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jeudi 25 septembre 2008

L’IDOLATRIE

Deutéronome chapitre 6 verset 8 :

"Tu ne feras pas d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, en bas sur la terre et qui sont dans les eaux plus bas que la terre".
Quand l'homme perd la notion du vrai Dieu, il a un vide intérieur et il est obligé de se faire l'image d'une divinité. Même les athées (sans dieu) sont religieux malgré eux, et idolâtrent un être ou de la matière. Cela se passe dans le cœur (zone le plus profonde et ignorée de nous-mêmes), puis dans la pensée et finalement se concrétise par une représentation sous une forme ou une autre. L'homme peut alors tomber dans I'idolâtrie la plus grossière, la cause première étant d'avoir perdu l'image de Dieu.

La Bible nous dit que Jésus-Christ est l'Image du Dieu invisible (Colossiens chapitre 1, verset 15). Nous n'avons pas d'autre image à adorer, nous n'avons pas d'autre intermédiaire, pas d'autre médiateur, que Jésus-christ seul. Mais attention, nous ne devons pas vénérer une forme de Jésus-Christ, car nous n'avons aucune description physique de lui. Par exemple, si nous prions en nous faisant une représentation mentale de quelqu'un, cette "image" devient une idole. Les films, les dessins, les tableaux peuvent nous influencer, surtout enfant.
L'image que nous avons du Seigneur Jésus, donc de Dieu, est une image spirituelle et morale. Jésus a dit : "Celui qui m'a vu, a vu le Père", et donc, lorsque nous rencontrons Jésus-Christ, nous rencontrons le Père qui se révèle par le Fils.

Deutéronome chapitre 5, verset 9 :
"Tu ne te prosterneras point devant elles, tu ne les serviras pas, car moi, l'Eternel ton Dieu, je suis on Dieu jaloux".

Voici une liste de représentations que les idolâtres vénèrent et devant lesquelles ils se mettre à genoux, ou se prosternent :

- Statues, crucifix, icônes, symboles, photos...

- des hommes ou des femmes, chacun peut avoir son idole : sportif, philosophe, politicien, enfant, pape, gurus, acteur, chanteur... Il y a un nombre important de chanteurs et de groupes musicaux qui ont fait un pacte avec le diable ou qui ont été initiés dans une secte occulte. Par leur musique et les paroles qu'ils prêchent, ils incitent leurs fans à se livrer à Satan. Ceci est particulièrement flagrant dans le Hard-Rock, le black-métal...

- des anges ou des saints : croire qu'on ne peut pas s'adresser directement à Dieu mais qu'il faut passer par des intermédiaires qu'on peut invoquer en cas de besoin. Saint Antoine, Saint Joseph, Saint Pierre etc... plus tous les saints "locaux".

- Satan ou des démons : parler avec le diable, l'adorer, faire un pacte avec lui, ou bien encore vendre son âme au diable, faire des messes noires.

Les esprits se manifestent sous toutes sortes d'apparences. Pour les religieux, cela peut être la Vierge, Krishna, et pour les "durs", c'est sous une apparence de bouc, de serpent, de dragon... mais pour les enfants ce sont des formes plus gentilles telles que les fées, les lutins, le père noël... ainsi que 1es héros de dessins animés et de bandes dessinés.

Selon les goûts et les ages, le diable a un échantillonnage d'idoles qui correspondent au besoin de chacun. Les enfants ont besoin de merveilleux, c'est normal et cela vient de Dieu qui est le seul vraiment merveilleux. Quand on leur raconte des histoires de la Bible, quand on leur parle du ciel et surtout du Seigneur Jésus, cela satisfait leur besoin de merveilleux.
Mais les parents qui ne connaissent pas Dieu sont évidemment obligés de raconter à leurs enfants toutes sortes de fables, de contes ou de légendes. Alors on leur donne des idoles pour remplacer le Seigneur Jésus, par exemple le père noël...
Les enfants lui font des prières et lui écrivent des lettres. Et ce sont les parents qui inculquent cela à leurs enfants! Non seulement ils leur mentent et perdent ainsi leur confiance, mais ils les entraînent dans l'idolâtrie.

- la Vierge (la Madone ou Notre-Dame de ceci ou cela…) : parfois considérée comme co-rédemptrice et médiatrice. Certains la vénèrent, d'autres 1a prient seulement (ave maria, rosaire neuvaines, pèlerinages sur les hauts-lieux...)
- la nature : pour certains, c'est la nature dans son ensemble, pour d'autres, ce sont certaines choses telles que la lune, le soleil, les étoiles, les arbres, le feu, 1'eau, les animaux... La Bible dit "ils ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur" (Romains 1:25 ).

- l'argent : La Bible dit que la cupidité (amour de 1'argent) est une idolâtrie (Colossiens 3 : 5).
- le corps : Ceux qui s’y adonnent ne vivent que pour lui.
- le sexe ; Ils ne pensent qu'à cela, c'est une obsession. Les films et les livres pornographiques ont beaucoup de succès ainsi que les blagues obscènes. Toutes ces choses nous souillent.
Certaines passions peuvent aussi devenir des idoles auxquelles nous pouvons sacrifier notre santé, notre famille ou notre vie : Travail, sport. musique, moto, voiture, maison, nourriture...

Dieu est jaloux parce qu'il nous aime et s1 l'on veut s'unir à d'autres esprits que lui, on se prostitue (c'est 1e terme qui est employé par les prophètes). Et si on se prostitue, celui qui devrait être notre époux légitime, c'est-à-dire notre Créateur, est Jaloux. Dieu nous aime tout en étant juste, et il ne laisse pas le péché impuni. Ce commandement a quelque chose de particulier par rapport aux autres, car sa transgression entraîne des conséquences sur la descendance.

Lévitique 26:1 :
Vous ne vous ferez point d’idoles, vous ne vous élèverez ni image taillée ni statue, et vous ne placerez dans votre pays aucune pierre ornée de figures, pour vous prosterner devant elle, car je suis l’Éternel, votre Dieu.

Deutéronome 4,15 à 17 :
Puisque vous n’avez vu aucune figure le jour où l’Éternel vous parla du milieu du feu, à Horeb, veillez attentivement sur vos âmes, de peur que vous ne vous corrompiez et que vous ne vous fassiez une image taillée, une représentation de quelque idole, la figure d’un homme ou d’une femme, la figure d’un animal qui soit sur la terre, la figure d’un oiseau qui vole dans les cieux,

Deutéronome 27:15 :
Maudit soit l’homme qui fait une image taillée ou une image en fonte, abomination de l’Éternel, oeuvre des mains d’un artisan, et qui la place dans un lieu secret! Et tout le peuple répondra, et dira: Amen!

L'HEREDITE

Deutéronome chapitre 6, versets 9 et 10 :
"Je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur leurs enfants jusqu'à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fait miséricorde jusqu'en mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements".

Les patriarches avant de mourir appellent leurs fils et par ordre de naissance, leur imposaient les mains en leur léguant leur héritage. Mais il ne s'agissait pas seulement des biens matériels. Pour ceux qui connaissaient le Seigneur comme Abraham, Isaac et Jacob, il y avait quelque chose de beaucoup plus important que cela :

C'était l'héritage spirituel, la promesse de l'Eternel. En imposant les mains à leurs enfants, ils les faisaient entrer dans l'alliance qu'eux-mêmes avaient contractée avec Dieu. Les enfants à leur tour transmettaient cela à leurs propres enfants. De même, il y a un héritage spirituel pour les idolâtres qui est transmis à leurs enfants jusqu’à trois ou quatre générations. Ce sont les conséquences directes du péché d’idolâtrie.

Mais ce qui est merveilleux, c’est que pour ceux qui aiment Dieu et qui gardent ses commandements (aimer c’est obéir), Il fait miséricorde Jusqu’à mille générations. Ainsi la bénédiction est supérieure à la malédiction. Nous avons tous hérité des punitions infligées à nos premiers parents : les douleurs de l’enfantement, le travail pénible et la mort. Mais il n’y a rien de plus terrible que la mort spirituelle, c’est-à-dire être séparé d’avec Dieu.
Pour toutes ces malédiction, Dieu a pourvu à un remède qui est Jésus-christ. Mais pour ceux qui rejettent la solution que Dieu offre, c’est la mort éternelle, la séparation d’avec Dieu Dour toujours.

Nous pouvons voir également d’après ce verset 10 du chapitre 6 du Deutéronome que si nous appartenons au Seigneur, il y a une nouvelle bénédiction qui commence à partir de nous Jusqu’à mille générations après nous. Cela ne veut pas dire qu’automatiquement tous nos descendants seront sauvés car il faudra qu’eux-mêmes se repentent de leurs propres péchés, mais au moins ils n’auront pas à souffrir du péché de leurs ancêtres, ils seront saints (c’est-à-dire : mis à part) (1 Corinthiens 7 :14).

Pour être affranchi de cette hérédité, il suffit de renoncer à cet héritage spirituel que nos ancêtres nous ont légué. II n’est pas précisé de quelle punition il s’agit, mais dans tous les cas, il y a une conséquence spirituelle, c’est-à-dire des handicaps, des blocages, des liens qui empêchent certaines personnes de franchir la porte étroite pour se donner au Seigneur. Pour d’autres qui se sont engagées envers Dieu, mais qui n’ont pas été libérées, cela peut freiner leur marche spirituelle. C’est un peu comme si l’on marchait sur le chemin en traînant un boulet. Il peut également y avoir des conséquences psychologiques (sur l’âme) : dépression, angoisse, désir d’autodestruction, débilité etc… et des conséquences physiques…

Deutéronome chapitre 18, verset 9 :
« Lorsque tu seras entré dans le pays que l’Eternel, ton Dieu te donne, tu n’apprendras point à imiter les abominations de ces nations-là ».

En vivant dans un monde idolâtre, on a tendance à imiter les autres inconsciemment, en faisant « comme tout le monde ». L’Eglise de Christ devrait au contraire influencer la société, mais malheureusement, c’est souvent la société qui influence l’Eglise et y fait pénétrer des choses étrangères au Seigneur. Ce ne sont peut-être pas des pratiques grossières, telles que se mettre à genoux devant une statue, mais ce sont des conceptions, des croyances, des coutumes et des traditions qui viennent du monde. L’idolâtrie nous met en relation avec les esprits mauvais du monde invisible. Paul dit que celui qui sacrifie à une idole est en communion avec un démon. (I Corinthiens chapitre 10, versets 19 à 22).

Que faire avec nos idoles personnelles :

Deutéronome 7 :5 à 6 : Voici, au contraire, comment vous agirez à leur égard : vous renverserez leurs autels, vous briserez leurs statues, vous abattrez leurs idoles, et vous brûlerez au feu leurs images taillées. Car tu es un peuple saint pour l’Éternel, ton Dieu ; l’Éternel, ton Dieu t’a choisi, pour que tu devienne un peuple qui lui appartînt entre tous les peuples qui sont sur la face de la terre.

Deutéronome 7 :25 à 26 :
Vous brûlerez au feu les images taillées de leurs dieux. Tu ne convoiteras point et tu ne prendras point pour toi l’argent et l’or qui sont sur elles, de peur que ces choses ne te deviennent un piège ; car elles sont en abomination à l’Éternel, ton Dieu. Tu n’introduiras point une chose abominable dans ta maison, afin que tu ne sois pas, comme cet chose, dévoué par interdit ; tu l’auras en horreur, tu l’auras en abomination, car c’est une chose dévouée par interdit.


Pour un renseignement : pierre.danis@wanadoo.fr

jeudi 28 août 2008

Conversion d'un terroriste


Un ancien terroriste de l’OLP converti au christianisme dénonce les dangers de l’islam

«Jamais il ne dort, ni ne sommeille, le gardien d’Israël» affirme à ses étudiants (Nom supprimé par mesure de sécurité), un ancien terroriste de l’OLP converti au christianisme. Ce Palestinien, ancien militant du Fatah installé aux Etats-Unis, donne des conférences pour dénoncer les dangers de l’islam et soutenir l’Etat d’Israël.

Il est né en 1960 à Beit Sahour prés de Bethlehem et a vécu son enfance à Jéricho.
Très jeune, il entre au Fatah, le mouvement terroriste de Yasser Arafat, et passe plusieurs mois dans les prisons israéliennes pour tentatives d’attentats contre des soldats israéliens.
Il part étudier aux Etats-Unis et continue de militer pour ramasser des fonds pour l’OLP à Chicago où il vit.

C’est en 1993, alors qu’il rencontre une jeune femme chrétienne, qu’il découvre les textes bibliques et va effectuer un changement radical dans sa manière de penser.
Voulant pousser sa nouvelle femme à épouser également sa religion, il a tenté de lui prouver que le judaïsme avait corrompu la Bible». Il a donc commencé à l’étudier et c’est à ce moment-là qu’il s’est peu à peu transformé de prôneur du Djihad en défenseur infatigable de la cause sioniste.
Il se convertit au christianisme évangélique et devient rapidement un pourfendeur de l’Islam qu’il dénonce comme la religion qui mène au terrorisme.

Il anime des émissions à la radio où il explique les erreurs de l’Islam et de l’éducation qu’il a reçu, lui tout autant que les jeunes palestiniens «élevés dans la haine des juifs et d’Israël».
Rejeté par sa famille qui le considère comme un traître, il sait qu’il ne pourra plus mettre les pieds dans les territoires contrôlés par l’Autorité palestinienne sans être tué par ses anciens comparses.
Il dénonce les accords avec les Palestiniens et appelle Israël à renouer avec «la période de l’occupation ou les Palestiniens vivaient mieux que sous le contrôle d’Arafat»

Il raconte son expérience dans des conférences face à des publics juifs, chrétiens et musulmans et aime déclarer vouloir aller à Ramallah pour dire aux habitants « qu ‘il y a une autre manière de vivre que celle de Yassine et Arafat ».

Les Américains les plus pro-israéliens restent quand même stupéfaits quand il exhorte l’Etat d’Israël à reprendre le contrôle total du Mont du Temple…

vendredi 4 juillet 2008

La femme musulmane

Le Figaro Magazine - Quelle est la condition de la femme dans votre pays ?

Taslima Nasreen - Le Bangladesh est un pays de plus de 130 millions d'habitants, l'un des plus peuplés au monde. 70% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. 40% de femmes n'ont pas d'accès à l'éducation et aux soins et 80% d'entre elles sont toujours analphabètes ! Même si plus de femmes vont à l'école ou travaillent qu'auparavant, elles souffrent toujours du fondamentalisme islamiste. Les intégristes décrètent des fatwas contre elles, les terrorisent et les empêchent d'avoir accès à l'éducation. Les femmes qui travaillent sont menacées de représailles. Pour les fondamentalistes, la place de la femme est à la maison. Pire encore, le gouvernement bangladais soutient ce fondamentalisme. Il utilise l'islam pour obtenir des suffrages et récolter des voix auprès des personnes analphabètes manipulées par la religion.

Vous ne cessez de dénoncer la condition des femmes musulmanes partout dans le monde. En quoi l'islam serait-il une religion nuisible pour les femmes ?

Les femmes sont oppressées par toutes les religions, y compris l'islam. Les traditions culturelles et les coutumes les asservissent aussi. Je m'attaque à l'islam en particulier, parce que je suis née dans une famille musulmane et que j'ai vécu dans un pays qui applique la charia. J'ai donc personnellement vécu cette oppression et j'ai compris très jeune que l'islam était un outil pour faire perdurer un système patriarcal. Dans le Coran, les femmes ne sont pas traitées comme des êtres humains mais comme des êtres inférieurs et des objets sexuels, condamnés à la servilité. Elles sont réduites à l'esclavage dans un texte qui est vieux de 1 400 ans !

Elles n'ont pas les mêmes droits que les hommes : elles doivent porter le voile, peuvent être battues, n'ont aucun droit sur l'héritage ou encore subissent la polygamie et la répudiation. Si les femmes ne suivent pas les ordres de leurs maris, de leurs frères ou de leurs fils, elles peuvent être battues, lapidées ou rejetées par la société. Le Coran est un livre sacré, mais uniquement pour les hommes ! Il est dit, par exemple, que Dieu donne l'autorité aux hommes sur les femmes. Si les femmes n'obéissent pas à leurs maris, ils sont autorisés à les frapper ! Ce texte est une source d'injustice et de discrimination pour toutes les femmes.

Pensez-vous qu'il faille moderniser le Coran afin de donner plus de droits aux femmes ?

Vous ne pouvez pas réécrire un livre établi en l'an 651 de notre ère ! Les versets du Coran ne peuvent être reformulés, c'est ainsi... Par contre, ce livre doit être considéré comme un simple document historique, écrit il y a mille quatre cents ans. Le Coran doit rester du domaine privé et personnel. C'est pourquoi je me bats pour la sécularisation de la société et la séparation entre la religion et l'Etat dans les pays où le Coran régit encore la vie quotidienne et les affaires personnelles.
Le Coran est inutile dans le monde moderne.


jeudi 12 juin 2008

In Search of True Life

The Story of Pierre Danis


Although I am French I was born in Baden-Baden, Germany in 1947. I spent a good part of my childhood in Africa, especially in Cameroon. I was raised in a traditional Catholic family: mass every Sunday, catechism, sacraments, the works. When my family moved back to France I lost all interest in religion because one of my friends, an atheist, made fun of me. I stopped going to church. After all, I reasoned, I never had understood what the priest was saying.

After high school I apprenticed as a cabinetmaker and worked at that profession until it was time for military service. In 1968 while in the French army I made some friends who were into studying philosophy. They asked questions that I had never thought about: Why am I here? Where did I come from? Why are men wicked? Why is there suffering? Where do you go after you die? I began reading books by existentialists who encourage people to ask questions (a good thing) but never offer answers (which leads to deep anxiety). These questions led me to search for answers.

Growing up I was deeply influenced by African culture. Living in another culture will change you for life, especially when the host culture is very different from your own. As a result I was ill at ease when returning to France. I found it hard to adapt to the materialistic way of life. Instead I was eager to discover other cultures and religions. With my two army buddies we set out to discover the country of Morocco.
There I smoked marijuana for the first time. They called it « kif ». The small amount of money we had ran out quickly, and we wound up living on the beach with a friend who called himself Ali Baba. He loaned us a little cabin. We ate what we could find: mussels and sea urchins. For several months that was our daily diet. You can imagine what we thought of mussels and sea urchins. Fortunately we made some friends who invited us occasionally for dinner: good Moroccan meals of couscous and tajine. Our friends also spoke to us about Islam. We got interested in religion, but after three months we could not keep living that way. We needed to earn some money. It was time to return to France.

Arriving in Paris we found various odd jobs, at a printing press, a shoe factory, etc. After earning some money I set out once again for Morocco this time with a different friend. That trip did not last long. I decided my next adventure would be to visit Asia. I traveled across Italy, Greece, Turkey, Iran (at that time the Shah was in power), then into Afghanistan (there were still camel caravans). Smoking marijuana became a habit for me, I thought it was part of the good life.

While in Pakistan the people who housed me proposed that I convert to Islam. I was in search of love and freedom. Islam offered me neither so I set out to visit India and Nepal. I was chased from Nepal by the immigration police because my visa had expired. It was about then I began taking LSD and other hallucinogens. I stayed in several places in India then hitchhiked back to Europe.
Back in France I was totally out of touch with the European life style. I went to visit my parents, but it was almost impossible to communicate with them. I caused them a lot of suffering. Another trip seemed like the only solution, this time I set out for Amsterdam. There I met an old friend that I had known in India. We traveled together to Denmark where we spent the winter. I missed the warm weather of India so I traveled again across the Middle East, this time via Tunisia, Lebanon and Pakistan.

I began to learn Hindi. We spent the winter in the plains; the summer in the Himalayas. Noticing the beauty of nature I came to the conclusion that this did not happen by chance, somebody or something was behind it all. Several times during my travels I came very close to death which led me to reflect on what would happen next. Without any answers to the question I only became more anxious.
One day I entered a house where I saw a little book called “The New Testament”. It was torn and missing the entire Gospel of Matthew. I borrowed it and began reading. This was my first contact with the Bible.

I traveled to Pushkar (Rajasthan), a “sacred city” for Hindus where I was the only foreigner. I did the ritual cleansing every day in the “sacred” lake. My friends wanted to convert me to Hinduism so they took me into the temples of their deities. During one ceremony we had to fold our hands and bow down before one of the statues. When it was my turn I couldn’t do it, I told them, “This statue can’t be a god.” I had understood at least that much.

I then left this region and went to live by myself near the banks of the Ganges. That was the period when the Beatles were initiated in Transcendental Meditation. Their guru lived in a monastery (ashram) where I wanted to stay, but because it cost money I had to leave. Walking along the river I found a set of caves where ascetics (religious hermits) lived. Finding an empty one, I moved in. I had been a vegetarian for quite some time, but I now began a strict frugivore diet. I ate nothing but fruit and drank water from the river. The only piece of clothing I owned was a piece of cloth that I wrapped myself in. I did my yoga exercises like my neighbors. Life was simple; maybe this was the answer. Then I caught dysentery.

Very frail and exhausted I returned to the mountains. Not knowing a soul, with no idea of what to do next, I was at the end of my rope. It was then that I met a Buddhist nun from Canada who suggested that I come to the Tibetan monastery where she lived higher up in the mountains. I lived there with the monks, participated in their ceremonies (poudja) and sat under the teaching of the lama. The nun that I had met owned a New Testament which I borrowed and read the Book of the Revelation.

One of the gurus used a meditation technique that supposedly provided a short-cut to Nirvana, a way out of the perpetual cycle of reincarnation taught in Buddhism. He taught me this method called « Vipasana ». I decided to become a Buddhist monk in the village where Gautama received his illumination (that is where he became Buddha). I shaved my head and followed their strict diet and rules: no listening to music, respect certain days of total silence, sleep on a board. Several times a day we were required to meditate for an hour without moving a muscle.
One day two new guys arrived. They were French and since the evening meetings were in English I served as their interpreter. One of them owned a big black book, a Bible, which he had bought in Delhi, 600 miles away. I asked if I could borrow it and began reading. It was at this time that I read “the one who seeks finds” which encouraged me to continue my search.

I began to compare Jesus and Buddha. I was more and more impressed with the person of Jesus Christ: first by his miracles, then by his wisdom and his love, then by his freedom of expression in front of religious leaders, like when he called them a “generation of vipers”. To my new friends I translated the professor’s lectures then I repeated to them the words of Jesus. That lasted until the day the owner of the Bible asked to have it back so that he could read it himself. Here I was with all of the same questions and no answers. I sensed it was time for me to leave. From there I met a Jew and we decided to room together. He also had a Bible. As I evaluated my situation I decided there was no need for me to stay there any longer. I had found no solutions to my problems in this part of the world. I headed back to France where I began living on a commune located on an old farm in the middle of France. There were four of us. We raised goats, chickens, honey bees, vegetables and marijuana. On the mantle was a collection of books. A Jew from our group had added his contribution, a Bible. This time I decided to read it from cover to cover. It was a Catholic version with apocryphal books and commentaries. It took me a year.

One winter day I was all alone reading the Gospel of John. In John 14 I read Thomas’ request to Jesus: “Lord show us the way.” This time it was not Thomas but me asking the question of Jesus. The response of Jesus surprised me. I could have imagined anything but, “I am the Way, the Truth and the Life, no one comes to the Father but by me.”
At that moment I understood that Jesus was the Answer, there was no other way. I immediately abandoned all the others. One instant I believed that all paths led to the same god, the next I believed there was only one path, Jesus Christ. I had not arrived yet, but I now knew which way to go, as if I had been lost and discovered a road sign that showed the way to my destination. I took all the other books on the mantle and burned them. God showed me that He would not stop me from destroying myself but I now had a choice, “keep smoking pot or follow Him.” I decided to follow Him and get rid of the things that did not please Him.

I didn’t tell my friends about my decision. We left for a trip to Switzerland to visit a Buddhist community. On the return trip in Neuchatel I was at the end of my rope and began praying to God saying, ”I can’t handle this any longer. If you really exist I need you to do something for me. I read in the Book that you had disciples. If you still have some, allow me to meet at least one who can help me.” I didn’t tell a soul but a day or two later while we were hitchhiking to get back to the farm in France a man picked us up and told us, “I am a Christian, I believe in Jesus Christ. He is my Savior.” Then he explained the gospel to us. I was excited to see this answer to my prayer. I now knew that God exists, the proof is He answers prayer. I also understood that He hadn’t written me off. He was interested in me. That gave me hope to go forward. The man shared his picnic with us on the bank of a river.
Before we separated, the Christian gave us a book called “If You Want to Go Far”. It spoke about eternal life. It was just what we needed. After reading ten pages I told my friend that there was no point in reading further. Instead we ought to go find the author. We didn’t have a penny because on the commune we lived off of what the earth produced. The author, Ralph Shallis, lived only 45 miles away, but it took us five days to get there.

When we found his house in the countryside no one was home. We pulled out our sleeping bags to sleep in the garage. We were awakened by headlights coming down the driveway. It was Mrs. Shallis. We felt badly for her, a woman coming home alone at night in the winter to an isolated house in the countryside to find two men sleeping in her garage. What a surprise!
After asking us what we were doing she invited us in and served us tea and crackers. When her husband came home we explained again that we had read his book and that we were searching for eternal life. Mr. Shallis opened his Bible and spoke to us about the problem of sin. He said, “Between you and God there is a wall, it is made of all the things that you have done wrong. God wants you to repent.” So we began to confess our sins. That lasted for a week. Mr. Shallis spoke to us about God’s condemnation. It made me sick. I was convinced that with all the evil I had done I would be cast into Hell. Then he preached to us the Good News of salvation.

Jesus Christ crucified for our sins and raised from the dead, whoever believes on Him is forgiven and receives eternal life. It was too good to be true. Six more days went by until Mr. Shallis realized that I was still bound in my sin because of my involvement in the occult. I had been involved in divination, yoga, meditation, astral voyages and many other things. He told me that I needed to confess these things and ask God to deliver me from them.
The next day out in the countryside with my friend we read a short passage of Scripture and in prayer I committed myself to the Lord. I grasped hold of God’s promises by faith, especially this one, “whosoever believes in me has eternal life.” It was the little verb “has” that finally convinced me. It is in the present tense. In the past I believed that eternal life began at death. It was at that moment in 1974 that I was born again.

That was the beginning of a new life with the Lord in my heart. I know that God is my Father and that nothing can separate me from Him. I will spend eternity with Him in perfect peace along with all of those who have put their trust in Jesus as their only Savior.

To Him be glory and honor and power forever.

(Translated by Paul Mattson)

pierre.danis@wanadoo.fr

vendredi 25 janvier 2008

Témoignage de Pierre

A LA RECHERCHE DE LA VRAIE VIE

Je suis né en 1947 en Allemagne à Baden-baden, puis j'ai passé une partie de mon enfance en Afrique, mais surtout au Cameroun. J'ai été élevé dans le catholicisme traditionnel: messe tous les dimanches, catéchisme, sacrements...etc

Plus tard, lorsque ma famille est venu vivre en France, je me suis désintéressé de la religion parce qu'un de mes copains dont la famille était athée se moquait de moi. J'ai donc cessé de fréquenter l'église, et de toute façon, je ne comprenais pas grand chose aux sermons du curé.

J'ai appris le métier de menuisier que j'ai exercé ensuite. Puis je suis allé à l'armée, et en 1968 je côtoyais des amis qui lisaient de la littérature philosophique. Je n'avais jamais réfléchi de ma vie. C'est donc la première fois que je me posais des questions : Pourquoi existe-t-on ? D'où vient-on ? Pourquoi l'univers existe-t-il ? Pourquoi l'homme est-il méchant? Pourquoi souffre-t-on ? Où va-t-on après la mort...? Alors, je me suis mis à lire des livres "existentialistes", qui incitent à se poser des questions, (ce qui est bien), mais par contre ils n'offrent aucune réponse, ce qui conduit à une angoisse existentielle. Le coté positif de tout cela, c'est que cette quête m'a stimulé à chercher des solutions.

J'avais été marqué par la culture africaine. En effet, vivre dans un autre pays, nous marque pour la vie, surtout quand cette culture est vraiment différente, avec une autre mentalité et une autre manière de concevoir l'existence. De plus, j'étais plutôt mal à l'aise en France car j'avais du mal à accepter le matérialisme qui y régnait.
J'ai donc voulu connaître les autres cultures et les autres religions.

Avec deux autres copains que j'avais connus à l'armée, nous avons décidé de découvrir le Maroc.
C'est là que j'ai fumé du canabis (ils appèlent ça du kif) pour la première fois. Le peu d'argent que nous avions s'est vite épuisé, et nous vivions au bord de la mer et nous avions un ami qui s'appelait Ali Baba. Il nous a prêté un cabanon en bois sur la plage. Nous avons mangé des moules et des oursins, chaque jour pendant plusieurs mois. Inutile de vous dire que j'en avais plus qu'assez. Heureusement, nous avions des amis qui nous invitaient parfois à manger du couscous ou du tajine ! Ces derniers nous ont aussi parlé de l'Islam. La religion commençait à nous intéresser, mais après 3 mois, nous avons réalisé que nous ne pouvions pas continuer à vivre ainsi, mais qu'il fallait gagner de l'argent. Il était donc temps de revenir en France...
Nous sommes donc repartis à Paris, et nous avons trouvé du travail, dans l'imprimerie, dans la chaussure, et d'autres petits "boulots".

Ensuite, je suis retourné au Maroc avec un autre copain, puis de retour à Paris, j'ai eu envie de visiter l'Asie.

Il a fallu traverser l'Italie, la Grèce, la Turquie, l'Iran (c'était à l'époque du "Shah"), et ensuite l'Afghanistan, oû il y avait encore des caravanes de chameaux. Pour moi, fumer du canabis était plus qu'une habitude, c'était un art de vivre.

Ensuite, le Pakistan, où les gens chez qui je logeais m'ont proposé de me convertir à l'Islam. Mais comme j'avais besoin d'amour et de liberté, je les ai quittés car cette religion ne propose ni l'un ni l'autre.

Puis j'ai visité l'Inde, et le Népal d'où j'ai été chassé par la police de l'immigration, parce que mon visa avait expiré.
C'est là que j'ai commencé à prendre du LSD, ainsi que d'autres substances hallucinogènes. Je suis donc resté un an en Inde, en divers endroits, puis je suis retourné en Europe en stop.
Là, j'étais "déphasé", et j'avais beaucoup de mal à me réadapter à la vie européenne. Je suis allé voir mes parents, en Touraine, mais le contact était presque impossible avec eux, et je les ai fait souffrir.

L'idée d'un nouveau voyage s'est alors imposé à moi, et je suis parti à Amsterdam. J'y ai rencontré un copain que j'avais connu en Inde, et nous sommes allés au Danemark pour tout l'hiver. Mais préférant la chaleur, je suis retourné en Inde pour un an de plus, via la Tunisie, le Liban et le Pakistan. J'y ai appris une langue pour me débrouiller. Nous passions l'hiver en plaine, et l'été en montagne (l'Himalaya). Ayant remarqué la beauté de la nature, j'ai compris que ce n'était pas le fruit du hasard, et qu'il devait y avoir quelqu'un ou quelque chose là derrière. De plus, j'ai frôlé la mort plusieurs fois au cours de mes périples, ce qui m'a poussé à réfléchir à l'au-delà, mais n'ayant pas de réponse, j'étais encore plus angoissé.

Un jour, je suis rentré dans une maison où j'ai vu un petit livre: un "Nouveau Testament", il était déchiré, et il manquait tout l'évangile de Matthieu. Je l'ai emprunté à son propriétaire, et j'ai commencé à le lire. Ce fût mon premier contact avec la Bible.

Ensuite, je suis allé au Rajasthan, dans une "ville sainte", où j'étais le seul étranger. Je faisais des ablutions chaque jour dans un lac "sacré". Mes amis voulaient me convertir à l'hindouisme, alors ils m'ont amené dans les temples de leurs dieux.. Lors d'une cérémonie, il fallait se courber devant la statue en joignant les mains. Quand c'est arrivé à mon tour, je n'ai pas pu le faire, et je leur ai dit que cette statue ne pouvait pas être un dieu. J'avais au moins compris ça. Ils ne m'en ont pas voulu et m'ont respecté. La société indienne est divisée en "castes" et mon meilleur ami faisait partie de la caste supérieure, les Brahmanes, en principe, les plus instruits et les seuls qui peuvent être prêtres.

Ensuite j'ai quitté cet endroit, et je suis allé vivre tout seul au bord du Gange. C'était l'époque où les Beatles s'étaient fait initier à la "Méditation Transcendantale" et leur Guru habitait dans un monastère (ashram) où je voulais rester, mais comme il fallait payer, je suis parti. En longeant le fleuve, j'ai remarqué des grottes où vivaient des ermites. J'en ai trouvé une vide et m'y suis installé. J'étais végétarien depuis longtemps déjà, et je me suis mis au régime "frugivore", c'est-à-dire que je ne mangeais que des fruits et je buvais l'eau de la rivière. Mon seul vêtement était un petit morceau de tissu et la vie était très simple. Je faisais mes exercices de yoga, comme mes voisins. Puis j'ai eu la "dysenterie".

J'ai décidé de remonter en montagne, épuisé et squelettique. Je ne connaissais plus personne, et je ne savais plus quoi faire, j'étais "au bout du rouleau". A ce moment-là, une religieuse bouddhiste originaire du Canada est passée et m'a proposé d'aller au monastère tibétain où elle habitait, plus haut dans la montagne. J'ai vécu avec les moines un certain temps, participant aux cérémonies (poudja) et aux enseignements du lama. La nonne qui m'avait amené là possédait un Nouveau Testament que j'ai emprunté, et j'ai lu l'Apocalypse.


Puis j'ai rencontré un "guru" qui enseignait une technique de méditation qui était, soi-disant, un raccourci pour atteindre le "Nirvana", car dans le bouddhisme, on trouve le cycle perpétuel des réincarnations. Il m'a initié à une méthode appelée "Vipasana", et j'ai voulu devenir moine dans un monastère au village où Gautama a eu son illumination, c'est-à-dire qu'il est devenu "Bouddha". Je me suis fait raser le crâne et je suivais un régime strict. Des restrictions très sévères étaient appliquées : nous ne pouvions écouter de la de musique, nous devions respecter certains jours de silence, dormir sur une planche...Nous méditions plusieurs fois par jour, sans bouger pendant des séances d'une heure.

Un jour, deux garçons sont arrivés au monastère, et comme les cours du soir étaient en anglais pour les étrangers, je leur servais d'interprète. L'un d'eux possédait un gros livre noir: La Bible, achetée à Delhi (la capitale) à 1000 Km de là".
Après la lui avoir empruntée, je me suis mis à la lire tout en recevant les enseignements du guru et en les expliquant aux deux garçons. C'est là que j'ai lu ce verset: "Celui qui cherche, trouve", ce qui m'a encouragé à poursuivre ma recherche.


Dans ma tête, ça commençait à se bousculer, car j'essayais de comparer Jésus à Bouddha. Finalement, j'étais de plus en plus impressionné par la personne de Jésus-Christ. D'abord par les miracles, ensuite par la sagesse, par l'amour et par la liberté d'expression qu'il avait face aux religieux (par exemple, quand il dit : "Vous êtes une race de vipère")... Je continuais à leur expliquer les cours du prof, et je leur répétais les paroles de Jésus, jusqu'au jour où celui qui m'avait prêté la Bible m'a demandé de la lui rendre pour qu'il la lise. Quant à moi, j'étais au même point qu'avant avec mes questions sans réponses, et je sentais que je devais partir alors je suis retourné en montagne.

J'ai rencontré un juif avec lequel j'ai partagé le logement. Il avait une Bible. Après un certain temps, j'ai fait un bilan de ma situation : je n'avais aucune solution à mes problèmes, alors ce n'était pas la peine de rester là plus longtemps.

Je suis retourné au pays, vivre en communauté dans une vieille ferme, à "Bidon" dans la Nièvre. Nous étions quatre, et nous avions des chèvres, des poules, des ruches, et un jardin de légumes et de canabis... Il y avait un livre sur la cheminée : La Bible ! Je décide donc de la lire en entier, ce qui a pris un an. Le garçon qui avait emmené cette Bible était juif, et nous étions tous en recherche spirituelle, mais il y avait également d'autres livres.


Un jour d'hiver où j'étais seul, je lisais l'évangile de Jean au chapitre 14, lorsque Thomas dit à Jésus : "Seigneur montre-nous le chemin". En fait, ce n'était plus Thomas, mais moi qui posait la question à Jésus. La réponse de Jésus m'a surpris, car j'aurais tout imaginé sauf ça : "Je Suis Le Chemin, La Vérité et La Vie, nul ne vient au Père que par Moi."

Personne n'avait pu m'influencer, j'étais seul ! J'ai compris tout d'un coup que c'était Lui, qu'il n'y avait pas d'autre chemin. J'ai abandonné tous les autres. Avant cela, je croyais que tous les chemins menaient au même dieu, et l'instant d'après, je croyais qu'il n'y avait qu'un seul chemin : JESUS CHRIST. Je n'étais pas arrivé au but, mais j'avais une indication. Un peu comme si on est perdu sur une route, et que tout d'un coup, nous trouvons un poteau indicateur qui nous indique le lieu où nous allons... J'ai pris les bouquins sur la cheminée, et je les ai brûlés. Dieu m'a fait comprendre qu'Il ne m'interdisait pas de me "défoncer", mais qu'il fallait que je choisisse : Continuer de fumer du canabis ou le suivre. J'ai donc décidé de le suivre et de me débarrasser de tout ce qui le dérange.

Je n'ai pas partagé cette découverte avec mes amis, puis nous sommes allés en Suisse dans une communauté bouddhiste, et sur le retour, à Neuchâtel, étant au bout du rouleau, j'ai prié Dieu, lui disant à peu près ceci :
" Je n'en peux plus, si tu existes vraiment, il faut que Tu fasses quelque chose pour moi, et j'ai lu dans le Livre, que Tu avais des disciples, mais si Tu en as encore aujourd'hui permets moi d'en rencontrer au moins un qui puisse m'aider." Je n'en ai parlé à personne, mais un jour ou deux après, alors que nous faisions du stop pour revenir à "Bidon", un homme nous a pris dans sa voiture, et nous a dit: "Je suis chrétien, je crois en Jésus-Christ, Il est mon Sauveur", et il nous a annoncé l'Evangile. J'étais heureux de voir la réponse à ma prière. J'ai compris que Dieu existe, la preuve, c'est qu'Il répond à la prière. Et j'ai compris qu'Il ne m'en voulait pas, mais qu'Il s'intéressait à moi, ça m'a redonné espoir pour aller de l'avant. Nous avons partagé son pique nique au bord d'une rivière.

Avant notre retour dans notre communauté, le chrétien nous a donné un livre intitulé : "Si tu veux aller loin", qui parlait de la vie éternelle, c'est ce dont nous avions besoin.
Au bout d'une dizaine de pages, j'ai dit à mon copain que ce n'était pas la peine de continuer à lire, mais qu'il était préférable d'aller voir cet écrivain. Nous n'avions pas un centime, puisque dans la communauté nous mangions ce que la terre produisait. Ralph Shallis habitait dans le Gard à côté d'Alès, et nous avons mis 5 jours pour y aller.

Nous avons trouvé sa maison isolée à la campagne, et il n'y avait personne, alors nous avons sorti les sacs de couchage pour dormir dans le garage. Tout à coup, des phares nous ont réveillés, c'était sa femme ! Nous étions gênés, vis-à-vis de cette femme qui rentrait seule en hiver, la nuit dans cette maison isolée, et qui trouvait deux hommes hirsutes dans son garage. Quelle drôle de surprise !

Après nous avoir demandé ce que nous faisions, elle nous a proposé de rentrer, et nous a servi du thé avec des biscuits... Puis son mari est arrivé, et nous a demandé ce que nous voulions. Nous lui avons expliqué que nous avions lu son livre et que nous cherchons la vie éternelle. Il a ouvert sa Bible et nous a parlé du problème du péché. Il nous a dit : "Entre vous et Dieu, il y a un mur, c'est tout le mal que vous avez fait. Dieu vous demande de vous repentir!" Alors nous avons commencé à confesser nos péchés à Dieu, ça a duré une semaine. J'étais très mal parce qu'il nous avait parlé de la condamnation... J'étais persuadé qu'avec tout le mal que j'avais fait, je serais jeté dans le feu. Puis il nous a prêché la Bonne Nouvelle du Salut :

Jésus-Christ crucifié pour nos péchés, et ressuscité, celui qui croit en Lui est pardonné, et reçoit la vie éternelle gratuitement... Je n'arrivais pas à le croire. Six jours après, cet homme a compris que j'avais un blocage à cause de l'occultisme. En effet, j'avais fait de la radiesthésie, du yoga, de la méditation, des voyages astraux et d'autres choses (drogues et alcool). Il m'a dit de le confesser, et a prié pour que je sois délivré de ces liens.

Le lendemain dans la campagne, avec mon copain, nous avons lu un petit texte des Ecritures et après dans la prière je me suis confié au Seigneur. Je me suis emparé par la foi de Ses promesses. Notamment de celle-ci: "Celui qui croit en moi a la vie éternelle". C'est ce petit verbe "a" qui m'a vraiment convaincu parce qu'il est au présent, auparavant je croyais que la vie éternelle commençait après la mort. C'est à ce moment là que je suis né de nouveau.

A partir de là, j'ai démarré une nouvelle vie, avec le Seigneur dans mon cœur. Je sais que Dieu est mon Père et que rien ne peut me séparer de Lui. Je passerai l'éternité avec Lui, dans le bonheur parfait, en compagnie de tous ceux qui auront également mis leur confiance au Seigneur Jésus notre seul Sauveur.
A Lui seul soient la Gloire, l'Honneur et le Règne, à perpétuité !!!

Je sers également le Seigneur au sein de l'association créationniste " Au commencement ", par des conférences, des expositions, des camps, et un site : http://www.aucommencement.net/

Pierre Danis

Courriel : pierre.danis@wanadoo.fr
Site : http://biblique.blogspot.com/

mardi 21 août 2007

Conversion d'un terroriste


Après avoir tué 203 personnes, un jeune milicien islamiste rencontre Jésus et change de vie


Beyrouth, un jeune milicien du Hezbollah, après avoir tué 203 personnes, principalement des miliciens d'escouades rivales, rencontre Jésus. Il n'a pas 17 ans.

Sa vie a été complètement transformée lorsqu'un jour un missionnaire, dans la rue, annonce que Jésus peut enlever toute culpabilité et nettoyer tout le sang qui couvre certaines mains. Le message le percute suffisamment pour qu'il dépose définitivement ses armes. "Ma vie et celle des autres ne comptaient pas, elles n'avaient aucune importance" dit Zachariah Anani.

Sa famille, musulmane sunnite, voulait faire de lui un Imam selon la tradition instaurée par son arrière grand-père. Dès l'enfance il fréquente donc l'école islamique. A 13 ans, il suit l'entraînement qui fera de lui un soldat islamique, à la grande joie de ses parents.(selon les doctrines islamiques, le soldat qui meurt sur le champ de bataille a le droit d'atteindre le ciel.) La famille bénéficie alors d'une protection particulière et est très respectée. Au début des années 70, des petits gangs islamiques opéraient à Beyrouth, soutenus par l'Organisation de Libération de la Palestine.

Avec le temps, ces petits groupes ont rejoint le Hezbollah, le Hamas et d'autres groupements Jihadistes. "J'ai été équipé, entraîné et envoyé pour tuer les Juifs et les Chrétiens, et bien entendu, les Américains" précise Anani. A chaque mort annoncée et confirmée par deux autres soldats, il gagnait un point sur sa charte. Il avait ainsi accumulé 203 points et pensait bien mourir entre 18 et 19 ans. Un jour qu'il rôdait dans les rues de Beyrouth, il rencontre un missionnaire qui prêchait dans la rue. "J'allais passer sans m'arrêter quand ses paroles ont retenu mon attention: Jésus-Christ vous donnera une nouvelle vie, une espérance, le salut. Je me suis arrêté pour écouter et parler avec lui."

Plus tard, Anani s'est rendu à la maison du missionnaire et il a vu une Bible pour la première fois. Le missionnaire a ouvert les Ecritures à l'endroit où Jésus dit: "Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos." (Evangile de Matthieu, 11.28) "Ces mots ont pénétré dans mon cœur très profondément et j'ai donné ma vie et mon âme à Jésus-Christ. Ce fut le début d'un grand changement dans ma vie. Ma première réaction a été de dire la joie de ma conversion à ma famille musulmane. Je n'ai pas caché ma foi que j'ai partagée avec mes parents et avec tout le monde le lendemain."

Des dirigeants Musulmans à Beyrouth ont lancé un procès contre lui, l'accusant d'apostasie. Anani se heurtait à la tradition Islamique qui spécifie que "Quiconque embrasse toute autre religion sera puni de mort".

"J'ai été jugé dans la mosquée qui jouxte ma maison. J'avais 3 jours pour renier ma foi nouvelle et redevenir musulman avec eux, sinon, j'allais mourir. Après les 3 jours, mon père a loué les services de tueurs Kurdes pour m'assassiner. Ils ont fait 18 tentatives d'assassinat et mon père a annoncé que la dernière chose qu'il veut accomplir pour se rapprocher de Dieu, c'est de me tuer. Dans l'une des tentatives, j'ai échappé de peu à mes attaquants qui m'ont accosté dans les rues de Beyrouth et poignardé, et fait une entaille profonde dans la nuque. Dans la tradition islamique, ils doivent me couper la gorge, non pas me tirer dessus ou m'empoisonner, bien qu'ils aient essayé également. Pendant mon transport à l'hôpital, j'ai été déclaré mort cliniquement. Plus aucun signe vital, mais un médecin continuait de tenter de me réveiller. Miraculeusement, j'ai survécu. C'est comme si le Seigneur ne voulait pas encore de moi. Quand le Seigneur a sa main protectrice sur vous, rien ne peut vous arriver."

Cet ancien soldat milicien continue de s'émerveiller des changements que Dieu a opérés dans sa vie. "Quand je regarde en arrière je suis attristé de ce qu'on m'a forcé à faire étant enfant. Maintenant, en Christ, je suis une nouvelle créature recouverte de son sang - Loué soit Dieu!"

Source : Assist News Service/Voxdei

vendredi 29 juin 2007

L'oecuménisme


Que dit la Bible à propos de l’œcuménisme ?

Ce n'est pas tout homme qui me dit : Seigneur! Seigneur! qui entrera dans le royaume des cieux; mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Matthieu 7 : 21.

Ne vous mettez pas sous un même joug avec les infidèles; car qu'y a-t-il de commun entre la justice et l'iniquité? et quelle union y a-t-il entre la lumière et les ténèbres? Quel accord entre Christ et Bélial? ou quelle part a le fidèle avec l'infidèle? Et quel rapport entre le temple de Dieu et les idoles? Car vous êtes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l'a dit : J'habiterai au milieu d'eux et j'y marcherai; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. C'est pourquoi, sortez du milieu d'eux, et vous séparez, dit le Seigneur, et ne touchez point à ce qui est impur, et je vous recevrai; Et je serai votre Père, et vous serez mes fils et mes filles, dit le Seigneur tout-puissant. 2 Corinthiens 6 : 14 à 18.

Je m'étonne que vous abandonniez si promptement celui qui vous avait appelés à la grâce de Christ, pour passer à un autre évangile; Non qu'il y en ait un autre, mais il y a des gens qui vous troublent, et qui veulent pervertir l'Évangile de Christ. Mais quand nous-mêmes, ou un ange du ciel vous annoncerait un évangile différent de celui que nous vous avons annoncé, qu'il soit anathème Comme nous l'avons déjà dit, je le dis encore maintenant : Si quelqu'un vous annonce un évangile différent de celui que vous avez reçu, qu'il soit anathème! Galates 1 : 6 à 9.
Un peu de levain fait lever toute la pâte. Galates 5 : 9.

Que personne ne vous séduise par de vains discours; car c'est à cause de ces choses que la colère de Dieu vient sur les enfants rebelles. N'ayez donc point de part avec eux. Car vous étiez autrefois ténèbres, mais à présent vous êtes lumière dans le Seigneur; marchez comme des enfants de lumière; Car le fruit de l'Esprit consiste en toute sorte de bonté, de justice et de vérité. Examinez ce qui est agréable au Seigneur. Et ne prenez aucune part aux oeuvres infructueuses des ténèbres, mais bien plutôt condamnez-les. Éphésiens 5 : 6 à 11.

Ayant l'apparence de la piété, mais en ayant renié la force. Éloigne-toi aussi de ces gens-là. 2 Timothée 3 : 5.

Car il viendra un temps où les hommes ne souffriront point la saine doctrine, mais où, désireux d'entendre des choses agréables, ils s'amasseront des docteurs selon leurs convoitises, Et fermeront l'oreille à la vérité, et se tourneront vers des fables. Mais toi, sois vigilant en toutes choses, endure les afflictions, fais l’œuvre d'un évangéliste; remplis complètement ton ministère. 2 Timothée 4 : 3 à 5.

En effet il est écrit : Soyez saints, car je suis saint. 1 Pierre 1 : 16.
Si quelqu'un vient à vous, et n'apporte point cette doctrine, ne le recevez point dans votre maison, et ne le saluez point. Car celui qui le salue, participe à ses mauvaises oeuvres. 2 Jean 10 à 11.

Ainsi, parce que tu es tiède, ni froid, ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Apocalypse 3 : 16.

Puis j'entendis une autre voix du ciel, qui disait : Sortez du milieu d'elle, mon peuple; de peur que, participant à ses péchés, vous n'ayez aussi part à ses plaies. Apocalypse 18 : 4.

Or, voici, je viens bientôt, et j'ai mon salaire avec moi, pour rendre à chacun selon que ses oeuvres auront été. Je suis l'Alpha et l'Oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Heureux ceux qui observent ses commandements, afin d'avoir droit à l'arbre de vie, et d'entrer par les portes dans la ville! Apocalypse 22 : 12 à 13.

samedi 2 juin 2007

Qu'est-ce qu'une secte ?



LES SECTES

Définition
Petit groupe animé par la même idéologie doctrinale. Groupe dissident minoritaire, à l'intérieur des religions officielles.
Latin : secta, de sequi = suivre. Grec : airesis = école d interprétation.
Que dit la Bible ? Matthieu 24 v 1 : Les faux prophètes des temps de fin. Prudence.
2 Pierre 2 v l à 3 : Les faux enseignants qui sèment des hérésies, surtout à l’époque actuelle.

Exemples
Chez les grecs : écoles philosophiques (Stoïciens, Epicuriens, Platoniciens...) Chez les juifs à l'époque de Jésus : Pharisiens, Saducéens, Esséniens. Les premiers Chrétiens on été qualifiés de sectes (Actes 28 v 22).

Raisons qui poussent l'homme à adhérer à une secte
Insatisfaction du matérialisme, angoisse existentielle, inquiétude en ce qui concerne l'au-delà, solitude, besoin de faire partie d'un groupe, séduction par "guru", recherche sincère de la Vérité.
Dans tous les cas, la personne est trompée.
Comment les aider ? Tout d'abord, il faut être au clair soit-même avant de secourir les autres. Un aveugle ne peut pas guider d'autres aveugles (Matthieu 15 v 14).

CARACTERISTIQUES

SECTES ------------------------- EGLISE DE JESUS CHRIST

Fondée par un homme -------------Fondée par Jésus Christ. Matthieu 16 v 18
Un homme comme chef ------------Jésus Christ est le seul Chef. Ephésiens 1 v 22
Un centre géographique (QG) --------------Le QG est dans le ciel. 1 Pierre 2 v 11
Demandent de l’argent pour elles-mêmes --------Gratuité et liberté. Matthieu 10 v 8
Hiérarchie ( ou intermédiaires) -------Relation avec Dieu par Jésus Christ. 1 Timothée 2 v 5
Bâtiment sacré -------------------------Dieu est partout. Actes 17 v 24
Besoin de représentations ------------------------Adorent Dieu en esprit. Jean 4 v 24
Célibat obligatoire ------------------------Liberté de choix. 1 Corinthiens 7 v 2
Règles alimentaires ---------------------Nourriture. 1 Timothée 4 v 1 à 5
Réglementation des rapports sexuels --------Sexualité dans le couple. 1 Corinthiens 7 v 5
Ajoutent à la Bible (tradition, autres livres...) --------Rien que la Bible. Deutéronome 4 v 2
Retranchent à la Bible --------------------Toute la Bible. Apocalypse 22 v 18 & 19
Interprétations fantaisistes (hors contexte) ---------La Bible interprétée par la Bible. 2 Pierre 1 v 20 & 21
Fausses prédictions ----------------Prophéties bibliques exactes. Deutéronome 18 v 20 à 22
Conditionnement et déséquilibre psychologique --------Epanouissement de la personnalité. 2 Pierre 1 v 20 & 21
Actes de violence physique ou psychique -------------- Respect des personnes. 1 Pierre 3 v 15 & 16
Marginalité et vie monastique --------------Intégré dans la société. 1 Corinthiens 5 v 9 & 10
Point commun à toutes : Le salut par les œuvres -------------Le salut par la Grâce. Ephésiens 2 v 8 & 9

Actualité
Dans les débats médiatisés sur les sectes, on attire l’attention du public sur les dangers réels de certains groupes religieux sectaires. Par exemple : Le Temple solaire (quelques dizaines de suicides), la Scientologie (des gens escroqués), Raèl (le clonage humain), le Mandarom (construction de statues sans permis de construire).
Par contre les 3 sectes les plus dangereuses (en France), sont les grands absents des débats médiatisés.
- L’église catholique qui a exercée son pouvoir sur l’Europe pendant des siècles, mais dont l’influence sur le peuple demeure.
- L’islam qui est en passe de devenir majoritaire dans plusieurs pays d’Europe.
- La franc-maçonnerie qui exerce son pouvoir politique (dans l’ombre) sur la France et d’autres pays.

A quoi reconnaît-on un vrai chrétien ?
Il aime Dieu de tout son cœur, ainsi que sa Parole écrite ( la Bible). Il aime tout les autres chrétiens, ses frères et sœurs. Il aime son prochain, c’est-à-dire tout le monde (même ses ennemis).
Il est certain d’avoir la Vie éternelle et d’aller au paradis (1 jean 5 v 13).

Conclusion
Ne pas faire confiance aux hommes, ni à soi-même. Proverbe 16 v 25.
Pour savoir si une chose est vrai ou fausse, il faut avoir une référence, un étalon. La Bible est le seul livre au monde qui dit la Vérité, car elle est inspirée par Dieu du premier au dernier verset. AMEN ! ! !


Pierre Danis

pierre.danis@wanadoo.fr

vendredi 25 mai 2007

La Bible a-t-elle été modifiée?







La Torah, le Zabour (Les psaumes) et l'Injil sont des livres saints, parole de Dieu pour les musulmans. Le Coran présente toujours le livre (La Torah des juifs et l'Injil des chrétiens) comme ayant été descendu de la part de Dieu sur ses prophètes. Coran 3.65 "La Torah et l'Evangile ont été descendus..."
Coran 5.44 "Nous avons descendu la Torah contenant une bonne direction et une lumière"
Coran 5.46 "Nous avons descendu l'EVANGILE CONTENANT UNE BONNE DIRECTION ET UNE LUMIERE"
Coran 5.65 "Si les gens du Livre avaient cru ... s'ils avaient appliqué scrupuleusement la Torah et L'EVANGILE"

Désobéissance des gens du livre

La plupart des gens du Livre ont constamment désobéi à la volonté d'Allah. Ils ont négligé la lecture de ses livres. Ils n'ont pas voulu comprendre ce qu'Allah demandait. Mais Dieu a protégé ses livres "La Parole de Dieu ne peut être abolie". Ces livres contiennent des trésors enfouis, Dieu les a conservés intacts pour les croyants qui le cherchent avec fidélité. Mohammed reproche à plusieurs reprises aux gens de son époque de ne pas obéir au texte contenu dans les livres de Dieu, mais l'accusation d'une altération du TEXTE ne se trouve NULLE PART.

Aujourd'hui, il en est de même, beaucoup de chrétiens n'obéissent pas aux commandements de Dieu (par exemble de ne pas adorer de statues) mais cependant le texte biblique n'a pas varié a ce sujet:
"Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l'Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux" (Torah, Exode 2:4-5)
Ce texte se trouve dans toutes les traductions de la Bible et y a toujours été depuis que Dieu a descendu la Torah sur Sidna Musa!!

On peut relever beaucoup d'autres contradictions dans la pratique religieuse de la plupart des chrétiens... C'est pourquoi si l'on veut connaître le message que Dieu a transmis par Musa ou Aïssa, il vaut mieux lire la Torah ou l'Evangile, c'est le moyen le plus sûr!!
De même, pour connaître l'Islam, il est beaucoup plus sûr de lire le Coran que de se fier aveuglément à des Imams.

Si le Coran affirme la validité de l'évangile "lumière et direction" (on ne parle pas ainsi d'un livre corrompu!) et que des Imams affirment le contraire, qui le musulman doit il croire?
la Parole de Dieu ne peut changerLe sidna Aissa a dit: "Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point." 2000 ans ont passé, et l'évangile n'est pas prêt de disparaitre. Les chrétiens ont souvent désobéi aux textes (statues dans les églises, culte des saints,...) mais Dieu protège sa Parole.
Le disciple Pierre (Boutros) disait de la part de Dieu dans le nouveau testament (l'injil): "Tout homme est comme l'herbe, et toute sa gloire comme la fleur de l'herbe. L'herbe sèche, et la fleur tombe; Mais la parole du Seigneur demeure éternellement."
Le Coran contient également 8 versets qui affirment que la Parole de Dieu ne peut pas être changée.

Rédaction de la Bible

Moussa a introduit la première alliance: La Tora (ancien testament ou "Loi"). Des livres poétiques et prophétiques ont été annexés à la Tora, en particulier les Psaumes (ou Zabour) de Daoud (David)
'Yssa (Jésus) a introduit une nouvelle alliance entre Dieu et les hommes qui est présentée dans l'injil (nouveau testament).
Le mot "testament" veut aussi dire "alliance" en grec.
La compilation de ces livres s'appellait les livres (ta Biblia) dans les premiers siècles et est devenu en français moderne : "La Bible"

Le texte auquel se référence Mohammed est le même que celui que nous connaissons aujourd'hui, à cette époque il était répandu dans tout le bassin méditérannéen et des manuscrits entiers antérieurs à cette époque sont consultables dans certains musées et confirment la non variation du texte.
Les évangiles ont été rédigés par des témoins occulaires peu de temps après l'élevation au Ciel du sidna 'Aissa.
Un fragment de l'évangile de Jean (papyrus p52 conservé à la Bibliothèque J. Ryland à Manchester) a été retrouvé en Egypte et daté de la fin du premier siècle.
Il prouve l'existence et la diffusion de cet évangile dès la première moitié du second siècle et ce, bien loin de l'endroit où l'on situe traditionnellement sa rédaction (Ephèse en Turquie).
Beaucoup d'autres manuscrits ont été trouvés (plus de 2000) certains datent du deuxième siècle. Aucun de ces manuscrits ne présente de variante significative par rapport au texte actuel.
L'évangile de Luc a également été rédigé très tôt, en tout cas avant la rédaction de la première épitre de Paul à Timothée, puisque Paul en cite un bout:
1 Timothée 5:18 "Car l'Écriture dit: Tu n'emmuselleras point le boeuf quand il foule le grain. Et l'ouvrier mérite son salaire." (C'est une citation de l'évangile selon Luc 10:7)
Pareil pour l'évangile selon Matthieu: un morceau de l'évangile de Matthieu a été retrouvé récemment et daté du milieu du premier siècle, on parle beaucoup de ça en ce moment dans les milieux spécialisés.

Les scientifiques sont unanimes pour affirmer que l'ensemble des textes du nouveau testament (l'Injil) étaient rédigés dans leur forme actuelle avant la fin du premier siècle.
Le plus célèbre archéologue dans ce domaine, M. Albright affirme que le texte du nouveau testament tel que nous le connaissons était entièrement rédigé en l'an 80.
Des textes Bibliques entiers antérieurs à l'Islam existent notamment en latin ou en syriaque (150 ap JC) qui est un idiome voisin de l'arabe. Le texte original de l'évangile avait sa forme définitive avant la fin du premier siècle (année 80 d'après l'archéologue Albright). De tous ces manuscripts, aucun ne présente de variation significative avec le texte des bibles actuelles.

Conclusion

Je sais bien que beaucoup de théologiens et d'imams d'aujourd'hui disent que la Bible a été changée, on m'en a suffisament parlé, autant qu'à toi!!! Mais ce n'est ni ce que dit le Coran, ni ce que dit la science, c'est le contraire de ce que dit Dieu (sa parole est immuable).

Pour pouvoir affirmer que la Torah ou l'Injil ont été changés, il faudrait pouvoir dire:
qu'est ce qui a été changé quand et par qui Personne n'a pu m'apporter de réponse! Je donne ici des preuves de ce que j'avance. On peut affirmer n'importe quoi à la légère, il est beaucoup plus intéressant de prouver ce que l'on dit. Certains courants dans l'islam véhiculent l'idée de la corruption de la Bible. Même si les personnes qui enseignent cela sont SINCERES devant Allah, elles n'ont pas pris la peine de VERIFIER ces informations.

mardi 22 mai 2007

Sur quoi est basée la guerre "sainte" ?


La Djihad dans le coran:

« …mettez à mort les idolâtres, partout où vous les trouverez… » (ch 9 v 5).« O croyants !

Combattez vos voisins infidèles. Qu'ils trouvent des ennemis implacables... »(ch 9 v 124).

« Ce n’est pas vous qui les avez tués ; mais Allah les a tués ». (ch 8 v 17)
« Si vous rencontrez les infidèles, combattez-les jusqu'à ce que vous en ayez fait un grand carnage. Chargez de chaînes les captifs. » (ch 47 v 4)
« Tuez-les partout où vous les trouverez, nous vous donnons plein pouvoir sur eux. »(ch 4 v 93)

« Mohamed est l'envoyé d'Allah. Ses disciples seront terribles contre les infidèles, et humains entre eux… » (ch 48 v 29)
« Il a envoyé son apôtre pour prêcher la foi véritable, et pour établir son triomphe sur la ruine des autres religions… » (ch 9 v 33)

« O croyants, quelle fut votre consternation, lorsqu'on vous dit : allez combattre pour la foi ! Préféreriez-vous la vie du monde à la vie future ? Mais que sont les biens terrestres, en comparaisons des jouissances du ciel ? »
« Si vous ne marchez au combat, Allah vous punira sévèrement… » (ch 9 v 38, 39)

« Jeunes et vieux, marchez au combat, et sacrifiez vos richesses et vos vies pour la défense de la foi… » (ch 9 v 41)
« Ils combattent dans le chemin d’Allah ; ils tuent et ils sont tués. ».(ch 9 v 111)
« Quand à ceux qui ont été tués dans le chemin d’Allah, il ne fera pas perdre leur âme !…il les fera entrer dans le paradis ». (ch 47 v 5 à 7).

La djihad est donc basée sur le Coran !

vendredi 18 mai 2007

Allah est-il Dieu ?

"Allah n’est pas Dieu"

Allah, souvent mal traduit par « Dieu », n’est pas le Dieu de la Bible, ni le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. Allah est une autre divinité, celle qui boit le sang comme l’eau, qui aime le djihad et la terreur et qui promet des vierges dans son soi-disant paradis à ceux qui tuent les Juifs. Plus il y en a de tués, mieux cela vaut.

Cet Allah n’a rien, strictement rien à voir avec le Dieu de la Bible. Et peu importe combien on crie "Allah hu ahbar" (Notre Allah est plus grand), le Dieu d’Israël reste infiniment plus grand, le vrai seul Dieu vivant, un Dieu d’amour qui mérite l’adoration car Il est notre Créateur.

Tout chrétiens de bon sens sait que ce "dieu", mauvais et assoiffé de sang s’engage, comme Amalek, dans une guerre de génération en génération contre le seul vrai Dieu et Son peuple élu. Qu’est-ce qu’il y a de nouveau ?
Que personne ne traduise désormais Allah par Dieu. C’est un pur non sens.

Allah est le dieu des terroristes. Si Allah était le même que le seul vrai Dieu, alors il serait en train de lutter contre Son propre peuple, les Juifs, qui selon Sa promesse éternelle, ont été ramenés sur Sa propre terre.

Puisse le vrai Dieu, le Dieu d’Israël, avoir pitié de nous.

Jan Willem van der Hoeven

L'Eternel et Allah sont-ils un seul et même Dieu?

La foi en Allah n’a pas été introduite par Muhammad, ni Allah révélé pour la première fois dans le Coran. Allah était un Dieu bien connu au Proche-Orient, l’islam lui-même en témoigne. Le père de Muhammad s’appelait ‘Abd Allah, ce qui signifie serviteur d’Allah, et l’un de ses oncles, Obied Allah. Cela démontre l’adoration portée à Allah bien avant la naissance de Muhammad. De même, la Ka’abah s’appelait déjà Beit Allah (maison d’Allah), et des vestiges archéologiques et littéraires de l’Arabie préislamique font également référence à Allah qui était le nom du plus grand des dieux arabes, (Allah étant la traduction du mot Dieu), supérieur aux nombreux autres, adorés en ce temps-là à la Ka’abah. Face à cette idolâtrie, Muhammad élèvera Allah à la position de Dieu unique. Allah ne serait-il qu’une idole élevée au-dessus d’autres? Pourtant, le Coran affirme clairement «Notre Dieu et votre Dieu est le même, et c’est à lui que nous nous soumettons» (S.29:46).

Similarités entre les deux Dieux

Le Coran identifie Allah au Créateur, tout comme la Bible le fait pour Dieu l’Eternel. Allah porte ainsi les titres le Saint, le Gardien de la Paix, le Premier et le Dernier, l’Absolu, le Digne de Louanges (S 31:26), la Vérité (S 31:30), le Détenteur de la Faveur (S 2:251). Allah est aussi proche de l’homme que sa veine jugulaire (veine du cou)(S 50:16). Il est miséricordieux et plein de compassion, Tout-Puissant et Sage. La plupart de ces titres sont également des attributs de Dieu l’Eternel. Pourtant, ces quelques similitudes ne doivent pas nous faire oublier les divergences fondamentales dans la nature profonde de chacun de ces Etres tels qu’Ils nous sont décrits dans la Bible et le Coran.

Malgré l’affirmation du Coran, nous observons des différences fondamentales entre Allah et l’Eternel, le Dieu de la Bible.

La Bible nous décrit Dieu comme une personne douée d’intelligence, d’émotions et de volonté. Allah au contraire n’est pas perçu comme une personne, cet abaissement le rapprocherait trop de l’homme et compromettrait sa divinité. Omniprésent, il est proche des êtres humains mais sans entrer en contact direct avec eux. De même, il n’intervient qu’indirectement dans le cours de l’histoire (par sa parole, les prophètes et les anges), au contraire du Dieu de la Bible qui intervient fréquemment en faveur des hommes. A ce propos, la Bible est pratiquement le récit de l’intervention divine parmi les hommes; agissant de manière pratique en leur faveur jusqu’à s’incarner pour partager leur quotidien et leur apporter le salut.
De même, Allah n’est pas esprit, cela le diminuerait et il ne serait plus l’Exalté. Pourtant dans la Bible, nous lisons que «Dieu est Esprit» (Jn 4:24) cet état évoquant même l’un des caractères divins fondamentaux.

La miséricorde d’Allah occupe une place essentielle dans l’islam. Chaque sourate commence par: «Bismi-llahi ar-rahmâni ar-rahîm» (Au nom de Dieu, le Miséricordieux, le Bienveillant). Cette bonté se manifeste par de nombreuses bénédictions matérielles et spirituelles. Le prophète l’a comparée à la bonté d’une mère pour son enfant.
Le Dieu de la Bible est également un Dieu de grâce. Celle-ci a été merveilleusement déployée à Golgotha, Jésus-Christ, y ouvrant le chemin vers le Père et offrant gratuitement le salut au pécheur. Dans la religion islamique, la grâce de Dieu se manifeste au travers des saints musulmans, choisis gracieusement par Dieu afin d’intercéder pour les adeptes au jour du Jugement. Ce jour-là, Allah jugera les hommes selon leurs œuvres: les bonnes et les mauvaises seront simultanément pesées; celui dont les bonnes surpasseront les mauvaise obtiendra peut-être le salut.

L’amour du Dieu de la Bible pour tous les hommes est l’un de ses attributs majeurs dans le christianisme «Dieu est amour» (1Jn 4:16 voir aussi Jn 3:16). Dans le Coran, le nom de Dieu correspondant à l’amour est «al-wadud». Il ne s’y trouve que deux fois. Cet amour est conditionnel; Dieu aime ceux qui l’aiment, mais n’aime pas les incroyants: «Dis: si vous aimez Dieu, suivez-moi! Dieu vous aimera et vous pardonnera vos péchés. Dieu est miséricordieux et bienveillant. Dis: Obéissez à Dieu et à l’Apôtre. Mais si vous vous détournez, sachez que Dieu n’aime pas les incroyants» (S 3:31-32).
La Bible nous dit que Dieu aime le pécheur: «Car lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies. A peine mourrait-on pour un juste; quelqu’un peut-être mourrait pour un homme de bien. Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous» (Ro 5:6-8). L’amour de Dieu pour le croyant est comparable à celui d’un père pour ses enfants. Il nous a adoptés et nous a appelés ses enfants «Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu! Et nous le sommes» (1Jn 3:1). Le musulman ne connaît pas cette intimité avec Dieu. Pour lui, Dieu est éloigné, et ne peut entrer dans une relation intime avec ses créatures.

L’incarnation représente l’un des plus grands conflits doctrinaux entre les deux religions: «Il n’a pas conçu et n’est pas conçu» (S 112:3). Cette affirmation concernait préalablement le culte idolâtre et polythéiste des tribus de l’Arabie préislamique, selon lequel Allah avait trois filles: al-Lat, al-Uzza et al-Manat (S 53:19). Mais pour le musulman d’aujourd’hui, déclarer Jésus Christ Fils de Dieu en ferait le fruit de relations sexuelles entre Dieu et une femme, notion hautement blasphématoire. Cette interprétation indécente représente également pour nous chrétiens, un outrage extrême. Le nom de Fils de Dieu est, contrairement à cette interprétation, un titre glorieux donné au Christ dans le but de faire ressortir sa nature divine, en opposition à notre humanité charnelle.

Un second malentendu de portée égale existe au sujet de la Trinité. Pour les musulmans, ce terme résume l’adoration polythéiste de trois dieux: Dieu le Père, Jésus le Fils et Marie mère de Jésus (on notera l’ignorance du Saint-Esprit). Ils accusent ainsi les chrétiens d’associer d’autres divinités à Dieu le Père, et de commettre ainsi le péché impardonnable, le péché d’association ou chirk «Certes Allah ne pardonne pas qu’on Lui donne quelque associé. A part cela, Il pardonne à qui il veut. Mais quiconque donne à Allah quelque associé commet un énorme péché» (S 4:48). Cette représentation polythéiste de Dieu est naturellement erronée: si Dieu se manifeste en trois personnes (le Père, le Fils et le Saint-Esprit) il est cependant totalement UN dans son essence, sa personnalité et sa volonté.

La nature immuable de Dieu fait concilier sa Parole avec ses actes. Il reste ainsi constamment le même, et suscite la confiance. La Bible le dit: «Dieu n’est point un homme pour mentir, ni fils d’un homme pour se repentir. Ce qu’il dit ne le fera-t-il pas? Ce qu’il a déclaré ne l’exécutera-t-il pas?» (Nb 23:19) «Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation» (Jn 1:17). Allah, par contre, n’est pas lié à Sa Parole. Est-il malgré tout constant dans sa nature? Le message du Coran présente une certaine ambiguïté à ce sujet. A titre d’exemple, parmi les 99 plus beaux noms d’Allah, figurent l’Intriguant suprême et Celui qui égare…

La sainteté
Le Coran et la Bible l’affirment: Dieu est saint! Cet attribut a-t-il la même signification pour chacun? Dans la Bible, la sainteté évoque la pureté et la séparation (en hébreux: mis à part) de toute souillure provoquée par le péché, et implique la participation de l’homme: «Vous serez saints, car je suis saint» (1Pi 1:16 voir aussi Lv 19:2). Pour le Coran, la sainteté évoque la séparation de Dieu dans le sens de transcendance (Dieu est infiniment élevé au-dessus de toutes choses) mais n’a pas d'implication morale. Notons que le Coran ne connaît pas de standard moral absolu: il permet le mensonge, le parjure, la vengeance, le meurtre et le divorce sous condition. Il commande de verser le sang, le meurtre étant la punition des infidèles, coupables du péché le plus grave (chirk): «Et tuez-les où que vous les rencontrez; et chassez-les d’où ils vous ont chassés: l’association est plus grave que le meurtre…» (S 2:191). La vengeance est également prônée: «O les croyants! On vous a prescrit le talion au sujet des tués: homme libre pour homme libre, esclave pour esclave, femme pour femme…»(S 2:178).

Le Coran permet également de jurer
Allah le fait à plusieurs reprises et différentes sourates débutent par un serment: «Par at-Tûr (le Mont Sinaï)! et par un livre écrit sur un parchemin déployé! et par la maison peuplée» (S 53:1-4). De même les mots «Par Allah et par Allah (Billahi wa Allahi)» font partie de la conversation quotidienne. Le serment sert à renforcer une affirmation, que celle-ci soit exacte ou non. Bien que le hadith qualifie le mensonge de péché, il le permet en cas de guerre sainte, pour permettre la réconciliation de deux musulmans, ou d’un homme et de sa femme.

Conclusion:
Ces quelques points non exhaustifs dénotent suffisamment de différences entre les descriptions de Dieu transmises par la Bible ou le Coran. Ces divergences suffisent-elles cependant à prouver l’altérité de ces deux Divinités? Allah et l’Eternel seraient-ils un seul et même Dieu présenté de manière différente ou deux Divinités distinctes?
A mon avis, ces disparités entre Allah et l’Eternel Dieu démontrent le besoin qu’ont les musulmans de découvrir la véritable révélation de Dieu afin de parvenir au salut gratuit offert par l’Eternel par le biais du sacrifice de Jésus-Christ.

Lorenz Meyer

jeudi 10 mai 2007

Horreur en Indonésie


Trois écolières chrétiennes décapitées comme "trophées" du Ramadan par des militants indonésiens

NDLR : Désolé pour ceux que la vue de la barbarie dérange, mais il faut montrer la vérité en mémoire de ces enfants assassinées.

Trois écolières chrétiennes ont été décapitées comme « trophées » du Ramadan par des militants indonésiens, lesquels ont conçu la brillante idée à la suite d’une visite chez leurs confrères jihadistes philippins.
Les têtes des jeunes filles ont été jetées dans des sacs plastiques dans leur village de la province de Sulawesi, en Indonésie, avec une note manuscrite promettant d’autres attaques de ce genre: « Wanted: 100 têtes chrétiennes, adolescentes ou adultes, mâles ou femelles; il sera répondu au sang par le sang, à l’âme avec l’âme, à la tête avec la tête ». Les Chrétiens indonésiens n’ont pourtant décapité personne…

Hasanuddin, commerçant javanais, qui risque la peine de mort pour ce crime, a confessé avoir rendu visite à un groupe jihadist philippin dont les membres ont réussi à le convaincre que la décapitation de Chrétiens pourrait être un bel acte de charité musulmane. L’accusé a enrôlé ses complices dans une école islamique et a commandé à l’un d’entre eux d’aller chercher « la tête d’un Chrétien ». « Ce serait un grand trophée de Lebaran (fête musulmane de la fin du Ramadan) si nous pouvions avoir un chrétien. Va, cherche le meilleur endroit pour en trouver un ».

(The Australian)

Lettre à un musulman

Cher ami,

C’est en tant que chrétien que je m’adresse à toi. Tout d’abord, une précision : un chrétien est un disciple de Christ... Il y a eu dans l’histoire et il y a encore aujourd’hui des gens qui portent le nom de chrétiens sans vivre selon Ses enseignements. La Bible enseigne que ces personnes auront un châtiment.

Chaque fois que j’utiliserai le mot chrétien, cela désignera donc des personnes qui ont pris une décision, un jour de leur vie, de :
- accepter le pardon de Christ pour leurs péchés
- renoncer à vivre selon leur propre volonté
- vivre selon l’enseignement de Sa Parole
et ont ainsi l’assurance de passer l’éternité en Sa présence ....
J’ai eu l’occasion de lire en entier le Coran en français. J’ai bien évidemment lu entièrement la Bible et je l’ai étudiée depuis plus de 20 ans.

A – Le Coran confirme la Bible
En lisant le Coran, j’ai été frappé de certaines ressemblances entre ce livre et la Bible.
J’ai été frappé aussi de ce que Mohamed, à plusieurs reprises, dit du bien des Juifs, de Jésus, et de la Bible.
J’aimerais te citer quelques exemples :

a- Concernant les Juifs
Mohamed les reconnaît comme le peuple élu !
Le Coran (Traduction Montet) Chapitre 2 verset 44 : ‘O enfants d’Israël ! Souvenez-vous de Mes bienfaits dont Je vous ai comblés, et rappelez-vous que Moi, je vous ai regardés comme supérieurs aux mondes...’
Chapitre 5 v 23 : Moïse dit aux enfants d’Israël : Souvenez-vous des grâces que vous avez reçues de Dieu ; Il vous a envoyé les prophètes ; Il vous a donné des rois et vous a accordé des faveurs qu’Il n’a faites à aucune autre nation ....
V 24 : ‘Entrez dans la Terre sainte que Dieu vous a destinée. ‘
Mohamed confirme ici l’élection du peuple juif dont parle la Bible (le livre du Deutéronome au chapitre 14 v 2) : ‘Tu es un peuple saint pour l’Eternel ton Dieu. Et l’Eternel ton Dieu t’a choisi pour que tu fusses un peuple qui lui appartînt entre tous les peuples qui sont sur la face de la terre’

b- Concernant Jésus
Mohamed reconnaît Sa puissance !
Le Coran chapitre 2 v 81 : ‘Nous avons donné à Moïse le Livre (le Pentateuque : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, Deutéronome) et Nous l’avons fait suivre d’autres apôtres, et Nous avons donné à Jésus, le fils de Marie, des signes manifestes ( ici, il fait allusion à la puissance que Jésus avait d’opérer des miracles), et Nous l’avons fortifié par le Saint-Esprit ( Notons que dans le Coran, le Saint-Esprit , c’est l’ange Gabriel).
Ce témoignage de Mohamed à la puissance donnée par Dieu à Jésus, ne confirme-t-il pas tout ce que les Evangiles rapportent au sujet de Jésus, le Christ ?
Celui-ci d’ailleurs n’a-t-Il pas dit aux Juifs qui ne croyaient pas qu’Il fut le Messie : ‘Moi, j’ai un témoignage plus grand que celui de Jean ; car les œuvres que le Père m’a donné d’accomplir, ces œuvres même que je fais, témoignent de moi que c’est le Père qui m’a envoyé. Et le Père qui m’a envoyé a rendu lui-même témoignage de moi. Vous n’avez jamais entendu sa voix, vous n’avez point vu sa face, et sa parole ne demeure point en vous, parce que vous ne croyez pas à celui qui l’a envoyé. Vous sondez les Ecritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle : ce sont elles qui rendent témoignage de moi. Et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie !’ Evangile de Jean chapitre 5 v 36 à 40
Mohamed affirme croire ‘ à ce qui a été révélé à Abraham, Ismaël, Isaac, Jacob et aux douze tribus’ ainsi qu’à la ‘doctrine de Jésus et des prophètes’ chapitre 2 du Coran v 50 !!!

c- Concernant la Bible
Mohamed reconnaît qu’elle vient de Dieu !
Chapitre 6 v 155 du Coran : ‘ Nous apportâmes à Moïse les tables sacrées. Elles conduisent le juste à la perfection. Les Juifs y trouvent la distinction de toutes choses, la lumière, la miséricorde et la croyance de la vie future.’
Quel témoignage venant de Mohamed rendu à la Loi ! Savais-tu que les 10 commandements étaient considérés par lui comme pouvant ‘conduire le juste à la perfection’ ?
Chapitre 44 V 31 : Le Coran déclare ‘ Nous les choisîmes sur tous les peuples de la terre
V 32 Et nous opérâmes en leur faveur les miracles les plus étonnants’
Et au chapitre 45 v 15 ‘Nous donnâmes aux enfants d’Israël des lois sages, le Pentateuque et la prophétie. Nous les nourrîmes d’aliments purs, et nous les élevâmes au-dessus des autres nations’.

C’est certainement la première fois que tu lis ces paroles de Mohamed et tu te poses alors certainement la question : Mais si Mohamed a rendu témoignage de l’inspiration divine de l’Ancien Testament, s’il croyait en l’élection du peuple juif, et à la puissance de Jésus, alors pourquoi y a-t-il une si grande haine entre les Juifs, les chrétiens et les musulmans ?
Pourquoi cette guerre ancestrale ?