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dimanche 29 janvier 2017

Religion ou DIEU ?



Les dieux des religions et le Dieu Véritable

«  Ainsi dit l’Éternel, le roi d’Israël et son Rédempteur, l’Éternel des armées : Je suis le premier et je suis le dernier, et il n’y a point d’autre Dieu que moi » (Esaïe 44:6).

Toutes les représentations que se sont faites des religions à propos de Dieu sont vaines : « Car tous les dieux des peuples sont des idoles ; mais l’Éternel a fait les cieux » (Psaume 96:5), « 
Voilà, ils ne sont tous que vanité ; leurs ouvrages ne sont que néant, et leurs idoles de fonte qu’un vrai souffle ! » (Ésaïe 41:29).
Ignorant la révélation biblique et tenant compte aussi de notre intelligence spirituelle limitée et faussée, des hommes et des peuples ont élaboré des concepts de Dieu: des dieux bien souvent semblables à eux-mêmes. Ce qui a fait dire à Napoléon Bonaparte: entre le christianisme et n'importe quelle autre religion, il y a un abîme, la distance de l'infini.

La mythologie grecque vénère les forces de la nature. Les divinités grecques sont des êtres aux mœurs libres, trônant sur l'Olympe et dominant la vie des hommes, tout en leur étant physiquement et spirituellement semblables, y compris dans leurs faiblesses.
La mythologie romaine fut influencée par la mythologie grecque. Nous y retrouvons la divinisation des forces de la nature ou encore des matérialisations de vertus ou de maux.

Le panthéisme identifie Dieu à l'univers; il accepte une entité (appelée l'Absolu, le Tout, la Force Suprême) qui est infinie mais qui n'est pas une personne.

L'hindouisme (ou brahmanisme) Brahman, l'Absolu, est l'Esprit suprême universel; il n'est pas adoré mais est l'objet de la méditation des sages. Dans la triade Brahma-Vishnu-Civa, Brahma est la "cause première de tout être". L'hindouisme accepte l'existence de dieux innombrables.

Le bouddhisme est une philosophie plutôt qu'une religion. Il n'y a ni dieu, ni créateur, ni créature, ni "moi", ni ciel, ni enfer. Le bouddhiste aspire à atteindre le nirvâna (état de non-existence) pour échapper au cycle infernal des réincarnations et de la souffrance.

Le confucianisme s'intéresse principalement au bien-être de l'homme et à la vie pratique. Confucius s'est basé sur les anciennes pratiques chinoises: la vénération du ciel et le culte des ancêtres. Le ciel est considéré comme une puissance impersonnelle.

Le shintoïsme est fondé sur la déification des forces de la nature, le culte des ancêtres, la morale du confucianisme, le taoïsme et le bouddhisme. Il vénère d'innombrables dieux personnels, mais qui ne sont pas infinis. De plus, il déifie la famille impériale japonaise.

L'animisme consiste à croire que les objets sont animés par des esprits dont il importe de gagner la faveur par des sacrifices et des pratiques magiques. Il s'accompagne toujours du fétichisme et du culte des ancêtres. L'animisme admet pourtant l'existence d'un être créateur, mais celui-ci est inaccessible.

L'islam mérite une place à part. Récent (6 ème siècle après JC), l'Islam est une religion monothéiste. Le Coran reconnaît l'inspiration de la Bible et se propose de "confirmer les livres sacrés" (Sourate 2.91) mais le lecteur de la Bible et du Coran se trouvera vite dans une impasse: il y a une contradiction fondamentale quant à la personne de Jésus Christ, quant à son œuvre et quant au moyen d'être réconcilié avec Dieu. Le Dieu du Coran est le Dieu de l'arbitraire, indifférent à ce qui se passe ici bas. Les musulmans sont donc fatalistes. Les 5 piliers de l'Islam sont: la confession d'Allah et de Mahomet, la prière, l'aumône, le jeûne du Ramadan et le pèlerinage à la Mecque.


La Bible nous enseigne : « Servir le Dieu vivant et vrai » (1 Thessaloniciens 1:9). C’est ici dans le respect de chaque croyance que nous réalisons que la sincérité n’est pas la vérité et nous qui sommes dans le christianisme, en tant que chrétiens : nous sommes dans le Véritable car « Nous savons que nous sommes de Dieu… Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable ; et nous sommes en ce Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C’est Lui qui est le Dieu Véritable, et la vie éternelle » (1 Jean 5:19-20)
Ne perdons pas de vue que sur ce verset, Dieu nous révèle encore la différence qui existe entre Lui et le Fils qui se résume qu’en son Fils, nous avons accès à ce Dieu Véritable et la vie éternelle. Christ est la Parole de Dieu, celle qui créa toutes choses et cette même parole s’est faite chair et a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité en Jésus-Christ d’une gloire venue du Père… Il vint pour être un témoin… Il n’était pas lumière, mais il était envoyé pour rendre témoignage à la lumière. Oui, la lumière Véritable (Dieu) qui éclaire tout homme était venue dans le monde. (Jean 1:1-18)

« Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David ; qui ouvre, et personne ne ferme ; et qui ferme, et personne n’ouvre… Il connait nos œuvres et a ouvert une porte devant nous que personne ne peut la fermer par ce que nous gardons sa parole et que nous n’avons point renié Son nom. Et puisque nous avons gardé la parole de la patience, Lui-même nous garde et nous gardera de l’heure de la tentation qui doit venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre » (Apocalypse 3:7-10)

Christ immolé, nous a rachetés à Dieu par son sang, de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation. Et nous a faits rois et sacrificateurs à notre Dieu ; et nous régnerons sur cette terre. (Apocalypse 5:9-10)
Notre Dieu est Esprit et régnera à jamais (Jean 4:24 ; Exode 15:18), il est Infini (1 Rois 8:60), Il est Omniprésent (Matthieu 6:8), Omnipotent (Psaumes 139 :7-10), Omniscient (Romains 16 :27), Saint (Genèse 18:25), Amour (Psaume 25:8), juste (1 Thessaloniciens 5:24), sage (1 Timothée 6 :15), fidèle (Jérémie 3 :12) et souverain (Exode 15:18)

Quelle grâce ! Quelle vérité bénie et quel privilège de savoir et de connaître cette révélation du Dieu Véritable et que nous sommes dans le Véritable. À Dieu l’honneur, la gloire et la louange !

Pitchou Makabi
 

dimanche 20 septembre 2015

Il n'y a qu'un seul vrai DIEU

 Les dieux des religions et le Dieu Véritable

 

« Ainsi dit l’Éternel, le roi d’Israël et son Rédempteur, l’Éternel des armées : Je suis le premier et je suis le dernier, et il n’y a point d’autre Dieu que moi » (Esaïe 44:6).

Toutes les représentations que se sont faites des religions à propos de Dieu sont vaines : « Car tous les dieux des peuples sont des idoles ; mais l’Éternel a fait les cieux » (Psaume 96:5), 

« Voilà, ils ne sont tous que vanité ; leurs ouvrages ne sont que néant, et leurs idoles de fonte qu’un vrai souffle ! » (Ésaïe 41:29).

Ignorant la révélation biblique et tenant compte aussi de notre intelligence spirituelle limitée et faussée, des hommes et des peuples ont élaboré des concepts de Dieu: des dieux bien souvent semblables à eux-mêmes.

La mythologie grecque vénère les forces de la nature. Les divinités grecques sont des êtres aux mœurs libres, trônant sur l'Olympe et dominant la vie des hommes, tout en leur étant physiquement et spirituellement semblables, y compris dans leurs faiblesses.

La mythologie romaine fut influencée par la mythologie grecque. Nous y retrouvons la divinisation des forces de la nature ou encore des matérialisations de vertus ou de maux.

Le panthéisme identifie Dieu à l'univers; il accepte une entité (appelée l'Absolu, le Tout, la Force Suprême) qui est infinie mais qui n'est pas une personne.

L'hindouisme (ou brahmanisme) Brahman, l'Absolu, est l'Esprit suprême universel; il n'est pas adoré mais est l'objet de la méditation des sages. Dans la triade Brahma-Vishnu-Civa, Brahma est la "cause première de tout être". L'hindouisme accepte l'existence de dieux innombrables.

Le bouddhisme est une philosophie plutôt qu'une religion. Il n'y a ni dieu, ni créateur, ni créature, ni "moi", ni ciel, ni enfer. Le bouddhiste aspire à atteindre le nirvâna (état de non-existence) pour échapper au cycle infernal des réincarnations et de la souffrance.

Le confucianisme s'intéresse principalement au bien-être de l'homme et à la vie pratique. Confucius s'est basé sur les anciennes pratiques chinoises: la vénération du ciel et le culte des ancêtres. Le ciel est considéré comme une puissance impersonnelle.

Le shintoïsme est fondé sur la déification des forces de la nature, le culte des ancêtres, la morale du confucianisme, le taoïsme et le bouddhisme. Il vénère d'innombrables dieux personnels, mais qui ne sont pas infinis. De plus, il déifie la famille impériale japonaise.

L'animisme consiste à croire que les objets sont animés par des esprits dont il importe de gagner la faveur par des sacrifices et des pratiques magiques. Il s'accompagne toujours du fétichisme et du culte des ancêtres. L'animisme admet pourtant l'existence d'un être créateur, mais celui-ci est inaccessible.

L'islam mérite une place à part. Récent (6 ème siècle après JC), l'Islam est une religion monothéiste. Le Coran reconnaît l'inspiration de la Bible et se propose de "confirmer les livres sacrés" (Sourate 2.91) mais le lecteur de la Bible et du Coran se trouvera vite dans une impasse: il y a une contradiction fondamentale quant à la personne de Jésus Christ, quant à son œuvre et quant au moyen d'être réconcilié avec Dieu. Le Dieu du Coran est le Dieu de l'arbitraire, indifférent à ce qui se passe ici bas. Les musulmans sont donc fatalistes. Les 5 piliers de l'Islam sont: la confession d'Allah et de Mahomet, la prière, l'aumône, le jeûne du Ramadan et le pèlerinage à la Mecque.



La Bible nous enseigne : « Servir le Dieu vivant et vrai » (1 Thessaloniciens 1:9). C’est ici dans le respect de chaque croyance que nous réalisons que la sincérité n’est pas la vérité et nous qui sommes dans le christianisme, en tant que chrétiens : nous sommes dans le Véritable car « Nous savons que nous sommes de Dieu… Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable ; et nous sommes en ce Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C’est Lui qui est le Dieu Véritable, et la vie éternelle » (1 Jean 5:19-20)

Perdons pas de vue que sur ce verset, Dieu nous révèle encore la différence qui existe entre Lui et le Fils qui se résume qu’en son Fils, nous avons accès à ce Dieu Véritable et la vie éternelle. 

Christ est la Parole de Dieu, celle qui créa toutes choses et cette même parole s’est faite chair et a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité en Jésus-Christ d’une gloire venue du Père… Il vint pour être un témoin… Il n’était pas lumière, mais il était envoyé pour rendre témoignage à la lumière. Oui, la lumière Véritable (Dieu) qui éclaire tout homme était venue dans le monde. (Jean 1:1-18)

« Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David ; qui ouvre, et personne ne ferme ; et qui ferme, et personne n’ouvre… Il connaît nos œuvres et a ouvert une porte devant nous que personne ne peut la fermer par ce que nous gardons sa parole et que nous n’avons point renié Son nom. Et puisque nous avons gardé la parole de la patience, Lui-même nous garde et nous gardera de l’heure de la tentation qui doit venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre » (Apocalypse 3:7-10)

Christ immolé, nous a rachetés à Dieu par son sang, de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation. Et nous a faits rois et sacrificateurs à notre Dieu ; et nous régnerons sur cette terre. (Apocalypse 5:9-10)

Notre Dieu est Esprit et régnera à jamais (Jean 4:24 ; Exode 15:18), il est Infini (1 Rois 8:60), Il est Omniprésent (Matthieu 6:8), Omnipotent (Psaumes 139 :7-10), Omniscient (Romains 16 :27), Saint (Genèse 18:25), Amour (Psaume 25:8), juste (1 Thessaloniciens 5:24), sage (1 Timothée 6 :15), fidèle (Jérémie 3 :12) et souverain (Exode 15:18)

Quelle grâce ! Quelle vérité bénie et quel privilège de savoir et de connaître cette révélation du Dieu Véritable et que nous sommes dans le Véritable. À Dieu l’honneur, la gloire et la louange !

Pitchou Makabi




vendredi 8 mai 2015

Une religion mondiale !

 Religion mondiale : Zapatero propose la création d’une autorité religieuse sous l’égide de l’ONU

Vers la création d’une autorité religieuse mondiale sous la coupe de l’ONU ? Ce n’est pas un cauchemar de complotiste mais la proposition très sérieuse faite par José Luis Zapatero au symposium international sur la Paix mondiale à l’Université de Nebrija, à Madrid. Ce serait un grand pas vers le syncrétisme religieux.

L’ancien président espagnol, José Luis Rodigruez Zapatero, intervenant devant un parterre de personnalités internationales, a promu l’idée de la création d’une « alliance permanente entre les confessions religieuses », qui serait reliée à la fois à l’initiative « Alliance des civilisations » et directement à l’ONU.

C’est lui, justement, qui fut à l’origine de l’« Alliance des civilisations », avec le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan en 2005. Et on peut dire que son idée a été prise au sérieux, puisqu’elle est aujourd’hui sous le contrôle de l’ONU et que son Haut représentant – actuellement l’ancien président du Portugal, Jorge Sampaio – a été directement nommé par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon en 2007.

« Aujourd’hui l’alliance ne suffit plus. Il faut l’union. L’union des religions, des cultures, en faveur de la paix », a déclaré Zapatero lors de la réunion organisée par l’Institute for Cultural Diplomacy à Madrid cette semaine.

Une autorité religieuse pour la paix

Cette nouvelle alliance donnerait lieu à la mise en place d’une « autorité religieuse globale » dont les deux « principes » – on pourrait presque dire les « dogmes » – seraient le respect du pluralisme religieux et de la liberté religieuse, et la condamnation de toute violence. L’objectif affiché ? En finir avec les guerres. Le prétexte ? Les troubles au Proche Orient.

C’est ainsi que Zapatero présente la violence : « Elle vient toujours du fanatisme ; quand on croit que son opinion est la seule valable, on ne supporte pas celles des autres. »

L’ONU contre tous les « fanatismes »

Et qu’est-ce que le fanatisme ? Zapatero le décrit au cours de sa causerie : c’est ce qui a eu cours en Espagne « pendant quarante ans », et qui a cédé devant la démocratie. Le bien, c’est « le fanatisme qui cède devant la raison » comme il le dit à un autre moment.

Les liens obligatoires déjà bien en place au moment de la Révolution (et donc de la Terreur) sont parfaitement alignés : la foi est une certitude religieuse que le croyant, au nom de cette certitude, veut imposer à autrui parce que l’autre est nécessairement dans l’erreur s’il pense autrement. Ce refus d’écouter l’autre est fanatique et ce fanatisme implique la violence. Avoir la foi, au sens de croire et de croire qu’on est dans le vrai, aboutit à la violence, l’équation est aussi simple que cela.

La religion mondiale du relativisme


Le bien est dès lors le « pluralisme », le subjectivisme religieux servi par une fausse extrapolation à partir du droit de ne pas être contraint de croire. C’est ce relativisme qui aboutit à son tour – véritablement cette fois – à la « dictature du relativisme ».

La proposition de Zapatero est une illustration parfaite de cette dérive et de ce refus « dogmatique » de tout dogme.

En réalité, elle se fonde sur un autre catalogue de croyances obligatoires : la démocratie comme valeur irrécusable, la liberté religieuse comme principe philosophique supérieur à celui de la vérité, et les droits de l’homme comme horizon universel. Tel est le dogme de la nouvelle religion mondiale en construction.

Zapatero – qui a tant fait pour promouvoir l’avortement, le « mariage » gay, la mise en application de l’idéologie du genre et le divorce facile dans son pays – entend donc que l’Autorité religieuse qui naîtrait de son alliance des religions ne se borne pas à relativiser les croyances des plus grands systèmes de foi : ce serait aussi une instance de dialogue avec la société et tout particulièrement avec les organisations féministes. Les religions, assure-t-il, « ont un problème » avec les droits des femmes.

Où l’on voit que la culture, ou plus exactement la mainmise sur la culture est centrale dans le dispositif.

L’ex-président espagnol a beaucoup parlé du conflit israélo-palestinien, invitant les chefs du judaïsme, de l’islam et du christianisme à s’engager de manière renouvelée pour la paix dans la région.

L’UE, le « modèle » de Zapatero


Rappelant que l’Europe a tardé pendant des « siècles et des guerres à parvenir à la démocratie », Zapatero a encore déclaré ceci, qui est pour le moins éclairant : « L’Union européenne est le projet de civilisation le plus important que l’histoire ait jamais connu, mais c’est un projet nouveau. Et comme tout projet historique il ne s’agit pas d’un projet de laboratoire : il se construit à mesure qu’il se fait, animé par deux grands principes, l’union pour la paix et la démocratie. »

Charlotte C





Commentaire de Pierre Danis :
Cet homme prépare sans le savoir la mise en place de la future religion mondiale qui sera unique et obligatoire, selon le livre de l'Apocalypse qui est la Parole de DIEU. Vérifiez vous-même !






mardi 13 mai 2014

L'hindouisme est-il pacifique ?

La « paisible » religion orientale

Les nouvelles quotidiennes peuvent nous laisser l'impression que le terrorisme et la tyrannie sont du ressort exclusif de l'islam. De même, on peut être amené à penser que les religions orientales sont particulièrement aimables et tolérantes, personnifiées par le bien-aimé et omniprésent dalaï-lama. Mais si on regarde l'Asie de plus près, l'histoire est très différente. Certes, les chrétiens de Delhi et de Bangkok courent moins de risques que ceux de la Mecque et de Mogadiscio, mais à l'ombre des Bouddha et le long du Gange, il y a beaucoup de violence religieuse.

Actuellement, les hindous de l'Inde sont particulièrement susceptibles. Le 28 janvier 2007, une quarantaine d'hommes masqués attaquèrent les participants d'une réunion de prière chrétienne dans la région de Bihar. Ils battirent les assistants avec des bâtons et des tuyaux en fer, et ils leur intimèrent l'ordre de cesser de se réunir.1

 Des pasteurs isolés ont été les victimes de corrections dans des rues des États de Madhya Pradesh et de Karnataka,2 tout comme des laïcs qui avaient distribué des tracts à Maharastra ainsi que du personnel enseignant et des écoliers d'Orissa. Souvent, les agresseurs sont des membres du Bajrang Dal, la branche des jeunes du Conseil mondial hindou, et dans bien des cas, le prétexte est la vengeance pour des « conversions forcées » au christianisme.3 Évidemment, les chrétiens ne sont pas les seules cibles des extrémistes hindous, qui sont suspectés d'avoir, le 19 février 2007, bombardé mortellement un train qui allait vers le Pakistan, dans lequel 70% des passagers étaient des Pakistanais musulmans, pour un motif vraisemblablement davantage politique que religieux.4

Les hindous font également preuve de violence envers certains membres de leur famille : les filles en gestation. Comme il faudra un jour les pourvoir d'une dot, ils les considèrent comme un fardeau. Comme le prétend un célèbre dicton hindou, « avoir une fille, c'est planter une graine dans le jardin de quelqu'un d'autre. »5 Et bien que l'« avortement basé sur le sexe soit illégal… les experts estiment que l'Inde a perdu 10 millions de filles au cours des vingt dernières années.
Pendant les 12 ans qui ont suivi l'interdiction légale de l'avortement sélectif, seul un médecin a été reconnu coupable d'avoir perpétré ce crime. »6 Le résultat est un désastreux déséquilibre entre les sexes. Par exemple, d'après le recensement de 2001, dans l'État d'Hariana, on n'a compté que 820 filles pour 1000 garçons. Dans l'un des districts, quarante pour cent des hommes de quinze à quarante-cinq ans ne sont pas mariés. Tel est le résultat de l'industrie de sélection sexuelle, qui se monte à 100 millions de dollars, de la nation.7

L'oppression peut prendre de multiples formes. Par exemple, l'État d'Himachal Pradesh a institué une loi anti-conversion,8 et dans Madhya Pradesh, des hindous militants ont pris d'assaut un bureau gouvernemental d'enregistrement des mariages, parce qu'ils croyaient à tort qu'une femme hindoue allait épouser un chrétien.9 Mais les hindous ne sont pas les seuls à maltraiter les chrétiens ; les bouddhistes le font aussi. À Myanmar, « la persécution contre les chrétiens a pris la forme d'incendies d'églises, de conversions forcées à la religion d'État (le bouddhisme) et d'exclusion des chrétiens des écoles. »10 De plus, « les enfants de familles chrétiennes sont soustraits à leurs parents et placés dans des monastères pour devenir des moines novices, sous le faux prétexte d'envoyer les enfants là où ils recevront une bonne éducation… Les chrétiens sont également forcés de contribuer financièrement à des projets bouddhistes. »11

Toutefois, au sein de l'oppression, les chrétiens de l'Asie du sud ont des sujets d'encouragement ; par exemple, ils assistent à la conversion de nombreux dalits (autrefois appelés « intouchables ») en Inde. Bien que la discrimination à l'encontre des dalits ait été interdite par la loi en 1947, ceux des « castes supérieures » refusent toujours de boire de l'eau des mêmes puits et continuent à leur assigner « les tâches les plus subalternes, en particulier, le transport des cadavres et des excréments humains et animaux. »12 Ces 167 millions de personnes (16,2% de la population de l'Inde) ont entendu leurs « frères » hindous leur dire que leur état inférieur est à proprement parler une question de naissance, l'aboutissement du karma dans leurs nombreuses réincarnations.

13 Il n'est pas surprenant que ces « intouchables » soient disposés à entendre l'Évangile d'un Seigneur qui considère comme égaux « les Juifs et les Grecs » de toutes les positions économiques et sociales. Et bien que les hindous soient extrêmement ulcérés par ces conversions, ils vont peut-être commencer à remarquer que ces nouveaux enfants du Prince de la Paix sont des voisins admirables et serviables — et leur laisser droit de cité, voire même les écouter respectueusement.

mercredi 6 juillet 2011

Un nouvel àge ?

Jésus-Christ, Confucius, Bouddha, et les autres... Quelle différence ?
      

      Bouddhisme, Confucianisme, Hindouisme et autres philosophies religieuses
      orientales se sont adaptées au goût du jour pour être acceptées en
      Occident. Elles connaissent un succès indiscutable sous les emballages du
      New Age, allant de plusieurs des médecines alternatives jusqu'aux
      approches ou actions en apparence inoffensives déguisées en arts
      décoratoires ou en relaxation. Cependant, les gens qui s'engagent dans des
      voies ou rites semblables ne savent pas, bien souvent qu'elles
      s'embarquent dans une voie ou un rite initiatique de plusieurs degrés
      (niveaux).

      Elles ignorent en effet que les pratiques telles que le yoga, le zen, la
      méditation, les arts martiaux incluant le Tai-Chi (TAI-CHI-CHUAN ou Taïji
      Quan), l'art Feng Shui ou Fong Chouei associé à l'aménagement de notre
      environnement, et d'autres pratiques, sont en réalités des
      voies à caractère religieux ou philosophico-religieux, lesquelles exigent
      une foi quelconque. Il s'agit souvent de la foi dans le pouvoir d'énergies
      impersonnelles, alors qu'au même moment, est pourtant ridiculisée la foi
      chrétienne et la relation avec un Dieu personnel (une personne)
      communiquant son Esprit puissant.

      D'un côté on dira que les approches orientales ou New Age plus près de
      nous, sont non-religieuses (le religieux se vend de moins en moins depuis
      la fin des années '60). Mais d'un autre côté on emploiera des termes
      consacrés, à peine déguisés trahissant les intentions; des termes
      comme:"Énergie Cosmique", "arts énergétiques". Nous disons à peine
      déguisés, car en grattant un peu, toute personne honnête découvre que ces
      solutions prennent la place de dieux pour les gens, même s'il s'agit plus
      souvent de divinités impersonnelles. Ainsi en est-il par exemple:

        - de la confiance dans les astres concernant ma destinée et mes décisions
        importantes,
        - ou dans les pierres ou cristaux pour emmagasiner et récupérer de
        l'énergie;
        - ou dans des pratiques méditatives d'éveil ou de vide intérieur en vue de
        la libération de ce monde prétendument illusoire.

      L'Épître aux Romains, tirée de la Bible, les décrit comme étant ceux
      "...qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et
      servi la créature au lieu du Créateur..."(Romains 1:27). En effet, astres,
      cristaux et dynamique spirituelle sont une partie de la création et celui
      qui place sa confiance (foi) en ceux-ci se met à les servir et commet un
      affront envers le Dieu de la création.

      Pourtant, étrangement, la raison d'être de ces initiations qu'on reçoit à
      bras ouverts en Occident est souvent considérée là-bas comme quelque chose
      dont il faut se délivrer. Par exemple, la loi du karma exige une longue
      suite de réincarnations dans le monde de la souffrance. Ainsi, naître
      femme, pauvre ou malade, c'est vivre les conséquences de vies antérieures
      (genre de jeu d'échelles et de serpents).

      Évidemment, dans l'emballage moderne, on ne dira pas ce message aux
      novices ; cela ne se vendrait pas ici. Par exemple, on ne dira pas dans un
      magazine à tendance New Age ou ésotérique que le yoga débutant par une
      forme de détente ou relaxation, procède par échelons initiatiques jusqu'à
      l'ascétisme rigoureux. Ou que le Bouddhisme prétend libérer de l'illusion
      perçue par les sens.

      Comme esquive, lorsque confrontés à des constats semblables, les
      initiateurs disent que c'est du passé, que ce n'est plus cela aujourd'hui
      (c'était parce que...). Pourtant, pour convaincre les gens de faire le
      saut vers l'Orient, on en appelle à des traditions très anciennes qui
      auraient soit-disant fait leurs preuves sans faillir. Ou encore, on nous
      répondra qu'on a mal été compris. On parlera davantage de développement du
      Soi, d'épanouissement (Ça me fait du bien) plutôt que de délivrance de
      l'illusion en vue de retourner se fondre à une espèce d'énergie primaire
      inconsciente ou consciente.
   
À côté des réincarnations multiples dans des centaines, milliers ou
      millions de vie selon les voies suivies, l'affirmation selon laquelle "Il
      est donné aux hommes de mourir une seule fois...", tirée de la Bible en
      Hébreux 9:27 et la délivrance gratuitement offerte en Jésus-Christ
      semblent bien faciles à porter. Comment alors expliquer que la notion de
      péché si contestée chez nous, est ensuite achetée par ces mêmes
      contestataires, sous la forme du mauvais karma selon lequel ce que je vis
      dans cette vie dépend de mes existences antérieures?
  

Commentaire du webmestre :
Le Seigneur Jésus Christ m'a libéré de la tromperie du "nouvel àge", je lui en suis éternellement reconnaissant.

jeudi 27 janvier 2011

Questionnaire à propos des religions

Si le sujet vous intérrèsse, donnez-moi votre avis sur les questions suivantes :


Toutes les religions sont-elles bonnes ?
 

Si c'est non, quelle est la meilleure ?
 

Ont-elles le même Dieu ?

Dieu et la religion, est-ce compatible ?

Dieu est-Il religieux ?

Oû sont nées les religions et les sectes ?
 

Par qui ont-elles été inspirées ?
 

A quoi nous conduisent les religions dans avenir proche ?
 

Les religions conduisent-elles au même but final ?
 

Une religion peut-elle nous sauver de la condamnation ?

Si c'est non, qui peut nous sauver ?


Copiez ces questions, puis cliquez sur l'adresse ci-dessus,  collez, puis écrivez vos réponses, et envoyez.




samedi 26 décembre 2009

Le nouvel àge


Comment est organisé le Nouvel Age aujourd’hui?

Le Nouvel Age n’a pas une organisation centrale. Il s’agit d’un courant dont la structure rappelle celle des premiers chrétiens et qui fonctionne par réseaux.

Il m’apparaît assez clairement que l’Ennemi a tiré les enseignements de l’histoire du christianisme pour n’en retenir que les bonnes idées et abandonner les erreurs commises.

Le Nouvel Age se propage souvent par la révélation d’esprits guides. En divers endroits du globe, de nombreux ouvrages sont littéralement dictés par ces esprits. Un exemple parmi tant d’autres: le “Cours sur les miracles”, dicté à une infirmière aux USA; déjà traduit en de nombreuses langues, il fait l’objet de séminaires pour comprendre en comprendre l’esprit et la lettre.

Certes, il existe une part de charlatanisme, car les ouvrages et les séminaires constituent une activité très lucrative. Pourtant, un certain nombre de phénomènes, liés aux esprits guides, sont tout simplement d’origine démoniaques.

Lors d’une émission “Temps Présent” sur le Nouvel Age (Télévision Suisse Romande), à laquelle j’étais invité, nous avons visionné une séquence relatant une séance de communication entre un médecin genevois et un esprit guide. Alors qu’il appelait l’esprit, il s’est produit l’opposé d’une délivrance. Les manifestations démoniaques (rictus, déformation du visage, convulsions, voix bizarre etc.) N’ont pas cédé la place à la paix profonde de la présence de l’Esprit Saint mais c’est le contraire qui est arrivé, un peu comme dans un film qui se déroule à l’envers.

Peut-on dès lors parler de bons et de mauvais esprits dans le Nouvel Age ?

Pour les adeptes de ce courant, la dualité entre le bien et le mal n’existe pas vraiment. A l’image du yin et du yang, chaque phénomène comporte deux faces.

Toutefois, l’adepte de l’ésotérisme Alan Cardec a avoué que certains esprits pouvaient être dangereux! J’espère que cela donnera à réfléchir aux adeptes du Nouvel Age. En revanche, dans la littérature de ce courant, ce qui est présenté comme vraiment mauvais, c’est le judéo-christianisme! Il est considéré comme la source de tous les maux de l’Occident, pour ne pas dire de la terre entière, et accusé d’avoir travesti la vérité sur le monde spirituel.

Certains vont jusqu’à affirmer que le serpent serait le créateur dont l’image serait la double hélice de l’ADN (deux serpents entrelacés). Après avoir absorbé des boissons hallucinogènes, de nombreux Indiens sud-américains affirment parler avec l’ADN des plantes. C’est de cette manière qu’ils découvrent des médicaments tellement efficaces que les grandes firmes pharmaceutiques les analysent pour les reproduire en synthèses chimiques.

Les esprits dont il est question dans les différentes pratiques du Nouvel Age doivent-ils donc être considérés comme dangereux?

Oui, et de nombreux témoignages le confirment. Par exemple, le récit d’une jeune fille qui a eu les bras paralysés trois jours durant après avoir voulu parler avec l’esprit d’un arbre. Cela se déroulait lors d’une “semaine nature”, dans le cadre de sa formation d’institutrice !

Comment, au vu du sombre tableau que vous dressez, peut-on expliquer le succès du Nouvel Age?

Le Nouvel Age a rappelé à l’humanité rationaliste et athée l’existence du monde spirituel. Mais comme nous le rappellent Col. 1, 16 et 2, 15, si Dieu a créé le visible et l’invisible, donc aussi les êtres spirituels, une partie d’entre eux se sont détournés de Dieu et par là même des tâches qui leur incombaient. L’Apocalypse nous suggère que le tiers des anges créés feraient partie de ces hiérarchies sataniques (Apoc. 12, 4).

Que conseillez-vous à celui qui s’est plongé dans ces pratiques et qui réalise ce qu’il lui arrive?

Je lui suggère de revenir sérieusement à la Bible, Parole de Dieu, et non la Bible relue et corrigée par certains philosophes et théologiens libéraux; revenir également au Père, au Fils et au Saint-Esprit;

· au Père, créateur du ciel et de la terre ainsi que du monde vivant, et non pas à la déesse Gaia considérée aujourd’hui comme la déesse de la terre mère ;

· au Fils, Jésus-Christ de Nazareth, mort et ressuscité, et non au Christ cosmo-centrique du Nouvel Age souvent décrit sous les traits du Maîtreya;

· au Saint-Esprit, souffle de Dieu envoyé par le Père et le Fils et non à l’énergie vitale et cosmique du Nouvel Age. Je conseille aussi à l’ex-adepte de se lier à des chrétiens sérieux.

Si l’ex-adepte souffre depuis lors de troubles graves de la personnalité ou de phénomènes paranormaux dans son habitat, etc., il faut qu’elle prenne contact avec des chrétiens capables de discernement et de prières d’autorité au nom de Jésus.

Pourquoi vous êtes-vous intéressé au Nouvel Age en tant que pasteur ?

Très tôt, j’y ai discerné les prémices de la religion mondiale antichristique.
A l’image d’un fleuve, son courant principal du Nouvel Age a pris un essor important dans les années 70, au travers du phénomène de la contre-culture en Californie.
Timothy Leary en a été l’un des prophètes. La consommation massive de LSD a ouvert “une voie nouvelle” appelée la quatrième dimension. Sciences et religions classiques (surtout le judéo-christianisme) auraient privé l’humanité de la vraie connaissance du monde spirituel. En francophonie, c’est au milieu des années 80 que le livre de Marilyn Ferguson “Les enfants du verseau pour un nouveau paradigme” a répandu le Nouvel Age à l’image d’un incendie dans une fabrique de feux d’artifices selon les termes de l’auteur. C’est à partir de 1990 que l’ensemble des médias a abondamment parlé du Nouvel Age.

A partir de l’expérience de “la quatrième dimension”, les adeptes du Nouvel Age ont cherché à expliquer et surtout à reproduire de telles expériences au travers des psychotechniques pour passer, comme ils l’ont dit, du LSD à la psychosynthèse (modification de la conscience et du potentiel humain par une multitude d’exercices et de pratiques inspirés par une spiritualité souvent orientale, voire même franchement occulte). Certains “new agers” se sont regroupés en communautés telles que celle d’Esalen de Big Sur, en Californie, ou encore celle de Findhorn, en Ecosse. Ils ont cherché à expliquer la quatrième dimension en s’appuyant sur la nouvelle physique (physique quantique) ainsi que sur certains concepts spirituels orientaux, notamment ceux du taoïsme.

Un exemple frappant est la récupération du prix Nobel de physique et de chimie (1977) Ilya Prigogine pour sa découverte de la théorie des structures dissipatives (transformation de la matière sous certaines conditions). Soumise au stress, la matière pourrait se réorganiser en un niveau supérieur d’énergie. Le chercheur israélien Aharon Katchalski, spécialiste mondial des recherches sur le cerveau, avait affirmé que le cerveau était le lieu idéal pour l’application de cette théorie. Convaincu d’un proche saut évolutif de l’humanité, il n’en fallait pas plus pour rêver! Le physicien Fritjof Capra a écrit un livre très répandu, “Le Tao de la physique” (synthèse de la physique quantique et de concepts spirituels orientaux comme matériaux de base pour la transformation de l’humanité). Cet ouvrage, ainsi que celui de Marilyn Ferguson (entre autres) ont convaincu des millions de personnes que nous allions vers des temps nouveaux (l’âge du Verseau) qui verraient l’avènement d’un nouvel être humain littéralement divinisé.

Notons en passant qu’un des affluents principaux du fleuve du Nouvel Age provient de l’astrologie, qui nous annonce le début de l’âge du Verseau pour les environs de l’an 2000. Age de paix, d’harmonie et de bonheur. C’est aussi là l’occasion d’affirmer que l’ère du christianisme touche à sa fin.

Malgré des indexes d’auteurs très fournis, les livres de Marilyn Ferguson et de Fritjof Capra ne soufflent mot d’Alice Bailey, Benjamen Creme ou David Spangler, grands représentants de la tradition parallèle. Cette tradition existe depuis des milliers d’années mais surtout depuis le début du christianisme et a toujours voulu révéler à l’humanité les vérités sur le monde spirituel au travers de cercles ésotériques, gnostiques, occultes, etc. Ce courant veut opérer la synthèse des différentes religions et courants spirituels.

Aux USA, il y a d’abord eu le courant “des transcendentalistes” au milieu du XIXe siècle, suivi de la fondation de la Société Théosophique par Helena Petrova Blawatski en 1875. La troisième présidente de ce mouvement, Alice Bailey (1880-1949), fondatrice de l’Ecole Arcane est devenue, à mes yeux, la véritable prophétesse du Nouvel Age. Elle a écrit un ouvrage en deux volumes “L’état de disciple dans le Nouvel Age” sous la dictée d’un esprit-guide nommé Djawhal Kuhl. Ce dernier, grand esprit de la Fraternité Blanche Universelle, aurait révélé à Alice Bailey l’existence d’une hiérarchie de maîtres spirituels qui dirigeraient l’humanité de façon secrète. Djwhal Kuhl aurait été lui-même l’interprète céleste de cette hiérarchie, afin de dicter à Alice Bailey le Plan qui devrait conduire l’humanité dans l’âge du Verseau. Le livre commence par une prière, “la grande invocation”, censée remplacer le “Notre Père”. Cet ouvrage affirme que le véritable Christ (cosmocentrique) - le Maîtreya, va bientôt s’incarner.

Benjamen Creme et David Spangler seraient les prophètes de ce Christ cosmocentrique. Pour Benjamen Creme, le Maîtreya vivrait déjà à Londres et se révélerait bientôt au monde entier par télépathie. Avec Alice Bailey, nous avons passé du spiritisme classique (dialogue avec les morts) au channeling du Nouvel Age (dialogue avec les esprits-guides, appelés aussi parfois les anges gardiens).

Les médias utilisent moins le terme de Nouvel Age. Cependant, les pratiques et les enseignements se répandent plus que jamais au travers d’une multitude de séminaires et d’écrits.

Au début des années 90, une faculté de l’“Université du Temps Présent” a été créée à Neuchâtel. Sa première présidente est Andrée Fauchère, auteur du livre “Il est vivant”, dicté par l’esprit de son mari, un guide valaisan décédé au cours une expédition dans l’Himalaya dans les années 80.
En 1991, la ville de Mulhouse a été décrétée première ville du Nouvel Age à l’occasion du premier festival “pour la défense de la terre, de l’homme et de l’univers”.
En 1999, deux millions d’adeptes du Nouvel Age étaient attendus à l’occasion de l’éclipse solaire du 11 août à Cornouailles, en Angleterre.

Les différentes éditions du salon “Mednat” (Médecines naturelles), qui a lieu chaque printemps à Lausanne, font en réalité la part très belle aux écrits et pratiques du Nouvel Age.
Il existe de nombreuses rencontres intitulées “Groupes de prière” fondés par Maguy Lebrun (plus de 300 groupes en France, une vingtaine en Suisse romande). Chaque groupe est constitué de dix à quinze personnes; chacun invoque sa divinité, après quoi, en appelant les esprits guides, on passe à l’imposition des mains pour la guérison physique et spirituelle.

Il existe une multitude de séminaires où l’on apprend à entrer en contact avec les esprits guides. La mouvance du Nouvel Age implique généralement la “foi” en la réincarnation. Par des “régressions spirituelles”, les esprits guides sont interrogés pour connaître les éventuelles conséquences de vies antérieures sur la vie actuelle. L’énergie cosmique joue aussi un rôle fondamental; tous nos maux seraient provoqués par un manque d’harmonie entre notre énergie personnelle et l’énergie cosmique. Il est utile de préciser que je n’ai jamais rencontré la moindre référence au Saint-Esprit.

Très souvent, le judéo-christianisme est pris à partie comme étant le plus grand obstacle à l’avènement du Nouvel Age. Jésus a dit: “Je suis le chemin, la vérité et la vie” (Jean 14, 6). Or, le Nouvel Age se veut être la synthèse de toutes les vérités. Il importe à ce titre de préciser que les “new agers” ont surtout lu la Bible à travers les théologiens libéraux adeptes d’un christianisme plutôt rationaliste. Il est vrai qu’une fois l’Ecriture épurée de tout ce qui choque la raison, je peux comprendre que cette Bible-là n’ait plus grand chose à dire à ceux qui désirent sincèrement renouer avec le monde spirituel. Pourquoi avoir classé au rang de mythologie les expériences de Paul (II Cor. 12), de l’apôtre Jean dans l’Apocalypse et de tant d’autres récits qui nous relatent des relations très claires entre le monde spirituel et les humains (Es. 6 ; Dan. 10; Zach. 3).

Le judéo-christianisme est accusé principalement d’avoir fait de l’homme le centre de la création de Dieu, alors que le Nouvel Age porte ce centre sur la Vie (monde spirituel, monde matériel, monde vivant formant un tout indissociable). En ce sens, il n’est plus question d’un Créateur. La Bible est rectifiée par des écrits comme “l’Evangile ésotérique de St Jean de Paul Le Court”, exemple parmi d’autres d’une réinterprétation New Age des textes bibliques. Jésus ne serait pas juif, mais gaulois! Ce n’est pas la première fois que l’on trouve des formes ouvertes d’antisémitisme dans ce courant. Dans une conférence donnée aux sœurs de Grandchamps dans les années 90, le chercheur et spécialiste des sectes Jean-François Mayer, de l’Université de Fribourg, a affirmé avoir lu des phrases telles que “Il faudra que les judéo-chrétiens se rallient de gré ou de force au Nouvel Age”.

William Booth, fondateur de l’Armée du Salut, a écrit à la fin du siècle passé: “Le plus grand danger du vingtième siècle sera une religion sans Saint-Esprit, des chrétiens sans Christ, le pardon sans repentance, le salut sans nouvelle naissance, la politique sans Dieu et un ciel sans enfer.”

Seul un retour à la Bible permettra à beaucoup de personnes d’éviter la séduction de la religion antichristique qui se prépare au travers du Nouvel Age.

vendredi 7 novembre 2008

LES FAUX PROPHETES



Ancien testament

Deutéronome 13. 1 à 6 - Il y a accomplissement de la prophétie, mais cela conduit à l’idolâtrie. Pourquoi Dieu permet-Il cela ?
  • Quelle était la punition que le peuple devait leur infliger ?
  • Dt 18. 20 à 22 - Prédiction faite au nom de Dieu ou d’un faux dieu, mais il n’y a pas d'accomplissement. Quelle attitude devons-nous adopter dans ce cas-là ?
  • Néhémie 6. 12 - Des prophéties pour de l'argent.
  • Jérémie 23. 13 à 29 - Tromperie, mensonge, adultère... Sur quoi sont basées leurs paroles (16) ? Au nom de qui prophétisent-ils (25) ? A quoi sont comparé le songe et la Parole de Dieu (28) ?
  • Jér. 28 - Hanania confondu et puni par Dieu devant Jérémie.
  • Lamentations. 2. 14 - Les faux prophètes ne dénoncent pas les péchés du peuple de Dieu, leurs visions sont vaines, fades et décevantes.
  • Ezéchiel. 13 – Ils égarent le peuple de Dieu en annonçant la "paix", au lieu de les préparer à la guerre spirituelle.
  • Michée. 3. 5 à 8 – Dieu punira les faux prophètes et justifiera ses serviteurs fidèles, qui dénoncent les péchés du peuple de Dieu.

  • Nouveau testament :

  • Matthieu 7. 15 – On reconnaît un arbre à ses fruits, c’est-à-dire, on constate l’authenticité du don de quelqu’un au résultat de ses paroles et à son comportement.

  • Mt 24. 11 – C’est un des signes annonçant les temps de la fin : prolifération de prophètes de mensonge. Sommes-nous arrivé à cette époque ?
  • 2 Timothée 4. 3 à 5 - Car il viendra un temps où les hommes ne souffriront point la saine doctrine, mais où, désireux d'entendre des choses agréables, ils s'amasseront des docteurs selon leurs convoitises, et fermeront l'oreille à la vérité, et se tourneront vers des fables. Mais toi, sois vigilant en toutes choses, endure les afflictions, fais l’œuvre d'un évangéliste, remplis complètement ton ministère.
  • Apocalypse 2. 19 & 20 - L’église doit-elle laisser faire les faux-prophètes, sous prétexte d’amour et de tolérance (il ne faut pas juger) ?

Renseignements : pierre.danis@wanadoo.fr

jeudi 25 septembre 2008

L’IDOLATRIE

Deutéronome chapitre 6 verset 8 :

"Tu ne feras pas d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, en bas sur la terre et qui sont dans les eaux plus bas que la terre".
Quand l'homme perd la notion du vrai Dieu, il a un vide intérieur et il est obligé de se faire l'image d'une divinité. Même les athées (sans dieu) sont religieux malgré eux, et idolâtrent un être ou de la matière. Cela se passe dans le cœur (zone le plus profonde et ignorée de nous-mêmes), puis dans la pensée et finalement se concrétise par une représentation sous une forme ou une autre. L'homme peut alors tomber dans I'idolâtrie la plus grossière, la cause première étant d'avoir perdu l'image de Dieu.

La Bible nous dit que Jésus-Christ est l'Image du Dieu invisible (Colossiens chapitre 1, verset 15). Nous n'avons pas d'autre image à adorer, nous n'avons pas d'autre intermédiaire, pas d'autre médiateur, que Jésus-christ seul. Mais attention, nous ne devons pas vénérer une forme de Jésus-Christ, car nous n'avons aucune description physique de lui. Par exemple, si nous prions en nous faisant une représentation mentale de quelqu'un, cette "image" devient une idole. Les films, les dessins, les tableaux peuvent nous influencer, surtout enfant.
L'image que nous avons du Seigneur Jésus, donc de Dieu, est une image spirituelle et morale. Jésus a dit : "Celui qui m'a vu, a vu le Père", et donc, lorsque nous rencontrons Jésus-Christ, nous rencontrons le Père qui se révèle par le Fils.

Deutéronome chapitre 5, verset 9 :
"Tu ne te prosterneras point devant elles, tu ne les serviras pas, car moi, l'Eternel ton Dieu, je suis on Dieu jaloux".

Voici une liste de représentations que les idolâtres vénèrent et devant lesquelles ils se mettre à genoux, ou se prosternent :

- Statues, crucifix, icônes, symboles, photos...

- des hommes ou des femmes, chacun peut avoir son idole : sportif, philosophe, politicien, enfant, pape, gurus, acteur, chanteur... Il y a un nombre important de chanteurs et de groupes musicaux qui ont fait un pacte avec le diable ou qui ont été initiés dans une secte occulte. Par leur musique et les paroles qu'ils prêchent, ils incitent leurs fans à se livrer à Satan. Ceci est particulièrement flagrant dans le Hard-Rock, le black-métal...

- des anges ou des saints : croire qu'on ne peut pas s'adresser directement à Dieu mais qu'il faut passer par des intermédiaires qu'on peut invoquer en cas de besoin. Saint Antoine, Saint Joseph, Saint Pierre etc... plus tous les saints "locaux".

- Satan ou des démons : parler avec le diable, l'adorer, faire un pacte avec lui, ou bien encore vendre son âme au diable, faire des messes noires.

Les esprits se manifestent sous toutes sortes d'apparences. Pour les religieux, cela peut être la Vierge, Krishna, et pour les "durs", c'est sous une apparence de bouc, de serpent, de dragon... mais pour les enfants ce sont des formes plus gentilles telles que les fées, les lutins, le père noël... ainsi que 1es héros de dessins animés et de bandes dessinés.

Selon les goûts et les ages, le diable a un échantillonnage d'idoles qui correspondent au besoin de chacun. Les enfants ont besoin de merveilleux, c'est normal et cela vient de Dieu qui est le seul vraiment merveilleux. Quand on leur raconte des histoires de la Bible, quand on leur parle du ciel et surtout du Seigneur Jésus, cela satisfait leur besoin de merveilleux.
Mais les parents qui ne connaissent pas Dieu sont évidemment obligés de raconter à leurs enfants toutes sortes de fables, de contes ou de légendes. Alors on leur donne des idoles pour remplacer le Seigneur Jésus, par exemple le père noël...
Les enfants lui font des prières et lui écrivent des lettres. Et ce sont les parents qui inculquent cela à leurs enfants! Non seulement ils leur mentent et perdent ainsi leur confiance, mais ils les entraînent dans l'idolâtrie.

- la Vierge (la Madone ou Notre-Dame de ceci ou cela…) : parfois considérée comme co-rédemptrice et médiatrice. Certains la vénèrent, d'autres 1a prient seulement (ave maria, rosaire neuvaines, pèlerinages sur les hauts-lieux...)
- la nature : pour certains, c'est la nature dans son ensemble, pour d'autres, ce sont certaines choses telles que la lune, le soleil, les étoiles, les arbres, le feu, 1'eau, les animaux... La Bible dit "ils ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur" (Romains 1:25 ).

- l'argent : La Bible dit que la cupidité (amour de 1'argent) est une idolâtrie (Colossiens 3 : 5).
- le corps : Ceux qui s’y adonnent ne vivent que pour lui.
- le sexe ; Ils ne pensent qu'à cela, c'est une obsession. Les films et les livres pornographiques ont beaucoup de succès ainsi que les blagues obscènes. Toutes ces choses nous souillent.
Certaines passions peuvent aussi devenir des idoles auxquelles nous pouvons sacrifier notre santé, notre famille ou notre vie : Travail, sport. musique, moto, voiture, maison, nourriture...

Dieu est jaloux parce qu'il nous aime et s1 l'on veut s'unir à d'autres esprits que lui, on se prostitue (c'est 1e terme qui est employé par les prophètes). Et si on se prostitue, celui qui devrait être notre époux légitime, c'est-à-dire notre Créateur, est Jaloux. Dieu nous aime tout en étant juste, et il ne laisse pas le péché impuni. Ce commandement a quelque chose de particulier par rapport aux autres, car sa transgression entraîne des conséquences sur la descendance.

Lévitique 26:1 :
Vous ne vous ferez point d’idoles, vous ne vous élèverez ni image taillée ni statue, et vous ne placerez dans votre pays aucune pierre ornée de figures, pour vous prosterner devant elle, car je suis l’Éternel, votre Dieu.

Deutéronome 4,15 à 17 :
Puisque vous n’avez vu aucune figure le jour où l’Éternel vous parla du milieu du feu, à Horeb, veillez attentivement sur vos âmes, de peur que vous ne vous corrompiez et que vous ne vous fassiez une image taillée, une représentation de quelque idole, la figure d’un homme ou d’une femme, la figure d’un animal qui soit sur la terre, la figure d’un oiseau qui vole dans les cieux,

Deutéronome 27:15 :
Maudit soit l’homme qui fait une image taillée ou une image en fonte, abomination de l’Éternel, oeuvre des mains d’un artisan, et qui la place dans un lieu secret! Et tout le peuple répondra, et dira: Amen!

L'HEREDITE

Deutéronome chapitre 6, versets 9 et 10 :
"Je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur leurs enfants jusqu'à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fait miséricorde jusqu'en mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements".

Les patriarches avant de mourir appellent leurs fils et par ordre de naissance, leur imposaient les mains en leur léguant leur héritage. Mais il ne s'agissait pas seulement des biens matériels. Pour ceux qui connaissaient le Seigneur comme Abraham, Isaac et Jacob, il y avait quelque chose de beaucoup plus important que cela :

C'était l'héritage spirituel, la promesse de l'Eternel. En imposant les mains à leurs enfants, ils les faisaient entrer dans l'alliance qu'eux-mêmes avaient contractée avec Dieu. Les enfants à leur tour transmettaient cela à leurs propres enfants. De même, il y a un héritage spirituel pour les idolâtres qui est transmis à leurs enfants jusqu’à trois ou quatre générations. Ce sont les conséquences directes du péché d’idolâtrie.

Mais ce qui est merveilleux, c’est que pour ceux qui aiment Dieu et qui gardent ses commandements (aimer c’est obéir), Il fait miséricorde Jusqu’à mille générations. Ainsi la bénédiction est supérieure à la malédiction. Nous avons tous hérité des punitions infligées à nos premiers parents : les douleurs de l’enfantement, le travail pénible et la mort. Mais il n’y a rien de plus terrible que la mort spirituelle, c’est-à-dire être séparé d’avec Dieu.
Pour toutes ces malédiction, Dieu a pourvu à un remède qui est Jésus-christ. Mais pour ceux qui rejettent la solution que Dieu offre, c’est la mort éternelle, la séparation d’avec Dieu Dour toujours.

Nous pouvons voir également d’après ce verset 10 du chapitre 6 du Deutéronome que si nous appartenons au Seigneur, il y a une nouvelle bénédiction qui commence à partir de nous Jusqu’à mille générations après nous. Cela ne veut pas dire qu’automatiquement tous nos descendants seront sauvés car il faudra qu’eux-mêmes se repentent de leurs propres péchés, mais au moins ils n’auront pas à souffrir du péché de leurs ancêtres, ils seront saints (c’est-à-dire : mis à part) (1 Corinthiens 7 :14).

Pour être affranchi de cette hérédité, il suffit de renoncer à cet héritage spirituel que nos ancêtres nous ont légué. II n’est pas précisé de quelle punition il s’agit, mais dans tous les cas, il y a une conséquence spirituelle, c’est-à-dire des handicaps, des blocages, des liens qui empêchent certaines personnes de franchir la porte étroite pour se donner au Seigneur. Pour d’autres qui se sont engagées envers Dieu, mais qui n’ont pas été libérées, cela peut freiner leur marche spirituelle. C’est un peu comme si l’on marchait sur le chemin en traînant un boulet. Il peut également y avoir des conséquences psychologiques (sur l’âme) : dépression, angoisse, désir d’autodestruction, débilité etc… et des conséquences physiques…

Deutéronome chapitre 18, verset 9 :
« Lorsque tu seras entré dans le pays que l’Eternel, ton Dieu te donne, tu n’apprendras point à imiter les abominations de ces nations-là ».

En vivant dans un monde idolâtre, on a tendance à imiter les autres inconsciemment, en faisant « comme tout le monde ». L’Eglise de Christ devrait au contraire influencer la société, mais malheureusement, c’est souvent la société qui influence l’Eglise et y fait pénétrer des choses étrangères au Seigneur. Ce ne sont peut-être pas des pratiques grossières, telles que se mettre à genoux devant une statue, mais ce sont des conceptions, des croyances, des coutumes et des traditions qui viennent du monde. L’idolâtrie nous met en relation avec les esprits mauvais du monde invisible. Paul dit que celui qui sacrifie à une idole est en communion avec un démon. (I Corinthiens chapitre 10, versets 19 à 22).

Que faire avec nos idoles personnelles :

Deutéronome 7 :5 à 6 : Voici, au contraire, comment vous agirez à leur égard : vous renverserez leurs autels, vous briserez leurs statues, vous abattrez leurs idoles, et vous brûlerez au feu leurs images taillées. Car tu es un peuple saint pour l’Éternel, ton Dieu ; l’Éternel, ton Dieu t’a choisi, pour que tu devienne un peuple qui lui appartînt entre tous les peuples qui sont sur la face de la terre.

Deutéronome 7 :25 à 26 :
Vous brûlerez au feu les images taillées de leurs dieux. Tu ne convoiteras point et tu ne prendras point pour toi l’argent et l’or qui sont sur elles, de peur que ces choses ne te deviennent un piège ; car elles sont en abomination à l’Éternel, ton Dieu. Tu n’introduiras point une chose abominable dans ta maison, afin que tu ne sois pas, comme cet chose, dévoué par interdit ; tu l’auras en horreur, tu l’auras en abomination, car c’est une chose dévouée par interdit.


Pour un renseignement : pierre.danis@wanadoo.fr

jeudi 12 juin 2008

In Search of True Life

The Story of Pierre Danis


Although I am French I was born in Baden-Baden, Germany in 1947. I spent a good part of my childhood in Africa, especially in Cameroon. I was raised in a traditional Catholic family: mass every Sunday, catechism, sacraments, the works. When my family moved back to France I lost all interest in religion because one of my friends, an atheist, made fun of me. I stopped going to church. After all, I reasoned, I never had understood what the priest was saying.

After high school I apprenticed as a cabinetmaker and worked at that profession until it was time for military service. In 1968 while in the French army I made some friends who were into studying philosophy. They asked questions that I had never thought about: Why am I here? Where did I come from? Why are men wicked? Why is there suffering? Where do you go after you die? I began reading books by existentialists who encourage people to ask questions (a good thing) but never offer answers (which leads to deep anxiety). These questions led me to search for answers.

Growing up I was deeply influenced by African culture. Living in another culture will change you for life, especially when the host culture is very different from your own. As a result I was ill at ease when returning to France. I found it hard to adapt to the materialistic way of life. Instead I was eager to discover other cultures and religions. With my two army buddies we set out to discover the country of Morocco.
There I smoked marijuana for the first time. They called it « kif ». The small amount of money we had ran out quickly, and we wound up living on the beach with a friend who called himself Ali Baba. He loaned us a little cabin. We ate what we could find: mussels and sea urchins. For several months that was our daily diet. You can imagine what we thought of mussels and sea urchins. Fortunately we made some friends who invited us occasionally for dinner: good Moroccan meals of couscous and tajine. Our friends also spoke to us about Islam. We got interested in religion, but after three months we could not keep living that way. We needed to earn some money. It was time to return to France.

Arriving in Paris we found various odd jobs, at a printing press, a shoe factory, etc. After earning some money I set out once again for Morocco this time with a different friend. That trip did not last long. I decided my next adventure would be to visit Asia. I traveled across Italy, Greece, Turkey, Iran (at that time the Shah was in power), then into Afghanistan (there were still camel caravans). Smoking marijuana became a habit for me, I thought it was part of the good life.

While in Pakistan the people who housed me proposed that I convert to Islam. I was in search of love and freedom. Islam offered me neither so I set out to visit India and Nepal. I was chased from Nepal by the immigration police because my visa had expired. It was about then I began taking LSD and other hallucinogens. I stayed in several places in India then hitchhiked back to Europe.
Back in France I was totally out of touch with the European life style. I went to visit my parents, but it was almost impossible to communicate with them. I caused them a lot of suffering. Another trip seemed like the only solution, this time I set out for Amsterdam. There I met an old friend that I had known in India. We traveled together to Denmark where we spent the winter. I missed the warm weather of India so I traveled again across the Middle East, this time via Tunisia, Lebanon and Pakistan.

I began to learn Hindi. We spent the winter in the plains; the summer in the Himalayas. Noticing the beauty of nature I came to the conclusion that this did not happen by chance, somebody or something was behind it all. Several times during my travels I came very close to death which led me to reflect on what would happen next. Without any answers to the question I only became more anxious.
One day I entered a house where I saw a little book called “The New Testament”. It was torn and missing the entire Gospel of Matthew. I borrowed it and began reading. This was my first contact with the Bible.

I traveled to Pushkar (Rajasthan), a “sacred city” for Hindus where I was the only foreigner. I did the ritual cleansing every day in the “sacred” lake. My friends wanted to convert me to Hinduism so they took me into the temples of their deities. During one ceremony we had to fold our hands and bow down before one of the statues. When it was my turn I couldn’t do it, I told them, “This statue can’t be a god.” I had understood at least that much.

I then left this region and went to live by myself near the banks of the Ganges. That was the period when the Beatles were initiated in Transcendental Meditation. Their guru lived in a monastery (ashram) where I wanted to stay, but because it cost money I had to leave. Walking along the river I found a set of caves where ascetics (religious hermits) lived. Finding an empty one, I moved in. I had been a vegetarian for quite some time, but I now began a strict frugivore diet. I ate nothing but fruit and drank water from the river. The only piece of clothing I owned was a piece of cloth that I wrapped myself in. I did my yoga exercises like my neighbors. Life was simple; maybe this was the answer. Then I caught dysentery.

Very frail and exhausted I returned to the mountains. Not knowing a soul, with no idea of what to do next, I was at the end of my rope. It was then that I met a Buddhist nun from Canada who suggested that I come to the Tibetan monastery where she lived higher up in the mountains. I lived there with the monks, participated in their ceremonies (poudja) and sat under the teaching of the lama. The nun that I had met owned a New Testament which I borrowed and read the Book of the Revelation.

One of the gurus used a meditation technique that supposedly provided a short-cut to Nirvana, a way out of the perpetual cycle of reincarnation taught in Buddhism. He taught me this method called « Vipasana ». I decided to become a Buddhist monk in the village where Gautama received his illumination (that is where he became Buddha). I shaved my head and followed their strict diet and rules: no listening to music, respect certain days of total silence, sleep on a board. Several times a day we were required to meditate for an hour without moving a muscle.
One day two new guys arrived. They were French and since the evening meetings were in English I served as their interpreter. One of them owned a big black book, a Bible, which he had bought in Delhi, 600 miles away. I asked if I could borrow it and began reading. It was at this time that I read “the one who seeks finds” which encouraged me to continue my search.

I began to compare Jesus and Buddha. I was more and more impressed with the person of Jesus Christ: first by his miracles, then by his wisdom and his love, then by his freedom of expression in front of religious leaders, like when he called them a “generation of vipers”. To my new friends I translated the professor’s lectures then I repeated to them the words of Jesus. That lasted until the day the owner of the Bible asked to have it back so that he could read it himself. Here I was with all of the same questions and no answers. I sensed it was time for me to leave. From there I met a Jew and we decided to room together. He also had a Bible. As I evaluated my situation I decided there was no need for me to stay there any longer. I had found no solutions to my problems in this part of the world. I headed back to France where I began living on a commune located on an old farm in the middle of France. There were four of us. We raised goats, chickens, honey bees, vegetables and marijuana. On the mantle was a collection of books. A Jew from our group had added his contribution, a Bible. This time I decided to read it from cover to cover. It was a Catholic version with apocryphal books and commentaries. It took me a year.

One winter day I was all alone reading the Gospel of John. In John 14 I read Thomas’ request to Jesus: “Lord show us the way.” This time it was not Thomas but me asking the question of Jesus. The response of Jesus surprised me. I could have imagined anything but, “I am the Way, the Truth and the Life, no one comes to the Father but by me.”
At that moment I understood that Jesus was the Answer, there was no other way. I immediately abandoned all the others. One instant I believed that all paths led to the same god, the next I believed there was only one path, Jesus Christ. I had not arrived yet, but I now knew which way to go, as if I had been lost and discovered a road sign that showed the way to my destination. I took all the other books on the mantle and burned them. God showed me that He would not stop me from destroying myself but I now had a choice, “keep smoking pot or follow Him.” I decided to follow Him and get rid of the things that did not please Him.

I didn’t tell my friends about my decision. We left for a trip to Switzerland to visit a Buddhist community. On the return trip in Neuchatel I was at the end of my rope and began praying to God saying, ”I can’t handle this any longer. If you really exist I need you to do something for me. I read in the Book that you had disciples. If you still have some, allow me to meet at least one who can help me.” I didn’t tell a soul but a day or two later while we were hitchhiking to get back to the farm in France a man picked us up and told us, “I am a Christian, I believe in Jesus Christ. He is my Savior.” Then he explained the gospel to us. I was excited to see this answer to my prayer. I now knew that God exists, the proof is He answers prayer. I also understood that He hadn’t written me off. He was interested in me. That gave me hope to go forward. The man shared his picnic with us on the bank of a river.
Before we separated, the Christian gave us a book called “If You Want to Go Far”. It spoke about eternal life. It was just what we needed. After reading ten pages I told my friend that there was no point in reading further. Instead we ought to go find the author. We didn’t have a penny because on the commune we lived off of what the earth produced. The author, Ralph Shallis, lived only 45 miles away, but it took us five days to get there.

When we found his house in the countryside no one was home. We pulled out our sleeping bags to sleep in the garage. We were awakened by headlights coming down the driveway. It was Mrs. Shallis. We felt badly for her, a woman coming home alone at night in the winter to an isolated house in the countryside to find two men sleeping in her garage. What a surprise!
After asking us what we were doing she invited us in and served us tea and crackers. When her husband came home we explained again that we had read his book and that we were searching for eternal life. Mr. Shallis opened his Bible and spoke to us about the problem of sin. He said, “Between you and God there is a wall, it is made of all the things that you have done wrong. God wants you to repent.” So we began to confess our sins. That lasted for a week. Mr. Shallis spoke to us about God’s condemnation. It made me sick. I was convinced that with all the evil I had done I would be cast into Hell. Then he preached to us the Good News of salvation.

Jesus Christ crucified for our sins and raised from the dead, whoever believes on Him is forgiven and receives eternal life. It was too good to be true. Six more days went by until Mr. Shallis realized that I was still bound in my sin because of my involvement in the occult. I had been involved in divination, yoga, meditation, astral voyages and many other things. He told me that I needed to confess these things and ask God to deliver me from them.
The next day out in the countryside with my friend we read a short passage of Scripture and in prayer I committed myself to the Lord. I grasped hold of God’s promises by faith, especially this one, “whosoever believes in me has eternal life.” It was the little verb “has” that finally convinced me. It is in the present tense. In the past I believed that eternal life began at death. It was at that moment in 1974 that I was born again.

That was the beginning of a new life with the Lord in my heart. I know that God is my Father and that nothing can separate me from Him. I will spend eternity with Him in perfect peace along with all of those who have put their trust in Jesus as their only Savior.

To Him be glory and honor and power forever.

(Translated by Paul Mattson)

pierre.danis@wanadoo.fr