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samedi 4 mai 2019

Leur-dame brûle !

Le 15 Avril 2019 vers 18 h 50 un incendie a démarré dans les combles de la cathédrale Notre Dame de Paris. Le feu s’est propagé atteignant rapidement toute la charpente.   Vers 19 h 50 la flèche de la cathédrale (93m) s’est effondrée. 400 pompiers ont été mobilisés pour éteindre l’incendie et le 16 au matin le feu a été maitrisé.

 La France entière est sous le choc après la dégradation de ce bâtiment qu’on croyait éternel. Les croyants comme les incroyants déplorent la destruction de la cathédrale, symbole de la gloire de la France. C’était le monument le plus visité d’Europe.  A travers cette catastrophe matérielle qui touche au cœur de la France, à la veille de la fête de pâques, nous pressentons que le ciel nous adresse un message.

Pour les catholiques c’est un temple à la gloire de la Sainte Vierge qui est touché. Pour les autres c’est une œuvre d’art incomparable qui est gravement endommagée.   Quelle est la signification de cette catastrophe à quelques jours de Pâques  ou certains se  préparent à célébrer la mort et la résurrection du Christ ? Qu’est ce qui est détruit dans cet incendie, la gloire de Dieu ou celle des hommes ?  Dans l’évangile quand Jésus chasse les marchands du temple, il  répond aux chefs religieux : " Détruisez ce temple, et en 3 jours je le relèverai !" (Jean 2,19)

 Dans cette Parole, Jésus annonce sa mort et sa résurrection, indiquant ainsi qu’il est le véritable temple de Dieu. Il nous montre que Dieu ne réside pas dans les cathédrales mais qu’il veut entrer dans le cœur de chacun d’entre nous.   Nous mettons notre gloire dans notre patrimoine, dans les statues et les idoles, mais pour Dieu l’être humain a beaucoup plus de valeur que les bâtiments et les statues.

 A travers cet incendie Dieu nous dit : Ne mettez pas votre gloire dans des bâtiments ou dans les statues et les idoles, mais dans le Dieu vivant. Aimez votre prochain plus que les bâtiments et les statues. Repentez-vous. Pour vous j’ai envoyé Jésus mon Fils unique. Il est mort sur la croix pour recevoir le châtiment que vous méritez à cause de vos péchés. Il est ressuscité des morts et désire remplir votre cœur. Dites lui simplement : 

" Jésus je te demande pardon pour mon amour de l’argent et mon idolâtrie, viens toi seul remplir mon cœur, et diriger ma vie dans ta volonté."


 christweb.free.fr

Photo ajoutée par Pierre :

C'est lui qui veille sur "leur dame" !




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mercredi 10 avril 2019

De l’Église de Rome à l’Église de Jésus-Christ



Né en 1949 dans une famille catholique pratiquante, études secondaires au petit séminaire diocésain de Verdun et musicales au Conservatoire de Nancy, marié et père de cinq enfants, professeur de musique dans un collège catholique, organiste de ma paroisse et chargé d’enseignement religieux auprès d’adolescents, grand pécheur et cependant perçu par mon entourage comme un chrétien.

En 1986, en vacances à Houlgate, lors de la visite d’une Expo-Bible tenue par des Évangéliques, je découvre la Bible comme Parole de Dieu. Les années précédentes, j’avais étudié la Bible avec des prêtres, suivant une méthode proche des introductions et notes de la Bible de Jérusalem. Par crainte d’être entraîné dans une secte, j’ai évité de garder des contacts avec les deux pasteurs que j’avais rencontrés à l’exposition. J’ai donc cheminé seul avec cette merveilleuse conviction que la Bible nous avait été donnée par Dieu pour nous éclairer.

Je me réjouis de ta Parole comme celui qui trouve un grand butin.
(Psaume 119:162)
Auparavant, je recherchais la vérité principalement par des méthodes d’érudition humaines : connaissance des religions et philosophies, vies de saints et histoire de l’Église (Catholique), ouvrages de grands penseurs chrétiens, sans jamais rencontrer une complète satisfaction, ni trouver de réponses certaines à mes interrogations.
Avec la Bible, j’ai redécouvert la crainte de Dieu. La lecture de l’évangile de Jean me bouleversait toujours, en particulier le chapitre 3 et les derniers entretiens avec le Seigneur.

Un soir d’octobre 1993, Dieu a mis dans mon cœur la certitude que j’étais racheté, pardonné et adopté en Jésus-Christ. Ce fut à la fois, tout simple et extraordinaire !

L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
(Romains 8:16)

À partir de ce moment-là, mes yeux se sont véritablement ouverts. Depuis quelques années, je contestais le baptême des nourrissons et les cultes à la Vierge ; après ma nouvelle naissance, l’imposture du sacerdoce romain m’est apparue clairement à travers le commerce des messes pour les défunts et le rite sacramentel de la transsubstantiation. Je prenais conscience que les prêtres catholiques n’étaient finalement que des aveugles conduisant d’autres aveugles.

Toute ma vie était marquée par le catholicisme : religion, profession, famille et relations, et je n’y avais que des amis. Cependant, trois mois après ma nouvelle naissance, avec la force que seul Dieu pouvait me donner pour le faire, j’ai quitté l’Église Catholique avec ma femme et mes enfants, en rendant un témoignage, sans esprit de jugement, devant les membres de notre assemblée paroissiale et en présence du prêtre.

Nous ne savions où nous allions, mais nous faisions confiance au Seigneur…

Dans la semaine qui a suivi notre départ de la paroisse, j’ai été destitué de ma fonction d’enseignement religieux par mon évêque. Étant salarié par l’Éducation Nationale, j’ai pu garder mon poste de professeur de musique que j’ai occupé, non sans difficultés, jusqu’en 2006. Désormais, nous étions perçus comme des sectaires par la plupart de nos amis catholiques.

Au fur et à mesure que mes yeux s’ouvraient sur la nature véritable de l’Église de Rome, le Seigneur m’a mis à cœur d’écrire des brochures destinées, au départ, à avertir ma famille et mon entourage. Le cercle de diffusion s’est ensuite élargi progressivement.

Nul ne peut venir à moi si le Père qui m’a envoyé ne l’attire.
(Jean 6:44)
Cette parole du Seigneur nous rappelle que, parmi ses rachetés, personne ne peut avoir la prétention d’affirmer : « J’ai été plus intelligent que les autres hommes ; j’ai cherché Dieu et je l’ai trouvé ». Dieu m’a conduit à trouver dans la Bible la Bonne Nouvelle de sa grâce en Jésus-Christ, et Il m’a donné d’y croire. Désormais, je n’ai plus d’autre désir et d’autre but que de faire connaître la Parole de Dieu autour de moi, et particulièrement aux catholiques.



dimanche 28 février 2016

Les dragonnades

 Les “ dragons ” furent des soldats du roi Louis XIV. Ils étaient autorisés d'occuper à volonté les maisons des Huguenots (chrétiens) et piller tout ce qui leur tombait sous la main. L'objectif était d'obtenir par la force ces conversions au catholicisme.


jeudi 1 août 2013

Qu'est-ce que Babylone ?

BABYLONE, LA PROSTITUEE



Babel est avant tout une ville, mais aussi une femme allégorique, et un système religieux opposé au vrai Dieu. Dans la Bible, nous trouvons 2 femmes symboliques, l’une appelée « La prostituée », c’est-à-dire la fausse église, et l’autre appelée « L’épouse de Christ », la véritable église de JESUS CHRIST.

Ancien testament :


Proverbe 2 v 16 à 19 : La femme étrangère (par rapport à la connaissance du vrai Dieu), par opposition à l’épouse de Christ (la femme fidèle).
Proverbe 5 v 1 à 6 : Elle ne sait oû elle va (Babylone veut dire : confusion). Dans son aveuglement, elle ne sait même pas qu’elle est sur le chemin de la perdition.
Proverbe 9 v 13 à 18 : Elle est folle car elle ne connaît pas la crainte de l’Eternel qui est le commencement de la Sagesse. L’eau dérobée pourrait bien être l’eau du faux baptême qu’on administre aux bébés. Le « pain du mystère » semble faire allusion au sacrement de l’eucharistie, avec le mystère de la transsubstantiation (l’hostie est toujours ronde comme les galettes des anciens adorateurs du soleil et de la « reine des cieux ». Jérémie 7 v 18).

Ecclésiaste 7 v 26 : Elle est un piège, un filet, des liens…Des millions de gens en sont esclaves, et seul le Seigneur Jésus Christ peut les en délivrer.
Esaie 47 v 12 à 13 : Cette prophétie concerne Babylone, dont la religion est idolâtre, et mélangée avec l’occultisme, l’astrologie, la sorcellerie, la superstition, la nécromancie…Choses que Dieu a en horreur. Deutéronome 18 v 10 à 12. (Voir l’étude sur le catholicisme, ainsi que celle sur l’occultisme).

Nouveau testament :  


Matthieu 13 v 33 : - La femme = La prostituée (fausse église chrétienne).
                         -  Le levain (pâte fermentée) = Les fausses doctrines.
                             -  La pâte = L’église fidèle.
Malheureusement, l’église de Jésus Christ est très influencée par le catholicisme. Un peu de  levain fait lever toute la pâte (1 Corinthiens 5 v 6 à 8) : « Purifiez-vous du vieux levain… » Le péché sous toutes ses formes doit disparaître de l’assemblée.
Pratiques qui ne viennent pas de DEU, mais de Babylone : Appeler une salle de réunion, église, temple, maison de Dieu…Un seul homme dirige l’église (curé, pasteur)…Célébrer des fêtes « chrétiennes » (Pâques, noël)…Avoir des rites…Avoir des traditions auxquels on donne plus d’importance que la Parole de DIEU…
   Il existe une autre interprétation, selon laquelle la femme est l’église, le levain est l’évangile, et la pâte est le monde, mais cela est un non-sens à la lumière du reste des écritures.

2 Timothée 3 v 1 à 5 : Etat de l’humanité dans les temps de la fin. L’apparence de la piété = l’hypocrisie.
Apocalypse 12 v 1 : Ils ont réussit a mettre la couronne de 12 étoiles (que l’on peut voir sur les représentations de leur « vierge »), sur le drapeau européen, pour placer l’Europe sous l’autorité de leur « madone ».

Apocalypse 17 v 1 à 6 : La prostituée dans sa phase finale, est utilisée par l’Anti-Christ pour que celui-ci puisse accéder au pouvoir mondial (c’est le comble de la prostitution spirituelle). Son nom est « Babylone », elle est la mère de toutes les autres prostituées (c’est-à-dire celle qui les a enfantées). En effet, c’est à Babel (nom hébreu de Babylone) que sont nées les religions structurées, l’occultisme, l’idolâtrie, et les principales fausses doctrines qui sont les fondements des religions et sectes actuelles. L’apôtre Jean voit cette femme couverte de richesses et ivre du sang des disciples de Jésus Christ qu’elle persécute. Cependant, n’oublions pas qu’elle est avant tout une séductrice, surtout aujourd’hui, par le moyen de l’œcuménisme.

Apo 17 v 14 à 18 : Sa destruction voulue par Dieu, par le moyen de la coalition des nations au service de la Bête (Le dictateur mondial).
2 Corinthiens 11 v 2 à 4 : Actuellement la véritable église est la fiancée du Seigneur Jésus, elle est vierge et pure à cause du miracle de la grâce de Dieu.
Ephésiens 5 v 25 à 32 : Le mariage humain est une parabole vivante du vrai mariage, celui de Jésus Christ et l’église.
Apocalypse 19 v 1 à 9 : Le grand jour du festin des noces de l’agneau que nous attendons avec impatience…Est-ce que tu y seras ?



A ton avis :
1)    Qui est la prostituée ?
2)    Pourquoi le diable imite-t-il ce que DIEU fait ?
3)    Un vrai chrétien peut-il être œcuménique ?
4)    Comment se débarrasser du levain de la prostituée ?
5)    Que vont devenir les religions ?

CHER AMI, DE QUELLE EGLISE FAIS-TU PARTIE ?
Si c’est de la prostituée, il est encore temps d’en sortir… 



mercredi 7 novembre 2012

Théologie libérale = Théologie mortelle

LA PRIÈRE D'UN THÉOLOGIEN LIBÉRAL
  
« Seigneur, nous savons, toi et moi, que tu ne peux pas avoir créé l'univers et la Terre, car c'est impossible...

« Nous savons que Moïse et l'exode d'Égypte après les multiples plaies sur les Égyptiens sont des mythes...

« Nous savons tous les deux que les écrits attribués aux prophètes et aux quatre évangélistes ont été écrits par des auteurs postérieurs...

« Nous savons aussi, mon Dieu, que les prophéties bibliques en apparence "accomplies" soit ont été rédigées après leur accomplissement, ou sinon, on s'est arrangé pour les accomplir...

« Nous savons, toi et moi, que Jésus était homme et non Dieu et qu'il n'a pas accompli les miracles qui lui sont crédités, ou même qu'il n'est peut-être pas un personnage historique ayant réellement vécu, ou en tout cas, qu'il n'est pas ressuscité, car c'est cela aussi impossible...

« Nous savons, Seigneur, que tu ne guéris pas les malades, mais que les apparentes guérisons en ton nom ne sont que le fruit du hasard ou au mieux, d'un effet psychologique (effet placebo) chez ceux qui y croient...

« Alors, Dieu, bien que je ne sois pas certain que tu existes ou même que tu puisses m'entendre et te révéler et ainsi me répondre, ne crois-tu pas, si tu m'entends, qu'il serait temps que tu exposes ceci au monde, afin qu'ils cessent d'être naïfs et qu'ils s'assument, face à la vie, sans une béquille?»





Commentaire du blogueur :

Le vrai DIEU est le Créateur de l'univers et de tout ce qu'il contient, Il s'est fait homme en Jésus Christ pour sauver ceux et celles qui se repentent de leurs péchés et qui lui font une confiance totale.
La Bible est la Parole de DIEU, 100 % fiable. Lisez-la, vous serez étonné(e)s !


jeudi 29 juillet 2010

Le cheminement de Patrick


Je suis issu d'une famille dont plusieurs membres sont portés sur la religion. On ne peut pas dire qu'il y ait chez ces membres une conviction née d'un éveil ou d'un choix mais plutôt d'un état de fait, "mes parents sont catholiques, la France est un pays catholique donc je suis catholique".

Ma mère est (était ?) une fervente adoratrice de la Vierge Marie ayant fait plusieurs pélerinages dans les lieux où elle est sensée apparaître. Elle est également très impliquée dans des oeuvres catholiques caritatives.

L'un de mes oncles faisait partie de "l'Armée de Marie", organisation qui entre autres faisait des processions dans la ville de Lyon, tous habillés d'une grande robe blanche et deux personnes portant la statue de la Vierge Marie devant la procession.
Une de mes cousines passe 11 mois de l'année dans des monastères et n'en sort que pour travailler pendant un mois afin de conserver ses droits sociaux. Elle se rend également à tous les grands rassemblements de jeunes tels que les Journées Mondiales de la Jeunesse (JMJ) où le pape donne rendez vous à la jeunesse catholique.

Quand je n'étais encore qu'un enfant je me posais des questions sur Dieu et sur la foi. J'étais très attiré par l'idée que Dieu existe mais je ne Le connaissais pas et l'image que la religion autour de moi me renvoyait de Lui me rendait perplexe. L'atmosphère des églises, les statues ou peintures représentant des scènes bibliques mais aussi les pratiques religieuses ne me satisfaisaient pas. Je ne m'en rendais pas encore compte mais je doutais à ce moment là, me demandant si les choses devaient réellement en être ainsi.

Je me souviens qu'à l'âge de 14 ans que mes parents m'avaient envoyé chez mon oncle pour passer les vacances. Or le samedi soir mon oncle se rendait chez des connaissances à lui pour prier le rosaire (le rosaire consiste à prier 3 chapelets, qui lui, consiste à prier 10 "Je vous salue Marie" et 1 "Notre Père" et ce 3 fois de suite). Prier le rosaire prend deux heures et il s'agit en fait de récitations de prières. Faire cela à 14 ans quand on est plus attiré par les matchs de foot que la religion est quelque chose de difficile: Je me souviens m'être posé la questions "Dieu veut il vraiment qu'on le prie ainsi ?" et je me disais que si Dieu demande vraiment à l'homme de réciter des prières pendant deux heures c'est que 1) peut être qu'Il est sourd et qu'il faut répéter et répéter encore les prières jusqu'à ce qu'Il les entende; ou alors 2) Dieu est peut être quelqu'un de cruel et Il prend plaisir à nous voir faire quelque chose que l'on n'aime pas et qui soit rébarbatif ou 3) peut être que Dieu s'intéresse peu à nous et se contente que nous le servions en observant les traditions.

Je me souviens aussi, avec ma cousine, avoir visité une de ses amie. Pendant que les deux parlaient, j'observais l'endroit et je remarquais sur la cheminée une bible qui semblait être là parce que quelqu'un l'avait prise pour la lire et l'avait replacé à cette endroit. J'ai demandé à la copine de ma cousine si elle lisait la bible et avant qu'elle ait pu répondre ma cousine a dit "il ne faut pas lire la bible, il faut avoir fait des études pour la lire correctement". Là j'étais vraiment estomaqué car si l'on doit pouvoir connaître Dieu, d'une manière qui soit fiable, ce doit être par une trace écrite et pas uniquement de tradition orale qui peut altérer la vérité très rapidement. Et si Dieu nous parle, nous devons avoir un outil de référence nous permettant de connaître et de vérifier qu'Il nous a réellement parlé. Cette trace écrite doit aussi être compréhensible par tous et non pas seulement à une élite enseignée.

Je me posais aussi des questions sur la personne de Jésus, je connaissais certaines histoires de la bible par ce que le catéchisme nous enseignait mais je ne comprenais pas le message de la bible. Ces histoires semblaient avoir un lien entre elles du fait qu'elle tournait autour de la personne de Jésus mais je ne comprenais par qui était Jésus, quel était le lien entre Jésus et Dieu et je pressentais que cette figure qui est bien une figure historique a une importance considérable si l'on tient simplement compte du fait que l'histoire du monde tourne autour de Lui (ne sommes nous pas en 2010 après Jésus-Christ ?). L'histoire de l'humanité est composé d'un avant et d'un après la venue de Jésus-Christ, qu'on croit en lui ou non et qu'on soit athée ou croyant. D'autre part si Dieu nous a parlé et laissé un message, ce message doit certainement être connu, il convient donc à chacun de rechercher et de s'intéresser à ce que Dieu a à dire à chacun d'entre nous.

Mais ne sachant pas vraiment quoi penser, j'ai tout simplement laisser la question ouverte pour plus tard.

Pourtant je me souviens que les soirs lorsque j'étais chez mes parents en pleine campagne, j'aimais sortir me promener quand tout le monde dormait et je regardais le ciel et je parlais à Dieu comme un ami parle à un ami, et je lui racontais mes journées et mes rêves.

Lorsque je suis devenu étudiant en tourisme à Grenoble, je me posais encore plus de questions et un jour je suis tombé sur une radio où quelqu'un donnait son témoignage, comment il avait rencontré Dieu et comment il marchait avec Lui jour après jour. Cela a comme été un choc pour moi car tout ce que j'avais vu dans mon enfance était une liste de traditions et de règles à observer. Il y avait une certaine croyance en Dieu dans ce que j'avais vu mais pas vraiment d'amour ou d'intelligence des choses qui le concernent. En fait dans ma famille, on allait à l'église mais la foi n'avait pas d'impact sur notre manière de vivre ni sur les choix à prendre; d'ailleurs quand un choix devait être fait, Dieu n'était pas consulté. Pourtant, je me disais que dans les grandes décisions de la vie autant que dans les petites décisions; Dieu devrait être consulté si tant est que nous croyons vraiment en Lui et que Lui sait ce dont nous avons vraiment besoin et les bons choix à prendre.

J'ai entendu par cette radio d'autres témoignages de personnes qui racontait ce que Dieu avait fait dans leur vie, témoignant comment Dieu dirigeait leur vie et comment Il écoute et répond aux prières (bien que pas toujours de la manière attendue) et comment Dieu leur parlait au travers de la bible.

Je désirais cette relation avec Dieu mais je ne comprenais pas encore comment il était possible d'entrer en contact avec Lui. Mes études se terminant, je devais quitter Grenoble mais je voulais garder la possibilité d'en savoir plus, aussi je téléphonais à cette radio pour leur demander où il était possible de se procurer des livres chrétiens. Avec l'adresse d'une librairie chrétienne en poche, je quittais Grenoble et me dirigeait vers Fréjus pour faire mon service militaire. Après le mois de classe, et le mois où j'ai été affecté dans l'unité auto-école où l'on faisait passer les permis aux nouvelles recrues qui s'engageait dans un service de 18 mois dans les DOM TOMS, je demandais à entrer à l'armurerie afin de pouvoir lire les livres que j'achetais à la librairie chrétienne. En fait, dans cette fonction dont personne ne voulait, j'échappais au réveil bien matinal et au lever de drapeau ainsi qu'à toutes les manoeuvres sur le terrain et je passais mes nuits à lire.

Lors de ma dernière permission avant la fin de mon service militaire, j'ai vu une affiche dans une libraire chrétienne qui présentait un événement dans la région mais ce qui avait retenu mon attention était qu'on pouvait parler avec un pasteur ou conseiller.

Aussi, je me suis rendu à ce rassemblement pour poser mes questions à savoir 1) Quel est le message de la bible ? 2) Dieu demande t'il vraiment à ce qu'on observe les traditions religieuses
La personne que j'ai rencontré était un homme de la région grenobloise, pasteur d'une assemblée chrétienne. Lorsque je lui ai posé mes questions, il ouvrait sa bible et me faisait lire des passages à l'intérieur qui répondaient à mes questions. Il m'a expliqué que le monde n'est pas le fruit du hasard ou d'un "accident" mais d'une intention délibérée de Dieu qui a créée le monde comme le dit la bible. Dieu nous a créée pour vivre en communion avec Lui mais Il nous laisse libre de lui obéir ou de refuser de lui obéir.

Quand Dieu a créée Adam et Eve et les a placé dans un lieu favorable; il leur a donné toute liberté et une seule interdiction. En choisissant de braver l'interdiction que Dieu leur avait donné, ils ont péché, le péché crée une séparation entre l'homme et Dieu. En effet, le péché est tout acte fait indépendamment de la volonté de Dieu.

Le péché n'est pas seulement voler, tuer ou mentir mais il peut prendre la forme de l'orgueil, d'un faux témoignage ou même de voir savoir faire le bien et de ne pas le faire. Dieu est un être saint (Il ne connaît pas le péché et ne peut le supporter); juste (la justice de Dieu exige que l'homme qui a péché soit condamné et la lettre de Paul aux Romains nous apprend que la conséquence du péché est une éternité séparé de Dieu, c'est la mort spirituelle et l'enfer), Amour (parce que Dieu aime l'homme mais hait le péché, il a pourvu un moyen de sauver l'homme de la condamnation que son péché méritait) et enfin Dieu est bon (Il est venu dans la personne de Jésus pour prendre sur Lui notre condamnation, parce que Jésus est Dieu venu sous la forme d'un homme, il ne connaissait pas le péché et en mourant sur la croix, Il a pris pour ceux qui désirent être sauver de leurs péchés, les péchés de ceux qui se confient en Lui et lui en font la demande). De cette manière la justice de Dieu est satisfaite, l'Amour de Dieu aussi bien qu'Il en ait coûté à Dieu. La bible dit "car Dieu a tant aimé le monde qu'IL a donné son fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse point mais ait la vie éternelle.(Jean 3:16)

C'est là le message de la bible. C'est un message unique dans le sens qu'il est profondément différent de toutes les religions qui existent qui connaissent pas la raison de l'état de notre monde, qui ne propose que de faire ceci ou aller là dans l'espoir que Dieu comptabilisera ces oeuvres et permettre le salut à celui qui en aura assez fait sans bien sûr permettre à l'homme de savoir combien il faut faire pour en faire assez pour être sauvé. La bible, elle, dit clairement que l'homme ne peut rien faire pour être sauvé, c'est pourquoi Dieu a pris l'initiative de venir en Jésus qui possédait les caractéristiques d'être parfaitement divin pour pouvoir nous sauver mais aussi parfaitement humain (de par sa naissance miraculeuse du St Esprit et de Marie) pour pouvoir vivre comme un homme, prendre sur Lui nos péchés et mourir pour nous. Sa résurrection est un fait attesté, qui nous assure que la justice de Dieu a été satisfaite et que ceux qui se confient en Jésus pour le salut de leurs péchés mourront non pour une éternité en enfer et la séparation d'avec Dieu mais pour une éternité avec Dieu et dans Sa présence.

La bible nous assure aussi qu'aucun homme n'a trop péché pour ne pas être pardonné par Dieu mais que tout homme est pécheur et doit demander le pardon de ses péchés. De par ce fait, le salut de Dieu est parfait et accessible à tout homme qui Lui en fait la demande. Le salut que Dieu offre est un don, il ne se mérité pas, c'est pour cela que l'on dit que c'est une grâce (don immérité) de Dieu
Maintenant, considère ceci, imagine qu'Hitler après avoir fait ce qu'il a fait revienne en son bon sens avant de mourir et se rendant compte avec horreur de tout le mal qu'il a fait demande le pardon de ses péchés à Jésus. Imagine aussi un autre homme qui s'évertue à faire tout le bien qu'il peut (donnant son argent et son temps aux pauvres et nécessiteux et allant tous les dimanches à l'église; lisant sa bible chaque jour mais que jamais il n'ait demandé à Jésus le pardon pour le seul péché qu'il ait pu commettre dans sa vie (même s'il est un homme remarquable ayant seulement menti une fois dans toute sa vie).

Quand ces deux personnes viendraient à mourir le même soir, Hitler serait pardonné et le deuxième homme ne le serait pas et passerait l'éternité sans Dieu.
Car le seul péché que Dieu ne peut pas pardonner est que l'homme refuse le salut qu'il offre à l'homme. Ne pas répondre est synonyme de refus. Si tu donnes un cadeau à ton fils et qu'il te regarde, sourit et s'en va sans le prendre, tu pourrais ressentir dans une moindre mesure ce que Dieu ressent quand l'homme méprise le don du salut qu'il lui fait.

Le salut de Dieu est gratuit mais il en coûtera autrement à celui qui désire vraiment connaître Dieu et être sauvé de ces péchés. Dieu a un adversaire qui ne sera pas content qu'une personne ait été sauvée par Dieu. Accepter le salut de Dieu, signifie aussi qu'ensuite l'homme dont les péchés auront été pardonné ne vive plus pour lui même mais développe sa relation avec Dieu et vive pour Dieu et non plus pour lui-même. Pour ma part cela a été le célibat et la séparation d'avec la famille (bien que cela ne veut pas dire que les choses resteront ainsi, Dieu a des plans pour chacun de nous et pour moi aussi), cela peut être pour d'autre la perte d'un emploi, la perte d'amis, conflit dans le couple voire divorce et bien d'autres choses. Mais il faut savoir aussi que Dieu est souverain et qu'il est au contrôle de toutes ces choses et que si l'on passe par elles, il veut notre bien et si nous lui faisons confiance Il nous guidera vers ce qu'il y a de mieux pour nous.

C'était le 31 mai 1993, le jour où j'ai compris par cet homme le message de la bible et que je l'ai accepté pour moi même. Chose remarquable la bible dit que l'éternité ne commence pas pour le croyant quand il meure mais quand il reçoit le pardon de ses péchés. En d'autres termes l'éternité ne commence pas une fois que nous mourrons, l'éternité commence dés maintenant.

Nous vivons dans un monde où beaucoup d'informations circulent, y compris au sujet de la bible et de Jésus. Avant d'accepter ces informations, je conseille de les étudier pour attester de leur véracité. Certaines sont habilement bien conçues et peuvent tromper beaucoup de gens qui ne vérifieront pas si ce qu'ils entendent est exact ou non.

jeudi 8 juillet 2010

Le catholicisme

Origine :

Genèse 10-8 à 11 : La Bible parle d'un homme, Nimrod (ce qui signifie : rebelle) qui fut le premier homme puissant sur la terre. C'est lui qui construisit et régna sur des villes, entre autre, Babel (ou : Babylone). L'histoire de l'Antiquité et diverses mythologies révèlent que cet homme, sa femme Sémiramis et son fils Ninus (Tammuz) furent divinisés et devinrent des initiateurs d'une trinité (père, mère et enfant).


Origines des religions structurées (Babel) Genèse 11-1 à 9 :

Les hommes furent ensuite dispersés sur toute la terre et formèrent les différentes nations, langues et races desquelles nous sommes issus aujourd'hui. Depuis, le culte babylonien s'est répandu sur toute la terre au cours des siècles ; bien que la forme ait quelque peu changé, le fondement est resté le même. Ses rites sont parvenus jusqu'en Europe, surtout par les civilisations égyptienne et grecque. Les "divinités" changèrent de nom et d'apparence selon la langue et la culture locale. Ces rites idolâtres et superstitieux sont la base même des traditions actuelles qui imprègnent les religions et en constituent leur véritable caractère.

Fondateur de l’église catholique romaine :
 
L’empereur Constantin (337) lorsqu’il l’institua comme église d’Etat. Matthieu 16. V13 à 18 : Simon que Jésus a surnommé « Pierre » (en grec : Petros, c’est-à-dire une pierre de construction) est le 1er à déclarer que Jésus est le Christ. La traduction de Darby est correcte lorsqu’elle dit: « Tu es pierre (petros), et sur ce roc (petra), je bâtirai mon assemblée ». C’est-à-dire, JESUS CHRIST EST LE ROCHER SUR LEQUEL IL BATIT SON EGLISE. Voir aussi 1 Corinthiens 3. V11 : Il n’y a pas d’autre fondement que Jésus Christ.

Généralités :

Séparation entre le clergé et les laïques. Uniforme pour la hiérarchie. messe (Date à laquelle c’est devenu un dogme : 1100) = sacrifice expiatoire (1215). médiation : La vierge, les saints et la hiérarchie - 1 Timothée 2. V5-6. N’appelez personne « père » - Matthieu 23. V9. Abbé vient de « abba » (papa en araméen). Il y a un autre jésus, un autre esprit et un autre évangile - 2 Corinthiens 11. V4.

La papauté :

Titres : Vicaire (remplaçant) du Christ, chef de l’église, saint père, souverain pontife... Jésus Christ est le vrai Grand prêtre ou Souverain pontife – Hébreux 3 v1. Luc 22. V24 : Elévation et abaissement. Infaillibilité (1870). Seule la Parole de Dieu est infaillible. le vrai sacerdoce est intransmissible - Hébreux 7. V23-28 (une fois pour toutes).

La vierge (madone, notre-dame…) :

Sémiramis, Astarté, Isis, Vénus, Artémis (ou Diane) : Dans Actes 19. V27, les fabricants d’idoles disent qu’elle est vénérée dans le monde entier (sous différents noms). Mère de dieu, co-rédemptrice... sont des titres blasphématoires. Reine du ciel (Isis) - Jérémie 7. V18 + 44. V15. Elle existait longtemps avant Marie. Immaculé conception, c’est-à-dire conçue sans péchés (1854) Luc 1. V46-48, la vraie Marie a besoin d’un sauveur, + Romains 5. V12. Virginité - Matthieu 1. V25 : « Il ne la connut (littéralement : pénétra) pas jusqu’à ce qu’elle eut enfanté… » + Luc 2. V7 : Jésus est son 1er né + Marc 6 v3 : Elle a eu 4 autres garçons et plusieurs filles. Ave Maria - Luc 1. V28 : L’ange dit : « Je te salue toi à qui une grâce a été faite ». Assomption (1950). Pour plus de détails : http://religionoudieu.blogspot.com/2007/05/lassomption-de-marie.html
Apparitions - Galates 1. V8 & 9.


L’idolâtrie :

Statues, croix, images, saint sacrement (ostensoir représentant le soleil)... Hostie (Latin = victime) – 1 Corinthiens 10 v19 à 22. Obélisque au soleil (elle vient d’Egypte et se trouve devant la basilique St Pierre au Vatican) - Esaie 17. V8 - Stèle - Deutéronome 16. V22. Vénération et prière aux saints, et à leur reliques - Matthieu 4. V10. Signe de croix (an 300) - Eau bénite (an 1000) - Processions - Pèlerinages.

Et encore :

Les livres apocryphes, rajoutés à la Bible – Deutéronome 4 v2. Le missel. La tradition égale à la Bible (1545) - Matthieu 15. V6-9. Le purgatoire (lieu oû vont les morts pour purger leurs peines), et les limbes (oû vont les bébés morts sans être baptisés) - Romains 8. V1. Messe pour les âmes du purgatoire (300). Prière aux morts (450) - Deutéronome 18. V11. Vente des indulgences pour diminuer le temps a passer au purgatoire(1190) Actes 8 V20. Célibat obligatoire des religieux (325). Vie monastique (450) 1 Timothée 4. V1-3. Cathédrales, “ églises”… Actes 17. V24. Chapelet pour prier (1090) Matthieu 6. V7-8 (d’origine arabe). Carême, et vendredi sans viande (998). Inquisition (1184) - croisades - conquistadors – persécution des protestants, etc...environ 68 millions de victimes. Hébreux 10. V30. Le pape Grégoire IX (1227-1241) interdit la Bible. Le Vatican (1929).

Les fêtes :

Colossiens 2-16 & 17 : La plupart de nos contemporains célèbrent les fêtes religieuses sans en comprendre le sens profond, tout en croyant plaire à Dieu dans le respect de ces traditions, ils ne font qu'observer des pratiques idolâtres provenant d'un paganisme que Dieu réprouve : les uns honorant ces fêtes d'un cœur sincère n'en sont pas moins dupés, tandis que les autres profitent de ces occasions pour donner libre cours à leurs instincts les plus bas.
Les fêtes romaines issues de ce paganisme primitif sont nombreuses, mais il en est cinq parmi les plus importantes : Noël, l'Annonciation, Pâques, la Saint Jean et l'Assomption. Chacune de ces fêtes a incontestablement une origine babylonienne. Apocalypse 17-1 à 6 : Babylone, la mère, c’est-à-dire celle qui a donné naissance à l’idolâtrie religieuse.


Pour plus de détails : http://biblique.blogspot.com/

Apo 18-4 à 8 : « Sortez du milieu d’elle ! » Cher(e) ami(e), si tu es encore dans une église idolâtre, la Parole de Dieu t’ordonne d’en sortir, pour te joindre à une église fidèle...

Pierre Danis :paix@orange.fr

mardi 23 mars 2010

Paque ?


Raisons pour lesquelles je ne participe pas à la Pâque moderne


La pâque est une fête juive, qui concerne le peuple de l’ancienne alliance, alors que nous sommes sous la nouvelle alliance. « Toute la communauté d’Israël l’immolera (l’agneau)…c’est la Pâque de l’Eternel ». Exode 12 : 1 à 17 + 43 à 51

Je ne dois pas apprendre les façons de faire des nations.
"Ainsi a dit l'Éternel: N'apprenez pas les façons de faire des nations; et ne craignez pas les signes des cieux, parce que les nations les craignent." Jérémie 10 : 2

Le Seigneur nous a laissé la sainte cène, afin de se souvenir de sa mort, pas un jour en particulier.
"Car toutes les fois que vous mangez de ce pain, et que vous buvez de cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne." 1 Corinthiens 11 : 26

La fête de pâques célébrée aujourd'hui n'a rien en commun avec ce que la Parole enseigne.
La pâque d'aujourd'hui est une fête catholique, donc du monde.
"N'aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est point en lui." 1 Jean 2 : 15

La pâques est une machine à argent.
"Car l'amour de l'argent est la racine de tous les maux; et quelques-uns en étant possédés, se sont détournés de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans les plus grandes douleurs." 1 Timothée 6 : 10

Ce qui entoure pâques provient du monde de l'occulte; œufs et cloches en chocolat, eau bénite, carême (la mort de Tamuz)…
"Et ne prenez aucune part aux oeuvres infructueuses des ténèbres, mais bien plutôt condamnez-les". Éphésiens 5 : 11

Je dois sortir du milieu d'eux.
"C'est pourquoi, sortez du milieu d'eux, et ne touchez point à ce qui est impur, et je vous recevrai." 2 Corinthiens 6 : 17

Je n'adore pas Dieu lors d'un jour particulier ou lors d'un rituel, mais plutôt en esprit et en vérité.
"Dieu est esprit, et il faut que ceux qui l'adorent, l'adorent en esprit et en vérité." Jean 4 : 2

La pâque célébrée aujourd'hui vient de l'homme.
"Maudit l'homme qui se confie en l'homme." Jérémie 17 : 5

Je dois être conforme à la vérité, pas au siècle présent.
"Je n'ai point de plus grande joie que d'apprendre que mes enfants marchent dans la vérité." 3 Jean 4. "Et ne vous conformez point au présent siècle..." Romains 12 : 2

La pâque moderne est remplie de mensonges.
"C'est pourquoi j'estime droits tous tes commandements, et je hais toute voie de mensonge." Psaume 119 : 128
Toute la loi a «été accomplie en Christ, Alléluia ! « …Christ notre Pâque a été immolé… » 1 Corinthiens 5 : 6 à 8

J'ai oublié le nom de l'auteur, mais je suis entièrement d'accord avec ces déclarations.

mercredi 12 août 2009

L'origine des fêtes catholiques

Introduction

Le livre de la Genèse est notre livre d'histoire à tous puisqu'il relate les évènements qui sont la cause même de la situation dans laquelle se trouve notre monde actuel. La Bible, au chapitre 10 verset 8 de la Genèse, parle d'un homme, Nimrod (ce qui signifie : rebelle) qui fut le premier homme puissant sur la terre. C'est lui qui construisit et régna sur des villes, entre autre, Babel (ou : Babylone). L'histoire de l'Antiquité et diverses mythologies révèlent que cet homme, sa femme Sémiramis et son fils Ninus furent divinisés et devinrent des initiateurs d'une trinité (père, mère et enfant).

Les hommes furent ensuite dispersés sur toute la terre et formèrent les différentes nations, langues et races desquelles nous sommes issus aujourd'hui (Genèse 11, versets 1 à 9). Depuis, le culte babylonien s'est répandu sur toute la terre au cours des siècles ; bien que la forme ait quelque peu changé, le fondement est resté le même. Ses rites sont parvenus jusqu'à nous, en Europe, surtout par les civilisations égyptienne et grecque. Les "divinités" changèrent de nom et d'apparence selon la langue et la culture locale. Ces rites idolâtres et superstitieux sont la base même des traditions actuelles qui imprègnent les religions et en constituent leur véritable caractère.

La plupart de nos contemporains célèbrent les fêtes religieuses sans en comprendre le sens profond ; tout en croyant plaire à Dieu dans le respect de ces traditions, ils ne font qu'observer des pratiques idolâtres provenant d'un paganisme que Dieu réprouve : les uns honorant ces fêtes d'un cœur sincère n'en sont pas moins dupés, tandis que les autres profitent de ces occasions pour donner libre cours à leurs instincts les plus bas.

Les fêtes romaines issues de ce paganisme primitif sont nombreuses, mais il en est cinq parmi les plus importantes que nous voulons examiner ici : Noël, l'Annonciation, Pâques, la Saint Jean et l'Assomption. Chacune de ces fêtes a incontestablement une origine babylonienne.

• 1 / Noël

Pourquoi cette fête a-t-elle été fixée le 25 décembre ?
L'Ecriture Sainte ne mentionne aucun jour précis de la naissance du Christ. Elle n'indique même pas l'époque de l'année où il naquit. Par contre, il est certain que cette naissance n'a en tous cas pas pu avoir lieu le 25 décembre. En effet, la naissance du Christ s'est produite à l'époque du recensement : chaque personne devait se rendre dans sa ville natale. Beaucoup avaient une longue distance à parcourir à pied ou à dos d'âne, y compris femmes et enfants. Il est donc impossible que cela ait eu lieu en plein hiver.

Si l'on suppose que l'hiver n'est pas rigoureux en Israël, on doit se souvenir des paroles du Christ : "Priez pour que votre fuite n'arrive pas en hiver" (Matthieu 24 verset 20). Or, si l'hiver est une saison qui ne permet pas de fuir, elle est encore moins propice pour que des femmes et des enfants entreprennent de longs voyages ou, comme le dit encore l'évangile de Matthieu, pour que les bergers de Bethléem paissent leurs troupeaux dans les champs en pleine nuit par un froid rigoureux. Au contraire, c'est en plein été que les bergers gardent les brebis la nuit. La nuit où Jésus fut arrêté (au printemps), il faisait tellement froid, que les gardes et Pierre se chauffaient autour d'un brasero (Luc 22, versets 55 et 56).

Pourquoi et comment l'église romaine a-t-elle fixé cette date du 25 décembre pour fêter Noël ?
On a généralement cru que cette fête avait seulement une concordance astronomique puisqu'elle correspondait à la fin de la course annuelle du soleil et au commencement du nouveau cycle. Hormis l'époque de sa célébration, ce sont également toutes les cérémonies qui accompagnent cette fête qui prouvent son origine païenne. Noël a une signification beaucoup plus profonde que le simple symbolisme se rapportant au solstice d'hiver, mais c'était surtout l'anniversaire de la naissance du faux messie babylonien, le grand libérateur.

En Egypte, le jour du solstice d'hiver était célébré en l'honneur du fils d'Isis, titre égyptien de la reine des cieux.
Bien avant l'ère chrétienne, les païens célébraient une fête à cette époque de l'année en l'honneur de la naissance du fils de la reine de Babylone. Or, pour augmenter le nombre des païens adhérant de nom au christianisme, la même fête fut adopté par l'Eglise romaine.

Nombre de rites babyloniens ont leur similitude dans la fête de Noël :

• Les bougies qu'on allume la veille de Noël et qui doivent rester allumées pendant les fêtes correspondent au culte du dieu babylonien dont la naissance était célébrée dès la veille en illuminant ses autels.

• L'arbre de Noël qui est si commun dans nos traditions occidentales était également connu dans la Rome païenne. En Egypte, c'était un palmier symbolisant le messie païen. C'était un principe essentiel du système babylonien que le soleil ou Baal était objet favori du culte, incarnation du soleil.
On retrouve donc la signification de la bûche que l'on mettait au feu la veille de Noël et qui, le lendemain, était devenue l'arbre de Noël. Or, la bûche symbolise le tronc mort de Nimrod déifié en tant que dieu soleil, mais renversé par ses ennemis. L'arbre de Noël n'est donc rien d'autre que l'honneur rendu à Nimrod, le dieu mis à mort et rendu à la vie.

La branche de gui de la superstition druidique venait aussi de Babylone et représentait ce faux messie "homme branche", gage de la réconciliation entre Dieu et les hommes : cette branche divine venait du ciel, portée par un arbre qui, lui, sortait de la terre. En greffant la branche céleste sur un arbre terrestre, le ciel et la terre séparés par le péché se trouvaient alors réunis, réconciliés. De même l'oie de Noël (aujourd'hui la dinde) et les gâteux (bûches de Noël) étaient des éléments essentiels au culte babylonien tel qu'il était pratiqué en Egypte et à Rome. Il est donc clair que le christianisme s'est simplement approprié tous ces rites païens.

• 2 / L'Annonciation

La grande fête du calendrier romain qui suit Noël est l'Annonciation, et la date fixée pour cette fête confirme ce qui vient d'être dit. Cette fête se célèbre le 25 mars, en souvenir, dit-on, de la conception miraculeuse du Messie dans le sein de la vierge, le jour où l'ange vint lui annoncer l'honneur qui lui serait accordé d'être la mère du Sauveur du monde (Luc 1 verset 31). Mais qui peut certifier l'époque à laquelle cette annonce lui fût faite ? L'Ecriture ne nous donne aucune indication car cela a, en fait, peu d'importance. Ce jour, indiqué dans le calendrier papal comme étant l'annonciation de la vierge, existait bien avant la conception et la naissance du Christ. C'était, en effet, un jour de fête dans la Rome païenne en l'honneur de Cybèle, déesse romaine qui n'est autre que la mère du messie babylonien.

Il est d'ailleurs évident qu'il existe une relation étroite entre le jour de Noël et celui de l'annonciation. Entre le 25 mars et le 25 décembre suivant, il y a exactement 9 mois. Par conséquent, si le faux messie fût conçu en mars et naquit en décembre, peut-on croire un seul instant que la conception et la naissance du véritable Messie ait pu s'accorder aussi exactement avec ces deux dates, non seulement en ce qui concerne le mois, mais qui plus est pour le jour ? Qui pourrait croire à une telle probabilité ? C'est absolument impossible, ce qui prouve là encore que l'Annonciation et Noël sont donc bien des fêtes babyloniennes.

• 3 / Pâques

Les quarante jours de jeûne du carême ont été directement empruntés aux adorateurs de la déesse babylonienne. Le jeûne égyptien de quarante jours était expressément pratiqué en souvenir d'Adonis (ou Osiris), le grand dieu médiateur. Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection du dieu Tammouz, par des larmes et des réjouissances (voir Ezéchiel 8 verset 14). A l'origine, même à Rome, on ne connaissait pas le carême avec les orgies du carnaval qui le précédaient.

Lorsque le culte d'Astarté (nom cananéen de la déesse babylonienne Ishtar) devint prépondérant, on prit des mesures pour faire observer le jeûne chaldéen de 6 semaines (soit 40 jours) dans tout l'empire romain d'Occident. La voie fut préparée par le Concile tenu à Aurélia vers l'année 519, qui décréta que le carême serait solennellement observé avant Pâques. Les galettes chaudes marquées d'une croix le vendredi saint et les œufs coloriés figuraient dans les rites chaldéens, exactement comme ils le sont encore aujourd'hui en Occident. Le prophète Jérémie mentionne ce genre d'offrande quand il dit : "Les enfants apportaient du bois, les pères allumaient le feu, et les femmes pétrissaient la pâte pour offrir des gâteaux à la reine du ciel" (Jérémie 7 verset 18).

L'origine des œufs de Pâques est tout aussi claire. Les anciens druides portaient un œuf comme emblème sacré de leur ordre. Dans les mystères de Bacchus, tels qu'on les célébrait à Athènes, la consécration d'un œuf formait une partie de la cérémonie nocturne. La vraie Pâques est une fête juive célébrée le 14ème jour du premier mois du calendrier juif, au cours de laquelle un agneau était immolé, rôti et mangé.
Jésus est mort ce jour-là, en accomplissement des prophéties, et Il est ressuscité 3 jours et 3 nuits plus tard ; c'est à dire le 1er jour de la semaine (dimanche matin). Il n'y a pas de fête de Pâques dans le Nouveau Testament.

• 4 / La Saint Jean

Jean-Baptiste était né 6 mois avant le Sauveur. La fête païenne du solstice d'hiver ayant déjà été consacrée au jour de la naissance de Jésus, il fallait forcément fixer la date de son précurseur par rapport à cette date. Entre le 24 juin (solstice d'été) et le 24 décembre (solstice d'hiver), il y a exactement 6 mois. Les feux de la Saint-Jean où les jeunes et les vieux doivent marcher sur les cendres chaudes remontent jusqu'au premier des mortels qui a régné : Nimrod.

Si du temps des druides, on attendait des bénédictions du feu qu'on allumait en y faisant passer des jeunes gens et des vieillards ou du bétail, c'était simplement parce que l'on croyait purifier ainsi les souillures du péché inhérent à tous les êtres humains. Si Tammuz était le même dieu que Zoroastre, le dieu des anciens adorateurs du feu, et si la fête de ce dieu à Babylone correspondait si exactement à la nativité de Saint-Jean, quoi d'étonnant que cette fête soit encore célébrée par les feux de Baal et qu'elle présente encore une image si fidèle de ce que l'Eternel condamnait autrefois chez son peuple qui sacrifiait ses enfants en les immolant par le feu du dieu Moloc ? (Deutéronome 18 verset 10).

Quel homme, s'il connaît un peu l'Evangile, pourrait qualifier de "chrétienne" une telle fête ? Les prêtres de Rome, même s'ils ne l'enseignent pas ouvertement, trompent du moins leurs adeptes en leur laissant croire, aussi assidûment que le croyaient les païens adorateur du feu, que le feu peut purifier des souillures du péché. Beaucoup pratiquent cette tradition sans même connaître son origine, ni son sens véritable. Comment peut-on accepter la pratique de tels rites qui allaient alors jusqu'au sacrifice d'enfants innocents ?
Seul le sang de Jésus Christ nous purifie du péché (1ère lettre de Jean, chapitre 1, verset 7).

• 5 / L'Assomption

Il faut souligner que cette fête, instituée par la papauté, a été établie au XIXème siècle, qui a la réputation d'avoir été le siècle de lumière. Voici cette doctrine : la Vierge Marie, dit-on, n'a point connu la corruption et fut élevée au ciel où elle est maintenant, et en tant que co-rédemptrice.

Il n'y a pourtant aucun fondement d'une telle doctrine dans l'Ecriture Sainte. Quelle en est donc l'origine ?
Dans le système babylonien, c'était une fable déjà toute préparée. On y enseigne que le dieu Bacchus descendit en enfer, arracha sa mère aux puissances infernales et l'emporta avec lui en triomphe dans les airs. Cette légende s'est répandue partout où le système babylonien s'est implanté. La fête de l'Assomption est célébrée dans l'église romaine le 15 août. Or, lorsque la mère du messie païen fut célébrée à cause de cette "assomption", elle fut adorée comme l'incarnation de l'Esprit de Dieu. Elle fut considérée comme la source de toute sainteté, la grande purificatrice et naturellement, elle fut reconnue elle-même comme la mère pure et sans tâche. Ce n'est qu'en suivant dans ses conséquences logiques la doctrine païenne déjà adoptée et mélangée avec tout le système de Rome que ce décret a été lancé et que la madone romaine a été formellement appelée, dans le sens le plus complet du mot, "vierge immaculée".

Extraits du livre de Alexander Hislop « Les 2 Babylones ».

Peut-on encore douter que la madone de Rome avec l'enfant dans ses bras et la madone de Babylone ne soient qu'une seule et même déesse ?
Celle-ci n'a rien à voir avec l'humble jeune fille (Myriam ou Marie en français) qu'était la mère de Jésus. On sait fort bien que la madone romaine est un grand sujet de culte. La Parole de Dieu n'a-t-elle pas condamné dans les termes les plus énergiques la Babylone du Nouveau Testament ? N'a-t-elle pas déclaré que ceux qui participent aux péchés de Babylone participeront aussi à ses châtiments ? (Apocalypse 18 verset 4). Le péché d'idolâtrie est en général considéré comme une faute légère, mais ce n'est pas ainsi que Dieu lui-même le considère.
De tous les commandements, le second est accompagné des menaces les plus terribles par son effraction :

"Tu ne te feras pas d'image taillée ni aucune représentation des choses qui sont là-haut dans le ciel, ici-bas sur la terre et dans les eaux plus bas que la terre, tu ne te prosterneras pas devant elles et tu ne les serviras pas, car moi, l'Eternel ton Dieu, je suis un Dieu jaloux qui punis la méchanceté des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent et qui fait miséricorde jusqu'à mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements" (Exode 20 verset 4).

Ces paroles viennent de la bouche même de Dieu, elles ont été écrites par la main même de Dieu sur la pierre, non pas seulement pour la race d'Abraham, mais pour toutes les tribus et toutes les générations de la terre.
Dieu, dans le Nouveau Testament, ne demande nullement d'observer les fêtes, car toute la loi a été abolie en Jésus-Christ (Epitre aux Galates, chapitre 4, verset 10 et épitre aux Colossiens, chapitre 2, verset 16).

"Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et une vraie tromperie ; s'appuyant sur la tradition des hommes, sur les principes élémentaires du monde et non sur Christ. Car en Lui habite corporellement toute la plénitude de la Divinité. Vous avez tout pleinement en Lui qui est le chef de toute domination et de toute autorité". (Epitre aux Colossiens, chapitre 2, versets 8 à 10)

Par contre, Dieu attend de nous une confiance et une obéissance totale. Voici ce que l'apôtre Paul disait aux philosophes d'Athènes :

"Le Dieu qui a fait ce monde et tout ce qui s'y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n'habite pas dans des temples faits de main d'homme. Il n'est point servi par des mains humaines comme s'Il avait besoin de quoi que ce soit, Lui qui donne à tous la vie, la respiration et toutes choses. Il a fait que tous les hommes, sortis d'un seul sang, habitent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure… Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils ont à se repentir, parce qu'Il a fixé un jour où Il jugera le monde selon la justice par l'homme qu'Il a désigné (Jésus-Christ), ce dont Il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts" (Actes, chapitre 17, versets 24 à 31).

Cher lecteur,

Dieu vous invite aujourd'hui même à renoncer à toutes pratique inutile et trompeuse, à toute superstition, à toute idolâtrie, pour vous faire pénétrer dans la Réalité qui se trouve dans la personne de Jésus-Christ, le seul Seigneur.
Même si vous ne vous sentez pas concerné par ces choses, sachez que l'homme est religieux par nature, y compris les athées qui placent leur foi dans la science, la technologie, la politique, l'argent, … Il y a dans le cœur de l'homme un vide que Dieu seul peut combler.

Les religions sont terrestres, fondées par l'homme et donc impuissantes pour nous conduire au ciel. Le Salut, par contre, vient de Dieu, c'est Jésus le Vrai Messie. Il est l'unique remède à tous les maux de l'humanité. Il est mort pour nos péchés et Il est ressuscité. En Lui, nous avons le pardon de nos fautes et la Vie Eternelle qu'Il offre gratuitement à tous ceux qui l'acceptent. Alors, à vous de choisir !



vendredi 7 novembre 2008

Raisons pour lesquelles je ne suis plus catholique


INTRODUCTION


Le but de cet article est de répondre à la question qu'on nous pose souvent : pourquoi ne vous joignez-vous pas à l'église catholique ? C'est une question importante qui mériterait une réflexion approfondie et nécessiterait la rédaction d'un livre; mais nous nous contenterons aujourd'hui d'en faire un condensé.

Tout d'abord, nous ne visons pas des personnes car nous n'attachons pas d'importance aux différences religieuses, sociales ou raciales, mais c'est plutôt du système que nous allons parler.
Pour pouvoir juger d'une chose, il est nécessaire d'avoir une référence.
Or, en cette matière, seule la Bible fait autorité pour savoir si une chose est bonne ou mauvaise. Jésus nous a donné ce test : un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez (Matthieu 7 v 18 à 20).

I - L'Histoire

Tout le monde convient que l'Eglise Catholique a fait beaucoup d'erreurs au cours des siècles, mais peut-on honnêtement parler de "bavures" quand il s'agit de plusieurs dizaines de millions de personnes assassinées. Nous ne citerons que des faits rapportés par l'histoire :

· Les croisades : il y en a eu 5, toutes aussi meurtrières les unes que les autres, la plus abjecte de toutes étant celles des enfants.

· L'inquisition a été un moyen par lequel un nombre inestimable d'innocents ont été torturés et exécutés.

· La persécution des protestants (appelée « guerres de religions » par les révisionnistes catholiques) au cours desquelles les armées royales ont pendu, décapité, écartelé, brûlé et massacré des milliers de gens pour le simple motif qu’ils prenaient la Bible au sérieux. Bien souvent, les hommes allaient aux galères et les femmes à la Tour de Constançe, à Aigues-Mortes.

· La conquête de l'Amérique du Sud par les conquistadors venus pour convertir ces "sauvages". Des peuples entiers ont été décimés.

· Le concordat signé entre les dirigeants de l'Eglise Romaine et l'Allemagne nazie en 1933.

· Le soutien total à Mussolini et à Franco : Le Vatican a révélé par là son accord avec ces dictateurs catholiques tristement célèbres.

Nous pourrions encore parler du soutien aux révolutionnaires d'Amérique Centrale et du Sud, etc.. Nous ne pouvons en aucun cas nous assimiler à un système meurtrier.

Presque tout le monde croit que l'Eglise Catholique a été fondée par Jésus-Christ sur l'apôtre Pierre. C'est absolument faux : Jésus a dit à Pierre "tu es Pierre (en grec Petros) et sur ce rocher (en grec Petra), Je bâtirai Mon Eglise (en grec EKKLESIA = assemblée)". La vraie Eglise n'est pas bâtie sur un homme (Pierre = une pierre) mais sur le Christ lui-même. (Le Rocher).
Par contre, l'Eglise Catholique Romaine est née au 3ème siècle et a été fondée par l'Empereur romain Constantin.

II - La Doctrine

· Le salut par les œuvres : l'Eglise Romaine dit qu'il faut mériter sa place au ciel en faisant des bonnes actions. Rien n'est plus faux. La Bible dit au contraire : "C'est par la grâce que vous êtes sauvés. par le moyen de la foi. Cela ne vient pas de vous ; c'est le don de Dieu. Ce n'est pas par les œuvres, afin que personne ne se glorifie." (Ephésiens 2 v 8-9).

· La papauté : l'évêque de Rome porte le titre "Chef de l'Eglise''. Or, la Bible dit que Jésus est le chef de l'Eglise (Ephésiens 5 v 23). L'évêque de Rome porte le titre de "saint-père", alors que Jésus a dit : "n'appelez personne Père." (Matthieu 23 v 9). L'évêque de Rome est aussi appelé "souverain pontife" et la Bible dit que seul Jésus-Christ est le Grand Prêtre (Hébreux 4 v 14) et que son sacerdoce n'est pas transmissible (Hébreux 7 v 24).

· La médiation de la vierge, des saints et du clergé : La Bible affirme qu'il y a un seul Dieu et un seul médiateur (intermédiaire) entre Dieu et les hommes Jésus-Christ homme ( 1 Timothée 2 v 5-6).

· La tradition égale à la Bible. Jésus dit : "Vous annulez la Parole de Dieu au profit de votre tradition. Hypocrites ! Esaïe a bien prophétisé sur vous, quand il a dit : "Ce peuple m'honore des lèvres, mais son cœur est éloigné de moi. C'est en vain qu'ils m'honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d'hommes." (Matthieu 15 v 6 à 9).

· Le Purgatoire : n'a aucun rapport avec la Bible qui affirme au contraire "il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ." (Romains 8 v 1). Ceux qui se confient totalement au Seigneur pour leur salut vont directement au ciel. Cette croyance au purgatoire est un moyen pour gagner de l'argent en exploitant la crédulité du peuple : vente des indulgences, messes pour les âmes du purgatoire, troncs, etc...

III Les Pratiques

· L'idolâtrie : Dieu interdit le culte des images, statues... même à titre de symboles. Le 2ème commandement dit expressément : "Tu ne te feras pas d'images taillées, ni de représentations quelconque, tu ne te prosterneras pas devant elles et tu ne les serviras pas." (Exode 20 v 5).

· La messe : Renouvellement du sacrifice de Christ contenu dans l'hostie alors que la Parole de Dieu dit qu'Il est mort une fois pour toutes (Hébreux 7 v 27) et que ceux qui lui appartiennent doivent prendre le pain et le vin en souvenir de sa mort. (1 Corinthiens 11 v 23 à 26).

· La vénération et la prière à la Vierge et aux Saints : Dieu est le seul digne d'être vénéré et le seul que nous devons prier (Deutéronome 18 v 11). La Reine du ciel (Jérémie 7 v 18) était la grande déesse des babyloniens (= Ishtar), des cananéens (= Astarté) et des égyptiens (= Isis). Quand à l'humble Marie qui a eu le privilège d'enfanter Jésus, elle était mariée et a eu d'autres enfants après Jésus (Marc 6 v 3).

· Le baptême des enfants pour ôter le péché originel. Cette pratique n'a rien de commun avec le baptême institué par le Seigneur qui a dit : "Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé (Marc 16 v 16)." II faut donc croire avant d'être baptisé. Ce n'est pas quelques gouttes d'eau qui peuvent faire de quelqu'un un enfant de Dieu, mais comme il est écrit : "A ceux qui croient en son Nom, Il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu." (Jean 1 v 12). De plus le mot grec Baptisma veut dire : immersion. C'est à dire que les croyants sont entièrement plongés dans l'eau, suite à leur déclaration de foi.

· L'assomption de Marie ; les catholiques croient que Marie n'est pas morte mais qu'elle est montée au ciel corporellement. La Bible n'en fait pas la moindre allusion. Cette doctrine est récente ; elle date de 1950.

· Les fêtes : telles que Noël (personne ne sais quand Jésus est né), Pâques (fête juive qui n'a plus lieu d'être), Saint Jean, Toussaints, etc..

CONCLUSION

Cher lecteur, que vous soyez catholique ou non, nous avons une bonne nouvelle à vous annoncer :
C'est que vous pouvez être pardonné de tous vos péchés instantanément si vous vous repentez en les avouant tous à Dieu et en croyant que Jésus-Christ est mort à votre place sur la croix et qu'il est ressuscité.

Confiez-vous totalement au Seigneur Jésus, le seul Sauveur et Il vous donne dès cet instant la Vie Eternelle.
"Le salaire du péché, c'est la mort mais le don gratuit de Dieu, c'est la Vie Eternelle en Jésus-Christ notre Seigneur." (Romains 6 v 23). Lisez entièrement le Nouveau Testament, prenez contact avec nous, n'ayez pas peur de ce que les autres penseront de vous ou diront de vous.

Pierre Danis

Voici une mine d’informations sur les origines : http://gloireaucreateur.blogspot.com/
Sur la santé : http://maladie-sante.over-blog.com/
Sur la Bible : http://biblique.blogspot.com/

pierre.danis@wanadoo.fr

jeudi 12 juin 2008

LA REINE DES CIEUX




Le 11 octobre 1954 le Pape Pie XII a proclamé l'Assomption corporelle de Marie en tant que dogme officiel de l'Église Catholique Romaine, devant être reconnu comme tel par tous les fidèles.
L'attention du monde fut attirée de la manière la plus spectaculaire sur cette déclaration au grand Congrès de Marie à Ottowa (Canada), en 1947. La figure centrale du congrès consistait en une statue gigantesque de la Vierge, dressée sur un globe terrestre surmonté d'une tour.
Elle parut également sous différentes formes : effigies de plâtre sur des flottilles, illuminées le soir par de grands feux d'artifice, la représentant comme la Reine des Cieux, environnée d'étoiles, la nouvelle lune sous ses pieds.
Sous la représentation figurait cette inscription en latin : A Jésus par Marie! Ces quatre mots
révèlent suffisamment ]a tendance moderne à exalter Marie comme médiatrice entre Dieu et l'homme.

Cette adoration de Marie fut confirmée par une bulle papale de Pie XII, à l'occasion de la fête de la maternité de Marie. C'est par l'encyclique "Ad Coeli Reginam (à la Reine des Cieux) , qu'il proclama la nouvelle fête universelle de la Royauté de Marie, devant être célébrée chaque année le 31 mai.
Ce fut l'événement principal qui couronna l'année de Marie, se terminant le 8 décembre 1954.
Marie, dans les Saintes Ecritures on ne trouve dans les Ecritures saintes, et même dans les écrits apocryphes, que peu de renseignements sur la personne de Marie. Jamais Jésus Lui-même n'a exalté sa mère publiquement, comme étant supérieure aux autres femmes. Quand elle le découvrit dans le temple, à l'âge de douze ans, Il la réprimanda doucement pour son anxiété en disant :
Pourquoi me cherchiez-vous? Ne saviez- vous pas qu'il faut que je m'occupe des affaires de mon Père? Évangile de Luc, ch. 2, v. 49.
Aux noces de Cana, lorsque Marie crut devoir informer Jésus du fait que le vin allait manquer, il répondit :
Femme. qu'y a-t-il entre moi et toi ? Mon heure n'est pas encore venue. Évangile de Jean, ch. 2, v. 4.

En une autre occasion, lorsqu'une femme dans la foule s'écria :
"Heureux le sein qui t'a porté! heureuses les mamelles qui t'ont allaité! Il répondit :Heureux plutôt ceux celui écoutent la parole de Dieu. et qui la gardent! "Évangile de Luc, ch. 11, v. 27
"On lui dit : Ta mère et tes frères sont dehors, et ils désirent te voir. Mais il répondit : ma mère et mes frères, ce sont ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la mettent en pratique.
Évangile de Luc, ch. 8, v. 20-21

Enfin la dernière allusion à Marie dans l'Évangile est faite lors de l'agonie de Jésus sur la Croix. Il remit à Son disciple bien-aimé, Jean, le soin de Sa mère par ces paroles: "Femme, voilà ton fils". En lui donnant ce titre de femme Jésus rappelait l'humanité de Marie. Elle ne fut que l'instrument humain dans l'Incarnation, par laquelle Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant. à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché.
Romains, ch. 8, v. 3

Selon les termes de la première alliance de Dieu avec l'homme, il lui fut annoncé :
Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. Genèse, ch. 3, V. 15
S'il était vrai que Marie fut immaculée la Parole de Dieu ne dirait pas que Jésus fut "dans une chair semblable à celle du péché . (Epître aux Romains ch. 8 V.3).
C'est le fait même de cette humanité pécheresse de Sa mère qui donne à l'expiation du Christ incarné, toute son efficacité en faveur des pécheurs. Mais le fait que Jésus a partagé notre humanité n'implique évidemment pas qu'Il eut Lui-même une nature déchue.

La Mère de Dieu
Cette exaltation de Marie par l'Église Romaine s'est opérée graduellement, en cinq phases successives.
Pendant les trois premiers siècles de la chrétienté, il ne fut aucunement question d'un culte à Marie. Cette tendance prit naissance tout d'abord lorsque, dans la branche orientale de l'Église, à Alexandrie, il lui fut donné le titre de Mère de Dieu", au troisième siècle.
Au quatrième siècle cette appellation se fit plus populaire, bien que non reconnue par tous et même condamnée par Nestorius, le patriarche de Constantinople, au cours du 5ème siècle.
Or, appeler Marie la mère de Dieu est un défi à la simple raison comme à la révélation. Puisque Dieu est Esprit et qu'Il est éternel, comment pourrait-Il avoir une mère ?

Marie n'était que la mère de Jésus dans Son humanité, le sein dans lequel le Christ incarné a été formé.
C'est pourquoi Christ, entrant dans le monde dit: Tu n'as voulu ni sacrifice ni offrande, mais tu m'as formé un corps."
Hébreux, ch. 10, v. 5
C'est dans ce corps que Dieu le Fils a pris sur Lui notre humanité, afin de porter nos péchés dans Son corps naturel, en tant que Dieu-Homme, sur le bois de la Croix. C'est un honneur bien suffisant pour Marie d'avoir été choisie pour être la mère de Jésus, mais la nommer Mère de Dieu est un blasphème.

Virginité perpétuelle

Le second pas consiste dans la doctrine de la virginité perpétuelle. Cette innovation, d'ailleurs, est d'origine non catholique, ayant fait son apparition tout d'abord dans un ouvrage du 2ème siècle qui fut proscrit par l'Église dans un des plus anciens index librorum prohibitorum (liste des livres prohibés) du pape de l'époque. Cette doctrine ne fut jamais enseignée lors des trois premiers siècles. Les premiers Pères de l'Église, Tertullian et Origène croyaient tous deux au mariage normal de Marie après la naissance de Jésus, et l'allusion à ses autres enfants prouve suffisamment son humanité:

N'est-ce pas le fils du charpentier ? N'est-ce pas Marie qui est sa mère ? Jacques, Joseph, Simon et Jude, ne sont-ils pas ses frères ? Et ses soeurs ne sont-elles pas toutes parmi nous? ".
Évangile de Matthieu, ch. 13, v. 55-56

Ce fut d'ailleurs l'argument employé pour combattre la doctrine appelée Docétisme, laquelle niait l'humanité de Jésus, le mettant au rang d'un pur fantôme. Le premier propagateur de la doctrine de la virginité perpétuelle de Marie fut Jérôme, dans un pamphlet intitulé Toujours Vierge , écrit en l'an 387.
Elle fut confirmée comme partie essentielle du dogme catholique par le Concile de Chalcédoine, en l'an 451 de notre ère.
Le troisième pas fut la doctrine de l'Immaculée Conception, impliquant l'absence chez Marie du péché originel, dogme totalement inconnu de l'Église primitive.
Augustin lui-même affirmait que Marie était née dans le péché originel comme tout le monde, et bien plus tard, un Père de l'Église, Anselme, déclara de même qu'elle fut engendrée et mise au monde dans le péché. Encore au 12ème siècle, ceux qui cherchèrent à instituer une fête spéciale en l'honneur de l'Immaculée Conception rencontrèrent l'opposition de Bernard. Cette doctrine continua à se répandre malgré cela, bien qu'elle ne reçut son approbation officielle par
l'Église Romaine qu'en 1854, le 8 décembre, date à laquelle parut la bulle papale intitulée " Ineffabilis Deus .

Le quatrième pas fut franchi avec l'introduction de la nouvelle doctrine de l'Assomption de Marie au Ciel, laquelle avait son origine dans certaines sources apocryphes. Mais ce n'est qu'au septième siècle que la fête dite de l'Assomption commença à être mentionnée. Cette doctrine proclame et cela sans la moindre preuve raisonnable à l'appui que peu après sa mort, Marie fut enlevée au Ciel corporellement, après avoir passé par la, résurrection. La célébration de cette
fête n'est devenue officielle qu'au 8ème siècle, suivie de celle la la nativité au 9ème et de sa présentation en l'an mille.

La raison alléguée dans le catéchisme pour justifier cette croyance en l'Assomption de Marie, c'est que Dieu a voulu préserver de la corruption ce corps dans lequel Jésus-Christ a reçu Sa nature humaine . Cette raison est une pure fantaisie, sans aucune confirmation des Écritures ni même des écrits apocryphes. Il est pour le moins étrange, en effet, que si "peu après sa mort"
le corps de Marie avait été ressuscité, un tel événement n'ait été connu que huit siècles plus tard !

"La Reine des Cieux"
L'apogée de cette exaltation de Marie devait être atteint lorsque lui fut conféré le titre de Reine des Cieux . Or, ce titre est nettement païen, comme nous le voyons dans l'Ancien Testament :
"Les enfants ramassent du bois, les pères allument le feu, et les femmes pétrissent la pâte, pour préparer des gâteaux à la reine du ciel, et pour faire des libations à d'autres dieux afin de m'irriter. Est-ce moi qu'ils irritent, dit l'Éternel; n'est-ce pas eux-mêmes à leur propre confusion Jérémie, ch. 7. v. 18.

Il se rapporte à une déité phénicienne, Astarté, appelée aussi "l'abomination des Sidoniens". Cette même divinité féminine réapparaît dans d'autres nations païennes, comme la Semiramis des Babyloniens, Astarté Assyrienne, l'Isis des Egyptiens, l'Aphrodite des Grecs, le Venus des Romains. Chacune des déesses sus mentionnées était adorée comme la Reine des Cieux .
On les retrouve tout naturellement dans les religions païennes, une religion purement humaine ne pouvant se créer que des dieux faits à sa propre dimension.

Le Christianisme, bien au contraire, est basé sur une révélation divine, ayant sa source d'En Haut et non d'en bas.
C'est en cela qu'il diffère de toutes les religions de ce monde, ayant comme fondement de sa foi la Trinité, ou Dieu manifesté en trois Personnes : le Père, le Fils et le Saint Esprit. Les noms donnés dans les Écritures à ces trois Personnes divines sont tous du masculin. Aussi cette idée païenne d'une "Reine des Cieux" est-elle un sacrilège extrême, et le culte offert à Marie, en tant
que médiatrice entre l'homme et Dieu est la pire forme d'idolâtrie. Oser affirmer que l'unique moyen de parvenir à Dieu est de passer par Marie, est une contradiction flagrante aux préceptes de Jésus qui a déclaré positivement à Ses disciples:
"Nul ne vient au Père que par moi." Évangile de Jean, ch. 14, v. 6.

Pendant les jours de sa chair, tous avaient un libre accès auprès du Sauveur. Il a dit Lui-même:
"Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et chargés et je vous donnerai du repos. " Évangile de Matthieu, ch. 11, v. 29.
"Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi.
Évangile de Jean, ch 6 v. 37.

Il dit encore :
"Voici, je me tiens à la porte. et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi.
Apocalypse, ch. 3, v. 20.
Nul n'était trop humble ou trop dépravé pour obtenir Son attention personnelle.
Il touchait les lépreux considérés par les hommes comme des intouchables . Il s'entretint avec la femme Samaritaine au bords du puits, comme aussi avec celle prise en flagrant délit d'adultère. Le résumé de tout Son enseignement est contenu dans ces paroles : "Demeurez en moi . Jamais aucune allusion n'est faite à la nécessité d'un intermédiaire quelconque entre le pécheur et Christ.

Comment nous devons prier
De plus, quand les disciples vinrent à Jésus pour lui demander de leur apprendre à prier, Il leur apprit à dire:
Notre Père qui es aux Cieux . Ainsi Jésus Lui-même affirme clairement que c'est à Dieu seul que doit s'adresser la prière. Avant l'Incarnation, les hommes priaient directement l'Éternel, comme Moïse, David et Elie ont prié. Après le Calvaire, un accès plus parfait auprès de Dieu nous fut acquis à travers l'oeuvre rédemptrice accomplie à la Croix, Jésus explique à Ses disciples ce
nouveau fondement de la prière quand Il dit :
"En ce jour là, vous ne m'interrogerez plus sur rien. En vérité, en vérité. je vous le dis, ce que vous demanderez au Père, il vous le donnera en mon nom.
Évangile de Jean, ch. 16, v. 23.

Voici donc l'enseignement du Seigneur Jésus sur la prière :
Ce n'est pas à Lui que nous devons adresser nos requêtes, mais bien à Dieu, le Père au Nom du Christ.
"Ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donnera."
Évangile de Jean, ch. 15, v.16.
Il en résulte donc que s'adresser à Marie pour qu'elle intercède auprès de Christ est doublement en contradiction avec Son enseignement car: 1° la prière doit être adressée à Dieu seul, et 2° elle n'est agréable à Dieu qu'en tant qu'elle est offerte dans le Nom de Jésus, par la foi en Son Sang rédempteur.
"Par LUI, offrons sans à Dieu un sacrifice de louange...
Hébreux, ch. 13, v. 15.
"Car il y a un seul Dieu. et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme.
1 Timothée, ch 2, v. 5.
Prier Marie d'intercéder auprès de Jésus pour nous est un péché grave contre le Saint Esprit. C'est Dieu seul qui entend et qui exauce la prière.
Le seul accès Il n'existe qu'un seul chemin conduisant au Sanctuaire :
"Puisque nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire par la route nouvelle et vivante qu'il a inauguré pour nous... approchons-nous donc avec un coeur sincère, dans la plénitude de la foi"
Hébreux, ch. 10, v. 19-22.

C'est Christ seul qui a inauguré par Sa mort et par Sa résurrection cette "route nouvelle et vivante qui mène au Sanctuaire céleste. Il a dit de Lui-même: "Je suis le chemin .
Dieu le Père a dit de Lui :
"Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection : écoutez-le.
Évangile de Matthieu, ch. 17, v.5