samedi 5 mai 2007

L'assomption de Marie

Histoire de la fête non-biblique de l'Assomption de la Vierge

La fête de l'Assomption, célébrée partout dans le monde à la date du 15 août, a été créée par l'église catholique romaine au XIXe siècle pour honorer la vierge Marie immaculée, mère de Dieu. La doctrine qui a fondée cette fête déclare que la vierge Marie n'a pas connu la corruption en chair et en os, mais qu'elle a été élevée au ciel, pour y être investie de la toute-puissance de Dieu. Cette doctrine non-biblique a reçu le sceau de l'infaillibilité pontificale. C'est le Pape Pie XII qui, le 1er novembre 1950, proclama le dogme de l'assomption de Marie au ciel.

Dans le système babylonien, cette doctrine était déjà toute préparée : on y enseigne que le grand dieu Bacchus descendit en enfer, y arracha sa mère des puissances infernales et l'emporta avec lui en triomphe dans les airs (Apollodore, III, 5). Les chinois possèdaient aussi dans leur panthéon le même récit. Ils fêtaient cette légende en août avec des candélabres et des lanternes.

Chez les babyloniens, la mère du faux-messie Mithra fut associée à la pureté d'une colombe, et dotée de pouvoirs purificateurs. Elle est également invoquée ainsi dans les hymnes des Mystères orphiques :

"Associée aux saisons, essence lumineuse,
Vierge toute-puissante revêtue d'une lumière céleste".

Pausanias déclare (Liv. IV, Messenica, 33) que Proserpine, femme de Pluton, roi des enfers, était adorée comme la Sainte-Vierge, non seulement pure de tout péché mais également née de conception immaculée. Lien évident avec la Madone romaine. Pour plus de détails sur ce culte idolâtre, visitez l'exposition "la Grande Babylone" qui paraîtra à la fin du mois d'août 2002 sur www.bibliorama.com, une nouvelle expo abondamment illustrée spécialement consacrée aux influences du paganisme qui ont souillé le culte Catholique.

Ne croyez pas toutes les traditions religieuses qu'on vous enseigne mais examinez-les soigneusement. Car la prophétie biblique déclare que le diable est rusé et qu'il se déguise en ange de lumière pour séduire les peuples de la terre :

2 Corinthiens 11:14
Satan lui-même se déguise en ange de lumière.

Apocalypse 13:2
Et la bête que je vis ressemblait à un léopard; ses pieds étaient comme ceux d'un ours, et sa gueule comme la gueule d'un lion. Et le dragon lui donna sa force, et son trône, et un grand pouvoir. (...) 4 Et on adora le dragon qui avait donné son pouvoir à la bête; on adora aussi la bête, en disant: Qui est semblable à la bête, et qui pourra combattre contre elle ? 5 Et on lui donna une bouche qui disait de grandes choses et des blasphèmes.

Comment reconnaître les sectes et s’en protéger

Les sectes dans notre société

Dans nos sociétés matérialistes, les sectes font à la fois peur et envie. Peur, parce qu’elles touchent à l’irrationnel, s’entourent de mystères, d’occultisme, de pratiques et de rites étranges qui conduisent à la manipulation mentale, à la dépendance totale de l’adepte à un guru pouvant aller jusqu’à l’escroquerie financière ou le suicide collectif. Envie, parce qu’elles promettent une spiritualité avec de nouvelles formes souvent importées d’autres religions ou cultures.

Or l’homme a toujours eu un besoin religieux, de quelque chose qui le dépasse et qui lui paraît susceptible de donner un sens à sa vie.
La culture moderne et technique a désorienté, déçu nos contemporains et n’apportent pas de réponse aux problèmes apparemment insolubles de notre temps : le nucléaire, l’écologie, l’explosion démographique, les guerres, les catastrophes naturelles, le chômage, la violence, les scandales, etc.


Les gens en recherche ne trouvent plus dans les Eglises traditionnelles catholiques ou protestantes la dynamique et la compréhension de leurs aspirations. L’Etat de son côté a joué son rôle de protecteur en mettant le citoyen en garde contre les mouvements religieux dangereux qui risquent de l’aliéner. Mais les médias ayant amplifié le phénomène, la confusion est telle aujourd’hui qu’on fait en France la chasse au spirituel partout où il peut se présenter, qu’il vienne de véritables sectes ou d’Eglises Chrétiennes qui n’ont aucun caractère sectaire. Tout le monde est devenu méfiant, mais personne ne sait vraiment quels critères appliquer pour discerner le danger.


Face à la profusion des sectes, il ne faut pas imposer une chasse aux sorcières, un interdit systématique ou un athéisme matérialiste et humaniste " politiquement correct " qui a prouvé dans l’histoire qu’il ne pouvait pas répondre aux aspirations religieuses que tout être humain a en lui.
Les musées sont remplis de divinités que l’homme s’est créées. Si on ne peut pas empêcher nos contemporains de vouloir croire en quelque chose qui les dépasse, il est indispensable par contre de leur enseigner quels sont les critères qu’ils pourront utiliser pour ne pas se faire endoctriner par le discours séduisant des sectes.

Ce qui sauvera l’homme, c’est sa capacité à discerner entre le vrai et le faux, entre la foi authentique en Jésus-Christ qui conduit à la véritable paix intérieure, la joie, l’espérance et à une vie libre dans la société, et la croyance fausse qui aboutit à l’illusion, l’isolement des autres et parfois la mort.
C’est le rôle de l’Eglise de défendre la liberté de religion mais elle doit dénoncer les agissements des sectes, condamner toute attitude sectaire et surtout démontrer concrètement la différence entre l’authentique et le faux évangile.

Il y a différents critères qui permettent de reconnaître si un groupe est une secte

· Recrutement
Les sectes cherchent à capturer l’individu en utilisant ses points faibles du moment. Elle séduit par des promesses et des techniques d’accrochage. Elles avancent en cachant leur véritable identité. Elles trompent en organisant des conférences sur des thèmes attractifs, mais qui ne servent en fait qu’à repérer leurs victimes.

· Endoctrinement
La secte privilégie le groupe au dépens de l’individu, la magie au dépens de la science, et endoctrine la personne au point qu’elle pense, vise ou fasse quelque chose qu’elle n’aurait fait ni spontanément, ni après réflexion. Le mimétisme du groupe remplace toute analyse critique et remise en question. Les adeptes sont progressivement immergés dans un langage ésotérique ou pseudo-scientifique, le guru, les lieux de réunions, les rites ont des noms mystiques.

· Rupture avec ses attaches traditionnelles
Les relations entre personne tournent autour des émotions et des sentiments. Le nouvel adepte a l’impression que le groupe le comprend bien, qu’il est introduit dans un milieu épanouissant, enrichissant et sécurisant qu’il cherchait depuis longtemps sans le savoir. Il va petit à petit se consacrer de plus en plus à la secte et rompre avec ses attaches habituelles (familles, milieu social, collègues de travail, etc). Il peut en arriver au point de considérer la secte comme plus importante que sa propre famille, et ne s’occupe plus de ses proches. Il devient alors captif et finit par prendre la secte pour référence unique de sa vie et suivre le guru enfin trouvé. ·

L’enfermement
Une secte est fermée: on ne peut pas y entrer librement, et on ne peut pas non plus en sortir sans qu’il y ait de fortes pressions, intimidations ou de menaces de représailles. Les réunions ne sont pas ouvertes au public. Tout contact avec l’extérieur (familles, amis, lecture de livres censurés, etc), est interdit parce qu’ils risqueraient de développer un jugement critique. Il peut même être interdit de se marier en dehors du groupe.

· Guru, manipulateurs
Une secte a un guru, c’est à dire un homme a qui les adeptes attribuent un pouvoir particulier, qu’ils idéalisent, et qui exerce sur eux une dictature de conscience et une déstabilisation mentale. Les gens ne peuvent plus décider par eux-mêmes les choses de leur vie quotidienne ou les grandes décisions. La secte peut même organiser les mariages. Certains des adeptes manipulés accéderont au stade suprême et deviendront manipulateurs. Certains gurus peuvent être des guérisseurs.


·
Asservissement financier
Une secte sert souvent à l’enrichissement de certains responsables, avec des financements plus ou moins occultes. Pour en devenir membre ou suivre des cours, il faut payer parfois de fortes sommes, ou devenir redevable d’une dette qui servira à maintenir la dépendance. La paix intérieure et l’épanouissement ne sont réalisables qu’au moyen de stages, sessions, séminaires qui exigent toujours plus de temps, d’efforts et d’argent. Il y a toujours des degrés supérieurs d’initiation programmés pour l’avenir. Les responsables d’une secte sont parfois difficiles à identifier, et ils ne veulent pas se déclarer officiellement.

· Affaire de mœurs
Une secte est souvent mêlée à des histoires de mœurs impliquant des responsables.
· Conception de la vérité, exclusion Les adeptes d’une secte pensent qu’ils détiennent toute la vérité, qu’ils sont les seuls à l’avoir, et s’isolent du reste de la société. Seule une minorité d’adeptes est sauvé, tous les autres sont des hérétiques.

· Marginalité
Une secte se marginalise, elle n’a pas de relation avec les autres mouvements, ou si elle s’implique dans la vie sociale, c’est pour recruter des adeptes. Elle a un discours plus ou moins anti-social.

Apocalypse, fin du monde
Les sectes entretiennent un climat de peur par rapport à la fin du monde et aux catastrophes qui précéderaient le retour du Christ. Elles vont parfois jusqu’à prédire une date exacte annonçant la fin du monde. Cela devient une obsession. Elles prêchent l’avènement d’une ère nouvelle et idéale. Certaines voient dans la mort la seule issue pour une libération.


·
Idéologie pernicieuse, doctrines
L’idéologie d’une secte part d’une religion classique, mais y ajoute des spécificités, des rites qui lui sont propres, des doctrines plus ou moins secrètes. Sous couvert d’une apparence de piété, elle ajoute à la Bible des écrits, des soi-disant révélations supérieures pour la manipuler, en tordre le sens, la déprécier ou même la remplacer. Elles nient la justification par la foi seule en Jésus-Christ, et rabaissent le Christ à un simple honnête homme, un symbole ou un prophète.

vendredi 4 mai 2007

La Traduction du Monde Nouveau




Les Témoins de Jéhovah utilisent depuis l’année 1961 leur propre traduction de la Bible appelée Traduction du Monde Nouveau (TMN).

Ses auteurs

Ils sont anonymes en théorie mais on connaît en fait leurs noms. Le comité de Traduction contenait 5 personnes : le Président Knorr donnait son approbation finale, Frederick Franz, futur Président en faisait partie, ainsi que A.D.Schroeder, G.D.Gangas et M.Henschel, tous à la tête de l’Organisation. Aucune de ces cinq personnes n’était qualifiée en hébreu et en grec pour réaliser un tel travail.

Sa qualité

Tous les spécialistes du grec biblique et de la traduction des Écritures disent que la Traduction du Monde Nouveau (TMN) ne mérite pas d’être classée parmi les traductions reconnues, cela pour deux raisons principales : l’anglais est de mauvaise qualité avec de graves erreurs de grammaire ; elle a été modifiée injustement pour correspondre aux conceptions de la STJ. De plus, les versions non-anglaises n’ont pas été traduites de l’hébreu et du grec mais de l’anglais !

La TMN en Français contient cette phrase en page de garde : "traduite d'après l'édition anglaise révisée de 1984; on s'est constamment référé aux langues d'origine, l'hébreu l'araméen et le grec." L’un des plus grands spécialistes du grec biblique, Julius MANTEY a ainsi écrit : " Je n’ai jamais lu un NT aussi mal traduit que la TMN. En fait, ce n’est pas une traduction. C’est une distorsion du NT.

Son inspiration

Pendant plusieurs années, la STJ a cité un certain Johannes GREBER, un ex-prêtre catholique allemand qui a réalisé une traduction de la Bible. Cet homme devenu médium a déclaré que ce sont les esprits qui l’ont inspiré dans sa traduction. Publiée en 1937 (soit 15 ans environ avant la TMN), sa traduction énonce en Jean 1/1 que " la parole était un dieu " (au lieu de Dieu) et en Matthieu 27/52-53 que " les corps des saints endormis furent relevés " (au lieu de ressuscités) exactement comme la TMN plus tard.
Charles T. Russell et la STJ ont, semble-t-il, beaucoup de points communs dans leur théologie avec Greber : il niait la Trinité et le fait que Jésus soit Dieu ; il niait que le Saint-Esprit soit Dieu ; il disait que Jésus est le premier fils de Dieu créé ; qu’il n’est pas ressuscité en chair mais en esprit ; il enseignait que Lucifer était le frère de Christ (Russell écrivait de même : " Les Saintes Ecritures montrent que le terme ‘étoiles du matin’ fait référence à deux créatures très puissantes du ciel, Michael le Logos et Lucifer… Ces deux êtres étaient frères, étant tous deux fils de Dieu. " The Watchtower, 1er mars 1932, p.76) ; il niait l’enfer.

Une question se pose

Si les traducteurs de la TMN n'étaient pas vraiment qualifiés, s'ils se sont déclarés anonymes pour cette raison, si certains versets ont été pris de la traduction de Greber, comment a été réalisée la version anglaise de la TMN? Voilà l’avis du spécialiste Julius Mantey : "Les traducteurs [de la TMN] ont utilisé ce que J.B. Rotherham avait traduit en 1893, l’on mis en langage plus moderne et ont modifié de nombreux passages pour affirmer ce que les Témoins de Jéhovah croient et enseignent. " (Depth Exploration In the NT, Vantage Press, 1980). Cela signifie que la TMN n'est pas une traduction à part entière mais l'emprunt d'une autre traduction, modifiée ensuite pour les besoins de la Société. La Traduction du Monde Nouveau, une bible falsifiée? Avant de voir si la Traduction de la Société des Témoins de Jéhovah est fidèle à la parole de Dieu, voyons dans quelles conditions et par qui celle-ci a été réalisée:«Le comité de traduction de la bible du monde-nouveau a pensé que les titres universitaires et l’instruction de ses membres n’étaient pas chose importante, bien que la traduction témoigne de leurs capacités» (La tour de garde - 15 mars 1975 -page 192)

«Les traducteurs ayant décidé de rester dans l’anonymat, on ne peut répondre à cette question sur la base de leur formation universitaire. Il faut donc juger leur traduction d’après ce qu’elle vaut» (Comment raisonner à partir des écritures? 1986-page 409) Ceci est confirmé par William Cetnar, un ancien Témoin de Jéhovah qui occupa d'importantes fonctions au Siège de l'Organisation ,à New York:"Aucun membre du Comité de traduction ne possédait l'instruction et la formation leur permettant de s'établir comme des traducteurs sérieux de la Bible écrit-il. C'est à cause de l' incompétence des traducteurs que les traductions qui en résultèrent n'étaient pas, dans bien des cas, fidèles aux langues originales, mais plutôt aux croyances tendancieuses des Témoins" (Rescapés de la Tour- W. Cetnar, pages 15-17)

Exemple de verset que l'on trouvait dans la première version française de la Traduction du monde nouveau en 1963:

Jean 10:30 "Le Père et moi, nous sommes un" était traduit à cette époque par "le Pére et moi, nous sommes en harmonie" (!).
Comme on peut le voir, la société n'a pas accordé d'importance à l'instruction de ses traducteurs. Nous allons donc, comme le dit la société, juger cette traduction d'après ce qu'elle vaut. Pour cela il faut comparer celle-ci avec d'autres traductions de la bible.Peut-on dire que la bible que nous connaissons actuellement est valable et digne de foi? N'a t-elle pas été modifiée par l'homme à travers les âges afin d'appuyer une quelconque doctrine? Peut-on être sûr que Dieu a veillé sur sa parole et que celle-ci est fidèle au textes originaux?

Voici ce qu'en pensait la société en 1969:«Ceux qui, aujourd'hui, vous disent qu'on ne peut être certain que la bible contienne un texte exact, ne connaissent vraisemblablement pas ces faits établis. Il fallait s'attendre à ce que Dieu veille à la préservation de sa Parole, afin que la Vérité, les principes et la connaissance qu'elle renferme soient protégés. La bible elle-même contient la promesse que Dieu préserverait ainsi sa Parole (Daniel12:4,1 Pierre 1:24, 25, Révélation 22:18-19)» (La bible est-elle vraiment la parole de Dieu? 1969- page 158)
On peut donc voir ici, que les gens qui disent que l'on ne peut être certain que la bible est restée exact grâce à la vigilance de Dieu, ne connaissent vraisemblablement pas des faits établis.
Pourtant voici, ce que disait la société en 1985:«II existe encore des milliers de manuscrits des Ecritures grecques chrétiennes, mais la plupart d'entre eux ne remontent pas plus haut qu'au 4ème siècle. Voilà qui soulève une question importante: Se pourrait-il que le texte des Écritures grecques chrétiennes ait été altéré avant le 4ème siècle, de sorte que le nom de Dieu en aurait disparu? Tout indique que c'est bien là ce qui s'est passé» (Le nom divin qui demeure à jamais - 1985 - page 24)
En 1985, la société semble dire maintenant que la bible a pu être modifiée, et donc que Dieu n'a pas complètement préservé sa Parole. Pourtant comme la société le disait en 1969: "la bible elle-même contient la promesse que Dieu préserverait sa Parole". Apparemment, ce n'est plus le cas en1985...Qui est l'auteur de la bible: Dieu ou les témoins de Jéhovah?

Comparaison de quelques versets:

Voici les différentes bibles utilisées pour cette comparaison:
- Traduction du monde-nouveau (TMN) - Bible de Crampon (1905 et 1960) - Bible de Segond 1910 (protestante) - Bible de Jérusalem (catholique) - La TOB - Darby - Bible de Maredsous (1984) - Osterwald (1644) - Semeur - Chouraqui (1989) - Français courant - Osty (1973) - la KIT (the kingdom Interlinear Translation - traduction grec-anglais de la Société des Témoins de Jéhovah) Renseignement concernant «the kingdom Interlinear Translation" (KIT): «Mais au-dessous de chaque mot grec a été indiquée sa signification fondamentale, selon sa construction grammaticale, qu'elle soit ou non en accord avec la traduction du Monde-Nouveau.

En tant qu'étudiants de la bible, nous désirons savoir ce que dit le texte original grec. Ce n'est qu'en connaissant cette signification de base que nous pourrons déterminer si la traduction du Monde-Nouveau ou toute autre traduction est exacte ou non.» La Tour de garde -1er mars 1970 -page 14 Il est important de souligner ici que cette traduction a gardé la signification fondamentale des mots grecs et que cela soit ou non en accord avec les doctrines de la Société des Témoins de Jéhovah.
1 Corinthiens 11:24TMN (95): «Ceci représente mon corps qui est pour vous»
TMN (74): « Ceci signifie mon corps qui est pour vous»
Crampon (1905): «Ceci est mon corps qui sera livré pour vous.»
Crampon (1960) « Ceci est mon corps libré pour vous»
Segond (1910): «Ceci est mon corps qui est rompu pour vous»
Jérusalem: «Ceci est mon corps, qui est pour vous»
tob:«Ceci est mon corps, qui est pour vous«
Darby:« Ceci est mon corps, qui est pour vous»
Semeur:« Ceci est mon corps : il est pour vous»
Français courant: « «Ceci est mon corps, qui est pour vous.»
Osterwald(1644): «ceci est mon corps, qui est rompu pour vous»
Maredsous (1984) « Ceci est mon corps, qui est livré pour vous»
Chouraqui (1989) : «Ceci est mon corps pour vous».

Comme nous pouvons le vérifier, la société est-elle en accord avec le texte grec?
La traduction n'est donc pas exacte puisqu'elle ne reproduit pas le verbe «être» seule traduction littérale possible.Ils tentent d'éviter la doctrine catholique de la transsubstantiation(Transformation de la substance du pain et du vin en celle du corps et du sang de jésus-christ, dans l’eucharistie) et pour ce faire n'hésitent pas à falsifler le texte.
Le verbe conjugué grec «èstin» ne peut être traduit que par «est», sans équivoque.La Watch Tower doit le reconnaître, puisque dans sa traduction interlinéaire grec-anglais, elle met dans le mot-à-mot «is» (est), mais dans le texte continu, elle interprète en «means» (représente).
Les Témoins nient évidemment l’Eucharistie et la Présence Réelle du Christ dans les hosties consacrées. Pour y parvenir, il suffit de remonter à la phrase qui fonde tout, celle du Christ lors de la Cène à propos du pain qu’il romp : «ceci est mon corps». Les Témoins lisent «ceci représente mon corps». Donc, le pain que les catholiques et les orthodoxes vénèrent n’est qu’un symbole. Or, le texte grec dit «estin», verbe dans lequel on retrouve l’origine, parallèle avec le latin, du verbe «être» (l’accent circonflexe témoignant toujours, en français, de la disparition d’un «s» après la voyelle accentuée). Il s’agit bien «d’être», et certainement pas de «représenter». Les Témoins de Jéhovah ont bel et bien truqué le texte.

Remarque

Dans la TMN (95)avec notes on trouve: 24* Lit.: «est» . Gr.: «éstin»Si ce verbe ce traduit littéralement par «est» pourquoi la société ne laisse t-elle pas la traduction la plus correcte de ce verbe dans sa version?Que représente le corps du Christ?a) la congrégation chrétienne:«Il déclara: «Prenez et mangez, ceci signifie mon corps (Mat. 26:26, Jean 13:21-3O, TMN). A quel corps Jésus se réfère-t-il? A son corps charnel? Nous ne le pensons pas car concernant ceci, nous lisons que pas un os ne fut brisé alors que Jésus a rompu le pain (Jean 19:36). Il se référait plutôt à son corps spirituel, la congrégation chrétienne qui dans les Ecritures est appelée plus de 45 fois le corps de Christ... en clair, les images du pain ne représentent pas le corps charnel de Jésus mais les membres de son corps, la congrégation chrétienne (1 Corinthiens lO:16-17).»
La tour de garde -15 mars 1954- page 174Puis en 1956, la doctrine va changer:b) La corps physique de Jésus:«Son corps? oui, son propre corps, organisme, tête et tous les organes, le corps qu'il devait offrir pour eux. Jésus voulait dire son propre corps, l'organisme auquel il associa ensuite son propre sang quand il parla de la coupe.» - La tour de garde -15 février 1956- page 55«Le pain symbolise le corps physique de Jésus, tête et membres..»

-Eprouvez toutes choses
1960- page 229Comme vous pouvez le remarquer, la société des Témoins de Jéhovah n'est plus à une contradiction près...Dans les écrits des pères apostoliques on trouve: Ignace d’Antioche (année 110) :«Je n’ai pas d’attirance pour la nourriture corruptible, ni pour les plaisirs de la vie. Je désire le pain de Dieu, qui est la chair de Jésus-Christ, issu de la semence de David. Pour boisson, je désire son sang, qui est amour incorruptible.» (Lettre aux Romains, chapitre 7, verset 3).
«Prenez note de ceux qui avancent des idées erronées sur la grâce de Jésus-Christ qui est venue vers nous, et voyez combien leurs arguments sont contraires à l’esprit de Dieu ... Ils s’abstiennent de l’Eucharistie et de la prière, parce qu’ils ne croient pas que l’Eucharistie est la chair de notre Sauveur Jésus-Christ, qui a souffert pour nos péchés et que le Père, dans sa bonté, a ramené à la vie.» (Lettre aux Smyrnéens, chapitre 6, versets 2 à 7).

1 Corinthiens 10:4TMN (74): «Et que tous ont bu la même boisson spirituelle. Ils buvaient en effet, à la masse rocheuse spirituelle qui les suivait et cette masse rocheuse représentait le Christ»
TMN (95): ...ce rocher représentait le Christ»
Crampon (1905): «Et qu'ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les accompagnait et ce Rocher était le Christ.»
Crampon (1960): « ...et ce rocher spirituel était le Christ»
Segond: «Et qu'ils ont bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les accompagnait et ce Rocher était Christ.»
Jérusalem: «et tous ont bu le même breuvage spirituel – ils buvaient en effet à un rocher spirituel qui les accompagnait, et ce rocher c’était le Christ.»
tob : «et tous burent le même breuvage spirituel ; car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait : ce rocher, c’était le Christ.»
Darby: «car ils buvaient d’un rocher spirituel qui les suivait : et le rocher était le Christ»
Semeur« Ils ont tous bu la même boisson spirituelle, car ils buvaient de l’eau jaillie d’un rocher spirituel qui les accompagnait ; et ce rocher n’était autre que le Christ lui-même»
Français courant: «et ils ont tous bu la même boisson spirituelle: ils buvaient en effet au rocher spirituel qui les accompagnait, et ce rocher était le Christ.»
Osty (1973): « ...et ce rocher était le Christ»
Osterwald: « car ils buvaient de l’eau du rocher spirituel qui les suivait; et ce rocher était Christ»
Maredsous: « ...et ce rocher, c’était le Christ»
Chouraqui: « ...et ce roc, c’est le messie»

Le texte grec utilise bien le verbe «être» (estin) à l'imparfait et non le verbe «représenter».La Société sachant très bien qu'en dehors de Yahweh, il n'existe pas d'autres rochers (Esaïe44:8) tente de glisser dans l'esprit des lecteurs les pensées suivantes:1. Christ n'est pas le «Rocher» mais une sorte de menhir,une masse rocheuse.2. Ce «rocher» représente mais n'est pas le Christ d'où la falsification nécessaire.
Pourtant il n’y a qu’un rocher:Essaïe 44:8:«Ne vous effrayez pas, soyez sans crainte, dès longtemps ne vous l’ai-je pas annoncé et révélé? Vous êtes mes témoins. Y aurait-il un dieu à part moi? Il n’y a pas de Rocher, je n’en connais pas!» (jérusalem)«...Y a-t-il un autre Dieu que moi? Il n’y a pas d’autre Rocher, je n’en connais point.» (segond)L’argument de la majuscule:

Remarquez que Dieu dit qu'il n'y a qu'un "Rocher" avec un "R" majuscule. Par contre, Jésus est le "rocher" avec un "r" minuscule. La majuscule est-elle un argument qui différencie le rocher qu'est Jésus et celui qu'est Dieu?«Mais Jéhovah deviendra pour moi une hauteur sûre, et mon Dieu, le rocher de mon refuge» (Tmn - Ps 94:22)
Ce verset présente Jéhovah comme le rocher, mais avec une miniscule! D’où si Jéhovah peut être également «le rocher» avec un minuscule tout comme Jésus, Christ est donc le rocher!

Remarque
Dans la TMN (95) avec notes: 4# Ou: «était»Pourquoi ne pas laisser «était» dans la traduction alors la note semble dire qu’ « était» est possible?
Jéhovah est la pierre d’achoppement et le rocher de scandale:«C’est l’Éternel des armées que vous devez sanctifier, C’est lui que vous devez craindre et redouter. Et il sera un sanctuaire, Mais aussi une pierre d’achoppement, Un rocher de scandale pour les deux maisons d’Israël, Un filet et un piège Pour les habitants de Jérusalem.» (segond - essaïe 8-13 14)

Pierre assure que Jésus est ce rocher:«La pierre qu’ont rejetée ceux qui bâtissaient Est devenue la principale de l’angle, Et une pierre d’achoppement et un rocher de scandale;» (1 pierre 2.7)Dans les écrits de la société a propos du rocher:« Pierre serait-il donc ce rocher de scandale pour les deux maisons d’Iraël? Est-ce sur lui que les chrétiens s’appuient avec foi afin d’obtenir le salut? Certainement pas! Ce rocher, c’est jésus-Christ.» (TDG -1 er octobre 1966 page 604)« Le pouvoir de ressuciter de jésus-Christ donne le plein sens à son titre «père Eternel"! Son épouse, l’assemblée des 144000 membres édifiés sur lui, le rocher...» (Après Harmaguédon, Dieu établira un monde nouveau - 1954 - page 25)« Jésus est le «rocher», la «pierre» (1 corinthien 10.4 , 1 pierre 2.4)» ( Plan de sermons - page 8)
Comme vous pouvez encore le voir, la société n'est plus du tout d'accord avec ses propres écrits puiqu'elle prétend maintenant que Jésus n'est pas le "Rocher", mais que c'est Jéhovah seul!

A propos du verbe grec «estin» :«estin»: lit. être, existerAvec attribut, signifier, être le propre de , appartenir à (Bible de Jérusalem)Dans les versets suivants « ceci est mon corps»(1 cor 11:24) et « ce rocher était le Christ» (1 cor (10:4), la société a donc remplacé le verbe conjugué «est» par «représente» car selon celle-ci ce language était symbolique (affirmation qui m'a été donnée lors d'une étude biblique par 2 anciens).Dans ce cas la société devrait remplacer le verbe «être» par «représente» dans tous les versets dont le langage est symbolique. Cette règle est-elle appliquée dans tous les cas?a) jean 15:1 « Je suis la vraie vigne et mon Père est le cultivateur.» (Jérusalem)jean 15: 5 « je suis la vigne et mon père est le cultivateur...» (TMN 95)Ce language n’est t-il pas dans ce cas symbolique? Pourquoi la société ne remplace t-elle pas le verbe "estin" par représente?
Et donc dire « je représente la vigne et mon père représente le cultivateur»?

Si Jésus est la vigne (et non pas «représente») pourquoi n’est-il pas le Rocher?b) jean 12:50:« et je sais que son commandement signifie vie éternelle. Ainsi donc ce dont je parle, tel que le Père me l’a dit j’en parle.» (TMN)Et dans la note: Ou «est»Ici la note dit qu’il est possible de traduire ce verset par «est» ( ou « est»), tout comme dans 1 cor. 10:4 (Ou: «était»).Mais dans la note de jean 26:26 on trouve:« lit: «est». gr.: estin, dans le sens de «signifie, représente»et dans 1 cor.11:24:«24* Lit.: «est» . Gr.: «éstin»...mais pas «ou «est» dans ces cas. Pourquoi?

Ces 2 versets ne peuvent pas être traduit également par «est»?b) jean 6:35 « Jésus leur dit: «je suis le pain de vie.»jean 6: 48-51« je suis le pain de vie. ...ceci est le pain qui descend du ciel. Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel»jean 6: 55 « car ma chair est vraie nourriture et mon sang est vraie boisson»Pourquoi dans ce cas jésus n’a t-il pas dit que le pain représentait sa chair?Par contre lorsque l’on s’attend à ce que la société traduise un verset dont le sens symbolique est sans équivoque:« Les paraboles que je vous ai dites sont* esprit et sont* vie» (Jean 6: 63 - Tmn 1995 avec notes)Dans la note: «63* Ou : «signifient»Pourquoi dans ce verset la société ne met-elle pas «signifie» dans la traduction et «est» en note alors qu’ici il n’y a aucun doute sur le sens symbolique du verset?Remarque:D’autres bibles traduisent parfois «éstin» par « signifier»:

a) mat 9:13 «Allez donc apprendre ce que signifie :
C’est la miséricorde que je veux, et non le sacrifice. En effet, je ne suis pas venu appeler les justes, mais les pécheurs.» (jérusalem)b) mc 9:10 « Ils gardèrent la recommandation, tout en se demandant entre eux ce que signifiait «ressusciter d’entre les morts.» (jérusalem)c) luc 8:11 « «Voici donc ce que signifie la parabole : La semence, c’est la parole de Dieu.» (remarque: emploi de «est»)d) luc 20 :17« Mais, fixant sur eux son regard, il dit : «Que signifie donc ceci qui est écrit :La pierre qu’avaient rejetée les bâtisseurs, c’est elle qui est devenue pierre de faîte? «Mais dans les cas ci-dessus, l’emploi du verbe « signifier» est tout a fait justifié étant donné que Jésus donne un sens, explique ses paroles. Hébreu 1:8 (déité de Jésus)
TMN: «Mais à propos du Fils: «Dieu est ton trône pour toujours»
Crampon (1905): «ll dit au Fils: «Ton trône, ô Dieu, est éternel.»
Crampon (1960): « Mais à l’adresse du fil: ton trône, ô Dieu, subsiste à jamais»
segond: «Mais Il a dit au Fils: «Ton trône, ô Dieu, est éternel.»
Jérusalem: «il dit à son Fils : Ton trône, ô Dieu, subsiste dans les siècles des siècles»
tob: «Mais pour le Fils, celle-ci : Ton trône, Dieu, est établi à tout jamais ! et Le sceptre de la droiture est sceptre de ton règne.»
Darby: «Mais quant au Fils : « Ton trône, ô Dieu, [est] aux siècles des siècles»
Semeur: «Mais au sujet du Fils, il dit : Ton trône, ô Dieu, subsiste pour toute éternité,» Osterwald: «Mais quant au Fils: O Dieu! ton trône demeure aux siècles des siècles»
Français courant: « Mais au sujet du Fils, il a déclaré: «Ton trône, ô Dieu, est établi pour toujours. C’est avec justice que tu gouvernes ton royaume»
Maredsous :« et d’autre part, au sujet du fils: Ton trône, ô Dieu, est établi pour l’éternité»
Chouraqui: «Mais pour le fils: «Ton trône, Elohïm, pour les pérennités de pérennités»

Dans ce texte, le Père s'adresse à Christ en le nommant «Dieu». La Société a donc imaginé un stratagème afin de contourner cette affirmation.
Elle fait du Père un trône pour le Fils. Du coup, voici qu'elle enseigne que le Fils est supérieur au Père.Le Tout-Puissant comparé à un fauteuil... Le Fils s’asseyant sur le Père... c’est tout à la fois une exaltation extravagante du Fils et une humiliation irrévérencieuse du Père !

Mais que disent les textes originaux ?
En hébreu: Psaume 45.6; littéralement: «Ton trône Dieu éternel»est rendu dans la T.M.N. par: «Dieu est ton trône jusqu’à des temps indéfinis».Dans le Psaume 146.10 nous avons: «Ton Dieu, ô Sion de génération en génération».Ici la T.M.N. rend correctement le vocatif «ô Sion»; c’est ce qu’elle aurait dû faire au Psaume 45 en mettant: «ô Dieu».
·En grec: Hébreux 1.8; littéralement: «le trône de toi, le Dieu, pour la durée de la durée».Le nominatif, ici avec l’article (ho théos), est employé avec le sens du vocatif singulier (qui n’existe pas en grec): «ô Dieu» . Les «Témoins de Jéhovah» ont harmonisé la citation du Nouveau Testament avec leur falsification du Psaume 45 !

Les «Témoins de Jéhovah» se condamnent eux-mêmes quand ils disent:«La littéralité exige que la traduction... respecte, autant que faire se peut, l’ordre des mots tel qu’il apparaît dans les textes hébreu et grec, ce qui a pour effet de sauvegarder le style vigoureux des écrits originaux. La traduction littérale rend avec précision le charme, la couleur et le rythme des écrits originaux" (Toute Ecriture est inspirée de Dieu et utile. Ed. 67 p318) 1 Jean 5:2o (déité de jésus)T.M.N. 63: «... Jésus Christ. C’est ici le vrai Dieu et la vie éternelle...»TMN 74: «...Jésus-Christ. Voilà le vrai Dieu et la vie éternelle»TMN 95: «...C’est là le vrai Dieu»Crampon (1905): «...Jésus-Christ. C'est lui qui est le vrai Dieu et la vie éternelle.»Crampon (1960) « ...Jésus Christ. C’est lui qui est le Dieu véritable et la vie éternelle»Segond: «...Jésus-Christ. C'est lui qui est le Dieu véritable et lavie éternelle.»Jérusalem: «... Jésus Christ. Celui-ci est le Dieu véritable et la Vie éternelle.»tob: «... Jésus Christ. Lui est le Véritable, il est Dieu et la vie éternelle»Darby: «...Jésus Christ : lui est le Dieu véritable et la vie éternelle.»Semeur: « Jésus-Christ. Ce Fils est lui-même le Dieu véritable et la vie éternelle»Ostewald: Jésus-Christ. C’est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle.»Maredsous: « ...Jésus Christ. C’est lui le Dieu véritable, et la vie éternelle»Français courant: « Fils Jésus-Christ. C’est lui le Dieu véritable, c’est lui la vie éternelle.»Chouraqui: « Iésoua, le messie. Celui-là est est la vrai Elohîm, la vie de pérennité»

La Société a remplacé le pronom démonstratif houtos(c'est lui) par le vague présentatif «voilà» ou «c’est là» en 1995, qui ne renvoie pas formellement à l'antécédent Jésus-Christ. Le texte proprement dit n'est pas facile. En fait, les témoins de Jéhovah enseignent que dans ce cas, le Dieu véritable c'est Jéhovah alors que les trinitaires tout en ne niant pas cette vérité déclarent que dans cette situation, il s'agit de Jésus.Le contexte de cette épître permet sans problème d'apporter la réponse:En 1 Jean 1:2, Jésus, la vie éternelle était auprès du Père:
Jérusalem: « car la Vie s’est manifestée : nous l’avons vue, nous en rendons témoignage et nous vous annonçons cette Vie éternelle, qui était tournée vers le Père et qui nous est apparue»Tmn 95: « (oui la vie a été manifestée, et nous avons vu et nous témoignons et nous vous annonçons la vie éternelle qui était auprès du Père et qui nous a été manifestée) (entre parenthèses)D’où si Christ est la vie éternelle au début de l'épître, Il l'est également à la fin et en conséquence Il est également le Dieu véritable.

Henri Blocher peut ajouter:«Le démonstratif ‘celui-ci’ (houtos) exige comme antécédent le nom qui vient d’être mentionné, Jésus-Christ. L’exégèse confirme: il y aurait tautologie (répétition d’une même idée en termes différents) creuse si l’antécédent était le précédent ‘véritable».(Christologie, Faculté de Vaux-sur-Seine, vol. 1, p.153.) 2 Corinthiens 5:19 (déité de Jésus)TMN: «A savoir que Dieu, par le moyen de Christ, réconciliait un monde avec lui-même.»
Crampon (1905): «Car Dieu réconciliait le monde avec lui-même dans le Christ.»
Segond: «Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même»Jérusalem: «Car c’était Dieu qui dans le Christ se réconciliait le monde, ne tenant plus compte des fautes des hommes, et mettant en nous la parole de la réconciliation.»
tob: «Car de toute façon, c’était Dieu qui en Christ réconciliait le monde avec lui-même, ne mettant pas leurs fautes au compte des hommes, et mettant en nous la parole de réconciliation.»
Darby: « savoir, que Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même,»
Semeur: « En effet, Dieu était en Christ, réconciliant les hommes avec lui-même, sans tenir compte de leurs fautes, et il a fait de nous les dépositaires du message de la réconciliation.»
Osterwald: « Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec soi, en ne leur imputant point leurs péchés; et il a mis en nous la parole de la réconciliation.»

Paul n’a pas écrit : par le moyen de Christ, mais il a dit : en Christ. La TMN corrige ici l’apôtre Paul, qui exprime clairement l’identité de Dieu et Jésus.Littéralement: theos èn én cristô, ou Dieu était en Christ. La société des témoins de Jéhovah supprimele verbe «être» afin de masquer l'incarnation de Dieu en Christ. Jean 14:10 (déité de Jésus)«Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi ?»(Jérusalem)«Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi?» (segond)«Ne crois-tu pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi ?» (tob)«Ne crois-tu pas que moi je suis dans le Père, et que le Père est en moi ?» (Darby)« Ne crois-tu pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi ?» (Semeur)« Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi?» (Osterwald)« Ne crois-tu pas que je vis dans le Père et que le Père vit en moi?» (Français courant)« Ne crois-tu pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi?» (Maredsous)« N’adhères-tu pas à ceci: moi, je suis dans le Père et le père est en moi» (Chouraqui)« Ne crois-tu pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi» (Crampon 1960)«Ne crois-tu pas que je suis en union avec le Père et que le Pere est en union avec moi !» (tmn)Même remarque que pour 2 corinthiens 5:19.

La société remplace "dans" par "en union", ce qui ne veut pas tout à fait dire la même chose. 1 Jean 5:20 (déité de Jésus) «Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu et qu’il nous a donné l’intelligence afin que nous connaissions le Véritable. Nous sommes dans le Véritable, dans son Fils Jésus-Christ. Celui-ci est le Dieu véritable et la vie éternelle». (jérusalem)«Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et qu’il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable; et nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus Christ. C’est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle. » (segond)«Nous savons que le Fils de Dieu est venu et nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable. Et nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus Christ. Lui est le Véritable, il est Dieu et la vie éternelle» (tob)« Or nous savons que le Fils de Dieu est venu, et il nous a donné une intelligence afin que nous connaissions le Véritable, et nous sommes dans le Véritable, [savoir] dans son Fils Jésus Christ : lui est le Dieu véritable et la vie éternelle.» (Darby)« Mais nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu et qu’il nous a donné l’intelligence pour que nous connaissions le Dieu véritable. Ainsi, nous appartenons au Dieu véritable par notre union à son Fils Jésus-Christ. Ce Fils est lui-même le Dieu véritable et la vie éternelle.» (Semeur)« Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable; et nous sommes en ce Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C’est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle.» (Osterwald)

« Et nous sommes dans le vrai, en son fils Iéshoua, le messie» (Chouraqui)«Mais nous savons que le Fils de Dieu est venu et qu’il nous a donné l’intelligence afin que nous parvenions à la connaissance du véritable. Et nous sommes en union avec le véritable, par le moyen de son Fils Jésus-Christ. C’est là le vrai Dieu et la vie éternelle». (tmn)
On remplace ici « dans» par «en union» et le véritable perd sa majuscule.Rappel: On remplace le pronom personnel par un adverbe de lieu, et on ne voit plus que c’est Jésus qui est désigné comme le vrai Dieu. Matthieu 25:46TMN:»Et ceux-ci iront au retranchement éternel, mais les justes à la vie éternelle.»CR: «Et ceux-ci s'en iront à l'éternel supplice et les justes àla vie éternelle.»SR: «Et ceux-ci iront au châtiment éternel, mais les justesà la vie éternelle»
jé: «Et ils s’en iront, ceux-ci à une peine éternelle, et les justes à une vie éternelle.»tob: «Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes à la vie éternelle. «Darby: « Et ceux-ci s’en iront dans les tourments éternels, et les justes, dans la vie éternelle»Semeur: « Et ils s’en iront au châtiment éternel. Tandis que les justes entreront dans la vie éternelle.»Osterwald: «Et ils iront aux peines éternelles; mais les justes iront à la vie éternelle.»Maredsou: « Et ces derniers iront au châtiment éternel...»Chouraqui: « Ceux-là s’en iront vers la punition de pérennité»
«Kolasis» est le terme grec pour «châtiment», «punition» ou encore «élagage».

En utilisant l'expression «retranchement» la SDTJ tente d'introduire l'idée d'anéantissement.
Dans la kit:Dans la colonne de gauche (traduction interlinéaire) on trouve le mot anglais « lopping off» = couperDans la colonne de gauche: «cutting off» = retrancher Luc 23:43TMN: «Et il lui dit: «En vérité je te le dis aujourd'hui: Tu seras avec moi dans le Paradis»CR: «Jésus lui répondit: «Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le Paradis.»SR: «Jésus lui répondit: «Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le Paradis.»jé: «Et il lui dit : «En vérité, je te le dis, aujourd’hui tu seras avec moi dans le Paradis.»tob: «Jésus lui répondit : « En vérité, je te le dis, aujourd’hui, tu seras avec moi dans le paradis. «Darby: « Et Jésus lui dit : En vérité, je te dis : Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis.»Semeur: « Et Jésus lui répondit :Vraiment, je te l’assure : aujourd’hui même, tu seras avec moi dans le paradis.»Osterwald: « Et Jésus lui dit: Je te le dis en vérité, tu seras aujourd’hui avec moi dans le paradis.»Chouraqui: Et il lui dit: « Amen, je te dis: aujourd’hui tu serasavec moi dans le paradis»Maredsous: « et Jésus lui répondit: « je te le déclare en vérité, aujourdh’ui tu sera avec moi dans le paradis»

Comme on peut le vérifier, la différence tient simplement à la place de la virgule dans la ponctuation. Selon les Témoins de Jéhovah, «aujourd'hui» ne représente pas le moment où le larron sera avec le Seigneur dans le paradis mais le moment où Jésus parlait.Disons d'emblée que le texte grec ne comporte pas de signes de ponctuation et que grammaticalement rien ne s'oppose au texte émis par les témoins de Jéhovah.

Comment dès lors cerner la bonne interprétation?

Tout d'abord, nous devons nous atteler à rechercher dans le Nouveau Testament des Témoins de Jéhovah les textes où revient l'expression, «En vérité, je vous dis»:

a- Matthieu 5:18«Car, en vérité, je vous dis que le ciel et la terre passeraient»b- Matthieu 16:28«En vérité je vous le dis: parmi ceux qui se tiennent ici. . .»Ainsi que Matthieu 19:23; 21:31; 24:34; Marc 3:28; 11:23; 12:43; 13:3O; Luc 4:24.Dans ces dix exemples une ponctuation précise, soit une virgule ou deux points sont placés après l'expression «en vérité je vous le dis» et «aujourd'hui» n'est pas utilisé.
Dans 63 autres exemples, la société insèrent une virgule immédiatement après l'expression.

Voir: Matthieu 5:26; 6:2-5 et 16, 8:1O, lO:15-23, et 42, 11:11, 13:17, 17:2O, 18:3-13 et 18, 19:28, 21:21, 23:36, 24:2-47, 25:12-4O et 45, 26:13-21 et 34, Marc 8:12, 9:1 et 41, lO:15 et 29, 14:9-18 et 25 et 3O, Luc 11:51, 12:37, 18:17 et 29, 21:32, Jean 1:51, 3:3-5 et 11, 5:19-24 et 25, 6:26-32 et 47 et 53, 8:34-58, lO:1-7, 12:24, 13:16-2O et 21 et 38, 14:12, 16:2O et 23, 21:18.
exemples:
Matthieu 5:26 «En vérité, je te le dis : tu ne sortiras pas de là, que tu n’aies rendu jusqu’au dernier sou.»Matthieu 8:10 «Entendant cela, Jésus fut dans l’admiration et dit à ceux qui le suivaient : «En vérité, je vous le dis, chez personne je n’ai trouvé une telle foi en Israël.»A moins qu'il n'existe une évidence écrasante d'après le contexte que Luc 23:43 soit une exception à tous ces passages, il doit être traduit selon l'usage normal de Jésus. Une fois de plus, la société applique un règle lorsque celle-ci appuie leur doctrine.Dans le texte grec, Luc place «aujourd'hui» (sémeron) tout de suite après «en vérité, je te le dis». Si vraiment il enseignait que cette expression se rattachait à la première partie de la sentence, il aurait pu écrire: «en vérité aujourd'hui je te le dis» ou encore: «en vérité je te le dis aujourd'hui que...» en ajoutant le mot grec «hoti».
Jean 8: 58 (déité de Jésus) « Jésus leur dit : «En vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham existât, Je Suis» (jérusalem)« Jésus leur dit: En vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, je suis. (segond)«Jésus leur répondit : « En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, Je Suis. « (tob)«En vérité, en vérité, je vous dis : Avant qu’Abraham fût, je suis» (darby)« Vraiment, je vous l’assure, leur répondit Jésus, avant qu’Abraham soit venu à l’existence, moi, je suis.» (semeur)« Jésus leur dit: En vérité, en vérité je vous le dis: Avant qu’Abraham fût, je suis.» (Osterwald 1644)« Jésus leur répondit: «Oui, je vous le déclare, c’est la vérité: avant qu’Abraham soit né, «je suis».»( Français courant)« ...avant qu’Abraham ne fût, Moi je suis» (Crampon 1960)« ... Moi je suis» (Osty 1973)« ...Je suis» (maredsous 1977 et 1984)« ...avant qu’Abraham ne fût, moi je suis» (Chouraqui)
«Avant qu’Abraham soit venu à l’existence, moi, j’ai été» (Tmn 95)« ...J’étais» (T.M.N. 74)

Dans la KIT:Ceci n’est pas une faute d’inattention, ni une correction de faute de syntaxe. Les traducteurs de la TMN savaient qu’au présent JE SUIS est le nom que Dieu s’est donné dans 1’Ancien Testament. C’est pour affirmer sa divinité que Jésus emploie le présent, là où l’on aurait plutôt attendu l’imparfait. Alors la TMN «corrige» Jésus !Exode 3:14 Dieu dit à Moïse : «Je suis celui qui est.» Et il dit : «Voici ce que tu diras aux Israélites : "Je suis" m’a envoyé vers vous.»

Le premier texte de l'image ci-dessus est tirée de l'édition de 1969 de la KIT. Cette note dit "..."Je suis".Dans l'édition de 1985 de la KiT cette note est modifée et le "Je suis" disparaît!Quelle est la réaction des auditeurs de Jésus?En entendant cela, les Juifs prennent des pierres pour lapider Jésus, parce qu’il prétend à la divinité, il se déclare Dieu. Comme ils ne l’acceptent pas comme Dieu, ils ne leur reste qu’à juger qu’il blasphème, c’est-à-dire qu’il insulte très gravement Dieu.Mais ce qui nous intéresse, ce n’est pas le refus des Juifs et ses conséquences, mais la déclaration de Jésus.
Et cette déclaration-affirmation de divinité est très étonnante. Elle fait à la fois référence aux textes anciens spécifiques d’Israël, et en même temps renvoie au Dieu que tout homme peut exiger. Le renvoi au contexte biblique spécifique d’Israël, c’est que Dieu dans l’Ancien Testament s’est présenté à Moïse sous le nom de « Je suis celui qui est » (Exode, ch.3 verset 14), et comme le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob (Ex.ch.3, verset 6).En affirmant « Je suis » au delà du temps, Jésus revendique la divinité selon les exigences des philosophes, c’est-à-dire l’éternité ou l’éternel présent. Dieu n’a ni naissance ni fin. Il est celui dont l’existence ne dépend de personne. Il est à la fois le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, Le Dieu des Israélites, et le Dieu de la création.

Pour défendre leur traduction:

Un professeur grec Témoin de Jéhovah, Nicholas Kip écrit concernant Jean 8.58:« Cependant, même leurs propres livres de grammaire théologique expliquent que lorsqu’un adverbe ou un terme qui marque le passé apparaît dans la phrase en grec, le verbe conjugué au présent est souvent traduit de manière à indiquer que l’action a commencé dans le passé et peut se poursuivre jusqu’au présent» ( Réveillez-vous 22 mars 1987 - page 12)
En réponse: Justement, l’action d’être de Christ s’inscrit dans le passé, le présent et le futur, il n’y a donc aucune raison de modifier le temps du verbe grec en jean 8.58.Il existe dans l’Ancien testament un passage analogue à Jean 8.58:« Avant que les montagnes fussent nées, Et que tu eussent créé la terre et le monde, D’éternité en éternité tu es Dieu.» psaume 90:2 (segond)« Avant que les montagnes fussent nées, enfantés la terre et le monde, de toujours à toujours tu es Dieu.» psaume 90:2 (jérusalem)« ...tu es Dieu» psaume 90:2 (TMN)La société se sert de ce texte pour établir l’éternité du Père (TDG 1er décembre 1975 -page 736). Un contraste est en effet établi entre les montagnes créées et l’éternité de Dieu.En Jean 8.58 on trouve la même construction: un contraste est établi entre la création d’Abraham et l’éternité de Jésus-Christ.

Autres passages où jésus utilise à son compte les paroles de l’exode:

a) En Jean 13:19«Je vous le dis, dès à présent, avant que la chose n’arrive, pour qu’une fois celle-ci arrivée, vous croyiez que Moi, Je Suis. ( jérusalem)«Dès à présent je vous le dis, avant que la chose arrive, afin que, lorsqu’elle arrivera, vous croyiez à ce que je suis» (segond)« Je vous le dis dès maintenant, avant que cela ne se produise, pour qu’au moment où cela arrivera, vous croyiez que moi, je suis.» (semeur)« ...que vous croyez que je suis (lui)» (tmn)b)
En Jean 8:24:« Quand vous aurez élevé le *Fils de l’homme, alors vous comprendrez que moi, je suis» (semeur)« ...alors que vous saurez que je suis» (Maredsous)
«...alors que vous saurez que je suis (lui)...» (Tmn)Pourquoi la société a t-elle ici ajouté entre parenthèses «lui»?Pourtant en grec:« eipen autois iesous, amen amen lego umin, prin abraam genesthai ego eimi.» (jean 8:58)Dans la Tmn: « j’ai ét黫 ap arti lego umin pro tou genesthai, ina pisteusete otan genetai oti ego eimi.» (jean 13:19)Dans la Tmn: « je suis (lui)»« eipen oun autois o iesous, otan upsosete ton uion tou anthropou, tote gnosesthe oti ego eimi, kai ap emautou poio ouden, alla kathos edidaksen me o pater tauta lalo» (jean 8:28)Dans la Tmn: « je suis (lui)»Vous traduisez jean 8: 58 par «j’ai été» et les autres par «je suis» alors que dans les 3 versets en grec on retrouve chaque fois la même expression « ego eimi» (je suis)!Et encore dans jean 8:24:«Car si vous ne croyez pas que je suis (lui), vous mourrez dans vos péchés» (Tmn)« Car si vous ne croyez pas que Moi, Je Suis, vous mourrez dans vos péchés.» (Jérusalem)en grec: «eipon oun umin oti apothaneisthe en tais amartiais umon ean gar me pisteusete oti ego eimi, apothaneisthe en tais amartiais umon.»
Donc si vous ne croyez pas que Jésus est Dieu, vous ne pouvez espérer être sauvé! Col 2:9 (déité de Jésus)«En lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité». (Jérusalem)«Car en lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité.» (segond)« En lui toute la plénitude de déité habite corporellement « ( Darby ).«Car en lui habite toute la plénitude de la divinité, corporellement» (tob)« Car c’est en lui, c’est dans son corps, qu’habite toute la plénitude de ce qui est en Dieu» (semeur)« Car en lui toute la plénitude de la divinité habite corporellement.» (Osterwald)« Car c’est en lui qu’a pris corps pour y habiter la plénitude de la divinité» (Crampon 1960)« Car en lui habite corporellement toute le plénitude de la divinité» (Maredsous)« C’est en lui qu’habite corporellement toute la plénitude de la déité» (Chouraqui)
«En lui habite corporellement toute la plénitude de la qualité divine». (tmn)
C’était trop clair. Alors ils diminuent la force du texte en transformant divinité (déité) en "qualité divine"...Il faut vraiment être gêné par le texte pour traduire ainsi le mot grec « théotêtos « qui signifie exactement « divinité « !

D’autant que les mêmes traducteurs, à un endroit où le mot ne les gêne pas (Rom 1, 20) le traduisent par « divinité «:« ...oui sa puissance éternelle et Divinité...» (romains 1:20)

Remarques:1- le « D» majuscule.« ...sa puissance éternelle et sa divinité» (Maredsous)« ...et sa puissance éternelle et sa divinité» (Darby)« ...sa puissance éternelle et sa divinité» (Semeur)« ...sa puissance éternelle et sa divinité» (Segond)« ... sa puissance de pérennité et sa divinité» (Chouraqui)« ...éternelle puissance et divinité» (Tob)« ...son éternelle puissance et sa divinité» (Jérusalem)

Pour quel raison la société ajoute un «D» majuscule dans ce verset à « Divinité»?

Sans doute est-ce pour mieux démarquer la «qualité divine» de Jésus à la «Divinité de Jéhovah et donner ainsi encore moins d’importance à la divinité du Christ.2- La note: «Divinité». Gr.: Théïotês, apparenté à Théos, «Dieu»Ce même terme grec apparait en Colossiens 2:9 et donc doit être traduit par «divinité».

Les livres apocryphes


Que penser des livres apocryphes ou "deutérocanoniques"?


La Bible comprend l'Ancien et le Nouveau Testament.
Dieu a révélé le premier aux Juifs, et le second aux Chrétiens ; l'ensemble constitue la révélation de Dieu à l'homme.


L'ANCIEN TESTAMENT comprend 39 livres
LE NOUVEAU TESTAMENT comprend 27 livres.
Si toutes les traductions françaises de la Bible contiennent 27 livres dans le Nouveau Testament, nous devons signaler que certaines traductions comportent 46 livres dans l'Ancien Testament au lieu de 39. Pourquoi ?


CERTITUDE DU CANON JUIF

Un écrivain inspiré tel que l'apôtre Paul reconnaît que les oracles de l'Ancien Testament ont été confiés aux Juifs (Romains 3 v. 2), c'est donc vers eux que nous devons nous tourner pour connaître les Écrits révélés par Dieu à son peuple. Une simple consultation des textes hébraïques ou des versions juives (par exemple celle du Rabbinat français) nous montre que les Juifs acceptent 39 livres comme inspirés.

La position de la communauté Juive n'a jamais changé et nous prendrons à témoin l'historien Josèphe qui affirme que le nombre de livres tenus pour divins par les Juifs sont au nombre de 22 et qui repousse les autres livres, écrits depuis Artaxerxès, comme n'ayant qu'une autorité humaine. Or c'est le cas de ces livres qui ont été ajoutés à l'Ancien Testament, après que le dernier prophète, Malachie, ait écrit son livre.


D'OÙ VIENNENT LES APOCRYPHES?

On a appelé Apocryphes, c'est-à-dire, cachés, douteux, ces livres dont les Juifs ont toujours nié l'inspiration et qui se trouvent actuellement dans certaines versions de la Bible. Quoique compris sous un même nom, ils n'ont presque rien de commun entre eux : ils diffèrent non seulement par le sujet et par la forme mais encore par le pays d'où ils proviennent (Palestine, Égypte) et par la langue originale (Hébreu, Araméen, Grec).
Au troisième siècle avant notre ère, la langue grecque était la plus répandue. Ptolémée Philadelphe, pour garnir son impressionnante bibliothèque, demanda la traduction des écrits religieux juifs. C'est ainsi qu'apparut la version des « Septante », traduction grecque des écrits inspirés juifs, auxquels furent ajoutées diverses narrations profanes.


Le Nouveau Testament, écrit en grec, se réfère souvent aux écrits de l'Ancien Testament, et cite celui-ci dans la traduction grecque de la version des « Septante », mais jamais les « apocryphes » ne sont cités ni par notre Seigneur Jésus-Christ ni par aucun des auteurs inspirés.
Au quatrième siècle, la langue commune est le latin. C'est ainsi que Jérôme, secrétaire du pape, est chargé de traduire la Bible dans la langue de Virgile. Après avoir traduit le Nouveau Testament, il essaie, selon les ordres reçus, de traduire l'Ancien à partir de la version des « Septante » qui contient précisément les apocryphes. Jérôme est un homme de grand savoir, un « Père de l'Église », aussi son avis sur la question des apocryphes est-il fondamental. Il confesse que s'il a traduit ces fables, ce n'est que pour se prêter aux préjugés du peuple; mais qu'il les a marqués d'un style « afin, en quelque sorte, de les égorger ».


Nous pourrions donner le témoignage d'ecclésiastiques aussi connus que : Eusèbe, Origène, Hilaire de Poitiers, Athanase, Cyrille de Jérusalem, Épiphane, Grégoire de Naziance, Rufin, Augustin et beaucoup d'autres évêques et docteurs qui affirment que les apocryphes ne sont pas les oracles de Dieu. C'est finalement Augustin qui fit admettre les apocryphes aux Conciles d'Hippone et de Carthage mais seulement comme livres qui pourraient être lus et cités.

Au seizième siècle, au concile de Trente (1546 - 1563), les autorités ecclésiastiques réunies ratifièrent l'exclusivité de la Vulgate comme version officielle de l'Église romaine; mais elles prirent soin, au préalable, de supprimer la note d'introduction de Jérôme au sujet des apocryphes, qui furent alors portés au bénéfice d'une prétendue inspiration divine: ils devinrent les livres « deutérocanoniques » (deuxième canon).

Voici un extrait du prologue de Jérôme qui a été supprimé : « tout ouvrage qui ne figure pas parmi les 24 livres (Initialement on en comptait 22 ou 24 mais il s'agit toujours des mêmes écrits regroupés de façon différente.

Par exemple, les douze « petits prophètes » ne comptaient que pour un livre dans les anciennes éditions.) de la Bible hébraïque, doit être considéré comme apocryphe, c'est-à-dire non canonique. »
Jusqu'au vingtième siècle, toutes les traductions catholiques ont été faites sur la Vulgate, ce qui explique que ces traductions contiennent 46 livres dans l'Ancien Testament, au lieu de 39.


LISTE DES APOCRYPHES SE TROUVANT DANS CERTAINES ÉDITIONS

Le Concile de Trente n'a pas pu accepter la totalité des apocryphes de la Septante; il en a fait une sélection dont nous donnons la liste ici :
- Le livre de Tobie (ou Tobit) - Le livre de Judith - Le livre de la sagesse - Le livre du siracide (ou l'Ecclésiastique) - Le livre de Baruch (y compris La lettre de Jérémie) - Le premier livre des Macchabées - Le second livre des Macchabées - Les suppléments grecs d'Esther - Les suppléments grecs de Daniel: Le cantique des 3 jeunes Hébreux + L'histoire de Suzanne + L'histoire de Bel et le Dragon

LES APOCRYPHES SONT INACCEPTABLES

Voici quelques raisons qui nous montrent que les apocryphes ne peuvent être acceptés comme la Parole de Dieu:
1) Les Juifs, dépositaires des oracles divins, ne les ont jamais acceptés. 2) Ni Jésus-Christ, ni ses apôtres ne s'y sont jamais référés. 3) Ils n'ont jamais été acceptés par l'Église primitive. 4) Jérôme, le traducteur de la Vulgate, a eu soin de mettre en garde contre ces écrits non inspirés qui figurent dans sa traduction. Il écrit: « J'ai cédé à votre demande, ou plutôt à votre persécution, traduisant plutôt d'après le sens que mot à mot. » 5) Il faut attendre l'an 1546, donc environ 1700 ans après leur rédaction, pour que ces livres soient reconnus comme inspirés. 6) Malachie, le dernier prophète de l'Ancien Testament nous renvoie directement à Jean-Baptiste pour la suite de la révélation (Malachie 4 v. 4-6; Matthieu 11 v. 13-16) ce qui est d'ailleurs confirmé par les apocryphes eux-mêmes. (1 Macc. 9 v. 27) 7) Les écrivains des apocryphes ne se présentent pas comme inspirés mais comme des écrivains ordinaires (1 Macc. 4 v. 46; 2 Macc. 2 v. 19-32; 15 v. 37-39) 8) Ces livres contiennent des doctrines qui sont opposées à celles des livres inspirés: 8.1. l'efficacité des prières pour le salut des morts (2 Macc 12 v. 43-46 comparer avec Luc 16 v. 17-31)
8.2. la justification par des oeuvres de la loi (Tobie 12 v. 9 ; Ecclés. 35 v. 2-4 comparer Galates 2 v. 16; Ephésiens 2 v. 8-10, Romains 3 v. 20, 24)
8.3. la perfection sans péché (Sagesse 8 v: 19-20 comparer Psaume 51 v. 5; Romains 5 v. 12)
8.4. le suicide est justifié et raconté avec des détails fabuleux (2 Macc 14:41-46 comparer Exode 20:13)
9) Ces livres contiennent des fables et des faits contraires au sobre bon sens (2 Macc 1 v. 19-22; 2 v. 4-7)
10) Ces livres contiennent de très nombreuses contradictions historiques :


- Alexandre partage de son vivant son royaume à ses généraux (1 Macc 1 v. 6 comparer Daniel 8 v. 21-22)
- le même roi meurt de 3 manières différentes (1 Macc 6:16; 2 Macc 1:16; 9:28)
- Daniel passe une nuit dans la fosse aux lions (Daniel 6:1-23) ou 6 jours d'après le supplément grec (Daniel 14:31)
- Mardochée est présenté comme ayant été transporté à Babylone par Nébucanetsar (Esther grec 11: 4) ce qui implique que sa cousine Esther avait environ 100 ans quand elle fut sélectionnée comme la plus belle jeune fille du royaume...

CONCLUSION

Les fausses doctrines et les contradictions contenues dans les apocryphes prouvent à l'évidence que ces livres ne peuvent être le langage de l'Esprit de vérité: savoir la Parole même de Dieu!
Si votre Bible possède ces textes, ce n'est pas pour autant qu'il faut la rejeter. Lisez d'abord tous les textes inspirés et vous serez alors en mesure de discerner par vous-même la non inspiration de ces additions dont certaines, comme le premier livre des Macchabées, présentent un intérêt historique non négligeable.

La confession des péchés


La confession de ses péchés à un prêtre


Concernant le pardon des péchés, deux doctrines contestables doivent être examinées. La première stipule que tous les péchés doivent être confessés à un prêtre :


" Celui qui veut obtenir la réconciliation avec Dieu et avec l'Eglise, doit confesser au prêtre tous les péchés graves qu'il n'a pas encore confessés et dont il se souvient après avoir examiné soigneusement sa conscience. Sans être en soi nécessaire, la confession des fautes vénielles est néanmoins vivement recommandée par l'Eglise" Article #1493, p. 388"

L'aveu au prêtre constitue une partie essentielle du sacrement de Pénitence" Article #1456, p. 379
"Il est appelé sacrement de la confession puisque l'aveu, la confession des péchés devant un prêtre est un élément essentiel de ce sacrement." Article #1424, p. 371
Le catholicisme demande aux fidèles de confesser leurs péchés à un homme, mais la Bible nous dit que ceux qui sont nés dans la famille de Dieu peuvent se présenter directement devant le trône de Dieu pour recevoir le pardon de leurs péchés :
" Je t'ai fait connaître mon péché, je n'ai pas caché mon iniquité ; j'ai dit : j'avouerai mes transgressions à l'Éternel ! Et tu as effacé la peine de mon péché " Psaume 32.5 "

Si nous confessons nos péchés, il [Dieu] est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. " 1 Jean 1.9
David confessa ses péchés à Dieu quand il pria :" Lave-moi complètement de mon iniquité, et purifie-moi de mon péché. Car je reconnais mes transgressions, et mon péché est constamment devant moi. " Psaume 51.2-3

Voici pourquoi les vrais chrétiens ont accès au trône de Dieu :
" Ainsi donc, frères, puisque nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire par la route nouvelle et vivante qu'il a inaugurée pour nous au travers du voile, c'est-à-dire, de sa chair, et puisque nous avons un souverain sacrificateur établi sur la maison de Dieu, approchons-nous avec un coeur sincère, dans la plénitude de la foi, les coeurs purifiés d'une mauvaise conscience... " Hébreux 10.19
Grâce au sang innocent répandu par Jésus sur la croix, nous avons la possibilité d'aller directement nous adresser à Dieu pour le pardon de nos péchés.


L'exemple de Pierre :
Dans le livre des Actes, un homme appelé Simon vint trouver celui qu'on prétend être le premier pape, Pierre, désirant acquérir le pouvoir du Saint-Esprit.
Confesser à lui sans plus attendre ? Non ! Pierre lui conseilla de se repentir, de confesser ses péchés à Dieu et de demander à Dieu de lui pardonner (lire Actes 8.18-22).


Les prêtres peuvent-ils pardonner les péchés ?
La seconde doctrine contestable suggère que les prêtres catholiques ont le pouvoir de pardonner les péchés :" Seuls les prêtres qui ont reçu l'autorité de l'Eglise la faculté d'absoudre peuvent pardonner les péchés au nom du Christ." Article #1495, p. 389 (voir aussi Article #1448, p. 377)

Ici aussi, la doctrine catholique s'oppose à la Parole de Dieu :
" Qui peut pardonner les péchés, si ce n'est Dieu seul ? " Marc 2.7 " La nouvelle que nous avons apprise de lui, et que nous vous annonçons, c'est que Dieu est lumière, et qu'il n'y a point en lui de ténèbres. [...] Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. " 1 Jean 1.5,9
Le catholicisme enseigne que le prêtre est un médiateur entre Dieu et les hommes (l'article #1456, p. 380, parle en effet de la remise de péché par l'intermédiaire du prêtre).

Cependant, la Bible ne reconnaît qu'un médiateur :" Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ ... " 1 Timothée 2.5
Une fois encore, le catéchisme admet que ce ne sont pas des commandements de Dieu, mais des traditions humaines :" Les Pères de l'Eglise présentent ce sacrement comme <<>>" Article #1446, p. 377


Encore plus d'obligations
" D'après le commandement de l'Eglise, <<>> " Article #1457, p. 380

Encore un autre devoir envers l'Eglise.

Les pères de l'église ont créé cette tradition dans le but avoué de resserrer leur emprise sur les fidèles catholiques.Et quelle arme sournoise, utilisée contre les catholiques du monde entier ! En substance, si un fidèle quitte l'église, il ne pourra plus obtenir le pardon de ses péchés ... et ne pourra donc plus aller au paradis !


Rappelez-vous ! Aucune de ces doctrines ne vient de Dieu ! Elles sont toutes sorties de l'imagination humaine.

Que Dieu ouvre spirituellement vos yeux et vous donne une pleine compréhension de la réalité, pour que vous puissiez comprendre l'étendue de l'emprise que cette religion a sur vous.Que Dieu vous montre que vous n'avez pas besoin de rester captif d'une religion plus longtemps. Jésus-Christ veut vous en libérer.


Conclusion
Des millions de fidèles catholiques se pressent dans les confessionnaux, persuadés que le prêtre a le pouvoir de pardonner leurs péchés.Et vous ? Où irez-vous pour obtenir le pardon de vos péchés ? Irez-vous consulter un prêtre, autant pécheur que vous, comme vous le demande l'église catholique ?

Où choisirez-vous Dieu le miséricordieux, comme la Bible l'enseigne ?

" Du fond de l'abîme je t'invoque, ô Éternel ! Seigneur, écoute ma voix ! Que tes oreilles soient attentives à la voix de mes supplications ! Si tu gardais le souvenir des iniquités, Eternel, Seigneur, qui pourrait subsister ? Mais le pardon se trouve auprès de toi, afin qu'on te craigne. " Psaume 130.1-4

Le Yoga


Les sectes hindouistes se comptent par dizaines...

Le Siddha Yoga est l'un des multiples yogas de l'Inde (il y a entre autres le Sahaga Yoga, le Rama Yoga, le Hatha Yoga, le Bakti Yoga, le Karma Yoga, le Kundalini Yoga, le Jnânâ Yoga, le Laya Yoga, etc.).

Le Shidda Yoga est le Yoga des Parfaits, ceux qui auraient passé par une réalisation parfaite. Le mot «shidda» signifie «parfait», «libéré». Celui qui arrive à ce stade de perfection possèderait des «shiddis», c'est-à-dire un pouvoir supranormal (occulte) dans la pratique du yoga. Ainsi, cette forme de Yoga est particulièrement dangereuse car elle est censée procurer un pouvoir surnaturel aux adeptes, de même que le succès, spirituel en particulier. Le Shidda Yoga est, à la sauce occidentale, une secte. En effet, le gourou (maître) manipule les gens par des promesses surfaites (pouvoir) et le pouvoir de l'argent devient une réalité.


Ceci dit, les Yogas sont la porte d'entrée des sectes hindouistes.

Le Yogi pratique un exercice plus ou moins supranormal qui consiste à emmagasiner du prânâ au moyen des prânâyamas (exercices respiratoires et postures yogiques). Cette énergie prânique se logerait dans les chackras (sortes de glandes hormonales) pour atteindre le Kundalini (le serpent lové). Celui-ci s'éveillerait, monterait le long de la colonne vertébrale et se logerait au cerveau. A partir de ce moment, le Yogi devient Gourou, car il fait une expérience ineffable qui va le conduire peu à peu vers le Brahman, c'est-à-dire l'Absolu. C'est ce type d'expérience que va proposer le gourou du Shidda Yoga...

Bien entendu, les dons plus ou moins importants sont suggérés... L'aspect sectaire apparaît au fur et à mesure de l'évolution psycho-spirituelle de l'adepte. Il y a d'autres sectes qui se rapprochent du Shidda Yoga: Le Shri Ram Chandra, le Sahaga Yoga Nirmala Devi, la Méditation Transcendantale, Bhagwan ou Osho, etc. Ces mouvements figurent pour la plupart dans le rapport 2468 de l'Assemblée Nationale.


Ne vous laissez pas ... réduire en esclavage. La Bible, Galates 5.1

Témoignage d'une ex-témoin de jehovah

JESUS M’A SAUVE DES FAUSSES DOCTRINES DES TEMOINS DE JEHOVAH !

« Les paroles du Seigneur sont franches comme l’or qui est passé au creuset et sept fois purifié. »Psaumes 12 : 7 Bonjour, je m’appelle Chantal, je suis née en 1965 en France et je voulais vous faire partager mon témoignage sur les merveilles que Jésus-Christ a fait pour moi. Depuis les années 1964-65, mes parents sont devenus témoins de Jéhovah et m’ont donc enseigné la doctrine de leur religion dès ma tendre enfance. Sur des livres pour enfants avec de belles images éditées par la secte, j’étudiais 1 heure par semaine avec mon père ou ma mère.

En 1983, je me faisais baptiser par immersion, cette décision je l’avais prise seule sans influence de mes parents…. Le cœur rempli de ces doctrines croyant que j’étais dans la seule vraie religion. J’ai cru que cet enseignement était vrai jusqu’en 1995 où j’ai compris par une expérience personnelle que l’âme pouvait se séparer du corps. Il m’est arrivée une sortie hors du corps dans ma chambre et là j’ai été très troublée !!

Je me suis posée des questions du genre :


- Existe-t-il une vie après la mort ?- L’âme est-elle éternelle ?- Pourquoi les témoins de Jéhovah disent que l’âme meurt comme le corps, car selon eux l’âme c’est le corps animé du souffle de vie ? Depuis mon enfance, j’ai été enseigné avec la Bible et des livres qui expliquent comment l’interpréter, la question de la vie après la mort était donc soulevée par les témoins de Jéhovah. Je connaissais la réponse (enfin leur réponse !) par des textes bibliques détournés de leurs sens véritables pour s’adapter à leurs enseignements. J’ai prié Dieu car j’étais perdue !!! J’avais une telle soif de connaître la vérité …… une gorge sèche spirituelle qui demandait l’eau de la vie !« Seigneur, où est la vérité ? Est-ce les témoins de Jéhovah ? Je ne comprends pas car je suis sortie hors de mon corps donc je possède une âme en plus de mon corps, guide-moi… »

Il a répondu au printemps 1997 !

Une dame que je connaissais depuis mon enfance car elle était témoin de Jéhovah a perdu son fils brutalement du Sida et ma maman m’a appris la triste nouvelle. Mon mari a recherché le numéro de téléphone de cette dame sur minitel et je lui ai téléphoné pour lui donner mes condoléances car je connaissais bien son fils, il était mon super copain d’enfance. Avec les années, je l’ai perdu de vue ainsi que sa maman.
Elle m’a demandé si j’étais toujours témoin de Jéhovah, je lui ai dit que je doutais de la véracité de leur religion. Elle m’a dit qu’elle ne faisait plus partie de cette secte et qu’elle avait découvert la vérité en Jésus-ChristJe lui ai posé mes questions sur la vie après la mort et elle m’a tout de suite guidée vers Jésus-Christ pour l’interroger personnellement, ce que je fis.
Je rends gloire à Dieu de nous avoir sorti de cette secte et ce que j'ai écrit est réellement mon témoignage car ce qui m'a fait sortir de ses faux enseignements c'est la question de la vie après la mort !!!
C'est par amour pour moi que Jésus-Christ m'a donné tous ces textes pour me montrer qu'il était bien écrit dans Sa Parole que l'âme survivait après la mort !! C'est Son amour que je témoigne, je l'ai vécu !!! Je voudrais aussi aider des frères et sœurs à répondre aux objections des témoins de Jéhovah sur la question de la vie après la mort car je connais tellement, mais tellement la mentalité de ces personnes et les textes phares qu'ils sortent pour nous convaincre qu'il n'y a plus rien après la mort ! Je n'ai pas écrit ce texte par hasard, cela faisait des années que j'y pensais et je demandais au Seigneur Jésus de m'aider à l'écrire quand le moment viendrait.

Il m'a aidé et je l'en remercie.

Les textes sont tirés de la bible en français courant, la nouvelle édition révisée de 1997.
Ecclésiaste 9 : 10« Utilise ta force à réaliser tout ce qui se présente à toi. En effet on ne peut pas agir ni juger, il n’y a ni savoir ni sagesse là où sont les morts que tu iras rejoindre. » Ce texte est pris hors contexte. Je m’explique : Le contexte entier de l’Ecclésiaste parle de la vanité de la vie sur la terre, tout n’est que fumée….. Et qu’il faut entreprendre tout ce que ta force ou ta main trouve à faire pendant ta vie physique (dans ton corps) car après la mort, s’est terminé, nous ne pouvons plus faire les choses d’ici-bas. D’ailleurs la fin de l’Ecclésiaste pris dans son contexte le résume bien : Ecclésiaste 12 : 1 à 8 « Pendant que tu es jeune, n’oublie pas celui qui t’a crée. Souviens-toi de lui avant que ne viennent les jours du déclin et le moment où tu diras : « je n’ai point de plaisir à vivre ».


Alors le soleil s’assombrit, la lune et les étoiles se ternissent, les nuages reviennent sans cesse après la pluie. Alors le gardien tremble de peur, l’homme vigoureux se courbe, les meunières cessent de moudre par manque de compagnie, la femme renonce à paraître à sa fenêtre. Alors la porte se referme sur la rue, le bruit du moulin baisse, le chant de l’oiseau s’éteint, toutes les chansons s’évanouissent. On a peur de gravir une pente, on a des frayeurs en chemin, les cheveux blanchissent comme l’aubépine en fleur, l’agilité de la sauterelle fait défaut, les épices perdent leur saveur. Ainsi chacun s’en va vers sa dernière demeure. Et dans la rue, les pleureuses rôdent en attendant. Alors le fil d’argent de la vie se détache, le vase d’or se brise, la cruche à la fontaine se casse, la poulie tombe au fond du puit. Le corps de l’homme s’en retourne à la terre d’où il a été tiré et le souffle de vie s’en retourne à Dieu qui l’a donné.Tout n’est que fumée, dit le Sage, tout part en fumée. » Le sage parle du déclin de la vieillesse et de la mort d’une façon imagée et poétique, mais il veut mettre en lumière que la vie terrestre n’est que fumée. Il dit aussi que le souffle de vie retourne à Dieu.


Le livre de l’Ecclésiaste a été écrit pour montrer que seul notre Dieu nous demandera des comptes sur toutes nos actions et qu’il faut le respecter pendant notre vie terrestre car c’est cela qui a de la valeur à ses yeux divins car tout part en fumée. Ecclésiaste 12 : 13 et 14 « Et voilà la conclusion de tout ce qui a été dit : le devoir de tout homme est de respecter Dieu en obéissant à ses ordres. En effet Dieu demandera des comptes pour toutes nos actions, même cachées, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. » C’est très important d’examiner le contexte dans le lequel nous lisons un verset biblique car nous pouvons lui faire dire ce que nous voulons ; c’est grave. Quand nous lisons une lettre d’un ami, nous l’a comprenons car nous l’a lisons dans son ensemble, la bible s’est pareille, c’est une lettre de Dieu pour nous.

Je voudrais étayer davantage sur les comptes que Dieu demandera à la fin de notre vie ici-bas. L’apôtre Paul nous explique que l’âme doit comparaître devant le Christ au ciel pour y être jugée selon ce qu’elle aura accompli durant sa vie terrestre.
2 Corinthiens 5 : 10 « Car nous devons tous comparaître devant le Christ pour être jugés par lui ; alors chacun recevra ce qui lui revient, selon ce qu’il aura fait en bien ou en mal durant sa vie terrestre. » L’apôtre Jean le confirme dans la révélation qu’il a eu de Jésus-Christ.
Apocalypse 20 : 11 à 14 « Puis je vis un grand trône blanc et celui qui y siège. La terre et le ciel s’enfuirent loin de lui, et on ne les revit plus. Ensuite, je vis les morts, grands et petits, debout devant le trône. Des livres furent ouverts. Un autre livre encore fut ouvert, le livre de vie.Les morts furent jugés selon ce qu’ils avaient fait, d’après ce qui était écrit dans les livres.La mer
rendit les morts qu’elle contenait. La mort et le monde des morts rendirent leurs morts. Et tous furent jugés selon ce qu’ils avaient fait."

Voici le 2ème texte biblique que les témoins de Jéhovah utilisent : Ezéchiel 18 : 4 « En effet, la vie de chacun m’appartient, celle des parents comme celle des enfants, et c’est le coupable qui doit mourir »
La version DARBY est encore plus explicite pour les témoins de Jéhovah : « Voici, toutes les âmes sont à moi ; comme l’âme du père, ainsi aussi l’âme du fils est à moi : l’âme qui péchera, celle-là mourra. » Et bien voilà un texte clé qui pourrait nous faire croire que l’âme meurt avec le corps pris hors contexte !Dieu parle d’une mort physique ainsi qu’une d’une mort spirituelle car l’âme quand elle pèche mérite la mort loin de la présence de Dieu, ce que Jésus appelle la géhenne.

Tout le contexte de la Bible est que Jésus-Christ qui est la Parole de Dieu est venu pour nous sauver de cette mort spirituelle pour faire de nous des enfants de Dieu. Notre Seigneur Jésus a expliqué qu’il faut craindre Celui qui peut détruire l’âme et le corps dans la géhenne ou l’enfer en Matthieu 10 : 28 car là, il n’y a plus d’espoir, c’est le jugement de Dieu. Jésus parle de la mort spirituelle par une parabole lourde de sens :
Matthieu 8 : 21 et 22 « Quelqu’un d’autre, un de ses disciples, lui dit : « Maître, permets-moi d’aller d’abord enterrer mon père » Jésus lui répondit : «Suis-moi et laisse les morts enterrer leurs morts. » Voici un autre témoignage que les morts ne sont pas inconscients mais ils sont vivants et discutent avec Jésus.
Luc 9 : 28 à 32 « Environ une semaine après qu’il eut parlé ainsi, Jésus prit avec lui Pierre, Jean et Jacques, et il monta sur une montagne pour prier. Pendant qu’il priait, son visage changea d’aspect et ses vêtements devinrent d’une blancheur éblouissante.Soudain, il y eut là deux hommes qui s’entretenaient avec Jésus : c’étaient Moïse et Elie, qui apparaissaient au milieu d’une gloire céleste. Ils parlaient avec Jésus de la façon dont il allait réaliser sa mission en mourant à Jérusalem.


Pierre et ses compagnons s’étaient profondément endormis ; mais ils se réveillèrent et virent la gloire de Jésus et les deux hommes qui se tenaient avec lui. » Ici, nous voyons l’apparition devant Jésus de deux hommes qui ne sont plus sur terre depuis longtemps, il y a Elie qui a été enlevé par Dieu et Moïse qui est mort à 120 ans.Pierre, Jean et Jacques ont été témoins de cette apparition !!
Moïse et Elie discutaient avec Jésus de la façon dont il allait réaliser sa mission en mourant à Jérusalem ! Les témoins de Jéhovah ont trouvé une interprétation assez scandaleuse de ces versets, enfin c’est ce qu’on m’a enseigné dans l’enfance, ils disent que c’est deux anges qui ont pris l’apparence de Moïse et Elie.La Bible ne ment jamais et quand des anges apparaissent, cela est toujours mentionné :

En voici plusieurs exemples :

Luc 2 : 8 à 9, 13 « Dans cette même région, il y avait des bergers qui passaient la nuit dans les champs pour garder leur troupeau.Un ange du Seigneur leur apparut et la gloire du Seigneur les entoura de lumière. Ils eurent alors très peur. » Verset 13 :« Tout à coup, il y eut avec l’ange une troupe nombreuse d’anges du ciel, qui louaient Dieu en disant : « Gloire à Dieu dans les cieux très hauts, et paix sur la terre pour ceux qu’il aime ! » Marc 4 : 11 « Cette fois le diable le laissa. Des anges vinrent alors auprès de Jésus et se mirent à le servir. »Luc 22 : 42 à 43 « Père, si tu le veux, éloigne de moi cette coupe de douleur. Toutefois, que ce ne soit pas ma volonté qui se fasse, mais la tienne » Alors un ange du ciel lui apparut pour le fortifier.

Notre Seigneur Jésus nous a donné sa vie sur la croix pour qu’on la reçoive par la foi. L’Evangile est très simple, un petit enfant la comprendrait « Soyez comme des enfants » nous dit Jésus. Il veut tout simplement que nous nous reconnaissions pécheurs devant lui et qu’il nous pardonne par son sang versé pour nous au Golgotha.

I Jean 4 : 10 « Et l’amour consiste en ceci :
Ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, mais c’est lui qui nous a aimés ; il a envoyé son Fils qui s’est offert en sacrifice pour le pardon de nos péchés. » Il nous fait un cadeau, nous donne sa vie en nous par son Esprit Saint c’est le sceau de Dieu et nous commençons une vie nouvelle. Nous naissons de nouveau et devenons enfant de Dieu Je suis née de nouveau ainsi que mon mari en 1997.

Jean : 1 : 12 à 17 « Cependant, certains l’ont reçu et ont cru en lui ; il leur a donné le droit de devenir enfants de Dieu. Ils ne sont pas devenus enfants de Dieu par une naissance naturelle, par une volonté humaine ; c’est Dieu qui leur a donné une nouvelle vie. » Jean 14 : 15 à 17 « Si vous m’aimez, vous obéirez à mes commandements. Je demanderai au Père de vous donner quelqu’un d’autre pour vous venir en aide, afin qu’il soit toujours avec vous :
c’est l’Esprit de vérité. Le monde ne peut le recevoir, parce qu’il ne peut le voir ni le connaître. Mais vous, vous le connaissez, parce qu’il demeure avec vous et qu’il sera toujours en vous. » Cet Esprit merveilleux enseigne individuellement chaque enfant de Dieu et c’est comme cela qu’Il m’a montré la vérité en Jésus-Christ.

Jean 14 : 26 « Celui qui doit vous venir en aide, le Saint-Esprit que le Père enverra en mon nom, vous enseignera tout et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. »
1 Jean 2 : 27 « Quand à vous, l’Esprit que vous avez reçu du Christ demeure en vous ; vous n’avez donc pas besoin qu’on vous instruise. En effet, l’Esprit vous instruit de tout : il enseigne la vérité et non le mensonge. C’’est pourquoi, faites ce qu’ils vous a enseigné : demeurez unis au Christ »

C’est le chemin que je suis maintenant avec mon mari, nous prions et demandons à notre Seigneur Jésus de nous guider tous les deux chaque jour par son Esprit qui vit en nous.

C’est magnifique la nouvelle naissance, c’est la vie éternelle !!!! Je terminerai par un texte merveilleux qui montre l’espérance d’un enfant de Dieu, je vous encourage à vivre vous aussi cette vie nouvelle en Jésus-Christ, il vous attend, vous tend ses bras d’amour…… Demander-lui pardon pour vos péchés et donnez-lui votre vie pour toujours, il vous fera le cadeau de mettre sa vie en vous ; vous devenez un enfant de Dieu !!!

Romains 8 : 14 à 17 « Tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont enfants de Dieu.Car l’Esprit que vous avez reçu n’est pas un esprit qui vous rende esclaves et vous remplisse encore de peur ; mais c’est l’Esprit Saint qui fait de vous des enfants de Dieu et qui vous permet de crier à Dieu « Abba, ô mon Père ! » L’Esprit de Dieu atteste lui-même à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.Nous sommes ses enfants, donc nous aurons part aux biens que Dieu a promis à son peuple, nous y aurons part avec le Christ ; car si nous souffrons avec lui, nous serons aussi avec lui dans sa gloire. »
Maintenant, je remercie de tout mon cœur, Jésus-Christ qui m’a sauvé des fausses doctrines qu’enseignent les témoins de Jéhovah !!

Gloire à Dieu ! Gloire à l’agneau !! Soyez bénis dans le nom de Jésus-Christ !

L'Aïd el Kebir


Origine de la fête de l'Aïd el Kebir

La "Grande fête" est célébrée le lendemain du Sacrifice de l'Aïd el Kebir et le surlendemain de l'Arafat, le point culminant du pèlerinage à La Mecque.La fête du sacrifice (ou Aïd el-Kébir) est la plus importante de l'islam.
Elle a lieu chaque année pendant la période du pèlerinage à La Mecque et en constitue un moment fort.

Cette fête commémore le «sacrifice d'Abraham». En effet, la tradition musulmane raconte que Dieu, pour éprouver la foi d'Abraham, lui demanda de sacrifier son fils préféré, Ismaël. Au dernier moment, alors que le prophète s'y était résolu, Dieu lui ordonna d'épargner son fils et de lui substituer un bélier.
Depuis, la communauté musulmane commémore cet acte de soumission par le sacrifice d'un ovin (mouton, bélier, ...). Cette fête s'exprime à travers des prières et de grandes réjouissances familiales.

Ce n'est pas Ismaël, mais Isaac qu'Abraham s'apprêtait à sacrifier sur le mont Morijah. Ismaël, père des arabes, et Isaac, père des hébreux : c'est plus qu'un symbole anodin, c'est la racine d'un conflit spirituel qui veut anéantir la nation d'Israël en falsifiant l'Histoire...
La Bible affirme "tous ont péché, et sont privés de la gloire de Dieu" (Romains 3:23), et encore "le salaire du péché, c'est la mort" (Romains 6:23)

La miséricorde de Dieu ne peut pas se caractériser par le pardon pur et simple, car l'oubli d'une faute (l'amnistie) est injuste par nature: ceux qui ont commis l'infraction profitent de leur crime. Pour pouvoir pardonner, il faut que les dégats commis soient réparés. Dieu se révèle à Moïse en lui disant: "Je ne tiens pas le coupable pour innocent". La Torah tout entière met en évidence que "sans sang versé, il n'y a pas de pardon". N'y a t'il donc aucune solution, le croyant (fils d'Abraham) est il condamné a périr?
Non, Dieu est miséricordieux, il substitue au coupable une victime innocente (le mouton) qui subit la punition à sa place.

La même question se pose aujourd'hui aux croyants, n'y a t'il pas de solution au problème des fautes que j'ai commises? Suis-je aussi condamné à périr? Ou faut-il aussi qu'une victime sacrificielle innocente meure à ma place? C'est là qu'intervient le message de l'évangile (= la bonne nouvelle). Comme dans l'histoire d'Abraham, Dieu a fourni pour chacun de nous une solution.

Dans l'évangile, Jésus est appelé "l'Agneau de Dieu". Il était pur et sans péchés. Jésus est venu volontairement dans le monde pour donner sa vie afin que nous puissions être sauvés de la punition que nos fautes méritent. Il a été la victime innocente sacrifiée à la place des humains coupables devant Dieu: "vous avez été rachetés ... par le sang précieux du Messie, comme d'un agneau sans défaut et sans tâche" (1 Pierre 1:19) "Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, le Messie est mort pour nous." (Romains 5:8)
Pouvons nous être sûr d'échapper au jugement de Dieu?

Oui, nous pouvons échapper. Par le moyen de ce sacrifice suprême, du sang versé par quelqu'un qui a accepté de mourir à notre place: Jésus le Messie.
Son sacrifice a été accepté par Dieu, trois jours plus tard Jésus est ressuscité, et aujourd'hui encore il est vivant. Il doit revenir bientôt pour régner.

Si nous plaçons en lui notre confiance, nous serons sauvés, comme le fils d'Abraham !