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samedi 2 juin 2007

Les sacrements catholiques

Du latin : Sacramentum = consécration, engagement + le verbe sacrare =se vouer, se dédier, se lier.

l) Le baptême des enfants :
Ce sont les parents qui s'engagent pour l'enfant. Bien que l'on n'ait pas péché personnellement, cette cérémonie a quand même eu lieu, et comme tout engagement, il est respecté par Dieu. Si nous voulons en être affranchi, nous disons au Seigneur que nous désapprouvons cet acte que nos parents ont fait sur nous et nous lui demandons de l'annuler. Et si nous avons fait cela sur nos enfants, il faut nous en repentir et, si possible, demander au curé de 1'annuler sur son registre.
Le baptême (immersion) biblique est un engagement personnel pris par quelqu’un qui s’est repenti et qui croit au sacrifice de Jésus Christ et à sa résurrection.

2) La confirmation :
L'enfant confirme l'engagement pris par ses parents au baptême, il le rend valide. L'enfant doit embrasser la bague de l'évêque (ce qui est un acte idolâtre) et celui-ci lui touche la joue, ce qui est une imposition de main, pour que l'enfant reçoive le "Saint-Esprit". Cela se fait te jour de la Pentecôte, et tout ceci se dissimule derrière des arguments bibliques. Comme l'évêque n'est pas un serviteur du vrai Dieu il peut communiquer un autre esprit. Dans certains cas il fait aussi un petit signe de croix sur le front avec de l'huile. La plupart des enfants le font sans y croire et sans comprendre, mais il est quand mème nécessaire de confesser ces fautes, car il s'agit d'un engagement devant les hommes, et devant les autorités célestes.

3) La confession :
Dieu seul a le pouvoir de pardonner les péchés. Si on croit qu'un homme peut le faire, c'est de l'idolâtrie. Comment un homme qui est peut-être pire que celui qui se confesse peut-i1 pardonner ? La Bible dit qu'il n'y a qu'un seul Dieu et un seul médiateur entre Dieu et tes hommes, c'est l'homme Jésus-christ ( 1 Timothée chapitre 2, verset 6).

4) La communion :
C'est un engagement par lequel nous entrons en communion (union avec = être un) avec tous les membres de l'église catholique, ainsi qu'avec l'esprit du catholicisme. L’apôtre Paul appelle cela une coupe de démons (1 corinthiens 10 v 14 à 22).

5) Le mariage :
Le prêtre prononce une bénédiction sur les époux qui prennent un engagement envers l'église catholique romaine. Jésus dit "Le Saint-Esprit vous conduira dans toute la vérité" (Jean 16 : 13) et par conséquent, un esprit qui nous conduit dans l’erreur ne peut pas être l'Esprit de Dieu. C'est un moyen très simple pour reconnaître le Saint-Esprit des autres esprits.

6) L'ordination : concerne uniquement les prêtres.

7) L'extrême-onction : est donnée aux mourants.

Cher lecteur, si tu t’es lié par ces engagements, il faut t’en défaire au plus vite, en les confessant à Dieu et en demandant à un chrétien de prier pour toi. Psaume 107.

pierre.danis@wanadoo.fr

La prostituée

Dans la Bible, nous trouvons 2 femmes symboliques, l’une appelée « La prostituée », c’est-à-dire la fausse église, et l’autre appelée « L’épouse de Christ », la véritable église de JESUS CHRIST.

Ancien testament :

Proverbe 2-16 à 19 : La femme étrangère (par rapport à la connaissance du vrai Dieu), par opposition à l’épouse de Christ (la femme fidèle).
Proverbe 5-1 à 6 : Elle ne sait oû elle va (Babylone veut dire : confusion). Dans son aveuglement, elle ne sait même pas qu’elle est sur le chemin de la perdition.
Proverbe 9-13 à 18 : Elle est folle car elle ne connaît pas la crainte de l’Eternel qui est le commencement de la Sagesse. Le « pain du mystère » semble faire allusion au sacrement de l’eucharistie, avec le mystère de la transsubstantiation (l’hostie est toujours ronde comme les galettes des anciens adorateurs du soleil et de la « reine des cieux ». Jérémie 7. V18).
Ecclésiaste 7-26 : Elle est un piège, un filet, des liens…Des millions de gens en sont esclaves, et seul le Seigneur Jésus Christ peut les en délivrer.
Esaie 47-12 à 13 : Enchantements…astrologie…Religion idolâtre mélangée avec l’occultisme, la superstition, la nécromancie…Choses que Dieu a en horreur. Deutéronome 18-10 à 12. (voir l’étude sur le catholicisme).

Nouveau testament :

Matthieu 13-33 : Un peu de levain fait lever toute la pâte (croissance et influence du catholicisme). - La femme = La prostituée (fausse église chrétienne).
- Le levain (pâte fermentée, c’est-à-dire pourrie) = Les fausses doctrines.
- La pâte = L’église fidèle (1 Corinthiens 5 v 6 à 8). Malheureusement, l’église de Jésus Christ est très influencée par le catholicisme. Il existe une autre interprétation, selon laquelle la femme est l’église, le levain est l’évangile, et la pâte est le monde, mais cela est un non-sens à la lumière de toutes les écritures.
2 Timothée 3-1 à 5 : L’apparence de la piété = l’hypocrisie.

Apocalypse 17-1 à 6 : La prostituée dans sa phase finale, utilisée par l’Anti-Christ pour accéder au pouvoir mondial (c’est le comble de la prostitution spirituelle).
Son nom est « Babylone », elle est la mère de toutes les autres prostituées (c’est-à-dire celle qui les a enfantées).
En effet, c’est à Babel (nom hébreu de Babylone) que sont nées les religions structurées, l’occultisme, l’idolâtrie, et les principales fausses doctrines qui sont les fondements des religions et sectes actuelles. L’apôtre Jean voit cette femme couverte de richesses et ivre du sang des disciples de Jésus Christ qu’elle persécute. Cependant, n’oublions pas qu’elle est avant tout une séductrice, surtout aujourd’hui, par le moyen de l’œcuménisme.
Apo 17-14 à 18 : Sa destruction voulue par Dieu et par la coalition des nations au service de la Bête.

CHER AMI, DE QUELLE EGLISE FAIS-TU PARTIE ? Si c’est de la prostituée, il est encore temps d’en sortir…

Pierre Danis : pierre.danis@wanadoo.fr

vendredi 25 mai 2007

La grande religion mondiale unique de la fin des temps

Mise en place de la grande religion mondiale unique de la fin des temps

L'Eglise Catholique Romaine est en train de préparer la mise en place de la grande religion mondiale unique de la fin des temps, conformément aux prophéties de la Bible.
Le Congrès œcuménique sur "L'avenir de Dieu" se tient chaque année au mois d'octobre à Fatima, au Portugal. En octobre 2003, il a accueilli des délégués du Vatican et des Nations Unies. A cette occasion, ces délégués ont appris que le sanctuaire Marial de Fatima allait devenir un centre mondial ouvert à toutes les religions du monde, afin que tous les peuples puissent venir y rendre hommage à leurs différents dieux. Le Congrès s'est tenu au Centre Pastoral Paul VI, et était présidé par l’évêque Josè Policarpo, le Cardinal Patriarche de Lisbonne.
Le recteur du Sanctuaire dit aux congressistes que "Fatima allait changer pour le mieux". S'adressant à tous les représentants des différentes religions mondiales, Hindous, Musulmans, Juifs, Orthodoxes, Bouddhistes et l’Animisme, il a déclaré : "L'avenir de Fatima, ainsi que l'adoration de Dieu et de Sa Mère dans ce sanctuaire sacré, doivent passer par la création d'un sanctuaire où toutes les différentes religions pourront se mêler… Le sanctuaire de Fatima est déjà en train de devenir un lieu de culte universel".

Le représentant des Hindous, Anshok Ansraj, a décrit de quelle manière, dans son pays, des millions d'Hindous perçoivent des "vibrations positives" en visitant différents sanctuaires mariaux, sans mettre en péril leur propre foi. L’évêque Guerra a fait aussi remarquer que Fatima est un prénom musulman, celui de la fille de Mahomet, et que cela était la preuve que ce sanctuaire devait être ouvert à la coexistence entre les différentes religions. Selon lui, "nous devons donc en conclure que c'est la volonté de la Bienheureuse Vierge Marie qu'il en soit ainsi en ce lieu". Les Catholiques traditionalistes, opposés à ce Congrès, ont été qualifiés par l’évêque Guerra de "bigots étroits d'esprit, attachés au passé, d'extrémistes fanatiques et de provocateurs".

L'un des principaux orateurs, le théologien Jésuite Jacques Dupuis, a insisté sur le fait que toutes les religions du monde devaient s'unir. Selon lui, "la religion de l'avenir sera la convergence de toutes les religions en un Christ universel qui satisfera tout le monde. Toutes les traditions religieuses du monde font partie du plan de Dieu pour l'humanité. Le Saint-Esprit est présent et à l'œuvre au sein du Bouddhisme, de l'Hindouisme et de toutes les religions non-Chrétiennes, tout autant que dans les Ecritures sacrées du Christianisme".

Le document officiel rédigé par le Congrès demande que toutes les religions cessent de faire du prosélytisme pour leur propre compte : "Aucune religion ne peut s'imposer aux autres, ni s'affirmer aux dépens des autres. Nous devons rester ouverts au dialogue, afin de pouvoir bâtir des ponts, et abattre les murs de séparation élevés par des siècles de haine. Ce dont nous avons besoin, c'est que chaque religion, tout en restant entièrement fidèle aux vérités qu'elle défend, considère toutes les autres religions sur un même pied d'égalité, sans aucun complexe ni d'infériorité ni de supériorité" ("Portugal News" du 1er novembre 2003).

Le sanctuaire de Fatima, situé au Portugal, est l'un des principaux centres mondiaux du culte Marial, et a joué un rôle majeur dans la pensée du Pape Jean-Paul II. La "Vierge Marie" serait apparue à Fatima le 13 mai 1917, déclarant que "le Seigneur lui avait confié la paix du monde". Le 13 mai 1981, le jour anniversaire de la première apparition de la "Vierge Marie" en 1917, le Pape Jean-Paul II fut victime d'une tentative d'assassinat à Rome. Pendant sa convalescence, le Pape reçut une vision de "Marie", qui lui dit qu'elle avait épargné sa vie, parce qu'il allait être chargé d'une mission particulière destinée à apporter la paix au monde. Le Pape attribua sa protection et sa guérison à l'intervention de la Vierge Marie. L'année suivante, le 13 mai 1982, il se rendit en pèlerinage à Fatima, et il pria devant la statue de "Notre Dame de Fatima". C'est là qu'il consacra le monde à Marie. Il mentionna tout particulièrement dans ses prières le peuple Russe. Le Pape a attribué à l'intervention de la Vierge Marie la chute du mur de Berlin et l'effondrement du communisme soviétique.

Tout cela ne fait que prouver qu'un puissant esprit de séduction est en train d'envahir le monde entier, tout particulièrement le monde religieux, pour préparer l'apparition de l'Antichrist. Toutes les religions païennes vénèrent une figure de "déesse", souvent plus accessible et même plus puissante qu'un dieu mâle. Quand le Christianisme formel fut officiellement accepté par l'empire romain, au quatrième siècle, il couvrit le paganisme romain d'un vernis de terminologie chrétienne. Etant à la recherche d'un type de déesse pour l'incorporer dans la nouvelle religion, il choisit Marie, la femme la plus remarquable du Nouveau Testament, et il en fit la "Mère de Dieu" et la "Reine du Ciel". L'expression "Mère de Dieu" n'est jamais mentionnée dans la Bible, et celle de "Reine du Ciel" n'apparaît que dans Jérémie 44 :17-19, dans un contexte négatif, où les Israélites sont condamnés parce qu'ils offraient des gâteaux en l'honneur d'une déesse païenne, ce qui attira le jugement de Dieu sur eux.

Les apparitions modernes de "Marie" sont, en fait, non pas des manifestations de la véritable Marie du Nouveau Testament, mais des visitations démoniaques des déesses des antiques religions païennes. Il est significatif que les messages apportés par ces "apparitions" ne correspondent pas au message fondamental de la Bible, en particulier au message du salut par la repentance et la foi en Jésus le Messie, seul médiateur entre Dieu et les hommes. La théologie de l'Eglise Catholique Romaine présente même Marie comme "co-rédemptrice", ou partenaire directe de Jésus dans la rédemption. Il semblerait, en fait, que Jésus soit même réduit à une position relativement secondaire, car Marie, dans les déclarations qui lui sont attribuées, joue un rôle qui n'appartient en réalité qu'à Dieu seul. Par exemple, l'apparition de Fatima a déclaré : "Je promets d'assister de toutes les grâces nécessaires au salut, à l'heure de leur mort, tous ceux qui auront accepté de passer un quart d'heure quotidien en ma compagnie, en méditant sur le mystère du Rosaire, avec l'intention de faire réparation pour les torts qui m'ont été faits".
Le culte rendu à Marie et l'émergence de la religion mondiale uniqueTous les délégués au Congrès de Fatima ont affirmé que les apparitions de Marie sont un moyen de rapprocher toutes les religions, dans leur recherche commune d'une puissance unificatrice. Toutes les religions païennes ont une "déesse" favorite, et ce concept est au centre de leur recherche d'unité. Beaucoup de ces prétendues visions apportent des messages annonçant un prochain réveil mondial, qui introduira l'humanité dans un nouvel âge de paix et d'amour. Selon les déclarations d'une apparition de Marie, dans le village espagnol de Garabandal, au cours des années 80, il va se produire "un certain signe, qui poussera tous les habitants du monde, au même moment et où qu'ils se trouvent, à recevoir de Dieu un "changement de conscience" complet et instantané".

Beaucoup de ces messages apportés par "Marie" ressemblent aux messages du Nouvel Age, qui annoncent une ère de "renouveau spirituel intérieur", où les hommes découvriront leur "dieu intérieur", niant ainsi la nécessité de se repentir et de placer leur foi en Jésus-Christ le Sauveur. Un autre concept du Nouvel Age est celui de Gaïa, la "Terre Mère", qui fait aussi appel à "l'esprit de la déesse". Les Protestants libéraux font la promotion du féminisme, et cherchent à écarter "l'image patriarcale d'un Dieu Père". La controverse au sujet de l'ordination des femmes à la prêtrise s'appuie souvent sur le concept d'un Dieu qui serait en fait une "Mère". La théologie de Rome cherche de plus en plus à réunir toutes les religions, et le Pape Jean-Paul II a déjà affirmé que tous les dieux sont les mêmes, s'opposant ainsi aux Chrétiens évangéliques.

Tout cela correspond bien à ce qui est écrit dans le Livre de l'Apocalypse, où nous lisons :
"Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or, remplie d'abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d'un grand étonnement" (Apoc. 17 :3-6).

"Bientôt, une alliance sera conclue entre le maître du monde et le Vatican. La femme montera réellement la Bête, et son rôle sera vital. L'Antichrist saura qu'il ne peut y avoir de paix politique sans paix religieuse. Il ne pourra y avoir de paix mondiale, tant que toutes les religions n'accepteront pas de se considérer comme des partenaires, et de travailler en commun pour atteindre les mêmes objectifs. Le Pape jouera donc un rôle essentiel dans cet œcuménisme global".
Il se peut que le règne du présent Pape touche à sa fin. Mais il aura accompli des progrès décisifs, en dirigeant résolument l'Eglise Catholique dans cette direction. Il ne fait pas de doute que son successeur continuera à œuvrer pour que toutes les religions s'unissent sous la bannière de l'œcuménisme.

L'ordre du jour du Congrès de Fatima sur "L'avenir de Dieu" correspond étroitement au programme visant à instaurer la religion mondiale unique. Toutes les religions du monde, associées aux Nations Unies, se sont déjà unies, sous les auspices de l'Eglise Catholique Romaine, pour appeler à l'unification de toutes les religions et à l'acceptation du "Christ Universel". Telle est l'essence de la future religion mondiale, qui nie le véritable message du Seigneur Jésus, qui a dit :
"Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi" (Jean 14 :6).
Le titre même de ce Congrès ne fait que révéler l'incapacité complète des participants à comprendre la nature de ce Dieu dont ils prétendent parler ! Comme si des êtres humains insignifiants pouvaient, avec leur raison limitée, déterminer "l'avenir de Dieu" ! Dieu existe de toute éternité. Par définition Il ne change pas, notamment en fonction des modes humaines passagères. Selon Sa Parole, tous ceux qui prient une multitude de dieux concurrents ne font qu'invoquer des "dieux incapables de sauver" (Esaïe 45 :20). Quelle tragique perte de temps et d'efforts, alors que nous pouvons prier le vrai Dieu, qui nous sauve effectivement, grâce au sang versé par le Seigneur Jésus-Christ sur la croix. C'est pour cela que Jésus nous a demandé de partager la Bonne Nouvelle du salut à tous ceux qui croient en d'autres religions. Il a commandé à Ses disciples d'aller dans le monde entier pour prêcher l'Evangile (Matthieu 28 :19-20).
La véritable Marie
La véritable Marie, connue sous le nom de Myriam, était une pieuse jeune fille Juive qui a été choisie par Dieu pour permettre au Messie de venir au monde. Il s'agissait d'une naissance virginale surnaturelle, car Jésus devait être pleinement Dieu et pleinement Homme, accomplissant ainsi les prophéties d'Esaïe 7 :14 et 9 :6, et de Michée 5 :2. Le Seigneur pouvait donc S'offrir comme sacrifice parfait pour les péchés du monde entier. Après la naissance de Jésus, Myriam eut normalement d'autres enfants de son mari Joseph (Matthieu 12 :46-50). Elle crut en Jésus comme son Sauveur personnel (Luc 2 :47), et reçut la vie éternelle comme des millions d'autres Chrétiens qui ont suivi son conseil, quand elle avait dit à propos de Jésus : "Faites ce qu'il vous dira" (Jean 2 :5). Jésus nous a dit : "Il faut que vous naissiez de nouveau". Nous ne pouvons nous efforcer d'atteindre Dieu en récitant une multitude de prières, en accomplissant des bonnes œuvres ou en faisant des actes de pénitence. Nous ne pouvons le faire que par la repentance et la foi en la mort et la résurrection de Jésus.

Marie a réellement eu l'honneur d'être un merveilleux exemple de foi et d'obéissance au Seigneur. Mais d'autres personnages de la Bible ont aussi donné le même exemple. Rien ne nous laisse croire que Marie continue à jouer aujourd'hui un rôle particulier dans notre salut. Il est impossible que ce soit elle qui apparaisse en divers endroits, car la Bible nous enseigne qu'il ne doit y avoir aucune communication entre les vivants et les morts. Toutes les apparitions attribuées à Marie, que ce soit à Fatima, Lourdes ou ailleurs dans le monde, ne peuvent donc être que des séductions visant à induire les gens en erreur, et à les éloigner d'une véritable foi au Seigneur.

Voici ce que dit le Seigneur à tous ceux qui appartiennent au système religieux qui approuve ces apparitions :
"Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux" (Apoc. 18 :4).

mardi 22 mai 2007

Le sapin de noèl


À propos de la fête de Noël

Les premiers chrétiens n'ont pas fêté Noël. Le réformateur Jean Calvin y fut encore formellement opposé. Il reprocha aux Genevois d'observer superstitieusement une telle fête. Ce n'est qu'au début du XVIIe siècle qu'apparaît l'arbre de Noël, qui ne fut admis dans les églises protestantes qu'au siècle passé. Aujourd'hui il est presque partout présent pour la circonstance, dans le monde des affaires et jusque dans les milieux évangéliques, en passant par les églises officielles et les autorités civiles.

Des évangéliques disent maintenant que cet arbre de Noël (manifestement d'origine païenne) peut être un signe de foi et d'espérance, que son symbolisme plonge ses racines dans le substitut biblique et l'on cite Osée 14 : 8 où Ostervald traduit : « Je serai pour mon peuple un sapin toujours vert», alors que toutes les autres versions qui nous sont connues mettent « cyprès » et non « sapin », car il n'y a pas de sapin en Israèl ! On évoque l'arbre du jardin d'Eden et celui de l'Apocalypse, en passant par la perche au serpent d'airain, le rameau d'Isaï et le bois de la croix pour dire en conclusion : « Et si notre arbre de Noël voulait symboliser tout cela ? Une telle argumentation nous paraît très superficielle et spécieuse.

On essaie aussi de prouver que l'arbre de Noël n'est pas d'origine païenne, que la fête de Noël trouve son origine dans la tradition juive, plus précisément dans la fête de la dédicace du 25e jour du 9e mois (Kisleu). (l Maccabées 4 : 52 et Il Maccabées 1 : 18). Mais ce jour correspond au 14 et non au 25 décembre3. On y célébrait la purification du Temple et la dédicace du nouvel autel, ce qui n'a manifestement aucun rapport avec la fête de Noël.

Les arbres verts dont il est fait état dans l'A.T. sont des lieux d'idolâtrie (Deut. 12 : 2 ; 1 Rois 14 : 23 ; II Rois 1 6 : 4 ; II Chron. 28 : 4 ; Esaïe 57 : 5. .. etc)

L'apôtre Paul écrivait : « Examinez toutes choses, retenez ce qui est bon. » (I Thess. 5 : 21)

Robert Dubary

Le purgatoire



Le catholicisme enseigne qu'après la mort, certaines personnes sont envoyées dans un endroit appelé purgatoire, pour une purification complète avant l'entrée au paradis :
" Ceux qui meurent dans la grâce et l'amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, bien qu'assurés de leur salut éternel, souffrent après leur mort une purification, afin d'obtenir la sainteté nécessaire pour entrer dans la joie du ciel." Article #1030, p. 270
"L'Eglise appelle purgatoire cette purification finale des élus ..." Article #1031, p. 270

Cette doctrine importante vient-elle de Dieu, ou est-ce une autre tradition des hommes ? Voici une réponse, directement issue du catéchisme :

" L'Eglise a formulé la doctrine de la foi relative au Purgatoire surtout aux Conciles de Florence et de Trente." Article #1031, p. 270
Est-il déraisonnable de se demander d'où les intervenants ont tiré leurs informations concernant la vie après la mort, pour être en mesure de formuler une telle doctrine ?

Cher ami catholique romain, si vous priez pour des êtres aimés que vous croyez être au purgatoire, il faut que vous sachiez que ce n'est pas Dieu qui vous a dit où ils étaient ... c'est un groupe de religieux qui l'a décrété :

" ... les uns parmi ses [Jésus] disciples continuent sur terre leur pèlerinage ; d'autres, ayant achevé leur vie, se purifient encore ; d'autres enfin sont dans la gloire ..." Article #954, p. 251

S'il s'agit de souffrir, ce n'est pas un cadeau !
Cette doctrine est d'autant plus dérangeante que la Bible ne parle absolument jamais d'un tel endroit. Bien plus, elle n'enseigne jamais qu'une purification après la mort est nécessaire pour gagner son salut. Bien au contraire, la Bible déclare que le salut est un don gratuit :
" Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. " Romains 6.23
" Mais il n'en est pas du don gratuit comme de l'offense ; car, si par l'offense d'un seul [Adam] il en est beaucoup qui sont morts, à plus forte raison la grâce de Dieu et le don de la grâce venant d'un seul homme, Jésus-Christ, ont-ils été abondamment répandus sur beaucoup. " Romains 5.15

Un Dieu honnête et aimant, offrant la vie éternelle comme un don gratuit, vous condamnerait-Il à souffrir pour l'obtenir, et mentirait-Il à ce propos dans Sa Parole ?

" Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. " Éphésiens 2.8
Si l'on en croit la Bible, alors il n'y a pas besoin d'une purification supplémentaire pour ceux qui meurent en Christ. Ils ont déjà été justifiés par Jésus :

" maintenant que nous sommes justifiés par son sang,[celui de Jésus] nous serons sauvés par lui de la colère. " Romains 5.9
" et ils sont gratuitement justifiés [les chrétiens] par sa grâce [celle de Jésus], par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. " Romains 3.24

L'apôtre Paul insiste sur le même point :

" Et c'est là ce que vous étiez, quelques-uns de vous. Mais vous avez été lavés, mais vous avez été sanctifiés, mais vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus-Christ ... " 1 Corinthiens 6.11
Les vrais chrétiens sont déjà purifiés car Jésus a ôté tous leurs péchés à la croix :

" ... maintenant, à la fin des siècles, il a paru une seule fois pour abolir le péché par son sacrifice. " Hébreux 9.26
Dieu ne demande pas à Ses enfants de souffrir pour leur salut car ils ont été rachetés :

" Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu. " 1 Corinthiens 6.20
A quel prix ? Au prix du sang de Jésus-Christ :

" ... l'Église du Seigneur, qu'il [Jésus] s'est acquise par son propre sang. " Actes 20.28

Conclusion
La Bible est donc très claire à ce sujet.
Du coté de l'église catholique, examinons quelle a été la conséquence de la doctrine du purgatoire : des fortunes lui ont été données pour qu'elle dise des messes et des prières en faveur des morts.

Maintenant, je vous pose une question : Pourquoi l'église catholique a-t-elle institué cette doctrine ?

Maintenant, au moins, vous savez que la doctrine du purgatoire a été conçue dans l'esprit de simples mortels.

" Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. " Romains 8.1

vendredi 18 mai 2007

Témoignage d'un ex-curé

UN PRÊTRE CATHOLIQUE ROMAIN
REVENU AU CHRISTIANISME PRIMITIF

«Jésus, parce qu’Il demeure éternellement, possède un sacerdoce qui ne se transmet point. Voilà pourquoi, Il peut sauver parfaitement ceux qui s‘approchent de Dieu par Lui, puisqu’Il est toujours vivant pour intercéder en leur faveur.» (Hébreux, ch.7: 24-25) Version Catholique du chanoine Crampon
Paul Adam, docteur en Ph. et Th.,

UN MOT DE TÉMOIGNAGE SUR SA CONVERSION.
«La Loi a été donnée par Moise, mais la grâce et la vérité
sont venues par Jésus-Christ.» (Jean, ch.1 : 17)
Vers la fin de 1948, le curé Adam se mit à lire assidûment les Saintes Ecritures, surtout le Nouveau Testament.

1) CONSTATATION
(Le clergé Juif a présenté la LOI de Moise comme moyen de salut, au lieu de prêcher le Messie, venu de Dieu, pour effacer le péché du monde)
D’abord, il se rendit compte qu’il y avait une double justice : celle des hommes et celle de Dieu. Car il est écrit :
«En vérité, Je vous le dis, Si votre justice ne surpasse pas celle des Scribes et des Pharisiens, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux.» (Matt., ch. 5:20)
Le clergé Juif avait commis l’erreur de présenter la LOI de Moise comme un moyen de salut, alors qu’elle n’était qu’un pédagogue ou un guide conduisant au Christ. (Galates, ch.3 : 24)
Car, dans ce temps-là, tout comme de nos jours encore, on croyait que la religion pouvait sauver le monde, alors qu’en réalité elle ne procurait qu’une justice purement humaine et, par conséquent, impuissante à faire entrer qui que ce fut, dans le royaume de Dieu.
C’est pour cela que le Christ est venu et se présenta comme le SAUVEUR du monde, en disant :
«Je suis le chemin, la vérité et la vie ;
Personne ne vient au Père que par MOI.» (Jean, ch. 14:6)
Malheureusement, le clergé Juif refusa d’accepter le plan du salut gratuit de Dieu par la foi en Jésus-Christ et il continua à précher la LOI de Moise ou le Judaisme. En effet, il est écrit :
«Le Christ vint chez les siens et les siens ne Le reçurent pas.» (Jean, 1 : 11)
«Car les Juifs, ne connaissant pas la justice de Dieu et cherchant à établir leur propre justice, ne se sont pas soumis à la justice de Dieu, puisque la fin de la LOI, c’est le Christ pour la justification de tout homme qui croit.» (Rom., ch. 0:3-4)

2) INTERROGATION
En présence d’une telle tragédie, le curé Adam se demanda s’il n’était pas en train de faire la ême chose que le clergé Juif en présentant le ROMANISME (la religion catholique romaine) comme moyen de salut.
A) Il se mit à étudier l’Histoire et les Pères de l’Église, tout en scrutant son Nouveau Testament. Il ne tarda pas à se rendre compte que le catholicisme des premiers siècles n’était que la continuation habile et déguisée du Judaisme, sous les apparences du Christianisme initial et avec un contrôle absolu de la part de l’Empereur romain.
Il s’aperçut que le catholicisme n’aurait jamais dû accepter le mariage de l’Église avec l’État, sous le règne de Constantin. Car ce fut là le commencement officiel du régime de la POLLUTION au sein du catholicisme, c’est-à-dire,
(a) politique, finance et religion ensemble,
(b) coutumes, pratiques et rites païens,
(c) innovations doctrinales des Conciles,
(d) tradition ecclésiastique ajoutée à la Bible.

B) Il lut, dans l’Évangile, comment le clergé Juif a été dénoncé par le Christ pour ses fausses apparences de piété, de justice et de sainteté :
«Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous purifiez le dehors de la coupe et du plat, alors que le dedans est rempli du produit de la rapine et de ‘intempérance.
Nettoyez, d’abord, l’intérieur du vase, afin que le dehors aussi devienne pur.
Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis qui paraissent beaux au dehors et qui, au dedans, sont pleins d’ossements de morts et de toute espèce d’impureté.
Ainsi, vous paraissez justes aux yeux des hommes, mais, au dedans, vous êtes remplis d’hypocrisie et d’iniquité». (Matt., 23:25-29)
C) Enfin, il vit comment le Seigneur condamna les Scribes et les Pharisiens pour leur rituel purement extérieur et leurs traditions humaines :
«Ce peuple m’honore des lèvres, mais leur coeur est loin de Moi.
Vain est le culte qu’ils me rendent, donnant des enseignements qui sont des préceptes d’hommes.
Car vous laissez de côté le commandement de Dieu pour vous attacher à la tradition des hommes.. Ainsi, vous néantissez la Parole de Dieu par la tradition que vous transmettez». (Marc, 7 : 7,8,13)


3) DÉCISION
Lorsque le curé Adam fut persuadé qu’il jouait le rôle des Scribes et des Pharisiens en prêchant une religion qui ne produisait qu’une justice purement humaine et inefficace pour l’obtention du royaume de Dieu, il demanda à l’Éternel de lui donner le courage et la force de revenir pour de bon au christianisme Primitif.

OBÉISSANCE IMMÉDIATE ET AVEUGLE
À LA GRANDE COMMISSION
A)
En premier lieu, il se soumit volontiers au plan de Dieu pour avoir la vie éternelle, tel que cela fut prêché par le Christ et les Apôtres : la repentance, la Foi et l’immersion.
Car il est écrit :
«Repentez-vous et croyez à l’Evangile.
Quiconque croira et sera baptisé sera sauvé.» (Marc, ch.1: 15; 16:16)
«Repentez-vous et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ pour la rémission des péchés, et vous recevrez le don du St-Esprit. (Actes, ch.2 : 38)
Convaincu de péché, de justice et de jugement par suite de l’action du St-Esprit,
a) il se reconnut comme un pécheur coupable et perdu devant Dieu,
b) il accepta Jésus comme son Sauveur, son Médiateur et son Souverain Pontife,
c) puis, il descendit dans les eaux du baptême pour se faire immerger, à l’exemple du Christ dans le Jourdain.
En agissant de la sorte, il devenait un croyant ou chrétien évangélique authentique. Il appartenait à l’Eglise du Christ et toute la famille de Dieu l’appelait: le frère Adam.
B)
Ensuite, il se fit un devoir d’être assidu à l’enseignement des Apôtres, aux réunions communes, à la fraction du pain et aux prières. Ainsi, il croissait en sagesse et en grâce devant Dieu et devant les hommes.
C)
Enfin, il renonça officiellement au système catholique romain et se fit un plaisir d’annoncer l’Évangile tant au Canada qu’aux États-Unis, en prêchant ouvertement le salut gratuit de Dieu par la foi en Jésus-Christ, tout comme l’apôtre Paul :
C’est ainsi qu’il allait prêcher la Parole de Dieu tant aux États-Unis qu’au Canada. Et il n’avait pas peur de dire avec l’apôtre Paul :
«C’est par grâce que vous êtes sauvés par le moyen de la foi; Cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie.» (Éph. 2 : 8)
«Car c’est en croyant de coeur au Seigneur Jésus qu’on est justifié et c’est en confessant de bouche Son Nom qu’on est sauvé.» (Rom. 10: 10)
«Je n’ai point honte de l’Evangile, car c’est une FORCE DIVINE pour le salut de tout homme qui croit.
En effet, dans l’Évangile est révélée une justice de Dieu qui vient de la foi et pour la foi, selon qu’il est écrit : «le juste vivra par la foi». (Rom., 1:16-17)

FAITES DE MÊME ET VOUS VIVREZ

Conversion d'un ex-curé

Témoignage de L. Brancart, ex-prêtre catholique

Avec quelle insistance je demandais chaque jour à Dieu de me donner une foi toujours plus exacte ! Combien tout eût été plus simple si j'avais encore pu me convaincre de la vérité du catholicisme ! Mais plus je priais et méditais la Bible, plus cette religion me paraissait fausse.

Je consultais en confession des prêtres compétents.

Je repris mes propres arguments anti-protestants écrits autrefois et remaniés après ma théologie ; je trouvais aussitôt une réponse à chaque page : j'en étais stupéfaits et quelque peu émerveillé.
Entre temps, je devais chaque jour célébrer la messe. Je me disais : la théologie catholique est fausse mais en tant que commémoration de la mort du Christ, je sais que Dieu agrée ce pain et ce vin. Je ne voyais pas encore à l'époque qu'un chrétien doit s'abstenir de toute participation à une cérémonie où l'on parle à des morts, où l'on prie pour les morts, où l'on prétend que se renouvelle le Sacrifice de la Croix : alors qu'il fut offert une fois pour toutes. Que s'était-il passé ?

Je n'avais jamais pu croire à la prescience divine des futurs libres. Lorsque, quelque temps après l'encyclique "Humani generis", je pris nettement conscience que c'était une doctrine de foi, je dus conclure avec épouvante que je n'étais plus catholique. Je me dis : Tu dois y croire puisque le pape le veut.

Mais je m'aperçus que je ne croyais plus à son infaillibilité. Je fus atterré. Et les autres dogmes ? Je les comparais à l'Ecriture Sainte et trouvais que plusieurs s'y opposaient. Comme je croyais la Parole de Dieu, je ne cru plus le dogme.

En résumé, l'église catholique, en contradiction avec l'Ecriture Sainte, exige qu'on renonce à ses propres convictions et qu'on accepte d'avance ce qu'imposeront ses prêtres en dogmes, en morale et même parfois en philosophie. Or Dieu dit dans Jérémie 17: 5 " Je maudis celui qui se détourne de moi, ne met sa confiance qu'en l'homme et cherche sa force dans les pauvres moyens humains ".

L'église catholique impose la loi et sa loi alors que l'Apôtre Paul affirme que nous sommes sauvés par la "foi du cour", la foi vivante, agissante par la charité. Cette église a le plus souvent remplacé l'inspiration du Saint-Esprit par les prescriptions subtiles et minutieuses.

Elle impose le célibat aux prêtres et aux religieux qui ont prononcé des voux perpétuels et provoque très souvent des scandales honteux ! Elle emploie ou a employé les Sacrements d'une manière vraiment superstitieuse jusqu'à conférer l'extrême-onction à des gens morts depuis une heure, et jusqu'à demander à un enfant de huit jours, lors de son baptême, s'il renonce au pêché ? ( La Bible veut qu'on soit baptisé par immersion alors qu'on croit de tout son cour, c'est l'engagement d'une bonne conscience envers Dieu )

L'église catholique impose de croire que le christ est tout entier corporellement présent dans une mie de pain* consacrée. Qu'est-ce que cela signifie ? *(De nos jours hostie) Elle prétend qu'à la messe, se renouvelle le Sacrifice du Calvaire alors que, selon l'épître aux Hébreux, il a été offert une fois pour toutes ; et institue des prêtres alors que le sacerdoce du Christ est intransmissible, sauf le sacerdoce universel auquel tout chrétien participe.

Elle fait croire que ses prêtres ont plus de pouvoirs que les autres chrétiens et qu'ils sont pratiquement indispensables au salut et qu'ils sont "prêtres pour l'éternité" !

Elle détourne considérablement du Fils de Dieu, du Seigneur Jésus-Christ, par le culte des saints, en particulier de Marie dont cette église dénature et hypertrophie le privilège.

Car celui d'être chrétien est plus grand que celui d'être mère de Jésus, voir évangile de Luc chapitre 11 et le verset 28. Or Dieu interdit d'invoquer les morts, de leur demander du secours.
Parmi ceux auxquels on a recours, certains n'ont jamais existé et ne sont pas sauvés. Elle appelle Marie, médiatrice de toutes les grâces, alors que l'Ecriture Sainte déclare que Jésus-Christ est le seul médiateur entre Dieu et les hommes.

Elle a volatilisé le deuxième commandement de Dieu qui interdit les images religieuses.

Elle vend, pour de l'argent, des choses saintes ou des choses qu'elle prétend saintes ; intentions de messes, droit d'indulgencier certains objets... ; trafique ainsi du Sang du Christ et exploite la crédulité superstitieuse, l'affection familiale et la vanité humaine.

Elle n'obtient l'unité qu'en violant la liberté de conscience
Elle excommunie ceux qui ne reçoivent pas ses doctrines, étrangères à la Bible ou son interprétation de celle-ci ; elle montra ainsi un exemple néfaste trop souvent suivi par beaucoup de protestants et par les sectes qui imposent une profession de foi ou leur interprétation et non la Bible seule. Elle a permis aux rois, même les plus pêcheurs, et aux gouvernements civils de désigner des évêques.

Elle a transmis ses prétendus pouvoirs par une hiérarchie pourrie pendant des siècles, et composée presque exclusivement de grands seigneurs devenus évêques, cardinaux et papes par pure ambition humaine.

Elle eut pour papes et pour cardinaux de jeunes enfants, des bâtards de papes, des favoris de femmes et courtisanes romaines. Que d'évêques obtenant leur charge à prix d'argent ou pour des raisons politiques, soit des rois soit des papes !

Elle impose une interprétation invraisemblable de plusieurs textes de l'Ecriture Sainte: Matthieu 16:18, 24:36, 26:26-28, Jean 14:28, 21-13-17, Philippiens 2: 7, Apocalypse 20: 6..

Elle obtient des miracles toujours d'une manière non biblique. (Or les faux prophètes feront des prodiges jusqu'à séduire les élus eux-mêmes si cela était possible).

Elle a institué tardivement la confession avec absolution sacramental alors que nous ne voyons pas les apôtres y recourir, même où c'eût été indiqué.

Elle tire, de ses scandales mêmes, la preuve de sa légitimité.

Elle interdit qu'on vérifie son enseignement d'après la Bible alors que l'apôtre Paul le recommande (ef. art; 17,11).

Elle est responsable de la tiédeur à l'égard de la Bible et de la superstition d'une quantité de ses membres, d'où leur incompréhension de la Bible ainsi que des répercussions terribles que cela aura sur leur salut.

Je pris aussi mieux conscience de plusieurs autres torts et comportements de cette église :
le formalisme, les prières obligatoirement rapides et forcément machinales,les rites compliqués et si défavorables à la véritable piété ; la mise à mort et la violence, quand elle le pouvait, des autres chrétiens (Je n'apprit clairement que plus tard sa prétention d'en avoir le droit)

l'utilisation quand elle en a l'occasion, de moyens scandaleux ou tous humains pour s'imposer: l'union aux puissances d'argent et aux puissances politiques; son recours, quand elle en eut l'occasion, au glaive de l'Etat pour détruire les autres... chrétiens; le prestige de l'art, de l'apparat, des cérémonies aussi pompeuses que formalistes ; l'autorisation tacite de bien des manquements et même de pêchés pour s'attirer beaucoup d'adhérents ;la fortune colossale du Vatican... Bref elle se comporte comme la
Babylone de l'apocalypse dont il est écrit : " sortez du milieu d'elle, mon peuple " apocalypse 17 : 3-6 et 18 : 4

Les titres et les honneurs accordés aux prêtres et surtout à la hiérarchie, en désobéissance à l'Evangile : Père, révérend père, excellence, grandeur, éminence, révérendissime seigneur, prince éminentissime, très saint père sa prudence tout humaine, son manque d'assurance, son observation des réactions du public avant de déclarer certaines doctrines " de foi " ou de canoniser un défunt
Ses variations importantes en exégèse doctrinale son interdiction de la Bible pendant des siècles, parfois sous peine de mort, et la défense toujours actuelle pour un catholique, de se conformer à la compréhension qu'il en a quand celle-ci diffère de l'enseignement des prêtres. Il est obligé de préférer la parole des hommes à la Parole de Dieu. Comment croire cette église infaillible ? C'était impossible.

Une "bonne soeur" devient une soeur en Christ

Une Carmélite quitte le couvent...

"Mon enfant, ne laisse pas passer la grâce que tu cherches depuis si longtemps. Saisis-la!"
"Comme une biche soupire après le courant d'eau, ainsi mon âme soupire après Toi O Dieu. Mon âme a soif de DIEU, du DIEU vivant"(Psaume 42.2).
J'ai fait avec mon Sauveur, une expérience merveilleuse, expérience qui se renouvelle sans cesse, par sa grâce, depuis que je lui appartiens dans la Vérité.

Dès ma tendre enfance, j'avais soif de connaître DIEU. Une voix intérieure ne me laissait aucun répit, jusqu'au jour où je rencontrai mon Sauveur dans la Vérité et la Lumière de son Evangile. J'ai toujours ressenti le besoin d'un appui solide, d'un refuge, d'une consolation. Ce ne fut donc pas dans ma famille ou dans mon entourage que je pus trouver DIEU; mais je portais au plus profond de moi-même une vocation, la pensée de l'éternité ne me quittait pas, j'avais soif d'infini.

J'ai cherché DIEU dans ma religion. Nous étions catholiques. Mais je ne le trouvais pas. Je l'ai cherché dans la nature que j'aimais beaucoup, mais mon cœur restait insatisfait. Je me rappelle encore comment, à l'âge de 9 ans, n'ayant pu participer à une fête où j'avais été invitée, je ressentis une profonde tristesse et une angoisse à la pensée de toutes ces âmes qui ne pensaient qu'à s'amuser en oubliant leur Créateur et leur Sauveur. Je m'enfuis à l'Eglise, brisée au pied d'une croix et je pleurais.

DIEU, que je ne connaissais pas encore me mettait le fardeau des âmes perdues. Aspirant à une plus grande consécration, et désirant apaiser cette voix intérieure qui me poursuivait, je décidai d'entrer secrètement au couvent. J'avais 23 ans et je fus reçue au Carmel de Beaune en Côte d'Or. Pendant la première année sur les deux que j'y passais, je crus posséder cette paix à laquelle j'aspirais, mais elle fut de courte durée... Puis ce fut la "prise d'habit", cérémonie très émouvante où je fus habillée en blanc, en épouse de Christ, mais hélas dans l'erreur. Dès le lendemain les luttes recommencèrent, mais mon Seigneur me tenait tout de même déjà dans sa main.

Au Carmel, on est à l'essai pendant deux ans, pour voir si l'on supporte une règle si dure. Ce couvent est une véritable prison avec ses barreaux. Nous étions 30 à y vivre. Nous devions nous soumettre à de nombreuses mortifications: les religieuses sont invitées à se frapper dans le dos avec un fouet jusqu'à ce que le sang coule; parfois, l'une de nous devait se coucher sur le seuil de la porte afin que toutes les autres lui marchent dessus en passant; certaines religieuses se mettaient un cilice, c'est à dire un cercle de fer garni de pointes à l'intérieur que l'on se met autour de la taille sur la peau et qui meurtrit douloureusement.

La règle était très austère: 40 jours de jeûne par an, obligation d'observer un silence complet (nous avions tout au plus le droit d'échanger quelques mots après le repas de midi), le lever était fixé à 4 heures du matin, il fallait prier l'hiver pendant des heures dans des locaux non chauffés. La petite Thérèse de Lisieux, une âme sincère déclarée sainte après sa mort, et dont on a fait une véritable idole, a beaucoup souffert du froid, entrée au couvent du Carmel à l'age de 15 ans, elle est morte à 24 ans, tuberculeuse, des privations et la dureté du régime auquel elle avait été soumise; avant de mourir, elle déclara: "il est faux de tenter DIEU jusque là"; elle passa par les mêmes épreuves de foi que moi, mais parce qu'elle avait prononcé déjà des vœux définitifs, elle n'eut pas la permission de sortir, malgré son désir.
Moi non plus, je ne supportai pas ce régime et tombai malade par la grâce de DIEU, le docteur exigea que je sorte du couvent quelques jours avant que je doive prononcer des vœux définitifs. C'est vraiment les ténèbres sous le couvert d'une très grande religion, mais après ma sortie du Carmel, il me fallut plus d'un an pour me réadapter à la vie dans le monde. Je ne pouvais plus me mettre à genoux dans une Eglise. Je désirais toujours de toute mon âme rencontrer DIEU. Ma souffrance intérieure devint terrible, je dus reprendre la lutte seule dans la vie, comme l'oiseau sur la branche, sentant ce vide autour de moi. Après m'être quelque peu rétablie, je pris du travail, mais retombai malade après 6 mois. Ayant dû aller sur la Côte d'Azur à Hyères parmi les palmiers pour ma convalescence, je devais rencontrer mon Sauveur !!


Un jour en me promenant, je suis entrée dans une chapelle où l'on annonçait l'Evangile intégral. Je fus profondément touchée par la simplicité de la prédication et de toute la réunion. Ce fut pour moi une révélation, j'y retournai. Quelques jours après, le Seigneur me parla et me dit: "Mon enfant, ne laisse pas passer la grâce que tu cherches depuis si longtemps. Saisis-la!" Je pleurai beaucoup... Toutes mes objections tombèrent les unes après les autres. Je compris mon grave péché. Je m'adressais à des idoles sans me rendre compte qu'on ne peut aller au Père que par Jésus-Christ qui est le chemin, la vérité, et la vie". Je fus totalement convaincue.

Ce fut une grâce merveilleuse, une illumination: je commençais à comprendre quelque chose à la profondeur de la Croix de Jésus. Jésus est l'Homme de douleur dont parle Esaïe 53, qui s'est chargé de mes péchés et de mes infirmités. Il me pardonna tous mes péchés et m'accorda sa paix qui surpasse toute intelligence, et domine toutes les épreuves. Je connus une joie profonde en découvrant son amour qui ne fait jamais défaut.
Je le bénis pour 1'assurance de la vie éternelle qui commence dès ici-bas. Quel privilège de pouvoir connaitre cette tranquillité profonde et de se savoir conduit jour après jour parfaitement! A une condition cependant: s'abandonner à sa volonté entièrement quoi qu'il nous en coûte. Peu après je reçus le baptême du St-Esprit de puissance selon les promesses. Je comprends maintenant dans la vérité, ce que cela signifie d'être l'Epouse de Christ nous tous qui lui appartenons, nous sommes son Epouse que le St-Esprit prépare pour aller à sa rencontre, vêtue de la robe de fin lin brodé de fleurs. Ces fleurs sont le fruit du St-Esprit: la paix, la joie, l'amour, l'humilité, la douceur...

Il y a aussi les fleurs des sacrifices et des souffrances, qui sont comme une immolation continuelle de nous-mêmes, afin que Jésus paraisse en nous. Il désire que nous soyons sans cesse dans son chemin pour que nous vivions de sa vie de résurrection de victoire en victoire, de découverte en découverte. C'est une vie dans l'abondance. Je bénis le Seigneur pour le chemin de souffrance que j' ai dû suivre après ma conversion et qui m'a permis de mieux connaître mon prochain. Les épreuves dans ma vie se trouvent être les plus grandes bénédictions, car elles me permettent de mieux découvrir la Personne de Jésus, sa Parole et toutes les richesses qui y sont cachées. Combien je suis émerveillée par cette grâce qui m'accompagne et me dépasse!

Un soir à Paris je suis allé voir une jeune fille qui devait entrer le lendemain au couvent des trapistines (règle très stricte, silence absolu, on ne communique que par signes), je rendis mon témoignage et reçus à ce moment l'assurance qu'elle serait sauvée. Un an plus tard j'appris qu'elle avait donné son cœur au Seigneur, avait reçu le baptême par immersion et le baptême du St-Esprit avec les dons spirituels. Le Seigneur m'a également délivrée bien des fois de la maladie uniquement par son intervention. Au Carmel notre but était la contemplation et le ministère de la prière. Cette vocation m'est restée après ma conversion. Par le St-Esprit j'ai compris ce qu'est l'adoration et la vie cachée en Christ, profonde et éternelle, le ministère de la prière pour l'œuvre de DIEU, pour les âmes perdues et pour les serviteurs de DIEU qui ont besoin d'être soutenus.

Que le Seigneur me remplisse toujours plus de son Esprit de grâce et de vérité pour sa seule gloire! il y a un prix à payer pour devenir un véritable disciple du Seigneur qui lui soit agréable. Il ne faut pas s'occuper du "qu'en dira-t-on" ni des critiques, ni des persécutions dont on peut être l'objet... "Car c'est par beaucoup de tribulations que nous entrerons dans le Royaume de DIEU", comme dit l'Apôtre. Mais si nos yeux sont fixés sur Jésus, nous sommes vainqueurs.

Depuis ma conversion, le Seigneur m'a particulièrement mis à cœur la prière pour son retour. Tout en effet indique que nous vivons les derniers temps. Nous devons être parmi les vierges sages dont les lampes sont remplies d'huile. Ces dernières années bien des religieuses, des moines et des prêtres sont venus à la lumière de l'Evangile et j'ai moi-même eu l'occasion de rencontrer bien des catholiques sincères qui ont été touchés par la grâce toute puissante de DIEU et sont venus à la connaissance de la Parole. A Jésus soit rendue toute la gloire!

Odette Chemin

Le bouddhisme

"Je me sens bien dans le bouddhisme", explique Martine, médecin de 37 ans, citée dans l'Express, "parce que c'est une voie spirituelle parfaitement conciliable avec la culture occidentale d'aujourd'hui. A l'inverse de l'éducation religieuse que j'ai reçue, elle ne m'apparaît en rien incompatible avec mes études scientifiques, ni avec mon métier."

Noël, informaticien de 33 ans, partage ce point de vue :

"Je ne pouvais plus croire en un Dieu extérieur au monde ou en quelques vérités éternelles et immuables. Le bouddhisme m'a réconcilié avec la religion. Il demeure toujours relié à l'expérience, il supporte la critique de la raison, il ne fait jamais appel à une quelconque extériorité. Ni Dieu tout-puissant, ni dogmes intangibles, ni normes morales imposées de l'extérieur. En même temps, il permet un développement de la conscience, un travail sur soi. Il propose une morale exigeante, mais adaptable à chaque cas particulier."

Voilà bien une des raisons du succès du bouddhisme dont nous savons fort peu de choses en réalité : pas de Dieu, pas d'absolu, pas de morale autre que celle qu'on se donne à soi-même !
Pour le bouddhisme, rien n'est stable. Tout est en devenir. L'homme, qui n'échappe pas à cette loi, ne possède pas d'âme. Fondamentalement, cette doctrine n'a pas d'autre ambition que "d'éveiller" chaque homme, de lui faire vivre la même expérience que le bouddha, et de lui permettre, par le moyen de la méditation, de parvenir à l'extinction de la soif, du désir.

Développer sa vie spirituelle, sans avoir affaire à Dieu.
C'est, à priori, plus tentant, plus simple, plus facile. Bouddha considérait les questions ultimes, touchant à l'absolu, au divin, comme des spéculations, stériles et non pertinentes. Quel dommage !
La Bible est tellement riche en enseignements sur l'origine et le sens de la vie, sur Dieu, Sa personne, Son amour, sur la création.
Le grand malentendu d'aujourd'hui vient de ce que la religion a dépeint et présenté Dieu d'une telle manière, qu'une très grande majorité des gens en est vaccinée.
La plupart des gens en restent trop souvent au catéchisme de leur enfance, et à la littérature du moyen-âge qui présente certaines vérités bibliques d'une manière si grotesque que cela en est risible. L'enfer par exemple (peuplé de diables à queues fourchues activant le feu sous de gros chaudrons) n'est jamais dépeint par la Bible. Peu de gens se donnent la peine de chercher par eux-mêmes à connaître Dieu tel qu'Il se révèle dans sa Parole.

Plusieurs millions de français sont touchés par certaines notions transmises en Occident par le biais du bouddhisme. Le développement fulgurant de la croyance au karma (loi de causalité) et à la réincarnation en est un exemple frappant.
"Je n'ai jamais compris comment le Dieu biblique pouvait être à la fois tout-puissant, bon et laisser souffrir ou mourir des enfants", explique David, professeur d'anglais de 36 ans.
"La théologie bouddhiste me semble beaucoup plus plausible, ou du moins compréhensible : l'Univers est régit par une loi de causalité qui fait que tout acte négatif a nécessairement une conséquence négative en cette vie ou dans une autre. Nous sommes donc d'une certaine manière responsables de tout ce qui nous arrive, y compris les épreuves."
La croyance en la réincarnation est toutefois comprise par bien des européens dans une acception tout autre que celle qu'entendent les bouddhistes.
Tandis que le cycle des renaissances représente, pour beaucoup d'occidentaux, une alternative au néant - et donc une formidable espérance de survie - il constitue, pour les maîtres spirituels orientaux, une terrible épreuve, le but de la pratique étant de s'en libérer.

Quand la Bible affirme que Dieu nous aime, nous disons ne pas comprendre cet amour :
" L'amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par Lui. Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu'Il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés. "
1 Jean 4.9-10
Pourtant, Dieu au travers de l'histoire, et d'un bout à l'autre de la Bible, clame son amour pour l'homme. L'homme qu'Il a créé capable précisément de se poser ces questions que Bouddha estimait, à tort, n'être que des spéculations : quel est le sens de ma vie ? y a-t-il un Dieu ? que sera l'éternité ?

Quand la Bible affirme que nous sommes pécheurs, et que nos péchés ont des conséquences (comme le soulignait ce professeur d'anglais), nous disons ne pas comprendre. Mais Dieu dit que ce sont justement nos péchés qui nous séparent de lui et qui sont presque toujours à l'origine de la souffrance.

" Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu ; ce sont vos péchés qui vous cachent Sa face et l'empêchent de vous écouter. "
Ésaïe 59.2
La question de l'éternité reste entière. Nous faisons presque de cette loi du karma l'espérance d'une vie éternelle alors qu'elle tyrannise la vie des bouddhistes sans qu'ils sachent vraiment s'il pourront y échapper !

Pourtant Jésus est tellement clair, explicite, dans son enseignement.
Lisez, relisez l'Évangile. C'est évident :
" En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. "
Jean 5.24
Dieu vous offre Sa vie avec un grand V. La vraie vie. Celle qui apporte tant de satisfactions, celle qui est si complète qu'elle débordera jusque dans l'éternité.
Bien sûr, il vous faut mesurer la différence qui vous sépare d'un Dieu si parfait et saint.
Bien sûr, il faut reconnaître votre péché, et accepter qu'aucun travail de votre part ne pourra combler cette distance, cette différence, cet abîme qui vous sépare de Dieu. Aucun travail de votre part ne pourra faire changer la nature de votre cœur. Espérer rattraper le fossé, l'écart qui nous sépare de Dieu serait admettons-le très prétentieux de notre part, mais bien dans notre nature humaine ! Il y a quelques générations, certains pensaient pouvoir combler ce fossé par leurs bonnes oeuvres, aujourd'hui d'autres pensent le combler en s'améliorant par toutes sortes de pratiques.

Ce que l'Évangile propose est et reste le plus révolutionnaire qui soit ! Voici ce que dit Paul dans la Bible :
" Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. "
2 Corinthiens 5.17

Reconnaissez que votre péché vous sépare de Dieu.
Recevez le pardon de vos péchés.
Placez votre confiance en Jésus-Christ.
Recevez son Esprit.
Devenez une créature nouvelle .
... Et vivez la vraie vie..

jeudi 10 mai 2007

Rome et l'Union Européenne

Introduction

Aucune institution européenne n'a été plus puissante que le Vatican, et quoique son influence ait décliné à l'époque de la Réforme, il a nettement repris vigueur au cours des deux siècles passés. Les nations européennes protestantes qui avaient rejeté le joug religieux, politique, et économique d'une Eglise Romaine totalitaire semblent être à nouveau en passe de l'accepter aveuglément.

Etant exempte d'impôts en Italie, la Banque du Vatican est en mesure de manipuler nombre des plus importantes multi-nationales dans le monde. Cette influence-là est peu de chose, cependant, à côté du pouvoir qu'elle exerce dans la sphère politique et religieuse. L'auteur de l'ouvrage "Inside the Vatican", un prêtre Jésuite, écrit ceci : "Malgré l'importance de la papauté dans l'Eglise catholique, malgré son rôle prééminent dans les affaires internationales, son fonctionnement interne est largement ignoré des Catholiques, des leaders mondiaux, et du monde dans son ensemble" (1).

Ce manque de connaissances est particulièrement flagrant en ce qui concerne le rôle joué par le Vatican dans la construction de l'Union Européenne. Si les nations protestantes de l'Europe veulent rester libres, il faut qu'elles se penchent sur la question de Rome et de l'Union Européenne pour l'apporter à notre Dieu dans la prière. Sinon, elles ne risquent rien de moins qu'un retour de l'Inquisition.

Nous invitons les lecteurs à examiner avec le plus grand soin cette étude au sujet d'une des institutions les plus puissantes du monde actuel. Notre but est de donner l'alerte, et d'encourager d'autres à le faire également.

La Rome papale et l'Union Européenne

La Rome papale jouit, dans une large mesure, du respect et de l'admiration du monde. Bien organisée, digne, détentrice d'autorité, elle offre l'image de la réussite. La personne du pape reste nimbée d'éloges inconditionnels d'un pontificat à l'autre ; l'Eglise de Rome est seule à connaître cet avantage auquel aucune autre institution au monde ne peut prétendre. Quand Rome se prononce sur une question morale, ses paroles ont un poids considérable. La papauté jouit d'une considération telle qu'il se trouve même des Evangéliques pour l'accepter, et la plupart de ces derniers ont cessé de contester ses doctrines.

Pourquoi donc prendre position contre ce flot d'approbations que nous observons actuellement ? Nous le faisons parce que le Seigneur Dieu nous commande de proclamer Sa vérité et d'avertir de Sa part. En effet, toutes choses ne sont pas ce qu'elles paraissent être. Nous croyons que le grand prédicateur britannique, feu Martyn Lloyd-Jones, a vu juste quand il a déclaré : "L'Eglise Catholique Romaine est une contrefaçon, un faux-semblant ; elle représente une des pires formes de prostitution, une des plus diaboliques. Elle maintient les âmes des siens dans une captivité absolue : et tout comme le communisme et le nazisme, elle est elle-même un système totalitaire". (2)

Les déclarations papales au sujet de l'Europe

Le 31 août 2003, le Pape Jean-Paul II a confié l'avenir de la nouvelle Europe à la Vierge Marie. L'agence de presse catholique Zenit évoque cet événement en ces termes :

"C'est entre les mains de Marie qu'il a placé l'Europe, afin que ce continent devienne 'une symphonie de nations qui s'engagent à bâtir ensemble une civilisation d'amour et de paix.' Dimanche dernier, le Saint Père a demandé instamment que la version définitive de la Constitution de l'Europe reconnaisse explicitement les racines chrétiennes du Continent, car 'ces racines sont la garantie de son avenir'." (3)

L'enseignement officiel de Rome montre bien que cette déclaration sur "les racines chrétiennes du Continent" est un trompe-l'œil. Quand le Pape ou son Eglise emploient le mot "chrétien", en fait ils veulent dire "catholique romain". Un décret officiel récent de Rome condamne "la tendance... à lire et interpréter la Sainte Ecriture en-dehors de la Tradition et du Magistère de l'Eglise." (4)

Rome proclame officiellement que l'Eglise Chrétienne, l'Eglise de Christ n'est autre que l'Eglise catholique. Son décret est rédigé en ces termes : "Il existe donc une unique Eglise du Christ, qui subsiste dans l'Eglise Catholique, gouvernée par le successeur de Pierre et les Evêques en communion avec lui." (5)

De même que les nazis ont déclaré que les non-aryens étaient non-humains, de même l'Eglise de Rome déclare que les autres églises sont des non-églises. Voici sa déclaration officielle : "Les communautés ecclésiales qui n'ont pas conservé l'Episcopat valide et la substance authentique et intégrale du mystère eucharistique, ne sont pas des églises au sens propre" (6). Dans le même document, Dominus Iesus (5 septembre 2000), la note 51 fait référence à un décret qui affirme : "Nous déclarons, disons, précisons et proclamons à toute créature humaine que pour son salut elle dépend entièrement, par nécessité, du Pontife de Rome." (7)

Ainsi la pensée de Rome s'exprime au travers de ses décrets officiels. Lorsque les pays protestants auront pris des engagements envers cette entité supra-nationale qu'est l'Europe et envers la constitution européenne, le plan du Vatican pour "rechristianiser" l'Union Européenne sera mis en œuvre. Comme l'a dit le "Sunday Telegraph" de Londres, "Le Pape se prépare tranquillement à revêtir le manteau qui est le sien, avec la solennelle conviction que c'est une charge de droit divin : son manteau de nouveau Saint-Empereur Romain, afin d'étendre son règne de l'Atlantique jusqu'à l'Oural ." (8)

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Les dogmes catholiques

--- Les étapes de l'église romaine ---

C'est un tableau chronologique. Il est intéressant de savoir comment et quand les dogmes ont pris naissance. On constatera alors que l'homme a fortement falsifié de ses mains sales et malhabiles, tout ce que le Seigneur de la douceur et de l'amour nous avait apporté :


La prière pour les morts débute vers l'an --------------------------- 210
On commence à brûler des cierges vers --------------------------- 320
Le culte des saints et des anges s'établit vers -------------------- 375
La messe en latin date de ---------------------------------------------- 394
Le culte de Marie se développe vers -------------------------------- 430
L'idée de la sainte vierge, mère de Dieu apparaît en ------------ 481
Les prêtres s'habillent autrement que les laïcs en ---------------- 500
Le purgatoire est découvert en ----------------------------------------- 593
Le culte en langue inconnue du peuple est instauré en --------- 600
Le Pape Boniface (111) reçoit le titre d'évêque Universel en --- 606
Le culte des images et des reliques est imposé en --------------- 788
L'eau bénite apparaît vers ----------------------------------------------- 850
Le culte de « saint-Joseph » débute vers -------------------------------- 900
La canonisation des saints en ----------------------------------------- 993
Le célibat obligatoire des prêtres ------------------------------------ 1074
L'infaillibilité de l'église est instituée en ----------------------------- 1076
L'usage du chapelet s'introduit en ------------------------------------ 1100
La doctrine des 7 sacrements est enseignée en ------------------ 1140
La vente des indulgences date de ----------------------------------- 1190
On substitue l'hostie au pain ordinaire dans l'Eucharistie ------- 1200
Le dogme de la transsubstantiation (transformation de la substance
du pain et du vin en chair et en sang) en---------------------------- 1215
La confession auriculaire est imposée en -------------------------- 1215
La clochette de la messe date de ------------------------------------ 1227
Les cardinaux portent des chapeaux rouges depuis ------------- 1245
La fête-Dieu date de ----------------------------------------------------- 1264
L'avé Maria de ------------------------------------------------------------- 1316
La procession de Saint Sacrement de --------------------------------1439
La doctrine du purgatoire n'est officiellement reconnue qu'en -- 1439
La tradition romaine mise au niveau des Écritures en ------------ 1546
Le concile de (Trente proclame officiellement la doctrine des 7 sacrements)-- 1547
La vierge apparaît à la Salette en ------------------------------------- 1846
Le dogme de l'Immaculée conception est proclamé en --------- 1854
La doctrine du pouvoir temporel est acceptée en ---------------- 1864
Le dogme de l'infaillibilité du Pape dans de ------------------------- 1870

Ainsi donc, en l'an 300, le catholique ne connaît ni le purgatoire, ni la communion, ni la procession de Sacrement, ni l'infaillibilité de l'Église et du Pape, ni le culte des morts, ni la fête-Dieu, ni le célibat des prêtres, ni les 7 sacrements, ni les saints, ni la Vierge, ni Joseph, ni les anges, ni les images, ni les reliques, ni les clochettes, ni les chapelets.
Comment les catholiques expliqueront-ils que les chrétiens primitifs furent sauvés quand même, à cause de leur foi en une Parole infaillible, sans eau bénite, ni latin, ni cierge.

Jésus dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie.
Nul ne vient au Père que par moi.

La transsubstantiation


Pendant la messe, les prêtres prétendent avoir le pouvoir extraordinaire de transformer le pain et le vin en véritables corps et sang de Jésus-Christ : "Le Concile de Trente résume la foi catholique en déclarant : <>" Article #1376, p. 360

L'église catholique adhère toujours à cette doctrine qui a été définie au Concile de Trente :
"Au coeur de la célébration de l'Eucharistie il y a le pain et le vin qui, par les paroles du Christ et par l'invocation de l'Esprit Saint, deviennent le Corps et le Sang du Christ." Article #1333, p. 348 Le catéchisme spécifie même le moment exact de la venue de Christ dans l'eucharistie et combien de temps Il y reste : "La présence eucharistique du Christ commence au moment de la consécration et dure aussi longtemps que les espèces eucharistiques subsistent. Le Christ est tout entier présent dans chacune des espèces et tout entier dans chacune de leurs parties, de sorte que la fraction du pain ne divise pas le Christ." Article #1377, p. 360

Puisque le catholicisme incite ses membres à prendre part à ce qui s'apparente à du cannibalisme, cette doctrine doit être examinée sérieusement.

Pour commencer, nous devons déterminer son origine. Est-elle de Dieu, ou est-ce une tradition humaine ? Le catholicisme insiste sur le fait qu'elle est scripturale, citant en cela les mots de Jésus dans Jean 6 :
"Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'avez point la vie en vous-mêmes. Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour." Jean 6.53-54 Bien que ce verset semble, en effet, enseigner le cannibalisme, le sens véritable apparaît quand on lit ce passage dans son contexte. Juste avant cette déclaration, Jésus a dit : "Car le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde. Ils lui dirent : Seigneur, donne-nous toujours ce pain. Jésus leur dit : Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif." Jean 6.33-35

Cet enseignement est conforme au reste des Ecritures. La vie éternelle vient de la foi en Jésus-Christ, pas en la consommation de Son corps. Le Seigneur clarifie encore ses propos :
"La volonté de mon Père, c'est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour." Jean 6.40
Une fois encore, Jésus insiste sur le fait que la vie éternelle vient de la foi en Lui. Quand ses disciples murmurèrent à propos de Ses paroles, Jésus expliqua :
"C'est l'esprit qui vivifie ; la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie." Jean 6.63 Jésus parlait de manière spirituelle, et non pas physique. Il expliquait que spirituellement, toute vie provient de la foi en Lui. Il ne parlait pas de manger Son corps ! Nulle part ailleurs dans la Bible, Dieu ne permet le cannibalisme.

En réalité, Il en interdit la pratique :
"Seulement, vous ne mangerez point de chair avec son âme, avec son sang." Genèse 9.4 "C'est pourquoi j'ai dit aux enfants d'Israël : Personne d'entre vous ne mangera du sang, et l'étranger qui séjourne au milieu de vous ne mangera pas du sang." Lévitique 17.12 Dieu ne commanderait jamais à Ses enfants de faire quelque chose qu'Il a déjà interdit. Le but biblique Les instructions de Paul en 1 Corinthiens 11 jettent encore plus la lumière sur ce sujet : "Car j'ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné ; c'est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi." 1 Corinthiens 11.23-24 Quand Jésus dit : "Prenez et mangez, c'est mon corps", Il ne demandait pas aux disciples de se saisir de Lui et de mordre ! C'est même ridicule de le suggérer !! Il parlait de manière spirituelle de ce qu'il allait accomplir sur la croix.

Notez que le passage se termine par : "faites ceci en mémoire de moi." Observer le repas du Seigneur est une commémoration de ce qu'a fait le Christ au Calvaire, pas un recommencement. La même chose est vraie pour le sang du Christ :
"De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez." 1 Corinthiens 11.25 Jésus lui-même a enseigné la même leçon à Ses disciples au dernier repas : "Ensuite il prit du pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant : Ceci est mon corps, qui est donné pour vous ; faites ceci en mémoire de moi." Luc 22.19

Conclusion

Etant donné que la transsubstantiation est une autre tradition catholique non conforme aux Ecritures, plusieurs questions intriguantes se posent :
Pourquoi l'église catholique extrait-elle délibérément un verset de son contexte et construit-elle une doctrine que la Bible, de toute évidence, n'enseigne pas ? Pourquoi l'église catholique préfère-t-elle que vous "mangiez Dieu" plutôt que de vous voir placer votre confiance en Lui ? Plus important encore : pouvez-vous, en toute connaissance de la vérité, continuer à pratiquer cet acte ? " Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché." Jacques 4.17

La Kabbale

L’origine des sociétés secrètes

Comment les sociétés secrètes ont-elles commencé, et pourquoi devaient-elles être nécessairement secrètes ? La réponse est à la fois choquante et pleine d’informations parce qu’elle établit le fondement de notre compréhension sur toute société secrète. L’écrivain chrétien, le révérend Alexander Hislop, a publié un livre intitulé Les deux Babylones : le culte papal. Il déclara que l’on peut retracer les sociétés secrètes jusqu’au temps de Nimrod qui devint, après sa mort, le " premier mortel déifié " [p. 32].

Qui était Nimrod ?
Quelques années seulement après le Déluge, duquel ne survécurent que Noé et sa famille, un homme puissant surgit de ce qu’on appelle aujourd’hui l’ancienne Babylone. Son nom était Nimrod, un puissant guerrier, et il commandait le respect par sa formidable présence sur l’ancienne Babylone. Nimrod institua ouvertement un système d’idolâtrie satanique et de nombreux peuples s’attroupèrent autour de ce culte.
À l’époque, le système religieux prédominant qui régnait dans le monde était le culte envers l’Unique Vrai Dieu. Peu après que Nimrod eut établi sa religion " alternative ", fondée sur la sorcellerie et l’idolâtrie, Sem, un des fils de Noé, fut grandement irrité et motivé par le Dieu Tout-Puissant afin d’écarter Nimrod. Sem attaqua Nimrod par voie militaire et le défit en le faisant prisonnier.
Sem exécuta Nimrod ainsi que nombre de ses prêtres et disciples sataniques. Comme exemple de la nature complète de sa victoire, Sem ordonna que le corps de Nimrod soit dépecé en morceaux. On expédia ces morceaux dans toutes les parties du monde connu à cette époque pour démontrer à chacun que le culte à Satan par l’idolâtrie et la sorcellerie ne serait pas toléré. Le monde sembla sauvé de cette vague de mal.

Or, l’épouse de Nimrod, Sémiramis, et quelques prêtres qui avaient survécu, joignirent leurs forces pour créer une religion secrète et clandestine. Ils déifièrent Nimrod, créant une contrefaçon du véritable Messie, Jésus-Christ. Ils conçurent un système de Mystères sataniques destiné à se répandre dans le monde entier. L’enseignement de ces " Mystères ", comme on se plût à les appeler, ramenèrent très subtilement les hommes au même système de magie et d’idolâtrie de Nimrod que Sem avait si vigoureusement détruit. Ce faux sentier fut rendu attrayant aux hommes par la promesse qu’on leur dévoilerait des vérités cachées, en les séduisant par l’attrait d’avoir à garder secrète une telle connaissance et en les liant ensemble par des serments sévères, ainsi que des signes et poignées de main secrètes.

C’est ainsi que débutèrent les sociétés secrètes, quelques générations après le Déluge, aux environs de 2 200 av. J.-C.. Ainsi donc, les sociétés secrètes existent depuis plus de 4 000 ans dans l’histoire de l’humanité ; elles sont littéralement l’église de Satan depuis leur début. Elles se sont toujours opposées absolument à chaque partie du plan de Dieu pour l’humanité et se sont engagées à le détruire. Cet engagement à détruire le système de Dieu était énoncé de telle manière que leurs membres furent amenés à penser qu’en réalité, ils essayaient d’accomplir le " bien ". Est-ce pour cela que Dieu lance cet avertissement, dans Ésaïe 5:20 : " Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal " ? Les sociétés secrètes renversent littéralement la définition des mots et ainsi ils qualifient le bien de Dieu de " mal " et le mal de Satan de " bien ".

Il y a encore une autre raison pour laquelle les sociétés secrètes devaient s’établir dans le secret et demeurer secrètes. Leur but n’était rien de moins que le renversement de tous les gouvernements existants et de la religion de Dieu. Si elles tentaient d’instaurer publiquement leur organisation, les autorités régnantes se mettraient en branle, les arrêteraient immédiatement pour trahison et les gens qui ordonnaient leur vie personnelle selon les préceptes du système installé par Dieu réclameraient à grand cri l’arrestation et l’exécution de ces individus. Ainsi donc, leurs buts et leurs activités devaient être accomplis dans le plus grand secret. Mais bien plus, les leaders de ces sociétés secrètes croyaient que leur pouvoir s’accroîtrait énormément s’ils restaient complètement dans l’ombre.

En conclusion, l’on peut retracer l’origine des sociétés secrètes au roi satanique de l’ancienne Babylone, Nimrod. Elles furent édifiées après que Nimrod eut été exécuté par Sem pour avoir commis le crime de réinstaller publiquement la sorcellerie et l’idolâtrie. Pour préserver ce culte satanique et achever le renversement du système détesté qui avait détruit Nimrod, s’établit un système secret de satanisme. Au moyen des sociétés secrètes, le système de satanisme babylonien fut préservé. À partir de ce système surgira l’Antichrist qui essayera de détruire le système de Dieu, comme ce fut le plan des sociétés secrètes depuis le début. À ce moment-là, le monde entier sera submergé par la restauration publique de l’ancien système babylonien du culte à Satan. Nous sommes aujourd’hui très proches de cet événement ; ainsi donc, nous ne devrions pas être surpris de réaliser que Dieu identifie le système de l’Antichrist, dans le livre de l’Apocalypse, en tant que " Mystère, Babylone la grande " (chapitre 17). Dieu est fort précis et littéral dans Ses prophéties.

Les caractéristiques

Les Mystères de Babylone se répandirent ensuite en Égypte, où le récit de la mort de Nimrod et le démembrement de son corps par Sem fut réadapté en tant qu’histoire d’Osiris. Bon nombre des légendes importantes dans lesquelles les Mystères occultes sont insérés ont été adaptées aux nombreuses cultures et toujours avec des noms uniques et spécifiques à chaque culture. De cette façon, Satan répand avec succès son faux système de par le monde, s’emparant de l’esprit et du cœur des leaders clés de chaque pays. À mesure que le temps passa et que les sociétés secrètes s’installèrent dans de nombreux pays et cultures différents, ces leaders commencèrent à développer des caractéristiques communes parce qu’ils servaient le même être surnaturel, Satan. Il serait donc utile d’étudier cette similitude de caractéristiques.

Orgueil arrogant — Les membres des sociétés secrètes se sont toujours joints sous invitation, créant ainsi un effectif qui se considérait exclusif, séparé et supérieur au reste des gens de la société en général. Cette attitude arrogante était encore rehaussée par l’enseignement qu’il existait une connaissance spirituelle et temporelle cachée, à n’être révélée qu’aux Initiés seulement, ou aux " Sages ", comme ils se qualifient eux-mêmes.
Ces Sages croyaient que les Mystères se situaient hors de la compréhension du commun des mortels, ou de la " vulgaire " masse des gens. En fait, cette arrogance était si répandue chez les Sages de ces sociétés secrètes qu’ils commencèrent à procéder vraiment à l’enseignement de mensonges chez les gens du commun, se réservant à eux-mêmes les vraies connaissances spirituelles et temporelles. En cela, ces hommes furent très différents des chefs des fausses religions, comme Mohamed et Bouddha, qui essayèrent, eux, de propager leurs enseignements aux masses. Les sociétés secrètes allèrent très loin dans leur dissimulation de la vérité vis-à-vis du commun des gens.

Nous devons nous montrer très clairs à ce sujet : aucun Adepte d’une société secrète qui avait appris la vérité secrète ne pouvait révéler cette vérité aux gens du commun. La punition pour une telle révélation de la vérité aux gens du peuple, c’était la mort, la plus extrême et douloureuse possible. Gardez ce fait à l’esprit, car cela aura une grande signification plus loin.

Développement d’une double personnalité — Parce que chaque membre avait appris de terribles informations, qu’il avait promis de garder absolument secrètes vis-à-vis de toute personne qui n’était pas membre, les membres commencèrent à développer deux personnalités distinctes. Une de ces personnalités était publique et l’autre extrêmement secrète. L’art de la tromperie, même auprès des membres de la famille intime, se développa rapidement. Ce qu’un associé voyait en parole et en action était littéralement fort différent de la personne qui existait intérieurement.

L’enseignement oral vénéré — Les sociétés secrètes enseignaient que l’Enseignement Oral était tout aussi important et sacré que n’importe quelle Œuvre Écrite. Comme nous allons le voir dans quelques instants, lorsque nous étudierons la société secrète juive de la Kabbale, cet accent mis sur l’Enseignement Oral est un outil de premier ordre de Satan. Rappelez-vous que Dieu a établi Ses Saintes Écritures en tant qu’œuvre écrite sacrée. Il a déclaré à plusieurs reprises que cette œuvre écrite ne changerait jamais, qu’elle s’accomplirait absolument et complètement et qu’elle durerait toute l’éternité. Puisque Satan travaille toujours à l’opposé de Dieu, ne soyons pas étonnés de le voir mettre fortement l’accent sur l’enseignement oral. Aux confins des Sociétés Secrètes, l’enseignement oral sert également le dessein exigeant de conserver leurs sociétés et leurs enseignements secrets. L’enseignement oral est un outil de Satan.
L’homme est intrinsèquement bon — Les sociétés secrètes enseignent que l’homme est foncièrement bon, qu’il n’a été corrompu que par son environnement physique et spirituel. Bien sûr, cela contredit l’enseignement biblique clair et cohérent que l’homme est foncièrement méchant (Jérémie 17:9).

La promesse d’un Rédempteur — Virtuellement toutes les sociétés secrètes enseignent qu’un jour un Roi Rédempteur se lèvera pour conduire le monde entier dans la connaissance cachée. Le monde ne pourra vivre dans " l’Âge d’Or " pour lequel il est destiné que lorsque toute l’humanité sera initiée à ces Mystères. Cet enseignement est une contrefaçon de la Vérité de la Bible qui déclare, du début à la fin, que le Messie va rétablir Son Royaume éternel. Ici, nous devons comprendre un détail fort critique : le Roi Rédempteur que les sociétés secrètes attendent diffère de façon significative du Roi Rédempteur de la Bible, que nous savons être Jésus-Christ. Voici quelques différences :

• Jésus-Christ est Dieu Tout-Puissant et Omnipotent, le second Membre de la Trinité. Le Roi Rédempteur des sociétés secrètes est un Maître Ascendant, un homme ayant surgi du sein des sociétés secrètes, qui a vécu plusieurs vies et a atteint l’état de " perfection ". Il possède la " Conscience christique " inhérente à cet état de perfection et possède ainsi la connaissance nécessaire pour conduire l’humanité dans l’Âge d’Or parfait.

• Jésus-Christ possède la puissance inhérente parce qu’Il était et qu’Il est Dieu. Le Roi Rédempteur des sociétés secrètes ne peut qu’avoir un " accès " à la puissance du Logos, de l’Occulte, et ce, seulement parce qu’il fut Adepte des Mystères. Il ne possède aucun pouvoir inhérent ; au lieu de cela, le seul pouvoir qu’il puisse commander est dérivé de sa connaissance de l’occulte.

• Jésus-Christ a rétabli la Loi et les Prophètes et relevé le standard au niveau où Dieu l’avait établi sous Moïse. Le Roi Rédempteur qu’attendent les sociétés secrètes va continuer à cacher les vérités secrètes aux gens du peuple, élevant les membres des sociétés secrètes à leur place d’honneur légitime dans la société.

Retournons à l’histoire des sociétés secrètes, maintenant que nous avons établi le fondement de notre compréhension. À l’époque où Dieu conduisait les enfants d’Israël hors de leur esclavage en Égypte (autour de 1 500 av. J.-C.), l’enseignement des sociétés secrètes du Moyen Orient existait depuis plusieurs centaines d’années. Dans les siècles précédant la naissance de Jésus, ce virus mortel commença à s’infiltrer chez les leaders religieux juifs. Ces chefs juifs commencèrent donc à tremper dans l’occultisme. On commença par épouser une tradition juive secrète et orale, distinctement séparée du Pentateuque écrit par Dieu. Deux systèmes d’enseignement oraux juifs furent ensuite créés, l’un public et l’autre secret. L’enseignement public traitait des affaires de tous les jours, comme des lois sur l’achat, la vente, les contrats et ce qui constituait du travail le jour du sabbat ; cette loi pratique fut plus tard appelée Talmud. Jésus se répandit en invectives contre l’imposition de cette loi d’hommes sur le peuple parce qu’elle le liait trop étroitement aux prêtres et cela créait une série de standards frustrants que personne ne pouvait atteindre. Or, ces standards ne venaient pas de Dieu, ils venaient des hommes afin que les prêtres puissent contrôler le peuple.

La deuxième série d’enseignements oraux juifs était extrêmement secrète et procédait de la classique société secrète ; ces enseignements furent connus sous le nom de Kabbale. Un des livres constituant la Kabbale se nommait Sepher-Ha-Zohar, ou " Livre de Lumière ". Ce livre fut couché par écrit par le rabbin Simon et son fils, Éliézer, qui s’assirent dans une caverne, tous les jours pendant douze jours, avec du sable jusqu’au cou. Pendant qu’ils étaient dans cette surprenante position, ils " méditèrent " sur la loi sacrée et furent visités fréquemment par le grand prophète Élias [Nesta Webster, Sociétés Secrètes, p. 8]. L’apôtre Paul atteignit directement la cible quand il donna l’avertissement, dans 2 Corinthiens 11:14-15, que Satan et ses démons peuvent se transformer en anges de lumière et en ministres de justice dans le but de tromper l’homme crédule. L’un des plus fréquents points communs parmi les fausses religions est que le texte original de révélation est donné au fondateur de la dite religion par un ange de lumière. Prenons comme exemple Mahomet et Joseph Smith (mormonisme) qui se virent octroyer leurs " nouvelles " révélations par un ange de lumière.

Ainsi donc, la prêtrise juive commença à fomenter un plan pour amener tout le peuple juif dans l’esclavage spirituel et physique en créant le système dualiste du Talmud public et de la très secrète Kabbale. Les enseignements du Talmud public enchaînaient le peuple par près de 1 000 règles sur la vie quotidienne et cela commença à les écarter de la vérité spirituelle que Dieu avait révélée à Moïse. Donc, la première condition requise d’une société secrète était remplie, soit celle de cacher la Vérité au peuple, en partie au moyen de fabrications pures et simples, et en partie en ajouts aux lois mosaïques originales.

Les enseignements secrets de la Kabbale étaient virtuellement sataniques. Certains auteurs ont admis que ces enseignements servaient des desseins " magiques ". Un écrivain critique de la Kabbale écrivit qu’ils sont " un poison subtil qui pénètre dans les veines du judaïsme et l’infecte entièrement " [Theodore Reinach, cité par Nesta Webster dans Sociétés Secrètes, p. 9]. Salomon Reinach qualifie la Kabbale de " l’une des pires aberrations que l’esprit humain ait conçue ". De plus, la Kabbale a influencé de manière significative les croyances et la direction de nombreuses sociétés secrètes européennes qui s’édifièrent dans les siècles qui suivirent. Cette influence fut si profonde que beaucoup de sociétés secrètes non juives ont littéralement revêtu un ton et un caractère juif.

Puisque Satan est le " seigneur de ce monde ", il a le pouvoir de faire prospérer ceux qui suivent son leadership. Ce fut l’appât qui attira ces chefs religieux vers les propriétés magiques et mystiques de la Kabbale. Et ne vous y leurrez pas : ces chefs juifs prospéraient abondamment. Même si Israël souffrait sous l’esclavage des dirigeants païens, comme la Grèce ou Rome, les prêtres juifs gagnèrent une certaine autonomie qui leur permettait de régner virtuellement en dictateurs sur leurs concitoyens juifs. Et le commun des simples citoyens juifs ne comprenait tout simplement pas que ces leaders religieux leur avaient imposé un système qui, simultanément, leur mettait un joug au cou pendant qu’eux-mêmes s’élevaient à des postes de grand pouvoir et de grande richesse. Et le fossé d’incompréhension était si profond que le citoyen juif moyen admirait et honorait encore grandement ces dirigeants religieux qui l’affligeaient tant.

Maintenant, examinons les Pharisiens, dont la plupart étaient membres de la Kabbale, en utilisant les cinq caractéristiques communes que nous avons déjà vues. Nous allons également nous reporter à des passages pertinents du Nouveau Testament pour éclairer notre compréhension. Vous serez atterrés de constater la nouvelle signification que prendront ces fameux passages bibliques, maintenant que vous comprenez que les Pharisiens, qui concoctèrent et exécutèrent le plan servant à tuer Jésus, étaient membres de la société secrète appelée la Kabbale, et maintenant que vous comprenez que Jésus parlait directement à des membres de cette société secrète.

Les Pharisiens possédaient :

un orgueil arrogant — Matthieu 23:12-13 : " Car quiconque s’élèvera sera abaissé ; et quiconque s’abaissera sera élevé. 13Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous fermez aux hommes le royaume des cieux ; vous n’y entrez point vous-mêmes, et n’y laissez point entrer ceux qui veulent y entrer. " Une des caractéristiques des sociétés secrètes, c’est qu’elles cacheront au peuple la vérité clé, spécialement celle qui dit comment obtenir le salut éternel ; elles garderont plutôt cette vérité pour elles comme moyen de pouvoir et de privilèges.

Jésus parle directement de cette terrible situation dans Luc 11:52 : " Malheur à vous, docteurs de la loi, parce qu’ayant pris la clef de la connaissance, vous n’y êtes pas entrés vous-mêmes, et vous avez empêché d’y entrer ceux qui voulaient le faire. " Les enseignants et docteurs de la loi connaissaient la vérité toute simple que Dieu avait développée pour le peuple afin qu’il soit sauvé pour l’éternité et qu’il développe son amour pour Lui. Pourtant, ils cachèrent cette vérité au peuple, lui substituant le terrible système suffoquant des règles de vie quotidienne contre lequel s’objecta si vivement Jésus. Cette damnée société secrète de Pharisiens envoyait littéralement des populations entières de Juifs en enfer parce qu’ils leur avaient caché la vérité. C’est pourquoi Jésus se répandit si terriblement en invectives contre eux. Voyez-vous, Satan avait convaincu ces Pharisiens que tous les Juifs allaient au ciel de toute manière, simplement parce qu’ils étaient Juifs; par conséquent, ils pensaient que ce que croyaient vraiment les Juifs n’avait pas d’importance éternelle. Au moyen de cette tricherie spirituelle, les Pharisiens maintenaient plus fermement entre leurs mains leur pouvoir et leur prestige terrestre.
Les Pharisiens développèrent une double personnalité — Matthieu 23:27-28 : " Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, car vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux par dehors, mais qui au-dedans sont pleins d’ossements de morts et de toute sorte de pourriture. " Jésus parle ici clairement de cette double personnalité des membres d’une société secrète. Les Pharisiens avaient habilement et efficacement caché l’existence de leurs croyances sataniques à leurs sujets, mais ne pouvaient les cacher aux Yeux omniscients du Dieu Jésus.

Les Pharisiens élaborèrent de complexes systèmes d’enseignement oral et ils incitèrent le peuple juif à les révérer —Matthieu 15:1-9 : " Alors des scribes et des pharisiens vinrent de Jérusalem à Jésus, et lui dirent : Pourquoi tes disciples transgressent-ils la tradition des anciens [Talmud] ? car ils ne se lavent point les mains lorsqu’ils prennent leurs repas. Mais il leur répondit : Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu pour votre tradition ? (…) ainsi vous avez anéanti le commandement de Dieu par votre tradition ! Hypocrites ! Ésaïe a bien prophétisé à votre sujet, lorsqu’il a dit : (…) Mais ils m’honorent en vain, en enseignant des doctrines qui sont des commandements d’hommes. " Jésus parle ici clairement et fortement contre le mal que la société secrète des Pharisiens avait perpétré contre le peuple juif, celui de créer une tradition orale censément égale à l’enseignement écrit de Dieu et, en fait, en flagrante contradiction avec la Parole écrite de Dieu. Personne ne comprenait comment l’on avait été trompé parce que l’on ne possédait pas la Parole écrite de Dieu, chez le peuple. Ce sont les Pharisiens qui avaient la Parole écrite de Dieu, et ils la gardaient pour eux.

Nous vous encourageons à lire soigneusement Matthieu 15:1 à 20, avec en tête l’indice que Jésus parle d’abord ici contre des enseignements et des pratiques de société secrète satanique. D’une fois à l’autre, Jésus déclare que les Pharisiens iront en enfer. Il ne mâche pas Ses mots. À deux occasions, Jésus qualifie les Pharisiens de " vipères ". Nous savons, bien sûr, que le Serpent est régulièrement utilisé dans la Bible comme l’un des noms de Satan. Mais Jésus ne laisse aucune place à l’erreur concernant ce sujet, ne voulant pas que nous manquions la leçon que les Pharisiens n’étaient pas de simples pécheurs. Dans Jean 8:44, Jésus a dit que le père des Pharisiens, " c’est le diable ". Jésus n’a jamais dit cela d’une autre personne ou groupe de personnes. Il était très compatissant envers les pécheurs ; la raison pour laquelle Jésus se montra aussi sévère envers les Pharisiens, était qu’Il savait qu’ils adoraient Satan par leur participation à la société secrète de la Kabbale.

Les Pharisiens croyaient que l’homme est intrinsèquement bon — Parce que les Pharisiens croyaient que l’homme est foncièrement bon, ils développèrent un système de salut basé sur les œuvres. Ce système d’œuvres devait s’appeler plus tard le Talmud ; toutefois, Jésus préférait s’y référer en tant que " Traditions d’hommes ". La Bible enseigne clairement, cependant, que l’homme est intrinsèquement méchant ; par conséquent, il n’y a absolument aucun moyen pour que l’homme puisse faire assez de bonnes œuvres pour expier complètement sa méchanceté. Jésus ne laisse planer aucun doute sur le fait que les Pharisiens avaient concocté ce système d’œuvres. Chaque fois qu’Il se répandait vertement en reproches contre cette " Tradition d’hommes ", Il parlait de ce fameux enseignement religieux voulant que le salut s’obtienne par de bonnes œuvres. À toutes les fois que vous voyez Jésus dire " Vous dites… mais je vous dis… ", Il aborde habituellement cette question des œuvres en rapport avec le salut.

Les Pharisiens recherchaient le Roi/Rédempteur promis — Les érudits païens, comme les érudits vraiment judaïques, attendaient qu’un Roi Messie se lève pour conduire l’humanité vers une nouvelle lumière spirituelle et une nouvelle prospérité matérielle. Toutefois, les païens des sociétés secrètes cherchaient un Rédempteur promis fort différent de Celui que la Bible enseignait. Et, maintenant que nous savons que les Pharisiens qui s’opposèrent si fortement à Jésus-Christ, qui voulaient tellement Le voir mort, et qui démontrèrent une haine si surnaturelle envers Lui, étaient membres d'une société secrète, la Kabbale.