Le but de ce blog est de faire comprendre aux visiteurs que les religions et les sectes viennent des hommes, et sont donc impuissantes pour nous sauver. Ce dont nous avons besoin, c'est d'une relation personnelle avec Dieu, le Créateur, Celui qui s'est fait homme en Jésus Christ, et a inspiré la Bible. Ps : Pour lire les autres articles, descendez sous l'article, cliquez sur l'année, le mois, puis le titre.
mardi 22 mai 2007
Qui peut nous sauver ?
Au fond du trou
Un Chinois racontait ainsi un jour la différence entre Jésus-Christ, Confusius et Bouddha.
«Un jour que je me trouvais emprisonné dans un trou profond, le corps à demi enlisé dans la vase, je me mis à crier au secours.
En levant les yeux je vis un vénérable vieillard aux cheveux blancs qui me regardait. Sa stature était empreinte de pureté et de sainteté. "Mon fils, me dit-il, te voilà tombé dans un trou épouvantable." "Oui répondis-je, j'y suis tombé accidentellement. Pouvez-vous m'aider à en sortir?" "Mon fils, reprit-il, je suis Confucius. Si tu avais lu mes livres et si tu avais vécu selon mes enseignements, tu ne serais jamais tombé dans ce trou." "Oui, père, dis-je, mais ne pouvez-vous pas me tirer d'ici?" Mais quand mes yeux le cherchèrent, il avait disparu.
«Peu après, je vis s'approcher une autre silhouette. Et un autre homme se pencha au-dessus de moi. Celui-ci avait les yeux fermés et les bras croisés. Il semblait contempler un point fixe à une grande distance. "Mon fils, dit-il, ferme les yeux, croise les bras et oublie tout ce qui te concerne. Entre dans un état de parfait repos. Et efforce-toi de ne penser à rien qui puisse te distraire. Tiens-toi immobile et silencieux, afin que rien ne puisse venir t'ébranler. Tu connaîtras alors l'indicible repos que je connais moi-même." "Oui répondis-je, je ferai cela quand je serai sorti de mon trou. Ne pouvez-vous m'aider à en sortir? Mais Bouddha aussi avait disparu.
«Je commençais à perdre espoir, quand soudain je distinguai au-dessus de moi une autre forme, cette fois différente des autres. Cet homme-là frappait par sa simplicité et il ressemblait au commun des mortels, mais son visage portait les traces d'une grande souffrance. Je le suppliai: Oh ! Père, pouvez-vous m'aider?" "Mon enfant, me dit-il, quel est ton problème?" Mais avant que j'ai eu le temps de lui répondre, Il était déjà près de moi dans la vase, m'entourait de ses bras et m'arrachait au bourbier. Puis Il me nourrit et me laissa reposer. Quand je fus remis sur pied, Il ne me dit pas: "C'est bon pour cette fois, mais ne recommence pas!" Voici les paroles qu'il prononça : "Désormais nous marcherons ensemble.", et c'est en effet, ce que nous avons fait jusqu'à ce jour.