pousse à croire à ce mythe païen du "Père Noël".

Échanger des cadeaux n'est pas chose mauvaise en soi, mais les enfants doivent bien sûr apprendre qu'il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir. De plus, il n'est pas bon d'associer dans l'esprit des enfants la période de Noël à la tradition d'échanger des cadeaux. Nos enfants doivent savoir que nous ne sommes pas du monde.

Et vous devez leur enseigner que le Seigneur Jésus est le Don le plus merveilleux qui ait jamais été accordé dans toute l'histoire de l'univers : Il est le Don de la Vie éternelle !

Si vous comprenez à quel point la figure du Père Noël est une contrefaçon délibérée du Seigneur Jésus-Christ, vous voyez combien il est facile d'entraîner les enfants dans l'égarement spirituel en leur permettant de croire à ce mythe et de participer à des activités qui s'en inspirent. Dites la vérité à vos enfants au sujet de Noël, au sujet du Père Noël, et veillez à ce que le Seigneur Jésus soit le centre de toutes choses pour vos enfants.


Anonyme




dimanche 27 octobre 2019

L’ÉGLISE PROSTITUÉE


Par Don Kopp 
 
« Et il me transporta en esprit dans un désert.  Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes….. Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. »  (Apocalypse 17:3,5)
C’est la description de Jean de la grande prostituée « …qui est assise sur les grandes eaux. » (Apocalypse 17:1)  Cette idée représente le fait qu’elle a une portée mondiale, ce qui est également confirmé par le verset 15, qui dit : « Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues. »

Elle est appelée une prostituée parce qu’elle se prostitue à tous les rêves idolâtres et toutes les incantations sordides de l’homme, et elle est d’une obscénité absurde dans toutes ses voies.  Les enfants d’Israël ont eu des problèmes avec leurs prostitutions auprès des autres dieux tout au long de leur histoire.  Tout en parlant d’Israël, après que Dieu les ait fait sortir d’Égypte, Samuel a écrit, « Mais ils péchèrent contre le Dieu de leurs pères, et ils se prostituèrent après les dieux des peuples du pays, que Dieu avait détruits devant eux. »(1 Chroniques 5:25)   Avant cela, Dieu les avertit sévèrement de s’abstenir de suivre les autres dieux et les démons.  Dans Lévitique 17:7, Dieu dit à Moïse : « Ils n’offriront plus leurs sacrifices aux boucs, avec lesquels ils se prostituent. »

Le prophète Nahum a prédit la montée de la prostituée de l’Apocalypse 17 et il cite le Seigneur en disant : « C’est à cause des nombreuses prostitutions de la prostituée, pleine d’attraits, habile enchanteresse, qui vendait les nations par ses prostitutions et les peuples par ses enchantements.  Voici, j’en veux à toi, dit l’Éternel des armées, je relèverai tes pans jusque sur ton visage, je montrerai ta nudité aux nations, et ta honte aux royaumes. » (Nahum 3:4-5) 
 
Mais, la prostituée d’Apocalypse 17 n’est plus seulement Israël suivant d’autres dieux et déesses, mais elle représente l’église « chrétienne » de l’époque moderne qui accepte dans ses rangs toutes sortes de pratiques religieuses et l’idolâtrie.
Afin de mieux comprendre le symbolisme que Jean utilise ici, nous devons d’abord faire un voyage dans le temps, puisque cette prostituée est la « mère de toutes les prostituées ».  Ce voyage nous ramène 1500 ans avant Jésus-Christ et à environ 200 ans après le déluge de Noé.  C’était une période où le monde était en effet un “désert” et très peu peuplé.

Dans Genèse 3:20, Ève est appelée « la mère de tous les vivants ».  De toutes les personnes qui n’aient jamais vécu sur cette planète, Ève était l’ancêtre d’origine.  De la même manière, la « Babylone Mystérieuse » est l’ancêtre de toutes les fausses doctrines religieuses sur la planète et tous les systèmes religieux peuvent être retracés jusqu’à la plaine de Shinéar. C’est ici que la première révolte religieuse contre Dieu a eu lieu, sous la direction de Nimrod.  Le nom Nimrod signifie « rebelle » en hébreu, et se traduit Marduk dans l’ancienne langue babylonienne.  Marduk signifie « veau du soleil », et Nimrod est littéralement devenu une figure divine panthéiste pour la population.  En fait, c’était pour honorer Marduk que les enfants d’Israël, 700 ans plus tard, auraient sculpté le veau d’or qui a irrité Dieu au point qu’Il veuille détruire toute la tribu d’Israël.

Nimrod a commencé à construire la Tour de Babel peu de temps après le déluge. Noé qui, comme nous le savons, était l’arrière-grand-père de Nimrod.  Il est donc tout à fait certain que la plaine de Shinéar était en effet un « désert » quand Nimrod fut arrivé en premier.  C’est ici, à Babel, que la première rébellion contre Dieu a eu lieu après le Déluge.

La science moderne donne à Darwin le crédit pour sa théorie de l’évolution et parle de lui comme « le père de l’évolution ».  Pourtant, en réalité, ce sont les anciens Chaldéens, sous la direction de Nimrod, que l’évolution est née.  Certaines tablettes babyloniennes traitent de l’évolution du monde.  L’idée présentée par l’auteur de ces tablettes d’argile est que l’homme peut éventuellement évoluer au point de devenir un dieu.  Nimrod est donc présenté comme celui qui y était arrivé, il était devenu dieu.  Il a finalement épousé sa mère, dont le nom était Sémiramis.  Puisque Nimrod était censé être un dieu et que Sémiramis était sa mère, elle est devenue  « La Reine du Ciel ».  

Cela a également donné lieu au premier mouvement féministe dans le monde, et ce mouvement devait infecter les enfants d’Israël dans le plus profond de leurs âmes puisque les sacrifices d’enfants sont devenus des rites et les droits des femmes.  C’est aussi cette idéologie religieuse qui a donné naissance à la mère féministe qui est devenu «Terre-Mère» ou Gaia comme elle est connue aujourd’hui.

Non seulement ils tuent leurs enfants dans des rituels religieux (démoniaques), ils tuent également leurs enfants à naître (foetus) également.  Le prophète de Dieu, Jérémie, a écrit des femmes juives, « Jusque sur les pans de ton habit se trouve le sang de pauvres innocents, que tu n’as pas surpris faisant effraction. » (Jérémie 2:34).  Ils étaient fiers à ce sujet et n’ont même pas essayé de cacher leurs atrocités. En effet, ils croyaient que c’était leur droit puisqu’ils sacrifiaient à leur mère déesse et à Baal, son homologue environnemental.

Encore une fois, Jérémie met en garde les femmes d’Israël pour leurs affaires d’idolâtrie avec la Reine du Ciel, et voici comment elles lui répondirent : « D’ailleurs, lorsque nous offrons de l’encens à la reine du ciel et que nous lui faisons des libations, est-ce sans la volonté de nos maris que nous lui préparons des gâteaux pour l’honorer et que nous lui faisons des libations ? »   (Jérémie 44:19)

Aujourd’hui, l’évolution, la sorcellerie, Gaia (écologie), l’humanisme et le féminisme s’emboîtent très facilement et ironiquement tout cet ensemble d’idéologies est appelé le « Nouvel Âge ».  Je dis ironiquement parce qu’il n’y a rien de nouveau à leur sujet puisqu’ils ont été présents depuis des milliers d’années.  Ils s’adaptent facilement ensemble parce qu’ils sont d’accord sur une chose : Ils détestent le Christianisme dans sa vraie forme et continueront la guerre contre Jésus et son Église, jusqu’à ce qu’ils soient finalement vaincus par Lui, à la fin.

Les symboles sataniques régulièrement utilisés aujourd’hui par le Nouvel Âge sont des étoiles renversées (pentagrammes) et le soi-disant symbole de la paix qui symbolise la « paix sans Dieu » est, bien entendu, la tête d’un bouc avec des cornes. Beaucoup de gens portent ces symboles comme des bijoux, ne comprenant probablement pas leur véritable signification.  Et, comme pour la religion du Nouvel Âge, il n’y a rien de nouveau dans ces symboles qui ont été présents depuis des siècles.

Aujourd’hui, l’église chrétienne moderne a accepté dans ses rangs toutes sortes de croyances et traditions du Nouvel Âge.  L’acceptation de l’évolution, par exemple, a entraîné un changement notable vers l’apostasie dans les églises chrétiennes.  L’idée que Dieu aurait utilisé l’évolution pour mettre en place Sa création est, bien sûr, contraire à La Parole infaillible de Dieu.  « Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu’il avait faite ; Et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu’il avait faite » est tout à fait contraire à des millions d’années nécessaires par l’évolution.

Dieu ne respectera pas une église qui ne croit pas, comme Jésus lui-même l’a dit : « Mais au commencement de la création, Dieu fit l’homme et la femme. » (Marc 10:6)   Ils étaient, dès le début, un homme et une femme, et aucun stade d’évolution n’a été nécessaire pour Dieu pour qu’Il arrive à ce résultat. 

Ainsi, y introduire tout autre dogme, signifie, par essence, dire que Dieu serait un menteur.  Parce que l’église apostate accepte l’idéologie païenne, Dieu permettra « une puissance d’égarement, pour qu’ils croient au mensonge. »  (II Thessaloniciens 2:11)

 L’acceptation de l’homosexualité n’est qu’un exemple de l’adoption de ce qui n’est pas chrétien et le rejet de ce qui est chrétien, c’est-à-dire, remplacer les vérités bibliques avec des mensonges. Aujourd’hui, nous voyons la prostituée d’Apocalypse 17, l’église apostate se levant de la mer de l’humanité.

Cette église prostituée est nécessaire pour aider l’Antéchrist dans la mise en place d’un gouvernement mondial, d’un système religieux mondial et d’un système monétaire mondial.  

Une fois que le système monétaire mondial est en place, la souveraineté gouvernementale sera supprimée.  C’est parce qu’un système monétaire mondial (Banque Mondiale) forcera les nations du monde à accepter la direction qu’il lui imposera tout simplement en retenant les fonds de ce pays.  Le gouvernement des États-Unis fait déjà cela avec certains états.  Si un état ne se prosterne pas devant la volonté du gouvernement fédéral, alors le gouvernement fédéral menace de retenir les fonds pour les projets de construction de routes, etc.., jusqu’à ce que cet état acquiesce à ses demandes.  En retenant le financement comme moyen de pression sur les dirigeants des états souverains, ils peuvent forcer l’état à accepter la direction vers laquelle le gouvernement veut aller et la voix de ses habitants est effectivement réduite au silence. 

Mais, les politiques seules ne suffisent pas à maintenir l’allégeance des masses, la religion doit également jouer un rôle afin d’empêcher les masses de se révolter contre le gouvernement.  Tant que le gouvernement et la religion sont d’accord, les masses seront satisfaites et ceux qui ne seront pas satisfaits seront simplement stigmatisés par la société comme des fauteurs de troubles et/ou des racistes.  Cela vous semble familier n’est-ce pas ?



mercredi 25 septembre 2019

La tolérance !

Déconstruire la tolérance postmoderne 😰

Les partisans de ce point de vue soutiennent qu'il est intolérant et incompatible avec les principes d'une société libre et ouverte pour les chrétiens (et les autres) de prétendre que leur perspective morale et religieuse est correcte et devrait être adoptée par tous les citoyens. La tolérance postmoderne n'est pas ce qu'elle semble être, cependant. C'est une perspective philosophique partisane avec son propre ensemble de dogmes. Elle suppose, par exemple, une vision relativiste de la connaissance morale et religieuse.
Cette hypothèse a façonné la façon dont beaucoup de gens pensent à propos de questions telles que l'homosexualité, les droits à l'avortement et les revendications de vérité religieuse, ce qui les porte à croire qu'une attitude postmoderne tolérante concernant ces questions est la bonne et qu'elle devrait être reflétée dans nos lois et nos coutumes.
Mais cette posture est dogmatique, intolérante, et coercitive, car elle affirme qu'il n’y a qu'un seul point de vue correct sur ces questions, et que si on ne le respecte pas, on sera confronté à la risée publique, aux tactiques démagogiques et peut-être à des représailles légales. La tolérance postmoderne n'est ni large d'esprit ni tolérante.

La supercherie de la tolérance postmoderne


La tolérance postmoderne est une mystification. Bien qu'elle soit présentée par ses partisans comme une perspective ouverte, tolérante, et neutre, il s'agit d'un dogme pour lequel les partisans ne tolèrent aucun rival. Ceux d’entre nous qui sont soucieux de présenter et de défendre leur foi dans une culture postchrétienne doivent être conscients de ce type de défi, un défi qui se présente comme ouvert, tolérant, et libérateur, mais qui est en réalité dogmatique, partisan, et coercitif.

Le relativisme: le terrain de la tolérance postmoderne

La tolérance postmoderne est fondée sur le relativisme, le principe selon lequel aucun point de vue sur les connaissances morales et religieuses n'est objectivement correct pour toutes les personnes, en tout temps et en tout lieu. Cette notion, telle qu'elle est comprise et adoptée dans la culture populaire, se nourrit du fait du pluralisme, la réalité d'une pluralité d'opinions différentes et contraires sur des questions religieuses et morales.
Dans ce contexte, beaucoup de personnes dans notre culture concluent qu'on ne peut pas dire que son point de vue sur les questions religieuses et morales est meilleur que celui de quiconque. Elles affirment que c'est une erreur de prétendre que ses croyances sont exclusivement correctes et que les croyants d'autres confessions, peu importe leur sincérité ou leur dévouement, adhèrent à de fausses croyances.

Bien que la vision chrétienne du monde soit marginalisée dans notre culture et considérée comme dangereuse par certains, nous ne pouvons perdre notre confiance. Après tout, c'est l'univers de Dieu, et Il a créé l'homme à Son image. Mais cela doit être équilibré avec la connaissance que le cœur humain est incroyablement méchant (Jér. 17:9). Cette tension persistera tant que nous tenterons de défendre notre foi dans une culture hostile au Dieu d'Abraham, d'Isaac, de Jacob, et de Jésus de Nazareth.

Paul Gosselin




mardi 16 juillet 2019

Le catholicisme est en déclin !

En France, le catholicisme est en déclin, l’islam en progrès

Selon la dernière enquête internationale European Values Study, la France se déchristianise : le nombre de catholiques pratiquants ne cesse de diminuer. En 2018, 32 % des Français se déclarent catholiques, dont 17 % non pratiquants. Chez les 18-29 ans, moins de 3 % reconnaissent être pratiquants. Parmi les autres communautés religieuses, la plus forte minorité est l’islam.


Commentaire de Pierre :

Ce qui me réjouit c'est que des cathos ainsi que des musulmans se repentent et découvrent la Vérité biblique.
Jésus Christ est le seul SAUVEUR, il n'y en a pas d'autre !


 

mardi 4 juin 2019

Les enfants coupeurs de tête

Les enfants coupeurs de tête du califat

"Apprendre à décapiter c’est comme apprendre à hacher un oignon", témoigne un jeune syrien. Le groupe terroriste, qui s’est emparé de larges pans de la Syrie et de l’Irak, a supprimé le système éducatif laïc dans les territoires sous son contrôle,et pratique la maltraitance infantile à échelle industrielle.


Jomah, un adolescent Syrien de 17 ans qui a rejoint l’Etat islamique l’année dernière, raconte comment il était assis en cercle avec d’autres « élèves » pour un cours de décapitation, une discipline enseignée aux garçons dès l’âge de 8 ans.

Les « enseignants » ont amené trois soldats syriens terrorisés, qui ont été raillés et forcés à se mettre à genoux. « C’était comme apprendre à hacher un oignon", a avoué Jomah. Ils ont dit : "vous lui attrapez le front, puis vous tranchez lentement le cou."

Un enseignant a alors demandé des volontaires pour l’exercice en disant : « Ceux qui décapitent les infidèles recevront des cadeaux d'Allah", se souvient Jomah, qui ne veut pas que son nom complet soit révélé. Alors, les jeunes garçons ont levé la main et plusieurs ont été choisis pour faire l’exercice. Ensuite, les enseignants ont ordonné aux « élèves » de marcher autour des têtes coupées.

« J’étais devenu insensible à ce moment-là », a déclaré Jomah. "Les vidéos de décapitation qu’ils nous avaient montrées nous ont aidés à ça."

Voila ce qui est en train de se passer en Europe !

 




samedi 4 mai 2019

Leur-dame brûle !

Le 15 Avril 2019 vers 18 h 50 un incendie a démarré dans les combles de la cathédrale Notre Dame de Paris. Le feu s’est propagé atteignant rapidement toute la charpente.   Vers 19 h 50 la flèche de la cathédrale (93m) s’est effondrée. 400 pompiers ont été mobilisés pour éteindre l’incendie et le 16 au matin le feu a été maitrisé.

 La France entière est sous le choc après la dégradation de ce bâtiment qu’on croyait éternel. Les croyants comme les incroyants déplorent la destruction de la cathédrale, symbole de la gloire de la France. C’était le monument le plus visité d’Europe.  A travers cette catastrophe matérielle qui touche au cœur de la France, à la veille de la fête de pâques, nous pressentons que le ciel nous adresse un message.

Pour les catholiques c’est un temple à la gloire de la Sainte Vierge qui est touché. Pour les autres c’est une œuvre d’art incomparable qui est gravement endommagée.   Quelle est la signification de cette catastrophe à quelques jours de Pâques  ou certains se  préparent à célébrer la mort et la résurrection du Christ ? Qu’est ce qui est détruit dans cet incendie, la gloire de Dieu ou celle des hommes ?  Dans l’évangile quand Jésus chasse les marchands du temple, il  répond aux chefs religieux : " Détruisez ce temple, et en 3 jours je le relèverai !" (Jean 2,19)

 Dans cette Parole, Jésus annonce sa mort et sa résurrection, indiquant ainsi qu’il est le véritable temple de Dieu. Il nous montre que Dieu ne réside pas dans les cathédrales mais qu’il veut entrer dans le cœur de chacun d’entre nous.   Nous mettons notre gloire dans notre patrimoine, dans les statues et les idoles, mais pour Dieu l’être humain a beaucoup plus de valeur que les bâtiments et les statues.

 A travers cet incendie Dieu nous dit : Ne mettez pas votre gloire dans des bâtiments ou dans les statues et les idoles, mais dans le Dieu vivant. Aimez votre prochain plus que les bâtiments et les statues. Repentez-vous. Pour vous j’ai envoyé Jésus mon Fils unique. Il est mort sur la croix pour recevoir le châtiment que vous méritez à cause de vos péchés. Il est ressuscité des morts et désire remplir votre cœur. Dites lui simplement : 

" Jésus je te demande pardon pour mon amour de l’argent et mon idolâtrie, viens toi seul remplir mon cœur, et diriger ma vie dans ta volonté."


 christweb.free.fr

Photo ajoutée par Pierre :

C'est lui qui veille sur "leur dame" !




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mercredi 10 avril 2019

De l’Église de Rome à l’Église de Jésus-Christ



Né en 1949 dans une famille catholique pratiquante, études secondaires au petit séminaire diocésain de Verdun et musicales au Conservatoire de Nancy, marié et père de cinq enfants, professeur de musique dans un collège catholique, organiste de ma paroisse et chargé d’enseignement religieux auprès d’adolescents, grand pécheur et cependant perçu par mon entourage comme un chrétien.

En 1986, en vacances à Houlgate, lors de la visite d’une Expo-Bible tenue par des Évangéliques, je découvre la Bible comme Parole de Dieu. Les années précédentes, j’avais étudié la Bible avec des prêtres, suivant une méthode proche des introductions et notes de la Bible de Jérusalem. Par crainte d’être entraîné dans une secte, j’ai évité de garder des contacts avec les deux pasteurs que j’avais rencontrés à l’exposition. J’ai donc cheminé seul avec cette merveilleuse conviction que la Bible nous avait été donnée par Dieu pour nous éclairer.

Je me réjouis de ta Parole comme celui qui trouve un grand butin.
(Psaume 119:162)
Auparavant, je recherchais la vérité principalement par des méthodes d’érudition humaines : connaissance des religions et philosophies, vies de saints et histoire de l’Église (Catholique), ouvrages de grands penseurs chrétiens, sans jamais rencontrer une complète satisfaction, ni trouver de réponses certaines à mes interrogations.
Avec la Bible, j’ai redécouvert la crainte de Dieu. La lecture de l’évangile de Jean me bouleversait toujours, en particulier le chapitre 3 et les derniers entretiens avec le Seigneur.

Un soir d’octobre 1993, Dieu a mis dans mon cœur la certitude que j’étais racheté, pardonné et adopté en Jésus-Christ. Ce fut à la fois, tout simple et extraordinaire !

L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
(Romains 8:16)

À partir de ce moment-là, mes yeux se sont véritablement ouverts. Depuis quelques années, je contestais le baptême des nourrissons et les cultes à la Vierge ; après ma nouvelle naissance, l’imposture du sacerdoce romain m’est apparue clairement à travers le commerce des messes pour les défunts et le rite sacramentel de la transsubstantiation. Je prenais conscience que les prêtres catholiques n’étaient finalement que des aveugles conduisant d’autres aveugles.

Toute ma vie était marquée par le catholicisme : religion, profession, famille et relations, et je n’y avais que des amis. Cependant, trois mois après ma nouvelle naissance, avec la force que seul Dieu pouvait me donner pour le faire, j’ai quitté l’Église Catholique avec ma femme et mes enfants, en rendant un témoignage, sans esprit de jugement, devant les membres de notre assemblée paroissiale et en présence du prêtre.

Nous ne savions où nous allions, mais nous faisions confiance au Seigneur…

Dans la semaine qui a suivi notre départ de la paroisse, j’ai été destitué de ma fonction d’enseignement religieux par mon évêque. Étant salarié par l’Éducation Nationale, j’ai pu garder mon poste de professeur de musique que j’ai occupé, non sans difficultés, jusqu’en 2006. Désormais, nous étions perçus comme des sectaires par la plupart de nos amis catholiques.

Au fur et à mesure que mes yeux s’ouvraient sur la nature véritable de l’Église de Rome, le Seigneur m’a mis à cœur d’écrire des brochures destinées, au départ, à avertir ma famille et mon entourage. Le cercle de diffusion s’est ensuite élargi progressivement.

Nul ne peut venir à moi si le Père qui m’a envoyé ne l’attire.
(Jean 6:44)
Cette parole du Seigneur nous rappelle que, parmi ses rachetés, personne ne peut avoir la prétention d’affirmer : « J’ai été plus intelligent que les autres hommes ; j’ai cherché Dieu et je l’ai trouvé ». Dieu m’a conduit à trouver dans la Bible la Bonne Nouvelle de sa grâce en Jésus-Christ, et Il m’a donné d’y croire. Désormais, je n’ai plus d’autre désir et d’autre but que de faire connaître la Parole de Dieu autour de moi, et particulièrement aux catholiques.