vendredi 25 janvier 2008

Témoignage de Pierre

A LA RECHERCHE DE LA VRAIE VIE

Je suis né en 1947 en Allemagne à Baden-baden, puis j'ai passé une partie de mon enfance en Afrique, mais surtout au Cameroun. J'ai été élevé dans le catholicisme traditionnel: messe tous les dimanches, catéchisme, sacrements...etc

Plus tard, lorsque ma famille est venu vivre en France, je me suis désintéressé de la religion parce qu'un de mes copains dont la famille était athée se moquait de moi. J'ai donc cessé de fréquenter l'église, et de toute façon, je ne comprenais pas grand chose aux sermons du curé.

J'ai appris le métier de menuisier que j'ai exercé ensuite. Puis je suis allé à l'armée, et en 1968 je côtoyais des amis qui lisaient de la littérature philosophique. Je n'avais jamais réfléchi de ma vie. C'est donc la première fois que je me posais des questions : Pourquoi existe-t-on ? D'où vient-on ? Pourquoi l'univers existe-t-il ? Pourquoi l'homme est-il méchant? Pourquoi souffre-t-on ? Où va-t-on après la mort...? Alors, je me suis mis à lire des livres "existentialistes", qui incitent à se poser des questions, (ce qui est bien), mais par contre ils n'offrent aucune réponse, ce qui conduit à une angoisse existentielle. Le coté positif de tout cela, c'est que cette quête m'a stimulé à chercher des solutions.

J'avais été marqué par la culture africaine. En effet, vivre dans un autre pays, nous marque pour la vie, surtout quand cette culture est vraiment différente, avec une autre mentalité et une autre manière de concevoir l'existence. De plus, j'étais plutôt mal à l'aise en France car j'avais du mal à accepter le matérialisme qui y régnait.
J'ai donc voulu connaître les autres cultures et les autres religions.

Avec deux autres copains que j'avais connus à l'armée, nous avons décidé de découvrir le Maroc.
C'est là que j'ai fumé du canabis (ils appèlent ça du kif) pour la première fois. Le peu d'argent que nous avions s'est vite épuisé, et nous vivions au bord de la mer et nous avions un ami qui s'appelait Ali Baba. Il nous a prêté un cabanon en bois sur la plage. Nous avons mangé des moules et des oursins, chaque jour pendant plusieurs mois. Inutile de vous dire que j'en avais plus qu'assez. Heureusement, nous avions des amis qui nous invitaient parfois à manger du couscous ou du tajine ! Ces derniers nous ont aussi parlé de l'Islam. La religion commençait à nous intéresser, mais après 3 mois, nous avons réalisé que nous ne pouvions pas continuer à vivre ainsi, mais qu'il fallait gagner de l'argent. Il était donc temps de revenir en France...
Nous sommes donc repartis à Paris, et nous avons trouvé du travail, dans l'imprimerie, dans la chaussure, et d'autres petits "boulots".

Ensuite, je suis retourné au Maroc avec un autre copain, puis de retour à Paris, j'ai eu envie de visiter l'Asie.

Il a fallu traverser l'Italie, la Grèce, la Turquie, l'Iran (c'était à l'époque du "Shah"), et ensuite l'Afghanistan, oû il y avait encore des caravanes de chameaux. Pour moi, fumer du canabis était plus qu'une habitude, c'était un art de vivre.

Ensuite, le Pakistan, où les gens chez qui je logeais m'ont proposé de me convertir à l'Islam. Mais comme j'avais besoin d'amour et de liberté, je les ai quittés car cette religion ne propose ni l'un ni l'autre.

Puis j'ai visité l'Inde, et le Népal d'où j'ai été chassé par la police de l'immigration, parce que mon visa avait expiré.
C'est là que j'ai commencé à prendre du LSD, ainsi que d'autres substances hallucinogènes. Je suis donc resté un an en Inde, en divers endroits, puis je suis retourné en Europe en stop.
Là, j'étais "déphasé", et j'avais beaucoup de mal à me réadapter à la vie européenne. Je suis allé voir mes parents, en Touraine, mais le contact était presque impossible avec eux, et je les ai fait souffrir.

L'idée d'un nouveau voyage s'est alors imposé à moi, et je suis parti à Amsterdam. J'y ai rencontré un copain que j'avais connu en Inde, et nous sommes allés au Danemark pour tout l'hiver. Mais préférant la chaleur, je suis retourné en Inde pour un an de plus, via la Tunisie, le Liban et le Pakistan. J'y ai appris une langue pour me débrouiller. Nous passions l'hiver en plaine, et l'été en montagne (l'Himalaya). Ayant remarqué la beauté de la nature, j'ai compris que ce n'était pas le fruit du hasard, et qu'il devait y avoir quelqu'un ou quelque chose là derrière. De plus, j'ai frôlé la mort plusieurs fois au cours de mes périples, ce qui m'a poussé à réfléchir à l'au-delà, mais n'ayant pas de réponse, j'étais encore plus angoissé.

Un jour, je suis rentré dans une maison où j'ai vu un petit livre: un "Nouveau Testament", il était déchiré, et il manquait tout l'évangile de Matthieu. Je l'ai emprunté à son propriétaire, et j'ai commencé à le lire. Ce fût mon premier contact avec la Bible.

Ensuite, je suis allé au Rajasthan, dans une "ville sainte", où j'étais le seul étranger. Je faisais des ablutions chaque jour dans un lac "sacré". Mes amis voulaient me convertir à l'hindouisme, alors ils m'ont amené dans les temples de leurs dieux.. Lors d'une cérémonie, il fallait se courber devant la statue en joignant les mains. Quand c'est arrivé à mon tour, je n'ai pas pu le faire, et je leur ai dit que cette statue ne pouvait pas être un dieu. J'avais au moins compris ça. Ils ne m'en ont pas voulu et m'ont respecté. La société indienne est divisée en "castes" et mon meilleur ami faisait partie de la caste supérieure, les Brahmanes, en principe, les plus instruits et les seuls qui peuvent être prêtres.

Ensuite j'ai quitté cet endroit, et je suis allé vivre tout seul au bord du Gange. C'était l'époque où les Beatles s'étaient fait initier à la "Méditation Transcendantale" et leur Guru habitait dans un monastère (ashram) où je voulais rester, mais comme il fallait payer, je suis parti. En longeant le fleuve, j'ai remarqué des grottes où vivaient des ermites. J'en ai trouvé une vide et m'y suis installé. J'étais végétarien depuis longtemps déjà, et je me suis mis au régime "frugivore", c'est-à-dire que je ne mangeais que des fruits et je buvais l'eau de la rivière. Mon seul vêtement était un petit morceau de tissu et la vie était très simple. Je faisais mes exercices de yoga, comme mes voisins. Puis j'ai eu la "dysenterie".

J'ai décidé de remonter en montagne, épuisé et squelettique. Je ne connaissais plus personne, et je ne savais plus quoi faire, j'étais "au bout du rouleau". A ce moment-là, une religieuse bouddhiste originaire du Canada est passée et m'a proposé d'aller au monastère tibétain où elle habitait, plus haut dans la montagne. J'ai vécu avec les moines un certain temps, participant aux cérémonies (poudja) et aux enseignements du lama. La nonne qui m'avait amené là possédait un Nouveau Testament que j'ai emprunté, et j'ai lu l'Apocalypse.


Puis j'ai rencontré un "guru" qui enseignait une technique de méditation qui était, soi-disant, un raccourci pour atteindre le "Nirvana", car dans le bouddhisme, on trouve le cycle perpétuel des réincarnations. Il m'a initié à une méthode appelée "Vipasana", et j'ai voulu devenir moine dans un monastère au village où Gautama a eu son illumination, c'est-à-dire qu'il est devenu "Bouddha". Je me suis fait raser le crâne et je suivais un régime strict. Des restrictions très sévères étaient appliquées : nous ne pouvions écouter de la de musique, nous devions respecter certains jours de silence, dormir sur une planche...Nous méditions plusieurs fois par jour, sans bouger pendant des séances d'une heure.

Un jour, deux garçons sont arrivés au monastère, et comme les cours du soir étaient en anglais pour les étrangers, je leur servais d'interprète. L'un d'eux possédait un gros livre noir: La Bible, achetée à Delhi (la capitale) à 1000 Km de là".
Après la lui avoir empruntée, je me suis mis à la lire tout en recevant les enseignements du guru et en les expliquant aux deux garçons. C'est là que j'ai lu ce verset: "Celui qui cherche, trouve", ce qui m'a encouragé à poursuivre ma recherche.


Dans ma tête, ça commençait à se bousculer, car j'essayais de comparer Jésus à Bouddha. Finalement, j'étais de plus en plus impressionné par la personne de Jésus-Christ. D'abord par les miracles, ensuite par la sagesse, par l'amour et par la liberté d'expression qu'il avait face aux religieux (par exemple, quand il dit : "Vous êtes une race de vipère")... Je continuais à leur expliquer les cours du prof, et je leur répétais les paroles de Jésus, jusqu'au jour où celui qui m'avait prêté la Bible m'a demandé de la lui rendre pour qu'il la lise. Quant à moi, j'étais au même point qu'avant avec mes questions sans réponses, et je sentais que je devais partir alors je suis retourné en montagne.

J'ai rencontré un juif avec lequel j'ai partagé le logement. Il avait une Bible. Après un certain temps, j'ai fait un bilan de ma situation : je n'avais aucune solution à mes problèmes, alors ce n'était pas la peine de rester là plus longtemps.

Je suis retourné au pays, vivre en communauté dans une vieille ferme, à "Bidon" dans la Nièvre. Nous étions quatre, et nous avions des chèvres, des poules, des ruches, et un jardin de légumes et de canabis... Il y avait un livre sur la cheminée : La Bible ! Je décide donc de la lire en entier, ce qui a pris un an. Le garçon qui avait emmené cette Bible était juif, et nous étions tous en recherche spirituelle, mais il y avait également d'autres livres.


Un jour d'hiver où j'étais seul, je lisais l'évangile de Jean au chapitre 14, lorsque Thomas dit à Jésus : "Seigneur montre-nous le chemin". En fait, ce n'était plus Thomas, mais moi qui posait la question à Jésus. La réponse de Jésus m'a surpris, car j'aurais tout imaginé sauf ça : "Je Suis Le Chemin, La Vérité et La Vie, nul ne vient au Père que par Moi."

Personne n'avait pu m'influencer, j'étais seul ! J'ai compris tout d'un coup que c'était Lui, qu'il n'y avait pas d'autre chemin. J'ai abandonné tous les autres. Avant cela, je croyais que tous les chemins menaient au même dieu, et l'instant d'après, je croyais qu'il n'y avait qu'un seul chemin : JESUS CHRIST. Je n'étais pas arrivé au but, mais j'avais une indication. Un peu comme si on est perdu sur une route, et que tout d'un coup, nous trouvons un poteau indicateur qui nous indique le lieu où nous allons... J'ai pris les bouquins sur la cheminée, et je les ai brûlés. Dieu m'a fait comprendre qu'Il ne m'interdisait pas de me "défoncer", mais qu'il fallait que je choisisse : Continuer de fumer du canabis ou le suivre. J'ai donc décidé de le suivre et de me débarrasser de tout ce qui le dérange.

Je n'ai pas partagé cette découverte avec mes amis, puis nous sommes allés en Suisse dans une communauté bouddhiste, et sur le retour, à Neuchâtel, étant au bout du rouleau, j'ai prié Dieu, lui disant à peu près ceci :
" Je n'en peux plus, si tu existes vraiment, il faut que Tu fasses quelque chose pour moi, et j'ai lu dans le Livre, que Tu avais des disciples, mais si Tu en as encore aujourd'hui permets moi d'en rencontrer au moins un qui puisse m'aider." Je n'en ai parlé à personne, mais un jour ou deux après, alors que nous faisions du stop pour revenir à "Bidon", un homme nous a pris dans sa voiture, et nous a dit: "Je suis chrétien, je crois en Jésus-Christ, Il est mon Sauveur", et il nous a annoncé l'Evangile. J'étais heureux de voir la réponse à ma prière. J'ai compris que Dieu existe, la preuve, c'est qu'Il répond à la prière. Et j'ai compris qu'Il ne m'en voulait pas, mais qu'Il s'intéressait à moi, ça m'a redonné espoir pour aller de l'avant. Nous avons partagé son pique nique au bord d'une rivière.

Avant notre retour dans notre communauté, le chrétien nous a donné un livre intitulé : "Si tu veux aller loin", qui parlait de la vie éternelle, c'est ce dont nous avions besoin.
Au bout d'une dizaine de pages, j'ai dit à mon copain que ce n'était pas la peine de continuer à lire, mais qu'il était préférable d'aller voir cet écrivain. Nous n'avions pas un centime, puisque dans la communauté nous mangions ce que la terre produisait. Ralph Shallis habitait dans le Gard à côté d'Alès, et nous avons mis 5 jours pour y aller.

Nous avons trouvé sa maison isolée à la campagne, et il n'y avait personne, alors nous avons sorti les sacs de couchage pour dormir dans le garage. Tout à coup, des phares nous ont réveillés, c'était sa femme ! Nous étions gênés, vis-à-vis de cette femme qui rentrait seule en hiver, la nuit dans cette maison isolée, et qui trouvait deux hommes hirsutes dans son garage. Quelle drôle de surprise !

Après nous avoir demandé ce que nous faisions, elle nous a proposé de rentrer, et nous a servi du thé avec des biscuits... Puis son mari est arrivé, et nous a demandé ce que nous voulions. Nous lui avons expliqué que nous avions lu son livre et que nous cherchons la vie éternelle. Il a ouvert sa Bible et nous a parlé du problème du péché. Il nous a dit : "Entre vous et Dieu, il y a un mur, c'est tout le mal que vous avez fait. Dieu vous demande de vous repentir!" Alors nous avons commencé à confesser nos péchés à Dieu, ça a duré une semaine. J'étais très mal parce qu'il nous avait parlé de la condamnation... J'étais persuadé qu'avec tout le mal que j'avais fait, je serais jeté dans le feu. Puis il nous a prêché la Bonne Nouvelle du Salut :

Jésus-Christ crucifié pour nos péchés, et ressuscité, celui qui croit en Lui est pardonné, et reçoit la vie éternelle gratuitement... Je n'arrivais pas à le croire. Six jours après, cet homme a compris que j'avais un blocage à cause de l'occultisme. En effet, j'avais fait de la radiesthésie, du yoga, de la méditation, des voyages astraux et d'autres choses (drogues et alcool). Il m'a dit de le confesser, et a prié pour que je sois délivré de ces liens.

Le lendemain dans la campagne, avec mon copain, nous avons lu un petit texte des Ecritures et après dans la prière je me suis confié au Seigneur. Je me suis emparé par la foi de Ses promesses. Notamment de celle-ci: "Celui qui croit en moi a la vie éternelle". C'est ce petit verbe "a" qui m'a vraiment convaincu parce qu'il est au présent, auparavant je croyais que la vie éternelle commençait après la mort. C'est à ce moment là que je suis né de nouveau.

A partir de là, j'ai démarré une nouvelle vie, avec le Seigneur dans mon cœur. Je sais que Dieu est mon Père et que rien ne peut me séparer de Lui. Je passerai l'éternité avec Lui, dans le bonheur parfait, en compagnie de tous ceux qui auront également mis leur confiance au Seigneur Jésus notre seul Sauveur.
A Lui seul soient la Gloire, l'Honneur et le Règne, à perpétuité !!!

Je sers également le Seigneur au sein de l'association créationniste " Au commencement ", par des conférences, des expositions, des camps, et un site : http://www.aucommencement.net/

Pierre Danis

Courriel : pierre.danis@wanadoo.fr
Site : http://biblique.blogspot.com/

samedi 1 décembre 2007

Les témoins de Jehovah




Introduction :


Il n’est pas du tout question de juger des personnes, mais c’est un système que nous examinons à la lumière de la Parole de Dieu, notre seule référence.

Esaie 43 v 10 + 12 & Esaie 44 v 8 : Ce texte est souvent utilisé pour justifier leur appellation « témoins de jehovah ». Dieu dit « Vous êtes mes témoins », cette parole s’adresse à Israël (voir début des chapitres), et non pas une secte moderne. La société « La tour de garde » a été fondée en 1881.



Actes 1 v 8 : Les témoins de Jésus-Christ sont ceux qui ont reçu le Saint Esprit.

2 Jean 9 v 11 : Nous ne devons pas leur donner le salut fraternel.

Fausses doctrines :

2 Pierre 2 v 1 à 3.

La divinité de Jésus Christ, Philippiens 2 v 6 ; Colossiens 2 v 9 ; Hébreux 1 v 1 à 6 ; 1 Jean 5 v 20 : Ces versets démontrent clairement que Jésus Christ est Dieu (voir l’étude sur ce sujet). Les TJ croient que Jésus Christ est une créature, l’archange Michael.

Le salut par grâce, qui s’obtient par la foi, Ephésiens 2 v 8 : Les TJ croient qu’ils peuvent être sauvés par les œuvres, c’est-à-dire en faisant des bonnes actions.

Le Saint-Esprit, Actes 2 v 39 : Les TJ ordinaires ne croient pas qu’ils peuvent recevoir l’Esprit de Dieu, car ils croient que seuls les « oints » l’ont reçu (voir l’étude sur le Saint Esprit).

Les 144.000 juifs (12000 de chaque tribu), Apocalypse 7 v 4 à 10 : Les TJ croient que les 144000 sont les « membres oints » qui seront dans le ciel (alors que Jean les voit sur la terre). Par contre, les TJ ordinaires devront se contenter d’un « salut terrestre » (alors que Jean voit la grande foule dans le ciel).

La fin du monde ou désintégration totale de l’univers, 2 Pierre 3 v 10 : Les TJ ne croient pas du tout à la fin du monde telle qu’elle est décrite par Pierre, mais ils croient à la fin du système mauvais.

Jésus Christ mort sur une croix, Jean 20 v 25 ; Mathieu 27 v 37 : Les TJ croient fermement que Jésus n’est pas mort sur une croix, mais sur un poteau.

Fausses prophéties :

Deutéronome 18 v 20 à 22 ; Mathieu 24 v 11.

Retour de Jésus Christ en 1874.
Retour d’Abraham, d'Isaac et de Jacob en 1925.
La bataille d’Harmagédon en 1914, puis 1918, 1925, 1941, 1975, et début du millénium.
Et beaucoup d’autres qui se sont également révélées fausses.

Conclusion :

Leur « Jéhovah» est un faux dieu car il ne correspond pas du tout au vrai Dieu qui est le Dieu de la Bible : Exode 20 v 3.
Les TJ sont des faux témoins, puisqu’ils disent des mensonges : Proverbe 14 v 5.
La Bible « traduction du monde nouveau » (1950), a été volontairement falsifiée, puis traduite de l’anglais en français et d’autres langues. Elle est déconseillée.
Nous devons les aimer et les aider à trouver le chemin du salut en Jésus Christ.


Conseil :

Bien connaître sa Bible et se préparer dans la prière, avec le soutien dans la prière de son assemblée, avant d’étudier la Bible avec les témoins de jehovah.

Pour plus de détails, demandez à : pierre.danis@wanadoo.fr

mercredi 19 septembre 2007

FAUT-IL FETER NOEL ?



1 Thessaloniciens 5. V21-22 : “ Eprouvez toutes choses, retenez ce qui est bon. Abstenez-vous de toute espèce de mal”.

Origine :

Dans la Rome antique, comme dans l’Empire romain, le peuple pratiquait toutes sortes de rites païens.
L’un des plus vivaces était le culte d’un dieu venu de Perse : Mithra, le soleil invincible, dont on disait qu’il renaissait chaque année au solstice d’hiver (nuit la plus longue). On venait l’idolâtrer en foule devant la grotte sacrée où apparaissait sous les traits d’un enfant nouveau-né; et l’allongement du jour, à partir du 21 décembre, était un peu partout l’occasion de célébrations joyeuses.
C’est alors que le pape Liberus eut, en 354, l’idée de célébrer la naissance de Jésus le 25 décembre, 4 jours après le solstice d’hiver.
L’erreur des 4 jours plus tard venait de ce que les romains ignoraient certaines lois de l’astronomie, alors que les chaldéens et les égyptiens les connaissaient depuis longtemps. Après informations, ils préférèrent maintenir la date traditionnelle pour fêter le jour de noël.
La fête païenne demeurait, mais c’était désormais “l’enfant Jésus” qu’on adorait dans les grottes.
Le 25 décembre n’est donc pas la date de la naissance de Jésus-Christ ; cette date fut choisie pour remplacer la fête païenne de noël, comparant Christ au soleil de justice, au soleil invincible.
Cette fête était une cérémonie très ancienne aussi pour les égyptiens : ils représentaient le soleil renaissant avec l’image d’un bébé qui était présenté à ses adorateurs au solstice d’hiver.
Ces traditions se poursuivent aussi dans l’église catholique romaine pendant la messe de minuit : la statue de “l’enfant Jésus” est présentée et adorée par les fidèles.
En fait, l’origine de cette fête remonte à l’époque de l’ancienne Babylone et de Nimrod.

(« Les 2 Babylones » d’Alexandre Hislop, édition Fishbacher).

Ce que le Bible dit :

Jean 18 V18 : “ Or, les serviteurs et les gardes, ayants allumé un feu de chardon, se tenaient là, car il faisait froid, et ils se chauffaient” (au procès de Jésus).
Luc 2 V8 : “ Et il y avait dans la même contrée des bergers demeurant aux champs, et gardant leur troupeau durant les veilles de la nuit”. (à la naissance de Jésus).
Matthieu 24 V20 : “ et priez que votre fuite n’ait pas lieu de hiver..” (Jésus aux juifs).
1 Chroniques 11 V22b : “ ..il descendit, et frappa le lion dans la fosse, par un jour de neige”.
Jérémie 36 V22 : “ le roi était assis dans la maison d’hiver, au neuvième mois; et le brasier brûlait devant lui”.

Ces quelques versets montrent simplement que Jésus-Christ n’est pas né en hiver, car en Israël l’hiver est froid et il peut y avoir de la neige. Que feraient donc ces bergers à garder leur troupeau de nuit s’il faisait froid ? C’est justement en période chaude que les bergers sortent leurs bêtes la nuit.
Il ne faut pas oublier non plus que la naissance du Christ s’est produite à l’époque du recensement (Luc 2 V1). Chaque personne devait donc se rendre dans sa ville natale. Beaucoup avaient une longue distance à parcourir à pied ou à dos d’âne, y compris femmes et enfants. Il est donc impossible que cela ait lieu en plein hiver.

Le 25 décembre n’est donc pas la date de naissance de Jésus, mais bien la date de cette fête païenne qui représentait le “soleil naissant” au solstice d’hiver par l’image d’un bébé.
Si la Bible ne donne nullement de date, c’est que nous n’avons pas besoin de le savoir, donc pas besoin de fêter la naissance du sauveur.
Par contre, les vrais chrétiens partagent le pain et le vin en souvenir de sa mort : c’est cela que Jésus a demandé aux siens (1 Corinthiens 11 V24-25).
Galates 4 v8 à 10 : « …Mais maintenant, ayant connu Dieu, comment retournez-vous de nouveau aux faibles et misérables éléments auxquels vous voulez encore être asservis ? Vous observez des jours, des mois, des temps et des années. »

Conclusion :

- Beaucoup d’églises saisissent l’occasion pour évangéliser pendant cette période, ce qui est une bonne chose, car certaines personnes du monde sont plus réceptives au message du salut.
- La fête de noël n’a aucun rapport avec la Parole de Dieu, mais c’est une fête 100% païenne.
- Cependant, ceux qui ne fêtent pas noël ne doivent pas juger ceux qui le font (Romains 14 v3 & 4).

pierre.danis@wanadoo.fr

mardi 21 août 2007

L’occultisme (ou parapsychologie)

Des pratiques ténébreuses


Voici ce que Dieu en dit : "Qu'on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin (1), d'astrologue (2), d'augure (3), de magicien (4), d'enchanteur(5), personne qui consulte les esprits (6), ou disent la bonne aventure (7), personne qui interroge les morts(8).
Car quiconque fait ces choses est en abomination à l'Eternel." La Bible : Deutéronome 18 versets 10 à 12.

Qu'est-ce que cela signifie ?

1. Les devins (ou voyants) ont la faculté de deviner par clairvoyance et (ou) par un rituel magique ; ils prédisent l'avenir. Ils peuvent également :
· lire les pensées (télépathie).
· découvrir ou identifier des objets cachés.
· deviner par le moyen de l'écriture (graphologie divinatoire).

2 - Les astrologues attribuent aux astres une influence sur les évènements ou sur la destinée des hommes. Avoir la foi en l'astrologie consiste à :
· se faire établir l'horoscope pour connaître son avenir ou son caractère.
· lire les journaux.
· tenir compte des signes du zodiaque ou de la position de la lune.

3 - Les augures attribuent à certains objets, signes ou évènements, un pouvoir sur notre vie. (superstition) :
· les porte-bonheur : toucher du bois, fer à cheval, trèfle à quatre feuilles, médailles (vierges, saint-Christophe, zodiaque), croix, fétiches, gris-gris, amulettes, chapelets, eau bénite, eau de Lourdes, brûler un cierge, etc…
· les porte-malheur : croiser un chat noir, le chiffre 13 ou autre, passer sous une échelle, casser un miroir, ouvrir un parapluie dans la maison, etc…

4 - Les magiciens font intervenir des forces surnaturelles (guérisseur, magnétiseur, hypnotiseur, radiesthésiste).
· guérison par la récitation de "prières", ou de formules magiques, l'imposition des mains, l'hypnose (sophrologie), le pendule, les photos, les mèches de cheveux, etc…
· guérison par "sympathie" (en prenant sur soi la maladie)
· "désenvoûtement" ou "exorcisme".

5 - Les enchanteurs manipulent objets ou personnes par des envoûtements ou sortilèges.
· magie noire ou sorcellerie pour se protéger, se venger, envoyer une maladie ou tuer.
· invocation de Satan (le diable, le serpent, le dragon) ou d'un démon.
· pactes du sang, messes noires, sacrifices d'animaux ou d'êtres humains.

6 - Les spirites cherchent à entrer en contact avec les esprits :
· certains font tourner les verres ou les tables, pratiquent la lévitation ou la télékinésie (déplacer un objet sans le toucher).
· d'autres entrent en transe et parlent des langues inintelligibles (glossolalie) ou font de l'écriture automatique.
· ils entrent également en contact avec les démons par le yoga (union), la méditation, les mantras, les mandalas, les voyages astraux, l'absorption de drogues ou d'alcools.

7 - Les diseurs de "bonne aventure" prédisent l'avenir en se servant :
· des cartes ordinaires, tarots, lignes de la main, boule de cristal, marc de café, etc…

8 - Les Nécromanciens évoquent les morts. Beaucoup sont médiums : ils servent d'intermédiaires entre les vivants et les morts
· prier les morts (les saints, la vierge) est aussi un acte de nécromancie. Un seul est médiateur : Jésus-Christ (1ère lettre à Timothée chapitre 2 verset 5).

Quiconque fait ces choses est en abomination à l'Eternel dit la Bible

Et encore : "Vous ne vous livrerez pas à des pratiques occultes… Ne vous tournez pas vers ceux qui évoquent les esprits, ni ceux qui prédisent l'avenir, ne les cherchez pas, de peur de vous souiller avec eux. Je suis l'Eternel votre Dieu" Lévitique chapitre 19 versets 26 et 31

Mais : "Plusieurs de ceux qui avaient cru venaient confesser et déclarer ce qu'ils avaient fait. Et un certain nombre de ceux qui avaient exercé la magie ayant apporté leurs livres, les brûlèrent devant tout le monde" Actes des apôtres chapitre 18 verset 18 et 19

Pourquoi cet attrait pour les sciences occultes ?

Eternel insatisfait, l'homme est sans cesse à la recherche de solutions palliant à ses carences physiques et spirituelles. Il désire connaître l'avenir parce qu'il vit dans l'insécurité croissante de notre monde. Sa peur aiguise sa curiosité, son désir de mystère et de surnaturel. Son vide intérieur doit être à tout prix comblé et il cède à tout ce qu'il voit ou entend.

Cher ami, l'Auteur de toute vie peut seul satisfaire et combler votre être tout entier. Dieu a mis dans le cœur de tout homme la pensée de l'éternité, tout en le laissant libre. L'homme refuse Dieu. Pourtant, Dieu est la véritable réponse à l'humanité. Lui seul peut vous libérer de vos angoisses parce qu'il vous aime. Son regard se pose sur vous en cet instant où vous lisez ces lignes. Alors que le mot "AMOUR" n'a plus aucun sens dans ce monde qui court à sa faillite, Dieu nous aime et il a TOUT prévu pour nous.
Comment ?

Dieu n'a qu'UNE PAROLE, elle est éternelle. Tout ce qu'Il dit est vrai. Tout ce qu'Il a prédit se réalise à la lettre. Il accomplit toutes ses promesses. Il ne nous demande qu'une seule chose : reconnaître notre faillite, lui demander pardon et croire qu'Il a pourvu à notre salut en Jésus-Christ. Ne vous confiez pas dans les hommes. Cherchez la Vérité en Dieu lui-même et dans ce qu'Il nous dit dans la Bible. Lisez le récit des Evangiles. Vous découvrirez celui qui vous a aimés au point de donner sa vie pour vous. Par sa mort et sa résurrection, Jésus-Christ a triomphé de la mort et du diable et Il vous délivre de toutes pratiques occultes pour vous donner la vraie Vie en abondance.


Pierre Danis : pierre.danis@wanadoo.fr


Dessin de Alain Auderset