vendredi 25 mai 2007

La grande religion mondiale unique de la fin des temps

Mise en place de la grande religion mondiale unique de la fin des temps

L'Eglise Catholique Romaine est en train de préparer la mise en place de la grande religion mondiale unique de la fin des temps, conformément aux prophéties de la Bible.
Le Congrès œcuménique sur "L'avenir de Dieu" se tient chaque année au mois d'octobre à Fatima, au Portugal. En octobre 2003, il a accueilli des délégués du Vatican et des Nations Unies. A cette occasion, ces délégués ont appris que le sanctuaire Marial de Fatima allait devenir un centre mondial ouvert à toutes les religions du monde, afin que tous les peuples puissent venir y rendre hommage à leurs différents dieux. Le Congrès s'est tenu au Centre Pastoral Paul VI, et était présidé par l’évêque Josè Policarpo, le Cardinal Patriarche de Lisbonne.
Le recteur du Sanctuaire dit aux congressistes que "Fatima allait changer pour le mieux". S'adressant à tous les représentants des différentes religions mondiales, Hindous, Musulmans, Juifs, Orthodoxes, Bouddhistes et l’Animisme, il a déclaré : "L'avenir de Fatima, ainsi que l'adoration de Dieu et de Sa Mère dans ce sanctuaire sacré, doivent passer par la création d'un sanctuaire où toutes les différentes religions pourront se mêler… Le sanctuaire de Fatima est déjà en train de devenir un lieu de culte universel".

Le représentant des Hindous, Anshok Ansraj, a décrit de quelle manière, dans son pays, des millions d'Hindous perçoivent des "vibrations positives" en visitant différents sanctuaires mariaux, sans mettre en péril leur propre foi. L’évêque Guerra a fait aussi remarquer que Fatima est un prénom musulman, celui de la fille de Mahomet, et que cela était la preuve que ce sanctuaire devait être ouvert à la coexistence entre les différentes religions. Selon lui, "nous devons donc en conclure que c'est la volonté de la Bienheureuse Vierge Marie qu'il en soit ainsi en ce lieu". Les Catholiques traditionalistes, opposés à ce Congrès, ont été qualifiés par l’évêque Guerra de "bigots étroits d'esprit, attachés au passé, d'extrémistes fanatiques et de provocateurs".

L'un des principaux orateurs, le théologien Jésuite Jacques Dupuis, a insisté sur le fait que toutes les religions du monde devaient s'unir. Selon lui, "la religion de l'avenir sera la convergence de toutes les religions en un Christ universel qui satisfera tout le monde. Toutes les traditions religieuses du monde font partie du plan de Dieu pour l'humanité. Le Saint-Esprit est présent et à l'œuvre au sein du Bouddhisme, de l'Hindouisme et de toutes les religions non-Chrétiennes, tout autant que dans les Ecritures sacrées du Christianisme".

Le document officiel rédigé par le Congrès demande que toutes les religions cessent de faire du prosélytisme pour leur propre compte : "Aucune religion ne peut s'imposer aux autres, ni s'affirmer aux dépens des autres. Nous devons rester ouverts au dialogue, afin de pouvoir bâtir des ponts, et abattre les murs de séparation élevés par des siècles de haine. Ce dont nous avons besoin, c'est que chaque religion, tout en restant entièrement fidèle aux vérités qu'elle défend, considère toutes les autres religions sur un même pied d'égalité, sans aucun complexe ni d'infériorité ni de supériorité" ("Portugal News" du 1er novembre 2003).

Le sanctuaire de Fatima, situé au Portugal, est l'un des principaux centres mondiaux du culte Marial, et a joué un rôle majeur dans la pensée du Pape Jean-Paul II. La "Vierge Marie" serait apparue à Fatima le 13 mai 1917, déclarant que "le Seigneur lui avait confié la paix du monde". Le 13 mai 1981, le jour anniversaire de la première apparition de la "Vierge Marie" en 1917, le Pape Jean-Paul II fut victime d'une tentative d'assassinat à Rome. Pendant sa convalescence, le Pape reçut une vision de "Marie", qui lui dit qu'elle avait épargné sa vie, parce qu'il allait être chargé d'une mission particulière destinée à apporter la paix au monde. Le Pape attribua sa protection et sa guérison à l'intervention de la Vierge Marie. L'année suivante, le 13 mai 1982, il se rendit en pèlerinage à Fatima, et il pria devant la statue de "Notre Dame de Fatima". C'est là qu'il consacra le monde à Marie. Il mentionna tout particulièrement dans ses prières le peuple Russe. Le Pape a attribué à l'intervention de la Vierge Marie la chute du mur de Berlin et l'effondrement du communisme soviétique.

Tout cela ne fait que prouver qu'un puissant esprit de séduction est en train d'envahir le monde entier, tout particulièrement le monde religieux, pour préparer l'apparition de l'Antichrist. Toutes les religions païennes vénèrent une figure de "déesse", souvent plus accessible et même plus puissante qu'un dieu mâle. Quand le Christianisme formel fut officiellement accepté par l'empire romain, au quatrième siècle, il couvrit le paganisme romain d'un vernis de terminologie chrétienne. Etant à la recherche d'un type de déesse pour l'incorporer dans la nouvelle religion, il choisit Marie, la femme la plus remarquable du Nouveau Testament, et il en fit la "Mère de Dieu" et la "Reine du Ciel". L'expression "Mère de Dieu" n'est jamais mentionnée dans la Bible, et celle de "Reine du Ciel" n'apparaît que dans Jérémie 44 :17-19, dans un contexte négatif, où les Israélites sont condamnés parce qu'ils offraient des gâteaux en l'honneur d'une déesse païenne, ce qui attira le jugement de Dieu sur eux.

Les apparitions modernes de "Marie" sont, en fait, non pas des manifestations de la véritable Marie du Nouveau Testament, mais des visitations démoniaques des déesses des antiques religions païennes. Il est significatif que les messages apportés par ces "apparitions" ne correspondent pas au message fondamental de la Bible, en particulier au message du salut par la repentance et la foi en Jésus le Messie, seul médiateur entre Dieu et les hommes. La théologie de l'Eglise Catholique Romaine présente même Marie comme "co-rédemptrice", ou partenaire directe de Jésus dans la rédemption. Il semblerait, en fait, que Jésus soit même réduit à une position relativement secondaire, car Marie, dans les déclarations qui lui sont attribuées, joue un rôle qui n'appartient en réalité qu'à Dieu seul. Par exemple, l'apparition de Fatima a déclaré : "Je promets d'assister de toutes les grâces nécessaires au salut, à l'heure de leur mort, tous ceux qui auront accepté de passer un quart d'heure quotidien en ma compagnie, en méditant sur le mystère du Rosaire, avec l'intention de faire réparation pour les torts qui m'ont été faits".
Le culte rendu à Marie et l'émergence de la religion mondiale uniqueTous les délégués au Congrès de Fatima ont affirmé que les apparitions de Marie sont un moyen de rapprocher toutes les religions, dans leur recherche commune d'une puissance unificatrice. Toutes les religions païennes ont une "déesse" favorite, et ce concept est au centre de leur recherche d'unité. Beaucoup de ces prétendues visions apportent des messages annonçant un prochain réveil mondial, qui introduira l'humanité dans un nouvel âge de paix et d'amour. Selon les déclarations d'une apparition de Marie, dans le village espagnol de Garabandal, au cours des années 80, il va se produire "un certain signe, qui poussera tous les habitants du monde, au même moment et où qu'ils se trouvent, à recevoir de Dieu un "changement de conscience" complet et instantané".

Beaucoup de ces messages apportés par "Marie" ressemblent aux messages du Nouvel Age, qui annoncent une ère de "renouveau spirituel intérieur", où les hommes découvriront leur "dieu intérieur", niant ainsi la nécessité de se repentir et de placer leur foi en Jésus-Christ le Sauveur. Un autre concept du Nouvel Age est celui de Gaïa, la "Terre Mère", qui fait aussi appel à "l'esprit de la déesse". Les Protestants libéraux font la promotion du féminisme, et cherchent à écarter "l'image patriarcale d'un Dieu Père". La controverse au sujet de l'ordination des femmes à la prêtrise s'appuie souvent sur le concept d'un Dieu qui serait en fait une "Mère". La théologie de Rome cherche de plus en plus à réunir toutes les religions, et le Pape Jean-Paul II a déjà affirmé que tous les dieux sont les mêmes, s'opposant ainsi aux Chrétiens évangéliques.

Tout cela correspond bien à ce qui est écrit dans le Livre de l'Apocalypse, où nous lisons :
"Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or, remplie d'abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d'un grand étonnement" (Apoc. 17 :3-6).

"Bientôt, une alliance sera conclue entre le maître du monde et le Vatican. La femme montera réellement la Bête, et son rôle sera vital. L'Antichrist saura qu'il ne peut y avoir de paix politique sans paix religieuse. Il ne pourra y avoir de paix mondiale, tant que toutes les religions n'accepteront pas de se considérer comme des partenaires, et de travailler en commun pour atteindre les mêmes objectifs. Le Pape jouera donc un rôle essentiel dans cet œcuménisme global".
Il se peut que le règne du présent Pape touche à sa fin. Mais il aura accompli des progrès décisifs, en dirigeant résolument l'Eglise Catholique dans cette direction. Il ne fait pas de doute que son successeur continuera à œuvrer pour que toutes les religions s'unissent sous la bannière de l'œcuménisme.

L'ordre du jour du Congrès de Fatima sur "L'avenir de Dieu" correspond étroitement au programme visant à instaurer la religion mondiale unique. Toutes les religions du monde, associées aux Nations Unies, se sont déjà unies, sous les auspices de l'Eglise Catholique Romaine, pour appeler à l'unification de toutes les religions et à l'acceptation du "Christ Universel". Telle est l'essence de la future religion mondiale, qui nie le véritable message du Seigneur Jésus, qui a dit :
"Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi" (Jean 14 :6).
Le titre même de ce Congrès ne fait que révéler l'incapacité complète des participants à comprendre la nature de ce Dieu dont ils prétendent parler ! Comme si des êtres humains insignifiants pouvaient, avec leur raison limitée, déterminer "l'avenir de Dieu" ! Dieu existe de toute éternité. Par définition Il ne change pas, notamment en fonction des modes humaines passagères. Selon Sa Parole, tous ceux qui prient une multitude de dieux concurrents ne font qu'invoquer des "dieux incapables de sauver" (Esaïe 45 :20). Quelle tragique perte de temps et d'efforts, alors que nous pouvons prier le vrai Dieu, qui nous sauve effectivement, grâce au sang versé par le Seigneur Jésus-Christ sur la croix. C'est pour cela que Jésus nous a demandé de partager la Bonne Nouvelle du salut à tous ceux qui croient en d'autres religions. Il a commandé à Ses disciples d'aller dans le monde entier pour prêcher l'Evangile (Matthieu 28 :19-20).
La véritable Marie
La véritable Marie, connue sous le nom de Myriam, était une pieuse jeune fille Juive qui a été choisie par Dieu pour permettre au Messie de venir au monde. Il s'agissait d'une naissance virginale surnaturelle, car Jésus devait être pleinement Dieu et pleinement Homme, accomplissant ainsi les prophéties d'Esaïe 7 :14 et 9 :6, et de Michée 5 :2. Le Seigneur pouvait donc S'offrir comme sacrifice parfait pour les péchés du monde entier. Après la naissance de Jésus, Myriam eut normalement d'autres enfants de son mari Joseph (Matthieu 12 :46-50). Elle crut en Jésus comme son Sauveur personnel (Luc 2 :47), et reçut la vie éternelle comme des millions d'autres Chrétiens qui ont suivi son conseil, quand elle avait dit à propos de Jésus : "Faites ce qu'il vous dira" (Jean 2 :5). Jésus nous a dit : "Il faut que vous naissiez de nouveau". Nous ne pouvons nous efforcer d'atteindre Dieu en récitant une multitude de prières, en accomplissant des bonnes œuvres ou en faisant des actes de pénitence. Nous ne pouvons le faire que par la repentance et la foi en la mort et la résurrection de Jésus.

Marie a réellement eu l'honneur d'être un merveilleux exemple de foi et d'obéissance au Seigneur. Mais d'autres personnages de la Bible ont aussi donné le même exemple. Rien ne nous laisse croire que Marie continue à jouer aujourd'hui un rôle particulier dans notre salut. Il est impossible que ce soit elle qui apparaisse en divers endroits, car la Bible nous enseigne qu'il ne doit y avoir aucune communication entre les vivants et les morts. Toutes les apparitions attribuées à Marie, que ce soit à Fatima, Lourdes ou ailleurs dans le monde, ne peuvent donc être que des séductions visant à induire les gens en erreur, et à les éloigner d'une véritable foi au Seigneur.

Voici ce que dit le Seigneur à tous ceux qui appartiennent au système religieux qui approuve ces apparitions :
"Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux" (Apoc. 18 :4).

La Bible a-t-elle été modifiée?







La Torah, le Zabour (Les psaumes) et l'Injil sont des livres saints, parole de Dieu pour les musulmans. Le Coran présente toujours le livre (La Torah des juifs et l'Injil des chrétiens) comme ayant été descendu de la part de Dieu sur ses prophètes. Coran 3.65 "La Torah et l'Evangile ont été descendus..."
Coran 5.44 "Nous avons descendu la Torah contenant une bonne direction et une lumière"
Coran 5.46 "Nous avons descendu l'EVANGILE CONTENANT UNE BONNE DIRECTION ET UNE LUMIERE"
Coran 5.65 "Si les gens du Livre avaient cru ... s'ils avaient appliqué scrupuleusement la Torah et L'EVANGILE"

Désobéissance des gens du livre

La plupart des gens du Livre ont constamment désobéi à la volonté d'Allah. Ils ont négligé la lecture de ses livres. Ils n'ont pas voulu comprendre ce qu'Allah demandait. Mais Dieu a protégé ses livres "La Parole de Dieu ne peut être abolie". Ces livres contiennent des trésors enfouis, Dieu les a conservés intacts pour les croyants qui le cherchent avec fidélité. Mohammed reproche à plusieurs reprises aux gens de son époque de ne pas obéir au texte contenu dans les livres de Dieu, mais l'accusation d'une altération du TEXTE ne se trouve NULLE PART.

Aujourd'hui, il en est de même, beaucoup de chrétiens n'obéissent pas aux commandements de Dieu (par exemble de ne pas adorer de statues) mais cependant le texte biblique n'a pas varié a ce sujet:
"Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l'Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux" (Torah, Exode 2:4-5)
Ce texte se trouve dans toutes les traductions de la Bible et y a toujours été depuis que Dieu a descendu la Torah sur Sidna Musa!!

On peut relever beaucoup d'autres contradictions dans la pratique religieuse de la plupart des chrétiens... C'est pourquoi si l'on veut connaître le message que Dieu a transmis par Musa ou Aïssa, il vaut mieux lire la Torah ou l'Evangile, c'est le moyen le plus sûr!!
De même, pour connaître l'Islam, il est beaucoup plus sûr de lire le Coran que de se fier aveuglément à des Imams.

Si le Coran affirme la validité de l'évangile "lumière et direction" (on ne parle pas ainsi d'un livre corrompu!) et que des Imams affirment le contraire, qui le musulman doit il croire?
la Parole de Dieu ne peut changerLe sidna Aissa a dit: "Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point." 2000 ans ont passé, et l'évangile n'est pas prêt de disparaitre. Les chrétiens ont souvent désobéi aux textes (statues dans les églises, culte des saints,...) mais Dieu protège sa Parole.
Le disciple Pierre (Boutros) disait de la part de Dieu dans le nouveau testament (l'injil): "Tout homme est comme l'herbe, et toute sa gloire comme la fleur de l'herbe. L'herbe sèche, et la fleur tombe; Mais la parole du Seigneur demeure éternellement."
Le Coran contient également 8 versets qui affirment que la Parole de Dieu ne peut pas être changée.

Rédaction de la Bible

Moussa a introduit la première alliance: La Tora (ancien testament ou "Loi"). Des livres poétiques et prophétiques ont été annexés à la Tora, en particulier les Psaumes (ou Zabour) de Daoud (David)
'Yssa (Jésus) a introduit une nouvelle alliance entre Dieu et les hommes qui est présentée dans l'injil (nouveau testament).
Le mot "testament" veut aussi dire "alliance" en grec.
La compilation de ces livres s'appellait les livres (ta Biblia) dans les premiers siècles et est devenu en français moderne : "La Bible"

Le texte auquel se référence Mohammed est le même que celui que nous connaissons aujourd'hui, à cette époque il était répandu dans tout le bassin méditérannéen et des manuscrits entiers antérieurs à cette époque sont consultables dans certains musées et confirment la non variation du texte.
Les évangiles ont été rédigés par des témoins occulaires peu de temps après l'élevation au Ciel du sidna 'Aissa.
Un fragment de l'évangile de Jean (papyrus p52 conservé à la Bibliothèque J. Ryland à Manchester) a été retrouvé en Egypte et daté de la fin du premier siècle.
Il prouve l'existence et la diffusion de cet évangile dès la première moitié du second siècle et ce, bien loin de l'endroit où l'on situe traditionnellement sa rédaction (Ephèse en Turquie).
Beaucoup d'autres manuscrits ont été trouvés (plus de 2000) certains datent du deuxième siècle. Aucun de ces manuscrits ne présente de variante significative par rapport au texte actuel.
L'évangile de Luc a également été rédigé très tôt, en tout cas avant la rédaction de la première épitre de Paul à Timothée, puisque Paul en cite un bout:
1 Timothée 5:18 "Car l'Écriture dit: Tu n'emmuselleras point le boeuf quand il foule le grain. Et l'ouvrier mérite son salaire." (C'est une citation de l'évangile selon Luc 10:7)
Pareil pour l'évangile selon Matthieu: un morceau de l'évangile de Matthieu a été retrouvé récemment et daté du milieu du premier siècle, on parle beaucoup de ça en ce moment dans les milieux spécialisés.

Les scientifiques sont unanimes pour affirmer que l'ensemble des textes du nouveau testament (l'Injil) étaient rédigés dans leur forme actuelle avant la fin du premier siècle.
Le plus célèbre archéologue dans ce domaine, M. Albright affirme que le texte du nouveau testament tel que nous le connaissons était entièrement rédigé en l'an 80.
Des textes Bibliques entiers antérieurs à l'Islam existent notamment en latin ou en syriaque (150 ap JC) qui est un idiome voisin de l'arabe. Le texte original de l'évangile avait sa forme définitive avant la fin du premier siècle (année 80 d'après l'archéologue Albright). De tous ces manuscripts, aucun ne présente de variation significative avec le texte des bibles actuelles.

Conclusion

Je sais bien que beaucoup de théologiens et d'imams d'aujourd'hui disent que la Bible a été changée, on m'en a suffisament parlé, autant qu'à toi!!! Mais ce n'est ni ce que dit le Coran, ni ce que dit la science, c'est le contraire de ce que dit Dieu (sa parole est immuable).

Pour pouvoir affirmer que la Torah ou l'Injil ont été changés, il faudrait pouvoir dire:
qu'est ce qui a été changé quand et par qui Personne n'a pu m'apporter de réponse! Je donne ici des preuves de ce que j'avance. On peut affirmer n'importe quoi à la légère, il est beaucoup plus intéressant de prouver ce que l'on dit. Certains courants dans l'islam véhiculent l'idée de la corruption de la Bible. Même si les personnes qui enseignent cela sont SINCERES devant Allah, elles n'ont pas pris la peine de VERIFIER ces informations.

mardi 22 mai 2007

Le sapin de noèl


À propos de la fête de Noël

Les premiers chrétiens n'ont pas fêté Noël. Le réformateur Jean Calvin y fut encore formellement opposé. Il reprocha aux Genevois d'observer superstitieusement une telle fête. Ce n'est qu'au début du XVIIe siècle qu'apparaît l'arbre de Noël, qui ne fut admis dans les églises protestantes qu'au siècle passé. Aujourd'hui il est presque partout présent pour la circonstance, dans le monde des affaires et jusque dans les milieux évangéliques, en passant par les églises officielles et les autorités civiles.

Des évangéliques disent maintenant que cet arbre de Noël (manifestement d'origine païenne) peut être un signe de foi et d'espérance, que son symbolisme plonge ses racines dans le substitut biblique et l'on cite Osée 14 : 8 où Ostervald traduit : « Je serai pour mon peuple un sapin toujours vert», alors que toutes les autres versions qui nous sont connues mettent « cyprès » et non « sapin », car il n'y a pas de sapin en Israèl ! On évoque l'arbre du jardin d'Eden et celui de l'Apocalypse, en passant par la perche au serpent d'airain, le rameau d'Isaï et le bois de la croix pour dire en conclusion : « Et si notre arbre de Noël voulait symboliser tout cela ? Une telle argumentation nous paraît très superficielle et spécieuse.

On essaie aussi de prouver que l'arbre de Noël n'est pas d'origine païenne, que la fête de Noël trouve son origine dans la tradition juive, plus précisément dans la fête de la dédicace du 25e jour du 9e mois (Kisleu). (l Maccabées 4 : 52 et Il Maccabées 1 : 18). Mais ce jour correspond au 14 et non au 25 décembre3. On y célébrait la purification du Temple et la dédicace du nouvel autel, ce qui n'a manifestement aucun rapport avec la fête de Noël.

Les arbres verts dont il est fait état dans l'A.T. sont des lieux d'idolâtrie (Deut. 12 : 2 ; 1 Rois 14 : 23 ; II Rois 1 6 : 4 ; II Chron. 28 : 4 ; Esaïe 57 : 5. .. etc)

L'apôtre Paul écrivait : « Examinez toutes choses, retenez ce qui est bon. » (I Thess. 5 : 21)

Robert Dubary

La prière pour les morts

Prier pour les morts ?

Les vivants peuvent-ils aider les morts en priant pour eux ? Selon la doctrine catholique, ils le peuvent en effet :
" La communion avec les défunts. Notre prière pour eux peut non seulement les aider mais aussi rendre efficace leur intercession en notre faveur." Article #958, p. 252-253
De ce texte, nous tirons trois affirmations contraires à la Bible. Examinons-les :

la pensée de prier pour les morts ... est une pensée sainte et pieuse.
Selon la Parole de Dieu, ce n'est ni saint ni pieux de prier pour les morts. Les chrétiens sont encouragés à prier pour les vivants, mais la Bible ne recense aucun exemple de véritable chrétien priant pour les défunts. C'est encore une tradition humaine.

la pensée de prier pour les morts, afin qu'ils soient délivrés de leurs péchés...
Voici une tradition bâtie ... sur une tradition. Les Ecritures ne laissent jamais suggérer cela. Comme nous l'avons déjà vu, il faut être délivré de ses péchés avant sa mort.

Notre prière pour eux peut non seulement les aider mais aussi rendre efficace leur intercession en notre faveur
Tel un jeu de construction où l'on empile des cubes, cette tradition s'appuie sur d'autres traditions humaines. Elle n'a absolument aucun fondement biblique. Nous atteignons des "sommets" en apprenant que notre prière est supposée être capable de :
"rendre efficace leur intercession en notre faveur"
La question qui vient immédiatement aux lèvres est : Pourquoi aurions-nous besoin d'autres intercessions pour nous-mêmes ? N'est-il pas suffisant d'avoir l'intercession de Dieu le Fils ? Le Créateur de l'univers a-t-il besoin de l'aide des hommes et femmes, pour persuader Dieu le Père ?

Quelle attitude méprisante envers Jésus-Christ ! Cette doctrine catholique présente le Seigneur comme un faible, incapable de persuader Son Père sans l'aide de la prière des morts ! Ce n'est pas ainsi que Jésus est présenté dans la Bible :
" Jésus, s'étant approché, leur parla ainsi : Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. " Matthieu 28.18

Voici un autre portrait de Jésus-Christ :


" [Dieu] l'a déployée en Christ, en le ressuscitant des morts, et en le faisant asseoir à sa droite dans les lieux célestes, au-dessus de toute domination, de toute autorité, de toute puissance, de toute dignité, et de tout nom qui se peut nommer, non seulement dans le siècle présent, mais encore dans le siècle à venir. Il a tout mis sous ses pieds, et il l'a donné pour chef suprême à l'Église, qui est son corps, la plénitude de celui qui remplit tout en tous. " Éphésiens 1.20-22
Quelle différence avec le portrait qu'en fait l'église catholique !

Cher ami catholique, Jésus-Christ n'a besoin de personne pour agir ! Il est tout à fait capable d'intercéder pour nous :

" C'est aussi pour cela qu'il [Jésus] peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur. " Hébreux 7.25
Avant de prier pour un défunt qui vous est cher, comprenez que ceci n'est qu'une invention humaine. Dieu ne vous a jamais demandé de prier pour les morts, et n'a jamais promis non plus que cela serait bien.

Jeune catholique, j'ai toujours pensé que ces règles venaient, d'une façon ou d'une autre, de Dieu. Mais c'est faux ! Lisez la Bible et constatez-le par vous même. Le catéchisme enseigne une tradition humaine, pas les lois de Dieu.

Le même schéma
Vous avez noté, c'est certain, que Jésus est encore une fois amoindri. De Sa position de seul et divin intercesseur à la droite de Dieu, Jésus est ntégré à la foule des morts et relégué au rôle de simple intercesseur parmi d'autres.
Pourquoi la religion catholique s'évertue-t-elle à amoindrir Jésus-Christ ?

Conclusion
Une fois encore, vous êtes placé devant des décisions importantes à prendre :
Continuerez-vous à prier pour les morts, en sachant que c'est une tradition humaine et non un commandement de Dieu ?
Vous accrocherez-vous à une doctrine qui amoindrit le Seigneur Jésus-Christ pour que soit mise en avant la tradition de l'église ?

Rejetterez-vous, en toute connaissance de cause, la Parole de Dieu pour suivre la tradition humaine ?
A vous de décider. En réfléchissant, méditez ces mots de Jésus :
" Ce peuple m'honore des lèvres, Mais son coeur est éloigné de moi. C'est en vain qu'ils m'honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d'hommes. " Matthieu 15.9

Le purgatoire



Le catholicisme enseigne qu'après la mort, certaines personnes sont envoyées dans un endroit appelé purgatoire, pour une purification complète avant l'entrée au paradis :
" Ceux qui meurent dans la grâce et l'amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, bien qu'assurés de leur salut éternel, souffrent après leur mort une purification, afin d'obtenir la sainteté nécessaire pour entrer dans la joie du ciel." Article #1030, p. 270
"L'Eglise appelle purgatoire cette purification finale des élus ..." Article #1031, p. 270

Cette doctrine importante vient-elle de Dieu, ou est-ce une autre tradition des hommes ? Voici une réponse, directement issue du catéchisme :

" L'Eglise a formulé la doctrine de la foi relative au Purgatoire surtout aux Conciles de Florence et de Trente." Article #1031, p. 270
Est-il déraisonnable de se demander d'où les intervenants ont tiré leurs informations concernant la vie après la mort, pour être en mesure de formuler une telle doctrine ?

Cher ami catholique romain, si vous priez pour des êtres aimés que vous croyez être au purgatoire, il faut que vous sachiez que ce n'est pas Dieu qui vous a dit où ils étaient ... c'est un groupe de religieux qui l'a décrété :

" ... les uns parmi ses [Jésus] disciples continuent sur terre leur pèlerinage ; d'autres, ayant achevé leur vie, se purifient encore ; d'autres enfin sont dans la gloire ..." Article #954, p. 251

S'il s'agit de souffrir, ce n'est pas un cadeau !
Cette doctrine est d'autant plus dérangeante que la Bible ne parle absolument jamais d'un tel endroit. Bien plus, elle n'enseigne jamais qu'une purification après la mort est nécessaire pour gagner son salut. Bien au contraire, la Bible déclare que le salut est un don gratuit :
" Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. " Romains 6.23
" Mais il n'en est pas du don gratuit comme de l'offense ; car, si par l'offense d'un seul [Adam] il en est beaucoup qui sont morts, à plus forte raison la grâce de Dieu et le don de la grâce venant d'un seul homme, Jésus-Christ, ont-ils été abondamment répandus sur beaucoup. " Romains 5.15

Un Dieu honnête et aimant, offrant la vie éternelle comme un don gratuit, vous condamnerait-Il à souffrir pour l'obtenir, et mentirait-Il à ce propos dans Sa Parole ?

" Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. " Éphésiens 2.8
Si l'on en croit la Bible, alors il n'y a pas besoin d'une purification supplémentaire pour ceux qui meurent en Christ. Ils ont déjà été justifiés par Jésus :

" maintenant que nous sommes justifiés par son sang,[celui de Jésus] nous serons sauvés par lui de la colère. " Romains 5.9
" et ils sont gratuitement justifiés [les chrétiens] par sa grâce [celle de Jésus], par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. " Romains 3.24

L'apôtre Paul insiste sur le même point :

" Et c'est là ce que vous étiez, quelques-uns de vous. Mais vous avez été lavés, mais vous avez été sanctifiés, mais vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus-Christ ... " 1 Corinthiens 6.11
Les vrais chrétiens sont déjà purifiés car Jésus a ôté tous leurs péchés à la croix :

" ... maintenant, à la fin des siècles, il a paru une seule fois pour abolir le péché par son sacrifice. " Hébreux 9.26
Dieu ne demande pas à Ses enfants de souffrir pour leur salut car ils ont été rachetés :

" Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu. " 1 Corinthiens 6.20
A quel prix ? Au prix du sang de Jésus-Christ :

" ... l'Église du Seigneur, qu'il [Jésus] s'est acquise par son propre sang. " Actes 20.28

Conclusion
La Bible est donc très claire à ce sujet.
Du coté de l'église catholique, examinons quelle a été la conséquence de la doctrine du purgatoire : des fortunes lui ont été données pour qu'elle dise des messes et des prières en faveur des morts.

Maintenant, je vous pose une question : Pourquoi l'église catholique a-t-elle institué cette doctrine ?

Maintenant, au moins, vous savez que la doctrine du purgatoire a été conçue dans l'esprit de simples mortels.

" Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. " Romains 8.1

Qui peut nous sauver ?


Au fond du trou

Un Chinois racontait ainsi un jour la différence entre Jésus-Christ,
Confusius et Bouddha.

«Un jour que je me trouvais emprisonné dans un trou profond, le corps à
demi enlisé dans la vase, je me mis à crier au secours.

En levant les
yeux je vis un vénérable vieillard aux cheveux blancs qui me regardait. Sa stature était empreinte de pureté et de sainteté. "Mon fils, me dit-il, te voilà tombé dans un trou épouvantable." "Oui répondis-je, j'y suis tombé accidentellement. Pouvez-vous m'aider à en sortir?" "Mon fils, reprit-il, je suis Confucius. Si tu avais lu mes livres et si tu avais vécu selon mes enseignements, tu ne serais jamais tombé dans ce trou." "Oui, père, dis-je, mais ne pouvez-vous pas me tirer d'ici?" Mais quand mes yeux le cherchèrent, il avait disparu.

«Peu après, je vis s'approcher une autre silhouette. Et un autre homme se pencha au-dessus de moi. Celui-ci avait les yeux fermés et les bras croisés. Il semblait contempler un point fixe à une grande distance. "Mon fils, dit-il, ferme les yeux, croise les bras et oublie tout ce qui te concerne. Entre dans un état de parfait repos. Et efforce-toi de ne penser à rien qui puisse te distraire. Tiens-toi immobile et silencieux, afin que rien ne puisse venir t'ébranler. Tu connaîtras alors l'indicible repos que je connais moi-même." "Oui répondis-je, je ferai cela quand je serai sorti de mon trou. Ne pouvez-vous m'aider à en sortir? Mais Bouddha aussi avait disparu.

«Je commençais à perdre espoir, quand soudain je distinguai au-dessus de
moi une autre forme, cette fois différente des autres. Cet homme-là frappait par sa simplicité et il ressemblait au commun des mortels, mais son visage portait les traces d'une grande souffrance. Je le suppliai: Oh ! Père, pouvez-vous m'aider?" "Mon enfant, me dit-il, quel est ton problème?" Mais avant que j'ai eu le temps de lui répondre, Il était déjà près de moi dans la vase, m'entourait de ses bras et m'arrachait au bourbier. Puis Il me nourrit et me laissa reposer. Quand je fus remis sur pied, Il ne me dit pas: "C'est bon pour cette fois, mais ne recommence pas!" Voici les paroles qu'il prononça : "Désormais nous marcherons ensemble.", et c'est en effet, ce que nous avons fait jusqu'à ce jour.

Sur quoi est basée la guerre "sainte" ?


La Djihad dans le coran:

« …mettez à mort les idolâtres, partout où vous les trouverez… » (ch 9 v 5).« O croyants !

Combattez vos voisins infidèles. Qu'ils trouvent des ennemis implacables... »(ch 9 v 124).

« Ce n’est pas vous qui les avez tués ; mais Allah les a tués ». (ch 8 v 17)
« Si vous rencontrez les infidèles, combattez-les jusqu'à ce que vous en ayez fait un grand carnage. Chargez de chaînes les captifs. » (ch 47 v 4)
« Tuez-les partout où vous les trouverez, nous vous donnons plein pouvoir sur eux. »(ch 4 v 93)

« Mohamed est l'envoyé d'Allah. Ses disciples seront terribles contre les infidèles, et humains entre eux… » (ch 48 v 29)
« Il a envoyé son apôtre pour prêcher la foi véritable, et pour établir son triomphe sur la ruine des autres religions… » (ch 9 v 33)

« O croyants, quelle fut votre consternation, lorsqu'on vous dit : allez combattre pour la foi ! Préféreriez-vous la vie du monde à la vie future ? Mais que sont les biens terrestres, en comparaisons des jouissances du ciel ? »
« Si vous ne marchez au combat, Allah vous punira sévèrement… » (ch 9 v 38, 39)

« Jeunes et vieux, marchez au combat, et sacrifiez vos richesses et vos vies pour la défense de la foi… » (ch 9 v 41)
« Ils combattent dans le chemin d’Allah ; ils tuent et ils sont tués. ».(ch 9 v 111)
« Quand à ceux qui ont été tués dans le chemin d’Allah, il ne fera pas perdre leur âme !…il les fera entrer dans le paradis ». (ch 47 v 5 à 7).

La djihad est donc basée sur le Coran !

Ce que tout le monde devrait savoir

Le plan du salut


Nous sommes tous pécheurs (le principe du mal est en nous) :

Il n'y a point de juste, pas même un seul ; Nul n'est intelligent, Nul ne cherche Dieu ; Tous sont égarés, tous sont pervertis ; Il n'en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul ; Leur gosier est un sépulcre ouvert, ils se servent de leur langue pour tromper ; Ils ont sous leurs lèvres un venin d'aspic ; Leur bouche est pleine de malédiction et d'amertume ; Ils ont les pieds légers pour répandre le sang ; La destruction et le malheur sont sur leur route ; Ils ne connaissent pas le chemin de la paix ; La crainte de Dieu n'est pas devant leurs yeux.

Lettre de Paul aux Romains, chapitre 3, versets 9 à 18

"Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu."

Lettre de Paul aux Romains, chapitre 3, verset 23

Et condamnés par la loi :" Alors Dieu prononça toutes ces paroles en disant : Je suis l'Eternel, ton Dieu qui t'ai fait sortir du pays d'Egypte, de la maison de servitude.

1 - Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face.

2 - Tu ne te feras pas de statue, ni de représentation quelconque de ce qui est en haut dans le ciel, de ce qui est en bas sur la terre, et de ce qui est dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras pas devant elles, et tu ne leur rendras pas de culte ; Car moi, l'Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis la faute des pères sur les fils jusqu'à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui use de bienveillance jusqu'à mille générations envers ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements.

3 - Tu ne prendras pas le nom de l'Eternel, ton Dieu, en vain ; Car l'Eternel ne tiendra pas pour innocent celui qui prendra Son Nom en vain.

4 - Souviens-toi du jour du sabbat, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le sabbat de l'Eternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l'étranger qui réside chez toi. Car en six jours l'Eternel a fait le ciel, la terre, la mer et tout ce qui s'y trouve, et il s'est reposé le septième jour : c'est pourquoi l'Eternel a béni le jour du sabbat et l'a sanctifié.

5 - Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent sur la terre que l'Eternel, ton Dieu, te donne.

6 -Tu ne commettras pas de meurtre.

7 -Tu ne commettras pas d'adultère.

8 -Tu ne commettras pas de vol.

9 - Tu ne porteras pas de faux témoignages contre ton prochain.

10 - Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain ; Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni rien qui soit à ton prochain."

Exode chapitre 20, versets 1 à 17· 2

Par amour pour ses créatures, Dieu a fait tomber la punition que méritent tous les habitants de la terre sur son propre fils : Jésus Christ.

"Certes, ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; Et nous, nous l'avons considéré comme atteint d'une plaie, comme frappé par Dieu et humilié. Mais il était transpercé à cause de nos crimes, écrasé à cause nos fautes ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie, et l'Eternel a fait retomber sur lui la faute de nous tous."

Esaïe chapitre 53, versets 4 à 6· 3

Dieu nous demande de nous repentir, c'est à dire de nous reconnaître coupable, de Lui confesser tous nos péchés, et de changer de vie.

"Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute injustice."

1er Livre de Jean, chapitre 1, verset 9· 4

Il nous faut recevoir la Vie Eternelle par la foi en Jésus Christ le seul Sauveur. C'est un cadeau, nous ne pouvons pas le mériter.

"Car le salaire du péché, c'est la mort ; Mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Christ-Jésus notre Seigneur."

Lettre de Paul aux Romains, chapitre 6, verset 23


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Si vous avez des questions personnelles, écrivez-moi : pierre.danis@wanadoo.fr

vendredi 18 mai 2007

Témoignage d'un ex-curé

UN PRÊTRE CATHOLIQUE ROMAIN
REVENU AU CHRISTIANISME PRIMITIF

«Jésus, parce qu’Il demeure éternellement, possède un sacerdoce qui ne se transmet point. Voilà pourquoi, Il peut sauver parfaitement ceux qui s‘approchent de Dieu par Lui, puisqu’Il est toujours vivant pour intercéder en leur faveur.» (Hébreux, ch.7: 24-25) Version Catholique du chanoine Crampon
Paul Adam, docteur en Ph. et Th.,

UN MOT DE TÉMOIGNAGE SUR SA CONVERSION.
«La Loi a été donnée par Moise, mais la grâce et la vérité
sont venues par Jésus-Christ.» (Jean, ch.1 : 17)
Vers la fin de 1948, le curé Adam se mit à lire assidûment les Saintes Ecritures, surtout le Nouveau Testament.

1) CONSTATATION
(Le clergé Juif a présenté la LOI de Moise comme moyen de salut, au lieu de prêcher le Messie, venu de Dieu, pour effacer le péché du monde)
D’abord, il se rendit compte qu’il y avait une double justice : celle des hommes et celle de Dieu. Car il est écrit :
«En vérité, Je vous le dis, Si votre justice ne surpasse pas celle des Scribes et des Pharisiens, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux.» (Matt., ch. 5:20)
Le clergé Juif avait commis l’erreur de présenter la LOI de Moise comme un moyen de salut, alors qu’elle n’était qu’un pédagogue ou un guide conduisant au Christ. (Galates, ch.3 : 24)
Car, dans ce temps-là, tout comme de nos jours encore, on croyait que la religion pouvait sauver le monde, alors qu’en réalité elle ne procurait qu’une justice purement humaine et, par conséquent, impuissante à faire entrer qui que ce fut, dans le royaume de Dieu.
C’est pour cela que le Christ est venu et se présenta comme le SAUVEUR du monde, en disant :
«Je suis le chemin, la vérité et la vie ;
Personne ne vient au Père que par MOI.» (Jean, ch. 14:6)
Malheureusement, le clergé Juif refusa d’accepter le plan du salut gratuit de Dieu par la foi en Jésus-Christ et il continua à précher la LOI de Moise ou le Judaisme. En effet, il est écrit :
«Le Christ vint chez les siens et les siens ne Le reçurent pas.» (Jean, 1 : 11)
«Car les Juifs, ne connaissant pas la justice de Dieu et cherchant à établir leur propre justice, ne se sont pas soumis à la justice de Dieu, puisque la fin de la LOI, c’est le Christ pour la justification de tout homme qui croit.» (Rom., ch. 0:3-4)

2) INTERROGATION
En présence d’une telle tragédie, le curé Adam se demanda s’il n’était pas en train de faire la ême chose que le clergé Juif en présentant le ROMANISME (la religion catholique romaine) comme moyen de salut.
A) Il se mit à étudier l’Histoire et les Pères de l’Église, tout en scrutant son Nouveau Testament. Il ne tarda pas à se rendre compte que le catholicisme des premiers siècles n’était que la continuation habile et déguisée du Judaisme, sous les apparences du Christianisme initial et avec un contrôle absolu de la part de l’Empereur romain.
Il s’aperçut que le catholicisme n’aurait jamais dû accepter le mariage de l’Église avec l’État, sous le règne de Constantin. Car ce fut là le commencement officiel du régime de la POLLUTION au sein du catholicisme, c’est-à-dire,
(a) politique, finance et religion ensemble,
(b) coutumes, pratiques et rites païens,
(c) innovations doctrinales des Conciles,
(d) tradition ecclésiastique ajoutée à la Bible.

B) Il lut, dans l’Évangile, comment le clergé Juif a été dénoncé par le Christ pour ses fausses apparences de piété, de justice et de sainteté :
«Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous purifiez le dehors de la coupe et du plat, alors que le dedans est rempli du produit de la rapine et de ‘intempérance.
Nettoyez, d’abord, l’intérieur du vase, afin que le dehors aussi devienne pur.
Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis qui paraissent beaux au dehors et qui, au dedans, sont pleins d’ossements de morts et de toute espèce d’impureté.
Ainsi, vous paraissez justes aux yeux des hommes, mais, au dedans, vous êtes remplis d’hypocrisie et d’iniquité». (Matt., 23:25-29)
C) Enfin, il vit comment le Seigneur condamna les Scribes et les Pharisiens pour leur rituel purement extérieur et leurs traditions humaines :
«Ce peuple m’honore des lèvres, mais leur coeur est loin de Moi.
Vain est le culte qu’ils me rendent, donnant des enseignements qui sont des préceptes d’hommes.
Car vous laissez de côté le commandement de Dieu pour vous attacher à la tradition des hommes.. Ainsi, vous néantissez la Parole de Dieu par la tradition que vous transmettez». (Marc, 7 : 7,8,13)


3) DÉCISION
Lorsque le curé Adam fut persuadé qu’il jouait le rôle des Scribes et des Pharisiens en prêchant une religion qui ne produisait qu’une justice purement humaine et inefficace pour l’obtention du royaume de Dieu, il demanda à l’Éternel de lui donner le courage et la force de revenir pour de bon au christianisme Primitif.

OBÉISSANCE IMMÉDIATE ET AVEUGLE
À LA GRANDE COMMISSION
A)
En premier lieu, il se soumit volontiers au plan de Dieu pour avoir la vie éternelle, tel que cela fut prêché par le Christ et les Apôtres : la repentance, la Foi et l’immersion.
Car il est écrit :
«Repentez-vous et croyez à l’Evangile.
Quiconque croira et sera baptisé sera sauvé.» (Marc, ch.1: 15; 16:16)
«Repentez-vous et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ pour la rémission des péchés, et vous recevrez le don du St-Esprit. (Actes, ch.2 : 38)
Convaincu de péché, de justice et de jugement par suite de l’action du St-Esprit,
a) il se reconnut comme un pécheur coupable et perdu devant Dieu,
b) il accepta Jésus comme son Sauveur, son Médiateur et son Souverain Pontife,
c) puis, il descendit dans les eaux du baptême pour se faire immerger, à l’exemple du Christ dans le Jourdain.
En agissant de la sorte, il devenait un croyant ou chrétien évangélique authentique. Il appartenait à l’Eglise du Christ et toute la famille de Dieu l’appelait: le frère Adam.
B)
Ensuite, il se fit un devoir d’être assidu à l’enseignement des Apôtres, aux réunions communes, à la fraction du pain et aux prières. Ainsi, il croissait en sagesse et en grâce devant Dieu et devant les hommes.
C)
Enfin, il renonça officiellement au système catholique romain et se fit un plaisir d’annoncer l’Évangile tant au Canada qu’aux États-Unis, en prêchant ouvertement le salut gratuit de Dieu par la foi en Jésus-Christ, tout comme l’apôtre Paul :
C’est ainsi qu’il allait prêcher la Parole de Dieu tant aux États-Unis qu’au Canada. Et il n’avait pas peur de dire avec l’apôtre Paul :
«C’est par grâce que vous êtes sauvés par le moyen de la foi; Cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie.» (Éph. 2 : 8)
«Car c’est en croyant de coeur au Seigneur Jésus qu’on est justifié et c’est en confessant de bouche Son Nom qu’on est sauvé.» (Rom. 10: 10)
«Je n’ai point honte de l’Evangile, car c’est une FORCE DIVINE pour le salut de tout homme qui croit.
En effet, dans l’Évangile est révélée une justice de Dieu qui vient de la foi et pour la foi, selon qu’il est écrit : «le juste vivra par la foi». (Rom., 1:16-17)

FAITES DE MÊME ET VOUS VIVREZ

Conversion d'un ex-curé

Témoignage de L. Brancart, ex-prêtre catholique

Avec quelle insistance je demandais chaque jour à Dieu de me donner une foi toujours plus exacte ! Combien tout eût été plus simple si j'avais encore pu me convaincre de la vérité du catholicisme ! Mais plus je priais et méditais la Bible, plus cette religion me paraissait fausse.

Je consultais en confession des prêtres compétents.

Je repris mes propres arguments anti-protestants écrits autrefois et remaniés après ma théologie ; je trouvais aussitôt une réponse à chaque page : j'en étais stupéfaits et quelque peu émerveillé.
Entre temps, je devais chaque jour célébrer la messe. Je me disais : la théologie catholique est fausse mais en tant que commémoration de la mort du Christ, je sais que Dieu agrée ce pain et ce vin. Je ne voyais pas encore à l'époque qu'un chrétien doit s'abstenir de toute participation à une cérémonie où l'on parle à des morts, où l'on prie pour les morts, où l'on prétend que se renouvelle le Sacrifice de la Croix : alors qu'il fut offert une fois pour toutes. Que s'était-il passé ?

Je n'avais jamais pu croire à la prescience divine des futurs libres. Lorsque, quelque temps après l'encyclique "Humani generis", je pris nettement conscience que c'était une doctrine de foi, je dus conclure avec épouvante que je n'étais plus catholique. Je me dis : Tu dois y croire puisque le pape le veut.

Mais je m'aperçus que je ne croyais plus à son infaillibilité. Je fus atterré. Et les autres dogmes ? Je les comparais à l'Ecriture Sainte et trouvais que plusieurs s'y opposaient. Comme je croyais la Parole de Dieu, je ne cru plus le dogme.

En résumé, l'église catholique, en contradiction avec l'Ecriture Sainte, exige qu'on renonce à ses propres convictions et qu'on accepte d'avance ce qu'imposeront ses prêtres en dogmes, en morale et même parfois en philosophie. Or Dieu dit dans Jérémie 17: 5 " Je maudis celui qui se détourne de moi, ne met sa confiance qu'en l'homme et cherche sa force dans les pauvres moyens humains ".

L'église catholique impose la loi et sa loi alors que l'Apôtre Paul affirme que nous sommes sauvés par la "foi du cour", la foi vivante, agissante par la charité. Cette église a le plus souvent remplacé l'inspiration du Saint-Esprit par les prescriptions subtiles et minutieuses.

Elle impose le célibat aux prêtres et aux religieux qui ont prononcé des voux perpétuels et provoque très souvent des scandales honteux ! Elle emploie ou a employé les Sacrements d'une manière vraiment superstitieuse jusqu'à conférer l'extrême-onction à des gens morts depuis une heure, et jusqu'à demander à un enfant de huit jours, lors de son baptême, s'il renonce au pêché ? ( La Bible veut qu'on soit baptisé par immersion alors qu'on croit de tout son cour, c'est l'engagement d'une bonne conscience envers Dieu )

L'église catholique impose de croire que le christ est tout entier corporellement présent dans une mie de pain* consacrée. Qu'est-ce que cela signifie ? *(De nos jours hostie) Elle prétend qu'à la messe, se renouvelle le Sacrifice du Calvaire alors que, selon l'épître aux Hébreux, il a été offert une fois pour toutes ; et institue des prêtres alors que le sacerdoce du Christ est intransmissible, sauf le sacerdoce universel auquel tout chrétien participe.

Elle fait croire que ses prêtres ont plus de pouvoirs que les autres chrétiens et qu'ils sont pratiquement indispensables au salut et qu'ils sont "prêtres pour l'éternité" !

Elle détourne considérablement du Fils de Dieu, du Seigneur Jésus-Christ, par le culte des saints, en particulier de Marie dont cette église dénature et hypertrophie le privilège.

Car celui d'être chrétien est plus grand que celui d'être mère de Jésus, voir évangile de Luc chapitre 11 et le verset 28. Or Dieu interdit d'invoquer les morts, de leur demander du secours.
Parmi ceux auxquels on a recours, certains n'ont jamais existé et ne sont pas sauvés. Elle appelle Marie, médiatrice de toutes les grâces, alors que l'Ecriture Sainte déclare que Jésus-Christ est le seul médiateur entre Dieu et les hommes.

Elle a volatilisé le deuxième commandement de Dieu qui interdit les images religieuses.

Elle vend, pour de l'argent, des choses saintes ou des choses qu'elle prétend saintes ; intentions de messes, droit d'indulgencier certains objets... ; trafique ainsi du Sang du Christ et exploite la crédulité superstitieuse, l'affection familiale et la vanité humaine.

Elle n'obtient l'unité qu'en violant la liberté de conscience
Elle excommunie ceux qui ne reçoivent pas ses doctrines, étrangères à la Bible ou son interprétation de celle-ci ; elle montra ainsi un exemple néfaste trop souvent suivi par beaucoup de protestants et par les sectes qui imposent une profession de foi ou leur interprétation et non la Bible seule. Elle a permis aux rois, même les plus pêcheurs, et aux gouvernements civils de désigner des évêques.

Elle a transmis ses prétendus pouvoirs par une hiérarchie pourrie pendant des siècles, et composée presque exclusivement de grands seigneurs devenus évêques, cardinaux et papes par pure ambition humaine.

Elle eut pour papes et pour cardinaux de jeunes enfants, des bâtards de papes, des favoris de femmes et courtisanes romaines. Que d'évêques obtenant leur charge à prix d'argent ou pour des raisons politiques, soit des rois soit des papes !

Elle impose une interprétation invraisemblable de plusieurs textes de l'Ecriture Sainte: Matthieu 16:18, 24:36, 26:26-28, Jean 14:28, 21-13-17, Philippiens 2: 7, Apocalypse 20: 6..

Elle obtient des miracles toujours d'une manière non biblique. (Or les faux prophètes feront des prodiges jusqu'à séduire les élus eux-mêmes si cela était possible).

Elle a institué tardivement la confession avec absolution sacramental alors que nous ne voyons pas les apôtres y recourir, même où c'eût été indiqué.

Elle tire, de ses scandales mêmes, la preuve de sa légitimité.

Elle interdit qu'on vérifie son enseignement d'après la Bible alors que l'apôtre Paul le recommande (ef. art; 17,11).

Elle est responsable de la tiédeur à l'égard de la Bible et de la superstition d'une quantité de ses membres, d'où leur incompréhension de la Bible ainsi que des répercussions terribles que cela aura sur leur salut.

Je pris aussi mieux conscience de plusieurs autres torts et comportements de cette église :
le formalisme, les prières obligatoirement rapides et forcément machinales,les rites compliqués et si défavorables à la véritable piété ; la mise à mort et la violence, quand elle le pouvait, des autres chrétiens (Je n'apprit clairement que plus tard sa prétention d'en avoir le droit)

l'utilisation quand elle en a l'occasion, de moyens scandaleux ou tous humains pour s'imposer: l'union aux puissances d'argent et aux puissances politiques; son recours, quand elle en eut l'occasion, au glaive de l'Etat pour détruire les autres... chrétiens; le prestige de l'art, de l'apparat, des cérémonies aussi pompeuses que formalistes ; l'autorisation tacite de bien des manquements et même de pêchés pour s'attirer beaucoup d'adhérents ;la fortune colossale du Vatican... Bref elle se comporte comme la
Babylone de l'apocalypse dont il est écrit : " sortez du milieu d'elle, mon peuple " apocalypse 17 : 3-6 et 18 : 4

Les titres et les honneurs accordés aux prêtres et surtout à la hiérarchie, en désobéissance à l'Evangile : Père, révérend père, excellence, grandeur, éminence, révérendissime seigneur, prince éminentissime, très saint père sa prudence tout humaine, son manque d'assurance, son observation des réactions du public avant de déclarer certaines doctrines " de foi " ou de canoniser un défunt
Ses variations importantes en exégèse doctrinale son interdiction de la Bible pendant des siècles, parfois sous peine de mort, et la défense toujours actuelle pour un catholique, de se conformer à la compréhension qu'il en a quand celle-ci diffère de l'enseignement des prêtres. Il est obligé de préférer la parole des hommes à la Parole de Dieu. Comment croire cette église infaillible ? C'était impossible.

Allah est-il Dieu ?

"Allah n’est pas Dieu"

Allah, souvent mal traduit par « Dieu », n’est pas le Dieu de la Bible, ni le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. Allah est une autre divinité, celle qui boit le sang comme l’eau, qui aime le djihad et la terreur et qui promet des vierges dans son soi-disant paradis à ceux qui tuent les Juifs. Plus il y en a de tués, mieux cela vaut.

Cet Allah n’a rien, strictement rien à voir avec le Dieu de la Bible. Et peu importe combien on crie "Allah hu ahbar" (Notre Allah est plus grand), le Dieu d’Israël reste infiniment plus grand, le vrai seul Dieu vivant, un Dieu d’amour qui mérite l’adoration car Il est notre Créateur.

Tout chrétiens de bon sens sait que ce "dieu", mauvais et assoiffé de sang s’engage, comme Amalek, dans une guerre de génération en génération contre le seul vrai Dieu et Son peuple élu. Qu’est-ce qu’il y a de nouveau ?
Que personne ne traduise désormais Allah par Dieu. C’est un pur non sens.

Allah est le dieu des terroristes. Si Allah était le même que le seul vrai Dieu, alors il serait en train de lutter contre Son propre peuple, les Juifs, qui selon Sa promesse éternelle, ont été ramenés sur Sa propre terre.

Puisse le vrai Dieu, le Dieu d’Israël, avoir pitié de nous.

Jan Willem van der Hoeven

Une "bonne soeur" devient une soeur en Christ

Une Carmélite quitte le couvent...

"Mon enfant, ne laisse pas passer la grâce que tu cherches depuis si longtemps. Saisis-la!"
"Comme une biche soupire après le courant d'eau, ainsi mon âme soupire après Toi O Dieu. Mon âme a soif de DIEU, du DIEU vivant"(Psaume 42.2).
J'ai fait avec mon Sauveur, une expérience merveilleuse, expérience qui se renouvelle sans cesse, par sa grâce, depuis que je lui appartiens dans la Vérité.

Dès ma tendre enfance, j'avais soif de connaître DIEU. Une voix intérieure ne me laissait aucun répit, jusqu'au jour où je rencontrai mon Sauveur dans la Vérité et la Lumière de son Evangile. J'ai toujours ressenti le besoin d'un appui solide, d'un refuge, d'une consolation. Ce ne fut donc pas dans ma famille ou dans mon entourage que je pus trouver DIEU; mais je portais au plus profond de moi-même une vocation, la pensée de l'éternité ne me quittait pas, j'avais soif d'infini.

J'ai cherché DIEU dans ma religion. Nous étions catholiques. Mais je ne le trouvais pas. Je l'ai cherché dans la nature que j'aimais beaucoup, mais mon cœur restait insatisfait. Je me rappelle encore comment, à l'âge de 9 ans, n'ayant pu participer à une fête où j'avais été invitée, je ressentis une profonde tristesse et une angoisse à la pensée de toutes ces âmes qui ne pensaient qu'à s'amuser en oubliant leur Créateur et leur Sauveur. Je m'enfuis à l'Eglise, brisée au pied d'une croix et je pleurais.

DIEU, que je ne connaissais pas encore me mettait le fardeau des âmes perdues. Aspirant à une plus grande consécration, et désirant apaiser cette voix intérieure qui me poursuivait, je décidai d'entrer secrètement au couvent. J'avais 23 ans et je fus reçue au Carmel de Beaune en Côte d'Or. Pendant la première année sur les deux que j'y passais, je crus posséder cette paix à laquelle j'aspirais, mais elle fut de courte durée... Puis ce fut la "prise d'habit", cérémonie très émouvante où je fus habillée en blanc, en épouse de Christ, mais hélas dans l'erreur. Dès le lendemain les luttes recommencèrent, mais mon Seigneur me tenait tout de même déjà dans sa main.

Au Carmel, on est à l'essai pendant deux ans, pour voir si l'on supporte une règle si dure. Ce couvent est une véritable prison avec ses barreaux. Nous étions 30 à y vivre. Nous devions nous soumettre à de nombreuses mortifications: les religieuses sont invitées à se frapper dans le dos avec un fouet jusqu'à ce que le sang coule; parfois, l'une de nous devait se coucher sur le seuil de la porte afin que toutes les autres lui marchent dessus en passant; certaines religieuses se mettaient un cilice, c'est à dire un cercle de fer garni de pointes à l'intérieur que l'on se met autour de la taille sur la peau et qui meurtrit douloureusement.

La règle était très austère: 40 jours de jeûne par an, obligation d'observer un silence complet (nous avions tout au plus le droit d'échanger quelques mots après le repas de midi), le lever était fixé à 4 heures du matin, il fallait prier l'hiver pendant des heures dans des locaux non chauffés. La petite Thérèse de Lisieux, une âme sincère déclarée sainte après sa mort, et dont on a fait une véritable idole, a beaucoup souffert du froid, entrée au couvent du Carmel à l'age de 15 ans, elle est morte à 24 ans, tuberculeuse, des privations et la dureté du régime auquel elle avait été soumise; avant de mourir, elle déclara: "il est faux de tenter DIEU jusque là"; elle passa par les mêmes épreuves de foi que moi, mais parce qu'elle avait prononcé déjà des vœux définitifs, elle n'eut pas la permission de sortir, malgré son désir.
Moi non plus, je ne supportai pas ce régime et tombai malade par la grâce de DIEU, le docteur exigea que je sorte du couvent quelques jours avant que je doive prononcer des vœux définitifs. C'est vraiment les ténèbres sous le couvert d'une très grande religion, mais après ma sortie du Carmel, il me fallut plus d'un an pour me réadapter à la vie dans le monde. Je ne pouvais plus me mettre à genoux dans une Eglise. Je désirais toujours de toute mon âme rencontrer DIEU. Ma souffrance intérieure devint terrible, je dus reprendre la lutte seule dans la vie, comme l'oiseau sur la branche, sentant ce vide autour de moi. Après m'être quelque peu rétablie, je pris du travail, mais retombai malade après 6 mois. Ayant dû aller sur la Côte d'Azur à Hyères parmi les palmiers pour ma convalescence, je devais rencontrer mon Sauveur !!


Un jour en me promenant, je suis entrée dans une chapelle où l'on annonçait l'Evangile intégral. Je fus profondément touchée par la simplicité de la prédication et de toute la réunion. Ce fut pour moi une révélation, j'y retournai. Quelques jours après, le Seigneur me parla et me dit: "Mon enfant, ne laisse pas passer la grâce que tu cherches depuis si longtemps. Saisis-la!" Je pleurai beaucoup... Toutes mes objections tombèrent les unes après les autres. Je compris mon grave péché. Je m'adressais à des idoles sans me rendre compte qu'on ne peut aller au Père que par Jésus-Christ qui est le chemin, la vérité, et la vie". Je fus totalement convaincue.

Ce fut une grâce merveilleuse, une illumination: je commençais à comprendre quelque chose à la profondeur de la Croix de Jésus. Jésus est l'Homme de douleur dont parle Esaïe 53, qui s'est chargé de mes péchés et de mes infirmités. Il me pardonna tous mes péchés et m'accorda sa paix qui surpasse toute intelligence, et domine toutes les épreuves. Je connus une joie profonde en découvrant son amour qui ne fait jamais défaut.
Je le bénis pour 1'assurance de la vie éternelle qui commence dès ici-bas. Quel privilège de pouvoir connaitre cette tranquillité profonde et de se savoir conduit jour après jour parfaitement! A une condition cependant: s'abandonner à sa volonté entièrement quoi qu'il nous en coûte. Peu après je reçus le baptême du St-Esprit de puissance selon les promesses. Je comprends maintenant dans la vérité, ce que cela signifie d'être l'Epouse de Christ nous tous qui lui appartenons, nous sommes son Epouse que le St-Esprit prépare pour aller à sa rencontre, vêtue de la robe de fin lin brodé de fleurs. Ces fleurs sont le fruit du St-Esprit: la paix, la joie, l'amour, l'humilité, la douceur...

Il y a aussi les fleurs des sacrifices et des souffrances, qui sont comme une immolation continuelle de nous-mêmes, afin que Jésus paraisse en nous. Il désire que nous soyons sans cesse dans son chemin pour que nous vivions de sa vie de résurrection de victoire en victoire, de découverte en découverte. C'est une vie dans l'abondance. Je bénis le Seigneur pour le chemin de souffrance que j' ai dû suivre après ma conversion et qui m'a permis de mieux connaître mon prochain. Les épreuves dans ma vie se trouvent être les plus grandes bénédictions, car elles me permettent de mieux découvrir la Personne de Jésus, sa Parole et toutes les richesses qui y sont cachées. Combien je suis émerveillée par cette grâce qui m'accompagne et me dépasse!

Un soir à Paris je suis allé voir une jeune fille qui devait entrer le lendemain au couvent des trapistines (règle très stricte, silence absolu, on ne communique que par signes), je rendis mon témoignage et reçus à ce moment l'assurance qu'elle serait sauvée. Un an plus tard j'appris qu'elle avait donné son cœur au Seigneur, avait reçu le baptême par immersion et le baptême du St-Esprit avec les dons spirituels. Le Seigneur m'a également délivrée bien des fois de la maladie uniquement par son intervention. Au Carmel notre but était la contemplation et le ministère de la prière. Cette vocation m'est restée après ma conversion. Par le St-Esprit j'ai compris ce qu'est l'adoration et la vie cachée en Christ, profonde et éternelle, le ministère de la prière pour l'œuvre de DIEU, pour les âmes perdues et pour les serviteurs de DIEU qui ont besoin d'être soutenus.

Que le Seigneur me remplisse toujours plus de son Esprit de grâce et de vérité pour sa seule gloire! il y a un prix à payer pour devenir un véritable disciple du Seigneur qui lui soit agréable. Il ne faut pas s'occuper du "qu'en dira-t-on" ni des critiques, ni des persécutions dont on peut être l'objet... "Car c'est par beaucoup de tribulations que nous entrerons dans le Royaume de DIEU", comme dit l'Apôtre. Mais si nos yeux sont fixés sur Jésus, nous sommes vainqueurs.

Depuis ma conversion, le Seigneur m'a particulièrement mis à cœur la prière pour son retour. Tout en effet indique que nous vivons les derniers temps. Nous devons être parmi les vierges sages dont les lampes sont remplies d'huile. Ces dernières années bien des religieuses, des moines et des prêtres sont venus à la lumière de l'Evangile et j'ai moi-même eu l'occasion de rencontrer bien des catholiques sincères qui ont été touchés par la grâce toute puissante de DIEU et sont venus à la connaissance de la Parole. A Jésus soit rendue toute la gloire!

Odette Chemin

Le bouddhisme

"Je me sens bien dans le bouddhisme", explique Martine, médecin de 37 ans, citée dans l'Express, "parce que c'est une voie spirituelle parfaitement conciliable avec la culture occidentale d'aujourd'hui. A l'inverse de l'éducation religieuse que j'ai reçue, elle ne m'apparaît en rien incompatible avec mes études scientifiques, ni avec mon métier."

Noël, informaticien de 33 ans, partage ce point de vue :

"Je ne pouvais plus croire en un Dieu extérieur au monde ou en quelques vérités éternelles et immuables. Le bouddhisme m'a réconcilié avec la religion. Il demeure toujours relié à l'expérience, il supporte la critique de la raison, il ne fait jamais appel à une quelconque extériorité. Ni Dieu tout-puissant, ni dogmes intangibles, ni normes morales imposées de l'extérieur. En même temps, il permet un développement de la conscience, un travail sur soi. Il propose une morale exigeante, mais adaptable à chaque cas particulier."

Voilà bien une des raisons du succès du bouddhisme dont nous savons fort peu de choses en réalité : pas de Dieu, pas d'absolu, pas de morale autre que celle qu'on se donne à soi-même !
Pour le bouddhisme, rien n'est stable. Tout est en devenir. L'homme, qui n'échappe pas à cette loi, ne possède pas d'âme. Fondamentalement, cette doctrine n'a pas d'autre ambition que "d'éveiller" chaque homme, de lui faire vivre la même expérience que le bouddha, et de lui permettre, par le moyen de la méditation, de parvenir à l'extinction de la soif, du désir.

Développer sa vie spirituelle, sans avoir affaire à Dieu.
C'est, à priori, plus tentant, plus simple, plus facile. Bouddha considérait les questions ultimes, touchant à l'absolu, au divin, comme des spéculations, stériles et non pertinentes. Quel dommage !
La Bible est tellement riche en enseignements sur l'origine et le sens de la vie, sur Dieu, Sa personne, Son amour, sur la création.
Le grand malentendu d'aujourd'hui vient de ce que la religion a dépeint et présenté Dieu d'une telle manière, qu'une très grande majorité des gens en est vaccinée.
La plupart des gens en restent trop souvent au catéchisme de leur enfance, et à la littérature du moyen-âge qui présente certaines vérités bibliques d'une manière si grotesque que cela en est risible. L'enfer par exemple (peuplé de diables à queues fourchues activant le feu sous de gros chaudrons) n'est jamais dépeint par la Bible. Peu de gens se donnent la peine de chercher par eux-mêmes à connaître Dieu tel qu'Il se révèle dans sa Parole.

Plusieurs millions de français sont touchés par certaines notions transmises en Occident par le biais du bouddhisme. Le développement fulgurant de la croyance au karma (loi de causalité) et à la réincarnation en est un exemple frappant.
"Je n'ai jamais compris comment le Dieu biblique pouvait être à la fois tout-puissant, bon et laisser souffrir ou mourir des enfants", explique David, professeur d'anglais de 36 ans.
"La théologie bouddhiste me semble beaucoup plus plausible, ou du moins compréhensible : l'Univers est régit par une loi de causalité qui fait que tout acte négatif a nécessairement une conséquence négative en cette vie ou dans une autre. Nous sommes donc d'une certaine manière responsables de tout ce qui nous arrive, y compris les épreuves."
La croyance en la réincarnation est toutefois comprise par bien des européens dans une acception tout autre que celle qu'entendent les bouddhistes.
Tandis que le cycle des renaissances représente, pour beaucoup d'occidentaux, une alternative au néant - et donc une formidable espérance de survie - il constitue, pour les maîtres spirituels orientaux, une terrible épreuve, le but de la pratique étant de s'en libérer.

Quand la Bible affirme que Dieu nous aime, nous disons ne pas comprendre cet amour :
" L'amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par Lui. Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu'Il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés. "
1 Jean 4.9-10
Pourtant, Dieu au travers de l'histoire, et d'un bout à l'autre de la Bible, clame son amour pour l'homme. L'homme qu'Il a créé capable précisément de se poser ces questions que Bouddha estimait, à tort, n'être que des spéculations : quel est le sens de ma vie ? y a-t-il un Dieu ? que sera l'éternité ?

Quand la Bible affirme que nous sommes pécheurs, et que nos péchés ont des conséquences (comme le soulignait ce professeur d'anglais), nous disons ne pas comprendre. Mais Dieu dit que ce sont justement nos péchés qui nous séparent de lui et qui sont presque toujours à l'origine de la souffrance.

" Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu ; ce sont vos péchés qui vous cachent Sa face et l'empêchent de vous écouter. "
Ésaïe 59.2
La question de l'éternité reste entière. Nous faisons presque de cette loi du karma l'espérance d'une vie éternelle alors qu'elle tyrannise la vie des bouddhistes sans qu'ils sachent vraiment s'il pourront y échapper !

Pourtant Jésus est tellement clair, explicite, dans son enseignement.
Lisez, relisez l'Évangile. C'est évident :
" En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. "
Jean 5.24
Dieu vous offre Sa vie avec un grand V. La vraie vie. Celle qui apporte tant de satisfactions, celle qui est si complète qu'elle débordera jusque dans l'éternité.
Bien sûr, il vous faut mesurer la différence qui vous sépare d'un Dieu si parfait et saint.
Bien sûr, il faut reconnaître votre péché, et accepter qu'aucun travail de votre part ne pourra combler cette distance, cette différence, cet abîme qui vous sépare de Dieu. Aucun travail de votre part ne pourra faire changer la nature de votre cœur. Espérer rattraper le fossé, l'écart qui nous sépare de Dieu serait admettons-le très prétentieux de notre part, mais bien dans notre nature humaine ! Il y a quelques générations, certains pensaient pouvoir combler ce fossé par leurs bonnes oeuvres, aujourd'hui d'autres pensent le combler en s'améliorant par toutes sortes de pratiques.

Ce que l'Évangile propose est et reste le plus révolutionnaire qui soit ! Voici ce que dit Paul dans la Bible :
" Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. "
2 Corinthiens 5.17

Reconnaissez que votre péché vous sépare de Dieu.
Recevez le pardon de vos péchés.
Placez votre confiance en Jésus-Christ.
Recevez son Esprit.
Devenez une créature nouvelle .
... Et vivez la vraie vie..

L'Eternel et Allah sont-ils un seul et même Dieu?

La foi en Allah n’a pas été introduite par Muhammad, ni Allah révélé pour la première fois dans le Coran. Allah était un Dieu bien connu au Proche-Orient, l’islam lui-même en témoigne. Le père de Muhammad s’appelait ‘Abd Allah, ce qui signifie serviteur d’Allah, et l’un de ses oncles, Obied Allah. Cela démontre l’adoration portée à Allah bien avant la naissance de Muhammad. De même, la Ka’abah s’appelait déjà Beit Allah (maison d’Allah), et des vestiges archéologiques et littéraires de l’Arabie préislamique font également référence à Allah qui était le nom du plus grand des dieux arabes, (Allah étant la traduction du mot Dieu), supérieur aux nombreux autres, adorés en ce temps-là à la Ka’abah. Face à cette idolâtrie, Muhammad élèvera Allah à la position de Dieu unique. Allah ne serait-il qu’une idole élevée au-dessus d’autres? Pourtant, le Coran affirme clairement «Notre Dieu et votre Dieu est le même, et c’est à lui que nous nous soumettons» (S.29:46).

Similarités entre les deux Dieux

Le Coran identifie Allah au Créateur, tout comme la Bible le fait pour Dieu l’Eternel. Allah porte ainsi les titres le Saint, le Gardien de la Paix, le Premier et le Dernier, l’Absolu, le Digne de Louanges (S 31:26), la Vérité (S 31:30), le Détenteur de la Faveur (S 2:251). Allah est aussi proche de l’homme que sa veine jugulaire (veine du cou)(S 50:16). Il est miséricordieux et plein de compassion, Tout-Puissant et Sage. La plupart de ces titres sont également des attributs de Dieu l’Eternel. Pourtant, ces quelques similitudes ne doivent pas nous faire oublier les divergences fondamentales dans la nature profonde de chacun de ces Etres tels qu’Ils nous sont décrits dans la Bible et le Coran.

Malgré l’affirmation du Coran, nous observons des différences fondamentales entre Allah et l’Eternel, le Dieu de la Bible.

La Bible nous décrit Dieu comme une personne douée d’intelligence, d’émotions et de volonté. Allah au contraire n’est pas perçu comme une personne, cet abaissement le rapprocherait trop de l’homme et compromettrait sa divinité. Omniprésent, il est proche des êtres humains mais sans entrer en contact direct avec eux. De même, il n’intervient qu’indirectement dans le cours de l’histoire (par sa parole, les prophètes et les anges), au contraire du Dieu de la Bible qui intervient fréquemment en faveur des hommes. A ce propos, la Bible est pratiquement le récit de l’intervention divine parmi les hommes; agissant de manière pratique en leur faveur jusqu’à s’incarner pour partager leur quotidien et leur apporter le salut.
De même, Allah n’est pas esprit, cela le diminuerait et il ne serait plus l’Exalté. Pourtant dans la Bible, nous lisons que «Dieu est Esprit» (Jn 4:24) cet état évoquant même l’un des caractères divins fondamentaux.

La miséricorde d’Allah occupe une place essentielle dans l’islam. Chaque sourate commence par: «Bismi-llahi ar-rahmâni ar-rahîm» (Au nom de Dieu, le Miséricordieux, le Bienveillant). Cette bonté se manifeste par de nombreuses bénédictions matérielles et spirituelles. Le prophète l’a comparée à la bonté d’une mère pour son enfant.
Le Dieu de la Bible est également un Dieu de grâce. Celle-ci a été merveilleusement déployée à Golgotha, Jésus-Christ, y ouvrant le chemin vers le Père et offrant gratuitement le salut au pécheur. Dans la religion islamique, la grâce de Dieu se manifeste au travers des saints musulmans, choisis gracieusement par Dieu afin d’intercéder pour les adeptes au jour du Jugement. Ce jour-là, Allah jugera les hommes selon leurs œuvres: les bonnes et les mauvaises seront simultanément pesées; celui dont les bonnes surpasseront les mauvaise obtiendra peut-être le salut.

L’amour du Dieu de la Bible pour tous les hommes est l’un de ses attributs majeurs dans le christianisme «Dieu est amour» (1Jn 4:16 voir aussi Jn 3:16). Dans le Coran, le nom de Dieu correspondant à l’amour est «al-wadud». Il ne s’y trouve que deux fois. Cet amour est conditionnel; Dieu aime ceux qui l’aiment, mais n’aime pas les incroyants: «Dis: si vous aimez Dieu, suivez-moi! Dieu vous aimera et vous pardonnera vos péchés. Dieu est miséricordieux et bienveillant. Dis: Obéissez à Dieu et à l’Apôtre. Mais si vous vous détournez, sachez que Dieu n’aime pas les incroyants» (S 3:31-32).
La Bible nous dit que Dieu aime le pécheur: «Car lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies. A peine mourrait-on pour un juste; quelqu’un peut-être mourrait pour un homme de bien. Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous» (Ro 5:6-8). L’amour de Dieu pour le croyant est comparable à celui d’un père pour ses enfants. Il nous a adoptés et nous a appelés ses enfants «Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu! Et nous le sommes» (1Jn 3:1). Le musulman ne connaît pas cette intimité avec Dieu. Pour lui, Dieu est éloigné, et ne peut entrer dans une relation intime avec ses créatures.

L’incarnation représente l’un des plus grands conflits doctrinaux entre les deux religions: «Il n’a pas conçu et n’est pas conçu» (S 112:3). Cette affirmation concernait préalablement le culte idolâtre et polythéiste des tribus de l’Arabie préislamique, selon lequel Allah avait trois filles: al-Lat, al-Uzza et al-Manat (S 53:19). Mais pour le musulman d’aujourd’hui, déclarer Jésus Christ Fils de Dieu en ferait le fruit de relations sexuelles entre Dieu et une femme, notion hautement blasphématoire. Cette interprétation indécente représente également pour nous chrétiens, un outrage extrême. Le nom de Fils de Dieu est, contrairement à cette interprétation, un titre glorieux donné au Christ dans le but de faire ressortir sa nature divine, en opposition à notre humanité charnelle.

Un second malentendu de portée égale existe au sujet de la Trinité. Pour les musulmans, ce terme résume l’adoration polythéiste de trois dieux: Dieu le Père, Jésus le Fils et Marie mère de Jésus (on notera l’ignorance du Saint-Esprit). Ils accusent ainsi les chrétiens d’associer d’autres divinités à Dieu le Père, et de commettre ainsi le péché impardonnable, le péché d’association ou chirk «Certes Allah ne pardonne pas qu’on Lui donne quelque associé. A part cela, Il pardonne à qui il veut. Mais quiconque donne à Allah quelque associé commet un énorme péché» (S 4:48). Cette représentation polythéiste de Dieu est naturellement erronée: si Dieu se manifeste en trois personnes (le Père, le Fils et le Saint-Esprit) il est cependant totalement UN dans son essence, sa personnalité et sa volonté.

La nature immuable de Dieu fait concilier sa Parole avec ses actes. Il reste ainsi constamment le même, et suscite la confiance. La Bible le dit: «Dieu n’est point un homme pour mentir, ni fils d’un homme pour se repentir. Ce qu’il dit ne le fera-t-il pas? Ce qu’il a déclaré ne l’exécutera-t-il pas?» (Nb 23:19) «Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation» (Jn 1:17). Allah, par contre, n’est pas lié à Sa Parole. Est-il malgré tout constant dans sa nature? Le message du Coran présente une certaine ambiguïté à ce sujet. A titre d’exemple, parmi les 99 plus beaux noms d’Allah, figurent l’Intriguant suprême et Celui qui égare…

La sainteté
Le Coran et la Bible l’affirment: Dieu est saint! Cet attribut a-t-il la même signification pour chacun? Dans la Bible, la sainteté évoque la pureté et la séparation (en hébreux: mis à part) de toute souillure provoquée par le péché, et implique la participation de l’homme: «Vous serez saints, car je suis saint» (1Pi 1:16 voir aussi Lv 19:2). Pour le Coran, la sainteté évoque la séparation de Dieu dans le sens de transcendance (Dieu est infiniment élevé au-dessus de toutes choses) mais n’a pas d'implication morale. Notons que le Coran ne connaît pas de standard moral absolu: il permet le mensonge, le parjure, la vengeance, le meurtre et le divorce sous condition. Il commande de verser le sang, le meurtre étant la punition des infidèles, coupables du péché le plus grave (chirk): «Et tuez-les où que vous les rencontrez; et chassez-les d’où ils vous ont chassés: l’association est plus grave que le meurtre…» (S 2:191). La vengeance est également prônée: «O les croyants! On vous a prescrit le talion au sujet des tués: homme libre pour homme libre, esclave pour esclave, femme pour femme…»(S 2:178).

Le Coran permet également de jurer
Allah le fait à plusieurs reprises et différentes sourates débutent par un serment: «Par at-Tûr (le Mont Sinaï)! et par un livre écrit sur un parchemin déployé! et par la maison peuplée» (S 53:1-4). De même les mots «Par Allah et par Allah (Billahi wa Allahi)» font partie de la conversation quotidienne. Le serment sert à renforcer une affirmation, que celle-ci soit exacte ou non. Bien que le hadith qualifie le mensonge de péché, il le permet en cas de guerre sainte, pour permettre la réconciliation de deux musulmans, ou d’un homme et de sa femme.

Conclusion:
Ces quelques points non exhaustifs dénotent suffisamment de différences entre les descriptions de Dieu transmises par la Bible ou le Coran. Ces divergences suffisent-elles cependant à prouver l’altérité de ces deux Divinités? Allah et l’Eternel seraient-ils un seul et même Dieu présenté de manière différente ou deux Divinités distinctes?
A mon avis, ces disparités entre Allah et l’Eternel Dieu démontrent le besoin qu’ont les musulmans de découvrir la véritable révélation de Dieu afin de parvenir au salut gratuit offert par l’Eternel par le biais du sacrifice de Jésus-Christ.

Lorenz Meyer

jeudi 10 mai 2007

CROIX OU POTEAU

D'après la communauté des témoins de Jéhovah, Jésus ne serait pas mort sur une croix mais cloué à un poteau.
Tout d'abord, je tiens à préciser que la manière dont Jésus est mort n'est pas le plus important dans la bible. Seul son sacrifice l'est, car c'est grâce à lui que nous entrerons dans le royaume de DIEU lors de Son Avènement.

Le fait de mettre en doute la parole de DIEU est grave, et à cause de cette doctrine, les témoins de Jéhovah attirent dans leurs filets beaucoup de personnes qui recherchent DIEU, mais qui malheureusement n'ont pas beaucoup de connaissance en la bible.
La raison de la création de cette page est de montrer que la bible elle même démonte leur enseignement du poteau ( qui est un dogme de foi chez eux ) mais aussi de vous montrer que cette doctrine n'est fondé sur rien du tout et que par conséquent leur seul but est de détourner les gens de la vérité qu'est la bible.

Voici ce que vous pouvez lire dans la brochure des témoins de Jéhovah "Ce que Dieu attend de nous" (1996) à la page 23:
"La Croix: Jésus n'est pas mort sur une croix. Il est mort sur un poteau, un pieu. Le mot grec traduit par "croix" dans beaucoup de bibles désigne une seule pièce de bois. Le symbole de la croix vient des fausses religions du passé; les premiers chrétiens ne se servaient pas de la croix et ne l'adoraient pas. pour cette raison, croyez-vous qu'il serait bien de se servir d'une croix pour adorer Dieu? -deutéronome 7:26; 1 cor. 10:14"
Vous retrouverez cette citation sur le site Officiel de la WatchTower: http://www.watchtower.org/languages/francais/library/rq/article_11.htm

Que nous dit la bible ?
"Les autres disciples donc lui dirent : Nous avons vu le Seigneur. Mais il leur dit : A moins que je ne voie en ses mains la marque des clous, et que je ne mette mon doigt dans la marque des clous, et que je ne mette ma main dans son côté, je ne le croirai point".JEAN 20:25
Ce passage paraît n'avoir aucune information importante concernant le sujet du moyen de mise à mort de Jésus, n'est-ce pas ?
Relisez le bien : "Les autres disciples donc lui dirent : Nous avons vu le Seigneur. Mais il leur dit : A moins que je ne voie en ses mains la marque des clous, et que je ne mette mon doigt dans la marque des clous, et que je ne mette ma main dans son côté, je ne le croirai point"JEAN 20:25
Remarquez bien le pluriel du mot CLOUS. Thomas a donc vu que sur le lieu du supplice, les mains du Seigneur ont été transpercées par plusieurs clous.

Pour les témoins de Jéhovah, les mains de Jésus étaient placées au dessus de sa tête, l'une au dessus de l'autre, et transpercées D'UN CLOU. Il semblerait que la watch Tower n'est pas remarquée ce petit détail.
Nous nous savons que ses bras étaient ouvert et placés à l'horizontal ( comme sur la représentation de droite ) et que ses mains étaient transpercées par 2 clous, un pour chaque main.
Que nous dit encore la Bible ?
"Ils placèrent aussi au-dessus de sa tête le motif de sa condamnation ainsi libellé : «Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs". MAT 27:37

Autre détail que la Watch Tower a omis: d'après eux, l'inscription étaient placée, non pas au dessus de la tête de Jésus, mais au dessus de ses mains. Regardez leur illustration, elle parle d'elle-même.
Quel est donc l'argument de la Watch Tower ?

Dans le livre "Comment raisonner à partir des Écritures" publié par la société des Témoins de Jéhovah on trouve à la rubrique Croix:
"... Quel fut l'instrument utilisé pour l'exécution du fils de Dieu? On notera avec intérêt que les écritures le désignent parfois par le mot xylon, qu'un lexique grec-anglais(Greek-English Lexicon de Linddell et Scott) définit ainsi:"Bois coupé et prêt à être utilisé, bois de chauffage, bois de construction, etc. (...), pièce de bois, bûche, poutre, pieu, (...) gourdin, bâton, (...) poteau sur lequel les criminels étaient empalés, (...) bois sur pied, arbre."(Londres, 1968,pp.1191,1192))".

En faisant quelques recherches, voila la définition que j'ai trouvé dans le Greek-English Lexicon de Linddell et Scott ( même source que la Watch Tower a utilisée ) au mot XULON :
xulon [u^], to (pl. spelt xuleaAbh. Berl. Akad. 1928(6).32 (Cos, v B. C.)), wood cut and ready for use, firewood, timber, etc., Hom., mostly in pl., Il.8.507,547, Od.14.418 ; x. nêïa ship-timber, Hes.Op. 808 ; x. naupêgêsima Th.7.25 , X.An.6.4.4, Pl.Lg.706b, D.17.28 ; x. tetragôna logs cut square, Hdt.1.186, cf. Pl.Prt.325d, Arist.EN 1109b7.
2. in pl., also, the wood-market, epi xula ienai Ar.Fr. 403 .
II. in sg., piece of wood, log, beam, post, once in Hom., x. auon . . ê druos ê peukês Il.23.327 ; x. sukinon spoon made of fig wood, Pl.Hp.Ma.291c ; peg or lever, Arist.MA701b9 ; perch, epi xulou katheudein Ar.Nu.1431 : by poet. periphr., Argous xulon A.Fr.20 ; hippoio kakon x., of the Trojan horse, AP9.152 (Agath.) : hence [p. 1192] anything made of wood, as,
2. cudgel, club, Hdt.2.63,4.180, Ar.Lys.357, PHal.1.187 (iii B.C.); meta xulôn eispêdêsai PTeb.304.10 (ii A.D.); xulois suntripsein Luc.Demon.50 ; of the club of Heracles, Plu.Lyc.30.
3. an instrument of punishment,
a. wooden collar, put on the neck of the prisoner, xulôi phimoun ton auchena Ar.Nu.592 ; es tetrêmenon x. enkatharmosai . . ton auchena Id.Lys.680 ; or,
b. stocks, in which the feet were confined, Hdt.9.37, 6.75, Ar.Eq.367, D.18.129 ; x. ephelkein Polyzel.3 ; en tôi x. dedesthai Lys.10.16 (v. podokakkê), cf. Act.Ap.16.24, OGI483.181 (Pergam., ii A.D.) : also in pl., edêsen en tois x. And.1.45 .
c. pentesuringon xulon (v. sub voc.) was a combination of both, with holes for the neck, arms, and legs, Ar.Eq.1049.
d. gallows, kremasai tina epi xulou LXX De.21.22 ; x. didumon ib.Jo.8.29 : prov., ex axiou tou xulou kan apanxasthai, i.e. if one must be hanged, at least let it be on a noble tree, App.Prov.2.67, cf. Ar.Ra.736 ; in NT, of the cross, Act.Ap.5.30,10.39.
e. stake on which criminals were impaled, Alex.222.10.
4. bench, table, esp. money-changer’s table, D.45.33.
5. prôton xulon front bench in the Athenian theatre, Ar.Ach.25, V.90, cf. Sch.adlocc. : hence houpi tôn xulôn the official who had to take care of the seats, Hermipp.9 (according to Meineke).
6. the Hippocratic bench, Hp.Fract.13, Art.72.

Que remarquons nous ?
Que la Watch Tower a traduit "bois de chauffage", "bois de construction", "pièce de bois", "bûche", "poutre", "pieu", "gourdin"," bâton", "poteau sur lequel les criminels étaient empalés", "bois sur pied", "arbre", mais étrangement, elle a oubliée d'ajouter les moyens de tortures tels que le "collier de bois", la "poutre aux pieds" ou "autour du coup et des mains" que l'on trouve pourtant dans le Greek-English Lexicon de Linddell et Scott. Ont-ils eu peur que l'ajout de ces traductions les gênent lors de l'enseignement de cette doctrine? Peur que certains se disent " ils nous disent que c'est le poteau, et pourquoi se ne serait pas un des autres " ? A méditer.
traduction du point 3.d : gibet «potence», si quelqu'un doit être pendu, laissez le au moins l'être à un arbre noble (prov2 67), dans le Nouveau Testament sur la croix (In NT of the cross).

Pourquoi donc la société a t-elle enlevé dans sa définition le mot croix? Linddell et Scott ayant rajouté " dans le Nouveau Testament ", il est donc sûr et certains qu'il se référaient à la crucifiction de Jésus !
XYLON étant le mot employé dans la bible, la définition de Linddell et Scott nous le prouve, Jésus est bien mort sur une croix et non sur un poteau !
Je tiens aussi à préciser que la définition "poteau sur lequel les criminels étaient empalés" ne conforte pas du tout leur doctrine, puisque si vous regardez l'illustration ci-dessous, qui représente le supplice de l'empalement, vous remarquerez que le poteau était un pieu aiguisé et non un poteau sur lequel on pouvait clouer quelqu'un.

Autre référence de la Watch Tower : Lewis et Short
D'après l'appendice de la TMN, le dictionnaire de Lewis et Short donne pour sens principal au mot crux : un arbre, une potence ou autres instruments en bois pour l’exécution, auquels on attachait ou pendait des criminels (A Latin dictionnary, Oxford 1879) (réf: page 1703 -Appendice TMN).

Je tiens a préciser qu'une potence ne désigne pas du tout un poteau d'après le dictionnaire Larousse : "Assemblage de pièces de bois ou de métal formant équerre, pour soutenir ou suspendre quelquechose. Instrument qui sert au supplice de la pendaison".
Je vous rappelle qu'un poteau n'est pas du tout un assemblage de pièces de bois, par contre la croix l'est !
Le mot instrument ne prouve rien non plus, puisque la croix est un instrument de bois aussi bien que le poteau !
Quant au mot arbre .... un arbre est-il un poteau ?
Bref, voyons maintenant ce que nous dis Lewis et Short ( référence donné par la Watch Tower ).
crux , ucis, f. (m., Enn. ap. Non. p. 195, 13; Gracch. ap. Fest. s. v. masculino, p. 150, 24, and 151, 12 Müll.) [perh. kindred with circus].

I. Lit.
A. In gen., a tree, frame, or other wooden instruments of execution, on which criminals were impaled or hanged, Sen. Prov. 3, 10; Cic. Rab. Perd. 3, 10 sqq.—
B. In partic., a cross, Ter. And. 3, 5, 15; Cic. Verr. 2, 1, 3, § 7; 2, 1, 4, § 9; id. Pis. 18, 42; id. Fin. 5, 30, 92; Quint. 4, 2, 17; Tac. A. 15, 44; Hor. S. 1, 3, 82; 2, 7, [p. 486] 47; id. Ep. 1, 16, 48 et saep.: dignus fuit qui malo cruce periret, Gracch. ap. Fest. l. l.: pendula,the pole of a carriage, Stat. S. 4, 3, 28 . —
II. Transf.
A. As a term of reproach, a gallows bird, a hempen rascal, Plaut. Pers. 5, 2, 17.—
traduction du point I A : "En géné., un arbre, charpente ou autres instruments d'exécution en bois, sur lesquels les criminels étaient empalés ou pendu.
traduction du point I B. En particulier, une croix ".
La Watch Tower a traduit cette phrase par : un arbre, une potence ou autres instruments en bois pour l’exécution, auquels on attachait ou pendait des criminels .
Je vous rappelle qu'en anglais le verbe to impale se traduit en francais par empaler et non attacher. Nous avons vu un peu plus haut que le supplice de l'empalement n'a rien a voir avec le fait de clouer une personne à un poteau.

De plus, elle a traduit le mot frame par potence, alors que celui-ci se traduit par charpente, chassis, qui, disons le, n'ont rien à voir avec une potence.
Dernière chose, pourquoi, encore une fois, a t-elle fait disparaître de sa définition la référence à la croix ( point I B , cross = croix ) pour ne garder que ce qu'il l'interessait ?
Autre argument des témoins de Jéhovah
" En latin, on appelait crux simplex un simple poteau sur lequel on attachait un criminel" (Appendice -TMN -page 1703)
C'est vrai que la CRUX SIMPLEX désigne un simple poteau sur lequel était exécutés certains condamné à mort.
Mais parmi les autres moyens d'exécution il y avait aussi la CRUX COMPOSITA qui elle était composée de deux pièces, l’une verticale, plantée dans le sol, l’autre horizontale, fixée parfois au sommet de la première (de sorte que l’instrument avait la forme d’un T), ou alors un peu au-dessous de ce sommet.

Rien dans la bible ne dit que Jésus a été cloué à une CRUX SIMPLEX. De plus, CRUX est un mot latin, or, nous savons que le Nouveau Testament n'a pas été écris en latin mais en grec, donc le mot qu'on pouvait y trouvé était XYLON ou STAUROS et non CRUX ( nous avons vu que les mots XYLON se traduisent sans aucun doute par croix ).
Pour ce qui est du STAUROS, voyons ce qu'en dit le New International Dictionary of New Testament Theology.

STAUROS : "Correspondant au verbe [stauroô], qui était plus commun, stauros peut désigner un poteau, parfois taillé en pointe, sur lequel un criminel exécuté était parfois exposé à la honte comme punition supplémentaire. On pouvait s’en servir pour pendre (ainsi probablement Diod. de Sic., 2, 18, 2), empaler ou étrangler. Le stauros pouvait également être un instrument de torture, peut-être dans le sens du lat. patibulum, une traverse placée sur les épaules. Enfin, ce pouvait être un instrument d’exécution ayant la forme d’un poteau vertical avec une traverse de même longueur, formant une croix dans le sens strict du terme. Il avait la forme d’un T (lat. crux commissa) ou d’un † (crux immissa). " — New International Dictionary of New Testament Theology Vol. 1, page 391.
Tout comme pour le XULON, la Watch Tower n'a gardé que ce qui l'arrangeait.
La Watch Tower cite aussi Tite-Live, un historien romain
" Dans les écrits de Tite-Live, historien romain du 1er siècle de n. è., crux désigne un simple poteau. Ce n'est que plus tard que le terme a pris le sens de croix." (Appendice TMN -page 1703).
Où sont les références de cette citation ??? Bizarrement ils n'en donnent pas !
Tite-Live est mort en l'an 17 de notre ère, donc bien avant la mort de Jésus. Par conséquent, il est impossible qu'il y ai un lien entre cette citation ( soit disant de Tite-Live ) et la crucifixion du Christ.
De plus, comment pourrait-il dire "Ce n'est que plus tard que le terme a pris le sens de croix" ?
Que veut-il dire par plus tard ? Après la mort de Jésus ???
Citation étrange, non ?

Voici maintenant des références historiques prouvant que Jésus est bien mort crucifié
En l'an 79, le Vésuve entre en éruption. Le 29 août de cette même année Pompéi, ville romaine est complètement recouverte par les cendres et pratiquement tout ses habitants sont tués sur le coup.
Les habitants ont tracé sur les murs des monuments et des maisons, des inscriptions et des dessins ; la couche de cendre et de lave sous laquelle était la ville, a permis aux archéologues de retrouver ces graffitis en bon état de conservation.

Pour se moquer des chrétiens, les romains avaient trouvé une façon de les représenter sur les murs. Et c’est cette représentation qui nous donne encore une preuve irréfutable que Jésus est mort crucifié. Pourquoi irréfutable ? Tout simplement parce que ce ne sont pas des chrétiens qui ont dessiné ce graffiti, mais des romains pour se moquer d’eux.
Pour ajouter à l’injure, ils dépeignaient le Christ comme un âne crucifié, avec, sous le dessin, la mention qu’il était le Dieu chrétien !

Plusieurs graffitis semblables à celui-ci ont aussi été retrouvés à Rome. Le seul fait que ce ne soient pas des chrétiens mais des romains qui ont fait ces graffitis prouve que le fait que Jésus ai été cloué sur une croix et non sur un poteau comme voudrait le faire croire les dirigeants de la Watchtower, était une chose déjà bien connu .

Quelques déclarations de «Pères dits apostoliques» de l’Eglise , c’est à dire des chrétiens qui ont succédé directement aux apôtres eux-mêmes :
Si la croix a fait son apparition au 3ème siècle, les écrits du 1er et 2ème siècle sont fiables.
Justin , environ 150 après JC , Dialogue avec Tryphon cote 40 et 90 : «De même la prescription de faire rôtir l’agneau tout entier : c’était un symbole de la souffrance de la Croix dont le Christ devait souffrir . L’agneau , lorsqu’il est rôti , est disposé de manière à figurer la croix : l’une des broches dressées le transperce depuis les membres inférieurs jusqu’à la tête , l’autre au travers du dos , et on y attache les pattes de l’agneau .» «Lorsque le peuple combattait Amalek , Moïse lui-même priait Dieu les mains étendues de chaque coté ; celui qui l’emportait , l’emportait par la croix . Ce n’est pas parce que Moïse priait ainsi que le peuple gagnait l’avantage , mais parce qu’en tête de combat était le nom de Jésus (= Josué) et que Moïse représentait la croix .»

Irénée , entre 175 et 189 après JC, Contre les hérésies cote II,24,4 : «La structure de la croix présente cinq extrémités, deux en longueur, deux en largeur, une cinquième sur laquelle s’appuie le crucifié .»
En 197 après Jésus-Christ Tertullien écrivait :«Le morceau de bois qui est fixé dans la terre en position droite est une partie de la croix, et la partie la plus grande de sa masse. Mais une croix entière nous est attribuée, avec sa poutre transversale, naturellement » (Tertullien. Ad Nationes)
Epître de Barnabé , environ 130 après JC , cote 9.8 : «La croix en forme de T devait apporter la grâce .»
L’apologiste chrétien Justin, écrivant autour de 160 après J-C (longtemps avant Constantin) a fait mention dans ses textes de la forme de la croix au moins deux fois: «Et la forme humaine diffère de celle des irrationnels animaux en aucune autre façon que lorsque l’être est debout ayant ses mains étendues… et ceci démontre aucune autre forme que celle de la croix»(Justin «Première Apologie»)(Justin’s «Dialogue With Trypho», Chap XC in ANF, p. 245)
Le signe de la croix est très vite devenu le signe emblématique des chrétiens . Citons Tertullien qui à la fin du 2ème siècle écrivait : «Dans toutes nos démarches et nos actions , quoi que nous fassions, nous imprimons le signe de la croix sur nos fronts.»

la LETTRE DE BARNABÉ 9:7 "7. Soyez abondamment instruits sur toutes choses, enfants de la dilection : Abraham, qui le premier a pratiqué la circoncision, le fit en contemplant en esprit Jésus ; il avait, en effet, été initié au sens des trois lettres. 8. L'Écriture dit en effet : " Abraham circoncit les hommes de sa maison au nombre de 18 et 300 " (cf. Gn 17, 23-27 ; 14, 14). De quel mystère reçut-il donc la connaissance ? Remarquez qu'on nomme d'abord les dix-huit, et après un intervalle les trois cents. Dix-huit, c'est : dix, iota, huit, êta --ce qui fait I H = Jésus. Et comme la croix en forme de tau est source de la grâce, on ajoute encore trois cents = T. Jésus est désigné par les deux lettres, la croix par la seule troisième. 9. Il le sait bien, celui qui a mis en nous le don de sa doctrine ; personne n'a entendu de moi explication plus profonde. Mais je sais que vous en êtes dignes. " L’explication de cet argument étrange est que Barnabé essaye de faire référence à Genèse 14:14' et à «300» (318) une prophétie au sujet de la croix, puisque la lettre « T » (tau) signifie 300 dans le système de numération grec. La singularité de l’argumentation de Barnabé, est que lorsque Barnabé a écrit (et sa lettre est généralement datée à autour de 130 après Jésus-Christ, et possiblement plus ancienne encore; certaines dates remontent à l’an 75) la croix était connue comme ayant la forme d’un T.

LETTRE D’IGNACE D’ANTIOCHE AUX ÉPHÉSIENS : IX, 1. J’ai appris que certains venant de là-bas sont passés <>, porteurs d’une mauvaise doctrine, mais vous ne les avez pas laissés semer chez vous, vous bouchant les oreilles, pour ne pas recevoir ce qu’ils sèment, <> que vous êtes les pierres du temple du Père, préparés pour la construction de Dieu le Père, élevés jusqu’en haut par la machine de Jésus-Christ, qui est la croix, vous servant comme câble de l’Esprit-Saint ; votre foi vous tire en haut, et la charité est le chemin qui vous élève vers Dieu."

LETTRE D’IGNACE D’ANTIOCHE AUX TRALLIENS: XI, 1. "Fuyez donc ces mauvaises plantes parasites : elles portent un fruit qui donne la mort, et si quelqu’un en goûte, il meurt sur le champ. Ceux-là ne sont pas la plantation du Père (cf. Mt 15, 13 ; Jn 15, 1 ; 1 Co 3, 9). 2. S’ils l’étaient, ils apparaîtraient comme des rameaux de la croix, et leur fruit serait incorruptible. Par sa croix, le Christ en sa passion vous appelle, vous qui êtes ses membres ; c’est Dieu qui nous promet cette union, qu’il est lui-même."

LETTRE D’IGNACE D’ANTIOCHE AUX ROMAINS: "3. Pardonnez-moi ; ce qu’il me faut, je le sais, moi. C’est maintenant que je commence à être un disciple. Que rien, des êtres visibles et invisibles, ne m’empêche par jalousie, de trouver le Christ. Feu et croix, troupeaux de bêtes, lacérations, écartèlements, dislocation des os, mutilation des membres, mouture de tout le corps, que les pires fléaux du diable tombent sur moi, pourvu seulement que je trouve Jésus-Christ."

LETTRE DE POLYCARPE DE SMYRNE AUX PHILIPPIENS VII, 1. « Quiconque, en effet, ne confesse pas que Jésus-Christ est venu dans la chair, est un antéchrist « (cf. 1 Jn 4, 2-3), et celui qui ne confesse pas le témoignage de la croix est du diable, et celui qui détourne les dits du Seigneur selon ses propres désirs, et qui nie la résurrection et le jugement, est le premier-né de Satan."

LETTRE D’IGNACE D’ANTIOCHE AUX SMYRNIOTESI, 1." Je rends grâces à Jésus-Christ Dieu, qui vous a rendus si sages. Je me suis aperçu, en effet, que vous êtes achevés dans une foi inébranlable, comme si vous étiez doués de chair et d’esprit à la croix de Jésus-Christ, et solidement établis dans la charité par le sang du Christ, fermement convaincus au sujet de notre Seigneur qui est véritablement de la race « de David selon la chair « (cf. Rm 1, 3), Fils de Dieu selon la volonté et la puissance de Dieu, véritablement né d’une vierge, baptisé par Jean « pour que «, par lui, « fût accomplie toute justice « (Mt 3, 15).

Nicolas Saint-Lambert