jeudi 12 mai 2011

La femme chrétienne / la femme musulmane

La femme selon Dieu

Introduction

La place de la femme dans la société et dans le couple est toujours débattue.

On trouve 3 opinions divergentes :

1) Les religieux et les traditionalistes qui mettent la femme à un rang inférieur.
2) Les féministes qui mettent la femme à un rang supérieur.
3) Les machos qui considèrent la femme comme un objet.

Il y a peu d'équilibre dans tout cela. Surtout , on oublie la place de la femme dans le plan de Dieu (la Bible).

L'origine de la femme

Genèse 1/27 "Dieu créa l'homme à son image. Il les créa homme et femme." L'être humain se distingue des autres êtres vivants en ce qu'il est à l'image de Dieu le chef d'œuvre de Dieu. L'homme, dans la pensée de Dieu, devait être mâle et femelle pour se reproduire. L'homme a été créé avant, mais la femme était déjà prévue.

Genèse 2/18-24 La première femme, Eve, fut créée aussi bien que l'homme, mais son corps fut tiré du côté d'Adam. Le mot hébreu tsela veut dire "côté". Le commentateur anglais de la Bible Matthew Henry a écrit : "Pas de la tête, pour être supérieure, pas des pieds, pour être inférieure, mais du côté, près du cœur de l'homme pour être aimée par lui…"


La femme est donc égale à l'homme "semblable à lui".

Mais le péché va ruiner l'unité et l'harmonie qui existait entre Dieu, l'homme et sa femme. Eve écoute le serpent et désobéit à Dieu puis donne du fruit à son mari qui en mange également. Manger un fruit n'est pas grave en soi. Leur péché fut de désobéir sciemment à l'ordre du Créateur.

Cela amena plusieurs modifications profondes : 1ère scène de ménage (Gen. 3/12 Adam accuse sa femme), puis jugement de Dieu sur le serpent (Satan), la femme et l'homme. Quand ils firent des enfants, viendra hélas le premier meurtre d'Abel par Caïn.

Concernant la femme, le verset clef est Gen. 3/15-16 : elle portera le Sauveur dans sa postérité, elle enfantera dans la douleur et elle sera dominée par son mari.

Le prophète Esaïe a rajouté à cette prophétie que le Messie naîtrait d'une vierge (7/14).
C'est effectivement une femme vierge, Marie, qui mît au monde le Messie, Jésus de Nazareth par un miracle de Dieu. Bien qu'au Moyen-Orient on soit toujours "fils de son père", Jésus était appelé "fils de Marie".

Le péché amène aussi un changement dans les relations entre mari et femme. "Ton mari dominera sur toi" signifie qu'il y a un ordre, une organisation nouvelle de la société : l'homme devient le chef de famille, ayant pour rôle de protéger et conduire sa femme. Si c'est fait dans l'amour de Dieu, cela se passe très bien.
Mais des hommes rebelles et incrédules se sont mis à maltraiter leurs femmes et les femmes en général.

La polygamie était-elle voulue par Dieu ?

En lisant l'A.T., on est étonné de trouver des fidèles ayant plusieurs femmes. Le plus connu est Salomon, à qui on attribuait "700 princesses pour femmes et 300 concubines" (1 Rois 11:3).

Dieu serait-il pour la polygamie ? C'est ce que les mormons, par exemple, ont longtemps prôné. Mais une étude un peu sérieuse des Ecritures nous montre le contraire.

D'abord, Gen 2/24 dit "et s'attachera à sa femme" et non "à ses femmes"…

Ensuite, le premier homme mentionné qui prît plusieurs femmes fut Lémec (Gen 4/19), un homme orgueilleux et violent (Gen 4/24).
Adam n'eut pas d'autres femmes qu'Eve.
De même, Noé fut monogame, ainsi que ses fils.

Abraham n'eut qu'une femme, Sarah. Mais comme elle était stérile et que Dieu leur avait promis une postérité, Sarah donne à son mari sa servante, Agar, pour qu'elle leur donne un enfant. Cette coutume était fréquente en Mésopotamie mais Dieu ne voulait pas qu'ils agissent ainsi. Finalement, Dieu bénit cet autre enfant et sa mère, mais l'héritage fut pour le fils de la femme légitime. C'est seulement après la mort de Sara qu'Abraham eut une autre femme, Ketura (Gen 25/1).

Isaac, fils d'Abraham, épousa Rébecca et resta monogame.

Ses fils, Jacob et Esaü, eurent plusieurs femmes. Les deux femmes d'Esaü furent un sujet d'amertume pour Isaac et Rébecca (Gen 26/35), tandis que Jacob ne fut jamais réellement amoureux que d'une femme. Mais son oncle, un trompeur comme Jacob, lui fit épouser chacune de ses filles avant de lui donner la préférée.

Moïse épousa Séphora en premières noces. Puis il prît une femme éthiopienne après la mort de Séphora. Cette seconde femme causa une révolte de la part de la sœur de Moïse, peut-être jalouse de perdre sa place de 1ère femme des hébreux (Nombres 12/1).

David eut de nombreuses femmes et des concubines. Cela lui causa d'innombrables problèmes et les rivalités entre femmes et entre enfants gâchèrent la fin de sa vie. Les rois prenaient des épouses étrangères comme gage d'alliance avec les autres pays. Certaines épouses n'étaient jamais vues ni honorées. Les "harem" étaient souvent des "paniers de crabes".

Salomon fut perdu par ses femmes nombreuses : "Il eut 700 princesses pour femmes et 300 concubines; et ses femmes détournèrent son cœur." (1 Rois 11:3)

La loi de Moïse n'autorise pas la polygamie. Dans l'A.T. l'expression "ses femmes" apparaît 14 fois tandis que "sa femme" apparaît 117 fois !

Dans le N.T., c'est encore plus clair : "Maris, que chacun aime sa femme et ne s'aigrisse pas contre elle." (Colossiens 3:19) "…que chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son mari. (1 Corinthiens 7:2) "Quiconque répudie sa femme et en épouse une autre commet un adultère..." (Luc 16:18) etc…

La place de la femme dans l'Islam

L'homme est supérieur à la femme

Coran : Sourate 2/228 : "Les maris ont un degré au-dessus de leurs femmes…" Sourate 4/38 "Les hommes sont > aux femmes à cause des qualités par lesquelles Allah a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci." Commentaire d'Ibn Kathir sur 4/38 : "Les hommes sont > aux femmes et un homme est mieux qu'une femme". Il ne s'agit donc pas seulement d'une supériorité de rôle, mais de nature, selon le Coran.
La femme est inférieure en intelligence et en religion

Une hadit (parole officielle de Mahomet non recensée dans le Coran) du livre Sahi al-bukhari (qui fait autorité) : Mahomet s'adressant à un groupe de femmes : Je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi déficient que vous en matière d'intelligence et de religion. -Pourquoi ? demandèrent-elles. -Parce qu'il faut le témoignage de 2 femmes pour égaler celui d'un homme, et parce que vous ne pouvez ni prier ni jeûner pendant vos menstruations…"


 
La femme est un jouet sexuel

Plusieurs califes (successeurs de Mahomet) ont déclaré que la femme est un jouet (Omar, Amru ben al'Aas). Mahomet a dit : "La femme est un jouet, mais que celui qui en prend une prenne soin d'elle." Le philosophe musulman Ghazali explique cette idée : "En compagnie des femmes, en les regardant, en jouant avec elles, l'âme est rafraîchie, le cœur se repose et l'homme est fortifié dans son adoration de Dieu… C'est pourquoi Allah a dit : Que l'homme demeure en elle… (Sourate 7/189)"

La femme est honteuse

L'Islam dit que la femme possède 10 partie honteuses, appelées awrah.

La femme elle-même est considérée comme une awrah : "La femme est awrah. Quand elle sort hors de la maison, le diable l'accueille avec joie." "Une femme est plus proche de la face de Dieu quand elle demeure au fond de sa maison. La prière de la femme dans sa maison vaut mieux que sa prière à la mosquée." (Hadith reconnues) La femme est donc découragée de sortir. Si elle sort, elle doit être couverte de la tête aux pieds.

Voici une description du sort des femmes actuellement en Afghanistan :

Depuis la prise de pouvoir des Talibans en 1996, les femmes doivent porter le burqua, sont battues et lapidées en public si elles n'ont pas l'habit adéquat, ne fût-ce que si le filet ne couvre pas leurs yeux. Une femme a été battue A MORT par une foule de fondamentalistes pour avoir incidemment exposé son bras en conduisant. Une autre a été lapidée A MORT pour avoir tenté de quitter le pays avec un homme qui ne faisait pas partie de sa famille. Les femmes ne sont pas autorisées à travailler ni même à sortir sans un parent de sexe masculin. Les femmes qui travaillent en tant que professeurs, traductrices, médecins, avocates, artistes et écrivains ont été contraintes de quitter leur travail et ont été renvoyées à la maison, de sorte que les dépressions deviennent tellement répandues que le phénomène a atteint un seuil d'urgence.

Il n'est pas possible dans une société islamique à l'extrême de connaître le taux de suicide avec certitude, mais les représentants d'organismes humanitaires estiment que pour les femmes, qui ne parviennent pas à trouver les médicaments et traitements adéquats pour dépression grave et préfèreraient mourir que vivre dans ces conditions, le taux a augmenté de manière significative.

Les maisons occupées par des femmes doivent avoir leurs fenêtres peintes de sorte que les femmes ne puissent jamais être vues de l'extérieur. Elles doivent porter des chaussures qui ne font pas de bruit, de manière à ne jamais être entendues. Les femmes craignent pour leur vie à la moindre "mauvaise conduite". Le travail leur étant interdit, les femmes célibataires ou sans membres de la famille de sexe masculin meurent de faim ou mendient dans la rue, fussent-elles titulaires d'un doctorat. Il n'y a pas pratiquement pas de traitements médicaux disponibles pour les femmes, et les représentants d'organismes humanitaires ont pour la plupart quitté le pays.

Dans l'un des rares hôpitaux pour femmes, un journaliste a trouvé des corps immobiles, presque sans vie, couchés sur des lits, enveloppés dans leur burqua, réticents à parler, à manger ou à faire quoique ce soit, dépérissant à petit feu. D'autres sont devenues folles. On les a vues tapies dans des coins, se balançant ou pleurant, pour la plupart, de peur. La situation est arrivée à un point où le terme " violations des droits humains" est un euphémisme. Les maris ont droit de vie et de mort sur les femmes de la famille, en particulier sur leurs épouses, mais une foule en colère a tout autant le droit de lapider ou de battre une femme, souvent jusqu'à ce que mort s'en suive, pour avoir exposé une once de chair ou avoir offensé l'un d'entre eux de la manière la plus insignifiante."

Le mari a tous les droits

Ses désirs doivent être immédiatement exaucés par son épouse.

L'obéissance au mari est la porte du ciel, comme ce hadith en témoigne : "Le prophète dit à une femme : Fais attention à la façon dont tu traites ton mari, car il est ton Paradis et ton enfer."

Les devoirs de la femme sont infinis : "Si une femme léchait le sang et le pus qui coulent du nez de son mari, elle n'aurait pas pour autant achevé ses devoirs envers lui." Cela est cité par l'Imam Suyuti regardé comme un sommité dans l'Islam.

Sourate 4/38 "Vous réprimanderez les femmes dont vous aurez à craindre la désobéissance, vous les reléguerez à part, vous les battrez. Mais dès qu'elles vous obéissent, vous ne leur cherchez point querelle." Ibn Kathir, en commentant cette sourate raconta que le calife Omar, successeur de Mahomet, enseignait à un autre ceci : "Retiens trois choses de ma part que j'ai moi-même retenues du prophète : On ne doit pas demander à l'homme pourquoi il bat sa femme…"


'Abd ar-Rahman al-Gaziri a écrit : "Le contrat de mariage a été fait par le législateur pour que le mari bénéficie de l'organe sexuel de la femme ainsi que du reste de son corps pour son plaisir."

La polygamie est enseignée dans le Coran

Allah dit à Mahomet : "O prophète ! Il t'es permis d'épouser les femmes que tu auras dotées, les captives qu'Allah aura fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles et de tes tantes maternels et paternels qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui aura donné son âme au prophète. C'est une prérogative que nous t'accordons sur les autres croyants." (Sourate 30/49-51)

Le Paradis aura des filles vierges et belles pour les hommes

Sourate 78/33 "Des filles au sein arrondi et d'un âge égal au leur, des coupes remplies, etc."

Sourate 56/22 "Ils y auront des beautés aux grands yeux noirs, des beautés pareilles aux perles soigneusement cachées…"

Et les femmes, qu'auront-elles au Paradis ? Selon une hadith, Mahomet aurait dit : "O femmes ! Faîtes des aumônes car j'ai vu que la majorité des habitants de l'enfer sont des femmes !" (Sahih Bukhari, hadith 301)

Jésus et les femmes

Le Seigneur Jésus n'est allé vers aucune femme. Il était le Fils de Dieu.

Par contre, il s'est occupé de femmes délaissées. Il a sauvé la femme adultère de la lapidation, il a parlé à la samaritaine, il a eu compassion de la veuve, il a guéri et sauvé l'impure (atteinte d'une perte de sang), etc…

Jésus était soutenu matériellement par des femmes (Luc 8:3).
Il avait deux femmes, Marthe et Marie (ainsi que leur frère Lazare), pour amies.
C'est à des femmes que Jésus s'est montré ressuscité le premier.

La femme dans l'Ancien Testament

Contrairement aux nations païennes qui méprisaient les femmes, les hébreux obéissant à Dieu ont toujours respecté leurs femmes.

De nombreuses femmes ont un rôle important : Ruth, Esther, Sara, Débora, Anne, etc…

Une femme est considérée comme une bénédiction : " Celui qui trouve une femme trouve le bonheur; C'est une grâce qu'il obtient de l'Éternel. (Proverbes 18:22)

La femme vertueuse en Proverbes 31 est extraordinaire. Elle travaille, achète, prend des initiatives, décore, etc… Elle n'est pas prostrée chez elle à attendre que son mari lui donne des ordres. Mais ce qu'elle fait révèle son esprit d'amour et de sacrifice pour son mari et ses enfants. "Son mari est loué aux portes de la ville".

Les pharisiens, par contre, avaient acquis une attitude hautaine par rapport à leur femme, attitude qui se retrouve encore aujourd'hui chez les groupes ultra-traditionnalistes (Loubavitch par exemple). Le juif orthodoxe priait Dieu chaque matin en disant : "Je te remercie de ne pas être une femme ni un païen…"

La femme dans le Nouveau Testament

Elle est égale à l'homme en Jésus-Christ : " Car vous êtes tous fils de Dieu par la foi en Jésus-Christ… Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme; car tous vous êtes un en Jésus-Christ." (Galates 3:26, 28)

Le mari doit l'aimer autant que lui-même : "C'est ainsi que le mari doit aimer sa femme comme son propre corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même." (Ephésiens 5:28)

Elle mérite tout le respect du à sa position : "Maris, montrez à votre tour de la sagesse dans vos rapports avec votre femme, comme avec un sexe plus faible; honorez-la, comme devant aussi hériter avec vous de la grâce de la vie. Qu'il en soit ainsi, afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières." (1 Pierre 3:7)

Au ciel, il n'y aura ni mari ni femme : " Car, à la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel." (Matthieu 22:30)
La femme dans l'Eglise

"Que la femme écoute l'instruction en silence, avec une entière soumission. Je ne permets pas à la femme d'enseigner, ni de prendre de l'autorité sur l'homme; mais elle doit demeurer dans le silence. (1 Timothée 2:11-12)

"Car Dieu n'est pas un Dieu de désordre, mais de paix. Comme dans toutes les Eglises des saints, que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis d'y parler; mais qu'elles soient soumises, comme le dit aussi la loi. (1 Corinthiens 14:33-34)

La femme ne devait pas enseigner ni déranger le culte par des interventions intempestives. Cela ne signifie pas qu'elle devait rester inactive dans l'église.

On trouve des femmes qui prophétisaient, des femmes diacres, des femmes âgées exhortant les jeunes femmes, des femmes aidant des serviteurs de Dieu dans le ministère, etc…

Les femmes étaient très actives dans les églises : prophétesses (Actes 21), diaconesses (à Philippes), Dorcas, femme de bien (Actes 9), femmes âgées qui enseignent les jeunes mères (Tite), Priscille, Phoebé, Perside dans le service du Seigneur (Romains 16).

On ne trouve aucune femme pasteur, et aucun apôtre n'était une femme. En demandant à Tite d'établir des anciens dans chaque ville de Crète, il précise bien "s'il s'y trouve quelque homme fidèle, mari d'une seule femme..." (Tite 1:6).

vendredi 8 avril 2011

Message d'un avocat

QU'EST-CE QU'UN INFIDELE ?
 

Comme le démontrent les lignes qui suivent, j'ai été contraint de prendre conscience de l'extrême difficulté à définir ce qu'est un infidèle.
Choisir entre Allah ou le Christ, alors que l'Islam est de loin la religion qui progresse le plus vite en notre pays.
Le mois dernier, je participais au stage annuel de remise à niveau, nécessaire au renouvellement de mon habilitation de sécurité dans les prisons.


Il y avait dans le cursus une présentation par trois intervenants représentant respectivement les religions Catholique, Protestante, Juive et Musulmane, expliquant les fondements de leurs doctrines respectives.
C'est avec un intérêt tout particulier que j'attendais l'exposé de l'Imam. La prestation de ce dernier fut remarquable, assortie d'une projection vidéo.

 A l'issue des présentations, vint le temps des questions/réponses, et lorsque ce fut mon tour, je demandai :
Je vous prie de me corriger si je me trompe, mais j'ai cru comprendre que la majorité des Imams et autorités religieuses ont décrété le Jihad (guerre sainte), à l'encontre les infidèles du monde entier, et que en tuant un infidèle (ce qui est une obligation faite à tous les musulmans), ceux-ci sont assurés d'aller au paradis.
Dans ce cas, pourriez-vous me donner la définition de ce qu'est un infidèle ?
Sans rien objecter à mon interprétation et sans la moindre hésitation, l'Imam répondit : un non musulman !!!


Je rétorquais : alors permettez-moi de m'assurer que j'ai bien compris:
 L'ensemble des adorateurs d'Allah doivent obéir au commandement de tuer quiconque n'appartient pas à votre religion, afin de gagner leur place au paradis, n'est-ce pas ?
Son visage qui affichait jusqu'alors une expression pleine d'assurance et d'autorité se transforma soudain en celui d'un garnement surpris la main dans le pot de confiture !!!
C'est exact rétorqua-t-il dans un murmure.

Je poursuivis : J'ai également des difficultés à me considérer comme votre ami , lorsque vous-même et vos confrères incitez vos fidèles à m'égorger !

Juste une autre question :
Choisirez vous de suivre Allah qui vous ordonne de me tuer afin d'obtenir le paradis, ou le Christ qui m'incite à vous aimer afin que j'accède, moi aussi au paradis, parce qu'il veut que j'y sois en votre compagnie. ?
On aurait pu entendre une mouche voler, tandis que l'Imam demeurait silencieux.

Inutile de préciser que les organisateurs et promoteurs du séminaire de formation à la diversification n'ont pas particulièrement apprécié cette façon de traiter le ministre du culte Islamique et d'exposer quelques vérités à propos des dogmes de cette religion.


Au cours des trente années à venir, il y aura suffisamment d'électeurs musulmans en notre pays pour installer un gouvernement de leur choix, avec l'application de la Sharia en guise de loi.


Il m'apparait que tous les citoyens de ce pays devraient pouvoir prendre connaissance de ces lignes, mais avec le système de justice et de médias libéraux combinés à la mode démente du politiquement correct, il n'y a aucune chance que ce texte soit largement publié.



mercredi 2 mars 2011

Vrais et faux chrétiens !


Ce qui est vrai existe aussi en faux. C’est le cas des billets de banque par exemple.


Dans le domaine spirituel, Satan est passé maitre dans l’art de la contrefaçon, n’ayant pas le pouvoir créateur, il est réduit à imiter ce que Dieu fait.


Le seigneur nous a prévenu : 2 Corinthiens 11 v 26 : « Fréquemment en voyage, j’ai été en péril sur les fleuves, en péril de la part des brigands, en péril de la part de ceux de ma nation, en péril de la part des païens, en péril dans les villes, en péril dans les déserts, en péril sur la mer, en péril parmi les faux frères ».


A quoi reconnaît-on un vrai chrétien ?

Il est passé par une vraie repentance, et il sait qu’il est pardonné grâce au sacrifice de Jésus Christ. Il est né de nouveau par la puissance du Saint Esprit qui est venu faire sa demeure en lui pour l’éternité.

Il aime Dieu de tout son cœur, ainsi que sa Parole écrite (la Bible), et donc il est obéissant, car l’amour consiste à garder ses commandements. Il aime tout les autres chrétiens, ses frères et sœurs. Il aime son prochain, c’est-à-dire tout le monde (même ses ennemis). Il est certain d’avoir la Vie éternelle et d’aller au paradis (1 jean 5 v 13).


Pour savoir si une chose est vraie ou fausse, il faut avoir une référence, un étalon. La Bible est le seul livre au monde qui dit la Vérité, car elle est inspirée par Dieu du premier au dernier verset. AMEN  ! ! !

jeudi 27 janvier 2011

Questionnaire à propos des religions

Si le sujet vous intérrèsse, donnez-moi votre avis sur les questions suivantes :


Toutes les religions sont-elles bonnes ?
 

Si c'est non, quelle est la meilleure ?
 

Ont-elles le même Dieu ?

Dieu et la religion, est-ce compatible ?

Dieu est-Il religieux ?

Oû sont nées les religions et les sectes ?
 

Par qui ont-elles été inspirées ?
 

A quoi nous conduisent les religions dans avenir proche ?
 

Les religions conduisent-elles au même but final ?
 

Une religion peut-elle nous sauver de la condamnation ?

Si c'est non, qui peut nous sauver ?


Copiez ces questions, puis cliquez sur l'adresse ci-dessus,  collez, puis écrivez vos réponses, et envoyez.




jeudi 30 décembre 2010

Pourquoi je ne suis pas témoins de Jéhovah


Parce que les déclarations suivantes tirées de leurs propres écrits, montrent le vrai caractère de cette organisation.


LES « TEMOINS » CROIENT T-ILS AU MEME JESUS QUE CELUI DE LA BIBLE ?         

Selon la doctrine des témoins de Jéhovah jésus aurais été la première création et ensuite il aurait aidé  Dieu le père a créé ce monde.
Jésus est selon les « témoins » le fils de DIEU  créé par le père et non DIEU LE FILS. Leur bible dont je parlerais un peu plus tard dit en jean 1 :1 : Au commencement était la parole et la parole était avec Dieu et la parole était dieu.

Voici par exemple un autre passage dans la traduction du monde nouveau jean 3 :16 :
Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné sont fils unique engendré  afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’ils est la vie éternelle. Le mot engendré a été ajouté pour soutenir que jésus a été créé par DIEU. Il affirme aussi que jésus n’est qu’un arc-ange, un ange supérieur.

Mais voyons ce que la bible dit sur la divinité  de Jésus.

Prenons Esaie chapitre 9 verset 6 :
Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, Et la domination reposera sur son épaule; On l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix. Ce passage annonce la venus de christ mais, le nomme en tant que admirable, conseiller et Dieu puissant.

Un disciple reconnus jésus comme son Seigneur et son DIEU. Savez-vous qui est ce disciple ?
C’est le disciple Thomas, voici ce qu’il dit :
Jean 20:28 : Thomas lui répondit: Mon Seigneur et mon Dieu ! Est-ce que jésus a reprit Thomas parce qu’il ce faisait appeler mon Seigneur et mon Dieu ? Non ;  voici ce qu’il dit ;  Jésus lui dit: v 29, Parce que tu m’as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n'ont pas vu, et qui ont cru ! Nous voyons que Jésus dit heureux et ne reprend pas Thomas. si l’adoration n’allait qu'au père il n'aurait pas permis que Thomas l’appelle mon seigneur et mon DIEU.

Autre passage  très intéressant qui prouve encore que Jésus est égal au Père.

Matthieu 28 :19-20 : Nous voyons que les trois personnes distinctes de la trinité sont réunies et mis au même  niveau. Si jésus n’était pas égal à son père et si le Saint Esprit était un souffle ou un vent comme les témoins le disent pourquoi baptiser au nom de deux autre personne inférieures.

Voici un dernier passage, et là nous voyons que ces la cerise sur le gâteau. Hébreux 1:5 : "Car auquel des anges Dieu a-t-il jamais dit: Tu es mon Fils, Je t’ai engendré aujourd'hui? Et encore: Je serai pour lui un père, et il sera pour moi un fils? Et lorsqu'il introduit de nouveau dans le monde le premier-né, il dit: Que tous les anges de Dieu l'adorent ! De plus, il dit des anges: Celui qui fait de ses anges des vents, et de ses serviteurs une flamme de feu. Mais il a dit au Fils : Ton trône, ô Dieu, est éternel; Le sceptre de ton règne est un sceptre d'équité".

Dans 1.5 l'auteur cite deux textes de Écriture adressés à un "Fils." A qui Dieu pouvait-il s'adresser comme à un "Fils?" Un auditeur juif pourrait dire, "Apparemment, Dieu s'adresse à un certain ange, puisque les anges sont souvent appelés 'fils de Dieu'." L'auteur réfute cette interprétation dans les versets suivants montrant que Christ est un Fils et non un être angélique. Les textes de l'Ancien Testament que cite l'auteur sont parmi les textes-preuves les plus courants dans le Nouveau Testament pour montrer que Jésus est le Christ.

Voici la suite du passage que je vous invite a prendre chez vous. Hébreux 1:8 : "Mais il a dit au Fils: Ton trône, ô Dieu, est éternel; Le sceptre de ton règne est un sceptre d'équité, tu as aimé la justice, et tu as haï l'iniquité; C'est pourquoi, ô Dieu, ton Dieu t’a oint d'une huile de joie au-dessus de tes égaux". Ce passage nous montre que DIEU le père dit à Jésus que son trône est éternel mais il appelle jésus Dieu et dit qu’il est le Dieu de Christ. Nous voyons donc qu'il y a deux personnages : Dieu le père qui confirme que son fils est Dieu et non dieu en d minuscule.

Nous aurons l’occasion de parler du Saint Esprit mais voici encore une raison pour laquelle je ne suis pas témoins de Jéhovah.
Les témoins de Jéhovah au début s’appelaient 'étudiant de la bible', ce qui veut dire des personne qui étudient la bible en profondeur.  Malheureusement tout en étant étudiant de la bible ils ont jamais vu écrit que la fin de ce monde viendra comme un voleur. Mais les témoins de Jéhovah n'ont pas pris ce passage comme un enseignement de base.

Voici les dates prédites :
1914 - L’intronisation de Jésus et sa présence sur terre. Ed 1903 volume 2 « le temps est proche »
1925 - Rutherford annonce la venue des princes tels que Moise, Joseph, Abraham et tous autres prophètes. Il a construit une grande maison appelée Beth-Sarim. Des millions éd 1920 p75 et 83.
Vers 1941 - Annonce qu’Armageddon est proche et qu’il n’est pas nécessaire de se marier ni d'avoir des enfants.
Selon la Tour de garde 22/02/75 : 1975 est la fin des 6000 ans, et qu'à la fin de ces 6000 ans viendrait la fin de ce monde. Bulletin intérieur n°7 avril 1970 p 21.



Beaucoup de prévisions fausses
La Parole de DIEU dit à propos des faux prophètes : Deutéronome 18 :22 :
"Quand ce que dira le prophète n'aura pas lieu et n'arrivera pas, ce sera une parole que l'Éternel n'aura point dite. C'est par audace que le prophète l'aura dite : N'aie pas peur de lui".

Je vous invite à lire la Bible mais aussi a vérifier tout ce que toute personne se disant chrétien vous raconte.

mardi 16 novembre 2010

J’étais franc-maçon

Le témoignage de Maurice Caillet, ancien Vénérable au « Grand-Orient »

Interne des Hôpitaux de Paris puis chirurgien-gynécologue à Rennes en Bretagne, je suis né dans une famille d’origine chrétienne ayant complètement apostasié, qui n’a pas jugé bon de me faire baptiser dans l’enfance. J’ai été instruit dans les écoles et lycée laïques. Rationaliste et scientiste, j’ai adhéré aux théories de Jacques Monod sur « Le hasard et la nécessité », concernant les origines chimiques aléatoires et spontanées de la vie. Attiré par la franc-maçonnerie à l’âge de 35 ans, j’ai été un pionnier de la contraception artificielle, des stérilisations et de l’interruption volontaire de grossesse.

Divorcé puis remarié civilement, je me suis intéressé à de nombreuses formes d’ésotérisme et d’occultisme : Franc-Maçonnerie, Rose-Croix AMORC, chamanisme, magie blanche, techniques des guérisseurs, radiesthésie, géobiologie, yoga, taï-chi et Qi-Gong, spiritisme.
J’ai été Franc-Maçon actif pendant quinze années (Vénérable de Loge, 18° grade, Délégué au Convent, Membre de la Fraternelle des Hauts Fonctionnaires ), Rosicrucien AMORC pendant dix ans, occultiste, spirite et j’ai connu des Templiers, des Martinistes, des Alchimistes.


Tous sont des héritiers de la Gnose qui a voulu corrompre le christianisme, dès ses origines, en y introduisant des éléments des philosophies païennes, des mythes et des symboles, pourtant obsolètes après les révélations de Jésus Christ et sa Résurrection. Ces mythes et ces symboles, repris par la Maçonnerie opérative, foisonnent dans nos églises et cathédrales.

Tous se réfèrent volontiers à la Bible, mais c’est pour en faire un texte ni plus ni moins sacré que les Upanishads, la Bhagavad-Gita ou le Livre des morts des Égyptiens.
Tous parlent de Dieu (les esprits mauvais le connaissent aussi) mais ramènent Jésus au rang d’initié ou de prophète et le mettent au niveau de Bouddha, Confucius ou Lao-Tseu.

La franc-maçonnerie est particulièrement nocive pour le christianisme car elle n’a pas les apparences d’une secte, mais d’une benoîte association philosophique (cotisations modérées, organisation démocratique des trois premiers grades, pas de contrainte apparente, pas de lavage de cerveaux perceptible), mais depuis 250 ans elle imprègne progressivement et profondément les idées et les législations de tous les pays : laïcité, clubisme, divorce, contraception, avortement , p.a.c.s , dépénalisation des drogues, euthanasie...
Elle prétend rechercher la vérité, mais prône le relativisme : pour elle il n’y a pas une mais des vérités, tant sur le plan religieux que sur le plan moral. Elle prétend donner la « lumière » à ses initiés, alors qu’elle oeuvre dans le secret des loges et qu’elle refuse de reconnaître que Jésus est la Lumière, la Vérité et la Vie.



Le plus grand génocide de l'histoire !

vendredi 24 septembre 2010

L’origine des sociétés secrètes

Les Sociétés secrètes ont tué Jésus-Christ!



Comment les sociétés secrètes ont-elles commencé, et pourquoi devaient-elles être nécessairement secrètes ? La réponse est à la fois choquante et pleine d’informations parce qu’elle établit le fondement de notre compréhension sur toute société secrète.

L’écrivain chrétien, le révérend Alexander Hislop, a publié un livre intitulé Les deux Babylones : le culte papal. Il déclara que l’on peut retracer les sociétés secrètes jusqu’au temps de Nimrod qui devint, après sa mort, le " premier mortel déifié " [p. 32].

Qui était Nimrod ?

Quelques années seulement après le Déluge, duquel ne survécurent que Noé et sa famille, un homme puissant surgit de ce qu’on appelle aujourd’hui l’ancienne Babylone. Son nom était Nimrod, un puissant guerrier, et il commandait le respect par sa formidable présence sur l’ancienne Babylone. Nimrod institua ouvertement un système d’idolâtrie satanique et de nombreux peuples s’attroupèrent autour de ce culte. À l’époque, le système religieux prédominant qui régnait dans le monde était le culte envers l’Unique Vrai Dieu.

Peu après que Nimrod eut établi sa religion " alternative ", fondée sur la sorcellerie et l’idolâtrie, Sem, un des fils de Noé, fut grandement irrité et motivé par le Dieu Tout-Puissant afin d’écarter Nimrod. Sem attaqua Nimrod par voie militaire et le défit en le faisant prisonnier. Sem exécuta Nimrod ainsi que nombre de ses prêtres et disciples sataniques. Comme exemple de la nature complète de sa victoire, Sem ordonna que le corps de Nimrod soit dépecé en morceaux. On expédia ces morceaux dans toutes les parties du monde connu à cette époque pour démontrer à chacun que le culte à Satan par l’idolâtrie et la sorcellerie ne serait pas toléré. Le monde sembla sauvé de cette vague de mal.

Or, l’épouse de Nimrod, Sémiramis, et quelques prêtres qui avaient survécu, joignirent leurs forces pour créer une religion secrète et clandestine. Ils déifièrent Nimrod, créant une contrefaçon du véritable Messie, Jésus-Christ. Ils conçurent un système de Mystères sataniques destiné à se répandre dans le monde entier. L’enseignement de ces " Mystères ", comme on se plût à les appeler, ramenèrent très subtilement les hommes au même système de magie et d’idolâtrie de Nimrod que Sem avait si vigoureusement détruit. Ce faux sentier fut rendu attrayant aux hommes par la promesse qu’on leur dévoilerait des vérités cachées, en les séduisant par l’attrait d’avoir à garder secrète une telle connaissance et en les liant ensemble par des serments sévères, ainsi que des signes et poignées de main secrètes.

C’est ainsi que débutèrent les sociétés secrètes, quelques générations après le Déluge, aux environs de 2 200 av. J.-C.. Ainsi donc, les sociétés secrètes existent depuis plus de 4 000 ans dans l’histoire de l’humanité ; elles sont littéralement l’église de Satan depuis leur début. Elles se sont toujours opposées absolument à chaque partie du plan de Dieu pour l’humanité et se sont engagées à le détruire. Cet engagement à détruire le système de Dieu était énoncé de telle manière que leurs membres furent amenés à penser qu’en réalité, ils essayaient d’accomplir le " bien ". Est-ce pour cela que Dieu lance cet avertissement, dans Ésaïe 5:20 : " Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal " ? Les sociétés secrètes renversent littéralement la définition des mots et ainsi ils qualifient le bien de Dieu de " mal " et le mal de Satan de " bien ".

Il y a encore une autre raison pour laquelle les sociétés secrètes devaient s’établir dans le secret et demeurer secrètes. Leur but n’était rien de moins que le renversement de tous les gouvernements existants et de la religion de Dieu. Si elles tentaient d’instaurer publiquement leur organisation, les autorités régnantes se mettraient en branle, les arrêteraient immédiatement pour trahison et les gens qui ordonnaient leur vie personnelle selon les préceptes du système installé par Dieu réclameraient à grand cri l’arrestation et l’exécution de ces individus. Ainsi donc, leurs buts et leurs activités devaient être accomplis dans le plus grand secret. Mais bien plus, les leaders de ces sociétés secrètes croyaient que leur pouvoir s’accroîtrait énormément s’ils restaient complètement dans l’ombre.

En conclusion, l’on peut retracer l’origine des sociétés secrètes au roi satanique de l’ancienne Babylone, Nimrod. Elles furent édifiées après que Nimrod eut été exécuté par Sem pour avoir commis le crime de réinstaller publiquement la sorcellerie et l’idolâtrie. Pour préserver ce culte satanique et achever le renversement du système détesté qui avait détruit Nimrod, s’établit un système secret de satanisme. Au moyen des sociétés secrètes, le système de satanisme babylonien fut préservé.

À partir de ce système surgira l’Antichrist qui essayera de détruire le système de Dieu, comme ce fut le plan des sociétés secrètes depuis le début. À ce moment-là, le monde entier sera submergé par la restauration publique de l’ancien système babylonien du culte à Satan. Nous sommes aujourd’hui très proches de cet événement ; ainsi donc, nous ne devrions pas être surpris de réaliser que Dieu identifie le système de l’Antichrist, dans le livre de l’Apocalypse, en tant que " Mystère, Babylone la grande " (chapitre 17). Dieu est fort précis et littéral dans Ses prophéties.

Les caractéristiques

Les Mystères de Babylone se répandirent ensuite en Égypte, où le récit de la mort de Nimrod et le démembrement de son corps par Sem fut réadapté en tant qu’histoire d’Osiris. Bon nombre des légendes importantes dans lesquelles les Mystères occultes sont insérés ont été adaptées aux nombreuses cultures et toujours avec des noms uniques et spécifiques à chaque culture. De cette façon, Satan répand avec succès son faux système de par le monde, s’emparant de l’esprit et du cœur des leaders clés de chaque pays. À mesure que le temps passa et que les sociétés secrètes s’installèrent dans de nombreux pays et cultures différents, ces leaders commencèrent à développer des caractéristiques communes parce qu’ils servaient le même être surnaturel, Satan. Il serait donc utile d’étudier cette similitude de caractéristiques.


Orgueil arrogant

Les membres des sociétés secrètes se sont toujours joints sous invitation, créant ainsi un effectif qui se considérait exclusif, séparé et supérieur au reste des gens de la société en général. Cette attitude arrogante était encore rehaussée par l’enseignement qu’il existait une connaissance spirituelle et temporelle cachée, à n’être révélée qu’aux Initiés seulement, ou aux " Sages ", comme ils se qualifient eux-mêmes. Ces Sages croyaient que les Mystères se situaient hors de la compréhension du commun des mortels, ou de la " vulgaire " masse des gens. En fait, cette arrogance était si répandue chez les Sages de ces sociétés secrètes qu’ils commencèrent à procéder vraiment à l’enseignement de mensonges chez les gens du commun, se réservant à eux-mêmes les vraies connaissances spirituelles et temporelles. En cela, ces hommes furent très différents des chefs des fausses religions, comme Mohamed et Bouddha, qui essayèrent, eux, de propager leurs enseignements aux masses. Les sociétés secrètes allèrent très loin dans leur dissimulation de la vérité vis-à-vis du commun des gens.


Nous devons nous montrer très clairs à ce sujet : aucun Adepte d’une société secrète qui avait appris la vérité secrète ne pouvait révéler cette vérité aux gens du commun. La punition pour une telle révélation de la vérité aux gens du peuple, c’était la mort, la plus extrême et douloureuse possible. Gardez ce fait à l’esprit, car cela aura une grande signification plus loin.

 Développement d’une double personnalité 

Parce que chaque membre avait appris de terribles informations, qu’il avait promis de garder absolument secrètes vis-à-vis de toute personne qui n’était pas membre, les membres commencèrent à développer deux personnalités distinctes. Une de ces personnalités était publique et l’autre extrêmement secrète. L’art de la tromperie, même auprès des membres de la famille intime, se développa rapidement. Ce qu’un associé voyait en parole et en action était littéralement fort différent de la personne qui existait intérieurement.


L’enseignement oral vénéré

Les sociétés secrètes enseignaient que l’Enseignement Oral était tout aussi important et sacré que n’importe quelle Œuvre Écrite. Comme nous allons le voir dans quelques instants, lorsque nous étudierons la société secrète juive de la Kabbale, cet accent mis sur l’Enseignement Oral est un outil de premier ordre de Satan. Rappelez-vous que Dieu a établi Ses Saintes Écritures en tant qu’œuvre écrite sacrée. Il a déclaré à plusieurs reprises que cette œuvre écrite ne changerait jamais, qu’elle s’accomplirait absolument et complètement et qu’elle durerait toute l’éternité. Puisque Satan travaille toujours à l’opposé de Dieu, ne soyons pas étonnés de le voir mettre fortement l’accent sur l’enseignement oral. Aux confins des Sociétés Secrètes, l’enseignement oral sert également le dessein exigeant de conserver leurs sociétés et leurs enseignements secrets. L’enseignement oral est un outil de Satan.


L’homme est intrinsèquement bon

Les sociétés secrètes enseignent que l’homme est foncièrement bon, qu’il n’a été corrompu que par son environnement physique et spirituel. Bien sûr, cela contredit l’enseignement biblique clair et cohérent que l’homme est foncièrement méchant (Jérémie 17:9).


La promesse d’un Rédempteur

Virtuellement toutes les sociétés secrètes enseignent qu’un jour un Roi Rédempteur se lèvera pour conduire le monde entier dans la connaissance cachée. Le monde ne pourra vivre dans " l’Âge d’Or " pour lequel il est destiné que lorsque toute l’humanité sera initiée à ces Mystères. Cet enseignement est une contrefaçon de la Vérité de la Bible qui déclare, du début à la fin, que le Messie va rétablir Son Royaume éternel. Ici, nous devons comprendre un détail fort critique : le Roi Rédempteur que les sociétés secrètes attendent diffère de façon significative du Roi Rédempteur de la Bible, que nous savons être Jésus-Christ.

Voici quelques différences :

• Jésus-Christ est Dieu Tout-Puissant et Omnipotent, le second Membre de la Trinité. Le Roi Rédempteur des sociétés secrètes est un Maître Ascendant, un homme ayant surgi du sein des sociétés secrètes, qui a vécu plusieurs vies et a atteint l’état de " perfection ". Il possède la " Conscience christique " inhérente à cet état de perfection et possède ainsi la connaissance nécessaire pour conduire l’humanité dans l’Âge d’Or parfait.

• Jésus-Christ possède la puissance inhérente parce qu’Il était et qu’Il est Dieu. Le Roi Rédempteur des sociétés secrètes ne peut qu’avoir un " accès " à la puissance du Logos, de l’Occulte, et ce, seulement parce qu’il fut Adepte des Mystères. Il ne possède aucun pouvoir inhérent ; au lieu de cela, le seul pouvoir qu’il puisse commander est dérivé de sa connaissance de l’occulte.

• Jésus-Christ a rétabli la Loi et les Prophètes et relevé le standard au niveau où Dieu l’avait établi sous Moïse. Le Roi Rédempteur qu’attendent les sociétés secrètes va continuer à cacher les vérités secrètes aux gens du peuple, élevant les membres des sociétés secrètes à leur place d’honneur légitime dans la société.


Retournons à l’histoire des sociétés secrètes, maintenant que nous avons établi le fondement de notre compréhension. À l’époque où Dieu conduisait les enfants d’Israël hors de leur esclavage en Égypte (autour de 1 500 av. J.-C.), l’enseignement des sociétés secrètes du Moyen Orient existait depuis plusieurs centaines d’années. Dans les siècles précédant la naissance de Jésus, ce virus mortel commença à s’infiltrer chez les leaders religieux juifs. Ces leaders juifs commencèrent donc à tremper dans l’occultisme. On commença par épouser une tradition juive secrète et orale, distinctement séparée du Pentateuque écrit par Dieu.

Deux systèmes d’enseignement oraux juifs furent ensuite créés, l’un public et l’autre secret. L’enseignement public traitait des affaires de tous les jours, comme des lois sur l’achat, la vente, les contrats et ce qui constituait du travail le jour du sabbat ; cette loi pratique fut plus tard appelée Talmud. Jésus se répandit en invectives contre l’imposition de cette loi d’hommes sur le peuple parce qu’elle le liait trop étroitement aux prêtres et cela créait une série de standards frustrants que personne ne pouvait atteindre. Or, ces standards ne venaient pas de Dieu, ils venaient des hommes afin que les prêtres puissent contrôler le peuple.

La deuxième série d’enseignements oraux juifs était extrêmement secrète et procédait de la classique société secrète ; ces enseignements furent connus sous le nom de Kabbale. Un des livres constituant la Kabbale se nommait Sepher-Ha-Zohar, ou " Livre de Lumière ". Ce livre fut couché par écrit par le rabbin Simon et son fils, Éliézer, qui s’assirent dans une caverne, tous les jours pendant douze jours, avec du sable jusqu’au cou. Pendant qu’ils étaient dans cette surprenante position, ils " méditèrent " sur la loi sacrée et furent visités fréquemment par le grand prophète Élias [Nesta Webster, Sociétés Secrètes, p. 8]. L’apôtre Paul atteignit directement la cible quand il donna l’avertissement, dans 2 Corinthiens 11:14-15, que Satan et ses démons peuvent se transformer en anges de lumière et en ministres de justice dans le but de tromper l’homme crédule. L’un des plus fréquents points communs parmi les fausses religions est que le texte original de révélation est donné au fondateur de la dite religion par un ange de lumière. Prenons comme exemple Mahomet et Joseph Smith (mormonisme) qui se virent octroyer leurs " nouvelles " révélations par un ange de lumière.


Ainsi donc, la prêtrise juive commença à fomenter un plan pour amener tout le peuple juif dans l’esclavage spirituel et physique en créant le système dualiste du Talmud public et de la très secrète Kabbale. Les enseignements du Talmud public enchaînaient le peuple par près de 1 000 règles sur la vie quotidienne et cela commença à les écarter de la vérité spirituelle que Dieu avait révélée à Moïse. Donc, la première condition requise d’une société secrète était remplie, soit celle de cacher la Vérité au peuple, en partie au moyen de fabrications pures et simples, et en partie en ajouts aux lois mosaïques originales.


Les enseignements secrets de la Kabbale étaient virtuellement sataniques. Certains auteurs ont admis que ces enseignements servaient des desseins " magiques ". Un écrivain critique de la Kabbale écrivit qu’ils sont " un poison subtil qui pénètre dans les veines du judaïsme et l’infecte entièrement " [Theodore Reinach, cité par Nesta Webster dans Sociétés Secrètes, p. 9]. Salomon Reinach qualifie la Kabbale de " l’une des pires aberrations que l’esprit humain ait conçue ". De plus, la Kabbale a influencé de manière significative les croyances et la direction de nombreuses sociétés secrètes européennes qui s’édifièrent dans les siècles qui suivirent. Cette influence fut si profonde que beaucoup de sociétés secrètes non juives ont littéralement revêtu un ton et un caractère juif.

Puisque Satan est le " seigneur de ce monde ", il a le pouvoir de faire prospérer ceux qui suivent son leadership. Ce fut l’appât qui attira ces leaders religieux vers les propriétés magiques et mystiques de la Kabbale. Et ne vous y leurrez pas : ces leaders juifs prospéraient abondamment. Même si Israël souffrait sous l’esclavage des dirigeants païens, comme la Grèce ou Rome, les prêtres juifs gagnèrent une certaine autonomie qui leur permettait de régner virtuellement en dictateurs sur leurs concitoyens juifs. Et le commun des simples citoyens juifs ne comprenait tout simplement pas que ces leaders religieux leur avaient imposé un système qui, simultanément, leur mettait un joug au cou pendant qu’eux-mêmes s’élevaient à des postes de grand pouvoir et de grande richesse. Et le fossé d’incompréhension était si profond que le citoyen juif moyen admirait et honorait encore grandement ces dirigeants religieux qui l’affligeaient tant.


Maintenant, examinons les Pharisiens, dont la plupart étaient membres de la Kabbale, en utilisant les cinq caractéristiques communes que nous avons déjà vues. Nous allons également nous reporter à des passages pertinents du Nouveau Testament pour éclairer notre compréhension. Vous serez atterrés de constater la nouvelle signification que prendront ces fameux passages bibliques, maintenant que vous comprenez que les Pharisiens, qui concoctèrent et exécutèrent le plan servant à tuer Jésus, étaient membres de la société secrète appelée la Kabbale, et maintenant que vous comprenez que Jésus parlait directement à des membres de cette société secrète.

Les Pharisiens possédaient :                                                        

un orgueil arrogant — Matthieu 23:12-13 : " Car quiconque s’élèvera sera abaissé ; et quiconque s’abaissera sera élevé. 13Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous fermez aux hommes le royaume des cieux ; vous n’y entrez point vous-mêmes, et n’y laissez point entrer ceux qui veulent y entrer. " Une des caractéristiques des sociétés secrètes, c’est qu’elles cacheront au peuple la vérité clé, spécialement celle qui dit comment obtenir le salut éternel ; elles garderont plutôt cette vérité pour elles comme moyen de pouvoir et de privilèges. Jésus parle directement de cette terrible situation dans Luc 11:52 : " Malheur à vous, docteurs de la loi, parce qu’ayant pris la clef de la connaissance, vous n’y êtes pas entrés vous-mêmes, et vous avez empêché d’y entrer ceux qui voulaient le faire. " Les enseignants et docteurs de la loi connaissaient la vérité toute simple que Dieu avait développée pour le peuple afin qu’il soit sauvé pour l’éternité et qu’il développe son amour pour Lui.

Pourtant, ils cachèrent cette vérité au peuple, lui substituant le terrible système suffoquant des règles de vie quotidienne contre lequel s’objecta si vivement Jésus. Cette damnée société secrète de Pharisiens envoyait littéralement des populations entières de Juifs en enfer parce qu’ils leur avaient caché la vérité. C’est pourquoi Jésus se répandit si terriblement en invectives contre eux. Voyez-vous, Satan avait convaincu ces Pharisiens que tous les Juifs allaient au ciel de toute manière, simplement parce qu’ils étaient Juifs; par conséquent, ils pensaient que ce que croyaient vraiment les Juifs n’avait pas d’importance éternelle. Au moyen de cette tricherie spirituelle, les Pharisiens maintenaient plus fermement entre leurs mains leur pouvoir et leur prestige terrestre.


Les Pharisiens développèrent une double personnalité — Matthieu 23:27-28 : " Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, car vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux par dehors, mais qui au-dedans sont pleins d’ossements de morts et de toute sorte de pourriture. " Jésus parle ici clairement de cette double personnalité des membres d’une société secrète. Les Pharisiens avaient habilement et efficacement caché l’existence de leurs croyances sataniques à leurs sujets, mais ne pouvaient les cacher aux Yeux omniscients du Dieu Jésus.


Les Pharisiens élaborèrent de complexes systèmes d’enseignement oral et ils incitèrent le peuple juif à les révérer —Matthieu 15:1-9 : " Alors des scribes et des pharisiens vinrent de Jérusalem à Jésus, et lui dirent : Pourquoi tes disciples transgressent-ils la tradition des anciens [Talmud] ? car ils ne se lavent point les mains lorsqu’ils prennent leurs repas. Mais il leur répondit :

Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu pour votre tradition ? (…) ainsi vous avez anéanti le commandement de Dieu par votre tradition ! Hypocrites ! Ésaïe a bien prophétisé à votre sujet, lorsqu’il a dit : (…) Mais ils m’honorent en vain, en enseignant des doctrines qui sont des commandements d’hommes. " Jésus parle ici clairement et fortement contre le mal que la société secrète des Pharisiens avait perpétré contre le peuple juif, celui de créer une tradition orale censément égale à l’enseignement écrit de Dieu et, en fait, en flagrante contradiction avec la Parole écrite de Dieu. Personne ne comprenait comment l’on avait été trompé parce que l’on ne possédait pas la Parole écrite de Dieu, chez le peuple.

Ce sont les Pharisiens qui avaient la Parole écrite de Dieu, et ils la gardaient pour eux. Nous vous encourageons à lire soigneusement Matthieu 15:1 à 20, avec en tête l’indice que Jésus parle d’abord ici contre des enseignements et des pratiques de société secrète satanique. D’une fois à l’autre, Jésus déclare que les Pharisiens iront en enfer. Il ne mâche pas Ses mots. À deux occasions, Jésus qualifie les Pharisiens de " vipères ", (synonyme de " Serpent "). Nous savons, bien sûr, que le Serpent est régulièrement utilisé dans la Bible comme l’un des noms de Satan. Mais Jésus ne laisse aucune place à l’erreur concernant ce sujet, ne voulant pas que nous manquions la leçon que les Pharisiens n’étaient pas de simples pécheurs. Dans Jean 8:44, Jésus a dit que le père des Pharisiens, " c’est le diable ". Jésus n’a jamais dit cela d’une autre personne ou groupe de personnes. Il était très compatissant envers les pécheurs ; la raison pour laquelle Jésus se montra aussi sévère envers les Pharisiens, était qu’Il savait qu’ils adoraient Satan par leur participation à la société secrète de la Kabbale.


Les Pharisiens croyaient que l’homme est intrinsèquement bon — Parce que les Pharisiens croyaient que l’homme est foncièrement bon, ils développèrent un système de salut basé sur les œuvres. Ce système d’œuvres devait s’appeler plus tard le Talmud ; toutefois, Jésus préférait s’y référer en tant que " Traditions d’hommes ". La Bible enseigne clairement, cependant, que l’homme est intrinsèquement méchant ; par conséquent, il n’y a absolument aucun moyen pour que l’homme puisse faire assez de bonnes œuvres pour expier complètement sa méchanceté. Jésus ne laisse planer aucun doute sur le fait que les Pharisiens avaient concocté ce système d’œuvres. Chaque fois qu’Il se répandait vertement en reproches contre cette " Tradition d’hommes ", Il parlait de ce fameux enseignement religieux voulant que le salut s’obtienne par de bonnes œuvres. À toutes les fois que vous voyez Jésus dire " Vous dites… mais je vous dis… ", Il aborde habituellement cette question des œuvres en rapport avec le salut.


Les Pharisiens recherchaient le Roi/Rédempteur promis — Les érudits païens, comme les érudits vraiment judaïques, attendaient qu’un Roi Messie se lève pour conduire l’humanité vers une nouvelle lumière spirituelle et une nouvelle prospérité matérielle. Toutefois, les païens des sociétés secrètes cherchaient un Rédempteur promis fort différent de Celui que la Bible enseignait. Et, maintenant que nous savons que les Pharisiens qui s’opposèrent si fortement à Jésus-Christ, qui voulaient tellement Le voir mort, et qui démontrèrent une haine si surnaturelle envers Lui, étaient membres d'une société secrète, la Kabbale.