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mercredi 7 mai 2008

Quelques questions cruciales posées aux Catholiques.

Par Joe Mizzi

Jésus nous a parlé de deux chemins : un chemin large qui mène à la mort, et un chemin étroit qui mène à la vie. Comment puis-je savoir où se trouve le chemin qui mène au Ciel, et comment puis-je éviter l'autre chemin ?

L'Evangile nous présente le véritable chemin qui mène à la vie, car il est le message de Dieu pour l'humanité. Les hommes ont inventé beaucoup de religions, mais elles sont toutes fausses. La Bible nous met en garde contre la "sagesse du monde" : "Car puisque le monde, avec sa sagesse, n'a point connu Dieu dans la sagesse de Dieu, il a plu à Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication" (1 Cor. 1 :21).

Ce message de Dieu est écrit dans la Bible. Elle a été écrite par des hommes choisis par Dieu, qui ont été guidés par le Saint-Esprit. Nous pouvons faire confiance à la Bible, parce qu'elle est le livre de Dieu. Nous pouvons aussi être certains que la Bible est notre guide sûr pour le Ciel. Les Saintes Ecritures peuvent nous rendre sages à salut par la foi en Jésus-Christ (2 Timothée 3 :15).

Qu'en est-il de la Tradition de l'Eglise Catholique ? Jésus nous a mis en garde contre la tradition (Marc 7 :1-13). Il reproche aux Juifs d'annuler la Parole de Dieu par leurs traditions. Ils auraient dû rester fidèles à la Bible. Il en est de même pour la Tradition de l'Eglise Catholique : elle a modifié l'enseignement clair de la Bible. Par exemple, l'Eglise Catholique recommande l'emploi de statues, alors que le second commandement interdit la fabrication d'images et de statues, ainsi que le fait de se prosterner devant elles (Exode 20 :4).

Qu'en est-il de ceux qui enseignent la religion ? Nous devons écouter ceux qui nous enseignent, pour autant que leurs enseignements sont fidèles à la Bible. Nous devons agir comme les habitants de Bérée : "Ces Juifs avaient des sentiments plus nobles que ceux de Thessalonique ; ils reçurent la parole avec beaucoup d'empressement, et ils examinaient chaque jour les Ecritures, pour voir si ce qu'on leur disait était exact" (Actes 17 :11).

Le sacrifice pour le péché.

Nous avons la responsabilité d'aimer et d'obéir à notre Créateur. Toutefois, depuis le commencement de la création de l'homme, nous nous sommes rebellés contre Lui. A cause de nos péchés, nous sommes coupables, et nous risquons d'aller en Enfer si nous ne choisissons pas la solution de Dieu.

Il n'y a qu'un seul moyen d'échapper à l'Enfer. La Bible dit : "Presque tout, d'après la loi, est purifié avec du sang, et sans effusion de sang il n'y a pas de pardon" (Hébreux 9 :22). Dans l'Ancien Testament, Dieu ordonnait à Son peuple d'offrir des animaux en sacrifice sur l'autel du Temple. Cela devait permettre aux Juifs d'apprendre deux vérités fondamentales : 1) Le péché devait être puni. 2) Le pécheur pouvait être libéré si quelqu'un d'autre était puni à sa place. Ces sacrifices, bien entendu, représentaient ce que Jésus, l'Agneau de Dieu, allait accomplir au Calvaire.

"Christ aussi a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Dieu" (1 Pierre 3 :18).

Christ était parfait et sans péché. Mais Il a pris sui Lui les péchés de Son peuple. Il a souffert et Il est mort sur la croix pour payer le châtiment exigé par la Loi de Dieu. Libérés du péché, Ses disciples peuvent à présent s'approcher de Dieu sans crainte. Christ nous a sauvés de nos péchés par Son sacrifice à la croix.

La veille de Sa crucifixion, Jésus a institué la Cène, pour que Ses disciples continuent à commémorer Son sacrifice, jusqu'à Son retour. Hélas, la Tradition a modifié la signification de cet acte. L'Eglise Catholique enseigne que le pain et le vin sont littéralement transformés en corps et en sang de Jésus-Christ. Il est vrai que Jésus a dit : "Ceci est mon corps… Ceci est mon sang". Toutefois, Il a aussi ajouté : "Faites ceci en mémoire de moi". Le pain et le vin ne sont là que pour commémorer Son sacrifice à la croix du Calvaire.

"Car Christ n'est pas entré dans un sanctuaire fait de main d'homme, en imitation du véritable, mais il est entré dans le ciel même, afin de comparaître maintenant pour nous devant la face de Dieu. Et ce n'est pas pour s'offrir lui-même plusieurs fois qu'il y est entré, comme le souverain sacrificateur entre chaque année dans le sanctuaire avec du sang étranger ; autrement, il aurait fallu qu'il eût souffert plusieurs fois depuis la création du monde, tandis que maintenant, à la fin des siècles, il a paru une seule fois pour abolir le péché par son sacrifice. Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement, de même Christ, qui s'est offert une seule fois pour porter les péchés de plusieurs, apparaîtra sans péché une seconde fois à ceux qui l'attendent pour leur salut" (Hébreux 9 :24-28).

Le "sacrifice" quotidien de la Messe implique que le péché et la culpabilité demeurent. Dans la foi chrétienne véritable, il n'y a plus de sacrifice pour le péché, parce que les Chrétiens ont reçu l'assurance que leurs péchés ont été pardonnés pour toujours. Le Seigneur a proclamé : "Et je ne me souviendrai plus de leurs péchés ni de leurs iniquités. Or, là où il y a pardon des péchés, il n'y a plus d'offrande pour le péché" (Hébreux 10 :17-18).

Je prie que vous arrêtiez de vous confier en un sacrifice accompli par des hommes, mais que vous vous approchiez de Dieu sur la base des mérites du sacrifice unique accompli par Christ sur la croix.

Un seul médiateur.

Dieu est saint, et nous sommes pécheurs. Il est donc impossible de nous approcher de Lui sans un médiateur. Nous avons besoin de ce médiateur pour nous purifier de nos péchés et nous présenter devant Dieu. Jésus-Christ est ce médiateur : "Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous" (1 Tim. 2 :5-6). Lui seul est notre médiateur, car Il est le seul à avoir versé Son sang pour nous libérer de l'esclavage du péché.

Hélas, la Tradition a brouillé l'enseignement clair de la Bible. Comme les hommes n'ont pas voulu faire confiance à la Parole de Dieu, ils ont inventé d'autres "médiateurs".

Marie, la mère du Seigneur.

Marie occupe une place unique parmi toutes les femmes, car elle a été choisie pour être la mère de notre Seigneur, selon la chair. Il est donc juste que les Chrétiens l'appellent "bienheureuse", en raison de ce privilège unique. Toutefois, ce n'est pas Marie qui nous a sauvés, et elle n'est pas notre médiatrice.

L'Eglise Catholique enseigne que Marie a été conçue sans péché, qu'elle a contribué à notre salut par ses souffrances, qu'elle est montée au Ciel et qu'elle a été nommée notre médiatrice. Les Catholiques l'appellent aussi "notre vie", et la "porte du Ciel". La Bible n'enseigne rien de tout cela. Au contraire, la Parole de Dieu enseigne que c'est Jésus qui a été conçu sans péché, qu'Il est mort pour nos péchés, qu'Il est monté au Ciel, et qu'Il est l'unique médiateur. Lui seul est notre Vie, et la Porte du Ciel. C'est donc à Jésus-Christ que nous devons regarder.

Marie a dit : "Mon âme exalte le Seigneur, et mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur" (Luc 1 :46-47). Marie désire exalter le Seigneur. Elle ne veut aucune gloire pour elle-même. En outre, elle nous enseigne clairement que nous devons regarder à Dieu pour notre salut, et non pas à elle ou à quelque autre personne. Elle confesse que Dieu est "son sauveur". Nous devons donc invoquer le nom de Jésus, et non celui de Marie. Car l'apôtre Pierre a dit, au sujet du Seigneur Jésus : "Il n'y a de salut en aucun autre ; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés" (Actes 4 :12).

Le prêtre catholique.

Les prêtres de l'Ancien Testament étaient des pécheurs. Ils ne pouvaient offrir que le sang des animaux, et ils entraient dans un Temple fait de main d'homme. Jésus est infiniment meilleur, car Il est sans péché, Il a offert Son propre sang, et Il est entré dans le Ciel même :

"Il nous convenait, en effet, d'avoir un souverain sacrificateur comme lui, saint, innocent, sans tache, séparé des pécheurs, et plus élevé que les cieux, qui n'a pas besoin, comme les souverains sacrificateurs, d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, car ceci, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même" (Hébreux 7 :26-27).

Quel besoin avons-nous d'un prêtre de l'Eglise Catholique Romaine pour offrir des sacrifices pour le péché, puisque nous avons Jésus-Christ ? "C'est aussi pour cela qu'il peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur" (Hébreux 7 :25).

Le pardon de nos péchés.

Puisque le péché est la transgression de la Loi de Dieu, seul Dieu peut pardonner nos péchés. Lorsque David eut commis un très grave péché, il retrouva la paix lorsqu'il eut confessé son péché à Dieu : "Je t'ai fait connaître mon péché, je n'ai pas caché mon iniquité ; j'ai dit : j'avouerai mes transgressions à l'Eternel ! Et tu as effacé la peine de mon péché" (Psaume 32 :5).

La Tradition des hommes a tordu l'enseignement de la Bible. Les prêtres catholiques prétendent posséder le pouvoir de juger les pécheurs, ainsi que de donner ou de retenir l'absolution, qui est la sentence juridique de pardon. On a enseigné à la plupart des Catholiques que Jésus Lui-même a institué le sacrement de la pénitence, lorsque Il a dit aux apôtres : "Ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils leur seront pardonnés ; et ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus" (Jean 20 :23).

Il est clair que Jésus leur a donné le pouvoir de pardonner. Mais nous devons nous poser les questions suivantes : "Quelle sorte de pouvoir Jésus leur a-t-Il donné ? Les a-t-Il établis juges ? Leur a-t-Il demandé d'aller pardonner les péchés en ayant recours à une certaine méthode ?" Les réponses sont claires quand nous lisons les Actes des Apôtres et tout le reste du Nouveau Testament. La Bible ne nous montre nullement que les apôtres recevaient des confessions et donnaient des absolutions. Ils prêchaient l'Evangile, ils exhortaient les gens à se repentir, et de croire en Jésus pour le pardon de leurs péchés. L'apôtre Pierre a déclaré : "Tous les prophètes rendent de lui le témoignage que quiconque croit en lui reçoit par son nom le pardon des péchés" (Actes 10 :43). Quant à l'apôtre Paul, il a dit : "Sachez donc, hommes frères, que c'est par lui que le pardon des péchés vous est annoncé, et que quiconque croit est justifié par lui de toutes les choses dont vous ne pouviez être justifiés par la loi de Moïse" (Actes 13 :38-39).

Si vous voulez que Dieu vous pardonne vos péchés, croyez au Seigneur Jésus-Christ, et vous serez sauvés !

La Religion Catholique fait aussi une autre faute capitale en ce qui concerne le pardon des péchés. L'Eglise Catholique enseigne que le pardon de Dieu n'est pas parfait. Quand un prêtre donne l'absolution à un Catholique, celui-ci doit encore accomplir un acte de pénitence, pour expier ses péchés. Même après leur mort, la plupart des Catholiques s'attendent à aller au Purgatoire, pour y être purifiés par le feu.

La Bible nous assure que tous nos péchés sont pardonnés à cause du nom de Jésus-Christ, et que "le sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché" (1 Jean 2 :12 et 1 :7). Nous n'avons donc plus aucun besoin de faire pénitence pour nos péchés, ni d'aller au "Purgatoire", puisque nos péchés sont purifiés par Son sang !

L'Eglise.

Un jour, Jésus demanda à Ses disciples : "Et vous, qui dites-vous que je suis ?" (Matthieu 16 :15). Pierre répondit : "Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant" (verset 16). Jésus approuva Pierre, et lui dit : "Tu es heureux, Simon, fils de Jonas ; car ce ne sont pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais c'est mon Père qui est dans les cieux. Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Eglise, et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle" (versets 17-18).

Quelle est donc cette "pierre" sur laquelle est bâtie l'Eglise ? Certains prétendent qu'il s'agit de Pierre. D'autres pensent qu'il s'agit de la confession de Pierre : "Tu es le Christ".

Si Paul a enseigné que l'Eglise était fondée sur les apôtres et les prophètes (Ephésiens 2 :20), c'est parce que l'Eglise est fondée sur les enseignements qu'ils ont donnés concernant Christ. Quant à l'Eglise Catholique, elle enseigne que l'Eglise est fondée sur Pierre, parce qu'il a été nommé l'évêque suprême de l'Eglise Universelle. Ceci est faux, tout simplement. Pierre était l'un des principaux apôtres. Mais, dans le Nouveau Testament, Pierre n'a jamais été considéré comme le chef de toute l'Eglise. Le Vatican enseigne que Pierre est le "pasteur suprême" de l'Eglise. C'est ce que le Catéchisme de l'Eglise Catholique enseigne, à son paragraphe 857. Mais Pierre lui-même ne serait pas d'accord avec cette déclaration, car il dit que Jésus est "le souverain pasteur" de l'Eglise (1 Pierre 5 :4).

La "pierre", plus exactement le "roc", peut représenter la confession que Pierre fait concernant Christ, le Fils de Dieu. Saint Augustin avait enseigné cela. Même le Catéchisme catholique admet que cette interprétation est correcte : "Poussés par la grâce du Saint-Esprit et attirés par le Père, nous croyons en Jésus et confessons : "Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant". Sur le roc de cette foi confessée par Saint Pierre, Christ bâtit Son Eglise" (paragraphe 424).

Nous devons répondre sans hésitation aux questions fondamentales que nous pouvons nous poser sur l'Eglise, parce que la Bible nous donne des réponses claires :

Qui est le Chef de l'Eglise ? "Christ est le chef de l'Eglise, qui est son corps, et dont il est le Sauveur" (Ephésiens 5 :23).

Sur qui est fondée l'Eglise ? "Car personne ne peut poser un autre fondement que celui qui a été posé, savoir Jésus-Christ" (1 Cor. 3 :11).

Y a-t-il un autre roc que le Seigneur Lui-même ? "Y a-t-il un autre Dieu que moi ? Il n'y a pas d'autre rocher, je n'en connais point" (Esaïe 44 :8).

L'Eglise de Jésus-Christ rassemble tous ceux qu'Il a rachetés par Son propre sang, de toutes les nations de la terre. Elle est sainte, car tous ses membres ont été sanctifiés par le sang de Jésus-Christ, et ont reçu le même Saint-Esprit. Elle est apostolique, parce qu'elle obéit aux enseignements des apôtres, tels qu'ils nous sont donnés par la Bible. Toute assemblée locale de Chrétiens qui croient et qui obéissent aux enseignements de la Bible font partie de la seule Eglise "Catholique" de Jésus-Christ, "catholique" signifiant "universelle" en grec.

La nouvelle naissance.

Nicodème était un chef des Juifs et un docteur de la Loi très respecté. Mais Jésus lui a dit : "En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu" (Jean 3 :3). Le vrai problème, ce n'est pas être religieux, aller à l'église, lire la Bible, ou s'efforcer de vivre une vie droite. La vraie question est la suivante : "Etes-vous né de nouveau ?" Si vous n'êtes pas né de nouveau, vous ne verrez jamais le Ciel, et vous n'y entrerez jamais.

Pourquoi faut-il naître de nouveau ? La Bible décrit la condition désespérée de l'homme naturel. Non seulement il est malade et faible, mais il est "mort dans ses péchés et ses transgressions". Ses pensées ne sont pas soumises à la Loi. Il peut être religieux, mais il ne recherche pas le Dieu véritable. Il n'a pas de relation vivante avec le Seigneur, et il ne peut rien y changer.

Il ne s'agit pas de tourner une page, ni de prendre la résolution de vivre une vie meilleure. Les rites religieux, comme la circoncision ou le baptême, ne peuvent rien y changer non plus. Nicodème était circoncis, mais il avait cependant besoin de naître de nouveau. Si vous êtes mort spirituellement, vous ne pourrez vous donner la vie par rien de ce que vous ferez. Vous avez, plus que tout, besoin que Dieu vous donne la vie !

Etre en règle avec Dieu.

Comment pouvons-nous obtenir la paix avec notre Créateur, quand nous sommes chargés de la culpabilité de notre péché ? Selon l'Ecriture, il n'y a qu'un seul remède : nous devons être justifiés par la foi en Christ : "Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ" (Romains 5 :1).

"Justification" est un terme légal. C'est le contraire de "condamnation". Celui qui obéit à la loi est juste, alors que celui qui désobéit à la loi est injuste et coupable. Le juge doit donc justifier le juste et condamner le coupable. La justification s'accomplit lorsque le juge prononce une décision favorable : il déclare que l'accusé n'est pas coupable. Ce dernier n'est donc soumis à aucune punition.

Dieu est le Juge de ce monde. Il nous justifierait certainement si nous étions justes. Hélas, la triste vérité, c'est que nous sommes loin d'être justes. Bien au contraire, nous devons tous plaider coupable, parce que nous avons violé Sa loi. Puisque nous sommes tous des pécheurs injustes, nous devons subir la sentence de condamnation prononcée par Dieu. Comment un homme pourrait-il être juste devant Dieu ?

Même si le pécheur se réformait et commençait à vivre une vie juste, Dieu serait encore obligé de le justifier, pour pouvoir être véritablement juste. On enseigne aux Catholiques Romains que Dieu nous justifie en nous rendant "intérieurement justes" (Catéchisme, 1992). Cela signifie que Dieu justifie le pécheur quand, grâce aux sacrements et aux bonnes œuvres, il devient juste par ses propres efforts.

Nous admettons que Dieu travaille dans la vie de Ses enfants, pour les transformer de plus en plus à l'image de Son Fils. Toutefois, aussi longtemps qu'ils sont sur cette terre, les Chrétiens peuvent pécher. Si nous avons péché, nous devons le reconnaître, sinon la vérité ne demeure point en nous (1 Jean 1 :8). Selon l'enseignement Catholique, Dieu justifie le juste : Il déclare juste celui qui s'est justifié lui-même ! Mais ce n'est pas une bonne nouvelle pour le pécheur ! Alors que nous devons louer Dieu pour son ineffable miséricorde, car la Bible nous donne un message différent : "Or, à celui qui fait une œuvre, le salaire est imputé, non comme une grâce, mais comme une chose due ; et à celui qui ne fait point d'œuvre, mais qui croit en celui qui justifie l'impie, sa foi lui est imputée à justice" (Romains 4 :4-5).

Dieu déclare "non coupable" le pécheur qui a la foi ! Dieu ne le justifie pas parce qu'il est juste. En fait, il ne l'est pas. Mais Dieu justifie l'impie. Dieu ne peut pas non plus l'acquitter sur la base de ses bonnes œuvres et de ses mérites. Dieu justifie "celui qui ne fait point d'œuvre" ! C'est cela le véritable Evangile. Quel baume réconfortant pour l'âme du pauvre pécheur !

Nous devons tous faire un choix. Soit vous vous confiez en la seule miséricorde de Dieu, soit vous vous appuyez sur vos efforts personnels. D'un côté, l'Eglise Catholique Romaine maudit tous ceux qui disent que "la foi qui justifie n'est rien d'autre que la confiance en la miséricorde divine, qui nous permet d'obtenir le pardon de nos péchés, grâce à Christ". D'un autre côté, les Chrétiens véritables, tel ce publicain, ne s'appuient que sur la miséricorde divine. Selon le Seigneur Jésus, c'est tout ce qu'il nous faut pour être en règle avec Dieu.

Sur quoi vous appuyez-vous pour être acquitté et libéré de votre condamnation ? Sur vos propres mérites, ou sur la miséricorde et la grâce de Dieu, telles qu'elles nous sont révélées à la croix du Calvaire ? Cherchez-vous à vous faire accepter par Dieu grâce à vos bonnes œuvres, ou mettez-vous votre foi en un Dieu parfaitement miséricordieux ? Ne voulez-vous pas cesser de vous confier en vous-mêmes, pour croire en Jésus-Christ et en Lui seul ?

Le véritable Evangile, et sa contrefaçon.

L'apôtre Paul était manifestement dans une grande détresse et dans une grande angoisse, lorsqu'il a écrit son épître aux Galates. La gloire de Dieu et le salut de ces hommes étaient en jeu. Des faux docteurs étaient venus après lui, et avaient tordu le véritable Evangile qu'il avait prêché. Ils ne rejetaient pas ouvertement la foi en Christ, ni la grâce de Dieu. Ils voulaient simplement y ajouter le rite de la circoncision et l'obéissance à la Loi de Moïse, croyant que ces choses leur permettraient de se faire accepter par Dieu. Toutefois, l'apôtre Paul considérait que leur enseignement était un "autre Evangile". Il leur écrit ceci :

"Je m'étonne que vous vous détourniez si promptement de celui qui vous a appelés par la grâce de Christ, pour passer à un autre Evangile. Non pas qu'il y ait un autre Evangile, mais il y a des gens qui vous troublent, et qui veulent renverser l'Evangile de Christ. Mais, quand nous-mêmes, quand un ange du ciel annoncerait un autre Evangile que celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème !" (Galates 1 :6-8).

Si Paul considérait que le fait d'ajouter à la foi le rite de la circoncision et la Loi de Dieu invalidait l'Evangile, quel est donc le jugement de la Bible sur "l'Evangile" de l'Eglise Catholique Romaine ? "L'Evangile" de Rome, c'est la foi plus les œuvres, la grâce plus le mérite, la régénération par le baptême catholique, la pénitence, la messe, le rosaire, le culte à Marie, les souffrances du Purgatoire, et bien d'autres choses encore. L'apôtre Paul proclame que tous ceux qui ajoutent quelque chose à la foi dans le Seigneur, et qui cherchent à être justifiés par des œuvres rituelles, sont séparés de Christ, et que Christ ne leur sert à rien (lire Galates 5 :2-4).

Repentez-vous, et croyez en l'Evangile.

Chers amis Catholiques, nous vous demandons, et vous implorons de la part de Christ, à être réconciliés avec Dieu. Reconnaissez-vous comme des pécheurs indignes et des rebelles contre le Dieu souverain. Plaidez coupables devant le Juge de la Terre, admettez que vous méritez le feu éternel, et que rien de tout ce que vous pourrez faire ne pourra payer pour vos péchés.

Pourtant, ne désespérez pas, regardez au Dieu de toute grâce et de toute miséricorde. Cessez de vous confier en vous-mêmes, en vos œuvres et en vos mérites. Le salut vient du Seigneur. La rédemption est Son œuvre. Toute la gloire n'appartient qu'à Lui seul. Ne vous appuyez pas sur l'Eglise, Marie, les saints, un prêtre humain, le sacrifice de la messe, ou un Purgatoire imaginaire !

Faites plutôt entièrement confiance à Christ seul, le Fils de Dieu. Il est l'unique médiateur, l'unique souverain sacrificateur, qui S'est donné Lui-même, par un sacrifice qui est pleinement suffisant pour payer le prix des péchés de Son peuple. La Bible dit à ceux qui croient en Christ : "En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce" (Ephésiens 1 :7).

Que le Seigneur vous soit miséricordieux, et qu'Il vous accorde la grâce de la repentance, pour que vous vous détourniez du faux "Evangile" du Catholicisme Romain. Que Dieu vous accorde le don de la foi ! Qu'Il vous donne de vous reposer en Christ, Son Fils, pour Le servir tous les jours de votre vie, en attendant Son retour, pour nous amener avec Lui dans la Maison du Père !

Vous voudrez aussi vous joindre à une assemblée locale de Chrétiens, qui croient en la Bible. Nous sommes membres d'un corps, l'Eglise, et nous avons besoin les uns des autres. Le Seigneur veut aussi que vous soyez baptisés (immergés) au nom du Dieu unique en trois Personnes, et que vous partagiez le pain et le vin, pour commémorer Son sacrifice pour nous. L'enseignement et la prédication de la Parole sont absolument indispensables pour que les Chrétiens puissent grandir dans la grâce et la connaissance de Christ.

Que le Seigneur vous bénisse et vous garde ! Que le Seigneur fasse luire sur vous Sa face, et qu'Il vous donne la paix !

vendredi 25 janvier 2008

Témoignage de Pierre

A LA RECHERCHE DE LA VRAIE VIE

Je suis né en 1947 en Allemagne à Baden-baden, puis j'ai passé une partie de mon enfance en Afrique, mais surtout au Cameroun. J'ai été élevé dans le catholicisme traditionnel: messe tous les dimanches, catéchisme, sacrements...etc

Plus tard, lorsque ma famille est venu vivre en France, je me suis désintéressé de la religion parce qu'un de mes copains dont la famille était athée se moquait de moi. J'ai donc cessé de fréquenter l'église, et de toute façon, je ne comprenais pas grand chose aux sermons du curé.

J'ai appris le métier de menuisier que j'ai exercé ensuite. Puis je suis allé à l'armée, et en 1968 je côtoyais des amis qui lisaient de la littérature philosophique. Je n'avais jamais réfléchi de ma vie. C'est donc la première fois que je me posais des questions : Pourquoi existe-t-on ? D'où vient-on ? Pourquoi l'univers existe-t-il ? Pourquoi l'homme est-il méchant? Pourquoi souffre-t-on ? Où va-t-on après la mort...? Alors, je me suis mis à lire des livres "existentialistes", qui incitent à se poser des questions, (ce qui est bien), mais par contre ils n'offrent aucune réponse, ce qui conduit à une angoisse existentielle. Le coté positif de tout cela, c'est que cette quête m'a stimulé à chercher des solutions.

J'avais été marqué par la culture africaine. En effet, vivre dans un autre pays, nous marque pour la vie, surtout quand cette culture est vraiment différente, avec une autre mentalité et une autre manière de concevoir l'existence. De plus, j'étais plutôt mal à l'aise en France car j'avais du mal à accepter le matérialisme qui y régnait.
J'ai donc voulu connaître les autres cultures et les autres religions.

Avec deux autres copains que j'avais connus à l'armée, nous avons décidé de découvrir le Maroc.
C'est là que j'ai fumé du canabis (ils appèlent ça du kif) pour la première fois. Le peu d'argent que nous avions s'est vite épuisé, et nous vivions au bord de la mer et nous avions un ami qui s'appelait Ali Baba. Il nous a prêté un cabanon en bois sur la plage. Nous avons mangé des moules et des oursins, chaque jour pendant plusieurs mois. Inutile de vous dire que j'en avais plus qu'assez. Heureusement, nous avions des amis qui nous invitaient parfois à manger du couscous ou du tajine ! Ces derniers nous ont aussi parlé de l'Islam. La religion commençait à nous intéresser, mais après 3 mois, nous avons réalisé que nous ne pouvions pas continuer à vivre ainsi, mais qu'il fallait gagner de l'argent. Il était donc temps de revenir en France...
Nous sommes donc repartis à Paris, et nous avons trouvé du travail, dans l'imprimerie, dans la chaussure, et d'autres petits "boulots".

Ensuite, je suis retourné au Maroc avec un autre copain, puis de retour à Paris, j'ai eu envie de visiter l'Asie.

Il a fallu traverser l'Italie, la Grèce, la Turquie, l'Iran (c'était à l'époque du "Shah"), et ensuite l'Afghanistan, oû il y avait encore des caravanes de chameaux. Pour moi, fumer du canabis était plus qu'une habitude, c'était un art de vivre.

Ensuite, le Pakistan, où les gens chez qui je logeais m'ont proposé de me convertir à l'Islam. Mais comme j'avais besoin d'amour et de liberté, je les ai quittés car cette religion ne propose ni l'un ni l'autre.

Puis j'ai visité l'Inde, et le Népal d'où j'ai été chassé par la police de l'immigration, parce que mon visa avait expiré.
C'est là que j'ai commencé à prendre du LSD, ainsi que d'autres substances hallucinogènes. Je suis donc resté un an en Inde, en divers endroits, puis je suis retourné en Europe en stop.
Là, j'étais "déphasé", et j'avais beaucoup de mal à me réadapter à la vie européenne. Je suis allé voir mes parents, en Touraine, mais le contact était presque impossible avec eux, et je les ai fait souffrir.

L'idée d'un nouveau voyage s'est alors imposé à moi, et je suis parti à Amsterdam. J'y ai rencontré un copain que j'avais connu en Inde, et nous sommes allés au Danemark pour tout l'hiver. Mais préférant la chaleur, je suis retourné en Inde pour un an de plus, via la Tunisie, le Liban et le Pakistan. J'y ai appris une langue pour me débrouiller. Nous passions l'hiver en plaine, et l'été en montagne (l'Himalaya). Ayant remarqué la beauté de la nature, j'ai compris que ce n'était pas le fruit du hasard, et qu'il devait y avoir quelqu'un ou quelque chose là derrière. De plus, j'ai frôlé la mort plusieurs fois au cours de mes périples, ce qui m'a poussé à réfléchir à l'au-delà, mais n'ayant pas de réponse, j'étais encore plus angoissé.

Un jour, je suis rentré dans une maison où j'ai vu un petit livre: un "Nouveau Testament", il était déchiré, et il manquait tout l'évangile de Matthieu. Je l'ai emprunté à son propriétaire, et j'ai commencé à le lire. Ce fût mon premier contact avec la Bible.

Ensuite, je suis allé au Rajasthan, dans une "ville sainte", où j'étais le seul étranger. Je faisais des ablutions chaque jour dans un lac "sacré". Mes amis voulaient me convertir à l'hindouisme, alors ils m'ont amené dans les temples de leurs dieux.. Lors d'une cérémonie, il fallait se courber devant la statue en joignant les mains. Quand c'est arrivé à mon tour, je n'ai pas pu le faire, et je leur ai dit que cette statue ne pouvait pas être un dieu. J'avais au moins compris ça. Ils ne m'en ont pas voulu et m'ont respecté. La société indienne est divisée en "castes" et mon meilleur ami faisait partie de la caste supérieure, les Brahmanes, en principe, les plus instruits et les seuls qui peuvent être prêtres.

Ensuite j'ai quitté cet endroit, et je suis allé vivre tout seul au bord du Gange. C'était l'époque où les Beatles s'étaient fait initier à la "Méditation Transcendantale" et leur Guru habitait dans un monastère (ashram) où je voulais rester, mais comme il fallait payer, je suis parti. En longeant le fleuve, j'ai remarqué des grottes où vivaient des ermites. J'en ai trouvé une vide et m'y suis installé. J'étais végétarien depuis longtemps déjà, et je me suis mis au régime "frugivore", c'est-à-dire que je ne mangeais que des fruits et je buvais l'eau de la rivière. Mon seul vêtement était un petit morceau de tissu et la vie était très simple. Je faisais mes exercices de yoga, comme mes voisins. Puis j'ai eu la "dysenterie".

J'ai décidé de remonter en montagne, épuisé et squelettique. Je ne connaissais plus personne, et je ne savais plus quoi faire, j'étais "au bout du rouleau". A ce moment-là, une religieuse bouddhiste originaire du Canada est passée et m'a proposé d'aller au monastère tibétain où elle habitait, plus haut dans la montagne. J'ai vécu avec les moines un certain temps, participant aux cérémonies (poudja) et aux enseignements du lama. La nonne qui m'avait amené là possédait un Nouveau Testament que j'ai emprunté, et j'ai lu l'Apocalypse.


Puis j'ai rencontré un "guru" qui enseignait une technique de méditation qui était, soi-disant, un raccourci pour atteindre le "Nirvana", car dans le bouddhisme, on trouve le cycle perpétuel des réincarnations. Il m'a initié à une méthode appelée "Vipasana", et j'ai voulu devenir moine dans un monastère au village où Gautama a eu son illumination, c'est-à-dire qu'il est devenu "Bouddha". Je me suis fait raser le crâne et je suivais un régime strict. Des restrictions très sévères étaient appliquées : nous ne pouvions écouter de la de musique, nous devions respecter certains jours de silence, dormir sur une planche...Nous méditions plusieurs fois par jour, sans bouger pendant des séances d'une heure.

Un jour, deux garçons sont arrivés au monastère, et comme les cours du soir étaient en anglais pour les étrangers, je leur servais d'interprète. L'un d'eux possédait un gros livre noir: La Bible, achetée à Delhi (la capitale) à 1000 Km de là".
Après la lui avoir empruntée, je me suis mis à la lire tout en recevant les enseignements du guru et en les expliquant aux deux garçons. C'est là que j'ai lu ce verset: "Celui qui cherche, trouve", ce qui m'a encouragé à poursuivre ma recherche.


Dans ma tête, ça commençait à se bousculer, car j'essayais de comparer Jésus à Bouddha. Finalement, j'étais de plus en plus impressionné par la personne de Jésus-Christ. D'abord par les miracles, ensuite par la sagesse, par l'amour et par la liberté d'expression qu'il avait face aux religieux (par exemple, quand il dit : "Vous êtes une race de vipère")... Je continuais à leur expliquer les cours du prof, et je leur répétais les paroles de Jésus, jusqu'au jour où celui qui m'avait prêté la Bible m'a demandé de la lui rendre pour qu'il la lise. Quant à moi, j'étais au même point qu'avant avec mes questions sans réponses, et je sentais que je devais partir alors je suis retourné en montagne.

J'ai rencontré un juif avec lequel j'ai partagé le logement. Il avait une Bible. Après un certain temps, j'ai fait un bilan de ma situation : je n'avais aucune solution à mes problèmes, alors ce n'était pas la peine de rester là plus longtemps.

Je suis retourné au pays, vivre en communauté dans une vieille ferme, à "Bidon" dans la Nièvre. Nous étions quatre, et nous avions des chèvres, des poules, des ruches, et un jardin de légumes et de canabis... Il y avait un livre sur la cheminée : La Bible ! Je décide donc de la lire en entier, ce qui a pris un an. Le garçon qui avait emmené cette Bible était juif, et nous étions tous en recherche spirituelle, mais il y avait également d'autres livres.


Un jour d'hiver où j'étais seul, je lisais l'évangile de Jean au chapitre 14, lorsque Thomas dit à Jésus : "Seigneur montre-nous le chemin". En fait, ce n'était plus Thomas, mais moi qui posait la question à Jésus. La réponse de Jésus m'a surpris, car j'aurais tout imaginé sauf ça : "Je Suis Le Chemin, La Vérité et La Vie, nul ne vient au Père que par Moi."

Personne n'avait pu m'influencer, j'étais seul ! J'ai compris tout d'un coup que c'était Lui, qu'il n'y avait pas d'autre chemin. J'ai abandonné tous les autres. Avant cela, je croyais que tous les chemins menaient au même dieu, et l'instant d'après, je croyais qu'il n'y avait qu'un seul chemin : JESUS CHRIST. Je n'étais pas arrivé au but, mais j'avais une indication. Un peu comme si on est perdu sur une route, et que tout d'un coup, nous trouvons un poteau indicateur qui nous indique le lieu où nous allons... J'ai pris les bouquins sur la cheminée, et je les ai brûlés. Dieu m'a fait comprendre qu'Il ne m'interdisait pas de me "défoncer", mais qu'il fallait que je choisisse : Continuer de fumer du canabis ou le suivre. J'ai donc décidé de le suivre et de me débarrasser de tout ce qui le dérange.

Je n'ai pas partagé cette découverte avec mes amis, puis nous sommes allés en Suisse dans une communauté bouddhiste, et sur le retour, à Neuchâtel, étant au bout du rouleau, j'ai prié Dieu, lui disant à peu près ceci :
" Je n'en peux plus, si tu existes vraiment, il faut que Tu fasses quelque chose pour moi, et j'ai lu dans le Livre, que Tu avais des disciples, mais si Tu en as encore aujourd'hui permets moi d'en rencontrer au moins un qui puisse m'aider." Je n'en ai parlé à personne, mais un jour ou deux après, alors que nous faisions du stop pour revenir à "Bidon", un homme nous a pris dans sa voiture, et nous a dit: "Je suis chrétien, je crois en Jésus-Christ, Il est mon Sauveur", et il nous a annoncé l'Evangile. J'étais heureux de voir la réponse à ma prière. J'ai compris que Dieu existe, la preuve, c'est qu'Il répond à la prière. Et j'ai compris qu'Il ne m'en voulait pas, mais qu'Il s'intéressait à moi, ça m'a redonné espoir pour aller de l'avant. Nous avons partagé son pique nique au bord d'une rivière.

Avant notre retour dans notre communauté, le chrétien nous a donné un livre intitulé : "Si tu veux aller loin", qui parlait de la vie éternelle, c'est ce dont nous avions besoin.
Au bout d'une dizaine de pages, j'ai dit à mon copain que ce n'était pas la peine de continuer à lire, mais qu'il était préférable d'aller voir cet écrivain. Nous n'avions pas un centime, puisque dans la communauté nous mangions ce que la terre produisait. Ralph Shallis habitait dans le Gard à côté d'Alès, et nous avons mis 5 jours pour y aller.

Nous avons trouvé sa maison isolée à la campagne, et il n'y avait personne, alors nous avons sorti les sacs de couchage pour dormir dans le garage. Tout à coup, des phares nous ont réveillés, c'était sa femme ! Nous étions gênés, vis-à-vis de cette femme qui rentrait seule en hiver, la nuit dans cette maison isolée, et qui trouvait deux hommes hirsutes dans son garage. Quelle drôle de surprise !

Après nous avoir demandé ce que nous faisions, elle nous a proposé de rentrer, et nous a servi du thé avec des biscuits... Puis son mari est arrivé, et nous a demandé ce que nous voulions. Nous lui avons expliqué que nous avions lu son livre et que nous cherchons la vie éternelle. Il a ouvert sa Bible et nous a parlé du problème du péché. Il nous a dit : "Entre vous et Dieu, il y a un mur, c'est tout le mal que vous avez fait. Dieu vous demande de vous repentir!" Alors nous avons commencé à confesser nos péchés à Dieu, ça a duré une semaine. J'étais très mal parce qu'il nous avait parlé de la condamnation... J'étais persuadé qu'avec tout le mal que j'avais fait, je serais jeté dans le feu. Puis il nous a prêché la Bonne Nouvelle du Salut :

Jésus-Christ crucifié pour nos péchés, et ressuscité, celui qui croit en Lui est pardonné, et reçoit la vie éternelle gratuitement... Je n'arrivais pas à le croire. Six jours après, cet homme a compris que j'avais un blocage à cause de l'occultisme. En effet, j'avais fait de la radiesthésie, du yoga, de la méditation, des voyages astraux et d'autres choses (drogues et alcool). Il m'a dit de le confesser, et a prié pour que je sois délivré de ces liens.

Le lendemain dans la campagne, avec mon copain, nous avons lu un petit texte des Ecritures et après dans la prière je me suis confié au Seigneur. Je me suis emparé par la foi de Ses promesses. Notamment de celle-ci: "Celui qui croit en moi a la vie éternelle". C'est ce petit verbe "a" qui m'a vraiment convaincu parce qu'il est au présent, auparavant je croyais que la vie éternelle commençait après la mort. C'est à ce moment là que je suis né de nouveau.

A partir de là, j'ai démarré une nouvelle vie, avec le Seigneur dans mon cœur. Je sais que Dieu est mon Père et que rien ne peut me séparer de Lui. Je passerai l'éternité avec Lui, dans le bonheur parfait, en compagnie de tous ceux qui auront également mis leur confiance au Seigneur Jésus notre seul Sauveur.
A Lui seul soient la Gloire, l'Honneur et le Règne, à perpétuité !!!

Je sers également le Seigneur au sein de l'association créationniste " Au commencement ", par des conférences, des expositions, des camps, et un site : http://www.aucommencement.net/

Pierre Danis

Courriel : pierre.danis@wanadoo.fr
Site : http://biblique.blogspot.com/

samedi 1 décembre 2007

Les témoins de Jehovah




Introduction :


Il n’est pas du tout question de juger des personnes, mais c’est un système que nous examinons à la lumière de la Parole de Dieu, notre seule référence.

Esaie 43 v 10 + 12 & Esaie 44 v 8 : Ce texte est souvent utilisé pour justifier leur appellation « témoins de jehovah ». Dieu dit « Vous êtes mes témoins », cette parole s’adresse à Israël (voir début des chapitres), et non pas une secte moderne. La société « La tour de garde » a été fondée en 1881.



Actes 1 v 8 : Les témoins de Jésus-Christ sont ceux qui ont reçu le Saint Esprit.

2 Jean 9 v 11 : Nous ne devons pas leur donner le salut fraternel.

Fausses doctrines :

2 Pierre 2 v 1 à 3.

La divinité de Jésus Christ, Philippiens 2 v 6 ; Colossiens 2 v 9 ; Hébreux 1 v 1 à 6 ; 1 Jean 5 v 20 : Ces versets démontrent clairement que Jésus Christ est Dieu (voir l’étude sur ce sujet). Les TJ croient que Jésus Christ est une créature, l’archange Michael.

Le salut par grâce, qui s’obtient par la foi, Ephésiens 2 v 8 : Les TJ croient qu’ils peuvent être sauvés par les œuvres, c’est-à-dire en faisant des bonnes actions.

Le Saint-Esprit, Actes 2 v 39 : Les TJ ordinaires ne croient pas qu’ils peuvent recevoir l’Esprit de Dieu, car ils croient que seuls les « oints » l’ont reçu (voir l’étude sur le Saint Esprit).

Les 144.000 juifs (12000 de chaque tribu), Apocalypse 7 v 4 à 10 : Les TJ croient que les 144000 sont les « membres oints » qui seront dans le ciel (alors que Jean les voit sur la terre). Par contre, les TJ ordinaires devront se contenter d’un « salut terrestre » (alors que Jean voit la grande foule dans le ciel).

La fin du monde ou désintégration totale de l’univers, 2 Pierre 3 v 10 : Les TJ ne croient pas du tout à la fin du monde telle qu’elle est décrite par Pierre, mais ils croient à la fin du système mauvais.

Jésus Christ mort sur une croix, Jean 20 v 25 ; Mathieu 27 v 37 : Les TJ croient fermement que Jésus n’est pas mort sur une croix, mais sur un poteau.

Fausses prophéties :

Deutéronome 18 v 20 à 22 ; Mathieu 24 v 11.

Retour de Jésus Christ en 1874.
Retour d’Abraham, d'Isaac et de Jacob en 1925.
La bataille d’Harmagédon en 1914, puis 1918, 1925, 1941, 1975, et début du millénium.
Et beaucoup d’autres qui se sont également révélées fausses.

Conclusion :

Leur « Jéhovah» est un faux dieu car il ne correspond pas du tout au vrai Dieu qui est le Dieu de la Bible : Exode 20 v 3.
Les TJ sont des faux témoins, puisqu’ils disent des mensonges : Proverbe 14 v 5.
La Bible « traduction du monde nouveau » (1950), a été volontairement falsifiée, puis traduite de l’anglais en français et d’autres langues. Elle est déconseillée.
Nous devons les aimer et les aider à trouver le chemin du salut en Jésus Christ.


Conseil :

Bien connaître sa Bible et se préparer dans la prière, avec le soutien dans la prière de son assemblée, avant d’étudier la Bible avec les témoins de jehovah.

Pour plus de détails, demandez à : pierre.danis@wanadoo.fr

mercredi 19 septembre 2007

FAUT-IL FETER NOEL ?



1 Thessaloniciens 5. V21-22 : “ Eprouvez toutes choses, retenez ce qui est bon. Abstenez-vous de toute espèce de mal”.

Origine :

Dans la Rome antique, comme dans l’Empire romain, le peuple pratiquait toutes sortes de rites païens.
L’un des plus vivaces était le culte d’un dieu venu de Perse : Mithra, le soleil invincible, dont on disait qu’il renaissait chaque année au solstice d’hiver (nuit la plus longue). On venait l’idolâtrer en foule devant la grotte sacrée où apparaissait sous les traits d’un enfant nouveau-né; et l’allongement du jour, à partir du 21 décembre, était un peu partout l’occasion de célébrations joyeuses.
C’est alors que le pape Liberus eut, en 354, l’idée de célébrer la naissance de Jésus le 25 décembre, 4 jours après le solstice d’hiver.
L’erreur des 4 jours plus tard venait de ce que les romains ignoraient certaines lois de l’astronomie, alors que les chaldéens et les égyptiens les connaissaient depuis longtemps. Après informations, ils préférèrent maintenir la date traditionnelle pour fêter le jour de noël.
La fête païenne demeurait, mais c’était désormais “l’enfant Jésus” qu’on adorait dans les grottes.
Le 25 décembre n’est donc pas la date de la naissance de Jésus-Christ ; cette date fut choisie pour remplacer la fête païenne de noël, comparant Christ au soleil de justice, au soleil invincible.
Cette fête était une cérémonie très ancienne aussi pour les égyptiens : ils représentaient le soleil renaissant avec l’image d’un bébé qui était présenté à ses adorateurs au solstice d’hiver.
Ces traditions se poursuivent aussi dans l’église catholique romaine pendant la messe de minuit : la statue de “l’enfant Jésus” est présentée et adorée par les fidèles.
En fait, l’origine de cette fête remonte à l’époque de l’ancienne Babylone et de Nimrod.

(« Les 2 Babylones » d’Alexandre Hislop, édition Fishbacher).

Ce que le Bible dit :

Jean 18 V18 : “ Or, les serviteurs et les gardes, ayants allumé un feu de chardon, se tenaient là, car il faisait froid, et ils se chauffaient” (au procès de Jésus).
Luc 2 V8 : “ Et il y avait dans la même contrée des bergers demeurant aux champs, et gardant leur troupeau durant les veilles de la nuit”. (à la naissance de Jésus).
Matthieu 24 V20 : “ et priez que votre fuite n’ait pas lieu de hiver..” (Jésus aux juifs).
1 Chroniques 11 V22b : “ ..il descendit, et frappa le lion dans la fosse, par un jour de neige”.
Jérémie 36 V22 : “ le roi était assis dans la maison d’hiver, au neuvième mois; et le brasier brûlait devant lui”.

Ces quelques versets montrent simplement que Jésus-Christ n’est pas né en hiver, car en Israël l’hiver est froid et il peut y avoir de la neige. Que feraient donc ces bergers à garder leur troupeau de nuit s’il faisait froid ? C’est justement en période chaude que les bergers sortent leurs bêtes la nuit.
Il ne faut pas oublier non plus que la naissance du Christ s’est produite à l’époque du recensement (Luc 2 V1). Chaque personne devait donc se rendre dans sa ville natale. Beaucoup avaient une longue distance à parcourir à pied ou à dos d’âne, y compris femmes et enfants. Il est donc impossible que cela ait lieu en plein hiver.

Le 25 décembre n’est donc pas la date de naissance de Jésus, mais bien la date de cette fête païenne qui représentait le “soleil naissant” au solstice d’hiver par l’image d’un bébé.
Si la Bible ne donne nullement de date, c’est que nous n’avons pas besoin de le savoir, donc pas besoin de fêter la naissance du sauveur.
Par contre, les vrais chrétiens partagent le pain et le vin en souvenir de sa mort : c’est cela que Jésus a demandé aux siens (1 Corinthiens 11 V24-25).
Galates 4 v8 à 10 : « …Mais maintenant, ayant connu Dieu, comment retournez-vous de nouveau aux faibles et misérables éléments auxquels vous voulez encore être asservis ? Vous observez des jours, des mois, des temps et des années. »

Conclusion :

- Beaucoup d’églises saisissent l’occasion pour évangéliser pendant cette période, ce qui est une bonne chose, car certaines personnes du monde sont plus réceptives au message du salut.
- La fête de noël n’a aucun rapport avec la Parole de Dieu, mais c’est une fête 100% païenne.
- Cependant, ceux qui ne fêtent pas noël ne doivent pas juger ceux qui le font (Romains 14 v3 & 4).

pierre.danis@wanadoo.fr

mardi 21 août 2007

L’occultisme (ou parapsychologie)

Des pratiques ténébreuses


Voici ce que Dieu en dit : "Qu'on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin (1), d'astrologue (2), d'augure (3), de magicien (4), d'enchanteur(5), personne qui consulte les esprits (6), ou disent la bonne aventure (7), personne qui interroge les morts(8).
Car quiconque fait ces choses est en abomination à l'Eternel." La Bible : Deutéronome 18 versets 10 à 12.

Qu'est-ce que cela signifie ?

1. Les devins (ou voyants) ont la faculté de deviner par clairvoyance et (ou) par un rituel magique ; ils prédisent l'avenir. Ils peuvent également :
· lire les pensées (télépathie).
· découvrir ou identifier des objets cachés.
· deviner par le moyen de l'écriture (graphologie divinatoire).

2 - Les astrologues attribuent aux astres une influence sur les évènements ou sur la destinée des hommes. Avoir la foi en l'astrologie consiste à :
· se faire établir l'horoscope pour connaître son avenir ou son caractère.
· lire les journaux.
· tenir compte des signes du zodiaque ou de la position de la lune.

3 - Les augures attribuent à certains objets, signes ou évènements, un pouvoir sur notre vie. (superstition) :
· les porte-bonheur : toucher du bois, fer à cheval, trèfle à quatre feuilles, médailles (vierges, saint-Christophe, zodiaque), croix, fétiches, gris-gris, amulettes, chapelets, eau bénite, eau de Lourdes, brûler un cierge, etc…
· les porte-malheur : croiser un chat noir, le chiffre 13 ou autre, passer sous une échelle, casser un miroir, ouvrir un parapluie dans la maison, etc…

4 - Les magiciens font intervenir des forces surnaturelles (guérisseur, magnétiseur, hypnotiseur, radiesthésiste).
· guérison par la récitation de "prières", ou de formules magiques, l'imposition des mains, l'hypnose (sophrologie), le pendule, les photos, les mèches de cheveux, etc…
· guérison par "sympathie" (en prenant sur soi la maladie)
· "désenvoûtement" ou "exorcisme".

5 - Les enchanteurs manipulent objets ou personnes par des envoûtements ou sortilèges.
· magie noire ou sorcellerie pour se protéger, se venger, envoyer une maladie ou tuer.
· invocation de Satan (le diable, le serpent, le dragon) ou d'un démon.
· pactes du sang, messes noires, sacrifices d'animaux ou d'êtres humains.

6 - Les spirites cherchent à entrer en contact avec les esprits :
· certains font tourner les verres ou les tables, pratiquent la lévitation ou la télékinésie (déplacer un objet sans le toucher).
· d'autres entrent en transe et parlent des langues inintelligibles (glossolalie) ou font de l'écriture automatique.
· ils entrent également en contact avec les démons par le yoga (union), la méditation, les mantras, les mandalas, les voyages astraux, l'absorption de drogues ou d'alcools.

7 - Les diseurs de "bonne aventure" prédisent l'avenir en se servant :
· des cartes ordinaires, tarots, lignes de la main, boule de cristal, marc de café, etc…

8 - Les Nécromanciens évoquent les morts. Beaucoup sont médiums : ils servent d'intermédiaires entre les vivants et les morts
· prier les morts (les saints, la vierge) est aussi un acte de nécromancie. Un seul est médiateur : Jésus-Christ (1ère lettre à Timothée chapitre 2 verset 5).

Quiconque fait ces choses est en abomination à l'Eternel dit la Bible

Et encore : "Vous ne vous livrerez pas à des pratiques occultes… Ne vous tournez pas vers ceux qui évoquent les esprits, ni ceux qui prédisent l'avenir, ne les cherchez pas, de peur de vous souiller avec eux. Je suis l'Eternel votre Dieu" Lévitique chapitre 19 versets 26 et 31

Mais : "Plusieurs de ceux qui avaient cru venaient confesser et déclarer ce qu'ils avaient fait. Et un certain nombre de ceux qui avaient exercé la magie ayant apporté leurs livres, les brûlèrent devant tout le monde" Actes des apôtres chapitre 18 verset 18 et 19

Pourquoi cet attrait pour les sciences occultes ?

Eternel insatisfait, l'homme est sans cesse à la recherche de solutions palliant à ses carences physiques et spirituelles. Il désire connaître l'avenir parce qu'il vit dans l'insécurité croissante de notre monde. Sa peur aiguise sa curiosité, son désir de mystère et de surnaturel. Son vide intérieur doit être à tout prix comblé et il cède à tout ce qu'il voit ou entend.

Cher ami, l'Auteur de toute vie peut seul satisfaire et combler votre être tout entier. Dieu a mis dans le cœur de tout homme la pensée de l'éternité, tout en le laissant libre. L'homme refuse Dieu. Pourtant, Dieu est la véritable réponse à l'humanité. Lui seul peut vous libérer de vos angoisses parce qu'il vous aime. Son regard se pose sur vous en cet instant où vous lisez ces lignes. Alors que le mot "AMOUR" n'a plus aucun sens dans ce monde qui court à sa faillite, Dieu nous aime et il a TOUT prévu pour nous.
Comment ?

Dieu n'a qu'UNE PAROLE, elle est éternelle. Tout ce qu'Il dit est vrai. Tout ce qu'Il a prédit se réalise à la lettre. Il accomplit toutes ses promesses. Il ne nous demande qu'une seule chose : reconnaître notre faillite, lui demander pardon et croire qu'Il a pourvu à notre salut en Jésus-Christ. Ne vous confiez pas dans les hommes. Cherchez la Vérité en Dieu lui-même et dans ce qu'Il nous dit dans la Bible. Lisez le récit des Evangiles. Vous découvrirez celui qui vous a aimés au point de donner sa vie pour vous. Par sa mort et sa résurrection, Jésus-Christ a triomphé de la mort et du diable et Il vous délivre de toutes pratiques occultes pour vous donner la vraie Vie en abondance.


Pierre Danis : pierre.danis@wanadoo.fr


Dessin de Alain Auderset

Qui est le vrai Dieu ?

Fausses conceptions de Dieu

Avant de connaître quelqu’un, on se fait des idées sur lui.

Est-ce que nous connaissons personnellement le vrai DIEU, tel qu'Il se révèle dans la Bible ?
Ou bien prions-nous un dieu imaginaire, un dieu de religion, une image mentale ?
Voici quelques exemples bibliques de personnes qui ne connaissaient pas Dieu personnellement, ou qui le connaissaient mal.

Ancien Testament :

Genèse 3 versets 1 à 5 : Ceci est la première séduction, croire que Dieu peut mentir.
Deutéronome 1 verset 27 : Lorsque nous souffrons, croire que Dieu nous hait, ou nous abandonne.
Psaume 32 v 8 & 9 : Croire que Dieu qui nous conduit comme des marionnettes.
Psaume 50 versets 16 à 21 : Croire en une projection de soi-même.
Esaïe 46 versets 3 à 8 : Le vrai DIEU est incomparable.
Esaïe 55 v 8 & 9 : « Mes pensées ne sont pas vos pensées… » Attention de ne pas prendre nos pensées pour les siennes (ni nos sentiments).
Jonas 4 versets 1 & 2 : Jonas connaît le caractère de Dieu, mais il n'est pas d'accord avec Lui.

Nouveau Testament :

Matthieu 7 versets 7 à 11 : Un pain ou une pierre ? Dieu est plein de bonté pour ses enfants qui lui font confiance, et qui lui obéissent.
Matthieu 12 versets 38 à 40 : Un signe refusé, Jésus n'est pas un magicien (même s'il avait fait un miracle, ils n'auraient pas cru que Jésus est le Messie).
Marc 10 versets 17 à 22 : Le jeune homme riche et son idole cachée dans le cœur : "Mammon" (l'argent personnifié). Il espérait aller au ciel, mais son cœur était partagé entre l’argent et Dieu. L’amour de Dieu est exclusif, c’est tout ou rien.
Luc 9 versets 54 à 56 : Les fils du tonnerre ne connaissaient pas encore le DIEU de Jésus Christ, compatissant et lent à la colère.
Luc 19 versets 20 à 24 : Cet homme a peur du Seigneur, car il le prend pour quelqu’un de dur et d’exploiteur, donc il ne le connaît pas.
Actes 8 versets 18 & 19 : Simon le magicien croit que Dieu est un commerçant. Tout les dons de Dieu sont gratuit. ( voir 2 Rois 5 v 15 à 17 + 20 à 27, le serviteur d’Elisée).
1 Corinthiens 15 verset 34 : Même dans les églises bibliques, il y en a qui ne connaissent pas Dieu. On n'est pas chrétien de naissance ni d'éducation, mais on le devient par la nouvelle naissance.

Autres fausses conceptions de Dieu :

Le dieu insensible à nos problèmes.
Le dieu-PDG, trop occupé pour s'inquiéter de nous.
Le dieu-dictateur qui ne respecte pas notre liberté de décision.
Le « père Fouettard ». Heureusement que notre cher Père céleste ne nous corrige pas proportionnellement à la gravité de nos fautes.
Le « bon dieu » qui sauve tout le monde (Universalisme), (voir Marc 16 v 16).
Le p'tit Jésus dans les bras de sa mère : Mignon, mais impuissant.
Le dieu qui nous obéit, comme un bon génie à notre service.

Le seul portrait moral exact de Dieu que nous possédons est la personne de Jésus Christ, tel qu’Il est décrit dans la Bible, et en particulier dans les 4 évangiles.
« Philippe lui dit : Seigneur, montres-nous le Père, et cela nous suffit. Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu, Philippe ! Celui qui m’a vu a vu le Père ». Jean 14 v 8 & 9.

Pierre Danis


Dessin : Auderset

Conversion d'un terroriste


Après avoir tué 203 personnes, un jeune milicien islamiste rencontre Jésus et change de vie


Beyrouth, un jeune milicien du Hezbollah, après avoir tué 203 personnes, principalement des miliciens d'escouades rivales, rencontre Jésus. Il n'a pas 17 ans.

Sa vie a été complètement transformée lorsqu'un jour un missionnaire, dans la rue, annonce que Jésus peut enlever toute culpabilité et nettoyer tout le sang qui couvre certaines mains. Le message le percute suffisamment pour qu'il dépose définitivement ses armes. "Ma vie et celle des autres ne comptaient pas, elles n'avaient aucune importance" dit Zachariah Anani.

Sa famille, musulmane sunnite, voulait faire de lui un Imam selon la tradition instaurée par son arrière grand-père. Dès l'enfance il fréquente donc l'école islamique. A 13 ans, il suit l'entraînement qui fera de lui un soldat islamique, à la grande joie de ses parents.(selon les doctrines islamiques, le soldat qui meurt sur le champ de bataille a le droit d'atteindre le ciel.) La famille bénéficie alors d'une protection particulière et est très respectée. Au début des années 70, des petits gangs islamiques opéraient à Beyrouth, soutenus par l'Organisation de Libération de la Palestine.

Avec le temps, ces petits groupes ont rejoint le Hezbollah, le Hamas et d'autres groupements Jihadistes. "J'ai été équipé, entraîné et envoyé pour tuer les Juifs et les Chrétiens, et bien entendu, les Américains" précise Anani. A chaque mort annoncée et confirmée par deux autres soldats, il gagnait un point sur sa charte. Il avait ainsi accumulé 203 points et pensait bien mourir entre 18 et 19 ans. Un jour qu'il rôdait dans les rues de Beyrouth, il rencontre un missionnaire qui prêchait dans la rue. "J'allais passer sans m'arrêter quand ses paroles ont retenu mon attention: Jésus-Christ vous donnera une nouvelle vie, une espérance, le salut. Je me suis arrêté pour écouter et parler avec lui."

Plus tard, Anani s'est rendu à la maison du missionnaire et il a vu une Bible pour la première fois. Le missionnaire a ouvert les Ecritures à l'endroit où Jésus dit: "Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos." (Evangile de Matthieu, 11.28) "Ces mots ont pénétré dans mon cœur très profondément et j'ai donné ma vie et mon âme à Jésus-Christ. Ce fut le début d'un grand changement dans ma vie. Ma première réaction a été de dire la joie de ma conversion à ma famille musulmane. Je n'ai pas caché ma foi que j'ai partagée avec mes parents et avec tout le monde le lendemain."

Des dirigeants Musulmans à Beyrouth ont lancé un procès contre lui, l'accusant d'apostasie. Anani se heurtait à la tradition Islamique qui spécifie que "Quiconque embrasse toute autre religion sera puni de mort".

"J'ai été jugé dans la mosquée qui jouxte ma maison. J'avais 3 jours pour renier ma foi nouvelle et redevenir musulman avec eux, sinon, j'allais mourir. Après les 3 jours, mon père a loué les services de tueurs Kurdes pour m'assassiner. Ils ont fait 18 tentatives d'assassinat et mon père a annoncé que la dernière chose qu'il veut accomplir pour se rapprocher de Dieu, c'est de me tuer. Dans l'une des tentatives, j'ai échappé de peu à mes attaquants qui m'ont accosté dans les rues de Beyrouth et poignardé, et fait une entaille profonde dans la nuque. Dans la tradition islamique, ils doivent me couper la gorge, non pas me tirer dessus ou m'empoisonner, bien qu'ils aient essayé également. Pendant mon transport à l'hôpital, j'ai été déclaré mort cliniquement. Plus aucun signe vital, mais un médecin continuait de tenter de me réveiller. Miraculeusement, j'ai survécu. C'est comme si le Seigneur ne voulait pas encore de moi. Quand le Seigneur a sa main protectrice sur vous, rien ne peut vous arriver."

Cet ancien soldat milicien continue de s'émerveiller des changements que Dieu a opérés dans sa vie. "Quand je regarde en arrière je suis attristé de ce qu'on m'a forcé à faire étant enfant. Maintenant, en Christ, je suis une nouvelle créature recouverte de son sang - Loué soit Dieu!"

Source : Assist News Service/Voxdei

samedi 2 juin 2007

Les sacrements catholiques

Du latin : Sacramentum = consécration, engagement + le verbe sacrare =se vouer, se dédier, se lier.

l) Le baptême des enfants :
Ce sont les parents qui s'engagent pour l'enfant. Bien que l'on n'ait pas péché personnellement, cette cérémonie a quand même eu lieu, et comme tout engagement, il est respecté par Dieu. Si nous voulons en être affranchi, nous disons au Seigneur que nous désapprouvons cet acte que nos parents ont fait sur nous et nous lui demandons de l'annuler. Et si nous avons fait cela sur nos enfants, il faut nous en repentir et, si possible, demander au curé de 1'annuler sur son registre.
Le baptême (immersion) biblique est un engagement personnel pris par quelqu’un qui s’est repenti et qui croit au sacrifice de Jésus Christ et à sa résurrection.

2) La confirmation :
L'enfant confirme l'engagement pris par ses parents au baptême, il le rend valide. L'enfant doit embrasser la bague de l'évêque (ce qui est un acte idolâtre) et celui-ci lui touche la joue, ce qui est une imposition de main, pour que l'enfant reçoive le "Saint-Esprit". Cela se fait te jour de la Pentecôte, et tout ceci se dissimule derrière des arguments bibliques. Comme l'évêque n'est pas un serviteur du vrai Dieu il peut communiquer un autre esprit. Dans certains cas il fait aussi un petit signe de croix sur le front avec de l'huile. La plupart des enfants le font sans y croire et sans comprendre, mais il est quand mème nécessaire de confesser ces fautes, car il s'agit d'un engagement devant les hommes, et devant les autorités célestes.

3) La confession :
Dieu seul a le pouvoir de pardonner les péchés. Si on croit qu'un homme peut le faire, c'est de l'idolâtrie. Comment un homme qui est peut-être pire que celui qui se confesse peut-i1 pardonner ? La Bible dit qu'il n'y a qu'un seul Dieu et un seul médiateur entre Dieu et tes hommes, c'est l'homme Jésus-christ ( 1 Timothée chapitre 2, verset 6).

4) La communion :
C'est un engagement par lequel nous entrons en communion (union avec = être un) avec tous les membres de l'église catholique, ainsi qu'avec l'esprit du catholicisme. L’apôtre Paul appelle cela une coupe de démons (1 corinthiens 10 v 14 à 22).

5) Le mariage :
Le prêtre prononce une bénédiction sur les époux qui prennent un engagement envers l'église catholique romaine. Jésus dit "Le Saint-Esprit vous conduira dans toute la vérité" (Jean 16 : 13) et par conséquent, un esprit qui nous conduit dans l’erreur ne peut pas être l'Esprit de Dieu. C'est un moyen très simple pour reconnaître le Saint-Esprit des autres esprits.

6) L'ordination : concerne uniquement les prêtres.

7) L'extrême-onction : est donnée aux mourants.

Cher lecteur, si tu t’es lié par ces engagements, il faut t’en défaire au plus vite, en les confessant à Dieu et en demandant à un chrétien de prier pour toi. Psaume 107.

pierre.danis@wanadoo.fr

vendredi 25 mai 2007

La grande religion mondiale unique de la fin des temps

Mise en place de la grande religion mondiale unique de la fin des temps

L'Eglise Catholique Romaine est en train de préparer la mise en place de la grande religion mondiale unique de la fin des temps, conformément aux prophéties de la Bible.
Le Congrès œcuménique sur "L'avenir de Dieu" se tient chaque année au mois d'octobre à Fatima, au Portugal. En octobre 2003, il a accueilli des délégués du Vatican et des Nations Unies. A cette occasion, ces délégués ont appris que le sanctuaire Marial de Fatima allait devenir un centre mondial ouvert à toutes les religions du monde, afin que tous les peuples puissent venir y rendre hommage à leurs différents dieux. Le Congrès s'est tenu au Centre Pastoral Paul VI, et était présidé par l’évêque Josè Policarpo, le Cardinal Patriarche de Lisbonne.
Le recteur du Sanctuaire dit aux congressistes que "Fatima allait changer pour le mieux". S'adressant à tous les représentants des différentes religions mondiales, Hindous, Musulmans, Juifs, Orthodoxes, Bouddhistes et l’Animisme, il a déclaré : "L'avenir de Fatima, ainsi que l'adoration de Dieu et de Sa Mère dans ce sanctuaire sacré, doivent passer par la création d'un sanctuaire où toutes les différentes religions pourront se mêler… Le sanctuaire de Fatima est déjà en train de devenir un lieu de culte universel".

Le représentant des Hindous, Anshok Ansraj, a décrit de quelle manière, dans son pays, des millions d'Hindous perçoivent des "vibrations positives" en visitant différents sanctuaires mariaux, sans mettre en péril leur propre foi. L’évêque Guerra a fait aussi remarquer que Fatima est un prénom musulman, celui de la fille de Mahomet, et que cela était la preuve que ce sanctuaire devait être ouvert à la coexistence entre les différentes religions. Selon lui, "nous devons donc en conclure que c'est la volonté de la Bienheureuse Vierge Marie qu'il en soit ainsi en ce lieu". Les Catholiques traditionalistes, opposés à ce Congrès, ont été qualifiés par l’évêque Guerra de "bigots étroits d'esprit, attachés au passé, d'extrémistes fanatiques et de provocateurs".

L'un des principaux orateurs, le théologien Jésuite Jacques Dupuis, a insisté sur le fait que toutes les religions du monde devaient s'unir. Selon lui, "la religion de l'avenir sera la convergence de toutes les religions en un Christ universel qui satisfera tout le monde. Toutes les traditions religieuses du monde font partie du plan de Dieu pour l'humanité. Le Saint-Esprit est présent et à l'œuvre au sein du Bouddhisme, de l'Hindouisme et de toutes les religions non-Chrétiennes, tout autant que dans les Ecritures sacrées du Christianisme".

Le document officiel rédigé par le Congrès demande que toutes les religions cessent de faire du prosélytisme pour leur propre compte : "Aucune religion ne peut s'imposer aux autres, ni s'affirmer aux dépens des autres. Nous devons rester ouverts au dialogue, afin de pouvoir bâtir des ponts, et abattre les murs de séparation élevés par des siècles de haine. Ce dont nous avons besoin, c'est que chaque religion, tout en restant entièrement fidèle aux vérités qu'elle défend, considère toutes les autres religions sur un même pied d'égalité, sans aucun complexe ni d'infériorité ni de supériorité" ("Portugal News" du 1er novembre 2003).

Le sanctuaire de Fatima, situé au Portugal, est l'un des principaux centres mondiaux du culte Marial, et a joué un rôle majeur dans la pensée du Pape Jean-Paul II. La "Vierge Marie" serait apparue à Fatima le 13 mai 1917, déclarant que "le Seigneur lui avait confié la paix du monde". Le 13 mai 1981, le jour anniversaire de la première apparition de la "Vierge Marie" en 1917, le Pape Jean-Paul II fut victime d'une tentative d'assassinat à Rome. Pendant sa convalescence, le Pape reçut une vision de "Marie", qui lui dit qu'elle avait épargné sa vie, parce qu'il allait être chargé d'une mission particulière destinée à apporter la paix au monde. Le Pape attribua sa protection et sa guérison à l'intervention de la Vierge Marie. L'année suivante, le 13 mai 1982, il se rendit en pèlerinage à Fatima, et il pria devant la statue de "Notre Dame de Fatima". C'est là qu'il consacra le monde à Marie. Il mentionna tout particulièrement dans ses prières le peuple Russe. Le Pape a attribué à l'intervention de la Vierge Marie la chute du mur de Berlin et l'effondrement du communisme soviétique.

Tout cela ne fait que prouver qu'un puissant esprit de séduction est en train d'envahir le monde entier, tout particulièrement le monde religieux, pour préparer l'apparition de l'Antichrist. Toutes les religions païennes vénèrent une figure de "déesse", souvent plus accessible et même plus puissante qu'un dieu mâle. Quand le Christianisme formel fut officiellement accepté par l'empire romain, au quatrième siècle, il couvrit le paganisme romain d'un vernis de terminologie chrétienne. Etant à la recherche d'un type de déesse pour l'incorporer dans la nouvelle religion, il choisit Marie, la femme la plus remarquable du Nouveau Testament, et il en fit la "Mère de Dieu" et la "Reine du Ciel". L'expression "Mère de Dieu" n'est jamais mentionnée dans la Bible, et celle de "Reine du Ciel" n'apparaît que dans Jérémie 44 :17-19, dans un contexte négatif, où les Israélites sont condamnés parce qu'ils offraient des gâteaux en l'honneur d'une déesse païenne, ce qui attira le jugement de Dieu sur eux.

Les apparitions modernes de "Marie" sont, en fait, non pas des manifestations de la véritable Marie du Nouveau Testament, mais des visitations démoniaques des déesses des antiques religions païennes. Il est significatif que les messages apportés par ces "apparitions" ne correspondent pas au message fondamental de la Bible, en particulier au message du salut par la repentance et la foi en Jésus le Messie, seul médiateur entre Dieu et les hommes. La théologie de l'Eglise Catholique Romaine présente même Marie comme "co-rédemptrice", ou partenaire directe de Jésus dans la rédemption. Il semblerait, en fait, que Jésus soit même réduit à une position relativement secondaire, car Marie, dans les déclarations qui lui sont attribuées, joue un rôle qui n'appartient en réalité qu'à Dieu seul. Par exemple, l'apparition de Fatima a déclaré : "Je promets d'assister de toutes les grâces nécessaires au salut, à l'heure de leur mort, tous ceux qui auront accepté de passer un quart d'heure quotidien en ma compagnie, en méditant sur le mystère du Rosaire, avec l'intention de faire réparation pour les torts qui m'ont été faits".
Le culte rendu à Marie et l'émergence de la religion mondiale uniqueTous les délégués au Congrès de Fatima ont affirmé que les apparitions de Marie sont un moyen de rapprocher toutes les religions, dans leur recherche commune d'une puissance unificatrice. Toutes les religions païennes ont une "déesse" favorite, et ce concept est au centre de leur recherche d'unité. Beaucoup de ces prétendues visions apportent des messages annonçant un prochain réveil mondial, qui introduira l'humanité dans un nouvel âge de paix et d'amour. Selon les déclarations d'une apparition de Marie, dans le village espagnol de Garabandal, au cours des années 80, il va se produire "un certain signe, qui poussera tous les habitants du monde, au même moment et où qu'ils se trouvent, à recevoir de Dieu un "changement de conscience" complet et instantané".

Beaucoup de ces messages apportés par "Marie" ressemblent aux messages du Nouvel Age, qui annoncent une ère de "renouveau spirituel intérieur", où les hommes découvriront leur "dieu intérieur", niant ainsi la nécessité de se repentir et de placer leur foi en Jésus-Christ le Sauveur. Un autre concept du Nouvel Age est celui de Gaïa, la "Terre Mère", qui fait aussi appel à "l'esprit de la déesse". Les Protestants libéraux font la promotion du féminisme, et cherchent à écarter "l'image patriarcale d'un Dieu Père". La controverse au sujet de l'ordination des femmes à la prêtrise s'appuie souvent sur le concept d'un Dieu qui serait en fait une "Mère". La théologie de Rome cherche de plus en plus à réunir toutes les religions, et le Pape Jean-Paul II a déjà affirmé que tous les dieux sont les mêmes, s'opposant ainsi aux Chrétiens évangéliques.

Tout cela correspond bien à ce qui est écrit dans le Livre de l'Apocalypse, où nous lisons :
"Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or, remplie d'abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d'un grand étonnement" (Apoc. 17 :3-6).

"Bientôt, une alliance sera conclue entre le maître du monde et le Vatican. La femme montera réellement la Bête, et son rôle sera vital. L'Antichrist saura qu'il ne peut y avoir de paix politique sans paix religieuse. Il ne pourra y avoir de paix mondiale, tant que toutes les religions n'accepteront pas de se considérer comme des partenaires, et de travailler en commun pour atteindre les mêmes objectifs. Le Pape jouera donc un rôle essentiel dans cet œcuménisme global".
Il se peut que le règne du présent Pape touche à sa fin. Mais il aura accompli des progrès décisifs, en dirigeant résolument l'Eglise Catholique dans cette direction. Il ne fait pas de doute que son successeur continuera à œuvrer pour que toutes les religions s'unissent sous la bannière de l'œcuménisme.

L'ordre du jour du Congrès de Fatima sur "L'avenir de Dieu" correspond étroitement au programme visant à instaurer la religion mondiale unique. Toutes les religions du monde, associées aux Nations Unies, se sont déjà unies, sous les auspices de l'Eglise Catholique Romaine, pour appeler à l'unification de toutes les religions et à l'acceptation du "Christ Universel". Telle est l'essence de la future religion mondiale, qui nie le véritable message du Seigneur Jésus, qui a dit :
"Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi" (Jean 14 :6).
Le titre même de ce Congrès ne fait que révéler l'incapacité complète des participants à comprendre la nature de ce Dieu dont ils prétendent parler ! Comme si des êtres humains insignifiants pouvaient, avec leur raison limitée, déterminer "l'avenir de Dieu" ! Dieu existe de toute éternité. Par définition Il ne change pas, notamment en fonction des modes humaines passagères. Selon Sa Parole, tous ceux qui prient une multitude de dieux concurrents ne font qu'invoquer des "dieux incapables de sauver" (Esaïe 45 :20). Quelle tragique perte de temps et d'efforts, alors que nous pouvons prier le vrai Dieu, qui nous sauve effectivement, grâce au sang versé par le Seigneur Jésus-Christ sur la croix. C'est pour cela que Jésus nous a demandé de partager la Bonne Nouvelle du salut à tous ceux qui croient en d'autres religions. Il a commandé à Ses disciples d'aller dans le monde entier pour prêcher l'Evangile (Matthieu 28 :19-20).
La véritable Marie
La véritable Marie, connue sous le nom de Myriam, était une pieuse jeune fille Juive qui a été choisie par Dieu pour permettre au Messie de venir au monde. Il s'agissait d'une naissance virginale surnaturelle, car Jésus devait être pleinement Dieu et pleinement Homme, accomplissant ainsi les prophéties d'Esaïe 7 :14 et 9 :6, et de Michée 5 :2. Le Seigneur pouvait donc S'offrir comme sacrifice parfait pour les péchés du monde entier. Après la naissance de Jésus, Myriam eut normalement d'autres enfants de son mari Joseph (Matthieu 12 :46-50). Elle crut en Jésus comme son Sauveur personnel (Luc 2 :47), et reçut la vie éternelle comme des millions d'autres Chrétiens qui ont suivi son conseil, quand elle avait dit à propos de Jésus : "Faites ce qu'il vous dira" (Jean 2 :5). Jésus nous a dit : "Il faut que vous naissiez de nouveau". Nous ne pouvons nous efforcer d'atteindre Dieu en récitant une multitude de prières, en accomplissant des bonnes œuvres ou en faisant des actes de pénitence. Nous ne pouvons le faire que par la repentance et la foi en la mort et la résurrection de Jésus.

Marie a réellement eu l'honneur d'être un merveilleux exemple de foi et d'obéissance au Seigneur. Mais d'autres personnages de la Bible ont aussi donné le même exemple. Rien ne nous laisse croire que Marie continue à jouer aujourd'hui un rôle particulier dans notre salut. Il est impossible que ce soit elle qui apparaisse en divers endroits, car la Bible nous enseigne qu'il ne doit y avoir aucune communication entre les vivants et les morts. Toutes les apparitions attribuées à Marie, que ce soit à Fatima, Lourdes ou ailleurs dans le monde, ne peuvent donc être que des séductions visant à induire les gens en erreur, et à les éloigner d'une véritable foi au Seigneur.

Voici ce que dit le Seigneur à tous ceux qui appartiennent au système religieux qui approuve ces apparitions :
"Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux" (Apoc. 18 :4).

La Bible a-t-elle été modifiée?







La Torah, le Zabour (Les psaumes) et l'Injil sont des livres saints, parole de Dieu pour les musulmans. Le Coran présente toujours le livre (La Torah des juifs et l'Injil des chrétiens) comme ayant été descendu de la part de Dieu sur ses prophètes. Coran 3.65 "La Torah et l'Evangile ont été descendus..."
Coran 5.44 "Nous avons descendu la Torah contenant une bonne direction et une lumière"
Coran 5.46 "Nous avons descendu l'EVANGILE CONTENANT UNE BONNE DIRECTION ET UNE LUMIERE"
Coran 5.65 "Si les gens du Livre avaient cru ... s'ils avaient appliqué scrupuleusement la Torah et L'EVANGILE"

Désobéissance des gens du livre

La plupart des gens du Livre ont constamment désobéi à la volonté d'Allah. Ils ont négligé la lecture de ses livres. Ils n'ont pas voulu comprendre ce qu'Allah demandait. Mais Dieu a protégé ses livres "La Parole de Dieu ne peut être abolie". Ces livres contiennent des trésors enfouis, Dieu les a conservés intacts pour les croyants qui le cherchent avec fidélité. Mohammed reproche à plusieurs reprises aux gens de son époque de ne pas obéir au texte contenu dans les livres de Dieu, mais l'accusation d'une altération du TEXTE ne se trouve NULLE PART.

Aujourd'hui, il en est de même, beaucoup de chrétiens n'obéissent pas aux commandements de Dieu (par exemble de ne pas adorer de statues) mais cependant le texte biblique n'a pas varié a ce sujet:
"Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l'Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux" (Torah, Exode 2:4-5)
Ce texte se trouve dans toutes les traductions de la Bible et y a toujours été depuis que Dieu a descendu la Torah sur Sidna Musa!!

On peut relever beaucoup d'autres contradictions dans la pratique religieuse de la plupart des chrétiens... C'est pourquoi si l'on veut connaître le message que Dieu a transmis par Musa ou Aïssa, il vaut mieux lire la Torah ou l'Evangile, c'est le moyen le plus sûr!!
De même, pour connaître l'Islam, il est beaucoup plus sûr de lire le Coran que de se fier aveuglément à des Imams.

Si le Coran affirme la validité de l'évangile "lumière et direction" (on ne parle pas ainsi d'un livre corrompu!) et que des Imams affirment le contraire, qui le musulman doit il croire?
la Parole de Dieu ne peut changerLe sidna Aissa a dit: "Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point." 2000 ans ont passé, et l'évangile n'est pas prêt de disparaitre. Les chrétiens ont souvent désobéi aux textes (statues dans les églises, culte des saints,...) mais Dieu protège sa Parole.
Le disciple Pierre (Boutros) disait de la part de Dieu dans le nouveau testament (l'injil): "Tout homme est comme l'herbe, et toute sa gloire comme la fleur de l'herbe. L'herbe sèche, et la fleur tombe; Mais la parole du Seigneur demeure éternellement."
Le Coran contient également 8 versets qui affirment que la Parole de Dieu ne peut pas être changée.

Rédaction de la Bible

Moussa a introduit la première alliance: La Tora (ancien testament ou "Loi"). Des livres poétiques et prophétiques ont été annexés à la Tora, en particulier les Psaumes (ou Zabour) de Daoud (David)
'Yssa (Jésus) a introduit une nouvelle alliance entre Dieu et les hommes qui est présentée dans l'injil (nouveau testament).
Le mot "testament" veut aussi dire "alliance" en grec.
La compilation de ces livres s'appellait les livres (ta Biblia) dans les premiers siècles et est devenu en français moderne : "La Bible"

Le texte auquel se référence Mohammed est le même que celui que nous connaissons aujourd'hui, à cette époque il était répandu dans tout le bassin méditérannéen et des manuscrits entiers antérieurs à cette époque sont consultables dans certains musées et confirment la non variation du texte.
Les évangiles ont été rédigés par des témoins occulaires peu de temps après l'élevation au Ciel du sidna 'Aissa.
Un fragment de l'évangile de Jean (papyrus p52 conservé à la Bibliothèque J. Ryland à Manchester) a été retrouvé en Egypte et daté de la fin du premier siècle.
Il prouve l'existence et la diffusion de cet évangile dès la première moitié du second siècle et ce, bien loin de l'endroit où l'on situe traditionnellement sa rédaction (Ephèse en Turquie).
Beaucoup d'autres manuscrits ont été trouvés (plus de 2000) certains datent du deuxième siècle. Aucun de ces manuscrits ne présente de variante significative par rapport au texte actuel.
L'évangile de Luc a également été rédigé très tôt, en tout cas avant la rédaction de la première épitre de Paul à Timothée, puisque Paul en cite un bout:
1 Timothée 5:18 "Car l'Écriture dit: Tu n'emmuselleras point le boeuf quand il foule le grain. Et l'ouvrier mérite son salaire." (C'est une citation de l'évangile selon Luc 10:7)
Pareil pour l'évangile selon Matthieu: un morceau de l'évangile de Matthieu a été retrouvé récemment et daté du milieu du premier siècle, on parle beaucoup de ça en ce moment dans les milieux spécialisés.

Les scientifiques sont unanimes pour affirmer que l'ensemble des textes du nouveau testament (l'Injil) étaient rédigés dans leur forme actuelle avant la fin du premier siècle.
Le plus célèbre archéologue dans ce domaine, M. Albright affirme que le texte du nouveau testament tel que nous le connaissons était entièrement rédigé en l'an 80.
Des textes Bibliques entiers antérieurs à l'Islam existent notamment en latin ou en syriaque (150 ap JC) qui est un idiome voisin de l'arabe. Le texte original de l'évangile avait sa forme définitive avant la fin du premier siècle (année 80 d'après l'archéologue Albright). De tous ces manuscripts, aucun ne présente de variation significative avec le texte des bibles actuelles.

Conclusion

Je sais bien que beaucoup de théologiens et d'imams d'aujourd'hui disent que la Bible a été changée, on m'en a suffisament parlé, autant qu'à toi!!! Mais ce n'est ni ce que dit le Coran, ni ce que dit la science, c'est le contraire de ce que dit Dieu (sa parole est immuable).

Pour pouvoir affirmer que la Torah ou l'Injil ont été changés, il faudrait pouvoir dire:
qu'est ce qui a été changé quand et par qui Personne n'a pu m'apporter de réponse! Je donne ici des preuves de ce que j'avance. On peut affirmer n'importe quoi à la légère, il est beaucoup plus intéressant de prouver ce que l'on dit. Certains courants dans l'islam véhiculent l'idée de la corruption de la Bible. Même si les personnes qui enseignent cela sont SINCERES devant Allah, elles n'ont pas pris la peine de VERIFIER ces informations.

mardi 22 mai 2007

La prière pour les morts

Prier pour les morts ?

Les vivants peuvent-ils aider les morts en priant pour eux ? Selon la doctrine catholique, ils le peuvent en effet :
" La communion avec les défunts. Notre prière pour eux peut non seulement les aider mais aussi rendre efficace leur intercession en notre faveur." Article #958, p. 252-253
De ce texte, nous tirons trois affirmations contraires à la Bible. Examinons-les :

la pensée de prier pour les morts ... est une pensée sainte et pieuse.
Selon la Parole de Dieu, ce n'est ni saint ni pieux de prier pour les morts. Les chrétiens sont encouragés à prier pour les vivants, mais la Bible ne recense aucun exemple de véritable chrétien priant pour les défunts. C'est encore une tradition humaine.

la pensée de prier pour les morts, afin qu'ils soient délivrés de leurs péchés...
Voici une tradition bâtie ... sur une tradition. Les Ecritures ne laissent jamais suggérer cela. Comme nous l'avons déjà vu, il faut être délivré de ses péchés avant sa mort.

Notre prière pour eux peut non seulement les aider mais aussi rendre efficace leur intercession en notre faveur
Tel un jeu de construction où l'on empile des cubes, cette tradition s'appuie sur d'autres traditions humaines. Elle n'a absolument aucun fondement biblique. Nous atteignons des "sommets" en apprenant que notre prière est supposée être capable de :
"rendre efficace leur intercession en notre faveur"
La question qui vient immédiatement aux lèvres est : Pourquoi aurions-nous besoin d'autres intercessions pour nous-mêmes ? N'est-il pas suffisant d'avoir l'intercession de Dieu le Fils ? Le Créateur de l'univers a-t-il besoin de l'aide des hommes et femmes, pour persuader Dieu le Père ?

Quelle attitude méprisante envers Jésus-Christ ! Cette doctrine catholique présente le Seigneur comme un faible, incapable de persuader Son Père sans l'aide de la prière des morts ! Ce n'est pas ainsi que Jésus est présenté dans la Bible :
" Jésus, s'étant approché, leur parla ainsi : Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. " Matthieu 28.18

Voici un autre portrait de Jésus-Christ :


" [Dieu] l'a déployée en Christ, en le ressuscitant des morts, et en le faisant asseoir à sa droite dans les lieux célestes, au-dessus de toute domination, de toute autorité, de toute puissance, de toute dignité, et de tout nom qui se peut nommer, non seulement dans le siècle présent, mais encore dans le siècle à venir. Il a tout mis sous ses pieds, et il l'a donné pour chef suprême à l'Église, qui est son corps, la plénitude de celui qui remplit tout en tous. " Éphésiens 1.20-22
Quelle différence avec le portrait qu'en fait l'église catholique !

Cher ami catholique, Jésus-Christ n'a besoin de personne pour agir ! Il est tout à fait capable d'intercéder pour nous :

" C'est aussi pour cela qu'il [Jésus] peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur. " Hébreux 7.25
Avant de prier pour un défunt qui vous est cher, comprenez que ceci n'est qu'une invention humaine. Dieu ne vous a jamais demandé de prier pour les morts, et n'a jamais promis non plus que cela serait bien.

Jeune catholique, j'ai toujours pensé que ces règles venaient, d'une façon ou d'une autre, de Dieu. Mais c'est faux ! Lisez la Bible et constatez-le par vous même. Le catéchisme enseigne une tradition humaine, pas les lois de Dieu.

Le même schéma
Vous avez noté, c'est certain, que Jésus est encore une fois amoindri. De Sa position de seul et divin intercesseur à la droite de Dieu, Jésus est ntégré à la foule des morts et relégué au rôle de simple intercesseur parmi d'autres.
Pourquoi la religion catholique s'évertue-t-elle à amoindrir Jésus-Christ ?

Conclusion
Une fois encore, vous êtes placé devant des décisions importantes à prendre :
Continuerez-vous à prier pour les morts, en sachant que c'est une tradition humaine et non un commandement de Dieu ?
Vous accrocherez-vous à une doctrine qui amoindrit le Seigneur Jésus-Christ pour que soit mise en avant la tradition de l'église ?

Rejetterez-vous, en toute connaissance de cause, la Parole de Dieu pour suivre la tradition humaine ?
A vous de décider. En réfléchissant, méditez ces mots de Jésus :
" Ce peuple m'honore des lèvres, Mais son coeur est éloigné de moi. C'est en vain qu'ils m'honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d'hommes. " Matthieu 15.9