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mercredi 7 mai 2008

Quelques questions cruciales posées aux Catholiques.

Par Joe Mizzi

Jésus nous a parlé de deux chemins : un chemin large qui mène à la mort, et un chemin étroit qui mène à la vie. Comment puis-je savoir où se trouve le chemin qui mène au Ciel, et comment puis-je éviter l'autre chemin ?

L'Evangile nous présente le véritable chemin qui mène à la vie, car il est le message de Dieu pour l'humanité. Les hommes ont inventé beaucoup de religions, mais elles sont toutes fausses. La Bible nous met en garde contre la "sagesse du monde" : "Car puisque le monde, avec sa sagesse, n'a point connu Dieu dans la sagesse de Dieu, il a plu à Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication" (1 Cor. 1 :21).

Ce message de Dieu est écrit dans la Bible. Elle a été écrite par des hommes choisis par Dieu, qui ont été guidés par le Saint-Esprit. Nous pouvons faire confiance à la Bible, parce qu'elle est le livre de Dieu. Nous pouvons aussi être certains que la Bible est notre guide sûr pour le Ciel. Les Saintes Ecritures peuvent nous rendre sages à salut par la foi en Jésus-Christ (2 Timothée 3 :15).

Qu'en est-il de la Tradition de l'Eglise Catholique ? Jésus nous a mis en garde contre la tradition (Marc 7 :1-13). Il reproche aux Juifs d'annuler la Parole de Dieu par leurs traditions. Ils auraient dû rester fidèles à la Bible. Il en est de même pour la Tradition de l'Eglise Catholique : elle a modifié l'enseignement clair de la Bible. Par exemple, l'Eglise Catholique recommande l'emploi de statues, alors que le second commandement interdit la fabrication d'images et de statues, ainsi que le fait de se prosterner devant elles (Exode 20 :4).

Qu'en est-il de ceux qui enseignent la religion ? Nous devons écouter ceux qui nous enseignent, pour autant que leurs enseignements sont fidèles à la Bible. Nous devons agir comme les habitants de Bérée : "Ces Juifs avaient des sentiments plus nobles que ceux de Thessalonique ; ils reçurent la parole avec beaucoup d'empressement, et ils examinaient chaque jour les Ecritures, pour voir si ce qu'on leur disait était exact" (Actes 17 :11).

Le sacrifice pour le péché.

Nous avons la responsabilité d'aimer et d'obéir à notre Créateur. Toutefois, depuis le commencement de la création de l'homme, nous nous sommes rebellés contre Lui. A cause de nos péchés, nous sommes coupables, et nous risquons d'aller en Enfer si nous ne choisissons pas la solution de Dieu.

Il n'y a qu'un seul moyen d'échapper à l'Enfer. La Bible dit : "Presque tout, d'après la loi, est purifié avec du sang, et sans effusion de sang il n'y a pas de pardon" (Hébreux 9 :22). Dans l'Ancien Testament, Dieu ordonnait à Son peuple d'offrir des animaux en sacrifice sur l'autel du Temple. Cela devait permettre aux Juifs d'apprendre deux vérités fondamentales : 1) Le péché devait être puni. 2) Le pécheur pouvait être libéré si quelqu'un d'autre était puni à sa place. Ces sacrifices, bien entendu, représentaient ce que Jésus, l'Agneau de Dieu, allait accomplir au Calvaire.

"Christ aussi a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Dieu" (1 Pierre 3 :18).

Christ était parfait et sans péché. Mais Il a pris sui Lui les péchés de Son peuple. Il a souffert et Il est mort sur la croix pour payer le châtiment exigé par la Loi de Dieu. Libérés du péché, Ses disciples peuvent à présent s'approcher de Dieu sans crainte. Christ nous a sauvés de nos péchés par Son sacrifice à la croix.

La veille de Sa crucifixion, Jésus a institué la Cène, pour que Ses disciples continuent à commémorer Son sacrifice, jusqu'à Son retour. Hélas, la Tradition a modifié la signification de cet acte. L'Eglise Catholique enseigne que le pain et le vin sont littéralement transformés en corps et en sang de Jésus-Christ. Il est vrai que Jésus a dit : "Ceci est mon corps… Ceci est mon sang". Toutefois, Il a aussi ajouté : "Faites ceci en mémoire de moi". Le pain et le vin ne sont là que pour commémorer Son sacrifice à la croix du Calvaire.

"Car Christ n'est pas entré dans un sanctuaire fait de main d'homme, en imitation du véritable, mais il est entré dans le ciel même, afin de comparaître maintenant pour nous devant la face de Dieu. Et ce n'est pas pour s'offrir lui-même plusieurs fois qu'il y est entré, comme le souverain sacrificateur entre chaque année dans le sanctuaire avec du sang étranger ; autrement, il aurait fallu qu'il eût souffert plusieurs fois depuis la création du monde, tandis que maintenant, à la fin des siècles, il a paru une seule fois pour abolir le péché par son sacrifice. Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement, de même Christ, qui s'est offert une seule fois pour porter les péchés de plusieurs, apparaîtra sans péché une seconde fois à ceux qui l'attendent pour leur salut" (Hébreux 9 :24-28).

Le "sacrifice" quotidien de la Messe implique que le péché et la culpabilité demeurent. Dans la foi chrétienne véritable, il n'y a plus de sacrifice pour le péché, parce que les Chrétiens ont reçu l'assurance que leurs péchés ont été pardonnés pour toujours. Le Seigneur a proclamé : "Et je ne me souviendrai plus de leurs péchés ni de leurs iniquités. Or, là où il y a pardon des péchés, il n'y a plus d'offrande pour le péché" (Hébreux 10 :17-18).

Je prie que vous arrêtiez de vous confier en un sacrifice accompli par des hommes, mais que vous vous approchiez de Dieu sur la base des mérites du sacrifice unique accompli par Christ sur la croix.

Un seul médiateur.

Dieu est saint, et nous sommes pécheurs. Il est donc impossible de nous approcher de Lui sans un médiateur. Nous avons besoin de ce médiateur pour nous purifier de nos péchés et nous présenter devant Dieu. Jésus-Christ est ce médiateur : "Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous" (1 Tim. 2 :5-6). Lui seul est notre médiateur, car Il est le seul à avoir versé Son sang pour nous libérer de l'esclavage du péché.

Hélas, la Tradition a brouillé l'enseignement clair de la Bible. Comme les hommes n'ont pas voulu faire confiance à la Parole de Dieu, ils ont inventé d'autres "médiateurs".

Marie, la mère du Seigneur.

Marie occupe une place unique parmi toutes les femmes, car elle a été choisie pour être la mère de notre Seigneur, selon la chair. Il est donc juste que les Chrétiens l'appellent "bienheureuse", en raison de ce privilège unique. Toutefois, ce n'est pas Marie qui nous a sauvés, et elle n'est pas notre médiatrice.

L'Eglise Catholique enseigne que Marie a été conçue sans péché, qu'elle a contribué à notre salut par ses souffrances, qu'elle est montée au Ciel et qu'elle a été nommée notre médiatrice. Les Catholiques l'appellent aussi "notre vie", et la "porte du Ciel". La Bible n'enseigne rien de tout cela. Au contraire, la Parole de Dieu enseigne que c'est Jésus qui a été conçu sans péché, qu'Il est mort pour nos péchés, qu'Il est monté au Ciel, et qu'Il est l'unique médiateur. Lui seul est notre Vie, et la Porte du Ciel. C'est donc à Jésus-Christ que nous devons regarder.

Marie a dit : "Mon âme exalte le Seigneur, et mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur" (Luc 1 :46-47). Marie désire exalter le Seigneur. Elle ne veut aucune gloire pour elle-même. En outre, elle nous enseigne clairement que nous devons regarder à Dieu pour notre salut, et non pas à elle ou à quelque autre personne. Elle confesse que Dieu est "son sauveur". Nous devons donc invoquer le nom de Jésus, et non celui de Marie. Car l'apôtre Pierre a dit, au sujet du Seigneur Jésus : "Il n'y a de salut en aucun autre ; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés" (Actes 4 :12).

Le prêtre catholique.

Les prêtres de l'Ancien Testament étaient des pécheurs. Ils ne pouvaient offrir que le sang des animaux, et ils entraient dans un Temple fait de main d'homme. Jésus est infiniment meilleur, car Il est sans péché, Il a offert Son propre sang, et Il est entré dans le Ciel même :

"Il nous convenait, en effet, d'avoir un souverain sacrificateur comme lui, saint, innocent, sans tache, séparé des pécheurs, et plus élevé que les cieux, qui n'a pas besoin, comme les souverains sacrificateurs, d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, car ceci, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même" (Hébreux 7 :26-27).

Quel besoin avons-nous d'un prêtre de l'Eglise Catholique Romaine pour offrir des sacrifices pour le péché, puisque nous avons Jésus-Christ ? "C'est aussi pour cela qu'il peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur" (Hébreux 7 :25).

Le pardon de nos péchés.

Puisque le péché est la transgression de la Loi de Dieu, seul Dieu peut pardonner nos péchés. Lorsque David eut commis un très grave péché, il retrouva la paix lorsqu'il eut confessé son péché à Dieu : "Je t'ai fait connaître mon péché, je n'ai pas caché mon iniquité ; j'ai dit : j'avouerai mes transgressions à l'Eternel ! Et tu as effacé la peine de mon péché" (Psaume 32 :5).

La Tradition des hommes a tordu l'enseignement de la Bible. Les prêtres catholiques prétendent posséder le pouvoir de juger les pécheurs, ainsi que de donner ou de retenir l'absolution, qui est la sentence juridique de pardon. On a enseigné à la plupart des Catholiques que Jésus Lui-même a institué le sacrement de la pénitence, lorsque Il a dit aux apôtres : "Ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils leur seront pardonnés ; et ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus" (Jean 20 :23).

Il est clair que Jésus leur a donné le pouvoir de pardonner. Mais nous devons nous poser les questions suivantes : "Quelle sorte de pouvoir Jésus leur a-t-Il donné ? Les a-t-Il établis juges ? Leur a-t-Il demandé d'aller pardonner les péchés en ayant recours à une certaine méthode ?" Les réponses sont claires quand nous lisons les Actes des Apôtres et tout le reste du Nouveau Testament. La Bible ne nous montre nullement que les apôtres recevaient des confessions et donnaient des absolutions. Ils prêchaient l'Evangile, ils exhortaient les gens à se repentir, et de croire en Jésus pour le pardon de leurs péchés. L'apôtre Pierre a déclaré : "Tous les prophètes rendent de lui le témoignage que quiconque croit en lui reçoit par son nom le pardon des péchés" (Actes 10 :43). Quant à l'apôtre Paul, il a dit : "Sachez donc, hommes frères, que c'est par lui que le pardon des péchés vous est annoncé, et que quiconque croit est justifié par lui de toutes les choses dont vous ne pouviez être justifiés par la loi de Moïse" (Actes 13 :38-39).

Si vous voulez que Dieu vous pardonne vos péchés, croyez au Seigneur Jésus-Christ, et vous serez sauvés !

La Religion Catholique fait aussi une autre faute capitale en ce qui concerne le pardon des péchés. L'Eglise Catholique enseigne que le pardon de Dieu n'est pas parfait. Quand un prêtre donne l'absolution à un Catholique, celui-ci doit encore accomplir un acte de pénitence, pour expier ses péchés. Même après leur mort, la plupart des Catholiques s'attendent à aller au Purgatoire, pour y être purifiés par le feu.

La Bible nous assure que tous nos péchés sont pardonnés à cause du nom de Jésus-Christ, et que "le sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché" (1 Jean 2 :12 et 1 :7). Nous n'avons donc plus aucun besoin de faire pénitence pour nos péchés, ni d'aller au "Purgatoire", puisque nos péchés sont purifiés par Son sang !

L'Eglise.

Un jour, Jésus demanda à Ses disciples : "Et vous, qui dites-vous que je suis ?" (Matthieu 16 :15). Pierre répondit : "Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant" (verset 16). Jésus approuva Pierre, et lui dit : "Tu es heureux, Simon, fils de Jonas ; car ce ne sont pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais c'est mon Père qui est dans les cieux. Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Eglise, et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle" (versets 17-18).

Quelle est donc cette "pierre" sur laquelle est bâtie l'Eglise ? Certains prétendent qu'il s'agit de Pierre. D'autres pensent qu'il s'agit de la confession de Pierre : "Tu es le Christ".

Si Paul a enseigné que l'Eglise était fondée sur les apôtres et les prophètes (Ephésiens 2 :20), c'est parce que l'Eglise est fondée sur les enseignements qu'ils ont donnés concernant Christ. Quant à l'Eglise Catholique, elle enseigne que l'Eglise est fondée sur Pierre, parce qu'il a été nommé l'évêque suprême de l'Eglise Universelle. Ceci est faux, tout simplement. Pierre était l'un des principaux apôtres. Mais, dans le Nouveau Testament, Pierre n'a jamais été considéré comme le chef de toute l'Eglise. Le Vatican enseigne que Pierre est le "pasteur suprême" de l'Eglise. C'est ce que le Catéchisme de l'Eglise Catholique enseigne, à son paragraphe 857. Mais Pierre lui-même ne serait pas d'accord avec cette déclaration, car il dit que Jésus est "le souverain pasteur" de l'Eglise (1 Pierre 5 :4).

La "pierre", plus exactement le "roc", peut représenter la confession que Pierre fait concernant Christ, le Fils de Dieu. Saint Augustin avait enseigné cela. Même le Catéchisme catholique admet que cette interprétation est correcte : "Poussés par la grâce du Saint-Esprit et attirés par le Père, nous croyons en Jésus et confessons : "Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant". Sur le roc de cette foi confessée par Saint Pierre, Christ bâtit Son Eglise" (paragraphe 424).

Nous devons répondre sans hésitation aux questions fondamentales que nous pouvons nous poser sur l'Eglise, parce que la Bible nous donne des réponses claires :

Qui est le Chef de l'Eglise ? "Christ est le chef de l'Eglise, qui est son corps, et dont il est le Sauveur" (Ephésiens 5 :23).

Sur qui est fondée l'Eglise ? "Car personne ne peut poser un autre fondement que celui qui a été posé, savoir Jésus-Christ" (1 Cor. 3 :11).

Y a-t-il un autre roc que le Seigneur Lui-même ? "Y a-t-il un autre Dieu que moi ? Il n'y a pas d'autre rocher, je n'en connais point" (Esaïe 44 :8).

L'Eglise de Jésus-Christ rassemble tous ceux qu'Il a rachetés par Son propre sang, de toutes les nations de la terre. Elle est sainte, car tous ses membres ont été sanctifiés par le sang de Jésus-Christ, et ont reçu le même Saint-Esprit. Elle est apostolique, parce qu'elle obéit aux enseignements des apôtres, tels qu'ils nous sont donnés par la Bible. Toute assemblée locale de Chrétiens qui croient et qui obéissent aux enseignements de la Bible font partie de la seule Eglise "Catholique" de Jésus-Christ, "catholique" signifiant "universelle" en grec.

La nouvelle naissance.

Nicodème était un chef des Juifs et un docteur de la Loi très respecté. Mais Jésus lui a dit : "En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu" (Jean 3 :3). Le vrai problème, ce n'est pas être religieux, aller à l'église, lire la Bible, ou s'efforcer de vivre une vie droite. La vraie question est la suivante : "Etes-vous né de nouveau ?" Si vous n'êtes pas né de nouveau, vous ne verrez jamais le Ciel, et vous n'y entrerez jamais.

Pourquoi faut-il naître de nouveau ? La Bible décrit la condition désespérée de l'homme naturel. Non seulement il est malade et faible, mais il est "mort dans ses péchés et ses transgressions". Ses pensées ne sont pas soumises à la Loi. Il peut être religieux, mais il ne recherche pas le Dieu véritable. Il n'a pas de relation vivante avec le Seigneur, et il ne peut rien y changer.

Il ne s'agit pas de tourner une page, ni de prendre la résolution de vivre une vie meilleure. Les rites religieux, comme la circoncision ou le baptême, ne peuvent rien y changer non plus. Nicodème était circoncis, mais il avait cependant besoin de naître de nouveau. Si vous êtes mort spirituellement, vous ne pourrez vous donner la vie par rien de ce que vous ferez. Vous avez, plus que tout, besoin que Dieu vous donne la vie !

Etre en règle avec Dieu.

Comment pouvons-nous obtenir la paix avec notre Créateur, quand nous sommes chargés de la culpabilité de notre péché ? Selon l'Ecriture, il n'y a qu'un seul remède : nous devons être justifiés par la foi en Christ : "Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ" (Romains 5 :1).

"Justification" est un terme légal. C'est le contraire de "condamnation". Celui qui obéit à la loi est juste, alors que celui qui désobéit à la loi est injuste et coupable. Le juge doit donc justifier le juste et condamner le coupable. La justification s'accomplit lorsque le juge prononce une décision favorable : il déclare que l'accusé n'est pas coupable. Ce dernier n'est donc soumis à aucune punition.

Dieu est le Juge de ce monde. Il nous justifierait certainement si nous étions justes. Hélas, la triste vérité, c'est que nous sommes loin d'être justes. Bien au contraire, nous devons tous plaider coupable, parce que nous avons violé Sa loi. Puisque nous sommes tous des pécheurs injustes, nous devons subir la sentence de condamnation prononcée par Dieu. Comment un homme pourrait-il être juste devant Dieu ?

Même si le pécheur se réformait et commençait à vivre une vie juste, Dieu serait encore obligé de le justifier, pour pouvoir être véritablement juste. On enseigne aux Catholiques Romains que Dieu nous justifie en nous rendant "intérieurement justes" (Catéchisme, 1992). Cela signifie que Dieu justifie le pécheur quand, grâce aux sacrements et aux bonnes œuvres, il devient juste par ses propres efforts.

Nous admettons que Dieu travaille dans la vie de Ses enfants, pour les transformer de plus en plus à l'image de Son Fils. Toutefois, aussi longtemps qu'ils sont sur cette terre, les Chrétiens peuvent pécher. Si nous avons péché, nous devons le reconnaître, sinon la vérité ne demeure point en nous (1 Jean 1 :8). Selon l'enseignement Catholique, Dieu justifie le juste : Il déclare juste celui qui s'est justifié lui-même ! Mais ce n'est pas une bonne nouvelle pour le pécheur ! Alors que nous devons louer Dieu pour son ineffable miséricorde, car la Bible nous donne un message différent : "Or, à celui qui fait une œuvre, le salaire est imputé, non comme une grâce, mais comme une chose due ; et à celui qui ne fait point d'œuvre, mais qui croit en celui qui justifie l'impie, sa foi lui est imputée à justice" (Romains 4 :4-5).

Dieu déclare "non coupable" le pécheur qui a la foi ! Dieu ne le justifie pas parce qu'il est juste. En fait, il ne l'est pas. Mais Dieu justifie l'impie. Dieu ne peut pas non plus l'acquitter sur la base de ses bonnes œuvres et de ses mérites. Dieu justifie "celui qui ne fait point d'œuvre" ! C'est cela le véritable Evangile. Quel baume réconfortant pour l'âme du pauvre pécheur !

Nous devons tous faire un choix. Soit vous vous confiez en la seule miséricorde de Dieu, soit vous vous appuyez sur vos efforts personnels. D'un côté, l'Eglise Catholique Romaine maudit tous ceux qui disent que "la foi qui justifie n'est rien d'autre que la confiance en la miséricorde divine, qui nous permet d'obtenir le pardon de nos péchés, grâce à Christ". D'un autre côté, les Chrétiens véritables, tel ce publicain, ne s'appuient que sur la miséricorde divine. Selon le Seigneur Jésus, c'est tout ce qu'il nous faut pour être en règle avec Dieu.

Sur quoi vous appuyez-vous pour être acquitté et libéré de votre condamnation ? Sur vos propres mérites, ou sur la miséricorde et la grâce de Dieu, telles qu'elles nous sont révélées à la croix du Calvaire ? Cherchez-vous à vous faire accepter par Dieu grâce à vos bonnes œuvres, ou mettez-vous votre foi en un Dieu parfaitement miséricordieux ? Ne voulez-vous pas cesser de vous confier en vous-mêmes, pour croire en Jésus-Christ et en Lui seul ?

Le véritable Evangile, et sa contrefaçon.

L'apôtre Paul était manifestement dans une grande détresse et dans une grande angoisse, lorsqu'il a écrit son épître aux Galates. La gloire de Dieu et le salut de ces hommes étaient en jeu. Des faux docteurs étaient venus après lui, et avaient tordu le véritable Evangile qu'il avait prêché. Ils ne rejetaient pas ouvertement la foi en Christ, ni la grâce de Dieu. Ils voulaient simplement y ajouter le rite de la circoncision et l'obéissance à la Loi de Moïse, croyant que ces choses leur permettraient de se faire accepter par Dieu. Toutefois, l'apôtre Paul considérait que leur enseignement était un "autre Evangile". Il leur écrit ceci :

"Je m'étonne que vous vous détourniez si promptement de celui qui vous a appelés par la grâce de Christ, pour passer à un autre Evangile. Non pas qu'il y ait un autre Evangile, mais il y a des gens qui vous troublent, et qui veulent renverser l'Evangile de Christ. Mais, quand nous-mêmes, quand un ange du ciel annoncerait un autre Evangile que celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème !" (Galates 1 :6-8).

Si Paul considérait que le fait d'ajouter à la foi le rite de la circoncision et la Loi de Dieu invalidait l'Evangile, quel est donc le jugement de la Bible sur "l'Evangile" de l'Eglise Catholique Romaine ? "L'Evangile" de Rome, c'est la foi plus les œuvres, la grâce plus le mérite, la régénération par le baptême catholique, la pénitence, la messe, le rosaire, le culte à Marie, les souffrances du Purgatoire, et bien d'autres choses encore. L'apôtre Paul proclame que tous ceux qui ajoutent quelque chose à la foi dans le Seigneur, et qui cherchent à être justifiés par des œuvres rituelles, sont séparés de Christ, et que Christ ne leur sert à rien (lire Galates 5 :2-4).

Repentez-vous, et croyez en l'Evangile.

Chers amis Catholiques, nous vous demandons, et vous implorons de la part de Christ, à être réconciliés avec Dieu. Reconnaissez-vous comme des pécheurs indignes et des rebelles contre le Dieu souverain. Plaidez coupables devant le Juge de la Terre, admettez que vous méritez le feu éternel, et que rien de tout ce que vous pourrez faire ne pourra payer pour vos péchés.

Pourtant, ne désespérez pas, regardez au Dieu de toute grâce et de toute miséricorde. Cessez de vous confier en vous-mêmes, en vos œuvres et en vos mérites. Le salut vient du Seigneur. La rédemption est Son œuvre. Toute la gloire n'appartient qu'à Lui seul. Ne vous appuyez pas sur l'Eglise, Marie, les saints, un prêtre humain, le sacrifice de la messe, ou un Purgatoire imaginaire !

Faites plutôt entièrement confiance à Christ seul, le Fils de Dieu. Il est l'unique médiateur, l'unique souverain sacrificateur, qui S'est donné Lui-même, par un sacrifice qui est pleinement suffisant pour payer le prix des péchés de Son peuple. La Bible dit à ceux qui croient en Christ : "En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce" (Ephésiens 1 :7).

Que le Seigneur vous soit miséricordieux, et qu'Il vous accorde la grâce de la repentance, pour que vous vous détourniez du faux "Evangile" du Catholicisme Romain. Que Dieu vous accorde le don de la foi ! Qu'Il vous donne de vous reposer en Christ, Son Fils, pour Le servir tous les jours de votre vie, en attendant Son retour, pour nous amener avec Lui dans la Maison du Père !

Vous voudrez aussi vous joindre à une assemblée locale de Chrétiens, qui croient en la Bible. Nous sommes membres d'un corps, l'Eglise, et nous avons besoin les uns des autres. Le Seigneur veut aussi que vous soyez baptisés (immergés) au nom du Dieu unique en trois Personnes, et que vous partagiez le pain et le vin, pour commémorer Son sacrifice pour nous. L'enseignement et la prédication de la Parole sont absolument indispensables pour que les Chrétiens puissent grandir dans la grâce et la connaissance de Christ.

Que le Seigneur vous bénisse et vous garde ! Que le Seigneur fasse luire sur vous Sa face, et qu'Il vous donne la paix !

samedi 15 mars 2008

OU TROUVER LA VERITE ?


II y a aujourd'hui un nombre relativement important d'organisations, de systèmes et de mouvements "spirituels" qui proposent une solution à nos problèmes. Chacun prétend être un chemin qui conduit au paradis, à la perfection, à la réalisation de soi, etc. Il est donc nécessaire d'y voir clair pour ne pas se laisser duper.

RELIGIONS

Voici quelques-unes des religions ou sectes occidentales et orientales auxquelles nous pouvons être confrontés :

· L'église catholique romaine, est née en Italie au 3ème siècle. Elle a une autorité suprême, le Pape, qui règne à Rome.
· L'église orthodoxe, qui s'est séparée de Rome en 1154.
· L'église réformée (protestantisme) qui est née de la Réforme au l6ème siècle.
· Le judaïsme qui se réclame de la loi de Moïse et de l'Ancien Testament, mais qui ne croit pas que Jésus est le Christ.
· Les témoins de Jéhovah (La Tour de Garde) est un mouvement qui est né au 19ème siècle et a son quartier général aux Etats-Unis. Ils nient la divinité du Christ.
· Les Mormons (Eglise de Jésus-Christ des saints des derniers jours) qui croient que le livre des Mormons est la Parole de Dieu à I'égal de la Bible.
· "L'église universelle de Dieu", d'origine brésilienne.
· Les diverses sectes telles que "La Rose-croix", "la scientologie", "les amis de l'homme ", "l'anthroposophie ", "la pure vérité", "l'association pour l'unification du christianisme mondial" (Moon), "la franc-maçonnerie ", "la famille d'amour" (ex-enfants de Dieu), et toutes les petites sectes régionales.
· L'Islam qui a été fondé par Mohamed au 7ème siècle, est basé sur le Coran et nie la divinité et la mort de Christ.
· L'hindouisme, qui comprend une multitude de divinités et enseigne la réincarnation. II est représenté en occident. par la "conscience de Krishna", "la méditation transcendantale", et plusieurs techniques de "yoga".
· Le bouddhisme, qui nous promet le nirvana après un certain nombre de vies successives. Ses variantes principales sont "le lamaïsme" et "le zen".

CROYANCES

Nous pouvons également citer d'autres croyances dans lesquelles les hommes ont mis leur espoir, telles que :
· L'athéisme, qui n'est généralement pas considéré comme une religion, mais qui a aussi ses dieux : la matière, l'homme, la nature, la science, l'argent, etc.
· La théorie de l'évolution, (qui est une croyance et non une science) a également son guru et ses prètres.
· Les sciences occultes (ou parapsychologie) et depuis quelques années, le mouvement du "Nouvel Age" qui cherche à tout englober dans un syncrétisme mondial dont les doctrines de base sont hindoues.

QUI CROIRE ?

La perplexité de celui qui cherche la vérité est compréhensible. Certains disent que toutes les religions sont bonnes !
Mais alors, pourquoi sont-elles si contradictoires ?

Elles ont toutefois un point commun : "le salut par les œuvres", autrement dit, l'espoir de mériter le paradis, le nirvana, la perfection par nos propres efforts, nos bonnes actions, notre obéissance à une loi, notre pratique de rites, de sacrements, etc.

L'évangile est le seul message qui enseigne que l'homme est mauvais et, qu'à cause de sa révolte contre son Créateur, il est condamné à passer l'éternité dans le feu. "Tous sont égarés, tous sont pervertis, il n'en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul" nous dit l'apôtre Paul dans sa lettre aux Romains.
Mais Dieu, dans son amour pour ses créatures, nous a fait grâce à cause du sacrifice de son fils, Jésus-Christ.
On dit aussi que toutes les religions sont des chemins qui conduisent au même dieu. Cela est vrai dans un sens, car il ne s'agit pas du vrai Dieu. Satan, dans la Bible, est appelé "le dieu de ce monde". Tous ces chemins sont donc les voies parallèles d'une même route qui conduit à la perdition. Vous pouvez changer de voie, mais le but est le même.

Jésus nous donne cet exemple : "Large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition. et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte, resserré est le chemin qui mènent à la Vie et il y en a peu qui les trouvent" (Evangile de Matthieu, chapitre 6. versets 13 et 14).
Un jour quelqu'un a demandé à Jésus : "Où est le chemin ?". Jésus lui a répondu : "Je suis le chemin, la vérité et la vie, nul ne vient au Père que par moi". (Evangile de Jean, chapitre 14, verset 6).

Le chemin n'est donc pas une religion ni une secte quelconque, mais une personne.
La vérité n'est pas une doctrine ou un concept mais la personne même de Jésus-Christ. Il est la vie, celui qui ne le connaît pas est mort. Celui qui le connaît, connaît le vrai Dieu et il est impossible de connaître le vrai Dieu autrement que par le Seigneur Jésus-Christ.
Les religions viennent des hommes, mais le salut vient de Dieu. Jésus n'est pas venu nous apporter une religion meilleure que les autres, il est venu nous communiquer l'amour de Dieu, la paix, la vie éternelle.

Pour cela, il a donné sa vie en sacrifice pour toute l'humanité, il a été frappé pour nos fautes, la punition que nous méritions est tombée sur lui, le seul homme bon, juste et parfait.
Si nous demandons pardon à Dieu, en renonçant à nos péchés et si nous croyons que Jésus-Christ a été mis à mort à notre place, Dieu nous pardonne. Si nous croyons qu'il est sorti vivant du tombeau, Dieu nous donne gratuitement la vie éternelle et nous devenons membres de son peuple.

Voilà en quoi consiste l'Eglise de Jésus-Christ, disséminée sur toute la terre, gouvernée par lui-même : un organisme vivant et spirituel, composé de tous ceux et celles qui ont accepté par la foi le cadeau que Dieu leur a fait et qui sont nés de nouveau par la foi en Jésus-Christ.
Lisez la Bible, ce Livre merveilleux qui seul nous révèle la vérité, car elle est la Parole de Dieu.
Jésus dit : "Celui qui cherche trouve".

http://www.aucommencement.net/ ou http://gloireaucreateur.blogspot.com/ ou http://maladie-sante.over-blog.com/
pierre danis : pierre.danis@wanadoo.fr

samedi 2 juin 2007

Les sacrements catholiques

Du latin : Sacramentum = consécration, engagement + le verbe sacrare =se vouer, se dédier, se lier.

l) Le baptême des enfants :
Ce sont les parents qui s'engagent pour l'enfant. Bien que l'on n'ait pas péché personnellement, cette cérémonie a quand même eu lieu, et comme tout engagement, il est respecté par Dieu. Si nous voulons en être affranchi, nous disons au Seigneur que nous désapprouvons cet acte que nos parents ont fait sur nous et nous lui demandons de l'annuler. Et si nous avons fait cela sur nos enfants, il faut nous en repentir et, si possible, demander au curé de 1'annuler sur son registre.
Le baptême (immersion) biblique est un engagement personnel pris par quelqu’un qui s’est repenti et qui croit au sacrifice de Jésus Christ et à sa résurrection.

2) La confirmation :
L'enfant confirme l'engagement pris par ses parents au baptême, il le rend valide. L'enfant doit embrasser la bague de l'évêque (ce qui est un acte idolâtre) et celui-ci lui touche la joue, ce qui est une imposition de main, pour que l'enfant reçoive le "Saint-Esprit". Cela se fait te jour de la Pentecôte, et tout ceci se dissimule derrière des arguments bibliques. Comme l'évêque n'est pas un serviteur du vrai Dieu il peut communiquer un autre esprit. Dans certains cas il fait aussi un petit signe de croix sur le front avec de l'huile. La plupart des enfants le font sans y croire et sans comprendre, mais il est quand mème nécessaire de confesser ces fautes, car il s'agit d'un engagement devant les hommes, et devant les autorités célestes.

3) La confession :
Dieu seul a le pouvoir de pardonner les péchés. Si on croit qu'un homme peut le faire, c'est de l'idolâtrie. Comment un homme qui est peut-être pire que celui qui se confesse peut-i1 pardonner ? La Bible dit qu'il n'y a qu'un seul Dieu et un seul médiateur entre Dieu et tes hommes, c'est l'homme Jésus-christ ( 1 Timothée chapitre 2, verset 6).

4) La communion :
C'est un engagement par lequel nous entrons en communion (union avec = être un) avec tous les membres de l'église catholique, ainsi qu'avec l'esprit du catholicisme. L’apôtre Paul appelle cela une coupe de démons (1 corinthiens 10 v 14 à 22).

5) Le mariage :
Le prêtre prononce une bénédiction sur les époux qui prennent un engagement envers l'église catholique romaine. Jésus dit "Le Saint-Esprit vous conduira dans toute la vérité" (Jean 16 : 13) et par conséquent, un esprit qui nous conduit dans l’erreur ne peut pas être l'Esprit de Dieu. C'est un moyen très simple pour reconnaître le Saint-Esprit des autres esprits.

6) L'ordination : concerne uniquement les prêtres.

7) L'extrême-onction : est donnée aux mourants.

Cher lecteur, si tu t’es lié par ces engagements, il faut t’en défaire au plus vite, en les confessant à Dieu et en demandant à un chrétien de prier pour toi. Psaume 107.

pierre.danis@wanadoo.fr

La prostituée

Dans la Bible, nous trouvons 2 femmes symboliques, l’une appelée « La prostituée », c’est-à-dire la fausse église, et l’autre appelée « L’épouse de Christ », la véritable église de JESUS CHRIST.

Ancien testament :

Proverbe 2-16 à 19 : La femme étrangère (par rapport à la connaissance du vrai Dieu), par opposition à l’épouse de Christ (la femme fidèle).
Proverbe 5-1 à 6 : Elle ne sait oû elle va (Babylone veut dire : confusion). Dans son aveuglement, elle ne sait même pas qu’elle est sur le chemin de la perdition.
Proverbe 9-13 à 18 : Elle est folle car elle ne connaît pas la crainte de l’Eternel qui est le commencement de la Sagesse. Le « pain du mystère » semble faire allusion au sacrement de l’eucharistie, avec le mystère de la transsubstantiation (l’hostie est toujours ronde comme les galettes des anciens adorateurs du soleil et de la « reine des cieux ». Jérémie 7. V18).
Ecclésiaste 7-26 : Elle est un piège, un filet, des liens…Des millions de gens en sont esclaves, et seul le Seigneur Jésus Christ peut les en délivrer.
Esaie 47-12 à 13 : Enchantements…astrologie…Religion idolâtre mélangée avec l’occultisme, la superstition, la nécromancie…Choses que Dieu a en horreur. Deutéronome 18-10 à 12. (voir l’étude sur le catholicisme).

Nouveau testament :

Matthieu 13-33 : Un peu de levain fait lever toute la pâte (croissance et influence du catholicisme). - La femme = La prostituée (fausse église chrétienne).
- Le levain (pâte fermentée, c’est-à-dire pourrie) = Les fausses doctrines.
- La pâte = L’église fidèle (1 Corinthiens 5 v 6 à 8). Malheureusement, l’église de Jésus Christ est très influencée par le catholicisme. Il existe une autre interprétation, selon laquelle la femme est l’église, le levain est l’évangile, et la pâte est le monde, mais cela est un non-sens à la lumière de toutes les écritures.
2 Timothée 3-1 à 5 : L’apparence de la piété = l’hypocrisie.

Apocalypse 17-1 à 6 : La prostituée dans sa phase finale, utilisée par l’Anti-Christ pour accéder au pouvoir mondial (c’est le comble de la prostitution spirituelle).
Son nom est « Babylone », elle est la mère de toutes les autres prostituées (c’est-à-dire celle qui les a enfantées).
En effet, c’est à Babel (nom hébreu de Babylone) que sont nées les religions structurées, l’occultisme, l’idolâtrie, et les principales fausses doctrines qui sont les fondements des religions et sectes actuelles. L’apôtre Jean voit cette femme couverte de richesses et ivre du sang des disciples de Jésus Christ qu’elle persécute. Cependant, n’oublions pas qu’elle est avant tout une séductrice, surtout aujourd’hui, par le moyen de l’œcuménisme.
Apo 17-14 à 18 : Sa destruction voulue par Dieu et par la coalition des nations au service de la Bête.

CHER AMI, DE QUELLE EGLISE FAIS-TU PARTIE ? Si c’est de la prostituée, il est encore temps d’en sortir…

Pierre Danis : pierre.danis@wanadoo.fr

vendredi 25 mai 2007

La grande religion mondiale unique de la fin des temps

Mise en place de la grande religion mondiale unique de la fin des temps

L'Eglise Catholique Romaine est en train de préparer la mise en place de la grande religion mondiale unique de la fin des temps, conformément aux prophéties de la Bible.
Le Congrès œcuménique sur "L'avenir de Dieu" se tient chaque année au mois d'octobre à Fatima, au Portugal. En octobre 2003, il a accueilli des délégués du Vatican et des Nations Unies. A cette occasion, ces délégués ont appris que le sanctuaire Marial de Fatima allait devenir un centre mondial ouvert à toutes les religions du monde, afin que tous les peuples puissent venir y rendre hommage à leurs différents dieux. Le Congrès s'est tenu au Centre Pastoral Paul VI, et était présidé par l’évêque Josè Policarpo, le Cardinal Patriarche de Lisbonne.
Le recteur du Sanctuaire dit aux congressistes que "Fatima allait changer pour le mieux". S'adressant à tous les représentants des différentes religions mondiales, Hindous, Musulmans, Juifs, Orthodoxes, Bouddhistes et l’Animisme, il a déclaré : "L'avenir de Fatima, ainsi que l'adoration de Dieu et de Sa Mère dans ce sanctuaire sacré, doivent passer par la création d'un sanctuaire où toutes les différentes religions pourront se mêler… Le sanctuaire de Fatima est déjà en train de devenir un lieu de culte universel".

Le représentant des Hindous, Anshok Ansraj, a décrit de quelle manière, dans son pays, des millions d'Hindous perçoivent des "vibrations positives" en visitant différents sanctuaires mariaux, sans mettre en péril leur propre foi. L’évêque Guerra a fait aussi remarquer que Fatima est un prénom musulman, celui de la fille de Mahomet, et que cela était la preuve que ce sanctuaire devait être ouvert à la coexistence entre les différentes religions. Selon lui, "nous devons donc en conclure que c'est la volonté de la Bienheureuse Vierge Marie qu'il en soit ainsi en ce lieu". Les Catholiques traditionalistes, opposés à ce Congrès, ont été qualifiés par l’évêque Guerra de "bigots étroits d'esprit, attachés au passé, d'extrémistes fanatiques et de provocateurs".

L'un des principaux orateurs, le théologien Jésuite Jacques Dupuis, a insisté sur le fait que toutes les religions du monde devaient s'unir. Selon lui, "la religion de l'avenir sera la convergence de toutes les religions en un Christ universel qui satisfera tout le monde. Toutes les traditions religieuses du monde font partie du plan de Dieu pour l'humanité. Le Saint-Esprit est présent et à l'œuvre au sein du Bouddhisme, de l'Hindouisme et de toutes les religions non-Chrétiennes, tout autant que dans les Ecritures sacrées du Christianisme".

Le document officiel rédigé par le Congrès demande que toutes les religions cessent de faire du prosélytisme pour leur propre compte : "Aucune religion ne peut s'imposer aux autres, ni s'affirmer aux dépens des autres. Nous devons rester ouverts au dialogue, afin de pouvoir bâtir des ponts, et abattre les murs de séparation élevés par des siècles de haine. Ce dont nous avons besoin, c'est que chaque religion, tout en restant entièrement fidèle aux vérités qu'elle défend, considère toutes les autres religions sur un même pied d'égalité, sans aucun complexe ni d'infériorité ni de supériorité" ("Portugal News" du 1er novembre 2003).

Le sanctuaire de Fatima, situé au Portugal, est l'un des principaux centres mondiaux du culte Marial, et a joué un rôle majeur dans la pensée du Pape Jean-Paul II. La "Vierge Marie" serait apparue à Fatima le 13 mai 1917, déclarant que "le Seigneur lui avait confié la paix du monde". Le 13 mai 1981, le jour anniversaire de la première apparition de la "Vierge Marie" en 1917, le Pape Jean-Paul II fut victime d'une tentative d'assassinat à Rome. Pendant sa convalescence, le Pape reçut une vision de "Marie", qui lui dit qu'elle avait épargné sa vie, parce qu'il allait être chargé d'une mission particulière destinée à apporter la paix au monde. Le Pape attribua sa protection et sa guérison à l'intervention de la Vierge Marie. L'année suivante, le 13 mai 1982, il se rendit en pèlerinage à Fatima, et il pria devant la statue de "Notre Dame de Fatima". C'est là qu'il consacra le monde à Marie. Il mentionna tout particulièrement dans ses prières le peuple Russe. Le Pape a attribué à l'intervention de la Vierge Marie la chute du mur de Berlin et l'effondrement du communisme soviétique.

Tout cela ne fait que prouver qu'un puissant esprit de séduction est en train d'envahir le monde entier, tout particulièrement le monde religieux, pour préparer l'apparition de l'Antichrist. Toutes les religions païennes vénèrent une figure de "déesse", souvent plus accessible et même plus puissante qu'un dieu mâle. Quand le Christianisme formel fut officiellement accepté par l'empire romain, au quatrième siècle, il couvrit le paganisme romain d'un vernis de terminologie chrétienne. Etant à la recherche d'un type de déesse pour l'incorporer dans la nouvelle religion, il choisit Marie, la femme la plus remarquable du Nouveau Testament, et il en fit la "Mère de Dieu" et la "Reine du Ciel". L'expression "Mère de Dieu" n'est jamais mentionnée dans la Bible, et celle de "Reine du Ciel" n'apparaît que dans Jérémie 44 :17-19, dans un contexte négatif, où les Israélites sont condamnés parce qu'ils offraient des gâteaux en l'honneur d'une déesse païenne, ce qui attira le jugement de Dieu sur eux.

Les apparitions modernes de "Marie" sont, en fait, non pas des manifestations de la véritable Marie du Nouveau Testament, mais des visitations démoniaques des déesses des antiques religions païennes. Il est significatif que les messages apportés par ces "apparitions" ne correspondent pas au message fondamental de la Bible, en particulier au message du salut par la repentance et la foi en Jésus le Messie, seul médiateur entre Dieu et les hommes. La théologie de l'Eglise Catholique Romaine présente même Marie comme "co-rédemptrice", ou partenaire directe de Jésus dans la rédemption. Il semblerait, en fait, que Jésus soit même réduit à une position relativement secondaire, car Marie, dans les déclarations qui lui sont attribuées, joue un rôle qui n'appartient en réalité qu'à Dieu seul. Par exemple, l'apparition de Fatima a déclaré : "Je promets d'assister de toutes les grâces nécessaires au salut, à l'heure de leur mort, tous ceux qui auront accepté de passer un quart d'heure quotidien en ma compagnie, en méditant sur le mystère du Rosaire, avec l'intention de faire réparation pour les torts qui m'ont été faits".
Le culte rendu à Marie et l'émergence de la religion mondiale uniqueTous les délégués au Congrès de Fatima ont affirmé que les apparitions de Marie sont un moyen de rapprocher toutes les religions, dans leur recherche commune d'une puissance unificatrice. Toutes les religions païennes ont une "déesse" favorite, et ce concept est au centre de leur recherche d'unité. Beaucoup de ces prétendues visions apportent des messages annonçant un prochain réveil mondial, qui introduira l'humanité dans un nouvel âge de paix et d'amour. Selon les déclarations d'une apparition de Marie, dans le village espagnol de Garabandal, au cours des années 80, il va se produire "un certain signe, qui poussera tous les habitants du monde, au même moment et où qu'ils se trouvent, à recevoir de Dieu un "changement de conscience" complet et instantané".

Beaucoup de ces messages apportés par "Marie" ressemblent aux messages du Nouvel Age, qui annoncent une ère de "renouveau spirituel intérieur", où les hommes découvriront leur "dieu intérieur", niant ainsi la nécessité de se repentir et de placer leur foi en Jésus-Christ le Sauveur. Un autre concept du Nouvel Age est celui de Gaïa, la "Terre Mère", qui fait aussi appel à "l'esprit de la déesse". Les Protestants libéraux font la promotion du féminisme, et cherchent à écarter "l'image patriarcale d'un Dieu Père". La controverse au sujet de l'ordination des femmes à la prêtrise s'appuie souvent sur le concept d'un Dieu qui serait en fait une "Mère". La théologie de Rome cherche de plus en plus à réunir toutes les religions, et le Pape Jean-Paul II a déjà affirmé que tous les dieux sont les mêmes, s'opposant ainsi aux Chrétiens évangéliques.

Tout cela correspond bien à ce qui est écrit dans le Livre de l'Apocalypse, où nous lisons :
"Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or, remplie d'abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d'un grand étonnement" (Apoc. 17 :3-6).

"Bientôt, une alliance sera conclue entre le maître du monde et le Vatican. La femme montera réellement la Bête, et son rôle sera vital. L'Antichrist saura qu'il ne peut y avoir de paix politique sans paix religieuse. Il ne pourra y avoir de paix mondiale, tant que toutes les religions n'accepteront pas de se considérer comme des partenaires, et de travailler en commun pour atteindre les mêmes objectifs. Le Pape jouera donc un rôle essentiel dans cet œcuménisme global".
Il se peut que le règne du présent Pape touche à sa fin. Mais il aura accompli des progrès décisifs, en dirigeant résolument l'Eglise Catholique dans cette direction. Il ne fait pas de doute que son successeur continuera à œuvrer pour que toutes les religions s'unissent sous la bannière de l'œcuménisme.

L'ordre du jour du Congrès de Fatima sur "L'avenir de Dieu" correspond étroitement au programme visant à instaurer la religion mondiale unique. Toutes les religions du monde, associées aux Nations Unies, se sont déjà unies, sous les auspices de l'Eglise Catholique Romaine, pour appeler à l'unification de toutes les religions et à l'acceptation du "Christ Universel". Telle est l'essence de la future religion mondiale, qui nie le véritable message du Seigneur Jésus, qui a dit :
"Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi" (Jean 14 :6).
Le titre même de ce Congrès ne fait que révéler l'incapacité complète des participants à comprendre la nature de ce Dieu dont ils prétendent parler ! Comme si des êtres humains insignifiants pouvaient, avec leur raison limitée, déterminer "l'avenir de Dieu" ! Dieu existe de toute éternité. Par définition Il ne change pas, notamment en fonction des modes humaines passagères. Selon Sa Parole, tous ceux qui prient une multitude de dieux concurrents ne font qu'invoquer des "dieux incapables de sauver" (Esaïe 45 :20). Quelle tragique perte de temps et d'efforts, alors que nous pouvons prier le vrai Dieu, qui nous sauve effectivement, grâce au sang versé par le Seigneur Jésus-Christ sur la croix. C'est pour cela que Jésus nous a demandé de partager la Bonne Nouvelle du salut à tous ceux qui croient en d'autres religions. Il a commandé à Ses disciples d'aller dans le monde entier pour prêcher l'Evangile (Matthieu 28 :19-20).
La véritable Marie
La véritable Marie, connue sous le nom de Myriam, était une pieuse jeune fille Juive qui a été choisie par Dieu pour permettre au Messie de venir au monde. Il s'agissait d'une naissance virginale surnaturelle, car Jésus devait être pleinement Dieu et pleinement Homme, accomplissant ainsi les prophéties d'Esaïe 7 :14 et 9 :6, et de Michée 5 :2. Le Seigneur pouvait donc S'offrir comme sacrifice parfait pour les péchés du monde entier. Après la naissance de Jésus, Myriam eut normalement d'autres enfants de son mari Joseph (Matthieu 12 :46-50). Elle crut en Jésus comme son Sauveur personnel (Luc 2 :47), et reçut la vie éternelle comme des millions d'autres Chrétiens qui ont suivi son conseil, quand elle avait dit à propos de Jésus : "Faites ce qu'il vous dira" (Jean 2 :5). Jésus nous a dit : "Il faut que vous naissiez de nouveau". Nous ne pouvons nous efforcer d'atteindre Dieu en récitant une multitude de prières, en accomplissant des bonnes œuvres ou en faisant des actes de pénitence. Nous ne pouvons le faire que par la repentance et la foi en la mort et la résurrection de Jésus.

Marie a réellement eu l'honneur d'être un merveilleux exemple de foi et d'obéissance au Seigneur. Mais d'autres personnages de la Bible ont aussi donné le même exemple. Rien ne nous laisse croire que Marie continue à jouer aujourd'hui un rôle particulier dans notre salut. Il est impossible que ce soit elle qui apparaisse en divers endroits, car la Bible nous enseigne qu'il ne doit y avoir aucune communication entre les vivants et les morts. Toutes les apparitions attribuées à Marie, que ce soit à Fatima, Lourdes ou ailleurs dans le monde, ne peuvent donc être que des séductions visant à induire les gens en erreur, et à les éloigner d'une véritable foi au Seigneur.

Voici ce que dit le Seigneur à tous ceux qui appartiennent au système religieux qui approuve ces apparitions :
"Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux" (Apoc. 18 :4).

mardi 22 mai 2007

La prière pour les morts

Prier pour les morts ?

Les vivants peuvent-ils aider les morts en priant pour eux ? Selon la doctrine catholique, ils le peuvent en effet :
" La communion avec les défunts. Notre prière pour eux peut non seulement les aider mais aussi rendre efficace leur intercession en notre faveur." Article #958, p. 252-253
De ce texte, nous tirons trois affirmations contraires à la Bible. Examinons-les :

la pensée de prier pour les morts ... est une pensée sainte et pieuse.
Selon la Parole de Dieu, ce n'est ni saint ni pieux de prier pour les morts. Les chrétiens sont encouragés à prier pour les vivants, mais la Bible ne recense aucun exemple de véritable chrétien priant pour les défunts. C'est encore une tradition humaine.

la pensée de prier pour les morts, afin qu'ils soient délivrés de leurs péchés...
Voici une tradition bâtie ... sur une tradition. Les Ecritures ne laissent jamais suggérer cela. Comme nous l'avons déjà vu, il faut être délivré de ses péchés avant sa mort.

Notre prière pour eux peut non seulement les aider mais aussi rendre efficace leur intercession en notre faveur
Tel un jeu de construction où l'on empile des cubes, cette tradition s'appuie sur d'autres traditions humaines. Elle n'a absolument aucun fondement biblique. Nous atteignons des "sommets" en apprenant que notre prière est supposée être capable de :
"rendre efficace leur intercession en notre faveur"
La question qui vient immédiatement aux lèvres est : Pourquoi aurions-nous besoin d'autres intercessions pour nous-mêmes ? N'est-il pas suffisant d'avoir l'intercession de Dieu le Fils ? Le Créateur de l'univers a-t-il besoin de l'aide des hommes et femmes, pour persuader Dieu le Père ?

Quelle attitude méprisante envers Jésus-Christ ! Cette doctrine catholique présente le Seigneur comme un faible, incapable de persuader Son Père sans l'aide de la prière des morts ! Ce n'est pas ainsi que Jésus est présenté dans la Bible :
" Jésus, s'étant approché, leur parla ainsi : Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. " Matthieu 28.18

Voici un autre portrait de Jésus-Christ :


" [Dieu] l'a déployée en Christ, en le ressuscitant des morts, et en le faisant asseoir à sa droite dans les lieux célestes, au-dessus de toute domination, de toute autorité, de toute puissance, de toute dignité, et de tout nom qui se peut nommer, non seulement dans le siècle présent, mais encore dans le siècle à venir. Il a tout mis sous ses pieds, et il l'a donné pour chef suprême à l'Église, qui est son corps, la plénitude de celui qui remplit tout en tous. " Éphésiens 1.20-22
Quelle différence avec le portrait qu'en fait l'église catholique !

Cher ami catholique, Jésus-Christ n'a besoin de personne pour agir ! Il est tout à fait capable d'intercéder pour nous :

" C'est aussi pour cela qu'il [Jésus] peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur. " Hébreux 7.25
Avant de prier pour un défunt qui vous est cher, comprenez que ceci n'est qu'une invention humaine. Dieu ne vous a jamais demandé de prier pour les morts, et n'a jamais promis non plus que cela serait bien.

Jeune catholique, j'ai toujours pensé que ces règles venaient, d'une façon ou d'une autre, de Dieu. Mais c'est faux ! Lisez la Bible et constatez-le par vous même. Le catéchisme enseigne une tradition humaine, pas les lois de Dieu.

Le même schéma
Vous avez noté, c'est certain, que Jésus est encore une fois amoindri. De Sa position de seul et divin intercesseur à la droite de Dieu, Jésus est ntégré à la foule des morts et relégué au rôle de simple intercesseur parmi d'autres.
Pourquoi la religion catholique s'évertue-t-elle à amoindrir Jésus-Christ ?

Conclusion
Une fois encore, vous êtes placé devant des décisions importantes à prendre :
Continuerez-vous à prier pour les morts, en sachant que c'est une tradition humaine et non un commandement de Dieu ?
Vous accrocherez-vous à une doctrine qui amoindrit le Seigneur Jésus-Christ pour que soit mise en avant la tradition de l'église ?

Rejetterez-vous, en toute connaissance de cause, la Parole de Dieu pour suivre la tradition humaine ?
A vous de décider. En réfléchissant, méditez ces mots de Jésus :
" Ce peuple m'honore des lèvres, Mais son coeur est éloigné de moi. C'est en vain qu'ils m'honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d'hommes. " Matthieu 15.9

Le purgatoire



Le catholicisme enseigne qu'après la mort, certaines personnes sont envoyées dans un endroit appelé purgatoire, pour une purification complète avant l'entrée au paradis :
" Ceux qui meurent dans la grâce et l'amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, bien qu'assurés de leur salut éternel, souffrent après leur mort une purification, afin d'obtenir la sainteté nécessaire pour entrer dans la joie du ciel." Article #1030, p. 270
"L'Eglise appelle purgatoire cette purification finale des élus ..." Article #1031, p. 270

Cette doctrine importante vient-elle de Dieu, ou est-ce une autre tradition des hommes ? Voici une réponse, directement issue du catéchisme :

" L'Eglise a formulé la doctrine de la foi relative au Purgatoire surtout aux Conciles de Florence et de Trente." Article #1031, p. 270
Est-il déraisonnable de se demander d'où les intervenants ont tiré leurs informations concernant la vie après la mort, pour être en mesure de formuler une telle doctrine ?

Cher ami catholique romain, si vous priez pour des êtres aimés que vous croyez être au purgatoire, il faut que vous sachiez que ce n'est pas Dieu qui vous a dit où ils étaient ... c'est un groupe de religieux qui l'a décrété :

" ... les uns parmi ses [Jésus] disciples continuent sur terre leur pèlerinage ; d'autres, ayant achevé leur vie, se purifient encore ; d'autres enfin sont dans la gloire ..." Article #954, p. 251

S'il s'agit de souffrir, ce n'est pas un cadeau !
Cette doctrine est d'autant plus dérangeante que la Bible ne parle absolument jamais d'un tel endroit. Bien plus, elle n'enseigne jamais qu'une purification après la mort est nécessaire pour gagner son salut. Bien au contraire, la Bible déclare que le salut est un don gratuit :
" Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. " Romains 6.23
" Mais il n'en est pas du don gratuit comme de l'offense ; car, si par l'offense d'un seul [Adam] il en est beaucoup qui sont morts, à plus forte raison la grâce de Dieu et le don de la grâce venant d'un seul homme, Jésus-Christ, ont-ils été abondamment répandus sur beaucoup. " Romains 5.15

Un Dieu honnête et aimant, offrant la vie éternelle comme un don gratuit, vous condamnerait-Il à souffrir pour l'obtenir, et mentirait-Il à ce propos dans Sa Parole ?

" Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. " Éphésiens 2.8
Si l'on en croit la Bible, alors il n'y a pas besoin d'une purification supplémentaire pour ceux qui meurent en Christ. Ils ont déjà été justifiés par Jésus :

" maintenant que nous sommes justifiés par son sang,[celui de Jésus] nous serons sauvés par lui de la colère. " Romains 5.9
" et ils sont gratuitement justifiés [les chrétiens] par sa grâce [celle de Jésus], par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. " Romains 3.24

L'apôtre Paul insiste sur le même point :

" Et c'est là ce que vous étiez, quelques-uns de vous. Mais vous avez été lavés, mais vous avez été sanctifiés, mais vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus-Christ ... " 1 Corinthiens 6.11
Les vrais chrétiens sont déjà purifiés car Jésus a ôté tous leurs péchés à la croix :

" ... maintenant, à la fin des siècles, il a paru une seule fois pour abolir le péché par son sacrifice. " Hébreux 9.26
Dieu ne demande pas à Ses enfants de souffrir pour leur salut car ils ont été rachetés :

" Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu. " 1 Corinthiens 6.20
A quel prix ? Au prix du sang de Jésus-Christ :

" ... l'Église du Seigneur, qu'il [Jésus] s'est acquise par son propre sang. " Actes 20.28

Conclusion
La Bible est donc très claire à ce sujet.
Du coté de l'église catholique, examinons quelle a été la conséquence de la doctrine du purgatoire : des fortunes lui ont été données pour qu'elle dise des messes et des prières en faveur des morts.

Maintenant, je vous pose une question : Pourquoi l'église catholique a-t-elle institué cette doctrine ?

Maintenant, au moins, vous savez que la doctrine du purgatoire a été conçue dans l'esprit de simples mortels.

" Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. " Romains 8.1

vendredi 18 mai 2007

Témoignage d'un ex-curé

UN PRÊTRE CATHOLIQUE ROMAIN
REVENU AU CHRISTIANISME PRIMITIF

«Jésus, parce qu’Il demeure éternellement, possède un sacerdoce qui ne se transmet point. Voilà pourquoi, Il peut sauver parfaitement ceux qui s‘approchent de Dieu par Lui, puisqu’Il est toujours vivant pour intercéder en leur faveur.» (Hébreux, ch.7: 24-25) Version Catholique du chanoine Crampon
Paul Adam, docteur en Ph. et Th.,

UN MOT DE TÉMOIGNAGE SUR SA CONVERSION.
«La Loi a été donnée par Moise, mais la grâce et la vérité
sont venues par Jésus-Christ.» (Jean, ch.1 : 17)
Vers la fin de 1948, le curé Adam se mit à lire assidûment les Saintes Ecritures, surtout le Nouveau Testament.

1) CONSTATATION
(Le clergé Juif a présenté la LOI de Moise comme moyen de salut, au lieu de prêcher le Messie, venu de Dieu, pour effacer le péché du monde)
D’abord, il se rendit compte qu’il y avait une double justice : celle des hommes et celle de Dieu. Car il est écrit :
«En vérité, Je vous le dis, Si votre justice ne surpasse pas celle des Scribes et des Pharisiens, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux.» (Matt., ch. 5:20)
Le clergé Juif avait commis l’erreur de présenter la LOI de Moise comme un moyen de salut, alors qu’elle n’était qu’un pédagogue ou un guide conduisant au Christ. (Galates, ch.3 : 24)
Car, dans ce temps-là, tout comme de nos jours encore, on croyait que la religion pouvait sauver le monde, alors qu’en réalité elle ne procurait qu’une justice purement humaine et, par conséquent, impuissante à faire entrer qui que ce fut, dans le royaume de Dieu.
C’est pour cela que le Christ est venu et se présenta comme le SAUVEUR du monde, en disant :
«Je suis le chemin, la vérité et la vie ;
Personne ne vient au Père que par MOI.» (Jean, ch. 14:6)
Malheureusement, le clergé Juif refusa d’accepter le plan du salut gratuit de Dieu par la foi en Jésus-Christ et il continua à précher la LOI de Moise ou le Judaisme. En effet, il est écrit :
«Le Christ vint chez les siens et les siens ne Le reçurent pas.» (Jean, 1 : 11)
«Car les Juifs, ne connaissant pas la justice de Dieu et cherchant à établir leur propre justice, ne se sont pas soumis à la justice de Dieu, puisque la fin de la LOI, c’est le Christ pour la justification de tout homme qui croit.» (Rom., ch. 0:3-4)

2) INTERROGATION
En présence d’une telle tragédie, le curé Adam se demanda s’il n’était pas en train de faire la ême chose que le clergé Juif en présentant le ROMANISME (la religion catholique romaine) comme moyen de salut.
A) Il se mit à étudier l’Histoire et les Pères de l’Église, tout en scrutant son Nouveau Testament. Il ne tarda pas à se rendre compte que le catholicisme des premiers siècles n’était que la continuation habile et déguisée du Judaisme, sous les apparences du Christianisme initial et avec un contrôle absolu de la part de l’Empereur romain.
Il s’aperçut que le catholicisme n’aurait jamais dû accepter le mariage de l’Église avec l’État, sous le règne de Constantin. Car ce fut là le commencement officiel du régime de la POLLUTION au sein du catholicisme, c’est-à-dire,
(a) politique, finance et religion ensemble,
(b) coutumes, pratiques et rites païens,
(c) innovations doctrinales des Conciles,
(d) tradition ecclésiastique ajoutée à la Bible.

B) Il lut, dans l’Évangile, comment le clergé Juif a été dénoncé par le Christ pour ses fausses apparences de piété, de justice et de sainteté :
«Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous purifiez le dehors de la coupe et du plat, alors que le dedans est rempli du produit de la rapine et de ‘intempérance.
Nettoyez, d’abord, l’intérieur du vase, afin que le dehors aussi devienne pur.
Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis qui paraissent beaux au dehors et qui, au dedans, sont pleins d’ossements de morts et de toute espèce d’impureté.
Ainsi, vous paraissez justes aux yeux des hommes, mais, au dedans, vous êtes remplis d’hypocrisie et d’iniquité». (Matt., 23:25-29)
C) Enfin, il vit comment le Seigneur condamna les Scribes et les Pharisiens pour leur rituel purement extérieur et leurs traditions humaines :
«Ce peuple m’honore des lèvres, mais leur coeur est loin de Moi.
Vain est le culte qu’ils me rendent, donnant des enseignements qui sont des préceptes d’hommes.
Car vous laissez de côté le commandement de Dieu pour vous attacher à la tradition des hommes.. Ainsi, vous néantissez la Parole de Dieu par la tradition que vous transmettez». (Marc, 7 : 7,8,13)


3) DÉCISION
Lorsque le curé Adam fut persuadé qu’il jouait le rôle des Scribes et des Pharisiens en prêchant une religion qui ne produisait qu’une justice purement humaine et inefficace pour l’obtention du royaume de Dieu, il demanda à l’Éternel de lui donner le courage et la force de revenir pour de bon au christianisme Primitif.

OBÉISSANCE IMMÉDIATE ET AVEUGLE
À LA GRANDE COMMISSION
A)
En premier lieu, il se soumit volontiers au plan de Dieu pour avoir la vie éternelle, tel que cela fut prêché par le Christ et les Apôtres : la repentance, la Foi et l’immersion.
Car il est écrit :
«Repentez-vous et croyez à l’Evangile.
Quiconque croira et sera baptisé sera sauvé.» (Marc, ch.1: 15; 16:16)
«Repentez-vous et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ pour la rémission des péchés, et vous recevrez le don du St-Esprit. (Actes, ch.2 : 38)
Convaincu de péché, de justice et de jugement par suite de l’action du St-Esprit,
a) il se reconnut comme un pécheur coupable et perdu devant Dieu,
b) il accepta Jésus comme son Sauveur, son Médiateur et son Souverain Pontife,
c) puis, il descendit dans les eaux du baptême pour se faire immerger, à l’exemple du Christ dans le Jourdain.
En agissant de la sorte, il devenait un croyant ou chrétien évangélique authentique. Il appartenait à l’Eglise du Christ et toute la famille de Dieu l’appelait: le frère Adam.
B)
Ensuite, il se fit un devoir d’être assidu à l’enseignement des Apôtres, aux réunions communes, à la fraction du pain et aux prières. Ainsi, il croissait en sagesse et en grâce devant Dieu et devant les hommes.
C)
Enfin, il renonça officiellement au système catholique romain et se fit un plaisir d’annoncer l’Évangile tant au Canada qu’aux États-Unis, en prêchant ouvertement le salut gratuit de Dieu par la foi en Jésus-Christ, tout comme l’apôtre Paul :
C’est ainsi qu’il allait prêcher la Parole de Dieu tant aux États-Unis qu’au Canada. Et il n’avait pas peur de dire avec l’apôtre Paul :
«C’est par grâce que vous êtes sauvés par le moyen de la foi; Cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie.» (Éph. 2 : 8)
«Car c’est en croyant de coeur au Seigneur Jésus qu’on est justifié et c’est en confessant de bouche Son Nom qu’on est sauvé.» (Rom. 10: 10)
«Je n’ai point honte de l’Evangile, car c’est une FORCE DIVINE pour le salut de tout homme qui croit.
En effet, dans l’Évangile est révélée une justice de Dieu qui vient de la foi et pour la foi, selon qu’il est écrit : «le juste vivra par la foi». (Rom., 1:16-17)

FAITES DE MÊME ET VOUS VIVREZ

Conversion d'un ex-curé

Témoignage de L. Brancart, ex-prêtre catholique

Avec quelle insistance je demandais chaque jour à Dieu de me donner une foi toujours plus exacte ! Combien tout eût été plus simple si j'avais encore pu me convaincre de la vérité du catholicisme ! Mais plus je priais et méditais la Bible, plus cette religion me paraissait fausse.

Je consultais en confession des prêtres compétents.

Je repris mes propres arguments anti-protestants écrits autrefois et remaniés après ma théologie ; je trouvais aussitôt une réponse à chaque page : j'en étais stupéfaits et quelque peu émerveillé.
Entre temps, je devais chaque jour célébrer la messe. Je me disais : la théologie catholique est fausse mais en tant que commémoration de la mort du Christ, je sais que Dieu agrée ce pain et ce vin. Je ne voyais pas encore à l'époque qu'un chrétien doit s'abstenir de toute participation à une cérémonie où l'on parle à des morts, où l'on prie pour les morts, où l'on prétend que se renouvelle le Sacrifice de la Croix : alors qu'il fut offert une fois pour toutes. Que s'était-il passé ?

Je n'avais jamais pu croire à la prescience divine des futurs libres. Lorsque, quelque temps après l'encyclique "Humani generis", je pris nettement conscience que c'était une doctrine de foi, je dus conclure avec épouvante que je n'étais plus catholique. Je me dis : Tu dois y croire puisque le pape le veut.

Mais je m'aperçus que je ne croyais plus à son infaillibilité. Je fus atterré. Et les autres dogmes ? Je les comparais à l'Ecriture Sainte et trouvais que plusieurs s'y opposaient. Comme je croyais la Parole de Dieu, je ne cru plus le dogme.

En résumé, l'église catholique, en contradiction avec l'Ecriture Sainte, exige qu'on renonce à ses propres convictions et qu'on accepte d'avance ce qu'imposeront ses prêtres en dogmes, en morale et même parfois en philosophie. Or Dieu dit dans Jérémie 17: 5 " Je maudis celui qui se détourne de moi, ne met sa confiance qu'en l'homme et cherche sa force dans les pauvres moyens humains ".

L'église catholique impose la loi et sa loi alors que l'Apôtre Paul affirme que nous sommes sauvés par la "foi du cour", la foi vivante, agissante par la charité. Cette église a le plus souvent remplacé l'inspiration du Saint-Esprit par les prescriptions subtiles et minutieuses.

Elle impose le célibat aux prêtres et aux religieux qui ont prononcé des voux perpétuels et provoque très souvent des scandales honteux ! Elle emploie ou a employé les Sacrements d'une manière vraiment superstitieuse jusqu'à conférer l'extrême-onction à des gens morts depuis une heure, et jusqu'à demander à un enfant de huit jours, lors de son baptême, s'il renonce au pêché ? ( La Bible veut qu'on soit baptisé par immersion alors qu'on croit de tout son cour, c'est l'engagement d'une bonne conscience envers Dieu )

L'église catholique impose de croire que le christ est tout entier corporellement présent dans une mie de pain* consacrée. Qu'est-ce que cela signifie ? *(De nos jours hostie) Elle prétend qu'à la messe, se renouvelle le Sacrifice du Calvaire alors que, selon l'épître aux Hébreux, il a été offert une fois pour toutes ; et institue des prêtres alors que le sacerdoce du Christ est intransmissible, sauf le sacerdoce universel auquel tout chrétien participe.

Elle fait croire que ses prêtres ont plus de pouvoirs que les autres chrétiens et qu'ils sont pratiquement indispensables au salut et qu'ils sont "prêtres pour l'éternité" !

Elle détourne considérablement du Fils de Dieu, du Seigneur Jésus-Christ, par le culte des saints, en particulier de Marie dont cette église dénature et hypertrophie le privilège.

Car celui d'être chrétien est plus grand que celui d'être mère de Jésus, voir évangile de Luc chapitre 11 et le verset 28. Or Dieu interdit d'invoquer les morts, de leur demander du secours.
Parmi ceux auxquels on a recours, certains n'ont jamais existé et ne sont pas sauvés. Elle appelle Marie, médiatrice de toutes les grâces, alors que l'Ecriture Sainte déclare que Jésus-Christ est le seul médiateur entre Dieu et les hommes.

Elle a volatilisé le deuxième commandement de Dieu qui interdit les images religieuses.

Elle vend, pour de l'argent, des choses saintes ou des choses qu'elle prétend saintes ; intentions de messes, droit d'indulgencier certains objets... ; trafique ainsi du Sang du Christ et exploite la crédulité superstitieuse, l'affection familiale et la vanité humaine.

Elle n'obtient l'unité qu'en violant la liberté de conscience
Elle excommunie ceux qui ne reçoivent pas ses doctrines, étrangères à la Bible ou son interprétation de celle-ci ; elle montra ainsi un exemple néfaste trop souvent suivi par beaucoup de protestants et par les sectes qui imposent une profession de foi ou leur interprétation et non la Bible seule. Elle a permis aux rois, même les plus pêcheurs, et aux gouvernements civils de désigner des évêques.

Elle a transmis ses prétendus pouvoirs par une hiérarchie pourrie pendant des siècles, et composée presque exclusivement de grands seigneurs devenus évêques, cardinaux et papes par pure ambition humaine.

Elle eut pour papes et pour cardinaux de jeunes enfants, des bâtards de papes, des favoris de femmes et courtisanes romaines. Que d'évêques obtenant leur charge à prix d'argent ou pour des raisons politiques, soit des rois soit des papes !

Elle impose une interprétation invraisemblable de plusieurs textes de l'Ecriture Sainte: Matthieu 16:18, 24:36, 26:26-28, Jean 14:28, 21-13-17, Philippiens 2: 7, Apocalypse 20: 6..

Elle obtient des miracles toujours d'une manière non biblique. (Or les faux prophètes feront des prodiges jusqu'à séduire les élus eux-mêmes si cela était possible).

Elle a institué tardivement la confession avec absolution sacramental alors que nous ne voyons pas les apôtres y recourir, même où c'eût été indiqué.

Elle tire, de ses scandales mêmes, la preuve de sa légitimité.

Elle interdit qu'on vérifie son enseignement d'après la Bible alors que l'apôtre Paul le recommande (ef. art; 17,11).

Elle est responsable de la tiédeur à l'égard de la Bible et de la superstition d'une quantité de ses membres, d'où leur incompréhension de la Bible ainsi que des répercussions terribles que cela aura sur leur salut.

Je pris aussi mieux conscience de plusieurs autres torts et comportements de cette église :
le formalisme, les prières obligatoirement rapides et forcément machinales,les rites compliqués et si défavorables à la véritable piété ; la mise à mort et la violence, quand elle le pouvait, des autres chrétiens (Je n'apprit clairement que plus tard sa prétention d'en avoir le droit)

l'utilisation quand elle en a l'occasion, de moyens scandaleux ou tous humains pour s'imposer: l'union aux puissances d'argent et aux puissances politiques; son recours, quand elle en eut l'occasion, au glaive de l'Etat pour détruire les autres... chrétiens; le prestige de l'art, de l'apparat, des cérémonies aussi pompeuses que formalistes ; l'autorisation tacite de bien des manquements et même de pêchés pour s'attirer beaucoup d'adhérents ;la fortune colossale du Vatican... Bref elle se comporte comme la
Babylone de l'apocalypse dont il est écrit : " sortez du milieu d'elle, mon peuple " apocalypse 17 : 3-6 et 18 : 4

Les titres et les honneurs accordés aux prêtres et surtout à la hiérarchie, en désobéissance à l'Evangile : Père, révérend père, excellence, grandeur, éminence, révérendissime seigneur, prince éminentissime, très saint père sa prudence tout humaine, son manque d'assurance, son observation des réactions du public avant de déclarer certaines doctrines " de foi " ou de canoniser un défunt
Ses variations importantes en exégèse doctrinale son interdiction de la Bible pendant des siècles, parfois sous peine de mort, et la défense toujours actuelle pour un catholique, de se conformer à la compréhension qu'il en a quand celle-ci diffère de l'enseignement des prêtres. Il est obligé de préférer la parole des hommes à la Parole de Dieu. Comment croire cette église infaillible ? C'était impossible.

Une "bonne soeur" devient une soeur en Christ

Une Carmélite quitte le couvent...

"Mon enfant, ne laisse pas passer la grâce que tu cherches depuis si longtemps. Saisis-la!"
"Comme une biche soupire après le courant d'eau, ainsi mon âme soupire après Toi O Dieu. Mon âme a soif de DIEU, du DIEU vivant"(Psaume 42.2).
J'ai fait avec mon Sauveur, une expérience merveilleuse, expérience qui se renouvelle sans cesse, par sa grâce, depuis que je lui appartiens dans la Vérité.

Dès ma tendre enfance, j'avais soif de connaître DIEU. Une voix intérieure ne me laissait aucun répit, jusqu'au jour où je rencontrai mon Sauveur dans la Vérité et la Lumière de son Evangile. J'ai toujours ressenti le besoin d'un appui solide, d'un refuge, d'une consolation. Ce ne fut donc pas dans ma famille ou dans mon entourage que je pus trouver DIEU; mais je portais au plus profond de moi-même une vocation, la pensée de l'éternité ne me quittait pas, j'avais soif d'infini.

J'ai cherché DIEU dans ma religion. Nous étions catholiques. Mais je ne le trouvais pas. Je l'ai cherché dans la nature que j'aimais beaucoup, mais mon cœur restait insatisfait. Je me rappelle encore comment, à l'âge de 9 ans, n'ayant pu participer à une fête où j'avais été invitée, je ressentis une profonde tristesse et une angoisse à la pensée de toutes ces âmes qui ne pensaient qu'à s'amuser en oubliant leur Créateur et leur Sauveur. Je m'enfuis à l'Eglise, brisée au pied d'une croix et je pleurais.

DIEU, que je ne connaissais pas encore me mettait le fardeau des âmes perdues. Aspirant à une plus grande consécration, et désirant apaiser cette voix intérieure qui me poursuivait, je décidai d'entrer secrètement au couvent. J'avais 23 ans et je fus reçue au Carmel de Beaune en Côte d'Or. Pendant la première année sur les deux que j'y passais, je crus posséder cette paix à laquelle j'aspirais, mais elle fut de courte durée... Puis ce fut la "prise d'habit", cérémonie très émouvante où je fus habillée en blanc, en épouse de Christ, mais hélas dans l'erreur. Dès le lendemain les luttes recommencèrent, mais mon Seigneur me tenait tout de même déjà dans sa main.

Au Carmel, on est à l'essai pendant deux ans, pour voir si l'on supporte une règle si dure. Ce couvent est une véritable prison avec ses barreaux. Nous étions 30 à y vivre. Nous devions nous soumettre à de nombreuses mortifications: les religieuses sont invitées à se frapper dans le dos avec un fouet jusqu'à ce que le sang coule; parfois, l'une de nous devait se coucher sur le seuil de la porte afin que toutes les autres lui marchent dessus en passant; certaines religieuses se mettaient un cilice, c'est à dire un cercle de fer garni de pointes à l'intérieur que l'on se met autour de la taille sur la peau et qui meurtrit douloureusement.

La règle était très austère: 40 jours de jeûne par an, obligation d'observer un silence complet (nous avions tout au plus le droit d'échanger quelques mots après le repas de midi), le lever était fixé à 4 heures du matin, il fallait prier l'hiver pendant des heures dans des locaux non chauffés. La petite Thérèse de Lisieux, une âme sincère déclarée sainte après sa mort, et dont on a fait une véritable idole, a beaucoup souffert du froid, entrée au couvent du Carmel à l'age de 15 ans, elle est morte à 24 ans, tuberculeuse, des privations et la dureté du régime auquel elle avait été soumise; avant de mourir, elle déclara: "il est faux de tenter DIEU jusque là"; elle passa par les mêmes épreuves de foi que moi, mais parce qu'elle avait prononcé déjà des vœux définitifs, elle n'eut pas la permission de sortir, malgré son désir.
Moi non plus, je ne supportai pas ce régime et tombai malade par la grâce de DIEU, le docteur exigea que je sorte du couvent quelques jours avant que je doive prononcer des vœux définitifs. C'est vraiment les ténèbres sous le couvert d'une très grande religion, mais après ma sortie du Carmel, il me fallut plus d'un an pour me réadapter à la vie dans le monde. Je ne pouvais plus me mettre à genoux dans une Eglise. Je désirais toujours de toute mon âme rencontrer DIEU. Ma souffrance intérieure devint terrible, je dus reprendre la lutte seule dans la vie, comme l'oiseau sur la branche, sentant ce vide autour de moi. Après m'être quelque peu rétablie, je pris du travail, mais retombai malade après 6 mois. Ayant dû aller sur la Côte d'Azur à Hyères parmi les palmiers pour ma convalescence, je devais rencontrer mon Sauveur !!


Un jour en me promenant, je suis entrée dans une chapelle où l'on annonçait l'Evangile intégral. Je fus profondément touchée par la simplicité de la prédication et de toute la réunion. Ce fut pour moi une révélation, j'y retournai. Quelques jours après, le Seigneur me parla et me dit: "Mon enfant, ne laisse pas passer la grâce que tu cherches depuis si longtemps. Saisis-la!" Je pleurai beaucoup... Toutes mes objections tombèrent les unes après les autres. Je compris mon grave péché. Je m'adressais à des idoles sans me rendre compte qu'on ne peut aller au Père que par Jésus-Christ qui est le chemin, la vérité, et la vie". Je fus totalement convaincue.

Ce fut une grâce merveilleuse, une illumination: je commençais à comprendre quelque chose à la profondeur de la Croix de Jésus. Jésus est l'Homme de douleur dont parle Esaïe 53, qui s'est chargé de mes péchés et de mes infirmités. Il me pardonna tous mes péchés et m'accorda sa paix qui surpasse toute intelligence, et domine toutes les épreuves. Je connus une joie profonde en découvrant son amour qui ne fait jamais défaut.
Je le bénis pour 1'assurance de la vie éternelle qui commence dès ici-bas. Quel privilège de pouvoir connaitre cette tranquillité profonde et de se savoir conduit jour après jour parfaitement! A une condition cependant: s'abandonner à sa volonté entièrement quoi qu'il nous en coûte. Peu après je reçus le baptême du St-Esprit de puissance selon les promesses. Je comprends maintenant dans la vérité, ce que cela signifie d'être l'Epouse de Christ nous tous qui lui appartenons, nous sommes son Epouse que le St-Esprit prépare pour aller à sa rencontre, vêtue de la robe de fin lin brodé de fleurs. Ces fleurs sont le fruit du St-Esprit: la paix, la joie, l'amour, l'humilité, la douceur...

Il y a aussi les fleurs des sacrifices et des souffrances, qui sont comme une immolation continuelle de nous-mêmes, afin que Jésus paraisse en nous. Il désire que nous soyons sans cesse dans son chemin pour que nous vivions de sa vie de résurrection de victoire en victoire, de découverte en découverte. C'est une vie dans l'abondance. Je bénis le Seigneur pour le chemin de souffrance que j' ai dû suivre après ma conversion et qui m'a permis de mieux connaître mon prochain. Les épreuves dans ma vie se trouvent être les plus grandes bénédictions, car elles me permettent de mieux découvrir la Personne de Jésus, sa Parole et toutes les richesses qui y sont cachées. Combien je suis émerveillée par cette grâce qui m'accompagne et me dépasse!

Un soir à Paris je suis allé voir une jeune fille qui devait entrer le lendemain au couvent des trapistines (règle très stricte, silence absolu, on ne communique que par signes), je rendis mon témoignage et reçus à ce moment l'assurance qu'elle serait sauvée. Un an plus tard j'appris qu'elle avait donné son cœur au Seigneur, avait reçu le baptême par immersion et le baptême du St-Esprit avec les dons spirituels. Le Seigneur m'a également délivrée bien des fois de la maladie uniquement par son intervention. Au Carmel notre but était la contemplation et le ministère de la prière. Cette vocation m'est restée après ma conversion. Par le St-Esprit j'ai compris ce qu'est l'adoration et la vie cachée en Christ, profonde et éternelle, le ministère de la prière pour l'œuvre de DIEU, pour les âmes perdues et pour les serviteurs de DIEU qui ont besoin d'être soutenus.

Que le Seigneur me remplisse toujours plus de son Esprit de grâce et de vérité pour sa seule gloire! il y a un prix à payer pour devenir un véritable disciple du Seigneur qui lui soit agréable. Il ne faut pas s'occuper du "qu'en dira-t-on" ni des critiques, ni des persécutions dont on peut être l'objet... "Car c'est par beaucoup de tribulations que nous entrerons dans le Royaume de DIEU", comme dit l'Apôtre. Mais si nos yeux sont fixés sur Jésus, nous sommes vainqueurs.

Depuis ma conversion, le Seigneur m'a particulièrement mis à cœur la prière pour son retour. Tout en effet indique que nous vivons les derniers temps. Nous devons être parmi les vierges sages dont les lampes sont remplies d'huile. Ces dernières années bien des religieuses, des moines et des prêtres sont venus à la lumière de l'Evangile et j'ai moi-même eu l'occasion de rencontrer bien des catholiques sincères qui ont été touchés par la grâce toute puissante de DIEU et sont venus à la connaissance de la Parole. A Jésus soit rendue toute la gloire!

Odette Chemin

jeudi 10 mai 2007

Les dogmes catholiques

--- Les étapes de l'église romaine ---

C'est un tableau chronologique. Il est intéressant de savoir comment et quand les dogmes ont pris naissance. On constatera alors que l'homme a fortement falsifié de ses mains sales et malhabiles, tout ce que le Seigneur de la douceur et de l'amour nous avait apporté :


La prière pour les morts débute vers l'an --------------------------- 210
On commence à brûler des cierges vers --------------------------- 320
Le culte des saints et des anges s'établit vers -------------------- 375
La messe en latin date de ---------------------------------------------- 394
Le culte de Marie se développe vers -------------------------------- 430
L'idée de la sainte vierge, mère de Dieu apparaît en ------------ 481
Les prêtres s'habillent autrement que les laïcs en ---------------- 500
Le purgatoire est découvert en ----------------------------------------- 593
Le culte en langue inconnue du peuple est instauré en --------- 600
Le Pape Boniface (111) reçoit le titre d'évêque Universel en --- 606
Le culte des images et des reliques est imposé en --------------- 788
L'eau bénite apparaît vers ----------------------------------------------- 850
Le culte de « saint-Joseph » débute vers -------------------------------- 900
La canonisation des saints en ----------------------------------------- 993
Le célibat obligatoire des prêtres ------------------------------------ 1074
L'infaillibilité de l'église est instituée en ----------------------------- 1076
L'usage du chapelet s'introduit en ------------------------------------ 1100
La doctrine des 7 sacrements est enseignée en ------------------ 1140
La vente des indulgences date de ----------------------------------- 1190
On substitue l'hostie au pain ordinaire dans l'Eucharistie ------- 1200
Le dogme de la transsubstantiation (transformation de la substance
du pain et du vin en chair et en sang) en---------------------------- 1215
La confession auriculaire est imposée en -------------------------- 1215
La clochette de la messe date de ------------------------------------ 1227
Les cardinaux portent des chapeaux rouges depuis ------------- 1245
La fête-Dieu date de ----------------------------------------------------- 1264
L'avé Maria de ------------------------------------------------------------- 1316
La procession de Saint Sacrement de --------------------------------1439
La doctrine du purgatoire n'est officiellement reconnue qu'en -- 1439
La tradition romaine mise au niveau des Écritures en ------------ 1546
Le concile de (Trente proclame officiellement la doctrine des 7 sacrements)-- 1547
La vierge apparaît à la Salette en ------------------------------------- 1846
Le dogme de l'Immaculée conception est proclamé en --------- 1854
La doctrine du pouvoir temporel est acceptée en ---------------- 1864
Le dogme de l'infaillibilité du Pape dans de ------------------------- 1870

Ainsi donc, en l'an 300, le catholique ne connaît ni le purgatoire, ni la communion, ni la procession de Sacrement, ni l'infaillibilité de l'Église et du Pape, ni le culte des morts, ni la fête-Dieu, ni le célibat des prêtres, ni les 7 sacrements, ni les saints, ni la Vierge, ni Joseph, ni les anges, ni les images, ni les reliques, ni les clochettes, ni les chapelets.
Comment les catholiques expliqueront-ils que les chrétiens primitifs furent sauvés quand même, à cause de leur foi en une Parole infaillible, sans eau bénite, ni latin, ni cierge.

Jésus dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie.
Nul ne vient au Père que par moi.