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vendredi 18 mai 2007

Témoignage d'un ex-curé

UN PRÊTRE CATHOLIQUE ROMAIN
REVENU AU CHRISTIANISME PRIMITIF

«Jésus, parce qu’Il demeure éternellement, possède un sacerdoce qui ne se transmet point. Voilà pourquoi, Il peut sauver parfaitement ceux qui s‘approchent de Dieu par Lui, puisqu’Il est toujours vivant pour intercéder en leur faveur.» (Hébreux, ch.7: 24-25) Version Catholique du chanoine Crampon
Paul Adam, docteur en Ph. et Th.,

UN MOT DE TÉMOIGNAGE SUR SA CONVERSION.
«La Loi a été donnée par Moise, mais la grâce et la vérité
sont venues par Jésus-Christ.» (Jean, ch.1 : 17)
Vers la fin de 1948, le curé Adam se mit à lire assidûment les Saintes Ecritures, surtout le Nouveau Testament.

1) CONSTATATION
(Le clergé Juif a présenté la LOI de Moise comme moyen de salut, au lieu de prêcher le Messie, venu de Dieu, pour effacer le péché du monde)
D’abord, il se rendit compte qu’il y avait une double justice : celle des hommes et celle de Dieu. Car il est écrit :
«En vérité, Je vous le dis, Si votre justice ne surpasse pas celle des Scribes et des Pharisiens, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux.» (Matt., ch. 5:20)
Le clergé Juif avait commis l’erreur de présenter la LOI de Moise comme un moyen de salut, alors qu’elle n’était qu’un pédagogue ou un guide conduisant au Christ. (Galates, ch.3 : 24)
Car, dans ce temps-là, tout comme de nos jours encore, on croyait que la religion pouvait sauver le monde, alors qu’en réalité elle ne procurait qu’une justice purement humaine et, par conséquent, impuissante à faire entrer qui que ce fut, dans le royaume de Dieu.
C’est pour cela que le Christ est venu et se présenta comme le SAUVEUR du monde, en disant :
«Je suis le chemin, la vérité et la vie ;
Personne ne vient au Père que par MOI.» (Jean, ch. 14:6)
Malheureusement, le clergé Juif refusa d’accepter le plan du salut gratuit de Dieu par la foi en Jésus-Christ et il continua à précher la LOI de Moise ou le Judaisme. En effet, il est écrit :
«Le Christ vint chez les siens et les siens ne Le reçurent pas.» (Jean, 1 : 11)
«Car les Juifs, ne connaissant pas la justice de Dieu et cherchant à établir leur propre justice, ne se sont pas soumis à la justice de Dieu, puisque la fin de la LOI, c’est le Christ pour la justification de tout homme qui croit.» (Rom., ch. 0:3-4)

2) INTERROGATION
En présence d’une telle tragédie, le curé Adam se demanda s’il n’était pas en train de faire la ême chose que le clergé Juif en présentant le ROMANISME (la religion catholique romaine) comme moyen de salut.
A) Il se mit à étudier l’Histoire et les Pères de l’Église, tout en scrutant son Nouveau Testament. Il ne tarda pas à se rendre compte que le catholicisme des premiers siècles n’était que la continuation habile et déguisée du Judaisme, sous les apparences du Christianisme initial et avec un contrôle absolu de la part de l’Empereur romain.
Il s’aperçut que le catholicisme n’aurait jamais dû accepter le mariage de l’Église avec l’État, sous le règne de Constantin. Car ce fut là le commencement officiel du régime de la POLLUTION au sein du catholicisme, c’est-à-dire,
(a) politique, finance et religion ensemble,
(b) coutumes, pratiques et rites païens,
(c) innovations doctrinales des Conciles,
(d) tradition ecclésiastique ajoutée à la Bible.

B) Il lut, dans l’Évangile, comment le clergé Juif a été dénoncé par le Christ pour ses fausses apparences de piété, de justice et de sainteté :
«Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous purifiez le dehors de la coupe et du plat, alors que le dedans est rempli du produit de la rapine et de ‘intempérance.
Nettoyez, d’abord, l’intérieur du vase, afin que le dehors aussi devienne pur.
Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis qui paraissent beaux au dehors et qui, au dedans, sont pleins d’ossements de morts et de toute espèce d’impureté.
Ainsi, vous paraissez justes aux yeux des hommes, mais, au dedans, vous êtes remplis d’hypocrisie et d’iniquité». (Matt., 23:25-29)
C) Enfin, il vit comment le Seigneur condamna les Scribes et les Pharisiens pour leur rituel purement extérieur et leurs traditions humaines :
«Ce peuple m’honore des lèvres, mais leur coeur est loin de Moi.
Vain est le culte qu’ils me rendent, donnant des enseignements qui sont des préceptes d’hommes.
Car vous laissez de côté le commandement de Dieu pour vous attacher à la tradition des hommes.. Ainsi, vous néantissez la Parole de Dieu par la tradition que vous transmettez». (Marc, 7 : 7,8,13)


3) DÉCISION
Lorsque le curé Adam fut persuadé qu’il jouait le rôle des Scribes et des Pharisiens en prêchant une religion qui ne produisait qu’une justice purement humaine et inefficace pour l’obtention du royaume de Dieu, il demanda à l’Éternel de lui donner le courage et la force de revenir pour de bon au christianisme Primitif.

OBÉISSANCE IMMÉDIATE ET AVEUGLE
À LA GRANDE COMMISSION
A)
En premier lieu, il se soumit volontiers au plan de Dieu pour avoir la vie éternelle, tel que cela fut prêché par le Christ et les Apôtres : la repentance, la Foi et l’immersion.
Car il est écrit :
«Repentez-vous et croyez à l’Evangile.
Quiconque croira et sera baptisé sera sauvé.» (Marc, ch.1: 15; 16:16)
«Repentez-vous et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ pour la rémission des péchés, et vous recevrez le don du St-Esprit. (Actes, ch.2 : 38)
Convaincu de péché, de justice et de jugement par suite de l’action du St-Esprit,
a) il se reconnut comme un pécheur coupable et perdu devant Dieu,
b) il accepta Jésus comme son Sauveur, son Médiateur et son Souverain Pontife,
c) puis, il descendit dans les eaux du baptême pour se faire immerger, à l’exemple du Christ dans le Jourdain.
En agissant de la sorte, il devenait un croyant ou chrétien évangélique authentique. Il appartenait à l’Eglise du Christ et toute la famille de Dieu l’appelait: le frère Adam.
B)
Ensuite, il se fit un devoir d’être assidu à l’enseignement des Apôtres, aux réunions communes, à la fraction du pain et aux prières. Ainsi, il croissait en sagesse et en grâce devant Dieu et devant les hommes.
C)
Enfin, il renonça officiellement au système catholique romain et se fit un plaisir d’annoncer l’Évangile tant au Canada qu’aux États-Unis, en prêchant ouvertement le salut gratuit de Dieu par la foi en Jésus-Christ, tout comme l’apôtre Paul :
C’est ainsi qu’il allait prêcher la Parole de Dieu tant aux États-Unis qu’au Canada. Et il n’avait pas peur de dire avec l’apôtre Paul :
«C’est par grâce que vous êtes sauvés par le moyen de la foi; Cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie.» (Éph. 2 : 8)
«Car c’est en croyant de coeur au Seigneur Jésus qu’on est justifié et c’est en confessant de bouche Son Nom qu’on est sauvé.» (Rom. 10: 10)
«Je n’ai point honte de l’Evangile, car c’est une FORCE DIVINE pour le salut de tout homme qui croit.
En effet, dans l’Évangile est révélée une justice de Dieu qui vient de la foi et pour la foi, selon qu’il est écrit : «le juste vivra par la foi». (Rom., 1:16-17)

FAITES DE MÊME ET VOUS VIVREZ

Conversion d'un ex-curé

Témoignage de L. Brancart, ex-prêtre catholique

Avec quelle insistance je demandais chaque jour à Dieu de me donner une foi toujours plus exacte ! Combien tout eût été plus simple si j'avais encore pu me convaincre de la vérité du catholicisme ! Mais plus je priais et méditais la Bible, plus cette religion me paraissait fausse.

Je consultais en confession des prêtres compétents.

Je repris mes propres arguments anti-protestants écrits autrefois et remaniés après ma théologie ; je trouvais aussitôt une réponse à chaque page : j'en étais stupéfaits et quelque peu émerveillé.
Entre temps, je devais chaque jour célébrer la messe. Je me disais : la théologie catholique est fausse mais en tant que commémoration de la mort du Christ, je sais que Dieu agrée ce pain et ce vin. Je ne voyais pas encore à l'époque qu'un chrétien doit s'abstenir de toute participation à une cérémonie où l'on parle à des morts, où l'on prie pour les morts, où l'on prétend que se renouvelle le Sacrifice de la Croix : alors qu'il fut offert une fois pour toutes. Que s'était-il passé ?

Je n'avais jamais pu croire à la prescience divine des futurs libres. Lorsque, quelque temps après l'encyclique "Humani generis", je pris nettement conscience que c'était une doctrine de foi, je dus conclure avec épouvante que je n'étais plus catholique. Je me dis : Tu dois y croire puisque le pape le veut.

Mais je m'aperçus que je ne croyais plus à son infaillibilité. Je fus atterré. Et les autres dogmes ? Je les comparais à l'Ecriture Sainte et trouvais que plusieurs s'y opposaient. Comme je croyais la Parole de Dieu, je ne cru plus le dogme.

En résumé, l'église catholique, en contradiction avec l'Ecriture Sainte, exige qu'on renonce à ses propres convictions et qu'on accepte d'avance ce qu'imposeront ses prêtres en dogmes, en morale et même parfois en philosophie. Or Dieu dit dans Jérémie 17: 5 " Je maudis celui qui se détourne de moi, ne met sa confiance qu'en l'homme et cherche sa force dans les pauvres moyens humains ".

L'église catholique impose la loi et sa loi alors que l'Apôtre Paul affirme que nous sommes sauvés par la "foi du cour", la foi vivante, agissante par la charité. Cette église a le plus souvent remplacé l'inspiration du Saint-Esprit par les prescriptions subtiles et minutieuses.

Elle impose le célibat aux prêtres et aux religieux qui ont prononcé des voux perpétuels et provoque très souvent des scandales honteux ! Elle emploie ou a employé les Sacrements d'une manière vraiment superstitieuse jusqu'à conférer l'extrême-onction à des gens morts depuis une heure, et jusqu'à demander à un enfant de huit jours, lors de son baptême, s'il renonce au pêché ? ( La Bible veut qu'on soit baptisé par immersion alors qu'on croit de tout son cour, c'est l'engagement d'une bonne conscience envers Dieu )

L'église catholique impose de croire que le christ est tout entier corporellement présent dans une mie de pain* consacrée. Qu'est-ce que cela signifie ? *(De nos jours hostie) Elle prétend qu'à la messe, se renouvelle le Sacrifice du Calvaire alors que, selon l'épître aux Hébreux, il a été offert une fois pour toutes ; et institue des prêtres alors que le sacerdoce du Christ est intransmissible, sauf le sacerdoce universel auquel tout chrétien participe.

Elle fait croire que ses prêtres ont plus de pouvoirs que les autres chrétiens et qu'ils sont pratiquement indispensables au salut et qu'ils sont "prêtres pour l'éternité" !

Elle détourne considérablement du Fils de Dieu, du Seigneur Jésus-Christ, par le culte des saints, en particulier de Marie dont cette église dénature et hypertrophie le privilège.

Car celui d'être chrétien est plus grand que celui d'être mère de Jésus, voir évangile de Luc chapitre 11 et le verset 28. Or Dieu interdit d'invoquer les morts, de leur demander du secours.
Parmi ceux auxquels on a recours, certains n'ont jamais existé et ne sont pas sauvés. Elle appelle Marie, médiatrice de toutes les grâces, alors que l'Ecriture Sainte déclare que Jésus-Christ est le seul médiateur entre Dieu et les hommes.

Elle a volatilisé le deuxième commandement de Dieu qui interdit les images religieuses.

Elle vend, pour de l'argent, des choses saintes ou des choses qu'elle prétend saintes ; intentions de messes, droit d'indulgencier certains objets... ; trafique ainsi du Sang du Christ et exploite la crédulité superstitieuse, l'affection familiale et la vanité humaine.

Elle n'obtient l'unité qu'en violant la liberté de conscience
Elle excommunie ceux qui ne reçoivent pas ses doctrines, étrangères à la Bible ou son interprétation de celle-ci ; elle montra ainsi un exemple néfaste trop souvent suivi par beaucoup de protestants et par les sectes qui imposent une profession de foi ou leur interprétation et non la Bible seule. Elle a permis aux rois, même les plus pêcheurs, et aux gouvernements civils de désigner des évêques.

Elle a transmis ses prétendus pouvoirs par une hiérarchie pourrie pendant des siècles, et composée presque exclusivement de grands seigneurs devenus évêques, cardinaux et papes par pure ambition humaine.

Elle eut pour papes et pour cardinaux de jeunes enfants, des bâtards de papes, des favoris de femmes et courtisanes romaines. Que d'évêques obtenant leur charge à prix d'argent ou pour des raisons politiques, soit des rois soit des papes !

Elle impose une interprétation invraisemblable de plusieurs textes de l'Ecriture Sainte: Matthieu 16:18, 24:36, 26:26-28, Jean 14:28, 21-13-17, Philippiens 2: 7, Apocalypse 20: 6..

Elle obtient des miracles toujours d'une manière non biblique. (Or les faux prophètes feront des prodiges jusqu'à séduire les élus eux-mêmes si cela était possible).

Elle a institué tardivement la confession avec absolution sacramental alors que nous ne voyons pas les apôtres y recourir, même où c'eût été indiqué.

Elle tire, de ses scandales mêmes, la preuve de sa légitimité.

Elle interdit qu'on vérifie son enseignement d'après la Bible alors que l'apôtre Paul le recommande (ef. art; 17,11).

Elle est responsable de la tiédeur à l'égard de la Bible et de la superstition d'une quantité de ses membres, d'où leur incompréhension de la Bible ainsi que des répercussions terribles que cela aura sur leur salut.

Je pris aussi mieux conscience de plusieurs autres torts et comportements de cette église :
le formalisme, les prières obligatoirement rapides et forcément machinales,les rites compliqués et si défavorables à la véritable piété ; la mise à mort et la violence, quand elle le pouvait, des autres chrétiens (Je n'apprit clairement que plus tard sa prétention d'en avoir le droit)

l'utilisation quand elle en a l'occasion, de moyens scandaleux ou tous humains pour s'imposer: l'union aux puissances d'argent et aux puissances politiques; son recours, quand elle en eut l'occasion, au glaive de l'Etat pour détruire les autres... chrétiens; le prestige de l'art, de l'apparat, des cérémonies aussi pompeuses que formalistes ; l'autorisation tacite de bien des manquements et même de pêchés pour s'attirer beaucoup d'adhérents ;la fortune colossale du Vatican... Bref elle se comporte comme la
Babylone de l'apocalypse dont il est écrit : " sortez du milieu d'elle, mon peuple " apocalypse 17 : 3-6 et 18 : 4

Les titres et les honneurs accordés aux prêtres et surtout à la hiérarchie, en désobéissance à l'Evangile : Père, révérend père, excellence, grandeur, éminence, révérendissime seigneur, prince éminentissime, très saint père sa prudence tout humaine, son manque d'assurance, son observation des réactions du public avant de déclarer certaines doctrines " de foi " ou de canoniser un défunt
Ses variations importantes en exégèse doctrinale son interdiction de la Bible pendant des siècles, parfois sous peine de mort, et la défense toujours actuelle pour un catholique, de se conformer à la compréhension qu'il en a quand celle-ci diffère de l'enseignement des prêtres. Il est obligé de préférer la parole des hommes à la Parole de Dieu. Comment croire cette église infaillible ? C'était impossible.

Une "bonne soeur" devient une soeur en Christ

Une Carmélite quitte le couvent...

"Mon enfant, ne laisse pas passer la grâce que tu cherches depuis si longtemps. Saisis-la!"
"Comme une biche soupire après le courant d'eau, ainsi mon âme soupire après Toi O Dieu. Mon âme a soif de DIEU, du DIEU vivant"(Psaume 42.2).
J'ai fait avec mon Sauveur, une expérience merveilleuse, expérience qui se renouvelle sans cesse, par sa grâce, depuis que je lui appartiens dans la Vérité.

Dès ma tendre enfance, j'avais soif de connaître DIEU. Une voix intérieure ne me laissait aucun répit, jusqu'au jour où je rencontrai mon Sauveur dans la Vérité et la Lumière de son Evangile. J'ai toujours ressenti le besoin d'un appui solide, d'un refuge, d'une consolation. Ce ne fut donc pas dans ma famille ou dans mon entourage que je pus trouver DIEU; mais je portais au plus profond de moi-même une vocation, la pensée de l'éternité ne me quittait pas, j'avais soif d'infini.

J'ai cherché DIEU dans ma religion. Nous étions catholiques. Mais je ne le trouvais pas. Je l'ai cherché dans la nature que j'aimais beaucoup, mais mon cœur restait insatisfait. Je me rappelle encore comment, à l'âge de 9 ans, n'ayant pu participer à une fête où j'avais été invitée, je ressentis une profonde tristesse et une angoisse à la pensée de toutes ces âmes qui ne pensaient qu'à s'amuser en oubliant leur Créateur et leur Sauveur. Je m'enfuis à l'Eglise, brisée au pied d'une croix et je pleurais.

DIEU, que je ne connaissais pas encore me mettait le fardeau des âmes perdues. Aspirant à une plus grande consécration, et désirant apaiser cette voix intérieure qui me poursuivait, je décidai d'entrer secrètement au couvent. J'avais 23 ans et je fus reçue au Carmel de Beaune en Côte d'Or. Pendant la première année sur les deux que j'y passais, je crus posséder cette paix à laquelle j'aspirais, mais elle fut de courte durée... Puis ce fut la "prise d'habit", cérémonie très émouvante où je fus habillée en blanc, en épouse de Christ, mais hélas dans l'erreur. Dès le lendemain les luttes recommencèrent, mais mon Seigneur me tenait tout de même déjà dans sa main.

Au Carmel, on est à l'essai pendant deux ans, pour voir si l'on supporte une règle si dure. Ce couvent est une véritable prison avec ses barreaux. Nous étions 30 à y vivre. Nous devions nous soumettre à de nombreuses mortifications: les religieuses sont invitées à se frapper dans le dos avec un fouet jusqu'à ce que le sang coule; parfois, l'une de nous devait se coucher sur le seuil de la porte afin que toutes les autres lui marchent dessus en passant; certaines religieuses se mettaient un cilice, c'est à dire un cercle de fer garni de pointes à l'intérieur que l'on se met autour de la taille sur la peau et qui meurtrit douloureusement.

La règle était très austère: 40 jours de jeûne par an, obligation d'observer un silence complet (nous avions tout au plus le droit d'échanger quelques mots après le repas de midi), le lever était fixé à 4 heures du matin, il fallait prier l'hiver pendant des heures dans des locaux non chauffés. La petite Thérèse de Lisieux, une âme sincère déclarée sainte après sa mort, et dont on a fait une véritable idole, a beaucoup souffert du froid, entrée au couvent du Carmel à l'age de 15 ans, elle est morte à 24 ans, tuberculeuse, des privations et la dureté du régime auquel elle avait été soumise; avant de mourir, elle déclara: "il est faux de tenter DIEU jusque là"; elle passa par les mêmes épreuves de foi que moi, mais parce qu'elle avait prononcé déjà des vœux définitifs, elle n'eut pas la permission de sortir, malgré son désir.
Moi non plus, je ne supportai pas ce régime et tombai malade par la grâce de DIEU, le docteur exigea que je sorte du couvent quelques jours avant que je doive prononcer des vœux définitifs. C'est vraiment les ténèbres sous le couvert d'une très grande religion, mais après ma sortie du Carmel, il me fallut plus d'un an pour me réadapter à la vie dans le monde. Je ne pouvais plus me mettre à genoux dans une Eglise. Je désirais toujours de toute mon âme rencontrer DIEU. Ma souffrance intérieure devint terrible, je dus reprendre la lutte seule dans la vie, comme l'oiseau sur la branche, sentant ce vide autour de moi. Après m'être quelque peu rétablie, je pris du travail, mais retombai malade après 6 mois. Ayant dû aller sur la Côte d'Azur à Hyères parmi les palmiers pour ma convalescence, je devais rencontrer mon Sauveur !!


Un jour en me promenant, je suis entrée dans une chapelle où l'on annonçait l'Evangile intégral. Je fus profondément touchée par la simplicité de la prédication et de toute la réunion. Ce fut pour moi une révélation, j'y retournai. Quelques jours après, le Seigneur me parla et me dit: "Mon enfant, ne laisse pas passer la grâce que tu cherches depuis si longtemps. Saisis-la!" Je pleurai beaucoup... Toutes mes objections tombèrent les unes après les autres. Je compris mon grave péché. Je m'adressais à des idoles sans me rendre compte qu'on ne peut aller au Père que par Jésus-Christ qui est le chemin, la vérité, et la vie". Je fus totalement convaincue.

Ce fut une grâce merveilleuse, une illumination: je commençais à comprendre quelque chose à la profondeur de la Croix de Jésus. Jésus est l'Homme de douleur dont parle Esaïe 53, qui s'est chargé de mes péchés et de mes infirmités. Il me pardonna tous mes péchés et m'accorda sa paix qui surpasse toute intelligence, et domine toutes les épreuves. Je connus une joie profonde en découvrant son amour qui ne fait jamais défaut.
Je le bénis pour 1'assurance de la vie éternelle qui commence dès ici-bas. Quel privilège de pouvoir connaitre cette tranquillité profonde et de se savoir conduit jour après jour parfaitement! A une condition cependant: s'abandonner à sa volonté entièrement quoi qu'il nous en coûte. Peu après je reçus le baptême du St-Esprit de puissance selon les promesses. Je comprends maintenant dans la vérité, ce que cela signifie d'être l'Epouse de Christ nous tous qui lui appartenons, nous sommes son Epouse que le St-Esprit prépare pour aller à sa rencontre, vêtue de la robe de fin lin brodé de fleurs. Ces fleurs sont le fruit du St-Esprit: la paix, la joie, l'amour, l'humilité, la douceur...

Il y a aussi les fleurs des sacrifices et des souffrances, qui sont comme une immolation continuelle de nous-mêmes, afin que Jésus paraisse en nous. Il désire que nous soyons sans cesse dans son chemin pour que nous vivions de sa vie de résurrection de victoire en victoire, de découverte en découverte. C'est une vie dans l'abondance. Je bénis le Seigneur pour le chemin de souffrance que j' ai dû suivre après ma conversion et qui m'a permis de mieux connaître mon prochain. Les épreuves dans ma vie se trouvent être les plus grandes bénédictions, car elles me permettent de mieux découvrir la Personne de Jésus, sa Parole et toutes les richesses qui y sont cachées. Combien je suis émerveillée par cette grâce qui m'accompagne et me dépasse!

Un soir à Paris je suis allé voir une jeune fille qui devait entrer le lendemain au couvent des trapistines (règle très stricte, silence absolu, on ne communique que par signes), je rendis mon témoignage et reçus à ce moment l'assurance qu'elle serait sauvée. Un an plus tard j'appris qu'elle avait donné son cœur au Seigneur, avait reçu le baptême par immersion et le baptême du St-Esprit avec les dons spirituels. Le Seigneur m'a également délivrée bien des fois de la maladie uniquement par son intervention. Au Carmel notre but était la contemplation et le ministère de la prière. Cette vocation m'est restée après ma conversion. Par le St-Esprit j'ai compris ce qu'est l'adoration et la vie cachée en Christ, profonde et éternelle, le ministère de la prière pour l'œuvre de DIEU, pour les âmes perdues et pour les serviteurs de DIEU qui ont besoin d'être soutenus.

Que le Seigneur me remplisse toujours plus de son Esprit de grâce et de vérité pour sa seule gloire! il y a un prix à payer pour devenir un véritable disciple du Seigneur qui lui soit agréable. Il ne faut pas s'occuper du "qu'en dira-t-on" ni des critiques, ni des persécutions dont on peut être l'objet... "Car c'est par beaucoup de tribulations que nous entrerons dans le Royaume de DIEU", comme dit l'Apôtre. Mais si nos yeux sont fixés sur Jésus, nous sommes vainqueurs.

Depuis ma conversion, le Seigneur m'a particulièrement mis à cœur la prière pour son retour. Tout en effet indique que nous vivons les derniers temps. Nous devons être parmi les vierges sages dont les lampes sont remplies d'huile. Ces dernières années bien des religieuses, des moines et des prêtres sont venus à la lumière de l'Evangile et j'ai moi-même eu l'occasion de rencontrer bien des catholiques sincères qui ont été touchés par la grâce toute puissante de DIEU et sont venus à la connaissance de la Parole. A Jésus soit rendue toute la gloire!

Odette Chemin

jeudi 10 mai 2007

Rome et l'Union Européenne

Introduction

Aucune institution européenne n'a été plus puissante que le Vatican, et quoique son influence ait décliné à l'époque de la Réforme, il a nettement repris vigueur au cours des deux siècles passés. Les nations européennes protestantes qui avaient rejeté le joug religieux, politique, et économique d'une Eglise Romaine totalitaire semblent être à nouveau en passe de l'accepter aveuglément.

Etant exempte d'impôts en Italie, la Banque du Vatican est en mesure de manipuler nombre des plus importantes multi-nationales dans le monde. Cette influence-là est peu de chose, cependant, à côté du pouvoir qu'elle exerce dans la sphère politique et religieuse. L'auteur de l'ouvrage "Inside the Vatican", un prêtre Jésuite, écrit ceci : "Malgré l'importance de la papauté dans l'Eglise catholique, malgré son rôle prééminent dans les affaires internationales, son fonctionnement interne est largement ignoré des Catholiques, des leaders mondiaux, et du monde dans son ensemble" (1).

Ce manque de connaissances est particulièrement flagrant en ce qui concerne le rôle joué par le Vatican dans la construction de l'Union Européenne. Si les nations protestantes de l'Europe veulent rester libres, il faut qu'elles se penchent sur la question de Rome et de l'Union Européenne pour l'apporter à notre Dieu dans la prière. Sinon, elles ne risquent rien de moins qu'un retour de l'Inquisition.

Nous invitons les lecteurs à examiner avec le plus grand soin cette étude au sujet d'une des institutions les plus puissantes du monde actuel. Notre but est de donner l'alerte, et d'encourager d'autres à le faire également.

La Rome papale et l'Union Européenne

La Rome papale jouit, dans une large mesure, du respect et de l'admiration du monde. Bien organisée, digne, détentrice d'autorité, elle offre l'image de la réussite. La personne du pape reste nimbée d'éloges inconditionnels d'un pontificat à l'autre ; l'Eglise de Rome est seule à connaître cet avantage auquel aucune autre institution au monde ne peut prétendre. Quand Rome se prononce sur une question morale, ses paroles ont un poids considérable. La papauté jouit d'une considération telle qu'il se trouve même des Evangéliques pour l'accepter, et la plupart de ces derniers ont cessé de contester ses doctrines.

Pourquoi donc prendre position contre ce flot d'approbations que nous observons actuellement ? Nous le faisons parce que le Seigneur Dieu nous commande de proclamer Sa vérité et d'avertir de Sa part. En effet, toutes choses ne sont pas ce qu'elles paraissent être. Nous croyons que le grand prédicateur britannique, feu Martyn Lloyd-Jones, a vu juste quand il a déclaré : "L'Eglise Catholique Romaine est une contrefaçon, un faux-semblant ; elle représente une des pires formes de prostitution, une des plus diaboliques. Elle maintient les âmes des siens dans une captivité absolue : et tout comme le communisme et le nazisme, elle est elle-même un système totalitaire". (2)

Les déclarations papales au sujet de l'Europe

Le 31 août 2003, le Pape Jean-Paul II a confié l'avenir de la nouvelle Europe à la Vierge Marie. L'agence de presse catholique Zenit évoque cet événement en ces termes :

"C'est entre les mains de Marie qu'il a placé l'Europe, afin que ce continent devienne 'une symphonie de nations qui s'engagent à bâtir ensemble une civilisation d'amour et de paix.' Dimanche dernier, le Saint Père a demandé instamment que la version définitive de la Constitution de l'Europe reconnaisse explicitement les racines chrétiennes du Continent, car 'ces racines sont la garantie de son avenir'." (3)

L'enseignement officiel de Rome montre bien que cette déclaration sur "les racines chrétiennes du Continent" est un trompe-l'œil. Quand le Pape ou son Eglise emploient le mot "chrétien", en fait ils veulent dire "catholique romain". Un décret officiel récent de Rome condamne "la tendance... à lire et interpréter la Sainte Ecriture en-dehors de la Tradition et du Magistère de l'Eglise." (4)

Rome proclame officiellement que l'Eglise Chrétienne, l'Eglise de Christ n'est autre que l'Eglise catholique. Son décret est rédigé en ces termes : "Il existe donc une unique Eglise du Christ, qui subsiste dans l'Eglise Catholique, gouvernée par le successeur de Pierre et les Evêques en communion avec lui." (5)

De même que les nazis ont déclaré que les non-aryens étaient non-humains, de même l'Eglise de Rome déclare que les autres églises sont des non-églises. Voici sa déclaration officielle : "Les communautés ecclésiales qui n'ont pas conservé l'Episcopat valide et la substance authentique et intégrale du mystère eucharistique, ne sont pas des églises au sens propre" (6). Dans le même document, Dominus Iesus (5 septembre 2000), la note 51 fait référence à un décret qui affirme : "Nous déclarons, disons, précisons et proclamons à toute créature humaine que pour son salut elle dépend entièrement, par nécessité, du Pontife de Rome." (7)

Ainsi la pensée de Rome s'exprime au travers de ses décrets officiels. Lorsque les pays protestants auront pris des engagements envers cette entité supra-nationale qu'est l'Europe et envers la constitution européenne, le plan du Vatican pour "rechristianiser" l'Union Européenne sera mis en œuvre. Comme l'a dit le "Sunday Telegraph" de Londres, "Le Pape se prépare tranquillement à revêtir le manteau qui est le sien, avec la solennelle conviction que c'est une charge de droit divin : son manteau de nouveau Saint-Empereur Romain, afin d'étendre son règne de l'Atlantique jusqu'à l'Oural ." (8)

Lire la totalité de l'article sur le site Source de Vie

Les dogmes catholiques

--- Les étapes de l'église romaine ---

C'est un tableau chronologique. Il est intéressant de savoir comment et quand les dogmes ont pris naissance. On constatera alors que l'homme a fortement falsifié de ses mains sales et malhabiles, tout ce que le Seigneur de la douceur et de l'amour nous avait apporté :


La prière pour les morts débute vers l'an --------------------------- 210
On commence à brûler des cierges vers --------------------------- 320
Le culte des saints et des anges s'établit vers -------------------- 375
La messe en latin date de ---------------------------------------------- 394
Le culte de Marie se développe vers -------------------------------- 430
L'idée de la sainte vierge, mère de Dieu apparaît en ------------ 481
Les prêtres s'habillent autrement que les laïcs en ---------------- 500
Le purgatoire est découvert en ----------------------------------------- 593
Le culte en langue inconnue du peuple est instauré en --------- 600
Le Pape Boniface (111) reçoit le titre d'évêque Universel en --- 606
Le culte des images et des reliques est imposé en --------------- 788
L'eau bénite apparaît vers ----------------------------------------------- 850
Le culte de « saint-Joseph » débute vers -------------------------------- 900
La canonisation des saints en ----------------------------------------- 993
Le célibat obligatoire des prêtres ------------------------------------ 1074
L'infaillibilité de l'église est instituée en ----------------------------- 1076
L'usage du chapelet s'introduit en ------------------------------------ 1100
La doctrine des 7 sacrements est enseignée en ------------------ 1140
La vente des indulgences date de ----------------------------------- 1190
On substitue l'hostie au pain ordinaire dans l'Eucharistie ------- 1200
Le dogme de la transsubstantiation (transformation de la substance
du pain et du vin en chair et en sang) en---------------------------- 1215
La confession auriculaire est imposée en -------------------------- 1215
La clochette de la messe date de ------------------------------------ 1227
Les cardinaux portent des chapeaux rouges depuis ------------- 1245
La fête-Dieu date de ----------------------------------------------------- 1264
L'avé Maria de ------------------------------------------------------------- 1316
La procession de Saint Sacrement de --------------------------------1439
La doctrine du purgatoire n'est officiellement reconnue qu'en -- 1439
La tradition romaine mise au niveau des Écritures en ------------ 1546
Le concile de (Trente proclame officiellement la doctrine des 7 sacrements)-- 1547
La vierge apparaît à la Salette en ------------------------------------- 1846
Le dogme de l'Immaculée conception est proclamé en --------- 1854
La doctrine du pouvoir temporel est acceptée en ---------------- 1864
Le dogme de l'infaillibilité du Pape dans de ------------------------- 1870

Ainsi donc, en l'an 300, le catholique ne connaît ni le purgatoire, ni la communion, ni la procession de Sacrement, ni l'infaillibilité de l'Église et du Pape, ni le culte des morts, ni la fête-Dieu, ni le célibat des prêtres, ni les 7 sacrements, ni les saints, ni la Vierge, ni Joseph, ni les anges, ni les images, ni les reliques, ni les clochettes, ni les chapelets.
Comment les catholiques expliqueront-ils que les chrétiens primitifs furent sauvés quand même, à cause de leur foi en une Parole infaillible, sans eau bénite, ni latin, ni cierge.

Jésus dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie.
Nul ne vient au Père que par moi.

La transsubstantiation


Pendant la messe, les prêtres prétendent avoir le pouvoir extraordinaire de transformer le pain et le vin en véritables corps et sang de Jésus-Christ : "Le Concile de Trente résume la foi catholique en déclarant : <>" Article #1376, p. 360

L'église catholique adhère toujours à cette doctrine qui a été définie au Concile de Trente :
"Au coeur de la célébration de l'Eucharistie il y a le pain et le vin qui, par les paroles du Christ et par l'invocation de l'Esprit Saint, deviennent le Corps et le Sang du Christ." Article #1333, p. 348 Le catéchisme spécifie même le moment exact de la venue de Christ dans l'eucharistie et combien de temps Il y reste : "La présence eucharistique du Christ commence au moment de la consécration et dure aussi longtemps que les espèces eucharistiques subsistent. Le Christ est tout entier présent dans chacune des espèces et tout entier dans chacune de leurs parties, de sorte que la fraction du pain ne divise pas le Christ." Article #1377, p. 360

Puisque le catholicisme incite ses membres à prendre part à ce qui s'apparente à du cannibalisme, cette doctrine doit être examinée sérieusement.

Pour commencer, nous devons déterminer son origine. Est-elle de Dieu, ou est-ce une tradition humaine ? Le catholicisme insiste sur le fait qu'elle est scripturale, citant en cela les mots de Jésus dans Jean 6 :
"Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'avez point la vie en vous-mêmes. Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour." Jean 6.53-54 Bien que ce verset semble, en effet, enseigner le cannibalisme, le sens véritable apparaît quand on lit ce passage dans son contexte. Juste avant cette déclaration, Jésus a dit : "Car le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde. Ils lui dirent : Seigneur, donne-nous toujours ce pain. Jésus leur dit : Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif." Jean 6.33-35

Cet enseignement est conforme au reste des Ecritures. La vie éternelle vient de la foi en Jésus-Christ, pas en la consommation de Son corps. Le Seigneur clarifie encore ses propos :
"La volonté de mon Père, c'est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour." Jean 6.40
Une fois encore, Jésus insiste sur le fait que la vie éternelle vient de la foi en Lui. Quand ses disciples murmurèrent à propos de Ses paroles, Jésus expliqua :
"C'est l'esprit qui vivifie ; la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie." Jean 6.63 Jésus parlait de manière spirituelle, et non pas physique. Il expliquait que spirituellement, toute vie provient de la foi en Lui. Il ne parlait pas de manger Son corps ! Nulle part ailleurs dans la Bible, Dieu ne permet le cannibalisme.

En réalité, Il en interdit la pratique :
"Seulement, vous ne mangerez point de chair avec son âme, avec son sang." Genèse 9.4 "C'est pourquoi j'ai dit aux enfants d'Israël : Personne d'entre vous ne mangera du sang, et l'étranger qui séjourne au milieu de vous ne mangera pas du sang." Lévitique 17.12 Dieu ne commanderait jamais à Ses enfants de faire quelque chose qu'Il a déjà interdit. Le but biblique Les instructions de Paul en 1 Corinthiens 11 jettent encore plus la lumière sur ce sujet : "Car j'ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné ; c'est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi." 1 Corinthiens 11.23-24 Quand Jésus dit : "Prenez et mangez, c'est mon corps", Il ne demandait pas aux disciples de se saisir de Lui et de mordre ! C'est même ridicule de le suggérer !! Il parlait de manière spirituelle de ce qu'il allait accomplir sur la croix.

Notez que le passage se termine par : "faites ceci en mémoire de moi." Observer le repas du Seigneur est une commémoration de ce qu'a fait le Christ au Calvaire, pas un recommencement. La même chose est vraie pour le sang du Christ :
"De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez." 1 Corinthiens 11.25 Jésus lui-même a enseigné la même leçon à Ses disciples au dernier repas : "Ensuite il prit du pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant : Ceci est mon corps, qui est donné pour vous ; faites ceci en mémoire de moi." Luc 22.19

Conclusion

Etant donné que la transsubstantiation est une autre tradition catholique non conforme aux Ecritures, plusieurs questions intriguantes se posent :
Pourquoi l'église catholique extrait-elle délibérément un verset de son contexte et construit-elle une doctrine que la Bible, de toute évidence, n'enseigne pas ? Pourquoi l'église catholique préfère-t-elle que vous "mangiez Dieu" plutôt que de vous voir placer votre confiance en Lui ? Plus important encore : pouvez-vous, en toute connaissance de la vérité, continuer à pratiquer cet acte ? " Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché." Jacques 4.17

samedi 5 mai 2007

L'assomption de Marie

Histoire de la fête non-biblique de l'Assomption de la Vierge

La fête de l'Assomption, célébrée partout dans le monde à la date du 15 août, a été créée par l'église catholique romaine au XIXe siècle pour honorer la vierge Marie immaculée, mère de Dieu. La doctrine qui a fondée cette fête déclare que la vierge Marie n'a pas connu la corruption en chair et en os, mais qu'elle a été élevée au ciel, pour y être investie de la toute-puissance de Dieu. Cette doctrine non-biblique a reçu le sceau de l'infaillibilité pontificale. C'est le Pape Pie XII qui, le 1er novembre 1950, proclama le dogme de l'assomption de Marie au ciel.

Dans le système babylonien, cette doctrine était déjà toute préparée : on y enseigne que le grand dieu Bacchus descendit en enfer, y arracha sa mère des puissances infernales et l'emporta avec lui en triomphe dans les airs (Apollodore, III, 5). Les chinois possèdaient aussi dans leur panthéon le même récit. Ils fêtaient cette légende en août avec des candélabres et des lanternes.

Chez les babyloniens, la mère du faux-messie Mithra fut associée à la pureté d'une colombe, et dotée de pouvoirs purificateurs. Elle est également invoquée ainsi dans les hymnes des Mystères orphiques :

"Associée aux saisons, essence lumineuse,
Vierge toute-puissante revêtue d'une lumière céleste".

Pausanias déclare (Liv. IV, Messenica, 33) que Proserpine, femme de Pluton, roi des enfers, était adorée comme la Sainte-Vierge, non seulement pure de tout péché mais également née de conception immaculée. Lien évident avec la Madone romaine. Pour plus de détails sur ce culte idolâtre, visitez l'exposition "la Grande Babylone" qui paraîtra à la fin du mois d'août 2002 sur www.bibliorama.com, une nouvelle expo abondamment illustrée spécialement consacrée aux influences du paganisme qui ont souillé le culte Catholique.

Ne croyez pas toutes les traditions religieuses qu'on vous enseigne mais examinez-les soigneusement. Car la prophétie biblique déclare que le diable est rusé et qu'il se déguise en ange de lumière pour séduire les peuples de la terre :

2 Corinthiens 11:14
Satan lui-même se déguise en ange de lumière.

Apocalypse 13:2
Et la bête que je vis ressemblait à un léopard; ses pieds étaient comme ceux d'un ours, et sa gueule comme la gueule d'un lion. Et le dragon lui donna sa force, et son trône, et un grand pouvoir. (...) 4 Et on adora le dragon qui avait donné son pouvoir à la bête; on adora aussi la bête, en disant: Qui est semblable à la bête, et qui pourra combattre contre elle ? 5 Et on lui donna une bouche qui disait de grandes choses et des blasphèmes.

vendredi 4 mai 2007

Les livres apocryphes


Que penser des livres apocryphes ou "deutérocanoniques"?


La Bible comprend l'Ancien et le Nouveau Testament.
Dieu a révélé le premier aux Juifs, et le second aux Chrétiens ; l'ensemble constitue la révélation de Dieu à l'homme.


L'ANCIEN TESTAMENT comprend 39 livres
LE NOUVEAU TESTAMENT comprend 27 livres.
Si toutes les traductions françaises de la Bible contiennent 27 livres dans le Nouveau Testament, nous devons signaler que certaines traductions comportent 46 livres dans l'Ancien Testament au lieu de 39. Pourquoi ?


CERTITUDE DU CANON JUIF

Un écrivain inspiré tel que l'apôtre Paul reconnaît que les oracles de l'Ancien Testament ont été confiés aux Juifs (Romains 3 v. 2), c'est donc vers eux que nous devons nous tourner pour connaître les Écrits révélés par Dieu à son peuple. Une simple consultation des textes hébraïques ou des versions juives (par exemple celle du Rabbinat français) nous montre que les Juifs acceptent 39 livres comme inspirés.

La position de la communauté Juive n'a jamais changé et nous prendrons à témoin l'historien Josèphe qui affirme que le nombre de livres tenus pour divins par les Juifs sont au nombre de 22 et qui repousse les autres livres, écrits depuis Artaxerxès, comme n'ayant qu'une autorité humaine. Or c'est le cas de ces livres qui ont été ajoutés à l'Ancien Testament, après que le dernier prophète, Malachie, ait écrit son livre.


D'OÙ VIENNENT LES APOCRYPHES?

On a appelé Apocryphes, c'est-à-dire, cachés, douteux, ces livres dont les Juifs ont toujours nié l'inspiration et qui se trouvent actuellement dans certaines versions de la Bible. Quoique compris sous un même nom, ils n'ont presque rien de commun entre eux : ils diffèrent non seulement par le sujet et par la forme mais encore par le pays d'où ils proviennent (Palestine, Égypte) et par la langue originale (Hébreu, Araméen, Grec).
Au troisième siècle avant notre ère, la langue grecque était la plus répandue. Ptolémée Philadelphe, pour garnir son impressionnante bibliothèque, demanda la traduction des écrits religieux juifs. C'est ainsi qu'apparut la version des « Septante », traduction grecque des écrits inspirés juifs, auxquels furent ajoutées diverses narrations profanes.


Le Nouveau Testament, écrit en grec, se réfère souvent aux écrits de l'Ancien Testament, et cite celui-ci dans la traduction grecque de la version des « Septante », mais jamais les « apocryphes » ne sont cités ni par notre Seigneur Jésus-Christ ni par aucun des auteurs inspirés.
Au quatrième siècle, la langue commune est le latin. C'est ainsi que Jérôme, secrétaire du pape, est chargé de traduire la Bible dans la langue de Virgile. Après avoir traduit le Nouveau Testament, il essaie, selon les ordres reçus, de traduire l'Ancien à partir de la version des « Septante » qui contient précisément les apocryphes. Jérôme est un homme de grand savoir, un « Père de l'Église », aussi son avis sur la question des apocryphes est-il fondamental. Il confesse que s'il a traduit ces fables, ce n'est que pour se prêter aux préjugés du peuple; mais qu'il les a marqués d'un style « afin, en quelque sorte, de les égorger ».


Nous pourrions donner le témoignage d'ecclésiastiques aussi connus que : Eusèbe, Origène, Hilaire de Poitiers, Athanase, Cyrille de Jérusalem, Épiphane, Grégoire de Naziance, Rufin, Augustin et beaucoup d'autres évêques et docteurs qui affirment que les apocryphes ne sont pas les oracles de Dieu. C'est finalement Augustin qui fit admettre les apocryphes aux Conciles d'Hippone et de Carthage mais seulement comme livres qui pourraient être lus et cités.

Au seizième siècle, au concile de Trente (1546 - 1563), les autorités ecclésiastiques réunies ratifièrent l'exclusivité de la Vulgate comme version officielle de l'Église romaine; mais elles prirent soin, au préalable, de supprimer la note d'introduction de Jérôme au sujet des apocryphes, qui furent alors portés au bénéfice d'une prétendue inspiration divine: ils devinrent les livres « deutérocanoniques » (deuxième canon).

Voici un extrait du prologue de Jérôme qui a été supprimé : « tout ouvrage qui ne figure pas parmi les 24 livres (Initialement on en comptait 22 ou 24 mais il s'agit toujours des mêmes écrits regroupés de façon différente.

Par exemple, les douze « petits prophètes » ne comptaient que pour un livre dans les anciennes éditions.) de la Bible hébraïque, doit être considéré comme apocryphe, c'est-à-dire non canonique. »
Jusqu'au vingtième siècle, toutes les traductions catholiques ont été faites sur la Vulgate, ce qui explique que ces traductions contiennent 46 livres dans l'Ancien Testament, au lieu de 39.


LISTE DES APOCRYPHES SE TROUVANT DANS CERTAINES ÉDITIONS

Le Concile de Trente n'a pas pu accepter la totalité des apocryphes de la Septante; il en a fait une sélection dont nous donnons la liste ici :
- Le livre de Tobie (ou Tobit) - Le livre de Judith - Le livre de la sagesse - Le livre du siracide (ou l'Ecclésiastique) - Le livre de Baruch (y compris La lettre de Jérémie) - Le premier livre des Macchabées - Le second livre des Macchabées - Les suppléments grecs d'Esther - Les suppléments grecs de Daniel: Le cantique des 3 jeunes Hébreux + L'histoire de Suzanne + L'histoire de Bel et le Dragon

LES APOCRYPHES SONT INACCEPTABLES

Voici quelques raisons qui nous montrent que les apocryphes ne peuvent être acceptés comme la Parole de Dieu:
1) Les Juifs, dépositaires des oracles divins, ne les ont jamais acceptés. 2) Ni Jésus-Christ, ni ses apôtres ne s'y sont jamais référés. 3) Ils n'ont jamais été acceptés par l'Église primitive. 4) Jérôme, le traducteur de la Vulgate, a eu soin de mettre en garde contre ces écrits non inspirés qui figurent dans sa traduction. Il écrit: « J'ai cédé à votre demande, ou plutôt à votre persécution, traduisant plutôt d'après le sens que mot à mot. » 5) Il faut attendre l'an 1546, donc environ 1700 ans après leur rédaction, pour que ces livres soient reconnus comme inspirés. 6) Malachie, le dernier prophète de l'Ancien Testament nous renvoie directement à Jean-Baptiste pour la suite de la révélation (Malachie 4 v. 4-6; Matthieu 11 v. 13-16) ce qui est d'ailleurs confirmé par les apocryphes eux-mêmes. (1 Macc. 9 v. 27) 7) Les écrivains des apocryphes ne se présentent pas comme inspirés mais comme des écrivains ordinaires (1 Macc. 4 v. 46; 2 Macc. 2 v. 19-32; 15 v. 37-39) 8) Ces livres contiennent des doctrines qui sont opposées à celles des livres inspirés: 8.1. l'efficacité des prières pour le salut des morts (2 Macc 12 v. 43-46 comparer avec Luc 16 v. 17-31)
8.2. la justification par des oeuvres de la loi (Tobie 12 v. 9 ; Ecclés. 35 v. 2-4 comparer Galates 2 v. 16; Ephésiens 2 v. 8-10, Romains 3 v. 20, 24)
8.3. la perfection sans péché (Sagesse 8 v: 19-20 comparer Psaume 51 v. 5; Romains 5 v. 12)
8.4. le suicide est justifié et raconté avec des détails fabuleux (2 Macc 14:41-46 comparer Exode 20:13)
9) Ces livres contiennent des fables et des faits contraires au sobre bon sens (2 Macc 1 v. 19-22; 2 v. 4-7)
10) Ces livres contiennent de très nombreuses contradictions historiques :


- Alexandre partage de son vivant son royaume à ses généraux (1 Macc 1 v. 6 comparer Daniel 8 v. 21-22)
- le même roi meurt de 3 manières différentes (1 Macc 6:16; 2 Macc 1:16; 9:28)
- Daniel passe une nuit dans la fosse aux lions (Daniel 6:1-23) ou 6 jours d'après le supplément grec (Daniel 14:31)
- Mardochée est présenté comme ayant été transporté à Babylone par Nébucanetsar (Esther grec 11: 4) ce qui implique que sa cousine Esther avait environ 100 ans quand elle fut sélectionnée comme la plus belle jeune fille du royaume...

CONCLUSION

Les fausses doctrines et les contradictions contenues dans les apocryphes prouvent à l'évidence que ces livres ne peuvent être le langage de l'Esprit de vérité: savoir la Parole même de Dieu!
Si votre Bible possède ces textes, ce n'est pas pour autant qu'il faut la rejeter. Lisez d'abord tous les textes inspirés et vous serez alors en mesure de discerner par vous-même la non inspiration de ces additions dont certaines, comme le premier livre des Macchabées, présentent un intérêt historique non négligeable.

La confession des péchés


La confession de ses péchés à un prêtre


Concernant le pardon des péchés, deux doctrines contestables doivent être examinées. La première stipule que tous les péchés doivent être confessés à un prêtre :


" Celui qui veut obtenir la réconciliation avec Dieu et avec l'Eglise, doit confesser au prêtre tous les péchés graves qu'il n'a pas encore confessés et dont il se souvient après avoir examiné soigneusement sa conscience. Sans être en soi nécessaire, la confession des fautes vénielles est néanmoins vivement recommandée par l'Eglise" Article #1493, p. 388"

L'aveu au prêtre constitue une partie essentielle du sacrement de Pénitence" Article #1456, p. 379
"Il est appelé sacrement de la confession puisque l'aveu, la confession des péchés devant un prêtre est un élément essentiel de ce sacrement." Article #1424, p. 371
Le catholicisme demande aux fidèles de confesser leurs péchés à un homme, mais la Bible nous dit que ceux qui sont nés dans la famille de Dieu peuvent se présenter directement devant le trône de Dieu pour recevoir le pardon de leurs péchés :
" Je t'ai fait connaître mon péché, je n'ai pas caché mon iniquité ; j'ai dit : j'avouerai mes transgressions à l'Éternel ! Et tu as effacé la peine de mon péché " Psaume 32.5 "

Si nous confessons nos péchés, il [Dieu] est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. " 1 Jean 1.9
David confessa ses péchés à Dieu quand il pria :" Lave-moi complètement de mon iniquité, et purifie-moi de mon péché. Car je reconnais mes transgressions, et mon péché est constamment devant moi. " Psaume 51.2-3

Voici pourquoi les vrais chrétiens ont accès au trône de Dieu :
" Ainsi donc, frères, puisque nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire par la route nouvelle et vivante qu'il a inaugurée pour nous au travers du voile, c'est-à-dire, de sa chair, et puisque nous avons un souverain sacrificateur établi sur la maison de Dieu, approchons-nous avec un coeur sincère, dans la plénitude de la foi, les coeurs purifiés d'une mauvaise conscience... " Hébreux 10.19
Grâce au sang innocent répandu par Jésus sur la croix, nous avons la possibilité d'aller directement nous adresser à Dieu pour le pardon de nos péchés.


L'exemple de Pierre :
Dans le livre des Actes, un homme appelé Simon vint trouver celui qu'on prétend être le premier pape, Pierre, désirant acquérir le pouvoir du Saint-Esprit.
Confesser à lui sans plus attendre ? Non ! Pierre lui conseilla de se repentir, de confesser ses péchés à Dieu et de demander à Dieu de lui pardonner (lire Actes 8.18-22).


Les prêtres peuvent-ils pardonner les péchés ?
La seconde doctrine contestable suggère que les prêtres catholiques ont le pouvoir de pardonner les péchés :" Seuls les prêtres qui ont reçu l'autorité de l'Eglise la faculté d'absoudre peuvent pardonner les péchés au nom du Christ." Article #1495, p. 389 (voir aussi Article #1448, p. 377)

Ici aussi, la doctrine catholique s'oppose à la Parole de Dieu :
" Qui peut pardonner les péchés, si ce n'est Dieu seul ? " Marc 2.7 " La nouvelle que nous avons apprise de lui, et que nous vous annonçons, c'est que Dieu est lumière, et qu'il n'y a point en lui de ténèbres. [...] Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. " 1 Jean 1.5,9
Le catholicisme enseigne que le prêtre est un médiateur entre Dieu et les hommes (l'article #1456, p. 380, parle en effet de la remise de péché par l'intermédiaire du prêtre).

Cependant, la Bible ne reconnaît qu'un médiateur :" Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ ... " 1 Timothée 2.5
Une fois encore, le catéchisme admet que ce ne sont pas des commandements de Dieu, mais des traditions humaines :" Les Pères de l'Eglise présentent ce sacrement comme <<>>" Article #1446, p. 377


Encore plus d'obligations
" D'après le commandement de l'Eglise, <<>> " Article #1457, p. 380

Encore un autre devoir envers l'Eglise.

Les pères de l'église ont créé cette tradition dans le but avoué de resserrer leur emprise sur les fidèles catholiques.Et quelle arme sournoise, utilisée contre les catholiques du monde entier ! En substance, si un fidèle quitte l'église, il ne pourra plus obtenir le pardon de ses péchés ... et ne pourra donc plus aller au paradis !


Rappelez-vous ! Aucune de ces doctrines ne vient de Dieu ! Elles sont toutes sorties de l'imagination humaine.

Que Dieu ouvre spirituellement vos yeux et vous donne une pleine compréhension de la réalité, pour que vous puissiez comprendre l'étendue de l'emprise que cette religion a sur vous.Que Dieu vous montre que vous n'avez pas besoin de rester captif d'une religion plus longtemps. Jésus-Christ veut vous en libérer.


Conclusion
Des millions de fidèles catholiques se pressent dans les confessionnaux, persuadés que le prêtre a le pouvoir de pardonner leurs péchés.Et vous ? Où irez-vous pour obtenir le pardon de vos péchés ? Irez-vous consulter un prêtre, autant pécheur que vous, comme vous le demande l'église catholique ?

Où choisirez-vous Dieu le miséricordieux, comme la Bible l'enseigne ?

" Du fond de l'abîme je t'invoque, ô Éternel ! Seigneur, écoute ma voix ! Que tes oreilles soient attentives à la voix de mes supplications ! Si tu gardais le souvenir des iniquités, Eternel, Seigneur, qui pourrait subsister ? Mais le pardon se trouve auprès de toi, afin qu'on te craigne. " Psaume 130.1-4