Le but de ce blog est de faire comprendre aux visiteurs que les religions et les sectes viennent des hommes, et sont donc impuissantes pour nous sauver. Ce dont nous avons besoin, c'est d'une relation personnelle avec Dieu, le Créateur, Celui qui s'est fait homme en Jésus Christ, et a inspiré la Bible. Ps : Pour lire les autres articles, descendez sous l'article, cliquez sur l'année, le mois, puis le titre.
samedi 26 décembre 2009
Le nouvel àge
Comment est organisé le Nouvel Age aujourd’hui?
Le Nouvel Age n’a pas une organisation centrale. Il s’agit d’un courant dont la structure rappelle celle des premiers chrétiens et qui fonctionne par réseaux.
Il m’apparaît assez clairement que l’Ennemi a tiré les enseignements de l’histoire du christianisme pour n’en retenir que les bonnes idées et abandonner les erreurs commises.
Le Nouvel Age se propage souvent par la révélation d’esprits guides. En divers endroits du globe, de nombreux ouvrages sont littéralement dictés par ces esprits. Un exemple parmi tant d’autres: le “Cours sur les miracles”, dicté à une infirmière aux USA; déjà traduit en de nombreuses langues, il fait l’objet de séminaires pour comprendre en comprendre l’esprit et la lettre.
Certes, il existe une part de charlatanisme, car les ouvrages et les séminaires constituent une activité très lucrative. Pourtant, un certain nombre de phénomènes, liés aux esprits guides, sont tout simplement d’origine démoniaques.
Lors d’une émission “Temps Présent” sur le Nouvel Age (Télévision Suisse Romande), à laquelle j’étais invité, nous avons visionné une séquence relatant une séance de communication entre un médecin genevois et un esprit guide. Alors qu’il appelait l’esprit, il s’est produit l’opposé d’une délivrance. Les manifestations démoniaques (rictus, déformation du visage, convulsions, voix bizarre etc.) N’ont pas cédé la place à la paix profonde de la présence de l’Esprit Saint mais c’est le contraire qui est arrivé, un peu comme dans un film qui se déroule à l’envers.
Peut-on dès lors parler de bons et de mauvais esprits dans le Nouvel Age ?
Pour les adeptes de ce courant, la dualité entre le bien et le mal n’existe pas vraiment. A l’image du yin et du yang, chaque phénomène comporte deux faces.
Toutefois, l’adepte de l’ésotérisme Alan Cardec a avoué que certains esprits pouvaient être dangereux! J’espère que cela donnera à réfléchir aux adeptes du Nouvel Age. En revanche, dans la littérature de ce courant, ce qui est présenté comme vraiment mauvais, c’est le judéo-christianisme! Il est considéré comme la source de tous les maux de l’Occident, pour ne pas dire de la terre entière, et accusé d’avoir travesti la vérité sur le monde spirituel.
Certains vont jusqu’à affirmer que le serpent serait le créateur dont l’image serait la double hélice de l’ADN (deux serpents entrelacés). Après avoir absorbé des boissons hallucinogènes, de nombreux Indiens sud-américains affirment parler avec l’ADN des plantes. C’est de cette manière qu’ils découvrent des médicaments tellement efficaces que les grandes firmes pharmaceutiques les analysent pour les reproduire en synthèses chimiques.
Les esprits dont il est question dans les différentes pratiques du Nouvel Age doivent-ils donc être considérés comme dangereux?
Oui, et de nombreux témoignages le confirment. Par exemple, le récit d’une jeune fille qui a eu les bras paralysés trois jours durant après avoir voulu parler avec l’esprit d’un arbre. Cela se déroulait lors d’une “semaine nature”, dans le cadre de sa formation d’institutrice !
Comment, au vu du sombre tableau que vous dressez, peut-on expliquer le succès du Nouvel Age?
Le Nouvel Age a rappelé à l’humanité rationaliste et athée l’existence du monde spirituel. Mais comme nous le rappellent Col. 1, 16 et 2, 15, si Dieu a créé le visible et l’invisible, donc aussi les êtres spirituels, une partie d’entre eux se sont détournés de Dieu et par là même des tâches qui leur incombaient. L’Apocalypse nous suggère que le tiers des anges créés feraient partie de ces hiérarchies sataniques (Apoc. 12, 4).
Que conseillez-vous à celui qui s’est plongé dans ces pratiques et qui réalise ce qu’il lui arrive?
Je lui suggère de revenir sérieusement à la Bible, Parole de Dieu, et non la Bible relue et corrigée par certains philosophes et théologiens libéraux; revenir également au Père, au Fils et au Saint-Esprit;
· au Père, créateur du ciel et de la terre ainsi que du monde vivant, et non pas à la déesse Gaia considérée aujourd’hui comme la déesse de la terre mère ;
· au Fils, Jésus-Christ de Nazareth, mort et ressuscité, et non au Christ cosmo-centrique du Nouvel Age souvent décrit sous les traits du Maîtreya;
· au Saint-Esprit, souffle de Dieu envoyé par le Père et le Fils et non à l’énergie vitale et cosmique du Nouvel Age. Je conseille aussi à l’ex-adepte de se lier à des chrétiens sérieux.
Si l’ex-adepte souffre depuis lors de troubles graves de la personnalité ou de phénomènes paranormaux dans son habitat, etc., il faut qu’elle prenne contact avec des chrétiens capables de discernement et de prières d’autorité au nom de Jésus.
Pourquoi vous êtes-vous intéressé au Nouvel Age en tant que pasteur ?
Très tôt, j’y ai discerné les prémices de la religion mondiale antichristique.
A l’image d’un fleuve, son courant principal du Nouvel Age a pris un essor important dans les années 70, au travers du phénomène de la contre-culture en Californie.
Timothy Leary en a été l’un des prophètes. La consommation massive de LSD a ouvert “une voie nouvelle” appelée la quatrième dimension. Sciences et religions classiques (surtout le judéo-christianisme) auraient privé l’humanité de la vraie connaissance du monde spirituel. En francophonie, c’est au milieu des années 80 que le livre de Marilyn Ferguson “Les enfants du verseau pour un nouveau paradigme” a répandu le Nouvel Age à l’image d’un incendie dans une fabrique de feux d’artifices selon les termes de l’auteur. C’est à partir de 1990 que l’ensemble des médias a abondamment parlé du Nouvel Age.
A partir de l’expérience de “la quatrième dimension”, les adeptes du Nouvel Age ont cherché à expliquer et surtout à reproduire de telles expériences au travers des psychotechniques pour passer, comme ils l’ont dit, du LSD à la psychosynthèse (modification de la conscience et du potentiel humain par une multitude d’exercices et de pratiques inspirés par une spiritualité souvent orientale, voire même franchement occulte). Certains “new agers” se sont regroupés en communautés telles que celle d’Esalen de Big Sur, en Californie, ou encore celle de Findhorn, en Ecosse. Ils ont cherché à expliquer la quatrième dimension en s’appuyant sur la nouvelle physique (physique quantique) ainsi que sur certains concepts spirituels orientaux, notamment ceux du taoïsme.
Un exemple frappant est la récupération du prix Nobel de physique et de chimie (1977) Ilya Prigogine pour sa découverte de la théorie des structures dissipatives (transformation de la matière sous certaines conditions). Soumise au stress, la matière pourrait se réorganiser en un niveau supérieur d’énergie. Le chercheur israélien Aharon Katchalski, spécialiste mondial des recherches sur le cerveau, avait affirmé que le cerveau était le lieu idéal pour l’application de cette théorie. Convaincu d’un proche saut évolutif de l’humanité, il n’en fallait pas plus pour rêver! Le physicien Fritjof Capra a écrit un livre très répandu, “Le Tao de la physique” (synthèse de la physique quantique et de concepts spirituels orientaux comme matériaux de base pour la transformation de l’humanité). Cet ouvrage, ainsi que celui de Marilyn Ferguson (entre autres) ont convaincu des millions de personnes que nous allions vers des temps nouveaux (l’âge du Verseau) qui verraient l’avènement d’un nouvel être humain littéralement divinisé.
Notons en passant qu’un des affluents principaux du fleuve du Nouvel Age provient de l’astrologie, qui nous annonce le début de l’âge du Verseau pour les environs de l’an 2000. Age de paix, d’harmonie et de bonheur. C’est aussi là l’occasion d’affirmer que l’ère du christianisme touche à sa fin.
Malgré des indexes d’auteurs très fournis, les livres de Marilyn Ferguson et de Fritjof Capra ne soufflent mot d’Alice Bailey, Benjamen Creme ou David Spangler, grands représentants de la tradition parallèle. Cette tradition existe depuis des milliers d’années mais surtout depuis le début du christianisme et a toujours voulu révéler à l’humanité les vérités sur le monde spirituel au travers de cercles ésotériques, gnostiques, occultes, etc. Ce courant veut opérer la synthèse des différentes religions et courants spirituels.
Aux USA, il y a d’abord eu le courant “des transcendentalistes” au milieu du XIXe siècle, suivi de la fondation de la Société Théosophique par Helena Petrova Blawatski en 1875. La troisième présidente de ce mouvement, Alice Bailey (1880-1949), fondatrice de l’Ecole Arcane est devenue, à mes yeux, la véritable prophétesse du Nouvel Age. Elle a écrit un ouvrage en deux volumes “L’état de disciple dans le Nouvel Age” sous la dictée d’un esprit-guide nommé Djawhal Kuhl. Ce dernier, grand esprit de la Fraternité Blanche Universelle, aurait révélé à Alice Bailey l’existence d’une hiérarchie de maîtres spirituels qui dirigeraient l’humanité de façon secrète. Djwhal Kuhl aurait été lui-même l’interprète céleste de cette hiérarchie, afin de dicter à Alice Bailey le Plan qui devrait conduire l’humanité dans l’âge du Verseau. Le livre commence par une prière, “la grande invocation”, censée remplacer le “Notre Père”. Cet ouvrage affirme que le véritable Christ (cosmocentrique) - le Maîtreya, va bientôt s’incarner.
Benjamen Creme et David Spangler seraient les prophètes de ce Christ cosmocentrique. Pour Benjamen Creme, le Maîtreya vivrait déjà à Londres et se révélerait bientôt au monde entier par télépathie. Avec Alice Bailey, nous avons passé du spiritisme classique (dialogue avec les morts) au channeling du Nouvel Age (dialogue avec les esprits-guides, appelés aussi parfois les anges gardiens).
Les médias utilisent moins le terme de Nouvel Age. Cependant, les pratiques et les enseignements se répandent plus que jamais au travers d’une multitude de séminaires et d’écrits.
Au début des années 90, une faculté de l’“Université du Temps Présent” a été créée à Neuchâtel. Sa première présidente est Andrée Fauchère, auteur du livre “Il est vivant”, dicté par l’esprit de son mari, un guide valaisan décédé au cours une expédition dans l’Himalaya dans les années 80.
En 1991, la ville de Mulhouse a été décrétée première ville du Nouvel Age à l’occasion du premier festival “pour la défense de la terre, de l’homme et de l’univers”.
En 1999, deux millions d’adeptes du Nouvel Age étaient attendus à l’occasion de l’éclipse solaire du 11 août à Cornouailles, en Angleterre.
Les différentes éditions du salon “Mednat” (Médecines naturelles), qui a lieu chaque printemps à Lausanne, font en réalité la part très belle aux écrits et pratiques du Nouvel Age.
Il existe de nombreuses rencontres intitulées “Groupes de prière” fondés par Maguy Lebrun (plus de 300 groupes en France, une vingtaine en Suisse romande). Chaque groupe est constitué de dix à quinze personnes; chacun invoque sa divinité, après quoi, en appelant les esprits guides, on passe à l’imposition des mains pour la guérison physique et spirituelle.
Il existe une multitude de séminaires où l’on apprend à entrer en contact avec les esprits guides. La mouvance du Nouvel Age implique généralement la “foi” en la réincarnation. Par des “régressions spirituelles”, les esprits guides sont interrogés pour connaître les éventuelles conséquences de vies antérieures sur la vie actuelle. L’énergie cosmique joue aussi un rôle fondamental; tous nos maux seraient provoqués par un manque d’harmonie entre notre énergie personnelle et l’énergie cosmique. Il est utile de préciser que je n’ai jamais rencontré la moindre référence au Saint-Esprit.
Très souvent, le judéo-christianisme est pris à partie comme étant le plus grand obstacle à l’avènement du Nouvel Age. Jésus a dit: “Je suis le chemin, la vérité et la vie” (Jean 14, 6). Or, le Nouvel Age se veut être la synthèse de toutes les vérités. Il importe à ce titre de préciser que les “new agers” ont surtout lu la Bible à travers les théologiens libéraux adeptes d’un christianisme plutôt rationaliste. Il est vrai qu’une fois l’Ecriture épurée de tout ce qui choque la raison, je peux comprendre que cette Bible-là n’ait plus grand chose à dire à ceux qui désirent sincèrement renouer avec le monde spirituel. Pourquoi avoir classé au rang de mythologie les expériences de Paul (II Cor. 12), de l’apôtre Jean dans l’Apocalypse et de tant d’autres récits qui nous relatent des relations très claires entre le monde spirituel et les humains (Es. 6 ; Dan. 10; Zach. 3).
Le judéo-christianisme est accusé principalement d’avoir fait de l’homme le centre de la création de Dieu, alors que le Nouvel Age porte ce centre sur la Vie (monde spirituel, monde matériel, monde vivant formant un tout indissociable). En ce sens, il n’est plus question d’un Créateur. La Bible est rectifiée par des écrits comme “l’Evangile ésotérique de St Jean de Paul Le Court”, exemple parmi d’autres d’une réinterprétation New Age des textes bibliques. Jésus ne serait pas juif, mais gaulois! Ce n’est pas la première fois que l’on trouve des formes ouvertes d’antisémitisme dans ce courant. Dans une conférence donnée aux sœurs de Grandchamps dans les années 90, le chercheur et spécialiste des sectes Jean-François Mayer, de l’Université de Fribourg, a affirmé avoir lu des phrases telles que “Il faudra que les judéo-chrétiens se rallient de gré ou de force au Nouvel Age”.
William Booth, fondateur de l’Armée du Salut, a écrit à la fin du siècle passé: “Le plus grand danger du vingtième siècle sera une religion sans Saint-Esprit, des chrétiens sans Christ, le pardon sans repentance, le salut sans nouvelle naissance, la politique sans Dieu et un ciel sans enfer.”
Seul un retour à la Bible permettra à beaucoup de personnes d’éviter la séduction de la religion antichristique qui se prépare au travers du Nouvel Age.
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samedi 17 octobre 2009
Noël ?
Certains affirment que Noël est une bonne chose en soi, mais qu’elle a été pervertie par le matérialisme et le manque de maîtrise de soi. Ils exhortent les gens à “rétablir la signification religieuse de Noël”, c’est-à-dire la célébration de la naissance du Christ. Mais Noël est-elle vraiment liée à la naissance de Jésus ?
“Avant toute autre chose, il faut noter que malgré les efforts d’innombrables historiens, on n’a encore jamais démontré quel jour (...) Christ est né.”
La Bible ne dit rien sur la date de naissance de Jésus. Les écrits des “pères de l’Église” ne sont pas d’accord sur cette question. Clément d’Alexandrie (des deuxième et troisième siècles de notre ère) fait allusion à certains qui croyaient que Jésus était né un 19 ou 20 avril. D’autres préfèrent le 20 mai. D’autres encore ont choisi le 1er ou le 6 janvier, le 21 ou le 28 mars, pour ne citer que quelques dates avancées. Selon l’Encyclopédie catholique, “il n’y a pas un seul mois de l’année qui n’ait été choisi par des autorités respectables pour fixer la date de la naissance du Christ”.
Cela n’a-t-il aucune importance pour vous ?
N’est-il pas évident que si Dieu avait voulu que son peuple célèbre la naissance de Jésus Christ il en aurait fait consigner la date dans la Bible ? Rappelez-vous que la Bible renferme la date de la Pâque, qui est celle du mémorial de la mort du Christ (Exode 12:6, 14 ; 1 Corinthiens 11:23-25 ; Luc 22:7-20). Il est manifeste que Dieu ne désirait pas que l’on célèbre la naissance de son Fils Jésus. Il n’est donc pas surprenant de lire dans une encyclopédie (The New Schaff-Herzog Encyclopedia of Religious Knowledge) : “Il n’y a aucune preuve historique que le jour de la naissance de notre Seigneur ait été célébré durant la période apostolique ou les années qui l’ont suivie.”
Pourtant, les Églises de la chrétienté ont décidé de la célébrer. En 354 de notre ère, la plupart des Églises ont choisi le 25 décembre comme date de la naissance de Jésus. Pourquoi ?
Les savants fournissent deux explications du choix du 25 décembre. La première voudrait qu’il résulte du calcul effectué par un certain Hippolyte, au troisième siècle de notre ère, selon lequel Jésus serait mort le 25 mars et aurait été conçu trente-trois ans plus tôt. Si l’on ajoute neuf mois à cette dernière date, on arrive au 25 décembre pour la naissance de Jésus.
Selon la deuxième opinion, la date du 25 décembre aurait été choisie parce que ce jour-là les païens célébraient “la naissance du Soleil invincible”, le Brumalia romain. Ce jour faisait suite aux Saturnales (du 17 au 24 décembre), à l’époque du solstice d’hiver. C’est à ce moment-là de l’année que les jours commencent à allonger. Les Romains païens croyaient que Mithra, le dieu-soleil, remportait la victoire sur les ténèbres de l’hiver. Selon la Nouvelle encyclopédie catholique, ce point de vue “reste l’explication la plus plausible du choix de la date de Noël”.
À propos du 25 décembre, on peut lire dans le livre L’histoire de Noël :
“C’était en particulier le jour de fête le plus important de a religion mithriaciste qui parut, pendant un temps, rivaliser avec la foi chrétienne en tant que religion d’État de l’Empire romain. (...) L’observance du 25 décembre par les mithriacistes a sans doute influencé les autorités de l’Église quand elles ont décidé de fixer la date officielle de la naissance de notre Sauveur au 25 décembre.
“Choisir le 25 décembre comme date officielle de la Nativité consistait donc à adapter, pour servir le christianisme, une fête immémoriale et observée dans le monde entier.”
Le professeur A. H. Newman explique que les chefs religieux catholiques jugèrent approprié de faire “coïncider la naissance du Fils de Dieu avec celle du soleil”. La date de Noël résulte donc d’un compromis avec le culte païen du soleil.
Que faut-il penser des “joyeuses coutumes” rattachées à Noël, telles que l’arbre illuminé et décoré de guirlandes multicolores, du houx, du gui, de la bûche de Noël et de l’échange de cadeaux ? Sont-elles chrétiennes ?
Le professeur E.Lehmann écrivit dans l’Encyclopédie de la religion et de l’éthique : “La plupart des coutumes de Noël qui ont court actuellement en Europe, ou qui viennent du passé, ne sont pas d’authentiques coutumes chrétiennes, mais des coutumes païennes qui ont été absorbées ou tolérées par l’Église. (...) La fête de Noël a hérité ces coutumes essentiellement de deux sources : du paganisme romain et teuton.” Certaines coutumes viennent même de la Babylone antique.
Malgré cela, les Églises de la chrétienté continuent de célébrer Noël chaque année. L’origine de cette fête ne semble avoir aucune importance à leurs yeux. Apparemment, tout ce qui compte, c’est qu’il s’agit d’un moment de gaieté qui passe maintenant pour être chrétien. Répondant à une lettre qui avait été adressée aux Chevaliers de Colomb à propos de cette question, un prêtre catholique écrivit :
“L’évolution d’objets ou de fêtes utilisés ou célébrées sous une certaine forme du culte païen n’a aucune importance. Quand l’Église entreprend une œuvre missionnaire parmi un peuple, elle emprunte ordinairement ce qu’il y a de bon dans ses coutumes et dans ses habitudes, et elle lui donne une nouvelle interprétation à la lumière des enseignements du Christ. Si dans le passé quelque chose a été associé à l’erreur, l’Église donne une nouvelle instruction à ce peuple selon la révélation chrétienne et confère à l’objet ou à la coutume une nouvelle signification pour l’avenir.”
Acceptez-vous un tel raisonnement ?
L’origine de Noël n’a-t-elle vraiment “aucune importance” ? Une Église peut-elle ‘donner une nouvelle interprétation’ à quelque chose qui est païen et ainsi le rendre acceptable à Dieu et à Christ ? Que dit la Bible à ce sujet ?
Considérez le cas des Israélites que Dieu libéra de l’esclavage en Égypte et conduisit dans le “pays promis” de Canaan. Durant leur séjour en Égypte, les Israélites s’étaient familiarisés avec de nombreuses coutumes religieuses de ce pays. Les Cananéens, les habitants de leur nouveau pays, avaient, eux aussi, de nombreuses traditions religieuses. Que se serait-il passé si les Juifs avaient adapté certaines pratiques religieuses des Égyptiens et des Cananéens au culte de YaHWeH, le vrai Dieu ? YaHWeH aurait-il considéré que cela n’avait aucune importance aussi longtemps que le culte pratiqué l’honorait ?
Voyez l’opinion de Dieu à ce sujet en lisant Deutéronome 12:30, 31, où il est dit : “Prends garde à toi, (...) de peur que tu ne te renseignes au sujet de leurs dieux, en disant : ‘Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? Et moi, oui, je ferai de même.’ Tu ne devras pas faire ainsi à l’égard de Yahweh, ton Dieu.” Rappelez-vous comment Dieu a manifesté sa désapprobation envers la nation d’Israël quand ses membres adoptèrent le culte idolâtrique du veau pratiqué par les Égyptiens. Ils eurent beau affirmer que le veau représentait YaHWeH et que c’était en réalité “une fête pour Yahweh”, Yahweh dit à Moïse : “Ton peuple (...) a agi d’une manière désastreuse.” Exode 32:4, 5, 7.
Il serait bien que tous réfléchissent sérieusement à cette question. À propos des pratiques religieuses païennes, les chrétiens ont reçu ce commandement : “Ne touchez plus à la chose impure.” (2 Corinthiens 6:17). La Bible donne cette autre exhortation : “Vous étant défaits du mensonge, parlez avec vérité, chacun de vous avec son prochain.” Éphésiens 4:25.
Désirez-vous obéir à ces commandements bibliques ?
Pourriez-vous y obéir tout en participant à une célébration dont l’origine païenne est reconnue et qui suggère une date erronée pour la naissance de Jésus Christ ? Si vous agissiez ainsi, cela ne signifierait-il pas que vous aimez le plaisir plus que Dieu et sa vérité ? 2 Timothée 3:4 ; Romains 1:25.
Noël peut être une épreuve pour beaucoup. Ils savent que cette fête est teintée de paganisme et qu’elle déplaît à Dieu, mais leur famille, leurs amis ou leurs voisins y attachent beaucoup d’importance. Ils peuvent être l’objet de pressions très fortes pour les inciter à ‘faire comme tout le monde’.
Cette année, qu’indiquera cette épreuve ?
Démontrera-t-elle à tous ceux qui vous observent que votre amour pour Dieu l’emporte sur votre désir de plaire aux hommes ? N’oubliez pas que selon la Bible, c’est Yahweh Dieu que vous devez aimer et craindre par-dessus tout. Matthieu 22:37 ; Ésaïe 8:13.
Et les enfants ?
N’est-ce pas cruel de les priver de la joie que procurent les cadeaux et les divertissements de Noël ? Penser ainsi ne serait pas raisonnable.
Ce n’est pas parce que vous ne célébrez pas Noël que vous ne devez jamais faire de cadeaux à vos enfants ou à quelqu’un d’autre. On peut offrir des présents et se réjouir en famille à n’importe quel moment de l’année.
Pensez aussi aux bienfaits qu’en retirent les enfants. L’année leur offre non pas une, mais de nombreuses occasions de se réjouir. Imaginez leurs cris de joie quand leur père ou leur mère leur fait un cadeau inattendu. Comme ils leur sont reconnaissants ! C’est une nouvelle preuve de l’amour de leurs parents. Et n’est-il pas préférable que leur gratitude aille à la personne qui fait réellement le cadeau plutôt qu’à un Père Noël imaginaire ?
En revanche, les cadeaux annuels faits à l’occasion de Noël n’incitent pas à la reconnaissance. Au contraire, les gens s’attendent à en recevoir. Beaucoup sont même très offensés si on ne leur donne rien, et certains sont souvent très déçus quand on ne leur offre pas ce qu’ils souhaitaient.
Cette année, qu’est-ce que Noël signifiera pour vous ?
Sera-ce l’occasion de démontrer que votre amour pour Dieu et sa vérité est la force la plus puissante dans votre vie ? Ou bien ferez-vous un compromis avec ce que vous savez être condamné par Dieu ? Qu’est-ce que Noël signifiera pour vous ? En réalité, la réponse dépend de vous seul.
Roger Benzaken
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mercredi 12 août 2009
L'origine des fêtes catholiques
Introduction
Le livre de la Genèse est notre livre d'histoire à tous puisqu'il relate les évènements qui sont la cause même de la situation dans laquelle se trouve notre monde actuel. La Bible, au chapitre 10 verset 8 de la Genèse, parle d'un homme, Nimrod (ce qui signifie : rebelle) qui fut le premier homme puissant sur la terre. C'est lui qui construisit et régna sur des villes, entre autre, Babel (ou : Babylone). L'histoire de l'Antiquité et diverses mythologies révèlent que cet homme, sa femme Sémiramis et son fils Ninus furent divinisés et devinrent des initiateurs d'une trinité (père, mère et enfant).
Les hommes furent ensuite dispersés sur toute la terre et formèrent les différentes nations, langues et races desquelles nous sommes issus aujourd'hui (Genèse 11, versets 1 à 9). Depuis, le culte babylonien s'est répandu sur toute la terre au cours des siècles ; bien que la forme ait quelque peu changé, le fondement est resté le même. Ses rites sont parvenus jusqu'à nous, en Europe, surtout par les civilisations égyptienne et grecque. Les "divinités" changèrent de nom et d'apparence selon la langue et la culture locale. Ces rites idolâtres et superstitieux sont la base même des traditions actuelles qui imprègnent les religions et en constituent leur véritable caractère.
La plupart de nos contemporains célèbrent les fêtes religieuses sans en comprendre le sens profond ; tout en croyant plaire à Dieu dans le respect de ces traditions, ils ne font qu'observer des pratiques idolâtres provenant d'un paganisme que Dieu réprouve : les uns honorant ces fêtes d'un cœur sincère n'en sont pas moins dupés, tandis que les autres profitent de ces occasions pour donner libre cours à leurs instincts les plus bas.
Les fêtes romaines issues de ce paganisme primitif sont nombreuses, mais il en est cinq parmi les plus importantes que nous voulons examiner ici : Noël, l'Annonciation, Pâques, la Saint Jean et l'Assomption. Chacune de ces fêtes a incontestablement une origine babylonienne.
• 1 / Noël
Pourquoi cette fête a-t-elle été fixée le 25 décembre ?
L'Ecriture Sainte ne mentionne aucun jour précis de la naissance du Christ. Elle n'indique même pas l'époque de l'année où il naquit. Par contre, il est certain que cette naissance n'a en tous cas pas pu avoir lieu le 25 décembre. En effet, la naissance du Christ s'est produite à l'époque du recensement : chaque personne devait se rendre dans sa ville natale. Beaucoup avaient une longue distance à parcourir à pied ou à dos d'âne, y compris femmes et enfants. Il est donc impossible que cela ait eu lieu en plein hiver.
Si l'on suppose que l'hiver n'est pas rigoureux en Israël, on doit se souvenir des paroles du Christ : "Priez pour que votre fuite n'arrive pas en hiver" (Matthieu 24 verset 20). Or, si l'hiver est une saison qui ne permet pas de fuir, elle est encore moins propice pour que des femmes et des enfants entreprennent de longs voyages ou, comme le dit encore l'évangile de Matthieu, pour que les bergers de Bethléem paissent leurs troupeaux dans les champs en pleine nuit par un froid rigoureux. Au contraire, c'est en plein été que les bergers gardent les brebis la nuit. La nuit où Jésus fut arrêté (au printemps), il faisait tellement froid, que les gardes et Pierre se chauffaient autour d'un brasero (Luc 22, versets 55 et 56).
Pourquoi et comment l'église romaine a-t-elle fixé cette date du 25 décembre pour fêter Noël ?
On a généralement cru que cette fête avait seulement une concordance astronomique puisqu'elle correspondait à la fin de la course annuelle du soleil et au commencement du nouveau cycle. Hormis l'époque de sa célébration, ce sont également toutes les cérémonies qui accompagnent cette fête qui prouvent son origine païenne. Noël a une signification beaucoup plus profonde que le simple symbolisme se rapportant au solstice d'hiver, mais c'était surtout l'anniversaire de la naissance du faux messie babylonien, le grand libérateur.
En Egypte, le jour du solstice d'hiver était célébré en l'honneur du fils d'Isis, titre égyptien de la reine des cieux.
Bien avant l'ère chrétienne, les païens célébraient une fête à cette époque de l'année en l'honneur de la naissance du fils de la reine de Babylone. Or, pour augmenter le nombre des païens adhérant de nom au christianisme, la même fête fut adopté par l'Eglise romaine.
Nombre de rites babyloniens ont leur similitude dans la fête de Noël :
• Les bougies qu'on allume la veille de Noël et qui doivent rester allumées pendant les fêtes correspondent au culte du dieu babylonien dont la naissance était célébrée dès la veille en illuminant ses autels.
• L'arbre de Noël qui est si commun dans nos traditions occidentales était également connu dans la Rome païenne. En Egypte, c'était un palmier symbolisant le messie païen. C'était un principe essentiel du système babylonien que le soleil ou Baal était objet favori du culte, incarnation du soleil.
On retrouve donc la signification de la bûche que l'on mettait au feu la veille de Noël et qui, le lendemain, était devenue l'arbre de Noël. Or, la bûche symbolise le tronc mort de Nimrod déifié en tant que dieu soleil, mais renversé par ses ennemis. L'arbre de Noël n'est donc rien d'autre que l'honneur rendu à Nimrod, le dieu mis à mort et rendu à la vie.
La branche de gui de la superstition druidique venait aussi de Babylone et représentait ce faux messie "homme branche", gage de la réconciliation entre Dieu et les hommes : cette branche divine venait du ciel, portée par un arbre qui, lui, sortait de la terre. En greffant la branche céleste sur un arbre terrestre, le ciel et la terre séparés par le péché se trouvaient alors réunis, réconciliés. De même l'oie de Noël (aujourd'hui la dinde) et les gâteux (bûches de Noël) étaient des éléments essentiels au culte babylonien tel qu'il était pratiqué en Egypte et à Rome. Il est donc clair que le christianisme s'est simplement approprié tous ces rites païens.
• 2 / L'Annonciation
La grande fête du calendrier romain qui suit Noël est l'Annonciation, et la date fixée pour cette fête confirme ce qui vient d'être dit. Cette fête se célèbre le 25 mars, en souvenir, dit-on, de la conception miraculeuse du Messie dans le sein de la vierge, le jour où l'ange vint lui annoncer l'honneur qui lui serait accordé d'être la mère du Sauveur du monde (Luc 1 verset 31). Mais qui peut certifier l'époque à laquelle cette annonce lui fût faite ? L'Ecriture ne nous donne aucune indication car cela a, en fait, peu d'importance. Ce jour, indiqué dans le calendrier papal comme étant l'annonciation de la vierge, existait bien avant la conception et la naissance du Christ. C'était, en effet, un jour de fête dans la Rome païenne en l'honneur de Cybèle, déesse romaine qui n'est autre que la mère du messie babylonien.
Il est d'ailleurs évident qu'il existe une relation étroite entre le jour de Noël et celui de l'annonciation. Entre le 25 mars et le 25 décembre suivant, il y a exactement 9 mois. Par conséquent, si le faux messie fût conçu en mars et naquit en décembre, peut-on croire un seul instant que la conception et la naissance du véritable Messie ait pu s'accorder aussi exactement avec ces deux dates, non seulement en ce qui concerne le mois, mais qui plus est pour le jour ? Qui pourrait croire à une telle probabilité ? C'est absolument impossible, ce qui prouve là encore que l'Annonciation et Noël sont donc bien des fêtes babyloniennes.
• 3 / Pâques
Les quarante jours de jeûne du carême ont été directement empruntés aux adorateurs de la déesse babylonienne. Le jeûne égyptien de quarante jours était expressément pratiqué en souvenir d'Adonis (ou Osiris), le grand dieu médiateur. Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection du dieu Tammouz, par des larmes et des réjouissances (voir Ezéchiel 8 verset 14). A l'origine, même à Rome, on ne connaissait pas le carême avec les orgies du carnaval qui le précédaient.
Lorsque le culte d'Astarté (nom cananéen de la déesse babylonienne Ishtar) devint prépondérant, on prit des mesures pour faire observer le jeûne chaldéen de 6 semaines (soit 40 jours) dans tout l'empire romain d'Occident. La voie fut préparée par le Concile tenu à Aurélia vers l'année 519, qui décréta que le carême serait solennellement observé avant Pâques. Les galettes chaudes marquées d'une croix le vendredi saint et les œufs coloriés figuraient dans les rites chaldéens, exactement comme ils le sont encore aujourd'hui en Occident. Le prophète Jérémie mentionne ce genre d'offrande quand il dit : "Les enfants apportaient du bois, les pères allumaient le feu, et les femmes pétrissaient la pâte pour offrir des gâteaux à la reine du ciel" (Jérémie 7 verset 18).
L'origine des œufs de Pâques est tout aussi claire. Les anciens druides portaient un œuf comme emblème sacré de leur ordre. Dans les mystères de Bacchus, tels qu'on les célébrait à Athènes, la consécration d'un œuf formait une partie de la cérémonie nocturne. La vraie Pâques est une fête juive célébrée le 14ème jour du premier mois du calendrier juif, au cours de laquelle un agneau était immolé, rôti et mangé.
Jésus est mort ce jour-là, en accomplissement des prophéties, et Il est ressuscité 3 jours et 3 nuits plus tard ; c'est à dire le 1er jour de la semaine (dimanche matin). Il n'y a pas de fête de Pâques dans le Nouveau Testament.
• 4 / La Saint Jean
Jean-Baptiste était né 6 mois avant le Sauveur. La fête païenne du solstice d'hiver ayant déjà été consacrée au jour de la naissance de Jésus, il fallait forcément fixer la date de son précurseur par rapport à cette date. Entre le 24 juin (solstice d'été) et le 24 décembre (solstice d'hiver), il y a exactement 6 mois. Les feux de la Saint-Jean où les jeunes et les vieux doivent marcher sur les cendres chaudes remontent jusqu'au premier des mortels qui a régné : Nimrod.
Si du temps des druides, on attendait des bénédictions du feu qu'on allumait en y faisant passer des jeunes gens et des vieillards ou du bétail, c'était simplement parce que l'on croyait purifier ainsi les souillures du péché inhérent à tous les êtres humains. Si Tammuz était le même dieu que Zoroastre, le dieu des anciens adorateurs du feu, et si la fête de ce dieu à Babylone correspondait si exactement à la nativité de Saint-Jean, quoi d'étonnant que cette fête soit encore célébrée par les feux de Baal et qu'elle présente encore une image si fidèle de ce que l'Eternel condamnait autrefois chez son peuple qui sacrifiait ses enfants en les immolant par le feu du dieu Moloc ? (Deutéronome 18 verset 10).
Quel homme, s'il connaît un peu l'Evangile, pourrait qualifier de "chrétienne" une telle fête ? Les prêtres de Rome, même s'ils ne l'enseignent pas ouvertement, trompent du moins leurs adeptes en leur laissant croire, aussi assidûment que le croyaient les païens adorateur du feu, que le feu peut purifier des souillures du péché. Beaucoup pratiquent cette tradition sans même connaître son origine, ni son sens véritable. Comment peut-on accepter la pratique de tels rites qui allaient alors jusqu'au sacrifice d'enfants innocents ?
Seul le sang de Jésus Christ nous purifie du péché (1ère lettre de Jean, chapitre 1, verset 7).
• 5 / L'Assomption
Il faut souligner que cette fête, instituée par la papauté, a été établie au XIXème siècle, qui a la réputation d'avoir été le siècle de lumière. Voici cette doctrine : la Vierge Marie, dit-on, n'a point connu la corruption et fut élevée au ciel où elle est maintenant, et en tant que co-rédemptrice.
Il n'y a pourtant aucun fondement d'une telle doctrine dans l'Ecriture Sainte. Quelle en est donc l'origine ?
Dans le système babylonien, c'était une fable déjà toute préparée. On y enseigne que le dieu Bacchus descendit en enfer, arracha sa mère aux puissances infernales et l'emporta avec lui en triomphe dans les airs. Cette légende s'est répandue partout où le système babylonien s'est implanté. La fête de l'Assomption est célébrée dans l'église romaine le 15 août. Or, lorsque la mère du messie païen fut célébrée à cause de cette "assomption", elle fut adorée comme l'incarnation de l'Esprit de Dieu. Elle fut considérée comme la source de toute sainteté, la grande purificatrice et naturellement, elle fut reconnue elle-même comme la mère pure et sans tâche. Ce n'est qu'en suivant dans ses conséquences logiques la doctrine païenne déjà adoptée et mélangée avec tout le système de Rome que ce décret a été lancé et que la madone romaine a été formellement appelée, dans le sens le plus complet du mot, "vierge immaculée".
Extraits du livre de Alexander Hislop « Les 2 Babylones ».
Peut-on encore douter que la madone de Rome avec l'enfant dans ses bras et la madone de Babylone ne soient qu'une seule et même déesse ?
Celle-ci n'a rien à voir avec l'humble jeune fille (Myriam ou Marie en français) qu'était la mère de Jésus. On sait fort bien que la madone romaine est un grand sujet de culte. La Parole de Dieu n'a-t-elle pas condamné dans les termes les plus énergiques la Babylone du Nouveau Testament ? N'a-t-elle pas déclaré que ceux qui participent aux péchés de Babylone participeront aussi à ses châtiments ? (Apocalypse 18 verset 4). Le péché d'idolâtrie est en général considéré comme une faute légère, mais ce n'est pas ainsi que Dieu lui-même le considère.
De tous les commandements, le second est accompagné des menaces les plus terribles par son effraction :
"Tu ne te feras pas d'image taillée ni aucune représentation des choses qui sont là-haut dans le ciel, ici-bas sur la terre et dans les eaux plus bas que la terre, tu ne te prosterneras pas devant elles et tu ne les serviras pas, car moi, l'Eternel ton Dieu, je suis un Dieu jaloux qui punis la méchanceté des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent et qui fait miséricorde jusqu'à mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements" (Exode 20 verset 4).
Ces paroles viennent de la bouche même de Dieu, elles ont été écrites par la main même de Dieu sur la pierre, non pas seulement pour la race d'Abraham, mais pour toutes les tribus et toutes les générations de la terre.
Dieu, dans le Nouveau Testament, ne demande nullement d'observer les fêtes, car toute la loi a été abolie en Jésus-Christ (Epitre aux Galates, chapitre 4, verset 10 et épitre aux Colossiens, chapitre 2, verset 16).
"Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et une vraie tromperie ; s'appuyant sur la tradition des hommes, sur les principes élémentaires du monde et non sur Christ. Car en Lui habite corporellement toute la plénitude de la Divinité. Vous avez tout pleinement en Lui qui est le chef de toute domination et de toute autorité". (Epitre aux Colossiens, chapitre 2, versets 8 à 10)
Par contre, Dieu attend de nous une confiance et une obéissance totale. Voici ce que l'apôtre Paul disait aux philosophes d'Athènes :
"Le Dieu qui a fait ce monde et tout ce qui s'y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n'habite pas dans des temples faits de main d'homme. Il n'est point servi par des mains humaines comme s'Il avait besoin de quoi que ce soit, Lui qui donne à tous la vie, la respiration et toutes choses. Il a fait que tous les hommes, sortis d'un seul sang, habitent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure… Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils ont à se repentir, parce qu'Il a fixé un jour où Il jugera le monde selon la justice par l'homme qu'Il a désigné (Jésus-Christ), ce dont Il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts" (Actes, chapitre 17, versets 24 à 31).
Cher lecteur,
Dieu vous invite aujourd'hui même à renoncer à toutes pratique inutile et trompeuse, à toute superstition, à toute idolâtrie, pour vous faire pénétrer dans la Réalité qui se trouve dans la personne de Jésus-Christ, le seul Seigneur.
Même si vous ne vous sentez pas concerné par ces choses, sachez que l'homme est religieux par nature, y compris les athées qui placent leur foi dans la science, la technologie, la politique, l'argent, … Il y a dans le cœur de l'homme un vide que Dieu seul peut combler.
Les religions sont terrestres, fondées par l'homme et donc impuissantes pour nous conduire au ciel. Le Salut, par contre, vient de Dieu, c'est Jésus le Vrai Messie. Il est l'unique remède à tous les maux de l'humanité. Il est mort pour nos péchés et Il est ressuscité. En Lui, nous avons le pardon de nos fautes et la Vie Eternelle qu'Il offre gratuitement à tous ceux qui l'acceptent. Alors, à vous de choisir !
Le livre de la Genèse est notre livre d'histoire à tous puisqu'il relate les évènements qui sont la cause même de la situation dans laquelle se trouve notre monde actuel. La Bible, au chapitre 10 verset 8 de la Genèse, parle d'un homme, Nimrod (ce qui signifie : rebelle) qui fut le premier homme puissant sur la terre. C'est lui qui construisit et régna sur des villes, entre autre, Babel (ou : Babylone). L'histoire de l'Antiquité et diverses mythologies révèlent que cet homme, sa femme Sémiramis et son fils Ninus furent divinisés et devinrent des initiateurs d'une trinité (père, mère et enfant).
Les hommes furent ensuite dispersés sur toute la terre et formèrent les différentes nations, langues et races desquelles nous sommes issus aujourd'hui (Genèse 11, versets 1 à 9). Depuis, le culte babylonien s'est répandu sur toute la terre au cours des siècles ; bien que la forme ait quelque peu changé, le fondement est resté le même. Ses rites sont parvenus jusqu'à nous, en Europe, surtout par les civilisations égyptienne et grecque. Les "divinités" changèrent de nom et d'apparence selon la langue et la culture locale. Ces rites idolâtres et superstitieux sont la base même des traditions actuelles qui imprègnent les religions et en constituent leur véritable caractère.
La plupart de nos contemporains célèbrent les fêtes religieuses sans en comprendre le sens profond ; tout en croyant plaire à Dieu dans le respect de ces traditions, ils ne font qu'observer des pratiques idolâtres provenant d'un paganisme que Dieu réprouve : les uns honorant ces fêtes d'un cœur sincère n'en sont pas moins dupés, tandis que les autres profitent de ces occasions pour donner libre cours à leurs instincts les plus bas.
Les fêtes romaines issues de ce paganisme primitif sont nombreuses, mais il en est cinq parmi les plus importantes que nous voulons examiner ici : Noël, l'Annonciation, Pâques, la Saint Jean et l'Assomption. Chacune de ces fêtes a incontestablement une origine babylonienne.
• 1 / Noël
Pourquoi cette fête a-t-elle été fixée le 25 décembre ?
L'Ecriture Sainte ne mentionne aucun jour précis de la naissance du Christ. Elle n'indique même pas l'époque de l'année où il naquit. Par contre, il est certain que cette naissance n'a en tous cas pas pu avoir lieu le 25 décembre. En effet, la naissance du Christ s'est produite à l'époque du recensement : chaque personne devait se rendre dans sa ville natale. Beaucoup avaient une longue distance à parcourir à pied ou à dos d'âne, y compris femmes et enfants. Il est donc impossible que cela ait eu lieu en plein hiver.
Si l'on suppose que l'hiver n'est pas rigoureux en Israël, on doit se souvenir des paroles du Christ : "Priez pour que votre fuite n'arrive pas en hiver" (Matthieu 24 verset 20). Or, si l'hiver est une saison qui ne permet pas de fuir, elle est encore moins propice pour que des femmes et des enfants entreprennent de longs voyages ou, comme le dit encore l'évangile de Matthieu, pour que les bergers de Bethléem paissent leurs troupeaux dans les champs en pleine nuit par un froid rigoureux. Au contraire, c'est en plein été que les bergers gardent les brebis la nuit. La nuit où Jésus fut arrêté (au printemps), il faisait tellement froid, que les gardes et Pierre se chauffaient autour d'un brasero (Luc 22, versets 55 et 56).
Pourquoi et comment l'église romaine a-t-elle fixé cette date du 25 décembre pour fêter Noël ?
On a généralement cru que cette fête avait seulement une concordance astronomique puisqu'elle correspondait à la fin de la course annuelle du soleil et au commencement du nouveau cycle. Hormis l'époque de sa célébration, ce sont également toutes les cérémonies qui accompagnent cette fête qui prouvent son origine païenne. Noël a une signification beaucoup plus profonde que le simple symbolisme se rapportant au solstice d'hiver, mais c'était surtout l'anniversaire de la naissance du faux messie babylonien, le grand libérateur.
En Egypte, le jour du solstice d'hiver était célébré en l'honneur du fils d'Isis, titre égyptien de la reine des cieux.
Bien avant l'ère chrétienne, les païens célébraient une fête à cette époque de l'année en l'honneur de la naissance du fils de la reine de Babylone. Or, pour augmenter le nombre des païens adhérant de nom au christianisme, la même fête fut adopté par l'Eglise romaine.
Nombre de rites babyloniens ont leur similitude dans la fête de Noël :
• Les bougies qu'on allume la veille de Noël et qui doivent rester allumées pendant les fêtes correspondent au culte du dieu babylonien dont la naissance était célébrée dès la veille en illuminant ses autels.
• L'arbre de Noël qui est si commun dans nos traditions occidentales était également connu dans la Rome païenne. En Egypte, c'était un palmier symbolisant le messie païen. C'était un principe essentiel du système babylonien que le soleil ou Baal était objet favori du culte, incarnation du soleil.
On retrouve donc la signification de la bûche que l'on mettait au feu la veille de Noël et qui, le lendemain, était devenue l'arbre de Noël. Or, la bûche symbolise le tronc mort de Nimrod déifié en tant que dieu soleil, mais renversé par ses ennemis. L'arbre de Noël n'est donc rien d'autre que l'honneur rendu à Nimrod, le dieu mis à mort et rendu à la vie.
La branche de gui de la superstition druidique venait aussi de Babylone et représentait ce faux messie "homme branche", gage de la réconciliation entre Dieu et les hommes : cette branche divine venait du ciel, portée par un arbre qui, lui, sortait de la terre. En greffant la branche céleste sur un arbre terrestre, le ciel et la terre séparés par le péché se trouvaient alors réunis, réconciliés. De même l'oie de Noël (aujourd'hui la dinde) et les gâteux (bûches de Noël) étaient des éléments essentiels au culte babylonien tel qu'il était pratiqué en Egypte et à Rome. Il est donc clair que le christianisme s'est simplement approprié tous ces rites païens.
• 2 / L'Annonciation
La grande fête du calendrier romain qui suit Noël est l'Annonciation, et la date fixée pour cette fête confirme ce qui vient d'être dit. Cette fête se célèbre le 25 mars, en souvenir, dit-on, de la conception miraculeuse du Messie dans le sein de la vierge, le jour où l'ange vint lui annoncer l'honneur qui lui serait accordé d'être la mère du Sauveur du monde (Luc 1 verset 31). Mais qui peut certifier l'époque à laquelle cette annonce lui fût faite ? L'Ecriture ne nous donne aucune indication car cela a, en fait, peu d'importance. Ce jour, indiqué dans le calendrier papal comme étant l'annonciation de la vierge, existait bien avant la conception et la naissance du Christ. C'était, en effet, un jour de fête dans la Rome païenne en l'honneur de Cybèle, déesse romaine qui n'est autre que la mère du messie babylonien.
Il est d'ailleurs évident qu'il existe une relation étroite entre le jour de Noël et celui de l'annonciation. Entre le 25 mars et le 25 décembre suivant, il y a exactement 9 mois. Par conséquent, si le faux messie fût conçu en mars et naquit en décembre, peut-on croire un seul instant que la conception et la naissance du véritable Messie ait pu s'accorder aussi exactement avec ces deux dates, non seulement en ce qui concerne le mois, mais qui plus est pour le jour ? Qui pourrait croire à une telle probabilité ? C'est absolument impossible, ce qui prouve là encore que l'Annonciation et Noël sont donc bien des fêtes babyloniennes.
• 3 / Pâques
Les quarante jours de jeûne du carême ont été directement empruntés aux adorateurs de la déesse babylonienne. Le jeûne égyptien de quarante jours était expressément pratiqué en souvenir d'Adonis (ou Osiris), le grand dieu médiateur. Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection du dieu Tammouz, par des larmes et des réjouissances (voir Ezéchiel 8 verset 14). A l'origine, même à Rome, on ne connaissait pas le carême avec les orgies du carnaval qui le précédaient.
Lorsque le culte d'Astarté (nom cananéen de la déesse babylonienne Ishtar) devint prépondérant, on prit des mesures pour faire observer le jeûne chaldéen de 6 semaines (soit 40 jours) dans tout l'empire romain d'Occident. La voie fut préparée par le Concile tenu à Aurélia vers l'année 519, qui décréta que le carême serait solennellement observé avant Pâques. Les galettes chaudes marquées d'une croix le vendredi saint et les œufs coloriés figuraient dans les rites chaldéens, exactement comme ils le sont encore aujourd'hui en Occident. Le prophète Jérémie mentionne ce genre d'offrande quand il dit : "Les enfants apportaient du bois, les pères allumaient le feu, et les femmes pétrissaient la pâte pour offrir des gâteaux à la reine du ciel" (Jérémie 7 verset 18).
L'origine des œufs de Pâques est tout aussi claire. Les anciens druides portaient un œuf comme emblème sacré de leur ordre. Dans les mystères de Bacchus, tels qu'on les célébrait à Athènes, la consécration d'un œuf formait une partie de la cérémonie nocturne. La vraie Pâques est une fête juive célébrée le 14ème jour du premier mois du calendrier juif, au cours de laquelle un agneau était immolé, rôti et mangé.
Jésus est mort ce jour-là, en accomplissement des prophéties, et Il est ressuscité 3 jours et 3 nuits plus tard ; c'est à dire le 1er jour de la semaine (dimanche matin). Il n'y a pas de fête de Pâques dans le Nouveau Testament.
• 4 / La Saint Jean
Jean-Baptiste était né 6 mois avant le Sauveur. La fête païenne du solstice d'hiver ayant déjà été consacrée au jour de la naissance de Jésus, il fallait forcément fixer la date de son précurseur par rapport à cette date. Entre le 24 juin (solstice d'été) et le 24 décembre (solstice d'hiver), il y a exactement 6 mois. Les feux de la Saint-Jean où les jeunes et les vieux doivent marcher sur les cendres chaudes remontent jusqu'au premier des mortels qui a régné : Nimrod.
Si du temps des druides, on attendait des bénédictions du feu qu'on allumait en y faisant passer des jeunes gens et des vieillards ou du bétail, c'était simplement parce que l'on croyait purifier ainsi les souillures du péché inhérent à tous les êtres humains. Si Tammuz était le même dieu que Zoroastre, le dieu des anciens adorateurs du feu, et si la fête de ce dieu à Babylone correspondait si exactement à la nativité de Saint-Jean, quoi d'étonnant que cette fête soit encore célébrée par les feux de Baal et qu'elle présente encore une image si fidèle de ce que l'Eternel condamnait autrefois chez son peuple qui sacrifiait ses enfants en les immolant par le feu du dieu Moloc ? (Deutéronome 18 verset 10).
Quel homme, s'il connaît un peu l'Evangile, pourrait qualifier de "chrétienne" une telle fête ? Les prêtres de Rome, même s'ils ne l'enseignent pas ouvertement, trompent du moins leurs adeptes en leur laissant croire, aussi assidûment que le croyaient les païens adorateur du feu, que le feu peut purifier des souillures du péché. Beaucoup pratiquent cette tradition sans même connaître son origine, ni son sens véritable. Comment peut-on accepter la pratique de tels rites qui allaient alors jusqu'au sacrifice d'enfants innocents ?
Seul le sang de Jésus Christ nous purifie du péché (1ère lettre de Jean, chapitre 1, verset 7).
• 5 / L'Assomption
Il faut souligner que cette fête, instituée par la papauté, a été établie au XIXème siècle, qui a la réputation d'avoir été le siècle de lumière. Voici cette doctrine : la Vierge Marie, dit-on, n'a point connu la corruption et fut élevée au ciel où elle est maintenant, et en tant que co-rédemptrice.
Il n'y a pourtant aucun fondement d'une telle doctrine dans l'Ecriture Sainte. Quelle en est donc l'origine ?
Dans le système babylonien, c'était une fable déjà toute préparée. On y enseigne que le dieu Bacchus descendit en enfer, arracha sa mère aux puissances infernales et l'emporta avec lui en triomphe dans les airs. Cette légende s'est répandue partout où le système babylonien s'est implanté. La fête de l'Assomption est célébrée dans l'église romaine le 15 août. Or, lorsque la mère du messie païen fut célébrée à cause de cette "assomption", elle fut adorée comme l'incarnation de l'Esprit de Dieu. Elle fut considérée comme la source de toute sainteté, la grande purificatrice et naturellement, elle fut reconnue elle-même comme la mère pure et sans tâche. Ce n'est qu'en suivant dans ses conséquences logiques la doctrine païenne déjà adoptée et mélangée avec tout le système de Rome que ce décret a été lancé et que la madone romaine a été formellement appelée, dans le sens le plus complet du mot, "vierge immaculée".
Extraits du livre de Alexander Hislop « Les 2 Babylones ».
Peut-on encore douter que la madone de Rome avec l'enfant dans ses bras et la madone de Babylone ne soient qu'une seule et même déesse ?
Celle-ci n'a rien à voir avec l'humble jeune fille (Myriam ou Marie en français) qu'était la mère de Jésus. On sait fort bien que la madone romaine est un grand sujet de culte. La Parole de Dieu n'a-t-elle pas condamné dans les termes les plus énergiques la Babylone du Nouveau Testament ? N'a-t-elle pas déclaré que ceux qui participent aux péchés de Babylone participeront aussi à ses châtiments ? (Apocalypse 18 verset 4). Le péché d'idolâtrie est en général considéré comme une faute légère, mais ce n'est pas ainsi que Dieu lui-même le considère.
De tous les commandements, le second est accompagné des menaces les plus terribles par son effraction :
"Tu ne te feras pas d'image taillée ni aucune représentation des choses qui sont là-haut dans le ciel, ici-bas sur la terre et dans les eaux plus bas que la terre, tu ne te prosterneras pas devant elles et tu ne les serviras pas, car moi, l'Eternel ton Dieu, je suis un Dieu jaloux qui punis la méchanceté des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent et qui fait miséricorde jusqu'à mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements" (Exode 20 verset 4).
Ces paroles viennent de la bouche même de Dieu, elles ont été écrites par la main même de Dieu sur la pierre, non pas seulement pour la race d'Abraham, mais pour toutes les tribus et toutes les générations de la terre.
Dieu, dans le Nouveau Testament, ne demande nullement d'observer les fêtes, car toute la loi a été abolie en Jésus-Christ (Epitre aux Galates, chapitre 4, verset 10 et épitre aux Colossiens, chapitre 2, verset 16).
"Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et une vraie tromperie ; s'appuyant sur la tradition des hommes, sur les principes élémentaires du monde et non sur Christ. Car en Lui habite corporellement toute la plénitude de la Divinité. Vous avez tout pleinement en Lui qui est le chef de toute domination et de toute autorité". (Epitre aux Colossiens, chapitre 2, versets 8 à 10)
Par contre, Dieu attend de nous une confiance et une obéissance totale. Voici ce que l'apôtre Paul disait aux philosophes d'Athènes :
"Le Dieu qui a fait ce monde et tout ce qui s'y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n'habite pas dans des temples faits de main d'homme. Il n'est point servi par des mains humaines comme s'Il avait besoin de quoi que ce soit, Lui qui donne à tous la vie, la respiration et toutes choses. Il a fait que tous les hommes, sortis d'un seul sang, habitent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure… Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils ont à se repentir, parce qu'Il a fixé un jour où Il jugera le monde selon la justice par l'homme qu'Il a désigné (Jésus-Christ), ce dont Il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts" (Actes, chapitre 17, versets 24 à 31).
Cher lecteur,
Dieu vous invite aujourd'hui même à renoncer à toutes pratique inutile et trompeuse, à toute superstition, à toute idolâtrie, pour vous faire pénétrer dans la Réalité qui se trouve dans la personne de Jésus-Christ, le seul Seigneur.
Même si vous ne vous sentez pas concerné par ces choses, sachez que l'homme est religieux par nature, y compris les athées qui placent leur foi dans la science, la technologie, la politique, l'argent, … Il y a dans le cœur de l'homme un vide que Dieu seul peut combler.
Les religions sont terrestres, fondées par l'homme et donc impuissantes pour nous conduire au ciel. Le Salut, par contre, vient de Dieu, c'est Jésus le Vrai Messie. Il est l'unique remède à tous les maux de l'humanité. Il est mort pour nos péchés et Il est ressuscité. En Lui, nous avons le pardon de nos fautes et la Vie Eternelle qu'Il offre gratuitement à tous ceux qui l'acceptent. Alors, à vous de choisir !
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mardi 30 juin 2009
Les jésuites
SERMENTS ET INSTRUCTION SECRETES DES JESUITES
I LES INSTRUCTIONS SECRETES DES JESUITES
Les «MONITA secreta» publiées en 1879 par Adolphe MICHEL, Paris. Avouées par le Jésuite Gretzer.
Ces instructions font toujours autorité quant à leur enseignement, mais sont évidemment adaptées au siècle présent dans leur rédaction.
Les 17 chapitres se composent de :
5 chapitres de règles de conduite envers le peuple, les gouvernements, les personnes influentes ou riches et envers les religieux d’autres ordres, pour préparer leur soumission à la Compagnie de Jésus (Jésuites).
5 chapitres d’enseignements pour soutirer des biens terrestres aux veuves, aux religieuses héritières et aux personnes riches, puis pour la dissimulation de cet amour pour l’argent.
3 chapitres pour la discipline et la progression de la société des Jésuites.
2 chapitres de mesures d’inquisition envers les Jésuites congédiés et les ennemis.
1 chapitre d’instructions pour attirer les jeunes et les inciter à devenir membres, et également,
1 chapitre de recommandations aux confesseurs et prédicateurs des grands pour le service d’espionnage foncier, religieux et politique.
En voici seulement quelques extraits révélateurs :
Leurs ruses :
Chap.III/3 : Il faut se servir de ceux qui sont de grande autorité dans l’Etat pour adoucir les personnes viles et la populace contraire à notre Société.
Chap. III/3 : Là, où ceux des académies nous sont hostiles; là, où les catholiques ou les hérétiques empêchent les fondations, il faut agir par les prélats et occuper les premières chaires : car ainsi il arrivera que la Société fera connaître, au moins à l’occasion, ses nécessités et ses besoins.
Leur appétit de l’argent :
Chap. IX/1 : ... que les confesseurs des princes, des grands, des veuves et des autres de qui notre Compagnie peut beaucoup espérer... ne laissent échapper aucune occasion de recevoir, quand on leur offre. Que si on a promis et l’on diffère, il faut prudemment en faire ressouvenir, en dissimulant, autant qu’il est possible, l’envie que l’on a d’être riche.
Leur politique :
Chap. XVII/3 : Il faut faire goûter aux rois et aux princes cette doctrine, que la foi catholique ne peut subsister dans l’état présent sans politique.
Chap. XVII/8 : ... il faudra changer de politique selon le temps et exciter tous les princes amis des nôtres à se faire mutuellement de terribles guerres, afin que l’on implore partout le secours de la Société (Jésuites)...
Leur domination :
Chap. II/1 : Il faut faire tous nos efforts pour gagner partout l’oreille et l’esprit des princes et des personnes les plus considérables, afin que personne n’ose s’élever contre nous, mais au contraire, que tous soient obligés de dépendre de nous.
Leur inquisition :
Chap. XI/7 : ... que l’on exténue par des propositions subtiles et des paroles ambiguës les vertus et les actions que l’on loue, jusqu’à ce que l’estime que l’on en faisait et la foi que l’on y ajoutait soient diminuées; car il importe tout à fait à la Société que ceux qu’elle a mis dehors, et principalement ceux qui l’ont abandonnée de leur bon gré, soient entièrement supprimés.
En conclusion : où trouve-t-on dans tous ces procédés l’esprit de Jésus, dont les Jésuites accaparent le nom en voulant être ses imitateurs ?
II LE SERMENT SECRET DES JESUITES
Cérémonie d’installation et de prestation de l’extrême-serment des Jésuites* : dont les détails ont été révélé par l'ex Jésuite Alberto Riviera (voir "La double croix" chez Chick Publicaton).
(*Cérémonie par laquelle on élève un jésuite de rang inférieur à une position d’autorité.)
Paroles du supérieur :
Mon fils, jusqu’ici vous avez appris à agir avec dissimulation, afin de ne servir que les intérêts de l’Eglise catholique romaine, comme tout bon soldat du pape se doit de le faire. Ainsi, vous avez appris à être catholique avec ceux qui sont catholiques et à agir en espion parmi ceux-là même qui sont vos frères.
Vous avez appris à être réformateur avec les réformateurs, huguenot avec les huguenots, calviniste avec les calvinistes et protestant avec les protestants (ceux qui s’opposent au catholicisme romain).
Vous avez appris à gagner leur confiance, en dénonçant du haut même de leurs tribunes notre très sainte religion et notre Saint-Père, le pape.
Vous avez appris à vous abaisser au point de devenir juif avec les juifs, afin d’être en mesure de maintenir l’Eglise bien au courant de toutes leurs activités.
Vous avez appris à semer secrètement la discorde et la haine entres des peuples amis, afin de provoquer des guerres sanglantes qui soient profitables à l’Eglise.
Vous avez appris à créer le désordre à l’intérieur de différents Etats, afin de mettre fin à leur prospérité et à leur indépendance politique, religieuse, culturelle et financière.
Vous avez appris à prendre une part active à leurs conflits et à agir de concert avec ceux d’entre vos frères jésuites qui œuvrent au sein des camps opposés, afin de favoriser la réussite de la mission que l’Eglise leur a confiée comme à vous de manière à ce que l’Eglise soit gagnante dans tout ce qui se décide entre les peuples de la terre; car, comme vous le savez, la fin justifie les moyens.
Vous avez appris à vous infiltrer dans tous les milieux, et à recueillir le plus de renseignements possibles sur les activités de tous.
Vous avez appris à faire l’impossible pour pénétrer au sein même de la vie familiale des protestants et des hérétiques de toutes sortes et de toutes classes.
Vous avez appris à vous infiltrer chez les commerçants, les financiers, les hommes de loi... dans les universités, les législatures, les gouvernements, les magistratures et les conseils d’Etat...
Vous avez appris à vous faire tout à tous, pour l’amour du pape, dont nous sommes les serviteurs jusqu’à la mort.
Jusqu’ici, vous avez reçu vos instructions en tant que novice (ne possédant aucune formation), en tant que néophyte (qui vient d’être nommé prêtre), et vous avez travaillé en tant qu’assistant, de confesseur et de prêtre.
Mais vous n’avez pas encore été investi des pouvoirs qui vous permettront de servir le pape en dirigeant au sein de l’armée de Loyola (fondateur des Jésuites).
Vous devez d’abord agir à titre d’instrument, à titre d’exécuteur, selon les ordres de vos supérieurs et durant un terme déterminé... car celui qui dirige doit avoir consacré ses labeurs par le sang des hérétiques, puisque sans effusion de sang aucun homme ne peut être sauvé.
Dans le but de vous préparer pour votre travail et d’assurer votre propre salut, vous allez ajouter à votre serment premier de fidélité à votre ordre et au pape... en répétant après moi ce qui suit... :
"Je fais le serment devant le Dieu tout-puissant, la très sainte Vierge Marie, le saint archange Michel, saint Jean-Baptiste, les saints apôtres, l’apôtre saint Pierre, l’apôtre saint Paul, les saints du ciel, je fais le serment de livrer une guerre impitoyable à tous les hérétiques et à tous les protestants, ouvertement où secrètement, et en toute occasion favorable, selon ce que l’on exigera de moi.
Je fais le serment d’utiliser tous les moyens qui se présenteront à moi pour les exterminer, et ce sans tenir compte de l’âge des victimes, de leur sexe et de leur condition.
Je fais le serment de les brutaliser, de briser leurs membres, de les faire pendre, de les faire passer par le feu, des les faire mourir pas strangulation, de les enterrer vivants, d’ouvrir le ventre de leurs femmes enceintes et d’écraser le crâne de leurs enfants, afin que leur race exécrable soit détruite à tout jamais.
Je fais le serment d’utiliser contre eux des moyens moins évidents si cela devient nécessaire, tels que l’empoisonnement, le poignard, l’arme à feu, ou toute autre arme jugée pertinente... et ce sans tenir compte du rang social ** des victimes ou de l’autorité qu’ils détiennent dans la société, et en toute obéissance à tout agent du pape ou à tout autre personne faisant partie de la direction de la Société de Jésus."
Pour un complément d'information sur les Jésuites nous renvoyons le lecteur à l'excellent livre "l'histoire secrète des Jésuites" de Edmond Paris aux éditions Fishbacher
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mardi 19 mai 2009
Quelle église choisir ?
Comment trouver une bonne église ?
Ce n'est pas l'étiquette qui fait l'église ! Une bonne église (ou un bon groupe chrétien) est une église dont les enseignements sont véritablement fondés sur la Bible, qui est conduite par l'Esprit de Dieu, et dont les membres, animés par la vie de Christ, produisent le fruit de l'Esprit.
Les Mormons, par exemple, exhibent le nom de Jésus-Christ dans le titre de leur "Eglise". Mais ce n'est pas le fait de porter le nom de Jésus- Christ qui fait d'un Mouvement une Eglise du Seigneur ! N'importe quel groupe peut inscrire le nom de Jésus-Christ sur le fronton de son bâtiment. Beaucoup le font d'ailleurs. Mais c'est ce qui se passe à l'intérieur qui compte !
Telle dénomination, ou tel groupe non rattaché à une dénomination, invoquera souvent le fait qu'elle jouit d'une bonne réputation. Mais cela ne garantit pas qu'elle soit une Eglise de Christ. Voici ce qu'il faut savoir : Est-ce que les membres de cette église possèdent la vie de Christ ? Est-ce que le Saint-Esprit demeure en eux ? Est-ce que la Bible est correctement enseignée et mise en pratique ?
Une église est composée de nombreux éléments. Tout d'abord, une église n'est pas un bâtiment, mais un groupe d'hommes et de femmes nés de nouveau, qui travaillent pour le Royaume de Dieu et recherchent la volonté du Seigneur, individuellement et collectivement. Il faut savoir si les membres d'une église sont réellement contrés sur Christ, s'ils prêchent le salut par la foi seule en l'Evangile de la grâce, et s'ils ont l'esprit de mission.
Vous devez chercher une église qui s'efforce se suivre la Bible le mieux qu'elle peut, et qui nourrit les brebis d'une bonne nourriture assurant la croissance de leur vie spirituelle. Si les brebis croissent spirituellement, l'église en fera autant.
L'église est-elle centrée sur les besoins de ses membres ? Se préoccupe-t-elle de les faire parvenir à la maturité ? Tous les membres de l'église sont-ils à l'œuvre pour rechercher des brebis perdues, ou se reposent-ils sur le travail de leur pasteur ou de leurs dirigeants ? Une bonne église fait activement participer tous ses membres à l'œuvre du ministère, même s'ils sont jeunes dans la foi. Cela soulage d'ailleurs les responsables, qui n'ont pas besoin de prendre en charge tous les problèmes qui se présentent dans l'église. Cela évite aussi de salarier de nouveaux ministères ! Car ce n'est pas ce que la Bible nous demande de faire.
Les membres de l'église doivent acquérir de la maturité, aussi bien dans leur vie personnelle que dans la compréhension des enseignements de Jésus-Christ. Nous avons besoin d'équilibre, en ce qui concerne l'exercice du ministère. Les membres d'une église ne doivent pas être attirés par des occasions "d'entrer plus tard dans le ministère". Cela ne manquera pas de causer des problèmes dans l'église. Chacun doit participer à l'œuvre du ministère.
Une bonne église enseigne les principes fondamentaux de la foi aux nouveaux convertis, et la saine doctrine à ceux qui sont mûrs (1 Timothée 4 :6, 13-16).
Une bonne église laisse à ses membres la liberté d'exercer leurs dons et leurs talents spirituels, pour l'édification de l'église (1 Thessaloniciens 5 :19-20, 1 Corinthiens, chapitres 12 à 14).
Une bonne église encourage ses membres à participer à l'œuvre du ministère, à mesure que la vie de Dieu les transforme. Elle les encourage aussi à répondre à l'appel personnel que Dieu leur adresse (1 Tim. 1 :9 ; Romains 8 :28-30 ; Ephésiens 2 :10 et 4 :12).
Si vous trouvez une église qui cherche activement à atteindre ces objectifs, vous avez probablement trouvé une bonne église ! Certes, chaque église a son style propre. Vous ne trouverez jamais deux églises enseignant les mêmes choses exactement de la même manière. Certaines églises pratiquent les dons spirituels, d'autres pas. D'autres ont une interprétation différente des événements de la fin. Cela peut faire une différence importante pour vous personnellement. Mais si vous vous rendez compte qu'une église vous donne la possibilité de croître et de servir, si ses membres manifestent réellement de l'amour, vous pourrez y trouver votre place.
Certaines églises ont recours à des instruments de musique au cours de leur culte, alors que d'autres ne le font pas. Certaines utilisent des vieux cantiques, d'autres des cantiques modernes et un autre style de musique. Là encore, tout est une question de choix et de goût personnels, quand il s'agit de trouver une église qui vous convient. L'important, c'est de savoir si les Chrétiens de cette église veulent vraiment louer et adorer le Seigneur de tout leur cœur, ou s'ils veulent "chauffer l'ambiance" ou distraire l'auditoire.
Une bonne église doit vous encourager ou vous aider à discerner les faux systèmes religieux (1 Jean 4 :1). Elle doit vous apprendre à témoigner aux adeptes de diverses religions. Elle ne doit pas croire que les gens sont libres de servir Dieu comme ils le veulent (Jude 3 ; 1 Pierre 3 :15).
Cela peut vous prendre du temps avant de choisir une église. Vous devrez sans doute prendre parfois des précautions. Il se peut que vous soyez d'abord attiré par la chaleur et le caractère amical des gens, pour vous apercevoir plus tard qu'ils croient à de fausses doctrines. Il est bon de leur demander quelles sont leur confession de foi et leur histoire.
Posez les questions nécessaires avant de vous joindre à eux. En outre, certaines confessions de foi sont imprécises. Vous devez demander des précisions si vous avez des doutes sur certaines doctrines. Méfiez-vous tout de même quand une église vous affirme que sa seule confession de foi est la Bible, et que la Bible est leur seul livre. Certaines sectes comme les Eglises Internationales de Christ l'affirment aussi !
Demandez-leur s'ils acceptent la Bible comme infaillible, et s'ils croient que Dieu l'a préservée tout au long de l'histoire. Croient-ils que Jésus est le Fils de Dieu, et qu'entendent-ils exactement par là ? Croient-ils que Jésus est pleinement Dieu et pleinement Homme ? Croient-ils qu'Il est ressuscité physiquement ?
Demandez-leur s'ils sont affiliés à un Mouvement ou à une Confédération quelconque.
Sont-ils en relation ou en communion fraternelle avec d'autres églises ou d'autres dénominations dignes de confiance ? Quels sont les livres qu'ils conseillent à leurs membres ?
De toutes manières, vous aurez besoin de sagesse. Priez pour obtenir toute la sagesse et tout le discernement dont vous aurez besoin pour la décision que vous devrez prendre (Phil. 1 :9). Ainsi, vous éviterez de passer inutilement du temps dans une église, pour vous rendre compte plus tard de certaines choses que vous auriez dû connaître avant !
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mercredi 18 mars 2009
Comment éprouver les esprits ?
Introduction :
Si nous faisons une expérience spirituelle ou si nous croyons à une prophétie donné par quelqu’un ou par nous-même, nous et l’assemblée sommes en mesure d’en connaître l’origine (de Dieu, d’un démon, ou de l’homme), par les fruits quelle porte.
Voici quelques domaines dans lesquels notre foi et notre comportement peuvent être affectés.
Matthieu 7 v 15 à 23 + 1 jean 4 v 1 à 6.
1° Relation avec Dieu !
Cette « prophétie » ou « expérience » glorifie-t-elle Dieu, ou « l’homme » ?
2° Attitude envers le Seigneur Jésus-Christ !
Un « autre Jésus » est-il prêché ? « Qui dites-vous que je suis » Prophète ou Dieu ?
3° Attitude envers la Parole de Dieu !
« Le meilleur enseignement biblique n’est pas celui qui donne le sens qu’il veut aux Ecritures, mais celui qui reçoit le sens de son enseignement des Ecritures ».
4° Effet sur la nature égocentrique !
Cette « expérience » m’a-t-elle rendu plus humble, plus petit à mes yeux, ou fait-elle naître en moi un sentiment d’autosatisfaction ?
5° Relation avec nos frères, avec l’église !
Cette « expérience » m’éloigne-t-elle de mes frères, de l’église et de la saine doctrine, ou me rapproche-t-elle de « l’exhortation protectrice » au sein de ma communauté ?
6° Attitude envers le monde !
Toute oeuvre de Dieu authentique dans nos cœurs tend à nous rendre mal à l’aise en compagnie du « monde » !
7° Attitude envers le péché !
Tout ce qui affaiblit ma haine contre le péché doit être immédiatement reconnu comme infidèle aux Ecritures !
Ralph Shallis
Si nous faisons une expérience spirituelle ou si nous croyons à une prophétie donné par quelqu’un ou par nous-même, nous et l’assemblée sommes en mesure d’en connaître l’origine (de Dieu, d’un démon, ou de l’homme), par les fruits quelle porte.
Voici quelques domaines dans lesquels notre foi et notre comportement peuvent être affectés.
Matthieu 7 v 15 à 23 + 1 jean 4 v 1 à 6.
1° Relation avec Dieu !
Cette « prophétie » ou « expérience » glorifie-t-elle Dieu, ou « l’homme » ?
2° Attitude envers le Seigneur Jésus-Christ !
Un « autre Jésus » est-il prêché ? « Qui dites-vous que je suis » Prophète ou Dieu ?
3° Attitude envers la Parole de Dieu !
« Le meilleur enseignement biblique n’est pas celui qui donne le sens qu’il veut aux Ecritures, mais celui qui reçoit le sens de son enseignement des Ecritures ».
4° Effet sur la nature égocentrique !
Cette « expérience » m’a-t-elle rendu plus humble, plus petit à mes yeux, ou fait-elle naître en moi un sentiment d’autosatisfaction ?
5° Relation avec nos frères, avec l’église !
Cette « expérience » m’éloigne-t-elle de mes frères, de l’église et de la saine doctrine, ou me rapproche-t-elle de « l’exhortation protectrice » au sein de ma communauté ?
6° Attitude envers le monde !
Toute oeuvre de Dieu authentique dans nos cœurs tend à nous rendre mal à l’aise en compagnie du « monde » !
7° Attitude envers le péché !
Tout ce qui affaiblit ma haine contre le péché doit être immédiatement reconnu comme infidèle aux Ecritures !
Ralph Shallis
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jeudi 5 février 2009
L'astrologie
ASTROLOGUES ET FOI CHRETIENNE
par Paul BALLIERE
Cela peut paraître surprenant, mais les astrologues, dans leur immense majorité, se disent "chrétiens", au sens large du terme. Est-il permis de qualifier l'astrologie de "chrétienne" ? On appelle "chrétien" quelqu'un qui croit à l'enseignement de Jésus-Christ et de ses apôtres. Cet enseignement est, dans son essence même, historique et biblique. Si quelqu'un s'écarte de la doctrine ou de la théologie du christianisme historique et biblique, il ne devrait plus utiliser le terme "chrétien" pour lui-même ou son enseignement. Il ferait mieux de créer une nouvelle terminologie, plus conforme à sa nouvelle religion.
La pierre de touche du christianisme a toujours été la Bible. Le chrétien authentique croit que toute la Bible, appelée encore l'Ecriture, est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la voie de Dieu. Le chrétien croit qu'aucune prophétie de l'Ecriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. La pierre de touche du christianisme étant la Bible et toute la Bible, pour savoir si l'astrologie est effectivement compatible avec la foi chrétienne, il nous faut l'éprouver à la lumière de l'enseignement de l'Ancien et du Nouveau Testaments, les deux parties de la Bible.
Que penser de l'astrologie à la lumière de l'Ancien Testament ? Cette partie des Ecritures Saintes qu'on appelle l'Ancien Testament contient de nombreuses allusions au culte des astres qui est à l'origine de l'astrologie. Le veau d'or, fabriqué et érigé par Aaron représentait le dieu égyptien, Apis, parfois assimilé à Rê, le dieu du soleil, ayant sur certaines représentations anciennes l'aspect d'un taureau portant le disque solaire entre ses cornes. La condamnation du culte qu'Israël lui a offert fut des plus sévères. La Bible dit en effet : "... Ils se firent un veau en fonte et dirent : Voici ton Dieu qui t'a fait sortir d'Egypte, et ils se livrèrent envers toi (l'Eternel) à de grands outrages."
A l'époque des rois d'Israël, la pratique de l'astrologie mondiale et du culte des astres connut un véritable renouveau. Le culte des astres concurrença le culte de Dieu dans le coeur des Israélites. Il y eut d'ailleurs une relation de cause à effet entre la participation d'Israël au culte des astres et son sort final. La Bible dit en effet : "Ils abandonnèrent tous les commandements de l'Eternel, leur Dieu... Ils se prosternèrent devant toute l'armée des cieux (une expression biblique pour désigner les astres)... Ils se livrèrent à la divination et aux enchantements, et ils se vendirent pour faire ce qui est mal aux yeux de l'Eternel, afin de l'irriter... L'Eternel a rejeté toute la race d'Israël; Il les a humiliés et Il a fini par les chasser loin de sa face."
L'Ancien Testament fait une centaine de fois allusion au fait qu'Israël adoptait fréquemment le culte de Baal. Or, Baal était le dieu du soleil des Phéniciens. Israël, en pleine période de déclin spirituel et religieux allait jusqu'à construire des édifices dédiés au culte du soleil (Baal), et à lui consacrer des chevaux et des chars.
Astarté était la déesse de la Lune (ou de Vénus) des Phéniciens. Elle représentait l'amour, la fécondité, la chance. Or, Israël, éloigné des commandements de Dieu, lui rendait un culte. "Dans le culte des astres syrophéniciens, le Soleil et la Lune étaient vénérés sous les noms de Baal et d'Astarté, qui représentaient les forces de la nature dans leur aspect mâle et femelle. C'était un culte purement astral. Les astres étaient vénérés en tant que responsables et régulateurs de tout ce qui se passait sous le ciel. On brûlait de l'encens non seulement au Soleil et à la Lune, mais aussi aux signes du zodiaque et à toute l'armée des cieux, c'est-à-dire à tous les astres. Ceci nous permet de penser que le Soleil, la Lune, les planètes et les étoiles étaient vénérés en corrélation avec le zodiaque, et qu'à ce culte venaient se mêler l'astrologie, la divination et le tirage de l'horoscope."
Il y a dans l'Ancien Testament, une expression hébraïque qui est traduite par "au zodiaque" (à propos de ceux qui offraient des parfums au zodiaque et à toute l'armée des cieux). Cette expression veut dire littéralement "aux douze signes", et elle se réfère aux douze divisions du zodiaque, marquées par les douze figures et noms d'animaux : les douze constellations du zodiaque.
La Bible condamne-t-elle vraiment ces pratiques ? L'astrologie est-elle compatible avec la foi chrétienne ? Un prophète de la Bible, Ezéchiel, a repris les hommes d'Israël parce qu'ils vénéraient le Soleil, et les femmes d'Israël parce qu'elles pleuraient Thammuz. Or, Thammuz, la divinité des Phéniciens, avait introduit le culte des sept planètes et des douze signes du zodiaque.
Le péché, implicite dans ces pratiques, n'est pas seulement l'idolâtrie mais aussi la divination. Jérémie, un autre prophète biblique, donne l'avertissement suivant : "En ce temps-là dit l'Eternel, on tirera de leurs sépulcres les os des rois de Juda, les os de ses chefs, les os des sacrificateurs, les os des prophètes et les os des habitants de Jérusalem. On les étendra devant le soleil, devant la lune, et devant toute l'armée des cieux qu'ils ont aimés, qu'ils ont servis, qu'ils ont suivis, qu'ils ont recherché et devant lesquels ils se sont prosternés." (Jérémie 8:1-2)
Dieu a condamné la participation d'Israël à l'astrologie mondiale, parce que celle-ci faisait partie des pratiques occultes du monde religieux qui l'entourait. Il a interdit de chercher à connaître l'avenir par quelque moyen occulte que ce soit. Dieu dit : "Tu n'apprendras point à imiter les abominations de ces nations-là. Qu'on ne trouve chez toi personne qui exerce le métier de devin, d'astrologue, d'augure, de magicien, d'enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. Car quiconque fait ces choses est en abomination à l'Eternel."
La Bible, Parole de Dieu, prend les astrologues pour cible particulière de ses quolibets : "Le malheur viendra sur toi, sans que tu en voies l'aurore; la calamité tombera sur toi, sans que tu puisses la conjurer; et la ruine fondra sur toi tout à coup, à l'improviste. Reste donc au milieu de tes enchantements et de la multitude de tes sortilèges, auxquels tu as consacré ton travail dès ta jeunesse; peut-être pourras-tu en tirer profit, peut-être deviendras-tu redoutable. Tu t'es fatigué à force de consulter : qu'ils se lèvent donc et qu'ils te sauvent ceux qui connaissent le ciel, qui observent les astres, qui annoncent d'après les nouvelles lunes, ce qui doit t'arriver ! Voici, ils sont comme de la paille, le feu les consume, ils ne sauveront pas leur vie des flammes : ce ne sera pas du charbon dont on se chauffe, ni un feu auprès duquel on s'assied."
En résumé, l'Ancien Testament, par l'intermédiaire des prophètes de Dieu, fonde son hostilité à l'égard de l'astrologie sur deux raisons. La première est que l'astrologie était (et est) une forme de polythéisme, c'est-à-dire la croyance en une multitude de dieux, qui aboutit au culte des astres. La seconde est que l'astrologie est une forme d'occultisme, voie absolument interdite par Dieu. Que faire alors ? Abandonnez de telles pratiques. Consultez Dieu et non les astres.
Les auteurs du Nouveau Testament avaient à cœur de garder l'Evangile de toute corruption ou de toute compromission. Aussi, demandaient-ils aux églises de rejeter toute fausse doctrine. Les nouveaux convertis qui avaient cru en Jésus-Christ rompaient ouvertement avec les pratiques occultes d'autrefois. La Bible dit à ce propos : "Une foule de croyants venait faire à haute voix l'aveu de leurs pratiques. Un bon nombre de ceux qui s'étaient adonnés à ces futilités firent un tas de leurs livres et les brûlèrent en public" (Actes 19:18-19).
Quelqu'un objectera peut-être que les pratiques de l'astrologie moderne ne sont plus liées comme à l'époque de l'Ancien Testament, au culte de divinités astrales. Il est cependant indéniable que l'astrologie est une religion de substitution. Les astrologues proclament un "autre Evangile" et tombent ainsi sous la condamnation exprimée en ces termes par l'apôtre Paul dans l'une des ses lettres : "Si nous-mêmes, si un ange du ciel annonçait un Evangile s'écartant de celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème (c'est-à-dire maudit) ! Nous l'avons dit précédemment, et je le répète à cette heure : si quelqu'un vous annonce un Evangile s'écartant de celui que vous avez reçu, qu'il soit anathème !" Les déclarations des astrologues eux-mêmes confirment le fait qu'il y a un fossé infranchissable entre leur conception des choses et celle de la Bible. Bien que la plupart des astrologues se disent "chrétiens", ils sont généralement hostiles aux enseignements du christianisme biblique.
Daniel Logan, qui a été surnommé "le prophète malgré lui", affirme clairement que Jésus n'est pas le Christ. Il nie aussi le déluge et rejette le récit biblique d'Adam et Eve. Il parle favorablement de l'Antéchrist qui doit venir. Et au sujet de la Science chrétienne, il affirme qu'elle a raison. La Bible nous avertit sur de telles prises de position. L'apôtre Jean déclare en effet : "Qui est menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l'Antéchrist, qui nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils n'a pas non plus le Père; quiconque confesse le Fils a aussi le Père." (1 Jean 2:22-23)
Les affirmations de Daniel Logan montrent que les astrologues, tout en prétendant être "chrétiens", cherchent à détruire en réalité la vraie foi biblique. Les livres de Linda Goodman sont devenus des best-sellers. Elle ne prétend pas être chrétienne, elle, et elle fait tout son possible pour réfuter le christianisme. Niant également que Jésus est le Christ, elle affirme qu'il n'était qu'un homme. Elle préconise un retour au polythéisme mâle et femelle (dont nous parlions dans une précédente émission), et elle va jusqu'à prétendre que le péché d'Adam et Eve était bon, et non mauvais. S'il est vrai que Mme Goodman est libre de croire ce qu'elle veut, ses propos sont inacceptables du point de vue chrétien.
L'apôtre Jean déclare dans sa seconde lettre : "Plusieurs séducteurs sont entrés dans le monde, qui ne confessent point que Jésus-Christ est venu en chair. Celui qui est tel, c'est le séducteur et l'Antéchrist." Et il ajoute : "Quiconque... ne demeure pas dans la doctrine de Christ n'a point Dieu; celui qui demeure dans cette doctrine a le Père et le Fils. Si quelqu'un vient à vous et n'apporte pas cette doctrine, ne le recevez pas dans votre maison."
Nous avons examiné toute une série de passages bibliques qui condamnent l'astrologie et la présentent clairement comme une abomination aux yeux de Dieu. Dieu vous appelle à croire que la Bible est sa Parole, qu'elle contient son message. C'est un message qui peut vous faire sortir de vos erreurs, de vos pratiques, de vos vaines espérances, de vos impasses. Un message qui peut vous amener à saisir le pardon de toutes vos fautes par la foi en Jésus-Christ, et à mener une existence toute nouvelle, heureuse, remplie de paix et d'assurance, parce qu'elle sera construite sur Dieu. Sachez qu'un vrai chrétien ne peut approuver ce que la Bible considère comme une pratique condamnable.
Certaines personnes prétendent que l'Eglise aurait supprimé et exclu de la Bible certains livres "perdus", qui prouveraient que Jésus croyait à l'astrologie et à la réincarnation. Les plus connus seraient La vie cachée du Christ et l'Evangile du Verseau. Edgar J. Goodspeed, dans l'un de ses ouvrages qui a paru en 1956, examine de près La vie cachée du Christ et l'Evangile du Verseau ainsi que tous les autres livres "perdus" de la Bible, et il démontre que ce sont tous des faux.
Dans certains de ces livres datant de la fin du Moyen Age, les vêtements de Jésus et des apôtres sont exactement ceux qu'on portait à l'époque médiévale. De plus, ces livres contiennent des erreurs historiques et des allégations frauduleuses. La déclaration de Notovitch, selon laquelle il aurait reçu La vie cachée du Christ du lama qui dirigeait le monastère de Himis, a été vérifiée par une équipe qui s'est rendue sur place. Devant elle, le lama en question déclara sous la foi du serment qu'il n'avait jamais eu la visite de Notovitch. Et pendant qu'on lui lisait son livre, il s'écriait à tout bout de champ : "Ce sont des mensonges, des mensonges, des mensonges - rien que des mensonges !"
Au sein de toutes vos difficultés, vous avez essayé de vous en sortir par la voie de l'astrologie. Vous consultez régulièrement votre horoscope, espérant y trouver quelque promesse de bonheur et de réussite. Vous êtes allé consulter un astrologue célèbre. Et vous vous dites : "Mais si cette voie n'est pas bonne, que me reste-t-il ? Comment m'en sortir ? Y a-t-il une solution ?" Oui, heureusement, dans son grand amour, Dieu nous a donné son Fils Jésus, pour détruire les oeuvres du diable. La Bible dit : "Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les oeuvres du diable." Face à l'orgueil du diable, c'est l'humilité du Fils de Dieu mourant pour nous sous le mépris des hommes.
Face à l'esclavage du diable, Dieu vous offre l'affranchissement, grâce au nom par lequel vous puissiez être sauvé : un nom au-dessus de toute autorité maléfique, c'est Jésus. La Bible affirme : "Il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés." Que faire, chers amis ? Repentez-vous de vos pratiques vaines, en particulier l'astrologie. Demandez humblement à Dieu de vous pardonner en invoquant le sang de Jésus, qui s'est donné pour vous sur la croix. Détruisez résolument sans rien excepter et sans attendre, tout ce qui a trait à ces pratiques : livres, objets et autres qui peuvent rester des supports pour le diable dans votre vie. Joignez-vous à des chrétiens qui vivent leur foi. Il vous suffit de nous écrire, et nous vous donnerons les adresses de nos réunions les plus proches de votre domicile.
L'influence des étoiles, nous dit-on, expliquerait comment le destin de chacun est fixé dès sa naissance. La plupart des astrologues font appel à la théorie de la réincarnation pour expliquer pourquoi le destin de l'un est différent de celui de l'autre. Le destin astrologique de chacun serait déterminé par son karma. Selon tel astrologue, au moment de sa réincarnation, l'âme choisit de naître à une date qui coïncide avec une position particulière des astres. Or, selon la Bible, nous n'avons que cette vie pour nous préparer à l'éternité. Elle affirme : "Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement." Un homme de la Bible disait à Dieu : "Je le sais, tu me mènes à la mort, au rendez-vous de tous les vivants."
L'âme de l'homme n'existe pas avant sa conception dans l'utérus de sa mère. L'être humain n'est pas pris dans un cycle interminable de vies, destiné à renaître continuellement. Le karma est un mythe. En mourant sur la croix du Calvaire, Jésus-Christ a payé le dû que la loi de Dieu nous réclamait à cause de nos péchés. La Bible déclare : "Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies. A peine mourait-on pour un juste; quelqu'un peut-être mourrait pour un homme de bien. Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous." La mort de Christ à la place de l'homme rend la réincarnation karmique aussi inutile qu'elle est fausse. La Bible dit en effet : "Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ."
L'incompatibilité de l'astrologie avec la vraie foi chrétienne est évidente pour une seconde raison. L'astrologie est liée au polythéisme, c'est-à-dire la croyance en plusieurs dieux. Le culte des astres, qui est à la base de l'astrologie, reste encore aujourd'hui la seule explication de l'influence exercée par les astres sur les humains. Les astres sont considérés comme des divinités qui ont la volonté et le pouvoir de déterminer le destin des hommes. Le christianisme, par contre, est résolument monothéiste, c'est-à-dire qu'il nous appelle à la foi en un Dieu unique, vivant et vrai. C'est pourquoi les chrétiens refusent de se laisser tromper par les tenants d'une religion polythéiste séculaire qui essaie de faire peau neuve en adoptant une terminologie scientifique plus conforme à notre siècle. Entendons Dieu proclamer avec force : "Je suis l'Eternel, et il n'y en a point d'autre. Hors moi il n'y a point de Dieu... que l'on sache, du soleil levant au soleil couchant, que hors moi il n'y a point de Dieu :
je suis l'Eternel, et il n'y en a point d'autre"; et encore : "Car ainsi parle l'Eternel, le créateur des cieux, le seul Dieu, qui a formé la terre, qui l'a faite et qui l'a affermie, qui l'a créée pour qu'elle ne soit pas déserte, qui l'a formée pour qu'elle soit habitée : je suis l'Eternel, et il n'y en a point d'autre". Et encore : "Qui a prédit ces choses dès le commencement, et depuis longtemps les a annoncées ? N'est-ce pas moi, l'Eternel ? Il n'y a point d'autre Dieu que moi, je suis le seul Dieu juste et qui sauve". Nous n'en finirions pas de citer tous les passages bibliques similaires. En voici encore un qui est comme une colonne pour la foi chrétienne : "Il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur en Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous."
L'astrologie est une science occulte. Il faut entendre ici le mot "occulte" comme désignant les croyances et les pratiques qui font intervenir des forces d'origine satanique, proscrites par la Bible. Après que l'Eglise chrétienne ait interdit toutes les pratiques occultes, parce que Dieu les condamne dans la Bible, ceux qui voulaient s'y livrer ont dû le faire en secret pour ne pas s'exposer à des poursuites. De ce fait, on se mit à utiliser le mot latin occultus qui signifie "caché, inconnu", pour les désigner.
Il y a différentes raisons qui poussent les gens à se livrer à des pratiques occultes comme celle de l'astrologie :
1. Le désir de connaître l'avenir par des moyens surnaturels.
2. Le désir d'acquérir un pouvoir surnaturel pour infléchir l'avenir ou améliorer sa propre condition.
3. Le désir d'entrer en contact avec le monde des esprits pour communiquer avec les défunts.
4. Le désir d'entrer en contact avec Satan et ses démons, aussi étrange que puisse paraître ce désir !
L'astrologie a toujours été, et est encore, une branche des sciences occultes. Il n'est donc pas étonnant que les religions occultes de notre temps soient à l'avant-garde du mouvement astrologique. Si l'astrologie n'était pas une science occulte, aurait-elle tant de talismans : bagues, pendentifs, bracelets, médailles, insignes etc. munis d'un signe du zodiaque ? Pourquoi certains astrologues affirment-ils que "l'intuition psychique" est nécessaire, si l'on veut tirer un horoscope ? La seule réponse logique à ces questions est que l'astrologie fait effectivement partie des sciences occultes.
L'astrologie est une espèce de produit de remplacement trompeur, un succédané fallacieux de la révélation biblique. Après des années de recherches scientifiques et de découvertes archéologiques, on n'a pas pu prouver que la Bible ait fait erreur sur un seul point. A chaque fois que la Bible a prédit un événement, celui-ci n'a pas manqué de se produire. L'astrologie, avec ses échecs, ses contradictions internes et externes, ne soutient pas la comparaison avec la Bible et sa fiabilité. La Bible, en effet, établit une règle au sujet des prédictions, règle qui n'a pas perdu sa validité. Elle déclare : "Peut-être diras-tu dans ton cœur : Comment connaîtrons-nous la Parole que l'Eternel n'aura point dite ?
Quand ce que dira le prophète n’aura pas lieu et n’arrivera pas, ce sera une parole que l’Eternel n’aura point dite. C’est par audace que le prophète l’aura dite : n’aie pas peur de lui » (Deutéronome 18 : 21-22). Il ressort de ces paroles que le prophète envoyé par Dieu ne se trompe jamais lorsqu’il annonce l’avenir. Il est donc relativement facile de dévoiler le faux prophète. Une seule prédiction qui ne se réalise pas fait de lui un faux prophète. Les astrologues se sont souvent trompés dans leurs pronostics. Selon la règle établie par la Bible, ils sont de faux prophètes et induisent les gens en erreur.
Reconnaissons avec honnêteté qu’en tant qu’idéologie religieuse, l’astrologie est incompatible avec la foi chrétienne. Pesée dans la balance du christianisme, elle ne fait pas le poids. Elle est donc dénuée de toute crédibilité. Ce n’est que par son attrait pour la superstition et son engouement pour les sciences occultes que l’homme moderne se laisse captiver par l’astrologie. Mais elle ne devrait avoir aucun impact sur l’homme sensé ou le vrai chrétien.
Au sein de vos difficultés multiples, répondez à l’appel de Jésus qui a dit : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. » C’est là une promesse sûre, une parole certaine et digne de foi. Je vous souhaite d’en expérimenter la véracité et l’actualité aujourd’hui même.
par Paul BALLIERE
Cela peut paraître surprenant, mais les astrologues, dans leur immense majorité, se disent "chrétiens", au sens large du terme. Est-il permis de qualifier l'astrologie de "chrétienne" ? On appelle "chrétien" quelqu'un qui croit à l'enseignement de Jésus-Christ et de ses apôtres. Cet enseignement est, dans son essence même, historique et biblique. Si quelqu'un s'écarte de la doctrine ou de la théologie du christianisme historique et biblique, il ne devrait plus utiliser le terme "chrétien" pour lui-même ou son enseignement. Il ferait mieux de créer une nouvelle terminologie, plus conforme à sa nouvelle religion.
La pierre de touche du christianisme a toujours été la Bible. Le chrétien authentique croit que toute la Bible, appelée encore l'Ecriture, est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la voie de Dieu. Le chrétien croit qu'aucune prophétie de l'Ecriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. La pierre de touche du christianisme étant la Bible et toute la Bible, pour savoir si l'astrologie est effectivement compatible avec la foi chrétienne, il nous faut l'éprouver à la lumière de l'enseignement de l'Ancien et du Nouveau Testaments, les deux parties de la Bible.
Que penser de l'astrologie à la lumière de l'Ancien Testament ? Cette partie des Ecritures Saintes qu'on appelle l'Ancien Testament contient de nombreuses allusions au culte des astres qui est à l'origine de l'astrologie. Le veau d'or, fabriqué et érigé par Aaron représentait le dieu égyptien, Apis, parfois assimilé à Rê, le dieu du soleil, ayant sur certaines représentations anciennes l'aspect d'un taureau portant le disque solaire entre ses cornes. La condamnation du culte qu'Israël lui a offert fut des plus sévères. La Bible dit en effet : "... Ils se firent un veau en fonte et dirent : Voici ton Dieu qui t'a fait sortir d'Egypte, et ils se livrèrent envers toi (l'Eternel) à de grands outrages."
A l'époque des rois d'Israël, la pratique de l'astrologie mondiale et du culte des astres connut un véritable renouveau. Le culte des astres concurrença le culte de Dieu dans le coeur des Israélites. Il y eut d'ailleurs une relation de cause à effet entre la participation d'Israël au culte des astres et son sort final. La Bible dit en effet : "Ils abandonnèrent tous les commandements de l'Eternel, leur Dieu... Ils se prosternèrent devant toute l'armée des cieux (une expression biblique pour désigner les astres)... Ils se livrèrent à la divination et aux enchantements, et ils se vendirent pour faire ce qui est mal aux yeux de l'Eternel, afin de l'irriter... L'Eternel a rejeté toute la race d'Israël; Il les a humiliés et Il a fini par les chasser loin de sa face."
L'Ancien Testament fait une centaine de fois allusion au fait qu'Israël adoptait fréquemment le culte de Baal. Or, Baal était le dieu du soleil des Phéniciens. Israël, en pleine période de déclin spirituel et religieux allait jusqu'à construire des édifices dédiés au culte du soleil (Baal), et à lui consacrer des chevaux et des chars.
Astarté était la déesse de la Lune (ou de Vénus) des Phéniciens. Elle représentait l'amour, la fécondité, la chance. Or, Israël, éloigné des commandements de Dieu, lui rendait un culte. "Dans le culte des astres syrophéniciens, le Soleil et la Lune étaient vénérés sous les noms de Baal et d'Astarté, qui représentaient les forces de la nature dans leur aspect mâle et femelle. C'était un culte purement astral. Les astres étaient vénérés en tant que responsables et régulateurs de tout ce qui se passait sous le ciel. On brûlait de l'encens non seulement au Soleil et à la Lune, mais aussi aux signes du zodiaque et à toute l'armée des cieux, c'est-à-dire à tous les astres. Ceci nous permet de penser que le Soleil, la Lune, les planètes et les étoiles étaient vénérés en corrélation avec le zodiaque, et qu'à ce culte venaient se mêler l'astrologie, la divination et le tirage de l'horoscope."
Il y a dans l'Ancien Testament, une expression hébraïque qui est traduite par "au zodiaque" (à propos de ceux qui offraient des parfums au zodiaque et à toute l'armée des cieux). Cette expression veut dire littéralement "aux douze signes", et elle se réfère aux douze divisions du zodiaque, marquées par les douze figures et noms d'animaux : les douze constellations du zodiaque.
La Bible condamne-t-elle vraiment ces pratiques ? L'astrologie est-elle compatible avec la foi chrétienne ? Un prophète de la Bible, Ezéchiel, a repris les hommes d'Israël parce qu'ils vénéraient le Soleil, et les femmes d'Israël parce qu'elles pleuraient Thammuz. Or, Thammuz, la divinité des Phéniciens, avait introduit le culte des sept planètes et des douze signes du zodiaque.
Le péché, implicite dans ces pratiques, n'est pas seulement l'idolâtrie mais aussi la divination. Jérémie, un autre prophète biblique, donne l'avertissement suivant : "En ce temps-là dit l'Eternel, on tirera de leurs sépulcres les os des rois de Juda, les os de ses chefs, les os des sacrificateurs, les os des prophètes et les os des habitants de Jérusalem. On les étendra devant le soleil, devant la lune, et devant toute l'armée des cieux qu'ils ont aimés, qu'ils ont servis, qu'ils ont suivis, qu'ils ont recherché et devant lesquels ils se sont prosternés." (Jérémie 8:1-2)
Dieu a condamné la participation d'Israël à l'astrologie mondiale, parce que celle-ci faisait partie des pratiques occultes du monde religieux qui l'entourait. Il a interdit de chercher à connaître l'avenir par quelque moyen occulte que ce soit. Dieu dit : "Tu n'apprendras point à imiter les abominations de ces nations-là. Qu'on ne trouve chez toi personne qui exerce le métier de devin, d'astrologue, d'augure, de magicien, d'enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. Car quiconque fait ces choses est en abomination à l'Eternel."
La Bible, Parole de Dieu, prend les astrologues pour cible particulière de ses quolibets : "Le malheur viendra sur toi, sans que tu en voies l'aurore; la calamité tombera sur toi, sans que tu puisses la conjurer; et la ruine fondra sur toi tout à coup, à l'improviste. Reste donc au milieu de tes enchantements et de la multitude de tes sortilèges, auxquels tu as consacré ton travail dès ta jeunesse; peut-être pourras-tu en tirer profit, peut-être deviendras-tu redoutable. Tu t'es fatigué à force de consulter : qu'ils se lèvent donc et qu'ils te sauvent ceux qui connaissent le ciel, qui observent les astres, qui annoncent d'après les nouvelles lunes, ce qui doit t'arriver ! Voici, ils sont comme de la paille, le feu les consume, ils ne sauveront pas leur vie des flammes : ce ne sera pas du charbon dont on se chauffe, ni un feu auprès duquel on s'assied."
En résumé, l'Ancien Testament, par l'intermédiaire des prophètes de Dieu, fonde son hostilité à l'égard de l'astrologie sur deux raisons. La première est que l'astrologie était (et est) une forme de polythéisme, c'est-à-dire la croyance en une multitude de dieux, qui aboutit au culte des astres. La seconde est que l'astrologie est une forme d'occultisme, voie absolument interdite par Dieu. Que faire alors ? Abandonnez de telles pratiques. Consultez Dieu et non les astres.
Les auteurs du Nouveau Testament avaient à cœur de garder l'Evangile de toute corruption ou de toute compromission. Aussi, demandaient-ils aux églises de rejeter toute fausse doctrine. Les nouveaux convertis qui avaient cru en Jésus-Christ rompaient ouvertement avec les pratiques occultes d'autrefois. La Bible dit à ce propos : "Une foule de croyants venait faire à haute voix l'aveu de leurs pratiques. Un bon nombre de ceux qui s'étaient adonnés à ces futilités firent un tas de leurs livres et les brûlèrent en public" (Actes 19:18-19).
Quelqu'un objectera peut-être que les pratiques de l'astrologie moderne ne sont plus liées comme à l'époque de l'Ancien Testament, au culte de divinités astrales. Il est cependant indéniable que l'astrologie est une religion de substitution. Les astrologues proclament un "autre Evangile" et tombent ainsi sous la condamnation exprimée en ces termes par l'apôtre Paul dans l'une des ses lettres : "Si nous-mêmes, si un ange du ciel annonçait un Evangile s'écartant de celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème (c'est-à-dire maudit) ! Nous l'avons dit précédemment, et je le répète à cette heure : si quelqu'un vous annonce un Evangile s'écartant de celui que vous avez reçu, qu'il soit anathème !" Les déclarations des astrologues eux-mêmes confirment le fait qu'il y a un fossé infranchissable entre leur conception des choses et celle de la Bible. Bien que la plupart des astrologues se disent "chrétiens", ils sont généralement hostiles aux enseignements du christianisme biblique.
Daniel Logan, qui a été surnommé "le prophète malgré lui", affirme clairement que Jésus n'est pas le Christ. Il nie aussi le déluge et rejette le récit biblique d'Adam et Eve. Il parle favorablement de l'Antéchrist qui doit venir. Et au sujet de la Science chrétienne, il affirme qu'elle a raison. La Bible nous avertit sur de telles prises de position. L'apôtre Jean déclare en effet : "Qui est menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l'Antéchrist, qui nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils n'a pas non plus le Père; quiconque confesse le Fils a aussi le Père." (1 Jean 2:22-23)
Les affirmations de Daniel Logan montrent que les astrologues, tout en prétendant être "chrétiens", cherchent à détruire en réalité la vraie foi biblique. Les livres de Linda Goodman sont devenus des best-sellers. Elle ne prétend pas être chrétienne, elle, et elle fait tout son possible pour réfuter le christianisme. Niant également que Jésus est le Christ, elle affirme qu'il n'était qu'un homme. Elle préconise un retour au polythéisme mâle et femelle (dont nous parlions dans une précédente émission), et elle va jusqu'à prétendre que le péché d'Adam et Eve était bon, et non mauvais. S'il est vrai que Mme Goodman est libre de croire ce qu'elle veut, ses propos sont inacceptables du point de vue chrétien.
L'apôtre Jean déclare dans sa seconde lettre : "Plusieurs séducteurs sont entrés dans le monde, qui ne confessent point que Jésus-Christ est venu en chair. Celui qui est tel, c'est le séducteur et l'Antéchrist." Et il ajoute : "Quiconque... ne demeure pas dans la doctrine de Christ n'a point Dieu; celui qui demeure dans cette doctrine a le Père et le Fils. Si quelqu'un vient à vous et n'apporte pas cette doctrine, ne le recevez pas dans votre maison."
Nous avons examiné toute une série de passages bibliques qui condamnent l'astrologie et la présentent clairement comme une abomination aux yeux de Dieu. Dieu vous appelle à croire que la Bible est sa Parole, qu'elle contient son message. C'est un message qui peut vous faire sortir de vos erreurs, de vos pratiques, de vos vaines espérances, de vos impasses. Un message qui peut vous amener à saisir le pardon de toutes vos fautes par la foi en Jésus-Christ, et à mener une existence toute nouvelle, heureuse, remplie de paix et d'assurance, parce qu'elle sera construite sur Dieu. Sachez qu'un vrai chrétien ne peut approuver ce que la Bible considère comme une pratique condamnable.
Certaines personnes prétendent que l'Eglise aurait supprimé et exclu de la Bible certains livres "perdus", qui prouveraient que Jésus croyait à l'astrologie et à la réincarnation. Les plus connus seraient La vie cachée du Christ et l'Evangile du Verseau. Edgar J. Goodspeed, dans l'un de ses ouvrages qui a paru en 1956, examine de près La vie cachée du Christ et l'Evangile du Verseau ainsi que tous les autres livres "perdus" de la Bible, et il démontre que ce sont tous des faux.
Dans certains de ces livres datant de la fin du Moyen Age, les vêtements de Jésus et des apôtres sont exactement ceux qu'on portait à l'époque médiévale. De plus, ces livres contiennent des erreurs historiques et des allégations frauduleuses. La déclaration de Notovitch, selon laquelle il aurait reçu La vie cachée du Christ du lama qui dirigeait le monastère de Himis, a été vérifiée par une équipe qui s'est rendue sur place. Devant elle, le lama en question déclara sous la foi du serment qu'il n'avait jamais eu la visite de Notovitch. Et pendant qu'on lui lisait son livre, il s'écriait à tout bout de champ : "Ce sont des mensonges, des mensonges, des mensonges - rien que des mensonges !"
Au sein de toutes vos difficultés, vous avez essayé de vous en sortir par la voie de l'astrologie. Vous consultez régulièrement votre horoscope, espérant y trouver quelque promesse de bonheur et de réussite. Vous êtes allé consulter un astrologue célèbre. Et vous vous dites : "Mais si cette voie n'est pas bonne, que me reste-t-il ? Comment m'en sortir ? Y a-t-il une solution ?" Oui, heureusement, dans son grand amour, Dieu nous a donné son Fils Jésus, pour détruire les oeuvres du diable. La Bible dit : "Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les oeuvres du diable." Face à l'orgueil du diable, c'est l'humilité du Fils de Dieu mourant pour nous sous le mépris des hommes.
Face à l'esclavage du diable, Dieu vous offre l'affranchissement, grâce au nom par lequel vous puissiez être sauvé : un nom au-dessus de toute autorité maléfique, c'est Jésus. La Bible affirme : "Il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés." Que faire, chers amis ? Repentez-vous de vos pratiques vaines, en particulier l'astrologie. Demandez humblement à Dieu de vous pardonner en invoquant le sang de Jésus, qui s'est donné pour vous sur la croix. Détruisez résolument sans rien excepter et sans attendre, tout ce qui a trait à ces pratiques : livres, objets et autres qui peuvent rester des supports pour le diable dans votre vie. Joignez-vous à des chrétiens qui vivent leur foi. Il vous suffit de nous écrire, et nous vous donnerons les adresses de nos réunions les plus proches de votre domicile.
L'influence des étoiles, nous dit-on, expliquerait comment le destin de chacun est fixé dès sa naissance. La plupart des astrologues font appel à la théorie de la réincarnation pour expliquer pourquoi le destin de l'un est différent de celui de l'autre. Le destin astrologique de chacun serait déterminé par son karma. Selon tel astrologue, au moment de sa réincarnation, l'âme choisit de naître à une date qui coïncide avec une position particulière des astres. Or, selon la Bible, nous n'avons que cette vie pour nous préparer à l'éternité. Elle affirme : "Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement." Un homme de la Bible disait à Dieu : "Je le sais, tu me mènes à la mort, au rendez-vous de tous les vivants."
L'âme de l'homme n'existe pas avant sa conception dans l'utérus de sa mère. L'être humain n'est pas pris dans un cycle interminable de vies, destiné à renaître continuellement. Le karma est un mythe. En mourant sur la croix du Calvaire, Jésus-Christ a payé le dû que la loi de Dieu nous réclamait à cause de nos péchés. La Bible déclare : "Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies. A peine mourait-on pour un juste; quelqu'un peut-être mourrait pour un homme de bien. Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous." La mort de Christ à la place de l'homme rend la réincarnation karmique aussi inutile qu'elle est fausse. La Bible dit en effet : "Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ."
L'incompatibilité de l'astrologie avec la vraie foi chrétienne est évidente pour une seconde raison. L'astrologie est liée au polythéisme, c'est-à-dire la croyance en plusieurs dieux. Le culte des astres, qui est à la base de l'astrologie, reste encore aujourd'hui la seule explication de l'influence exercée par les astres sur les humains. Les astres sont considérés comme des divinités qui ont la volonté et le pouvoir de déterminer le destin des hommes. Le christianisme, par contre, est résolument monothéiste, c'est-à-dire qu'il nous appelle à la foi en un Dieu unique, vivant et vrai. C'est pourquoi les chrétiens refusent de se laisser tromper par les tenants d'une religion polythéiste séculaire qui essaie de faire peau neuve en adoptant une terminologie scientifique plus conforme à notre siècle. Entendons Dieu proclamer avec force : "Je suis l'Eternel, et il n'y en a point d'autre. Hors moi il n'y a point de Dieu... que l'on sache, du soleil levant au soleil couchant, que hors moi il n'y a point de Dieu :
je suis l'Eternel, et il n'y en a point d'autre"; et encore : "Car ainsi parle l'Eternel, le créateur des cieux, le seul Dieu, qui a formé la terre, qui l'a faite et qui l'a affermie, qui l'a créée pour qu'elle ne soit pas déserte, qui l'a formée pour qu'elle soit habitée : je suis l'Eternel, et il n'y en a point d'autre". Et encore : "Qui a prédit ces choses dès le commencement, et depuis longtemps les a annoncées ? N'est-ce pas moi, l'Eternel ? Il n'y a point d'autre Dieu que moi, je suis le seul Dieu juste et qui sauve". Nous n'en finirions pas de citer tous les passages bibliques similaires. En voici encore un qui est comme une colonne pour la foi chrétienne : "Il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur en Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous."
L'astrologie est une science occulte. Il faut entendre ici le mot "occulte" comme désignant les croyances et les pratiques qui font intervenir des forces d'origine satanique, proscrites par la Bible. Après que l'Eglise chrétienne ait interdit toutes les pratiques occultes, parce que Dieu les condamne dans la Bible, ceux qui voulaient s'y livrer ont dû le faire en secret pour ne pas s'exposer à des poursuites. De ce fait, on se mit à utiliser le mot latin occultus qui signifie "caché, inconnu", pour les désigner.
Il y a différentes raisons qui poussent les gens à se livrer à des pratiques occultes comme celle de l'astrologie :
1. Le désir de connaître l'avenir par des moyens surnaturels.
2. Le désir d'acquérir un pouvoir surnaturel pour infléchir l'avenir ou améliorer sa propre condition.
3. Le désir d'entrer en contact avec le monde des esprits pour communiquer avec les défunts.
4. Le désir d'entrer en contact avec Satan et ses démons, aussi étrange que puisse paraître ce désir !
L'astrologie a toujours été, et est encore, une branche des sciences occultes. Il n'est donc pas étonnant que les religions occultes de notre temps soient à l'avant-garde du mouvement astrologique. Si l'astrologie n'était pas une science occulte, aurait-elle tant de talismans : bagues, pendentifs, bracelets, médailles, insignes etc. munis d'un signe du zodiaque ? Pourquoi certains astrologues affirment-ils que "l'intuition psychique" est nécessaire, si l'on veut tirer un horoscope ? La seule réponse logique à ces questions est que l'astrologie fait effectivement partie des sciences occultes.
L'astrologie est une espèce de produit de remplacement trompeur, un succédané fallacieux de la révélation biblique. Après des années de recherches scientifiques et de découvertes archéologiques, on n'a pas pu prouver que la Bible ait fait erreur sur un seul point. A chaque fois que la Bible a prédit un événement, celui-ci n'a pas manqué de se produire. L'astrologie, avec ses échecs, ses contradictions internes et externes, ne soutient pas la comparaison avec la Bible et sa fiabilité. La Bible, en effet, établit une règle au sujet des prédictions, règle qui n'a pas perdu sa validité. Elle déclare : "Peut-être diras-tu dans ton cœur : Comment connaîtrons-nous la Parole que l'Eternel n'aura point dite ?
Quand ce que dira le prophète n’aura pas lieu et n’arrivera pas, ce sera une parole que l’Eternel n’aura point dite. C’est par audace que le prophète l’aura dite : n’aie pas peur de lui » (Deutéronome 18 : 21-22). Il ressort de ces paroles que le prophète envoyé par Dieu ne se trompe jamais lorsqu’il annonce l’avenir. Il est donc relativement facile de dévoiler le faux prophète. Une seule prédiction qui ne se réalise pas fait de lui un faux prophète. Les astrologues se sont souvent trompés dans leurs pronostics. Selon la règle établie par la Bible, ils sont de faux prophètes et induisent les gens en erreur.
Reconnaissons avec honnêteté qu’en tant qu’idéologie religieuse, l’astrologie est incompatible avec la foi chrétienne. Pesée dans la balance du christianisme, elle ne fait pas le poids. Elle est donc dénuée de toute crédibilité. Ce n’est que par son attrait pour la superstition et son engouement pour les sciences occultes que l’homme moderne se laisse captiver par l’astrologie. Mais elle ne devrait avoir aucun impact sur l’homme sensé ou le vrai chrétien.
Au sein de vos difficultés multiples, répondez à l’appel de Jésus qui a dit : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. » C’est là une promesse sûre, une parole certaine et digne de foi. Je vous souhaite d’en expérimenter la véracité et l’actualité aujourd’hui même.
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